naturalfeature:sivens

  • Qui veut la peau des ZAD ?

    Célia Izoard et Matthieu Amiech

    http://lavoiedujaguar.net/Qui-veut-la-peau-des-ZAD

    Était-ce de l’ironie ? Le 6 mars, jour même où la zone à défendre (ZAD) de la forêt de Sivens a été une nouvelle fois évacuée par la police, Manuel Valls s’est inquiété du « silence de la société et des intellectuels » devant la montée de l’extrême droite (cf. Le Monde du 7 mars). Vue du Tarn, où les opposants à la construction du barrage de Sivens ont été pendant tout le mois de février confrontés à des pratiques d’inspiration fasciste, la déclaration du premier ministre apparaît comme une insolente provocation. Car c’est bien sur une frange de l’extrême droite que son gouvernement s’est appuyé pour affaiblir la lutte contre le projet de barrage et faciliter l’évacuation de la ZAD du Testet. Pour rendre intelligible cette affirmation, un bref retour sur des faits peu médiatisés est nécessaire.

    À partir du week-end du 31 janvier 2015, de petits groupes d’hommes commencent à bloquer l’accès de la ZAD à tous ceux qui veulent s’y rendre. Pour couper le contact entre les zadistes et leurs nombreux soutiens dans la région, ces groupes n’y vont pas de mainmorte (...)

    #ZAD #Testet #FNSEA #FN

  • Qui veut la peau des ZAD ?

    par Célia Izoard et Matthieu Amiech

    Était-ce de l’ironie ? Le 6 mars, jour même où la Zone A Défendre (ZAD) de la forêt de Sivens a été une nouvelle fois évacuée par la police, Manuel Valls s’est inquiété du « silence de la société et des intellectuels » devant la montée de l’extrême-droite (cf. Le Monde du 7 mars). Vue du Tarn, où les opposants à la construction du barrage de Sivens ont été pendant tout le mois de février confrontés à des pratiques d’inspiration fasciste, la déclaration du Premier ministre apparaît comme une insolente provocation. Car c’est bien sur une frange de l’extrême-droite que son gouvernement s’est appuyé pour affaiblir la lutte contre le projet de barrage et faciliter l’évacuation de la ZAD du Testet. Pour rendre intelligible cette affirmation, un bref retour sur des faits peu médiatisés est nécessaire.

    A partir du weekend du 31 janvier dernier, de petits groupes d’hommes commencent à bloquer l’accès de la ZAD à tous ceux qui veulent s’y rendre. Pour couper le contact entre les zadistes et leurs nombreux soutiens dans la région, ces groupes n’y vont pas de mainmorte : ceux qui apportent des vivres aux défenseurs de la forêt sont dévalisés de leur chargement ; d’autres se retrouvent les pneus crevés, la voiture dans le fossé ou même renversée sur le toit, faute d’avoir fait profil suffisamment bas ; tous sont ouvertement menacés, et parfois suivis quand ils s’éloignent des barrages de ces « pro-barrages ».

    http://blogs.mediapart.fr/blog/helene-duffau/150315/qui-veut-la-peau-des-zad

    Matthieu Amiech est un des éditeurs du recueil Sivens sans retenue (La Lenteur, 2015) et Célia Izoard est traductrice et journaliste. Tous deux habitent le Tarn et sont opposés au projet de barrage sur le Tescou.

    #rémi_fraisse, #barrage_de_sivens, #la_lenteur, #zad

  • LES PRO-BARRAGES DE SIVENS FORMENT DES MILICES, UN MAIRE NOUS RACONTE
    http://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2015/02/12/les-pro-barrages-de-sivens-forment-des-milices-un-maire-

    Dimanche 1er février au matin, j’étais sur la route en direction de la forêt de Sivens, pour assister aux animations prévues dans le cadre de la Journée mondiale des Zones Humides. En arrivant sur le lieu-dit de Barat, aux alentours … Continue reading →

    #CAPITALISME #FAF #LUTTES #REPRESSION #france #luttes #milice #occupation #pro_barrage #zad #zad_du_testet

  • Sans aucune retenue, journal de la forêt de Sivens, 2014

    https://sniadecki.wordpress.com/2015/01/14/sans-aucune-retenue

    Les zones humides, on n’en a rien à foutre
    ou
    Comment, après avoir dévasté la nature, la société industrielle et écologiste achève de la détruire en « l’aménageant »

    1. Ce bulletin, qui paraîtra quotidiennement pendant sept jours, tiendra sur le projet d’aménagement d’une retenue d’eau sur la rivière Tescou, dans la forêt de Sivens, des propos qui seront, justement, sans retenue et sans ménagement. Y seront posées certaines questions que le mouvement esquive : des tendances technocratiques de l’écologie à la question de la violence comme méthode de lutte.

    Avec un beau PDF téléchargeable !

    #Sivens, #Rémi_Fraisse

  • ZAD, grenades et non-violence
    http://www.bastamag.net/ZAD-grenades-et-non-violence

    Après deux mois d’occupation de la forêt de Sivens, dans le Tarn, les opposants au barrage ont vu la mort arriver sur la ZAD ("zone à défendre"). Rémi Fraisse, 21 ans a été tué par une grenade offensive lancée par les gendarmes mobiles dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 octobre. Marine Vlahovic a assisté au début des affrontements et est revenue le lundi au Testet. Devant le petit mausolée érigé pour Rémi, Fred et Christian témoignent des violences policières et de ce que plusieurs semaines de (...)

    #Témoignages

    / Des grands projets... inutiles ?, #Reportages, #Arte_Radio, Agriculture , Accès à (...)

    #Des_grands_projets..._inutiles_ ? #Agriculture_ #Accès_à_l'eau

  • Sans retenue n°1
    http://www.zinzine.domainepublic.net/index.php?theurl=emmission2.php&id=2602

    La première d’une série d’émissions sur la lutte contre le barrage du Testet dans la forêt de Sivens dans le Tarn. La plupart de ces entretiens ont été enregistrés avant les affrontements entre des opposants et les gendarmes et la mort de Rémi Fraisse. Arrivée de la transhumance mené par plusieurs éleveurs de la région, rappel historique et du contexte actuel de la lutte par Christian, membre du Collectif Testet, entretien avec Roland, l’un des deux grévistes de la faim, prises de parole et ambiances lors des rassemblements à Gaillac et à Albi en hommage à Rémi... Durée : 1h. Source : Radio Zinzine

  • Un barrage contre le pacifisme
    http://lignesdeforce.wordpress.com/2014/11/07/un-barrage-contre-le-pacifisme-par-aurelien-berlan

    De ce texte, j’ai d’abord apprécié le titre, tout comme celui du petit « journal [électronique] de la forêt de Sivens » dont il est tiré (des n° 3 & 4). Le journal s’intitule Sans aucune retenue, ce qui n’est pas mal non plus. Il porte la mention : « Publié par Victoria Xardel & Aurélien Berlan, L’Essai de Peyralade, 81140 Roussayrolles ». Il est arrivé dans ma boîte aux lettres électronique. Source : Claude Guillon

  • SANS AUCUNE RETENUE
    FORÊT DE SIVENS
    les 7 numéros du bulletin quotidien (semaine du 25 octobre 2014)

    http://tantquilyauradesbouilles.wordpress.com/sivens-sans-retenue

    Les zones humides, on n’en a rien à foutre
    ou
    Comment, après avoir dévasté la nature, la société industrielle et écologiste achève de la détruire en « l’aménageant »

    "Les passionnés de la nature sont à l’avant-garde de sa destruction."
    Bernard Charbonneau, Le Jardin de Babylone

    1. Ce bulletin, qui paraîtra quotidiennement pendant sept jours, tiendra sur le projet d’aménagement d’une retenue d’eau sur la rivière Tescou, dans la forêt de Sivens, des propos qui seront, justement, sans retenue et sans ménagement. Y seront posées certaines questions que le mouvement esquive : des tendances technocratiques de l’écologie à la question de la violence comme méthode de lutte.

    2. Les arbres tombent, les opposants restent. À la fin du déboisement, la résistance au barrage du Testet a pris un nouveau cours. Pourtant, elle parle toujours le même langage : celui du moratoire et de la contre-expertise, tenu par les écologistes légalistes du collectif « Sauvegarde du Testet ». Ce collectif a vu disparaître, avec la zone humide, son argument principal de protection et de conservation de la nature. Pourtant, la lutte continue : et au-delà de l’écologie, sur quoi se fonde t-elle ?

    • Un barrage contre le pacifisme
      Dialogue (Première partie)
      (extrait, troisième bulletin)

      Oui, j’ai vu des arbres que je fréquente depuis des années être abattus par les machines de mort, j’ai vu les gens y grimper à l’aube pour les protéger, j’ai vu les tentatives de ralentir les robocops avec des barricades et des cocktails Molotov – quelle naïveté, vu comment ils sont équipés.

      Tu penses que nous ne sommes pas assez « équipés » ? Moi, je suis pour la résistance active, mais sans moyens violents. Je suis pacifiste.

      Pourquoi te sens-tu obligé de me dire cela, et d’un ton si supérieur ? Aurais-tu du mépris pour celles et ceux qui, comme moi, ne se définissent pas comme « pacifistes » ?

      Non, aucun mépris, excuse-moi. Je pense même qu’il s’agit d’une composante indispensable de la lutte. Tu me confonds peut-être avec d’autres gens, ceux qui se disent « légalistes », cherchent à négocier avec les autorités et se démarquent des « occupants » et des « violents ». En ce qui me concerne, je n’hésite pas à violer la loi pour défendre mes idées. Mais si je combats la violence de ce système, c’est parce que je m’oppose à toute forme de violence. Je suis donc pacifiste.

      Je trouve bizarre la manière dont tu te définis et dont tu parles des autres composantes de ta lutte. Nous, dans la Résistance, nous ne nous divisions pas en légalistes, pacifistes et violents. Il y avait les maquisards qui vivaient armés dans la clandestinité, la population qui nous soutenait matériellement et les gens qui, au sein de l’administration, faisaient les faux papiers et transmettaient certaines informations – c’est grâce à l’union de ces trois composantes qu’il y a eu de la résistance en France, et il aurait été désastreux de se dissocier de l’une. Votre distinction – car tu n’es pas le seul à parler en ces termes – a forcément pour effet de stigmatiser ce qu’il faudrait soutenir en priorité : celles et ceux qui prennent le risque de menacer le bon déroulement du programme de destruction concocté par les autorités.

      Soit, mais nos situations n’ont rien à voir – et il faut s’y adapter. On ne peut comparer le nazisme et ce que je combats : Carcenac est un escroc, mais ce n’est pas un Hitler qui assassine à tour de bras. Les gendarmes mobiles commettent des exactions, mais ils ne tirent pas à balles réelles.

      C’est vrai, mais tu m’as dit toi-même que les logiques économiques et politiques qui poussent à faire ce barrage, elles menacent la vie et donc l’humanité. Et tu vois bien que ce barrage, il est fait contre vous. Contre votre monde, vos idéaux et vos pratiques pacifistes. Si vous n’arrêtez pas le chantier, vous allez sortir de cette lutte affaiblis, collectivement et individuellement. Il faut donc résister, tous ensemble. A chacun de faire ce qu’il peut en fonction de ce qu’il sait et se sent capable. Pour gagner un combat, de toute façon il faut de tout et ne pas reculer devant l’épreuve de force. L’essentiel, c’est de ne pas se dissocier des autres – çà, c’est faire le boulot du pouvoir : « diviser pour mieux régner ».

      Il faut de tout, certes, mais tout n’est pas toujours possible ensemble – quand des gens lancent de loin des cailloux sur les flics qui encerclent les militants pacifistes enterrés, c’est stupide et dangereux. De toute façon, je ne pense pas qu’il soit possible de battre l’Etat sur son propre terrain. Je ne pense même pas qu’il soit souhaitable d’entrer dans ce jeu-là, nous n’avons rien à y gagner.

      Vu le rapport de force, tu as peut-être raison. Mais je crois tu ne m’as pas bien comprise : pour moi, le problème n’est pas de savoir si on est prêt ou pas à recourir à la violence – ça, c’est une question personnelle, qui dépend de notre histoire, de l’Histoire aussi, des circonstances, etc. Mon propos n’a jamais été de dire que seuls les maquisards avaient fait le bon choix. Le problème à mes yeux, c’est que tu te définisses d’une manière qui donne le mauvais rôle à certains de tes camarades ; c’est que les adjectifs définissant les différentes branches de la lutte sont des catégories policières qui aboutissent, en te posant comme innocent, à montrer implicitement du doigt les autres comme criminels. Là, tu fais le jeu du pouvoir, qui cherche toujours à discréditer ses opposants comme « violents », voire « terroristes ». Dis moi seulement, d’où vient cette question de la « violence » ?

    • Un pacifiste contre le barrage ?! (extrait, quatrième bulletin)

      A Sivens on s’enterre, on « prend racine » pour barrer le chemin aux machines ; on replante, dans la forêt changée en lit de copeaux, de jeunes arbrisseaux. Ces pratiques pacifistes portent en leur sein le souci de donner aux médias qui la relaient une « bonne image » de la lutte, mélangé de considération morale quant à l’usage de la violence. Nous vivons dans une société en état de paix ; c’est à dire où la violence emprunte des voies tellement détournées qu’elle parvient à ne plus être identifiée sous ce nom, et que l’emploi de sa forme la plus brute et matérielle – caillou & flashball – nous terrifie. Cet effet de répulsif moral que suscite tout emploi de la violence directe, matérielle n’est qu’un exemple de la prédominance, là comme partout, de la représentation sur la réalité. Mais qu’on se le dise : qui se bat par les images aura de l’influence dans un monde d’images, et contribuera à renforcer ce monde, contre lequel par ailleurs nous luttons.

      L’influence par le symbole est peut-être nécessaire, aussi, à la lutte ; mais lorsqu’elle demeure si négligeable et si parallèle qu’elle échoue à enrayer une destruction bien réelle, il n’est plus possible de s’en tenir là. Alors se repose la vieille question des moyens et des fins. Toute l’équivoque vient de ce que nous souhaitons obtenir des conséquences pratiques par des moyens symboliques : faire cesser le travail des machines en infléchissant à notre égard l’opinion publique, qui ainsi gagnée à la cause infléchira elle-même le gouvernement, qui par crainte de la « mauvais presse » qui découlerait de leur obstination ordonnera aux différents acteurs économiques et politiques du projet de cesser les travaux. Nous voulons être indirectement efficaces. Mais il y a là une contradiction dans les termes. Est efficace ce qui va au but par les moyens les plus directs. Notre but est de faire cesser les travaux du barrage. La réprobation morale de la violence doit laisser place à une stratégie d’ensemble. Tous les fronts de tous les mondes doivent être occupés. Celui des images, éminemment contemporain, en est un. Beaucoup plus désuet, comme tout ce qui s’exerce sans médiation, le sabotage en est un autre.

      On ne mesure pas la force et la justesse d’une lutte aux moyens employés, qu’ils soient violents ou non. Il faut laisser l’image de la résistance pacifiste populaire contre la violence d’État comme modèle de la lutte aux journalistes amateurs de clivages simples. On considérera peut-être les chances de réussite d’une lutte à sa capacité à ne jamais se laisser réduire à un principe – à une image –, mais à occuper tous les principes et toutes les images – et donc à les subvertir. Cessons de nous enfermer dans des identités figées et pensons plutôt à comment agir de conserve, divergentes méthodes pour un objectif identique : l’abandon immédiat et définitif du projet de barrage, l’expropriation du Conseil Général et la réappropriation de la forêt de Sivens.

    • Protéger la croissance
      Recréer la nature
      (extrait, sixième bulletin)

      En agriculture, par exemple, la campagne est désormais mesurée et chiffrée dans ses moindres détails. Depuis quelques années, l’ensemble des terres agricoles (champ cultivé, prairie, bois, causse, estives, etc.) est photographié par vue aérienne. Ces photos sont numérisées et chaque agriculteur doit déclarer tous les ans ce qu’il fait sur ses terrains (quelle culture ? quelles bêtes ? combien ?). Ces déclarations sont enregistrées dans des bases de données de l’administration. Un pré devient alors un « îlot », un arbre devient un « élément paysager », et un troupeau qui pâture devient un « chargement » qu’il convient de maîtriser dans un « plan de gestion pastorale ». Il n’y a plus un bout de paysage auquel on n’attribue pas une valeur, une réalité augmentée, quelque part dans l’ordinateur d’un bureaucrate : un potentiel agronomique, un atout touristique ou une biodiversité remarquable. Cette façon de simplifier et d’appauvrir la réalité, de tout transformer en chose, permet de comparer n’importe quel endroit avec n’importe quel autre et d’en faire ce que l’on veut. On peut ainsi échanger tel endroit contre tel autre, on peut même détruire telle « zone humide » pour la « recréer » artificiellement ailleurs.

      Cet univers technocratique, c’est la violence normale du monde moderne. Quelle que soit la taille d’un projet d’aménagement, que la destruction à laquelle on assiste soit petite ou grande, tout ce que l’on peut dire, si l’on n’utilise pas le langage des gestionnaires, est considéré comme irrationnel, subjectif, emprunt de sentiments intempestifs. On ne décide plus de nos conditions de vie (là où on habite, comment on travaille, comment on vit avec nos voisins, etc.). Les décisions qui ont le plus de conséquences sur nos vies dépendent d’experts et de programmes nationaux ou européens. Ainsi, le mode de vie moderne exige de ne pas trop s’attacher à ce qui nous entoure et de s’adapter sans cesse aux évolutions de ce monde et aux exigences de la relance de l’économie.

  • La bataille pour la forêt de Sivens
    http://www.vice.com/fr/vice-news/sivens-bataille-pour-une-foret-846

    Au fin fond de la tranquille forêt de Sivens dans le sud de la France, des éco-militants tentent d’empêcher la construction d’un barrage et la destruction de 41 hectares d’arbres. Depuis le début du mouvement, ils sont engagés dans une violente bataille avec les CRS.

    Si le conseil municipal prétend que le barrage permettra d’irriguer les champs alentours, de nombreux habitants restent opposés au projet.

    VICE News s’est rendu sur place afin d’enquêter sur cette nouvelle lutte écologique qui ressemble à s’y méprendre à celle de Notre-Dame-des-Landes.

    C’est marrant, j’étais pas du tout au courant et il aura fallu que ce soit la presse américaine qui m’en informe.
    Sur le fond, les mecs semblent quand même particulièrement violents. C’est aussi ce dont témoigne la page wikipédia consacrée. Pour autant, et bien sûr ce n’est qu’un à priori hâtif, les raisons invoquées pour la construction du barrage sont assez peu convaincantes…

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Barrage_de_Sivens

    http://youtu.be/7ZIJZMS5BUQ

    #Barrage_de_Sivens #Compagnie_républicaine_de_sécurité #France #Manifestation #Tarn_(département) #Terrorisme_écologique #Zone_à_défendre #Écologie

  • Notre Dame du Tarn : le Testet en lutte - Canal Sud
    http://www.canalsud.net/?Notre-Dame-du-Tarn-le-Testet-en

    La zone humide du Testet est en ébullition. le Conseil Général du Tarn a confié à la Compagnie d’Aménagement des Coteaux de Gascogne (CACG) la réalisation d’un barrage près de la forêt de Sivens, à quelques kilomètres de Gaillac (81).
    Projet inutile, coûteux, ne servant à alimenter que quelques maïsiculteurs productivistes, il suscite la réaction de nombreux citoyens et militants. Ainsi depuis des années se bat le collectif pur la Sauvegarde de la zone humide du Testet. Et depuis quelques mois l’a rejoint un collectif d’occupants, Tant qu’il y Aura des Bouilles , qui a réussi tant bien que mal à édifier une petite ZAD sur place.

  • Notre Dame du Tarn : le Testet en lutte
    http://www.canalsud.net/?Notre-Dame-du-Tarn-le-Testet-en

    La zone humide du Testet est en ébullition. le Conseil Général du Tarn a confié à la Compagnie d’Aménagement des Coteaux de Gascogne (CACG) la réalisation d’un barrage près de la forêt de Sivens, à quelques kilomètres de Gaillac (81). Projet inutile, coûteux, ne servant à alimenter que quelques maïsiculteurs productivistes, il suscite la réaction de nombreux citoyens et militants. Ainsi depuis des années se bat le collectif pur la Sauvegarde de la zone humide du Testet. Et depuis quelques mois l’a rejoint un collectif d’occupants, Tant qu’il y Aura des Bouilles , qui a réussi tant bien que mal à édifier une petite ZAD sur place. Durée : 1h. Source : Canal (...)

  • Tant qu’il y aura des bouilles, il n’y aura pas de barrage | Appel à occupation pour sauver la zone humide du Testet
    http://tantquilyauradesbouilles.wordpress.com

    Raffa

    Tant qu’il y aura des bouilles, il n’y aura pas de barrage | Appel à occupation pour sauver la zone humide du Testet - http://tantquilyauradesbouille...

    1 hour ago

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    "En bordure de la forêt de Sivens à 10 km de Gaillac (Tarn), c’est 35 hectares de zone humide, forêt et bouilles* qui doivent être noyées pour satisfaire les besoins de l’économie capitaliste : un gros chantier pour une grosse entreprise (la CACG) et de l’eau à profusion pour favoriser l’agriculture intensive. 18 hectares classés « zone humide » sont concernés, ainsi que de la forêt. Parmi les nombreux animaux sauvages qui y vivent, on compte une centaine d’espèces « protégées » !" - (...)