Discover where ancient rivers flow under Canadian cities | CBC News
▻https://newsinteractives.cbc.ca/features/2024/daylighting-rivers
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Des #mines pour sauver la planète ?
Pour réaliser la #transition_énergétique, il faudrait extraire en vingt ans autant de métaux qu’au cours de toute l’histoire de l’humanité. C’est « l’un des grands #paradoxes de notre temps », constate #Celia_Izoard.
Journaliste, traductrice et philosophe, Celia Izoard examine depuis plusieurs années les impacts sociaux et écologiques du développement des nouvelles technologies. Ce nouvel ouvrage s’intègre dans cette veine en explorant les effets délétères de la transition énergétique et numérique.
La #transition verte nécessite d’extraire du #sous-sol des quantités colossales de #métaux. Ils seront ensuite destinés à la production des énergies bas carbone qui sauveront la planète. Cette course aux métaux supposée sauver la planète du dérèglement climatique n’aggrave-t-elle pas le chaos écologique, les dégâts environnementaux et les inégalités sociales ?
Celia Izoard mène une vaste enquête sur ce phénomène mondial, inédit et invisible. Si d’autres ouvrages ont également mis en avant l’insoutenabilité physique d’une telle transition, la force de ce livre est d’élaborer un panorama de cette question grâce à des enquêtes de terrain et une analyse fournie sur les aspects culturels, politiques, économiques et sociaux des mines et des métaux.
Le #mythe de la #mine_verte
Au début du livre, Celia Izoard part à la recherche des mines du XXIe siècle, « responsables », « relocalisées », « 4.0 », ou encore « décarbonées, digitales et automatisées ». Par un argumentaire détaillé et une plongée dans des mines en #Espagne ou au #Maroc, l’autrice démontre que derrière ce discours promu par les institutions internationales, les dirigeants politiques et les milieux d’affaires se cache un autre visage. Celui de la mine prédatrice, énergivore et destructrice. Celui qui dévore l’habitat terrestre et le vivant.
De façon locale, le processus de « radicalisation » de la mine industrielle est détaillé par le prisme de ses ravages sociaux. La mine est avant tout « une gigantesque machine de #déracinement » (p. 54), qui vide des espaces en expropriant les derniers peuples de la planète. En outre, la mine contemporaine expose les populations à diverses maladies et à l’intoxication. Dans la mine de #Bou-Azzer au Maroc, on extrait du « #cobalt_responsable » pour les #voitures_électriques ; mineurs et riverains souffrent de cancers et de maladies neurologiques et cardiovasculaires.
L’ampleur globale de la #prédation du #secteur_minier au XXIe siècle est aussi esquissée à travers la production grandissante de #déchets et de #pollutions. Le secteur minier est l’industrie la plus polluante au monde. Par exemple, une mine industrielle de #cuivre produit 99,6% de déchets. Stockés à proximité des #fosses_minières, les stériles, de gigantesques volumes de roches extraits, génèrent des dégagements sulfurés qui drainent les #métaux_lourds contenus dans les roches et les font migrer vers les cours d’#eau. Les tuyaux des usines crachent en permanence les #résidus_toxiques qui peuvent, en fonction du #minerai traité, se composer de #cyanure, #acides, #hydrocarbures, #soude, ou des #poisons connus comme le #plomb, l’#arsenic, le #mercure, etc. Enfin, les #mines_zéro_carbone sont des #chimères car elles sont toutes très énergivores. La quantité nécessaire pour extraire, broyer, traiter et raffiner les métaux représentent environ 8 à 10% de l’#énergie totale consommée dans le monde, faisant de l’#industrie_minière un principal responsable du dérèglement climatique.
La face sombre de la transition énergétique
Dans la seconde partie, Celia Izoard montre que les élites sont « en train d’enfouir la crise climatique et énergétique au fond des mines » (p. 62). Cet impératif d’extraire des métaux pour la transition coïncide avec le retour de la question des #matières_premières sur la scène publique, dans un contexte où les puissances occidentales ont perdu leur hégémonie face à la Chine et la Russie.
Depuis quand la transition implique-t-elle une relance minière et donc le passage des #énergies_fossiles aux métaux ? Cet argument se diffuse clairement à la suite de la publication d’un rapport de la Banque mondiale en 2017. En collaboration avec le plus gros lobby minier du monde (l’ICMM, International Council on Mining and Metals), le rapport stipule que l’industrie minière est appelée à jouer un rôle majeur dans la lutte contre le changement climatique – en fournissant des technologies bas carbones. #Batteries électriques, rotors d’éoliennes, électrolyseurs, cellules photovoltaïques, câbles pour la vague d’électrification mondiale, toutes ces infrastructures et technologies requièrent néanmoins des quantités faramineuses de métaux. La transition énergétique des sociétés nécessiterait d’avoir recours à de nombreux métaux de base (cuivre, #nickel, #chrome ou #zinc) mais aussi de #métaux_rares (#lithium, #cobalt, #lanthanide). L’#électrification du parc automobile français exige toute la production annuelle de cobalt dans le monde et deux fois plus que la production annuelle de lithium.
Au XXIe siècle, la matière se rappelle donc brusquement aux puissances occidentales alors qu’elles s’en rêvaient affranchies dans les années 1980. Pourtant, les sociétés occidentales n’avaient évidemment jamais cessé de se fournir en matières premières en s’approvisionnant dans les mines et les industries délocalisées des pays du Sud. Ce processus de déplacement avait d’ailleurs contribué à rendre invisible la mine et ses pollutions du paysage et de l’imaginaire collectif.
Sous l’étendard de la transition qui permet d’anticiper les contestations environnementales et de faire adhérer les populations à cette inédite course mondiale aux métaux se cache le projet d’une poursuite de la croissance et des modes de vie aux besoins énergétiques et métalliques démesurés. Cette nouvelle légende de l’Occident capitaliste justifie une extraction de métaux qui seront également destinés aux entreprises européennes du numérique, de l’automobile, l’aérospatial, l’armement, la chimie, le nucléaire et toutes les technologies de pointe.
« Déminer le #capitalisme »
Ce #livre explore ensuite dans une troisième partie l’histoire du capitalisme à travers celle de la mine et des métaux. Elle montre comment s’est fondé un modèle extractiviste reposant sur des idéologies : le Salut, le Progrès, le Développement – et désormais la Transition ? L’extractivisme est permis par l’élaboration et le développement d’un ensemble de croyances et d’imaginaires qui lui donnent une toute puissance. C’est ce que Celia Izoard nomme : la « #cosmologie_extractiviste » (p. 211). Accompagnée par une législation favorable et des politiques coloniales menées par l’État et la bourgeoisie, puis par l’industrialisation au XIXe siècle, cette matrice a favorisé notre dépendance à un régime minier. Aux yeux du peuple amazonien des Yanomamis, les Blancs sont des « mangeurs de terre » (p. 215).
Comment sortir de cette vision du monde occidental structuré autour de la mine dont l’objectif est l’accumulation de capital et de puissance. La solution minière, comme technologique, à la crise climatique est un piège, affirme Celia Izoard. Le mouvement climat doit passer par la #décroissance_minérale, par un « sevrage métallique autant qu’un sevrage énergétique » (p. 291). La réduction des consommations énergétiques et matérielles est une solution réaliste. Le quotidien des occidentaux est surminéralisé à l’instar de l’objet emblématique de notre surconsommation quotidienne de métaux : le smartphone. Il contient à lui seul, sous la forme d’alliage complexe, plus de 50 métaux. Les métaux ne devraient-ils pas être réservés aux usages déterminés comme essentiels à la vie humaine ?
Pour sortir du #régime_minier, il est d’abord urgent de rendre visible la surconsommation de métaux dans le débat public. D’une part, cela doit passer par des mesures politiques. Instaurer un bilan métaux au même titre que le bilan carbone car l’idéologie de la transition a créé une séparation illusoire entre les ressources fossiles toxiques (charbon, pétrole et gaz) et l’extraction métallique, considérée comme salutaire et indispensable. Ou encore cibler la surconsommation minérale des plus riches en distinguant émissions de luxe et émissions de subsistance, comme le propose déjà Andreas Malm. D’autre part, pour « déminer le capitalisme » (p. 281), cela devra passer par un processus de réflexions et de débats collectifs et démocratiques, de mouvements sociaux et de prises de consciences individuelles, en particulier dans les pays hyperindustrialisés dont la surconsommation de métaux est aberrante.
Non content de contourner l’obstacle de la « transition énergétique », l’extractivisme pousse les frontières toujours plus loin, justifiant la conquête de nouveaux eldorados : le Groenland, les fonds océaniques, voire les minerais extraterrestres. Face au processus de contamination et de dégradation de la planète mené par le secteur minier et industriel, les luttes contre les projets s’intensifient. Récemment, ce sont les Collas, peuple indigène du Chili, qui s’opposent aux géants miniers. Ces derniers ont pour projet d’extraire du lithium dans le salar de Maricunga ; cela entraînera le pompage de millions de mètres cubes d’eau dans les profondeurs des déserts de sel, ces emblèmes de la cordillère des Andes. La communauté colla en sera d’autant plus affaiblie d’autant plus qu’elle souffre déjà de l’exode urbain et de l’assèchement de la région. Les éleveurs devront aussi abandonner leurs élevages et s’engager vers les immenses cités minières de la région. En outre, la transhumance, la biodiversité, une quarantaine d’espèces sauvages locales (le flamant rose chilien, les vigognes ou les guanacos, etc.), sont menacées. Appuyés par leur porte-parole Elena Rivera, ils ne comptent pas se laisser faire et ont fait un recours au Tribunal environnemental de Santiago, qui traite des nombreuses controverses écologiques dans le pays. Au XXIe siècle, les débats et luttes organisés autour de l’extraction au Chili, deuxième pays concentrant le plus de lithium sur la planète, prouvent que les pauvres et les derniers peuples de la planète sont en première ligne face aux effets délétères sous-jacents à la « transition verte ».
►https://laviedesidees.fr/Des-mines-pour-sauver-la-planete
#changement_climatique #climat #extractivisme
voir aussi :
« La ruée minière au XXIe siècle » : le #mensonge de la #transition_énergétique
▻https://seenthis.net/messages/1040284
Stocker l’#eau en #sous-sol, mieux que les #mégabassines
Les #eaux_souterraines s’épuisent partout dans le monde. Une catastrophe qui ne cesse de s’accélérer d’après une étude publiée dans la revue Nature, qui déconseille la création de #réserves_d’eau en surface telles que les mégabassines. Des chercheurs de l’université de Santa Barbara (Californie) y présentent la plus grande évaluation de niveaux des eaux souterraines dans le monde, s’étendant sur près de 1 700 #aquifères, ces sols ou roches #réservoirs contenant des #nappes_d’eau_souterraine.
L’étude tire la sonnette d’alarme quant à l’épuisement des ressources en eau : le niveau diminue dans 71 % des réserves mesurées. Surtout, le #déclin perçu dans les années 1980 puis 1990 s’est largement accéléré depuis les années 2000. Scott Jasechko, co-auteur de l’étude et professeur agrégé à la Bren School of Environmental Science & Management, présente toutefois des motifs d’espoir par l’action humaine. Le chercheur prend l’exemple de la ville de #Tucson, en Arizona, où l’eau provenant du fleuve Colorado est utilisée pour reconstituer l’aquifère dans la vallée voisine d’#Avra.
« Moins cher, moins perturbateur et moins dangereux »
D’après lui, les #stockages_souterrains réalisés dans ces réserves déjà existantes sont bien plus efficaces et moins onéreux que les stockages d’eau en surface. « Le remplissage intentionnel des aquifères nous permet de stocker ces réserves jusqu’au moment où nous en avons besoin, indique Scott Jasechko. On peut dépenser beaucoup d’argent pour construire des infrastructures pour retenir l’eau à la surface. Mais si on a la bonne géologie, stocker de grandes quantités d’eau sous terre est moins cher, moins perturbateur et moins dangereux. »
Ce type d’intervention a toutefois participé à diminuer le débit du #Colorado. Épuisé par les activités humaines, le fleuve n’a la plupart du temps plus assez d’eau pour atteindre son embouchure dans le golfe de Californie. D’après l’étude, la seule autre solution pour contenir l’épuisement des réserves d’eau souterraines est une réglementation institutionnelle (délivrance de permis, frais d’utilisation) pour en restreindre l’accès.
▻https://reporterre.net/Stocker-l-eau-en-sous-sol-mieux-que-les-megabassines
Rapid groundwater decline and some cases of recovery in aquifers globally
Groundwater resources are vital to ecosystems and livelihoods. Excessive groundwater withdrawals can cause groundwater levels to decline1,2,3,4,5,6,7,8,9,10, resulting in seawater intrusion11, land subsidence12,13, streamflow depletion14,15,16 and wells running dry17. However, the global pace and prevalence of local groundwater declines are poorly constrained, because in situ groundwater levels have not been synthesized at the global scale. Here we analyse in situ groundwater-level trends for 170,000 monitoring wells and 1,693 aquifer systems in countries that encompass approximately 75% of global groundwater withdrawals18. We show that rapid groundwater-level declines (>0.5 m year−1) are widespread in the twenty-first century, especially in dry regions with extensive croplands. Critically, we also show that groundwater-level declines have accelerated over the past four decades in 30% of the world’s regional aquifers. This widespread acceleration in groundwater-level deepening highlights an urgent need for more effective measures to address groundwater depletion. Our analysis also reveals specific cases in which depletion trends have reversed following policy changes, managed aquifer recharge and surface-water diversions, demonstrating the potential for depleted aquifer systems to recover.
▻https://www.nature.com/articles/s41586-023-06879-8
via @freakonometrics
Mine de lithium dans l’Allier : le rapport qui dévoile une bombe toxique
▻https://disclose.ngo/fr/article/mine-de-lithium-dans-lallier-le-rapport-qui-devoile-une-bombe-toxique
Il y a un an, le gouvernement a annoncé l’ouverture, dans l’Allier, de la plus grande mine de lithium d’Europe. D’après un rapport inédit dévoilé par Disclose et Investigate Europe, le secteur, fortement contaminé à l’arsenic et au plomb, présente « un risque significatif pour l’environnement et la santé humaine ». Une véritable bombe à retardement passée sous silence par les autorités. Lire l’article
#France #Allier #lithium #extractivisme #mines #minière #pollution #arsenic #plomb #silence #omerta #environnement #risques #santé #bombe_à_retardement #Mazet #Échassières #Echassières #Mazeta #dépollution #sites_miniers #Imerys #Beauvoir #batteries #voitures_électriques #Exploitation_de_Mica_Lithinifère_par_Imerys (#Emili) #emplois #énergie #transition_énergétique #pollution_des_sols #pollution_des_eaux #sous-sols #pollution_minière #permis_d'exploration #Agnès_Pannier-Runacher #métaux_lourds #Frédéric_Dalaigre #cancers #Nades #Henri_Claude Buvat #kaolin #dérogations #nappes_phréatiques #forage #DREAL #élevage
Le rapport :
Etude sanitaire et environnementale. Secteurs des Montmins et de Nades (03)
▻https://s3.documentcloud.org/documents/24174584/rapport-geoderis.pdf
voir aussi :
Mine de lithium dans l’allier : le rapport qui dévoile une bombe toxique
▻https://www.investigate-europe.eu/fr/posts/mine-lithium--france-rapport-devoile-bombe-toxique
Des mines de lithium en #Limousin ? L’impossible débat
De l’Allier jusqu’à la #Haute-Vienne, la fièvre minière suscite la controverse.
C’est à Échassières, petit bourg de 400 habitants dans l’Allier que la multinationale #Imerys prévoit d’ouvrir la plus grande mine de lithium d’Europe et d’extraire plus d’un million de tonnes d’#oxyde_de_lithium en 25 ans. Ce volume permettra de produire 700 000 #batteries de #voitures_électriques.
C’est bien la #transition_écologique et le #tout-électrique qui font grimper les cours du lithium, rendant à présent sa prospection intéressante en Europe et en France, où les lois environnementales sont pourtant contraignantes pour les industriels. Les deux plus grand pays producteurs que sont l’#Australie et le #Chili (70 % du volume mondial) ne semblent en effet que bien peu s’embarrasser du sort des populations autochtones vivant sur les territoires miniers.
Les occidentaux font partie des plus grands consommateurs de lithium au monde. Dès lors, refuser une #extraction_locale au nom de l’écologie serait-il faire la promotion d’une « #écologie_coloniale » ? À l’inverse, peut-on parler de « transition écologique » lorsque les groupes industriels produisent à l’envie des smartphones à l’obsolescence programmée et des voitures électriques toujours plus lourdes et gourmandes type SUV, Tesla et autres ? Le débat parait impossible, tant les contradictions fusent de part et d’autre.
Dans ce reportage nous écouterons les habitants de la ville d’Échassières, des militants de #Stopmines23, Rafael Solans-Ezquerra, élu à la mairie d’#Ambazac favorable à l’extraction de lithium sur sa commune, et Laurent Richard, spécialiste des sols. À travers leurs témoignages nous entendrons peut-être qu’une sortie par le haut de cet impossible débat serait déjà de se poser la question de nos réels besoins fondamentaux. Nous les entendrons évoquer le principe de sobriété mais aussi la manière dont les industriels ont exploité les divers minerais de la région par le passé, notamment l’uranium.
▻https://telemillevaches.net/videos/des-mines-de-lithium-en-limousin-limpossible-debat
Dans l’Allier, un projet d’exploitation d’une mine de lithium divise
Le gouvernement français relance l’extraction minière. En Auvergne, un projet de mine de lithium, présenté comme vertueux pour la lutte contre le réchauffement climatique, rencontre de l’opposition.
Un projet de mine de lithium, un minerai blanc utilisé dans la fabrication, entre autres, de batteries automobiles électriques, divise la population. D’un côté, la région, le gouvernement et une société vantent un projet qui accompagnerait une stratégie globale de décarbonation. De l’autre, des citoyens et des associations craignent des retombées négatives ; pollution, effets sur l’accès au sol et à l’eau...
Mais le sujet dépasse l’Allier où la mine pourrait voir le jour, et la seule production de lithium. En effet, le gouvernement français, et au-delà, les institutions européennes, comptent relancer l’extraction minière sur le sol européen.
▻https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/la-transition-de-la-semaine/dans-l-allier-un-projet-d-exploitation-d-une-mine-de-lithium-divise-2830
Pour vivre au frais, vivons cachés !
▻https://lesjours.fr/obsessions/paris-canicule-50-degres/ep7-idees-sous-terrains
S’abriter dans les souterrains, vivre en horaires décalés : dans un Paris à 50°C, il s’agit d’être ingénieux. Question de survie.
Accueil | InfoTerre
▻http://infoterre.brgm.fr
Accédez aux données du BRGM : #cartes géologiques du 1/1 000 000 au 1/50 000, dossiers de la Banque de données du #Sous-Sol et logs géologiques, cartes des #risques naturels et industriels, données sur les eaux souterraines...
InfoTerreTM utilise exclusivement les standards de l’interopérabilité internationale édités par l’Open Geospatial Consortium (OGC). Il est cohérent avec les obligations techniques de la Directive européenne INSPIRE.
InfoTerre et son #visualiseur #cartographique sont des outils de découverte pour connaître et comprendre le sous-sol. InfoTerre offre aux professionnels de l’aménagement et au grand public un accès à la connaissance #géologique digitale et à des données géoscientifiques interopérables.
Le billet sciences. La fonte de l’#Arctique, une bombe à retardement pour la planète
▻https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-billet-vert/le-billet-sciences-la-fonte-de-larctique-une-bombe-a-retardement-pour-l
Un des facteurs probables de l’accident ["la fuite d’une cuve qui a déversé 20.000 tonnes de diesel dans une rivière" russe] est le dégel du #pergélisol, appelé également #permafrost (sol gelé en permanence qui couvre près de 25% des terres de l’arctique). Ce mélange de composé organique, de matière minérale et de glace s’enfonce jusqu’a plus d’un kilomètre de profondeur dans certaines zones de la #Sibérie.
Le dégel de ce pergélisol fragilise les #sols et menace, d’ici à 2050, jusqu’à 70% des infrastructures en Arctique, mais ce n’est pas le seul risque. Le danger est aussi bien environnemental que #sanitaire car des #méga-virus jusque-là endormis sous la #glace pourraient bien se réveiller. « Avec l’industrialisation on fait d’énormes trous dans ce pergélisol. Donc il y a un lien possible entre les #microbes qui existaient à l’époque de l’homme de #Neandertal avec les #microbes de notre époque. Ce lien a été réaffirmé par de récents travaux qui ont montré que des #virus qui dataient environ 35 000 ans étaient encore capables d’infecter leurs hôtes » estime Jean Michel Claverie, Professeur de médecine à Marseille.
En 2016 l’anthrax, une maladie bactérienne disparue depuis 75 ans, a réapparu car un cadavre infecté conservé dans la glace a refait surface avec le dégel. Le pergélisol contient aussi des #bactéries et virus que nous ne connaissons pas. On mesure alors le danger sanitaire, conséquence du réchauffement.
Le second problème est que l’Arctique est une zone à forts enjeux économiques. Les Etats ont compris l’intérêt qu’il y avait a exploiter les #sous-sol. Mais aussi de profiter de la fonte des glaces pour naviguer par ces nouvelles routes pôlaires qui font gagner des jours de #navigation.
Le développement de l’activité humaine dans cette région accentue le réchauffement climatique et ouvre une grosse boîte de Pandore. Et ce n’est pas le seul danger ! Ces sols gelés en permanence renferment le plus grand réservoir de #mercure de la planète ! Le dégel pourrait bien en libérer une grande quantité qui, par les cours d’eau et l’atmosphère, pourraient affecter les #écosystèmes à des milliers de kilomètres.
Le pergélisol renferme également 1 700 milliards de tonnes de #CO2 piégés là depuis des millénaires sous forme de matière organique gelée. C’est deux fois plus que dans l’atmosphère ! Le réchauffement climatique accentue le dégel du pergélisol. Ce dégel dégage du CO2 et accélère à son tour le réchauffement climatique. On appelle ça une boucle de rétroaction positive. « Il y a beaucoup de composés organiques qui sont gelés et donc inactivés dans le pergélisol, profitant du dégel, les bactéries s’en nourrissent, augmentent le Co2 atmosphérique, et aggravent l’effet de serre. Il est donc urgent de limiter très rapidement nos émissions de gaz à effet de serre », affirme Florent Dominé Directeur de recherche au CNRS. Faut-il croire à la folie ou la sagesse de l’humanité, la réponse se trouve dans l’Arctique et nous sommes tous concernés.
Je suis cette petite voix qui te trotte dans la tête. Cette angoisse diffuse qui monte quand tu entends parler de réchauffement climatique, de terrorisme, et de crise économique. Je suis cette mauvaise conscience qui t’amène parfois à te demander : Et si notre société s’effondrait ? »
En Occident, tout le monde peut aujourd’hui devenir survivaliste. Et pourtant, nous ne savons rien ou presque, sur eux. En France, ils seraient entre 100 000 et 150 000. On parle de 4 millions aux Etats-Unis. Ce qui est certain, c’est que leur nombre est en croissance exponentielle. En témoigne la tenue du premier « salon du survivalisme » à la Porte de la Villette en Mars 2018 qui a réuni des milliers de personnes et des dizaines de médias venus de toute l’Europe. Alexandre Pierrin est parti recueillir, partout en France, la parole de jardiniers, informaticiens ou artisans qui partagent tous la même certitude que quelque chose va se passer. Et qui s’y préparent...
▻https://www.france.tv/slash/survivre
#série #effondrement #survival #Base_autonomie_durable (#BAD) #survivaliste #survivalisme #permaculture #film #vidéo #sac_de_survie #aquaponie #auto-suffisance_alimentaire #prévoyance #sous-sol #bunker #bushcraft #alimentation #réserve_alimentaire #survie #anticipation #retour_à_la_terre #autonomie #business #armes #équipement #arts_martiaux #système_de_communication_parallèle #clans #résilience #France
Refugee : The Eritrean exodus
Série en 5 parties
Follow Chris Cotter, an American traveler, as he explores a common migration path through Ethiopia and into Israel, tracking the plight of Eritrean refugees. Chris and his crew visit several refugee camps, including the never-before-documented Afar region. The refugees tell stories of oppression, torture, and survival. Searching for solutions, Chris speaks to various NGOs and experts, including Assistant Secretary of State, Anne Richard. The outlook is bleak, but the spirit of the Eritrean refugees is hard to ignore.
▻https://www.theeritreanexodus.com
Part 1 :
▻https://www.youtube.com/watch?v=YjouQhlllLY
Part 2 :
▻https://www.youtube.com/watch?v=0WHlK12IOG8
Part 3 :
▻https://www.youtube.com/watch?v=WkDeHGb8uWA
Part 4 :
▻https://www.youtube.com/watch?v=NqP2DQe34wo&t=36s
Part 5 :
▻https://www.youtube.com/watch?v=gqS6AadI4rk
–-> Très nord-américain dans le style, mais des images des camps de réfugiés en Ethiopie très parlantes et que je n’avais jamais vues...
Je fais appel aux magnifiques seenthisien·nes !
Je me rappelle d’une #carte, que mon cher copain a prêté à quelqu’un et qui ne lui a jamais été retournée (sic), de #Sarajevo... une carte où on montrait la ville assiégée et les #jardins_potagers qui y étaient cultivés pour survivre...
La question est la suivante : savez-vous si peut-être je peux retrouver cette carte quelque part ?
Et autre question : je pense que ce phénomène de transformer les #parcs_urbains en jardins potagers lors de moments de crises n’est pas une spécialité de Sarajevo... Avez-vous d’autres exemples ? Dans d’autres lieux et/ou d’autres époques ?
Merci !
#alimentation #guerre #jardinage
@simplicissimus @reka @odilon @fil
Je n’ai pas le temps de chercher @cdb_77 mais j’ai en tête des cas de sécheresse sévère où les éleveurs sont tentés d’emmener leurs troupeaux dans les parcs protégés pour qu’ils puissent s’alimenter. C’était l’an passé, au Kenya je crois, mais je ne sais pas s’ils ont obtenu satisfaction. Et en France aussi, certains éleveurs avaient exprimé une demande dans ce sens. Peut-être peut faire une recherche sur cette base.
et là le référencement que tu cherches
▻https://seenthis.net/messages/262701
Dans pas mal de villes, les interstices ont été utilisés pour une agriculture de subsistance. Marion Ernwein saura peut-être te donner des exemples. Baltimore et Detroit,...
Pour la carte de Sarajevo, peut-être que Béatrice Tratnjek, qui a pas mal bossé sur la géo de la ville en guerre dans les Balkans, pourra t’aider ? ▻http://geographie-ville-en-guerre.blogspot.com
Régis.
Je ne sais pas s’il y a un rapport mais c’est intéressant :
Inside London’s first underground farm | The Independent
▻https://www.independent.co.uk/Business/indyventure/growing-underground-london-farm-food-waste-first-food-miles-a7562151.
At a time when UK supermarkets haven taken to rationing vegetables as a result of a poor harvest in Southern Europe, one green-fingered duo have found a new solution to the healthy-eating problem: Grow your own greens, deep down below the City of London.
If you get off the tube at Clapham Common and then step into a cage-like lift that takes you about 100ft below the bustling streets of South London, you’ll find yourself in Growing Underground, an urban farm, housed in a network of dark and dingy tunnels originally built as air-raid shelters during World War II.
A #Lisbonne, les parcs deviennent des #potagers_urbains
A Lisbonne, la municipalité a réagi à la #crise en faisant le pari que l’agriculture urbaine pouvait avoir un rôle social. Des hectares d’espaces verts sont devenus des potagers urbains, et les parcelles attribuées sur critères sociaux à 500 familles. Une façon d’augmenter leurs revenus, tout en améliorant la résilience de la ville et en répondant au changement climatique.
Et si l’agriculture urbaine pouvait avoir un rôle social ? C’est le pari qu’a fait la mairie de Lisbonne. Car avec la crise, « les gens quittaient la ville et la qualité de vie baissait », observe Duarte Mata, architecte et conseiller auprès du maire en espaces verts et développement durable.
Depuis 2008, la municipalité a décidé de revoir son approche. Au programme : jardins, vergers et potagers urbains, parcs, corridors verts et pistes cyclables pour relier tous ces espaces de respiration.
Sur 32 hectares d’espaces verts, 7 sont devenus des potagers ou des jardins urbains. Des parcelles de 50 mètres carrés pour les plus petites, 1500 mètres carrés pour les plus grandes, ont été attribuées à 500 familles. Le but est de doubler ce chiffre d’ici 2017.
Compléter les revenus, améliorer l’alimentation
Les plus grandes parcelles sont distribuées en priorité aux chômeurs ou personnes habitant des logements sociaux. « Elles ont vraiment un rôle social, insiste Duarte Mata. Elles permettent de compléter des revenus insuffisants et d’améliorer la qualité de l’alimentation de la famille. »
Mais cela a aussi transformé le visage de la ville. Les pelouses vertes laissent peu à peu place à des jardins riches en biodiversité. Les occupants de parcelles ont l’obligation de laisser le passage aux promeneurs dans les allées. « Les parcs ont désormais plusieurs fonctions : récréative, mais aussi de production alimentaire, se félicite l’architecte. Et la présence de personnes dans les jardins crée un sentiment de sécurité pour tous. »
Forte de ce succès, la ville est donc en train d’augmenter la surface des parcs, tout en diminuant les coûts d’entretien. Plus besoin d’arroser les pelouses tout l’été pour les garder bien vertes, ou d’arroser d’herbicides les allées. « Désormais, ce sont les citoyens qui s’occupent des parcs », se réjouit Duarte Mata. Des formations à l’agriculture biologique sont même proposées aux heureux occupants de parcelles.
Faire face aux pénuries alimentaires et au changement climatique
De quoi créer une ville plus verte, mais aussi plus résiliente. C’est ce que souligne un article des Centres de ressource en agriculture urbaine, qui résume le plan stratégique d’Agriculture urbaine de la capitale portugaise :
« Ce plan souligne combien l’agriculture urbaine est importante pour une ville, principalement à cause de sa dépendance aux légumes frais, de la montée des cours internationaux, et du revenu supplémentaire que cela apporte aux familles. Un autre facteur (…) est que cela permet de faire face aux éventuelles pénuries alimentaires. (…) Vous ne savez jamais ce qui peut arriver – événements soudains, catastrophes naturelles ou guerres (…). Par exemple, Lisbonne est située dans une région sismique et subit fréquemment des tremblements de terre, dont un en 1755 qui fût l’un des pires de l’histoire humaine. »
Résilience, et donc également adaptation au changement climatique. « Chaque année les pluies sont plus intenses, nous avons eu cinq inondations rien que cet hiver », souligne Duarte Mata. Les sols cultivés permettent d’absorber le trop plein d’eau et d’atténuer les conséquences des fortes averses. L’été, les jardins permettent à l’inverse de lutter contre les vagues de chaleur, elles aussi de plus en plus fréquentes.
Lisbonne n’a donc pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin. Trois hectares de vigne, situés dans la ville, sont entretenus par un vigneron de la région. « C’est beau, c’est agréable pour la population, et cela permet à la mairie de produire du vin de la ville », explique le conseiller.
Mais surtout, d’ici un an c’est carrément une ferme urbaine qui devrait voir le jour. Six hectares de maraîchage seront consacrés à la formation des chômeurs. La production sera vendue sur le marché local.
De quoi transformer le paysage social de la ville, mais aussi de « faire vivre les gens au rythme des saisons, de la nature », espère l’architecte.
▻https://reporterre.net/A-Lisbonne-les-parcs-deviennent
#agriculture_urbaine
Raphaëlle Guidée sur FB :
Mon grand-père avait son jardin potager dans #Paris pendant la guerre. Avec des poules et des oeufs pour donner des protéines à ma mère pendant le rationnement. Je ne sais pas si c’était dans un parc, je vais me renseigner.
▻https://www.facebook.com/cristina.delbiaggio/posts/10156091823775938?comment_id=10156091865940938
Benjamin Vanderlick sur FB:
je trouve une photo de terrasse potager à Sarajevo pendant le siège (mais n’ai pas de connaissance de carte qui les mentionnait). On a eu assez peu de sièges aussi long ces derniers temps pour qu’une agriculture urbaine s’organise au niveau urbain. Au moment de la 2e Guerre mondiale, il j’ai aussi eu des témoignages d’augmentation de surfaces cultivés dans les jardins, peut être même que cela était l’occasion de faire aussi un peu de business quand les revenus avaient chutés
Massimo Usel sur FB:
En #Suisse et à #Genève lors du #plan_Wahlen plusieurs parcs ont été cultivés. J’ai trouvé des photo avec google
Merci @george... et merci à tou·tes les autres : @odilon et @rd74 notamment...
et j’ajoute en fait des tags : #sous-sol #underground #souterrain #Londres
Damascus Residents Build Gardens To Feed Themselves
Disease and malnutrition run rampant and food is scarce in many rebel-held areas blockaded by the Syrian government.
Green rooftops are popping up across Damascus in neighborhoods under government siege. With no sign of the blockade letting up and no available agricultural land, residents in the rebel-held areas of the capital are making use of open roofs, sunlight and seeds to feed their families
Rebel-held areas on the outskirts of Damascus have endured more than two years of government blockades aimed at making them surrender or face the prospect of starvation. Disease and malnutrition run rampant and food is scarce.
Like in many other such areas across the country, some residents of these besieged areas have mustered the will and energy to adapt and survive, often in ingeniously creative ways.
Notably, rooftop gardens are popping up across the towns that are allowing people to find new ways of feeding themselves and their families. Green patches now dot the rooftops of southern Damascus neighborhoods like Yelda, Babila and Beit Sahem, areas of the capital that have been under government-imposed siege for nearly 24 months.
▻https://www.huffpost.com/entry/syria-war-garden_n_567481a2e4b0b958f656c7f9
"They tried to bury us, but they didn’t know we were SEEDS"
The 15th Garden, a cross-border movement for food sovereignty in Syria
Report of two presentations about “The 15th Garden” by Ansar Hevi. This report combines the presentation and discussions during a workshop at Reclaim the Seeds in Nijmegen on March 4 and a meeting in Amsterdam on March 6 2017.
Ansar Hevi shared with us her story about the 15th Garden, a beautiful, inspiring project for food sovereignty in Syria, where people show their strength via self-organization in a country in war. “In order to understand this project, we have to understand what is happening in Syria”.
Ansar showed a map of Syria - not one with occupied areas, which we always see in the news - but showing the agricultural produce. Based on this map the political situation and start of the was in Syria was explained. The media in Europe write about the violence and cruelties, but meanwhile the life goes on and so does the revolution. We were the first to watch the latest movie Field of Battle by Abou Naddara where we see farmers continuing their everyday work on the field, with the sounds of war - bombs and gunshots - close by. “They have to, because they are the ones who feed the people. If they stop farming, their community has no food.” and “Farming is about long term planning. Your work for the next 6 month.” Ansar explained how food is used as a weapon. But, as always, there is resistance from the people. She shows a picture from the south of Damascus which states: “One day we will blast the soil open with flowers. The Revolution continues.”
In 2011, the uprising started in the countryside. On the 15th of March there was a demonstration in Damascus in solidarity with the people in Egypt. On the 18th of March, there were also demonstrations in the south. People were angry at the police. Children had sprayed graffiti on the walls of their schools with sentences they’d seen in Egypt. These children were taken away, tortured. Their parents protested and screamed hopelessly, but the governor told them: “Go home, and make new children.”
It is remarkable that this were often regions were the Baath party from Assads father had been popular in the past because land reforms of this regime that was relatively socialistic in the ’70s. People had free health insurance, free education etc., but no political rights whatsoever. The government employed half of the working class. But in the meantime there were 17 secret services to control the population and each other. Also the agriculture sector was controlled by the state which is one of the reasons that it is so hard right now to start up local and an independent food production.
Since the 1990s, Syria had become more and more liberal economically. There was a dictatorship with neo-liberal policies that aligned with the bourgeoisie elites of the country. Because of reduced financial support from abroad the regime had to reduce its expenses. This resulted in the dismantling of the social system. Still, Syria was food sovereign, but farmers had to produce more export, water-intense crops instead of food for the own population. Up until 2011, agriculture was the most important pillar of the economy with 27% of the GDP (in comparison with the industry, only 7% of the GDP). Before 2011, roughly 37% of the country was used for agriculture.
But after the uprising in the countryside in 2011, everything changed. From the beginning food has been used as weapon to control the people. Around the first besieged cities the agricultural land was ruined. The army of Assad wrote on the walls “Starve or go down on your knees”. They started to undertake all kinds of methods to starve people and make them surrender. Food is used as weapon in various ways:
– bakeries are bombed;
– people in prison are starved;
– fields are burned, right before harvest time;
– seed banks are bombed, which makes many varieties, adapted to that specific climate over thousands of years, lost for ever;
– agricultural fields around Kobani are mined;
– fruit trees are cut and burned;
– urban and rural communities are sieged;
– ’policy of scorched earth’: the army goes to an area, burns the soil and forbids access to the area.
In this way, farmers have been pushed to the cities more and more. They are unable to leave the city, and so they have no other option than to start urban city farms, often on a roof. “If you’re lucky, you have a taller building next to you, so you are protected against gunfire.” Syrians are proud people. “They don’t want to be objects of development aid - they want to be in charge of their own lives: that is food sovereignty.” In besieged areas, people even exchange their car for a kilo of rice.
People do anything to obtain seeds, which they can sow in their (urban) gardens. These seeds have to be open pollinated seeds, so that the people can save more seeds for the next planting period.
While the news is extensively covering the international refugee crisis, there is less attention to the people who remain in Syria, many of whom are living under siege. With their cities under attack, it can be extremely difficult to get basic necessities, like food and fresh products. The short movie ’Love during the siege’ gives a good impression of the life in a besieged neighbourhood.
The 15th Garden is bringing life and vivacity back to these war-torn cities across Syria. It supports locals starting gardens in empty lots, teaching them skills, and provides assistance to existing urban and rural farms. Two main goals of 15th Garden is to get food to those trapped in cities while raising awareness about food sovereignty.
In Europe the 15th Garden still has to explain people about the cruel situation in Syria. There is a lot of attention for IS. “But there is an important difference between IS and regime: IS is proud about their cruelties while the regime is hiding it. In the past years many more people have been killed and injured by the regime.” There are about 50 communities besieged by the regime and 2 by IS, in one case even together with the regime.
One major obstacle has been the acquisition of seeds to get the garden projects started. The regime has always been centralised the distribution of seeds; farmers had to hand in their harvest and received new seeds the next season. And obviously the war situation and sieges made it even harder to get access the right seeds.
Another problem at the start was the lack of knowledge. Many people in the urban areas didn’t know how to grow food. And this resulted in some disappointments as well. To spread the knowledge and to educate gardeners people in Syria publish and distribute newspapers, add tutorial on Youtube and use the radio to reach people.
Ansar: “It’s beautiful to see the creativity of people, their passion, their will to make it work, and they manage!” Currently, the 15th Garden is also thinking on setting up ways to teach farmers to make and repair their own tools and machines. There are still many challenges, everybody in the network wants food sovereignty, during and after the war: decide about what you want to eat. access to land and to seeds.
Support the 15th Garden
In Amsterdam the presentation resulted in a talk about how people in the Netherlands can help and contribute to the network. Some ideas that have been mentioned:
– Collect seeds to send to Syria. It is important to collect the right seeds: open pollinated, from crops that do grow in the Syrian climate and soil, preferably crops that people like to grow. It is better to have larger quantities of a few good crop than many small bags of many different crops. It would be best to organise the packaging and transport of the seeds before we start to collect them.
– Help with the production of tutorials for the Syrian gardeners. A lot of info has already been shared on Youtube. There are still some topics uncovered.
Similar support is also organised for other professions like fire fighters and doctors.
– Spread the critical news about Syria. Also in the Netherlands people see the IS as the main problem in Syria while many more people are killed by the Assad regime. It would be good to spread the message that also Assad has to go to make peace possible. This can be done by contacting the media but as well by organising solidarity protests in the streets when something happened (again) in Syria and join Syrian protests in the cities in the Netherlands.
At the meeting in Amsterdam there were as well people who could help with awareness programmes for schools or raise the topic within Syrian women organisations.
– Raise money for the 15th Garden network. The network is doing a lot of good work but for some of their activities they need some money. A fundraiser can go well together with spreading information about the continuous struggle and revolution in Syria. This could for example be done by organising a benefit dinner. It is already possible to donate. Transfer money to:
Bassateen e.V.
IBAN: DE27 4306 0967 1182 7353 00 / BIC: GENODEM1GLS / GLS Bank
(It is a German bank account. So it could be the case that there will be charges for international charges. Please check this with your bank!)
– Invite Syrian refugees (and other refugees) to your existing garden project or start a new project with refugees. There are concrete plans to do this at a garden project at a refugees centre at the former Bijlmer Bajes.
Please contact 15thgarden-nl@aseed.net if you would like to help with one of those ideas or if you have another idea to support the 15th Garden in the Netherlands.
▻https://www.reclaimtheseeds.nl/rts2017-15th-garden-syria.htm
J’y pense, Cuba ! Sous embargo américain les habitant·es de Cuba ont développé l’agriculture urbaine. Je pense que tu trouveras facilement des références sur ces initiatives.
Dig for Victory! New histories of wartime gardening in Britain
Prompted by the curious fact that both progressive environmentalists and Conservative Party politicians have recently drawn on popular understandings of austerity associated with Britain?s wartime domestic gardening campaign, this article broadens the range of histories associated with #Dig_for_Victory. It suggests firstly that far from simply encouraging self-sufficiency, the government conceptualised Dig for Victory as requiring the extension of order and control into the domestic sphere. Second, it shows how the ideal figure of a national citizen digging for victory elided differentiated gender and class experiences of gardening, and finally the article demonstrates that statistics of food production were more about fostering trust than picturing the realities of vegetable growing. By so doing the paper illuminates the particular ways in which present-day articulations of Dig for Victory?s history are partial and selective.
▻https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0305748812000230
#UK #Angleterre
The kitchen garden movement on the Soviet home front, 1941–1945
During World War II, Britain, the United States and the Soviet Union had thriving domestic gardening movements. Actively promoted by their governments, gardening was supposed to supplement diets and nourish the patriotic spirit. In the Soviet Union, however, gardening was much more than a patriotic duty; it was often a matter of survival, the primary means of supplementing near starvation bread rations. Amidst incomparable, catastrophic wartime conditions, the huge Soviet gardening movement was distinguished by the speed with which it was implemented and taken up, predominantly by women. Based on original archival and published sources, this article examines in depth the Soviet wartime legislative framework, material resources and propaganda that promoted individual kitchen gardens. The article analyzes the way the state organized and promoted individualist, small-scale urban horticulture – a politically risky initiative given that it conflicted with the Stalinist model of large-scale, industrialized agriculture – and argues that in promoting gardening self-sufficiency, the Soviet socialist state shifted much of its responsibilities for food production onto its citizenry. The article not only aims to shed new light on the crucial role gardening played in feeding a famished citizenry but also the distinctive way in which Soviet propaganda, in giving voice to the psychological satisfaction of gardening, tapped into women’s commitments to the family, in intimate alignment with patriotic, home front defence of the Soviet Motherland.
▻https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0305748818301324
#Union_soviétique
550 Franken für Bett im Zivilschutzbunker
Nazari Juma Khan ist 25 Jahre alt, aus Afghanistan und vor gut zwei Jahren in die Schweiz geflüchtet. Er hat derzeit den Aufenthaltsstatus F, er gilt als «vorläufig aufgenommen» und wohnt in #Würenlos, Kanton Aargau, in einer Asylunterkunft. Für diese Unterkunft, bestehend aus einer Matratze in einem Massenlager, einer Küche und Aufenthaltsräumen muss er monatlich netto 550 Franken bezahlen. Mit seinem 30%-Job verdient Nazari Juma Khan nur gut 1000 Franken pro Monat, für die Behörden zu wenig, um damit eine eigene Wohnung zu finanzieren. Er hat keine andere Wahl als für 550 Franken in der Zivilschutzanlage zu wohnen.
Firma aus Pratteln profitiert
Betrieben wird diese Anlage von der Firma #ABS aus Pratteln. Auf Anfrage sagt Hans Klaus, Sprecher von ABS, der Preis von 550 Franken sei gerechtfertigt. Neben dem Bett zum Schlafen bekomme der Asylsuchende auch eine Küche und einen Aufenthaltsraum den er mitbenützen könnte und es sei auch ab und zu ein Betreuer vor Ort, um den Asylsuchenden zu helfen.
Patrizia Bertschi vom Verein «Netzwerk Asyl Aargau» ist mit der Argumentation der Firma ABS ganz und gar nicht einverstanden. Sie sagt, das sei ein absoluter Wucherpreis, den der Flüchtling bezahlen müsse. Im Kanton Aargau müssten Flüchtlinge in der Situation von Nazari Juma Khan normalerweise um die 300 Franken bezahlen.
Sozialarbeiterverband nicht überrascht
Nicht überrascht über den konkreten Fall ist Stefanie Seidlitz vom Berufsverband der Sozialarbeiterinnen und -Arbeiter. Missstände bei der Wohnsituation von Flüchtlingen treffe sie immer wieder an. Den Grund dafür sieht sie unter anderem darin, dass in diesem Bereich viele Leute ohne Fachausbildung arbeiteten. Gegen solche Missstände vorzugehen, sei auch nicht immer einfach, sagt Seidlitz: Viele Gemeinden wollten gar nichts damit zu tun haben und gäben alles an Private ab.
Une partie du reportage radio transcrit:
Flüchtlinge zahlen nicht mehr 550 Franken für Bett in Bunker
In Würenlos musste ein Flüchtling für ein Bett im Zivilschutzbunker 550 Franken bezahlen. Nun hat die Gemeinde reagiert.
▻https://www.srf.ch/news/regional/basel-baselland/gemeinde-reagiert-fluechtlinge-zahlen-nicht-mehr-550-franken-fuer-bett-in-bunker
Des #bunkers de luxe pour des survivalistes millionnaires
Aux Etats Unis, ils seraient quelques 5 millions de citoyens à se préparer à ce que leur pays sombre dans le chaos et à devoir se débrouiller seuls. Certains préparent leur kit de survie, pendant que d’autres voient les choses en grand et pour longtemps.
▻https://www.rts.ch/play/tv/mise-au-point/video/des-bunkers-de-luxe-pour-des-survivalistes-millionnaires?id=9345570
#sous-sol #souterrain #survie #USA #Etats-Unis #survival
L’Islande utilise plus d’énergie pour les cryptomonnaies que pour ses logements RTBF - Belga - 13 Février 2018
▻https://www.rtbf.be/info/economie/detail_l-islande-utilise-plus-d-energie-pour-les-cryptomonnaies-que-pour-ses-lo
Le « minage » de cryptomonnaies en Islande pourrait consommer plus d’énergie électrique que les logements au cours de l’année 2018, indique mardi la compagnie énergétique Hitaveita Sudurnesja Orkas sur la BBC.
Selon le porte-parole de la compagnie, Johann Snorri Sigurbergsson, les centres informatiques sont de plus en plus nombreux sur l’île. Souvent, il s’agit d’entreprises qui veulent se « verdir ». La quasi totalité de l’énergie islandaise est issue de sources renouvelables, comme la géothermie ou l’hydraulique.
▻https://www.youtube.com/watch?v=FGhP9U-3bLs
Mais ces centres sont également utilisés pour le minage. Et ces fermes de minage, des entrepôts abritant des ordinateurs puissants qui créent des Bitcoin ou d’autres cryptomonnaies en résolvant des calculs complexes, ont besoin d’énormément d’énergie. Et leur nombre grandissant pourrait mettre l’Islande dans une situation délicate, puisque sa production énergétique pourrait ne plus couvrir la demande.D’après Johann Snorri Sigerbgsson, la consommation des fermes de minage - notamment pour refroidir les ordinateurs - sera de 840 GWh annuellement. L’ensemble des ménages islandais consomment 700 GWh sur la même période.
#énergie #géothermie #hydraulique #gaspillage #Islande #cryptomonnaies #bitcoin #économie #blockchain #crypto-monnaie
L’Islande, ses volcans, ses geysers... et ses bitcoins
Au coeur des champs de lave islandais, se dresse une fabrique de bitcoins parmi les plus grandes au monde. Atelier hightech qui produit de l’or virtuel, le site est ultra-sécurisé et sa localisation précise est tenue secrète pour éviter les convoitises.
Grâce à ses sous-sols gorgés d’eau chaude qui fournissent de l’électricité en abondance et à bon prix, l’Islande est devenue un paradis pour les « mineurs » de cryptomonnaies comme le bitcoin, émis par des serveurs aussi puissants qu’énergivores.
Migrant Hostages : A Lucrative Business in Turkey
Last week’s discovery of 96 Pakistani and Afghan migrants who had spent a month chained in an Istanbul basement was met with reactions of shock and horror. The men had paid traffickers between four and five thousand lira to cross into Turkey with the intention of eventually reaching Europe. Upon arriving in Istanbul, they were locked in a basement, with their captors demanding that the men call their families to inform them they had arrived in Europe, and ask for money. Those who refused were tortured. Fortunately, one of the men was able to get a hold of a key. After he released the others, they banded together to attack their captors and then summoned help.
▻http://www.bmigration.com/migrants-hostage-turkey
#Turquie #otages #business #asile #migrations #réfugiés #torture #chaînes #Istanbul #sous-terrain #sous-sol #esclavage #esclavage_moderne
L’#urbanisme #souterrain fait son trou
Comme d’autre métropoles, #Paris veut développer l’utilisation de son sous-sol. Construire sous terre est vu de plus en plus comme un moyen de densifier la ville et d’en limiter l’#étalement.
▻http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/11/24/l-urbanisme-souterrain-fait-son-trou_5219539_3234.html
#sous-sol #urban_matter #densification #villes
Chine : la tribu des rats
Plus d’un million de Chinois vivent dans les sous-sols de la capitale chinoise, constituant ce que la presse chinoise a qualifié de « #Tribu_des_rats ».
Culture. Plongée dans les sous-sols endormis de Paris
La capitale française compte plus de 300 kilomètres de #outerrains. Un journal britannique nous emmène dans ce monde où tout reste à inventer.
Je rappelle ici le travail photographique d’@albertocampiphoto sur les #égouts de #Genève :
#Israël veut se protéger contre les tunnels
BERSABÉE, Israël — Un officier supérieur de l’armée israélienne a déclaré dimanche que les travaux de construction d’une immense barrière souterraine le long de la frontière avec la bande de #Gaza seront terminés d’ici quelques mois.
▻http://journalmetro.com/monde/1027173/israel-veut-se-proteger-contre-les-tunnels
#Palestine #murs #barrières_frontalières #verticalité #sous-sol #frontières
cc @albertocampiphoto @daphne @clemencel @marty
via @ElisabethVallet
“The Israeli government’s plan to build a concrete wall tens of meters underground as well as aboveground along the Gaza Strip border”
▻http://www.maannews.com/Content.aspx?id=771902
#wall #border #israel #palestine #gaza
@reka @cdb_77 @albertocampiphoto
#barrières_frontalières mais aussi #sous-sol #underground #souterrain #Israël #Palestine
Et du coup.... #verticalité
Israel to build underground wall around Gaza Strip
Yedioth Ahronoth reveals Israel’s plan to build a concrete wall tens of meters deep underground and aboveground to counter the threat of Hamas attack tunnels. Senior defense official: ’a confrontation with Hamas is inevitable, it must be the last one.’
Immersion photo dans les #égouts de #Paris
▻http://fr.actuphoto.com/35487-immersion-photo-dans-les-egouts-de-paris.html
#sous-sol #photographie
cc @albertocampiphoto
Et le #film #documentaire réalisé par les étudiants de master de géographie à l’Université de Genève sur les #égoutiers de Genève :
▻https://mediaserver.unige.ch/play/80058
Filmer les égouts de Genève
Egouts-Dégouts : travailler à l’abri des regards donne la parole aux égoutiers de Genève. En capturant l’atmosphère particulière des égouts, la caméra s’invite dans le quotidien de ceux qui font vivre la ville souterraine.
▻https://coupdetrafalgar.files.wordpress.com/2014/01/tunnel.jpg?w=1472&h=982
▻https://coupdetrafalgar.files.wordpress.com/2014/01/vers-le-haut.jpg?w=1488&h=1000
▻https://coupdetrafalgar.net/2014/01/26/filmer-les-egouts-de-geneve
avec des photos de’ @albertocampiphoto
Le reportage photo d’Alberto:
►http://www.albertocampiphoto.com/underground-geneva
Vers un nouvel urbanisme souterrain : des métropoles engagées
Après avoir consommé une grande partie du foncier disponible en surface, après s’être étendues en hauteur, et même sur la mer, certaines grandes métropoles mondiales ont atteint leurs limites d’urbanisation et de densification. Le sous-sol peut alors représenter une opportunité d’expansion et d’aménagement durables.
En France, l’utilisation du sous-sol est relativement répandue, mais limitée pour l’essentiel à des usages techniques (réseaux de gaz, d’électricité, etc.) et à des opérations ponctuelles qui connaissent des limites quant à leur profondeur et leur affectation, du fait de règles spécifiques, notamment en matière de protection contre les risques d’incendie et de santé publique. En outre, il n’existe pas en France de planification urbaine de l’espace souterrain [Cocquière, 2015]. D’autres pays offrent des exemples de démarches d’aménagement souterrain élaborées et innovantes : au regard de l’envergure du projet, des moyens technologiques mis en oeuvre et/ou de la démarche de planification avancée. Ces expériences pourraient constituer une source d’inspiration pour le développement d’un urbanisme souterrain en France.
▻http://www.iau-idf.fr/savoir-faire/nos-travaux/edition/vers-un-nouvel-urbanisme-souterrain-des-metropoles-engagees.html
#sous-sol #urbanisme_souterrain #urban_matter
Im Aargau werden Asylsuchende bald in Spitalkellern untergebracht
Der Kanton Aargau schafft weitere Plätze für neu eintreffende Asylbewerber. Er will künftig in den unterirdisch gelegenen, so genannten Geschützten Operationsstellen (GOPS) der Spitäler Baden, Laufenburg, Muri und Aarau Unterkünfte einrichten.
▻http://www.aargauerzeitung.ch/aargau/im-aargau-werden-asylsuchende-bald-in-spitalkellern-untergebracht-12
#Suisse #abris_pc #logement #hébergement #Argovie #asile #migration #réfugiés #bunkers #sous-sol
Asylunterkünfte: Kanton Aargau sucht dringend neue Plätze
Der Kanton Aargau sucht dringend weitere Plätze für neu eintreffende Asylbewerber. Er will künftig auch in unterirdisch gelegenen Räumen Unterkünfte einrichten. Zum Beispiel in den sogenannten Geschützten Operationsstellen (Gops) einiger Aargauer Spitäler.
▻http://www.srf.ch/news/regional/aargau-solothurn/asylunterkuenfte-kanton-aargau-sucht-dringend-neue-plaetze
Zusätzliche Unterbringungsmöglichkeiten für Asylsuchende
Geschützte Operationsstellen in den Spitälern werden vorbereitet
▻https://www.ag.ch/de/weiteres/aktuelles/medienportal/medienmitteilung/medienmitteilungen/mediendetails_43076.jsp
Asylunterkunft Menziken: Hochuli verspielt das Vertrauen
Der Sozialdienst hat am Dienstag mit der Belegung der Menziker Asylunterkunft «Sternen» begonnen – obschon die Gemeinde ein Umnutzungsgesuch verlangt hatte. Warum scheint es Susanne Hochuli auf eine Eskalation abgesehen zu haben? Der Kommentar. von Urs Moser
▻http://www.aargauerzeitung.ch/aargau/asylunterkunft-menziken-hochuli-verspielt-das-vertrauen-129320135
Trotz Verfügung und Petition: Asylsuchende beziehen den «Sternen»
Der Kantonale Sozialdienst hat am Dienstag mit der Belegung der umstrittenen Asylunterkunft «Sternen» begonnen – obschon die Gemeinde ein Umnutzungsgesuch verlangt hatte und erst Anfang Juli eine Petition gegen die Unterkunft übergeben wurde.
▻http://www.aargauerzeitung.ch/aargau/trotz-verfuegung-und-petition-asylsuchende-beziehen-den-sternen-1293
Menziken: Asylbewerber ziehen in den «Sternen» ein
Der Gemeinderat Menziken hatte verfügt, dass vor der Einquartierung von Asylsuchenden im Rahmen des Baubewilligungsverfahrens ein Umnutzungsgesuch eingereicht werden muss. Gegen diese Verfügung reichte der Kantonale Sozialdienst Anfang dieser Woche Beschwerde ein.
▻http://www.srf.ch/news/regional/aargau-solothurn/menziken-asylbewerber-ziehen-in-den-sternen-ein
Überraschend: Erste Asylbewerber in Menziken
Empörung auch bei den Menzikern. Der Kanton hat heute unerwartet 10 bis 15 Asylbewerber im ehemaligen Hotel Sternen einquartiert. Und dies obwohl die Proteste gegen die Unterkunft noch im vollen Gange sind.
▻http://www.telem1.ch/35-show-aktuell/5118-episode-dienstag-7-juli-2015#polizei-sagt-einbrueche-in-wuerenlos-voraus
#Hotel_Sternen #Hôtel_Sternen
Erste Asylsuchende ziehen in #Menziken ein
Schwierige Unterbringungssituation und juristische Auseinandersetzung
▻https://www.ag.ch/de/weiteres/aktuelles/medienportal/medienmitteilung/medienmitteilungen/mediendetails_43055.jsp
Living in a hole in the ground in District Six
▻http://groundup.org.za/features/holeground/holeground.html
La quasi totalité des réserves d’eau françaises contaminées par les pesticides | Jean-Sébastien Herpin
►http://jsherpin.wordpress.com/2013/07/25/la-quasi-totalite-des-reserves-deau-francaises-contaminees-par-l
Dans une étude datée du 22 juillet dernier, le Commissariat général au Développement durable, montre que la contamination des cours d’eau français par les #pesticides est « quasi généralisée ».
#eau, #nappes, #pollution
#sous-solPire encore, les réserves du sous-sol sont également atteintes. Selon l’étude :
« les contaminations des nappes phréatiques par les pesticides sont essentiellement localisées, pour les plus fortes, en région Centre, dans les Charentes, le Vaucluse, les Alpes de Haute-Provence, en Martinique, ainsi qu’au Sud de la Guyane et de Basse Terre en Guadeloupe, avec des concentrations totales de pesticides dépassant 0,5 µg/l (norme de qualité DCE). Au nord de l’Hexagone, en nord Bretagne, dans le couloir rhodanien et le Sud-Ouest, les concentrations totales en pesticides des nappes sont fréquemment supérieures à 0,1 µg/l. Les nappes sous couverture argileuse (en Aquitaine et à l’est du bassin parisien) et les nappes de montagne, est et sud du Massif Central, Pyrénées, Alpes, sont les plus préservées puisqu’aucun pesticide n’y est détecté. »
Underground Geneva
by @albertocampiphoto
Ce travail a été dirigé par la prof. Juliet Fall dans le cadre de l’atelier de Master “Films documentaires en géographie politique et culturelle” et publié dans le journal LaCité. Un voyage pensé pour découvrir les structures souterraines de la ville de Genève, les lieux cachés sous nos pieds et pour rencontrer les gens qui y travaillent ou y vivent. Pour faire ce reportage dans les égouts en compagnie des élèves cinéastes, j’ai été guidé par une équipe des #Services_industriels_genevois (#SIG). Outre les égouts, nous avons étudié aussi quelques autres lieux : un hôpital d’urgences souterrain, des grottes pour la culture des champignons, un centre de recherche scientifique et des parkings souterrains.
#Genève #underground #souterrain #égouts #égoutiers #sous-sol #photographie
Pour voir le #film réalisé par les étudiants :
▻http://webtv.unige.ch/ses/index.html?emission=film-d-etudiants&videoID=filmetudiants_geo_egouts
Underground. The Spectacle of the Invisible
It is impossible to imagine what our life would be like without all the underground train stations, shopping centers and cinemas, without the tunnels and water reservoirs. The world under the ground is immensely ramified and moves between possibility, idea and necessity. Additional space is made underground, also to keep things that are worth protecting, that are secret, or even dangerous. This applies to bank vaults, government bunkers or final disposal sites but also to the “underground” movement, which takes over cellars of all kinds. Other people spend entire days underground because they work or find shelter there. Using photographs, models or films the exhibition shows significant national and international buildings and presents the underground as a habitat that in the future will probably shape our everyday life to a far greater extent.
▻http://www.museum-gestaltung.ch/en/exhibitions/annual-program-2014/underground