• Hécatombe dans la Tech : plus de 130.000 licenciements en 2022 Sylvain Rolland - La Tribune
    https://www.latribune.fr/technos-medias/internet/hecatombe-dans-la-tech-plus-de-130-000-licenciements-en-2022-940762.html

    Après des licenciements chez Meta (Facebook), Snap, Twitter, Stripe, Uber ou encore #Salesforce, Amazon pourrait lui aussi renvoyer plus de 10.000 salariés dans le monde, d’après la presse américaine. Si le plan social du géant du e-commerce était confirmé, plus de 130.000 emplois auront été supprimés dans le secteur de la tech en 2022.

    A eux seuls, les cinq Gafam - Google, Apple, Facebook devenu Meta, Amazon et Microsoft - ont perdu 1.500 milliards de dollars de valorisation cette année. (Crédits : DADO RUVIC)
    A chaque semaine son plan social massif dans la tech. Au début du mois, le nouveau Twitter dirigé par Elon Musk annonçait 3.700 licenciements dans le monde, soit plus de 50% des effectifs de l’entreprise. La semaine suivante, Meta ( #Facebook, #Instagram, #WhatsApp) lui a emboîté le pas avec 11.000 suppressions d’emplois (13% des effectifs). Cette semaine, c’est au tour d’Amazon de se joindre au cortège macabre : d’après le New York Times , le numéro un mondial du commerce et ligne et du cloud s’apprête à se séparer de 10.000 employés. A qui le tour la semaine prochaine ?

    Plus de 131.000 licenciements dans la tech en 2022
    Si les plans sociaux des géants de la tech font les gros titres, le phénomène touche tout le monde, jusqu’à la petite startup. Au 15 novembre, plus de 121.400 emplois ont été supprimés dans 789 entreprises tech, d’après le décompte du site Layoffs.fyi https://layoffs.fyi . Dès qu’Amazon confirmera son plan social, ce total dépassera les 131.400 suppressions d’emplois, pour 790 entreprises. Ce chiffre est même certainement sous-évalué, puisqu’il se base uniquement sur des chiffres annoncés par les entreprises, certaines n’ayant certainement pas communiqué sur leurs réductions d’effectifs.

    A titre de comparaison, le record de suppressions d’emplois lors de l’éclatement de la bulle internet de 2000-2001 est largement dépassé : cette première grosse crise du secteur technologique avait engendré le licenciement de 107.000 personnes. Toutefois, la taille du secteur en 2022 n’a rien de comparable. Comme les chiffres sur la situation de l’emploi mondial dans la tech en 2001 manquent, il faut prendre la comparaison avec des pincettes , et ne pas oublier que 131.400 emplois en 2022 représentent une part beaucoup plus faible du total des emplois tech que les 107.000 poste supprimés de 2001.

    Cette année, les entreprises qui ont le plus licencié sont Meta (11.000 emplois) puis Amazon (10.000), #Uber (7.300 en mai), #Gettir (4480 en mai), #Booking.com (3.775 en juillet) et Twitter (3.700 en novembre). D’après le décompte, 34 entreprises ont effectué des plans sociaux d’au moins 1.000 salariés, dont #Shopify (1.000), #Stripe (1.000), #Yelp (1.000), #Lyft (1.682), #Airbnb (1.900) ou encore #Salesforce (2.000). Près de 400 grosses startups ont supprimé entre 100 et 1.000 postes.

    Proportionnellement au nombre d’employés, plus de 300 entreprises ont perdu au moins 30% de leur force de travail cette année. Parmi les géants de la tech, #Twitter (50%), #Groupon (44%) ou encore #Magic_Leap (1.000 suppressions soit 50%) sont les plus touchés. Au niveau des secteurs, tous sont touchés mais ceux de la crypto et de la finance ont particulièrement dégusté : 30% des emplois supprimés pour #Crypto.com, 27% pour #Bitpanda, 25% pour #Blockchain.com et 20% pour #Coinbase, entre autres, du côté des crypto ; 90% pour #ScaleFactor, 50% pour #Renmoney, 42% pour #Fundbox, 27% pour #Bolt, 23% pour #Robinhood, 10% pour #Klarna, entre autres, du côté des #fintech. Les startups dans la #foodtech, l’éducation, la santé, les transports ou le marketing ont aussi été très impactées.

    La tech avait aussi du gras à couper *
    Cet hiver de la tech -cune référence à la série Game of thrones et son fameux "winter is coming"c-, est la preuve que le secteur n’est pas insensible à la conjoncture de l’économie mondiale. Si les startups ont été les grandes gagnantes de la crise du Covid-19, qui a accéléré la transformation numérique de tous les secteurs d’activité, comme le reste de l’économie, les voilà rattrapées par le retour de l’inflation, l’explosion des taux d’intérêts, la crise de l’énergie et de ravitaillement en matières premières, ou encore les conséquences de la guerre en Ukraine.

    Alors que les valorisations des entreprises tech avaient explosé depuis 2020, les géants du secteur subissent depuis quelques mois une forte correction en Bourse. A eux seuls, les cinq #Gafam - #Google, #Apple, #Facebook devenu #Meta, #Amazon et #Microsoft - ont perdu 1.500 milliards de dollars de valorisation cette année. Par effet ricochet, la valorisation des #startups, qui avait atteint des niveaux délirants, chute lors des levées de fonds, entraînant des difficultés nouvelles pour les entrepreneurs. De leur côté, les fonds d’investissement réalisent moins de deals, prennent davantage de temps pour clôturer ceux qu’ils mènent à bien, et se montrent plus frileux, d’autant plus que leurs propres investisseurs tendent à privilégier des investissements moins risqués que la tech avec le relèvement des taux d’intérêts.

    Pour certaines entreprises, notamment les très grosses startups et les géants comme Amazon, Meta ou Snap (1.200 employés licenciés soit 20%), la correction paraît particulièrement violente. Mais c’est aussi parce qu’il y avait du gras à couper. Chez #Snap comme chez #Meta, les dirigeants ont taillé dans les divisions annexes pour se concentrer sur le cœur du business.

    De son côté, Amazon, par exemple, avait embauché à tour de bras pendant la pandémie pour répondre à l’explosion de la demande : son personnel mondial a doublé entre début 2020 et début 2022. D’après le New York Times, les postes visés par les réductions d’effectifs seront situés dans le département Amazon Devices (les appareils électroniques équipés de l’assistant vocal #Alexa ou encore les liseuses #Kindle ), dans la division de vente au détail, ainsi que dans les ressources humaines.

    • Amazon : 18 000 licenciements annoncés
      https://journal.lutte-ouvriere.org/2023/01/11/amazon-18-000-licenciements-annonces_467573.html

      Après le milliardaire de Tesla, Elon Musk, #Jeff_Bezos a lui aussi subi une dégringolade du cours de ses actions et perd 100 milliards de dollars depuis le 1er janvier. Résultat : il vient lui aussi d’annoncer un plan de 18 000 #licenciements dans le monde.

      Il a suffi de l’annonce d’une légère baisse de ses activités, et donc ensuite d’une possible légère baisse des #dividendes, pour assister à cette dégringolade de plus de moitié du cours des actions d’Amazon en un an, soit 1000 milliards de dollars de capitalisation. Dans ces circonstances, Bezos recourt à l’annonce de licenciements massifs, qui devrait faire revenir vers lui l’argent des « investisseurs ».

      Les problèmes des salariés jetés à la rue ne sont pas un paramètre qui compte dans les calculs financiers des milliardaires. C’est le travail des centaines de milliers de salariés du groupe, mal payés, avec de conditions de travail exténuantes, qui fait monter jusqu’au ciel la fortune de Bezos, devenu l’homme le plus riche du monde. Aujourd’hui ceux qu’il menace de licenciement ont toutes les raisons de faire payer ce capitaliste qui possède encore en propre près de 100 milliards de dollars.

  • Amazon’s Data Dragnet
    https://www.techtransparencyproject.org/articles/amazons-data-dragnet

    Amazon is expanding into every corner of people’s lives with its growing list of products and services. That’s allowing it to collect far more data about its users than many people realize. Facebook, Google, and Twitter have faced hard questions about the data they collect on their users and what they do with that information. Often lost in this justifiable alarm over online privacy, however, is a platform that knows a staggering amount about its customers’ home lives, spending habits, and (...)

    #WholeFoods #Amazon #Ring #AmazonWebServices-AWS #AmazonsPrime #algorithme #Alexa #cookies #domotique #Echo #InternetOfThings #Kindle #famille #géolocalisation #domination #données #émotions #BigData #CloudComputing #domicile #écoutes #finance (...)

    ##surveillance ##publicité ##voisinage ##voix ##consommation

  • Apple bloque une mise à jour de Facebook visant à informer les utilisateurs de la « taxe Apple »
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2020/08/28/apple-bloque-une-mise-a-jour-de-facebook-visant-a-informer-les-utilisateurs-

    L’entreprise de Cupertino, qui impose depuis des années une taxe de 30 % sur tous les achats réalisés au sein des applications iOS, fait face à une gronde grandissante depuis plusieurs semaines. Epic n’est plus seul dans sa guerre contre la « taxe Apple ». En faisant bannir d’iOS son jeu-phare Fortnite, pour avoir tenté de détourner le système selon lequel Apple perçoit 30 % des revenus sur les achats réalisés dans les applications pour iPhone et iPad, l’éditeur de jeux vidéo a réveillé les frustrations (...)

    #Apple #EpicGames #Facebook #AppleStore #Netflix #Spotify #algorithme #iPad #iPhone #Kindle #domination #bénéfices (...)

    ##lutte

  • The Hate Store : Amazon’s Self-Publishing Arm Is a Haven for White Supremacists — ProPublica
    https://www.propublica.org/article/the-hate-store-amazons-self-publishing-arm-is-a-haven-for-white-supremac

    The company gives extremists and neo-Nazis banned from other platforms unprecedented access to a mainstream audience — and even promotes their books. “Give me, a white man, a reason to live,” a user posted to the anonymous message board 4chan in the summer of 2017. “Should I get a hobby. What interests can I pursue to save myself from total despair. How do you go on living.” A fellow user had a suggestion : “Please write a concise book of only factual indisputable information exposing the Jews,” (...)

    #Amazon #Kindle #haine #racisme #sexisme #antisémitisme

  • Amazon : How Bezos built his data machine
    https://www.bbc.co.uk/news/extra/CLQYZENMBI/amazon-data

    Why Amazon knows so much about you You might call me an Amazon super-user. I’ve been a customer since 1999, and rely on it for everything from grass seed to birthday gifts. There are Echo speakers dotted throughout my home, Ring cameras inside and out, a Fire TV set-top box in the living room and an ageing Kindle e-reader by my bedside. I submitted a data subject access request, asking Amazon to disclose everything it knows about me Scanning through the hundreds of files I received in (...)

    #Ring #Target #Amazon #algorithme #Alexa #domotique #Echo #Fire_TV #Kindle #domination #bénéfices #BigData #data #DataBrokers #profiling #santé (...)

    ##santé ##microtargeting

  • ’They know us better than we know ourselves’ : how Amazon tracked my last two years of reading | Technology | The Guardian
    https://www.theguardian.com/technology/2020/feb/03/amazon-kindle-data-reading-tracking-privacy

    Amazon knows more than just what books I’ve read and when – it knows which parts of them I liked the most When I requested my personal information from Amazon this month under California’s new privacy law, I received mostly what I expected : my order history, shipping information and customer support chat logs. But tucked into the dozens of files were also two Excel spreadsheets, more than 20,000 lines each, with titles, time stamps and actions detailing my reading habits on the Kindle app on (...)

    #Amazon #algorithme #iPhone #Kindle #profiling #surveillance #microtargeting #livre

    https://i.guim.co.uk/img/media/685ab4e3287c099667feeafd8d50ce386ffeca70/0_154_4928_2957/master/4928.jpg

  • Est-il encore possible d’arrêter Amazon ?
    https://korii.slate.fr/biz/tech-amazon-jeff-bezos-croissance-omnipresence-pouvoir-danger-democratie

    Deux articles soulignent la puissance exorbitante et universelle qu’ont pris Jeff Bezos et son entreprise, ainsi que le risque qu’elle fait peser sur les démocraties. Est-il possible d’arrêter Amazon ? C’est la question posée par un article publié par The New Yorker, qui permet de découvrir la trajectoire de l’entreprise, l’étendue de ses activités, ses controverses les plus médiatisées ainsi que l’avenir du commerce américain. L’auteur de l’article, Charles Duhigg, explore surtout une idée (...)

    #Amazon #algorithme #Echo #Alexa #Kindle #FirePhone #domotique #Fire_TV #domination #bénéfices (...)

    ##FTC

  • Amazon : les arnaques sur Kindle Unlimited n’en finiront donc jamais
    https://www.actualitte.com/article/lecture-numerique/amazon-les-arnaques-sur-kindle-unlimited-n-en-finiront-donc-jamais/89583

    Rémunérer les auteurs à la page... quelle connerie !

    La méthode est connue : Kindle Unlimited rémunère au nombre de pages lues, mais par un problème informatique – et toujours pas résolu ! – la firme n’est pas en mesure de calculer les pages, juste de situer l’endroit du livre où se trouve le lecteur. Et par conséquent, en déduit le nombre de pages lues, et la rémunération en conséquence.

    L’objectif est donc simple : créer des ebooks avec 3000 pages, et faire passer le lecteur de la page 1 à 3000 en une fraction de seconde. Rusé, non ?

    Amazon vient de préciser deux ou trois éléments sur le mode de calcul de ces fameuses pages lues, jurant qu’il travaille « régulièrement pour améliorer la fidélité du système KENPC, qui mesure le nombre de pages lues ». Comment expliquer que le Kindle Edition Normalized Page Count ne soit pas plus fonctionnel, dans ce cas ? Mystère.

    Dans la grande majorité des cas, indique Amazon, KENPC dans sa version 3 enregistre les pages lues « avec un haut degré de précision ». Cependant, pour « quelques cas restants, tels que les appareils très anciens, nous utilisons plusieurs processus et technologies (manuels et automatisés), pour mesurer avec précision les pages lues ».

    Autrement dit, quand c’est trop vieux, ça marche moins bien – message sous-jacent : n’oubliez pas de vous procurer les derniers appareils de lecture de la firme.

    En somme, aucune explication probante, et aucune remise en cause de la part du cybermarchand. Au contraire, en fait, les escrocs savent désormais que tout un vieux parc de machines de lectures les attend pour continuer leurs petites manipulations. Il faudra attendre, et attendre encore, que tout le monde ait renouvelé ses outils de lecture.

    Pour mémoire, Amazon abonde un fonds chaque mois, pour payer les auteurs indépendants et les éditeurs qui alimentent le catalogue. Au niveau mondial, il s’élève pour le mois de mai à 19 millions €.

    « De plus, nous allons à nouveau distribuer des bonus “KDP Select All-Stars” aux auteurs et aux titres les plus lus aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Allemagne pour le mois de mai. Pour octroyer ces bonus, nous nous baserons sur le total des Pages normalisées de l’édition Kindle (KENP) lues au cours du mois. Nous récompenserons également les livres illustrés pour enfants avec de nouveaux bonus qui seront attribués aux 100 albums les plus lus aux États-Unis et aux 25 meilleurs titres au Royaume-Uni », indique la firme.

    #Amazon #Kindle #Droits_auteurs

  • Richard Stallman e il compagno smartphone - l’Espresso
    http://espresso.repubblica.it/visioni/tecnologia/2016/08/08/news/richard-stallman-e-il-compagno-smartphone-1.279873?ref=HEF_RULLO

    A tutti gli agenti dell’#Nsa e dell’Fbi impegnati a leggere questa mail: in nome della Costituzione americana mi appello a voi affinché seguiate l’esempio di #Edward_Snowden». L’originale inciso in capo alla mail rivela le attitudini politiche e comunicative di Richard Stallman, attivista e intellettuale newyorkese capofila del movimento per il software libero: «Ci troviamo tutti implicati nostro malgrado in un perfetto panopticon tecnologico», spiega il padre del copyleft: «La sorveglianza digitale di massa è ormai un fenomeno globale».

    Stallman, una laurea in fisica ad Harvard e altre nove “honoris” causa sparse per il globo, persegue con tenace coerenza la sua filosofia: l’unica opposizione efficace alla violazione dei diritti nel Web è il ricorso a programmi non proprietari, liberi di essere studiati, modificati, copiati e ridistribuiti. «Laddove tutto questo è vietato», sostiene il presidente della Free Software Foundation, «siamo di fronte a software in grado di reperire informazioni dal nostro computer e dalla nostra vita privata».

    Assistiamo a una mediatizzazione sempre più pervasiva delle nostre esistenze. Da un lato smartphone e computer hanno rotto il monopolio dei mezzi unidirezionali come la televisione, dall’altro sembrano diventati imprescindibili per le nostre esistenze.
    «La democrazia e le libertà individuali sono a repentaglio ugualmente. Avere un cellulare oggi significa essere costantemente sotto la minaccia della tracciabilità. E non solo. Ogni dispositivo ha una backdoor universale comandabile da remoto che può trasformare in qualsiasi momento il nostro microfono in un registratore permanente. Anche se non stiamo parlando al telefono o ad apparecchio spento. È quello che ho chiamato “ #Stalin’s_dream ”, il sogno di Stalin. L’unica soluzione è usarli il meno possibile. Una democrazia che si rispetti sa tutelare i suoi cittadini, a partire dai suoi dissidenti».

    Lei si è apertamente schierato contro i più grandi colossi dell’hi-tech come #Apple e #Microsoft. Che cosa imputa a queste compagnie?
    «Innanzitutto impediscono l’accesso ai codici sorgenti dei loro programmi ostacolando qualsiasi cambiamento. Per me i prodotti Apple si dovrebbero chiamare tutti “ #iPrison ”, in quanto minano alla base le libertà informatiche dal momento che accettano solo programmi sviluppati esclusivamente dalla compagnia. Ogni foto o video prodotto su un dispositivo Apple finisce immediatamente sui server della compagnia. Il livello di censura è allarmante: una applicazione di nome Metadata+ che svelava informazioni sugli attacchi nel mondo da parte dei droni statunitensi è stata bloccata per ben cinque volte. Lo stesso avviene su servizi che riguardano il diritto all’aborto o l’occupazione dei Territori palestinesi. La Microsoft ha inserito intenzionalmente su Windows dei bug e backdoor per modifiche unilaterali a distanza. Per non parlare del controllo che esercita: #Windows 10 ha per esempio tredici schermate di opzioni sulla sorveglianza di difficilissima disattivazione. Ognuna di queste compagnie produce #software intenzionati a captare informazioni ai propri utenti. Ricorrere ai software liberi è sempre più urgente».

    Le sue critiche non hanno risparmiato neanche #Amazon e la tecnologia e-book.
    «I #Kindle sono diventati un buon indice del livello toccato da queste compagnie che in nome dei principi neoliberisti hanno perso ogni scrupolo. Se per usufruire di un libro non avevi bisogno di alcuna tecnologia segreta, né firmare alcun contratto, né essere identificato o dare informazioni su quali sono le tue letture, con gli e-book s il mondo si è rovesciato. Non puoi prestare un file né tanto meno rivenderne uno “usato”. Ma soprattutto sei costretto ad usare carta di credito e pertanto a essere tracciato. Come su Amazon e nell’e-commerce in genere».

    Esistono delle contromisure per garantire la propria privacy?
    «Innanzitutto non dare mai informazioni e dati personali a siti Web. Non uso la carta di credito se non per acquistare biglietti aerei, sempre su browser liberi come Tor in grado di rispettare l’anonimato. Accetto solo cookies temporanei e i siti che non rispettano le mie condizioni, semplicemente li evito. Come del resto Facebook: la sua unica funzione è quella di raccogliere dati sulla nostra vita e le persone che ci circondano. Il sogno di ogni agenzia di spionaggio. Scoraggio chiunque a postare foto mie e di altre persone, è il modo più semplice per rintracciarne la posizione. Non ricorro mai al cloud computing (immagazzinamenti on line della memoria, ndr). Anche se detesto questa terminologia, non affido a nessuno la mia memoria elettronica: consegnarla ad un esterno significa consentirne l’accesso perenne».

    Veniamo alla politica. In Italia c’è il Movimento 5 Stelle che nasce dalla Rete inseguendo il sogno di una democrazia diretta basata sul voto on line. Che cosa ne pensa?
    «Non affiderei per nessuna ragione al mondo qualsiasi consultazione elettorale a un computer o a software informatici. Negli Usa questa tentazione sta prendendo piede e ne sono fondamentalmente preoccupato. Per quanto riguarda il Movimento 5 Stelle ho criticato con veemenza il ricorso a programmi proprietari come Meetup e l’uso di tablet delle grandi compagnie. Se vuoi batterti seriamente per la libertà, il primo passo per un partito sviluppatosi attraverso Internet è la coerenza negli strumenti a cui ricorri».

    Nelle scorse settimane gli Stati Uniti sono stati scossi dal ritorno di un acceso scontro razziale. L’ennesimo assassinio di un afroamericano trasmesso in diretta su Facebook, l’attentato di Dallas e infine le proteste del gruppo Black Lives Matter con arresti di massa tra i manifestanti...
    «È paradossale che da un prodotto come #Facebook per cui nutro un profondo disaccordo nasca una denuncia così costruttiva. Credo che questa però sia una battaglia tutta politica, una guerra alla povertà. Non è solo razzismo, abbiamo una parte consistente di poliziotti violenti che si protegge credendosi al di sopra della legge. Credo che oggi essere un poliziotto inteso come pubblico ufficiale negli States sia eroico. In Italia dovreste ricordare quanto successo al G8 di Genova. Solo un’esigua minoranza denuncia i soprusi. A questa violenza repressiva di sistema si aggiunge una discriminazione politica. Seguendo le politiche neocon di non tassazione dei ricchi, si mira a colpire i più deboli. Che in molti casi non hanno accesso al voto dal momento che l’id card (la carta d’identità che garantisce l’accesso al voto, ndr) ha costi in termini di tempo e denaro inaccessibili per molti. Infine la presenza massiccia di armi acuisce la gravità degli abusi e delle reazioni di protesta. Condanno nel modo più totale le risposte violente e gli omicidi di poliziotti, ma l’equazione tra violenza della repressione e violenza dell’oppresso resta per me inaccettabile».

    Tutto questo potrebbe avere una ricaduta sulle elezioni di novembre in un contesto internazionale incandescente, tra guerre, terrorismo globale e fenomeni d’immigrazione che suscitano reazioni di chiusura.
    «Ero un acceso sostenitore di Bernie Sanders. Hillary Clinton e Donald Trump, come del resto Obama, appartengono alla stessa categoria. Siamo in piena plutocrazia, comandano i miliardari. Basti pensare al disastro della guerra in Iraq e all’alleanza ingiustificabile con quella che io chiamo “Arabia Salafita” (Arabia Saudita, ndr) che propaga la Sharia, senza rispetto per i diritti umani. Obama, nonostante abbia evitato guerre aperte, ha perseverato nell’usare i droni che fanno molte vittime civili; sarebbe più intelligente bombardare Daesh in campo aperto sovvenzionando le forze locali. Ah, smettiamo di chiamarlo “Stato Islamico”, non rappresenta in alcun modo il variegato mondo musulmano, prima vera vittima del terrorismo. Per il futuro sono molto pessimista: in qualche decade, tra guerre e riscaldamento globale, non so ipotizzare quali saranno le conseguenze di fronte ai milioni di rifugiati in fuga alla ricerca delle più banali forme di sopravvivenza».

    #Richard_Stallman #open_source #privacy

    • ha ha ! trop drôle ! ça me rappelle mon début de carrière, au milieu des années 1980, un éditeur que je ne nommerai pas m’avait proposé de me payer... au nombre de cm2 que je couvrais dans le livre :)

  • Le jardin ferme, il n’était pas ouvert | Carnet de notes
    https://n.survol.fr/n/le-jardin-ferme-il-netait-pas-ouvert

    Il suffira qu’un jour vous ayez envie d’aller à la concurrence… Vous ne pourrez y transférer aucun livre sous #DRM #Kindle.

    Une prison dorée, c’est pratique, agréable, mais c’est une #prison quand même. Plus on y reste, plus il est coûteux d’en sortir.

    #ebook

  • Non, on ne mémorise pas moins bien sur Kindle que sur papier !
    http://lafeuille.blog.lemonde.fr/2014/09/12/non-on-ne-memorise-pas-moins-bien-sur-kindle-que-sur-papier

    Récemment, une étude a fait le tour de la presse internationale (Guardian, New York Times, Rue89...) et j’étais un peu énervé de la synthèse qui en était faite, qui semblait un nouveau pavé dans la mare du sempiternel débat autour de l’électronique et du papier... En fait, le constat qu’on mémorise moins bien au format numérique qu’au format papier me semble si éloigné de la réalité des pratiques et des constats des experts ("Quand on observe de près les effets des écrans sur le cerveau, on constate que le support informatique ne change pas grand-chose à la lecture" dit Stanislas Dehaene), que j’ai voulu en savoir plus.

    Xavier de la Porte sur la même étude jeudi 11 :
    http://www.franceculture.fr/emission-place-de-la-toile-place-de-la-toile-2014-09-11

    #Cognition #Corps_humain #Design #EBook #Kindle #Lecture #Liseuse #Livre #Livre_électronique #Numérique

  • Des #livres, des lecteurs, des lectures

    #Anne_Mangen, chercheuse de l’université de Stavanger, a mené une expérience pour évaluer la manière dont un lecteur appréhende un texte lu sur support #papier, comparativement à la manière dont est reçu le même texte lu sur #liseuse #Kindle. Chaque sujet devait lire la même nouvelle de vingt-huit pages1 puis répondre à des questions sur différents aspects du texte : personnages, intrigue, lieux, objets. Les résultats obtenus tendent surtout à indiquer une confusion significative, chez les lecteurs qui utilisent un Kindle, dans la reconstitution de l’enchaînement des événements du récit. La réponse émotionnelle au texte de chacun des groupes n’était, en revanche, pas différente. Les lecteurs sur Kindle avaient légèrement mieux mémorisé les objets mentionnés dans le texte.

    http://hyperbate.fr/dernier/?p=31255#identifier_0_31255

  • Après une expérience pas trop réussite avec une #tablette, je me demandais si quelqu’un peut me donner des conseils pour l’éventuel achat d’un #ebook_reader type #kindle pour lire des #ebooks.
    Car je me vois mal partir une année à Amsterdam et devoir lire des livres en hollandais...

    A quoi il faut faire attention ?
    J’imagine le format des fichiers que cet appareil peut lire —> est-ce qu’il y a la possibilité pour certains de lire des pdf ?
    Est-ce possible de convertir les formats assez facilement ? Est-ce possible de contourner amazon, si jamais je décidait pour un kindle ?

    Je pense qu’il y a aussi différentes façon de stocker les ebooks : est-ce qu’il y en a que je ne peux partager ? Qui s’autodétruisent après lecture ?

    Bref, quelqu’un a une expérience à partager sur cet objet ?

    @fil : des idées ?

    • J’ai choisi une Kobo Mini parce que :
      1. Ce n’est vraiment pas cher
      2. Une fois initialisée, tu peux l’utiliser à ta guise, sans être lié à la Fnac ou à Kobo
      3. Lit le format standard (epub, pdf, txt et le format des BD numériques)
      4. Tu peux gérer des livres avec Calibre sur ton ordi, pour avoir des doubles. Tu peux générer tes livres avec Calibre à partir de fichiers Amazon, il parait, mais je ne l’ai jamais fait.

      Sinon, si tu aimes être libre et autonome (et que tu as plus de sous que moi), tu as les CyBook de Sony dont les gros lecteurs me disent le plus grand bien.

      Pour des questions de confort de lecture et d’autonomie, j’ai préféré un ebook à une tablette. Et aussi parce que je sais par expérience que si tu as une tablette, tu vas être tout le temps distrait de son acte de lecture.

      Après, il y a la question du rétro-éclairage. Je ne sais pas. C’est vrai que, des fois, je n’ai pas assez de lumière pour lire et c’est chiant. Mais je n’ai pas trouvé que la fonctionnalité valait le prix à payer.

      Sur les ebooks eux-mêmes
      En France, l’offre est pauvre, vraiment pauvre et de mauvaise qualité. Pas possible, comme dans la plupart des pays anglosaxons, de s’abonner à tes magazines... c’est ballot, parce que ce serait une fonctionnalité intéressante. Sauf au Monde Diplo, il y a une offre numérique à télécharger sur le site, mais les epub mériteraient un meilleur formatage.

      En dehors du fait que des tas de livres intéressants sortent sans version numérique, ceux qui sont numérisés sont très souvent sous DRM adobe et la plupart des librairies en ligne ne se sentent pas obligées de te le signaler lors de l’acte d’achat. Le DRM Adobe te force à enregistrer chaque ebook chez adobe via un logiciel dédié. Cela verrouille l’utilisation de ton livre dont tu ne peux pas vraiment faire une copie de sauvegarde. C’est intrusif et ça fait chier d’être fliqué quand tu as fait l’effort de sortir le porte-monnaie.
      De toute manière, sous Linux, tu n’as pas le logiciel Adobe, donc tu ne peux pas récupérer et lire un livre avec DRM que tu aurais acheté.

      Du coup, je passe mon temps à râler auprès des auteurs et éditeurs pour obtenir des versions sans DRM. Sinon, je n’achète pas. Le plus con, c’est que les utilisateurs Windows ont publié des tas de tuto pour déplomber les DRM : donc, ils sont nettement plus dans la culture pirate que les Linuxiens.

      Sinon, j’utilise Calibre pour créer des ebooks à partir des fils rss de mes sites préférés : lecture tranquille aux chiottes. J’utilise aussi dotEpub pour générer des ebooks à la volée à partir de pages fournies du web et je gère ensuite avec Calibre.
      En dernier recours, je vais sur TeamAlexandriz pour récupérer de la lecture partagée. La Team a fermé, mais les livres sont encore récupérables. Il doit exister d’autres ressources, mais je ne les connais pas.
      Cela dit, je tiens à préciser que j’utilise cette solution comme expédient, à cause de la qualité médiocre des catalogues des éditeurs.

      Je ne sais plus où, il existe une liste d’Éditeurs qui ont choisi de vendre leur catalogue sans DRM comme l’Atalante ou le Diable Vauvert. Comme par hasard, ils ont un très beau catalogue et du coup, tu n’as pas besoin de les pirater.

    • Puisque tu demandes mon avis :) Je n’aime pas les liseuses électroniques.

      Je préfère soit lire en papier, soit lire des PDF (voire même des epub) sur mon ordi (notamment pour les livres techniques/documentaires).

      Pourquoi l’ordi ? Tout simplement parce que je l’ai toujours avec moi (pas la peine d’avoir un bidule en plus, avec chargeur etc) ; parce qu’il est facile de copier/coller les passages qui m’intéressent ; parce que la lenteur, quand on veut tourner la page sur les e-bidules, provoque chez moi des bouffées de haine (à chaque page) !

      Amsterdam est une super ville, tu trouveras de belles librairies (et des bibliothèques, et des groupes de lecteurs…) avec tes langues préférées. Pour l’anglais il faut semble-t-il aller  :

    • Moi aussi, @raphael, je suis d’accord avec toi, mais quand on est vagabond comme moi... c’est bien plus pratique des livres numérisés que des cartons à transporter à droite et à gauche d’un pays à l’autre !
       ;o

    • Un peu comme @cdb_77, j’ai le syndrome du piano à queue (d’ailleurs, j’ai fait du piano, même si je pense aujourd’hui que pour des raisons pratiques, il vaut mieux faire du violon ou tout autre instrument portable).

      Mon dernier déménagement a été particulièrement éprouvant, entre les meubles habituels, mais surtout les bibliothèques et le reste. Des bibliothèques bien pleines, c’est un peu comme un ancre qui te garde au port.

      Étant gosse — déjà grosse lectrice — je crois que c’était dans Anna et ses sœurs de Joseph Joffo, l’auteur explique que si les Juifs de son récit ont eu tellement de mal à fuir, c’est à cause du piano à queue, cet objet magnifique qui fait leur fierté et qui rend, quelque part, l’idée de fuite et de chaos totalement absurde. J’ai ressenti un peu la même chose avec mes bouquins.

      Quand j’ai quitté la maison à la majorité, j’ai donné toute ma bibliothèque d’enfance, tout, absolument tout, mais j’ai recommencé immédiatement à m’acheter des livres et de nouveau, je suis confrontée au côté terriblement tangible de leur présence.

      À moment donné, j’ai rempli le dernier rayon de la dernière étagère, après avoir fait des doubles rangées, des traverses horizontales et quelques pyramides incertaines, de ci, de là, et d’un coup, je me suis juste dit : « ça suffit ».

      Surtout que l’entropie guette déjà dans la piaule de la gamine, et que des livres arrivent toujours à entrer en fraude à la maison.

      Bref, j’ai de plus en plus la sensation qu’il faut voyager léger et pas seulement quand on part au loin, et de ce point de vue, le livre électronique répond à mon cahier des charges, totalement.
      Sans compter que cet entassement d’objets à usage unique (combien de livres relisez-vous réellement plusieurs fois ?) dans des mausolées dont ils ne ressortiront plus, ça heurte mes convictions profondes sur le matérialisme.

      Bien sûr, si l’électricité vient à manquer, tout ce savoir dématérialisé disparaîtra très rapidement, encore qu’avec un chargeur solaire, on pourra faire durer le plaisir encore un moment.

    • Mais c’est à ça que servent les bibliothèques, les bouquinistes, les sites de vente par internet… et les amis !

  • Goodreads, un autre méchant.

    Parmi les services en ligne dont je souhaite me débarrasser, il y a #Goodreads, le site de partage de notes de lectures, de référencement et de découverte de livres. Un site aux apparences charmantes et pratiques pour faire des listes de bouquins, pour soi ou pour partager des recommandations avec les copains ou des inconnus. Comme le reste, tout ça sent l’œuf pourri depuis le début, mais c’est tellement simple d’utilisation et les copains sont dessus, on peut échanger avec des auteurs, blabla...

    Dans les faits, je préfère alimenter le blog que je tiens essentiellement pour moi ou pourrir les timelines de seenthis , je le sais, mais au final, tous ces services profitent du mal n°1 de l’internaute : la #flemme. Parce qu’en général, j’essaye de broder un peu qand je poste un truc, c’est rare que je me contente de faire une liste tandis que sur goodreads, rien à carrer, l’#isbn un clic et hop. Broder, ça demande d’assembler deux neurones, d’écrire des embryons de phrases et essayer d’avoir l’air cultivé et intelligent.

    C’est pas faute de voir des grincheux se plaindre depuis longtemps :
    http://www.jackiedanicki.com/http:/www.jackiedanicki.com/goodreads-is-evil
    ou de râler moi-même, contre telle fonctionnalité, #spam ou connexion automatique non voulue.

    C’est au moment où je m’apprête à franchir le pas et me casser de la plateforme, que je découvre un argument supplémentaire de taille : Goodreads a été racheté par #Amazon ! - Maïmaï ! - Ce qui fait que tous les sites - ou presque, qui tournent autour du bouquin en langue anglaise (dont Library Thing) sont propriété d’amazon, en ligne directe ou via l’une ou l’autre de ses filiales comme #abebooks ! Pas mal l’hégémonie du libraire-killer : du livre au #Kindle, au profilage des biblis persos au print on demand, pas un pas sans bata, pas une ligne de publiée sans Jeff.

    Amazon buys Goodreads
    http://www.wired.co.uk/news/archive/2013-03/30/amazon-goodread
    Turning My Back on Goodreads
    http://www.huffingtonpost.com/katie-fransen/turning-my-back-on-goodre_b_2980155.html
    Amazon buys Goodreads : We’re all just data now
    http://www.salon.com/2013/03/31/amazon_buys_goodreads_were_all_just_data_now

    Du coup, ça y’est, je vais rabattre mon amour du partage de mon point de vue non-autorisé pour les livres de gare et autres goûts de chiottes sur seenthis.

    #livres #libraires #data #donnees

    ps : il est possible d’exporter vos données goodreads en .cvs avant de demander l’écrasement de votre compte.

  • KindleUnpack (MobiUnpack): Extracts text, images and metadata from #Kindle/#Mobi files
    http://www.mobileread.com/forums/showthread.php?t=61986

    KindleUnpack is a set of python script that takes a Kindle/Mobipocket ebook and extracts the HTML, images and metadata contained in the ebook, and puts them in a form suitable for passing to KindleGen.

    For anyone not interested in KindeGen and KF8, there’s a copy of the last version of the single-file script, #mobiunpack 0.32.

    repéré par @baroug, permet de savoir à quoi ressemble un fichier mobi d’#ebook
    Hint : <font size=7>

  • Le magazine sur Kindle !
    http://numeriterature.com/2012/11/30/le-magazine-sur-kindle

    Certains me l’avaient réclamé à grands cris, et je leur avais promis de me pencher sur la question… Comme je suis homme de parole et n’aime pas faire les choses à moitié (et vantard avec ça !), j’ai voulu attendre de pouvoir garantir aux lecteurs un fichier de qualité. Voilà qui me semble maintenant acquis ! Détenteurs de Kindle, je vous souhaite donc une excellente lecture !

    →Numéritérature Magazine N°1.mobi←
    (http://ubuntuone.com/5W37Kg8cbK7W3eeLW8Ev08)
    →Numéritérature Magazine N°2.mobi←
    (http://ubuntuone.com/6e8Ue7P3M42X1Hb3LQJhtt)
    →Numéritérature Magazine N°3.mobi←
    (http://ubuntuone.com/32CGTQJOZkHvIeQiSXTO5A)
    →Numéritérature Magazine N°4.mobi←
    (http://ubuntuone.com/523uOmjtoH8ftK9zIioSQL)

    Pour plus d’information sur ce que renferme chaque numéro, je vous invite à consulter la page magazine (qui reprend le sommaire de chacun). Et n’hésitez pas, du reste, à m’adresser vos remarques sur ledit contenu ou encore à propos d’éventuels défauts de conception…

    Enfin, même si j’offrirai dorénavant les deux types de fichier, Je tiens à redire que l’ePub reste pour moi le format de référence, que ce soit pour mon magazine ou la lecture numérique en général. En tant que standard ouvert, c’est lui que j’encourage autant que possible à privilégier (il est d’ailleurs le plus répandu et le mieux soutenu des conteneurs dédiés à la lecture)… Sur ce, je m’en vais vous concocter le 5e numéro du magazine. À bientôt !

    #Magazine #eBook #mobi #Kindle

  • Les nouvelles Kindle Paperwhite et Fire HD officialisées
    http://neosting.net/materiel/les-nouvelles-kindle-paperwhite-et-fire-hd-officialisees.html

    Amazon, par l’intermédiaire de son fondateur Jeff Bezos, a révélé ce 6 septembre 2012 à Santa Monica ses nouvelles tablettes Kindle. Une nouvelle Fire HD qui double sa puissance et son stockage (16Go) et qui sera vendue 159 dollars, avec une résolution en... Full HD, soit ...

    #amazon #kindle #kindle-fire-hd #kindle-paperwhite #specifications

  • Taïga en #eBook (#Amazon #Kindle)
    http://www.amazon.fr/Ta%C3%AFga-ebook/dp/B007AKGX2C

    C’est ma première expérience de publication chez #Amazon, et je constate que c’est beaucoup plus ouvert que chez #Apple
    (on peut aussi l’acheter en papier chez TheBookEdition ou en passant à la maison www.thebookedition.com/taiga-de-sonia-ebn-ikai-p-49846.html )

    cc : @jasmine

    PS : je ne suis pas responsable du tag #fille que #seenthis vient d’accoler à ce message — l’I.A. est particulièrement développée ou quoi ?