enuncombatdouteux

NI ACTUALITÉS NI COMMENTAIRES, ..... DU COPIER-COLLER ET DES LIENS... Un blog de « curation de contenu » : 82 LIVRES , 171 TEXTES et 34 DOCUMENTAIRES :

  • Décalotter son garçon est une agression sexuelle ! – Prévention des violences sexuelles
    https://prevention-violencessexuelles.com/2018/01/18/decalotter-son-garcon-est-une-agression-sexuelle

    « Aucune étude n’a étudié auparavant les représentations et vécus des deux parents sur le décalottage de leurs garçons. Une thèse de médecine générale en 2002 a essayé d’étudier par questionnaire les connaissances et avis des mères sur le décalottage. La majorité pensait qu’il fallait décalotter leur fils. La majorité d’entre elles ont coché la case peu ou moyennement informé, et la case geste non anodin. Dans notre étude les 2/3 des mères pensent que le décalottage est un geste à faire, et la majorité des parents se sentent insuffisamment informés sur le sujet. »

    L’Assurance maladie prodigue des conseils santé à destination de tous les français. Or, l’institution explique clairement que s’agissant du phimosis du nourrisson et du très jeune enfant, « c’est un phénomène normal, puisque le nouveau-né présente un prépuce long, avec un orifice souvent étroit, qui adhère au gland. Généralement, cela n’a aucune conséquence gênante et disparaît spontanément. En effet, avec la croissance du pénis et l’apparition des premières érections, le prépuce s’assouplit peu à peu. Le gland se décalotte et se recalotte alors facilement, le phimosis disparaît ainsi naturellement. Chez la plupart des garçons, cette évolution spontanée advient, en général, avant l’âge de cinq ans. Parfois, elle a lieu plus tardivement dans l’enfance, voire à la puberté ».

    Aussi, l’Assurance maladie nous explique que le décalottage complet du gland est possible chez :

    seulement 4% des nouveau-nés,
    50% des enfants de 3 ans,
    99% des garçons à l’adolescence.
    Par conséquent, l’Assurance maladie nous invite à retenir qu’il est déconseillé de tenter un décalottage forcé. Car c’est douloureux et traumatisant.