• MANIFESTE : Libérez les enfants de l’emprise du numérique !

    Alors que l’infrastructure numérique de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) passe presque entièrement aux mains de géants comme Google et Microsoft, le Manifeste qui suit se positionne pour un système d’apprentissage numérique alternatif où les droits fondamentaux sont garantis.
    https://www.curseurs.be/numeros/numero-2/article/manifeste-liberez-les-enfants-de-l-emprise-du-numerique

    #ecole #education #belgique #numérique #gafam #logiciels_libres

  • L’école du futur
    Quatre observations

    https://www.curseurs.be/numeros/numero-2/article/l-ecole-du-futur

    L’éducation doit voir juste dans un monde qui change, l’éducation doit voir net dans un monde trouble. Sous les lumières des préoccupations de l’éducation, le numérique affiche différents contours : éduquer au numérique, à sa compréhension, son utilisation ou sa transformation ; ou éduquer par le numérique, avec ses outils, ses facilitations et ses opportunités.

    #education #ecole #numerique

  • Nucléaire : l’ASN présente les pistes d’amélioration de la culture du risque des riverains
    https://www.actu-environnement.com/ae/news/piste-amelioration-culture-risque-nucmeaire-asn-44063.php4
    En 2022 je médisais sur l’invisibilisation du risque nucléaire
    https://seenthis.net/messages/943176
    Promis juré, je ne le ferai plus parce que tout ça c’est fini, c’est du passé, maintenant on va tout vous dire.
    Dans le #nucléaire l’heure est à la transparence ... pour les riverains !
    #riverain c’est quel rayon déjà ? 10 km ?
    Après il faut reconnaitre que depuis Tchernobyl et Fukushima l’industrie nucléaire a beaucoup travaillé à la réduction de la taille des nuages :/

  • #Référentiel général de l’#écoconception des services #numériques | Arcep
    https://www.arcep.fr/mes-demarches-et-services/entreprises/fiches-pratiques/referentiel-general-ecoconception-services-numeriques.html

    L’écoconception des équipements et services numériques fait partie des leviers identifiés pour inverser la tendance en réduisant l’empreinte environnementale du numérique. Ce terme désigne « l’intégration des caractéristiques environnementales dans la conception du produit en vue d’améliorer la performance environnementale du produit tout au long de son cycle de vie ».

    Le référentiel général de l’écoconception des services numériques est un document technique destiné aux experts et métiers du numérique souhaitant mettre en œuvre une démarche d’écoconception pour un service(sites, applications, IA, logiciels, API). Il a été élaboré par l’Arcep et l’Arcom, en collaboraiton avec l’ADEME, la DINUM, la CNIL et l’Inria.

    Les 78 fiches pratiques du référentiel détaillent les critères essentiels à prendre en compte pour réduire l’impact environnemental d’un service. Elles listent ainsi les questions à se poser au moment de l’écoconception d’un service, et proposent des moyens de mise en œuvre, puis de test ou de contrôle.

  • Contre le développement de l’aérodrome d’Albertville
    https://carfree.fr/index.php/2024/05/16/contre-le-developpement-de-laerodrome-dalbertville

    Les vallées sont déjà envahies de voitures, ils veulent envahir aussi le ciel. Signez la pétition contre le développement de l’aérodrome d’Albertville pour préserver nos montagnes. Fin 2019, suite au Lire la suite...

    #Destruction_de_la_planète #Fin_du_pétrole #Pétitions #Réchauffement_climatique #aéroport #albertville #avions #bruit #hélicologisme #montagne #nuisances

  • 07/05/2024 - Guerre en Ukraine et sûreté nucléaire - CRIIRAD
    https://www.criirad.org/07-05-2024-guerre-en-ukraine-et-surete-nucleaire

    le 13 avril 2024 : le réacteur N°4 de la centrale nucléaire de Zaporijjia a été enfin transféré de l’état « arrêt à chaud » à l’état « arrêt à froid ».
    Les 6 réacteurs sont donc désormais tous en arrêt à froid.

    À Zaporijjia, la baisse de la température dans le circuit primaire de chacun des 6 réacteurs, du fait du passage en arrêt à froid, fait qu’en cas de perte des capacités de refroidissement, les opérateurs ont plus de temps pour trouver des solutions de secours avant que le combustible nucléaire ne commence à fondre et que soient réunies les conditions de situations explosives.
    Encore faut-t-il pouvoir disposer d’eau, d’électricité, de personnel, d’équipements fonctionnels et d’une organisation efficace. Or, aucun de ces éléments ne répond aux critères habituels de sûreté.

    #nucléaire

  • Utopie nucléaire | À propos de Kate Brown, Plutopia. Une histoire des premières villes atomiques, par Thibault Le Texier
    https://www.en-attendant-nadeau.fr/2024/05/07/utopie-nucleaire-kate-brown

    C’est un livre sur deux villes-usines, bâties dans des lieux pauvres et reculés à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, qui fabriquent en secret du #plutonium militaire. Deux villes jumelles appartenant à l’État mais gérées par des chefs d’entreprise. Deux villes prospères et familiales entourées de barbelées et de communautés précaires. Deux villes sous la surveillance permanente d’agents de la sûreté nationale, d’informateurs et de médecins. Deux villes où la santé publique et l’environnement ont été sacrifiés à l’impératif de produire vite et à moindre coût. L’une se situe dans l’extrême nord-ouest des États-Unis, à #Richland ; l’autre en Russie, dans le sud de l’Oural, à #Ozersk. En quarante ans, les usines de plutonium de ces deux villes ont émis chacune l’équivalent de deux Tchernobyl. Des catastrophes nucléaires au ralenti.

    #nucléaire #projet_Manhattan #pollution #DuPont

  • Mai 2024
    ~22 people stranded on an islet in the #Evros river, by #Kastanies !

    The group say there are children and people who need urgent medical care. They report some of them have been pushed back to #Türkiye before and fear it happening again. @Hellenicpolice: assist them now!


    https://twitter.com/alarm_phone/status/1786506051719725182

    #limbe #zone_frontalière #île #Evros #asile #migrations #réfugiés #frontières #fleuve_Evros #Turquie #Grèce #Thrace #îlots
    #nudité

    –-

    ajouté à la métaliste sur #métaliste sur des #réfugiés abandonnés sur des #îlots dans la région de l’#Evros, #frontière_terrestre entre la #Grèce et la #Turquie :
    https://seenthis.net/messages/953343

  • Suisse : Le canton de Vaud exige des communes la conservation d’archives papier RTS

    Les communes vaudoises entassent des tonnes de papier. C’est une conséquence directe de la loi cantonale sur l’archivage, qui les contraint à conserver certaines traces de leurs activités en format papier. Les documents doivent être imprimés et conservés en suivant des règles strictes, une pratique qui peut sembler désuète à l’heure du tout numérique.

    La conservation indéfinie d’une série de documents spécifiques sur un support durable et résistant, à savoir du papier de haute qualité, est imposée aux communes vaudoises. Ces documents témoignent des décisions prises par les autorités locales, comme les municipalités et les conseils communaux ou conseils généraux, et incluent des éléments tels que les procès-verbaux. Certaines communes possèdent même aujourd’hui des documents archivés il y a plus de 600 ans.

    Lundi dans La Matinale de la RTS, Fabrice de Icco, le préfet du district du Jura-Nord vaudois, souligne que le format de conservation des archives est toujours le même, à savoir du papier relié. Ceci est dû à la législation vaudoise qui garantit la pérennité des archives.

    « C’est parfois même plusieurs siècles de procès-verbaux, cela peut donc prendre de la place », souligne-t-il. Mais selon lui, les communes, habituées à cette responsabilité, sont généralement bien équipées avec des locaux adaptés.

    Papier ou numérique, les enjeux de la conservation
    En parallèle, le stockage informatique est possible, mais il est complexe, selon la directrice des Archives cantonales vaudoises Delphine Friedmann. « Des infrastructures spécifiques sont nécessaires pour garantir une consultation aussi souvent que souhaitée. Pour faciliter sa recherche ultérieure, chaque information doit être correctement identifiée et référencée », explique-t-elle.

    Elle souligne également qu’en fin de compte la conservation à long terme de l’information numérique engendre des coûts et une complexité qui dépassent ceux du stockage sur papier.

    A souligner que, dans les cantons du Valais et de Fribourg, il n’existe pas d’obligation légale de conserver les archives en version papier.

    #Archive #Archives #Histoire #papier #pérennité #stockage #recherche #coûts et #complexité du #numérique

    Source : https://www.rts.ch/info/regions/vaud/2024/article/le-canton-de-vaud-exige-des-communes-la-conservation-d-archives-papier-28485912.

  • Pour l’amour de l’automobile : retour sur l’histoire de nos désirs
    http://carfree.fr/index.php/2024/04/30/pour-lamour-de-lautomobile-retour-sur-lhistoire-de-nos-desirs

    Voici un article de l’économiste allemand Wolfgang Sachs publié initialement en 1984 et traduit en anglais en 1992 dans la revue Carbusters. Il s’agit d’un extrait du livre « For Love Lire la suite...

    #Fin_de_l'automobile #Insécurité_routière #Livres #Ressources #allemagne #consommation #culture #économie #féminisme #histoire #motorisation #nuisances #société #Suisse

  • Tangui Morlier
    https://mstdn.fr/@teymour/112354630248009180

    Vous serez à #Paris entre le 15 juillet et le 8 septembre ? Vous souhaitez savoir quels impacts auront les restrictions des #jo2024 sur votre quotidien ?

    https://CartoDesJO.fr est fait pour vous !

    Vous y découvrirez que :

    – 63,80% de Paris va être interdite à la circulation à un moment des Jeux olympiques et paralympiques #jop2024
    – 8% de la capitale va être soumise à un dispositif anti-terroriste
    – vous ferez sans doute l’objet de surveillances par intelligence artificielle #Technopolice

  • Au Maroc, Bruno Le Maire vante la transition énergétique comme nouveau levier de la relance avec la France
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/04/29/au-maroc-bruno-le-maire-vante-la-transition-energetique-comme-nouveau-levier

    .... Bruno Le Maire, qui s’est rendu deux fois au Maroc en six mois, l’a répété : « Une politique sans #économie, c’est comme un moteur sans essence, ça n’avance pas. » ... BLM, qui a la main sur l’#énergie depuis le remaniement gouvernemental de janvier, a choisi le nouveau carburant du couple franco-marocain : la transition énergétique. L’Agence française de développement (AFD) prêtera 350 millions d’euros à l’Office chérifien des phosphates (OCP) pour soutenir les investissements du géant des engrais dans la #décarbonation. Un programme sur l’#hydrogène vert sera également lancé entre le groupe marocain et la banque publique d’investissement Bpifrance.

    Le locataire de Bercy a précisé par ailleurs voir « une complémentarité évidente » entre la relance de la filière française des panneaux #photovoltaïques et les capacités « exceptionnelles » du Maroc dans l’énergie solaire. Les panneaux qui seront fabriqués dans les futures giga-usines de Fos-sur-mer (Bouches-du-Rhône) et Sarreguemines (Moselle) pourraient servir au Maroc, alors que plus de 90 % de la production mondiale de ces panneaux vient de Chine.
    Plus surprenant a été l’accord du gouvernement français pour une coopération avec Rabat dans le #nucléaire. Les petits réacteurs modulaires, dont Emmanuel Macron souhaite doter la France d’un premier prototype d’ici à 2030, pourraient être utiles au #dessalement de l’eau de mer, sur lequel le #Maroc mise.

    Fraises, tomates, agrumes, melons charentais, tous pesticidés, phosphates et zones de loisirs contre « autoroute électrique » et, si tout va bien, Airbus.

    Avec des jolies mentions

    L’ancien ministre de l’industrie et de l’énergie, Eric Besson, qui dirige au Maroc la société suisse Sicpa, est tout aussi catégorique : « Les Marocains ont moins besoin de la France. Nous aurons une bonne relation à l’avenir, mais elle ne sera pas aussi exclusive qu’auparavant. »

    et « Au Maghreb, (...) recentrage de la France vers le Maroc »
    https://justpaste.it/8adgt

    #onestleschampions #Chine

  • Digitalzwang bei Bahncard, Bankkonto & Co. : Wer kein Handy hat, muss bald draußen bleiben
    https://www.berliner-zeitung.de/zukunft-technologie/digitalzwang-wer-kein-handy-hat-muss-draussen-bleiben-li.2206745

    L’espionnage par l’app de la Deutsche Bahn et l’impossibilité d’obtenir des billets de train à des prix abordables si on n’a pas de smartphone et de compte auprès de DB me poussent à n’utiliser plus que des moyens de transport individuels.

    Je vais acheter une voiture de l’ère quand la géolocalisation n’était pas encore obligatoire et quand n’importe quel mécanicien pouvait la réparer sans devoir passer par le service numérique du producteur pour identifier la raison d’un problème technique.

    C’est ennuyeux car j’aime les voyages en train, mais la qualité des wagons a tellement baissé que la perte de temps que représente la conduite d’une voiture est largement compensée. Lors de mon dernier voyage de nuit entre Paris à Berlin, j’avais acheté un ticket première classe, je n’ai pas pu dormir parce qu’il était impossible d’éteindre les lumières du compartiment.

    Désormais je ferai comme dans le passé et je conduirai en écoutant de la musique à fond pour me tenir éveillé.

    Mon but est de revenir à une vie cent pour cent analogue, sans paiement par carte d’ici quatre ans. C’est un projet politique. La lutte pour une #vraie_vie vient de commencer.

    Ceci ne signifie pas de me débarasser de mes outils. Je veux seulement qu’ils m’appartiennt vraiment et qu’on ne puisse rien m’imposer à travers ces objets.

    22.4.2024 von Adrian Lobe - Ob BahnCard, Parkplatz oder Bankkonto – ohne App geht im Alltag immer weniger. Für Menschen ohne Smartphone ist dies ein ernsthaftes Problem.

    Wer künftig mit der Deutschen Bahn reisen und die BahnCard für Rabatte nutzen will, braucht ein Smartphone oder Tablet: Ab dem 9. Juni gibt es die BahnCard nur noch digital. Die Bahn schafft die Plastikkarte ab. Aus Gründen des Umweltschutzes, wie es offiziell heißt: „Tschüss Plastikkarte – Hallo Nachhaltigkeit.“ So würden über 30 Tonnen Plastik pro Jahr eingespart. Um die digitale BahnCard zu erhalten, benötigen Kunden die App „DB Navigator“, in der auch Verspätungen und Anschlusszüge angezeigt werden. Knapp zwei Drittel der Bahnfahrer würden die Karte schon jetzt in der App nutzen, so die Bahn.

    Der Schritt kommt nicht überraschend. So gibt es das Bahn-Kundenmagazin DB Mobil nur noch digital (die gedruckte Ausgabe wurde Ende 2022 eingestellt), und auch Tickets im Zug können Spontanreisende nur noch mit ihrem Smartphone lösen – die Papier-Fahrkarten wurden abgeschafft. Doch was ist mit Menschen, die kein Smartphone haben?

    Als Alternative zur digitalen BahnCard können sich Kunden auf bahn.de ein PDF-Dokument herunterladen, heißt es bei der Bahn. Dieses Ersatzdokument könne dann ausgedruckt und bei Bahnreisen mitgeführt werden. Das setzt aber voraus, dass man ein Kundenkonto bei der Deutschen Bahn besitzt und das Internet nutzt. Doch es gibt Menschen, die gar nicht wissen, wie man das Internet bedient. Nach Angaben des Statistischen Bundesamts waren 3,4 Millionen Deutsche zwischen 16 und 74 Jahren noch nie im Internet. Und laut einer repräsentativen Studie des Digitalverbands Bitkom nutzt mehr als die Hälfte der Menschen über 65 Jahren kein Smartphone. Schon jetzt fühlen sich viele Menschen abgehängt.

    Beim Thema Datenschutz ist bei der Bahn schnell Endstation

    Dass Senioren, die Überweisungen noch in Papierform am Bankschalter durchführen, sich einen – nicht gerade benutzerfreundlichen – Online-Account bei der Deutschen Bahn zulegen, ist eher unwahrscheinlich. Sozial- und Verbraucherschutzverbände sehen daher in der Umstellung auf digital eine Altersdiskriminierung. „Mit der Ankündigung der Deutschen Bahn, die BahnCard nur noch digital anzubieten, werden Menschen ohne digitalen Zugang von der Rabattmöglichkeit ausgeschlossen“, kritisiert Ramona Pop, Vorständin des Verbraucherzentrale-Bundesverbands. Die BahnCard müsse für alle verfügbar sein. „Der ersatzweise gültige Papierausdruck muss auch für Menschen ohne digitales Kundenkonto zugänglich sein, etwa indem es im Reisezentrum ausgehändigt wird“, so Pop.

    Der Verein Digitalcourage hat kürzlich Klage gegen den „DB Navigator“ eingereicht. Der Vorwurf: Die App sei voller Tracker, die Nutzer überwachen. So würden bei der Nutzung der App ohne Einwilligung des Nutzers zahlreiche Informationen an Dritte – unter anderem an die Adobe Marketing Cloud – übermittelt: Anzahl der Reisenden, Mitfahrt eines Kindes, Abfahrtstag, Start- und Zielbahnhof. Eine Möglichkeit zu widersprechen gebe es nicht. So werde der Bahnfahrer gezwungen, Daten von sich preiszugeben, obwohl er dies unter Umständen gar nicht möchte. Beim Thema Datenschutz ist bei der Bahn schnell Endstation.

    So wie mit der Bahn geht es einem in ganz vielen Bereichen des täglichen Lebens. Ob Parkplatz, Supermarktrabatt oder Bankkonto – ohne Smartphone-App geht immer weniger. Beispiel DHL: Das Logistikunternehmen stellt seine Packstationen schrittweise auf App-Betrieb um – Scanner, Eingabefeld und Drucker werden ausgebaut. Kunden, die ein Paket abholen oder verschicken wollen, benötigen eine App. Die Versandmarke, die man bislang bequem an der Packstation ausdrucken konnte, wird durch einen Code ersetzt. Der Verein Digitalcourage spricht von einem „Digitalzwang“ – und verlieh der DHL Group im vergangenen Jahr den „Big Brother Award“. Eine Auszeichnung, die alles andere als ein Ruhmesblatt ist.
    Sogar Speisekarten in Restaurants gibt es oft nur noch digital

    Auch in der Gastronomie ist man ohne Smartphone verloren. In zahlreichen Cafés und Restaurants gibt es Speisekarten nur noch in digitaler Form: Wer wissen will, was auf der Tageskarte steht, muss erst einen QR-Code scannen. Und das geht nur mit Smartphone.

    Im Ausland sieht es nicht anders aus: Rom-Touristen, die das Forum Romanum mit seinen historischen Sehenswürdigkeiten besuchen wollen, müssen ihre Eintrittskarte online kaufen und auf dem Handy speichern – der Ticket-Verkauf vor Ort wurde im Zuge der Corona-Pandemie eingestellt. Wer kein Handy hat, muss draußen bleiben.

    Das Problem an dem digitalbasierten Zugang zum öffentlichen Leben besteht auch darin, dass man sich in regelmäßigen Abständen ein neues Smartphone kaufen muss, um die aus Sicherheitsgründen erforderlichen Software-Updates aufspielen zu können. Das kann und will sich nicht jeder leisten. So leistet das Handy einer sozialen Ausgrenzung Vorschub.

    Und es gibt auch eine weltweite Kluft. Nach Angaben der Internationalen Fernmeldeunion (ITU) sind auf der Erde immer noch 2,7 Milliarden Menschen offline. Diese Menschen, die in staubigen Dörfern in der Sahelzone oder in Indien leben, haben keinen Internetanschluss und müssen oft mehrere Kilometer zu Fuß zurücklegen, um ins nächste Internetcafé zu gelangen. Aber auch in wohlhabenden Industrienationen gibt es Menschen, die das Internet nicht nutzen, obwohl sie Zugang dazu hätten. In den USA sind dies immerhin sieben Prozent der Erwachsenen. Die Gründe dafür sind unterschiedlich: mangelndes Interesse, zu hohe Kosten, Datenschutzbedenken. Unter den Nichtnutzern befinden sich interessanterweise auch ehemalige Nutzer: Menschen, die am Ende ihres Berufslebens noch mit E-Mails in Berührung kamen, im Ruhestand aber das Interesse verloren haben und lieber den analogen Weg gehen.
    Kritiker fordern das Recht auf ein analoges Leben

    Kritiker fordern daher schon seit einiger Zeit ein „Recht auf analoges Leben“: Bürger müssten das Recht haben, sämtliche Rechtsgeschäfte und Verwaltungsangelegenheiten – von der Kontoeröffnung bis zur Steuererklärung – in analoger Form durchzuführen. Das Bargeld müsse erhalten bleiben, einen Zwang zu einer digitalen Präsenz dürfe es nicht geben.

    Das Recht auf analoges Leben kollidiert allerdings mit dem Recht auf digitale Verwaltung: Das jüngst vom Bundesrat blockierte Onlinezugangsgesetz soll Bürgern Behördengänge in ein paar Mausklicks ermöglichen. Während die einen das Medium Papier als Quell der Bürokratie sehen, ist es für die anderen ein Garant für Datenschutz – und Teilhabe am öffentlichen Leben.

    #exclusion_digitale #vie_privée #numérisation #vraie_vie

  • RTBF « Ici le monde » : Canada, le pays des tricheurs ? Esmeralda Labye

    Depuis plusieurs années, les facultés canadiennes signalent une forte augmentation de ce qu’elles appellent "les inconduites universitaires", "les atteintes à l’intégrité académiques" , comprenez la triche et le plagiat. 

    Pour réussir, sans se fatiguer, des milliers d’étudiants ont trouvé la combine… En toute légalité, face à la pression et par facilité, ils sont des milliers à recourir aux services de "copistes rémunérés" pour faire leurs devoirs ou réussir leurs examens.


    La "tendance" n’est pas neuve mais le nombre de candidats à la réussite facile est en augmentation. Une information développée par The Globe and Mail ainsi que par Courrier International où l’on apprend que 70.000 étudiants canadiens utilisent chaque année des services de triche. Des chiffres expliqués par Sarah Elaine Eaton, professeure à l’université de Calgary, dans son livre, Faux diplômes et titres frauduleux dans l’enseignement supérieur.

    Tuteurs en ligne
    L’histoire qui a défrayé la chronique remonte à 2021. Un étudiant de l’université de Toronto embauche alors un  "tuteur en ligne"  et lui demande de passer un examen en son nom. Une activité rémunérée 60 dollars canadiens soit environ 40 €. Le "faux étudiant" passe l’examen, une épreuve de comptabilité à distance. Il faut juste l’identifiant et le mot de passe du commanditaire. Selon le quotidien Globe and Mail, l’étudiant aurait contacté son "nègre" en lui disant : "J’ai besoin [d’une note] d’au moins 80% pour atteindre mon objectif, alors assurez-vous d’avoir la capacité de le faire".

    Seulement voilà, lors de la remise des résultats, l’étudiant tricheur ne reçoit qu’une note de 62%. Dépité, il manifeste donc sa déception. Une remarque qui ne plaît pas au "copiste". Ce dernier révèle alors la supercherie à l’université.

    L’étudiant-tricheur s’excuse devant les autorités académiques mais ne rentre pas dans le rang pour autant. 5 jours plus tard, il recrute un second "tuteur" pour passer un second examen, en sciences. Montant de la transaction 400 dollars canadiens soit environ 280 €.

    Mise au courant, l’université est furieuse et l’étudiant suspendu pour une durée de 5 ans.  "Son cas n’est que l’un des milliers d’exemples d’une tendance importante et troublante exacerbée par la pandémie. Plus d’étudiants semblent enfreindre les règles d’intégrité académique que par le passé, et davantage se font prendre" , note le Globe and Mail.

    Il existe d’autres cas où ce sont les plateformes facturant la tricherie qui n’hésitent pas à utiliser le chantage ou l’extorsion.  "Si les étudiants essaient d’annuler les paiements, elles peuvent menacer de contacter les administrateurs de l’université pour dénoncer la fraude" , décrit le  The Globe and Mail.

    Depuis la pandémie, les étudiants sont plus nombreux à enfreindre les règles d’intégrité académique. Lorsque le Covid 19 interdisait les cours en présentiels, certains ont vu une opportunité de "faciliter" le travail en ayant recours à des copistes.

    Rien qu’à l’université de l’Alberta, de Toronto, de Saskatchewan et à McMaster, les chiffres auraient été multipliés par 2.

    Le Covid, seul responsable ?
    Selon Leah Wafler, de l’Université de la Colombie-Britannique : "La pression, l’opportunité de passer à l’acte et la tendance à rationaliser le méfait quand on a le sentiment que tout le monde le fait" joue énormément.

    Les étudiants tricheurs seraient victimes d’une mauvaise gestion de leur temps, de la pression familiale pour atteindre certaines notes. Le monde du travail, toujours plus compétitif, y est aussi pour quelque chose.

    Comme le confirme, François Rihouay, le correspondant de la RTBF sur place : "Il y a plusieurs paramètres à prendre en compte. Il faudrait d’ailleurs en faire une étude sociologique. Les pressions académiques et familiales augmentent. Pourtant le taux de chômage n’est que de 6,1% mais il y a des difficultés sociales autour de l’embauche et de l’emploi tant il y a d’étudiants. "

    Il est vrai que le Canada attire énormément de candidats venus de l’étranger. En décembre 2022, il y avait 58.675 étudiants internationaux rien que dans les universités québécoises, soit une augmentation de 10.000 par rapport à l’année précédente. Une estimation officielle indique que plus d’un million d’étudiants étrangers sont établis au Canada. Des chiffres qui pourraient s’inverser puisque cette année, le pays des érables a annoncé la mise en place d’un plafond sur les permis pour les élèves étrangers.

    Quoi qu’il en soit, la pratique s’est érigée en véritable business. Dix-neuf milliards d’euros seraient générés chaque année, et en toute légalité, par l’industrie de la triche au Canada.

    En toute légalité car il existe une myriade de plateformes dans le pays mais aussi à l’étranger contre lesquelles, le gouvernement canadien ne peut rien faire. Un exemple parmi d’autres, EXACT https://www.theglobeandmail.com , plateforme installée au Pakistan, 1800 employés copistes !

    L’Université du Manitoba qui compte 1127 cas d’inconduite académique en 2021-2022 a préféré sévir. “Les sanctions pour collaboration inappropriée comprenaient l’obtention d’une note de zéro sur un devoir, l’échec d’un cours, la suspension temporaire du programme, ainsi qu’une note sur le relevé de notes d’un étudiant”, rapporte CBC.

    Mais pour Jaron Rykiss, le président de l’association des étudiants de l’université juge ces pénalités injustes. “Il y a un manque de compréhension de ce qui se passe " . Il estime qu’il est primordial que l’établissement mette en place un système de soutien en cas d’inconduite.

    Que faire pour inverser la tendance ?
    Face à ce phénomène de triche rémunérée, associations d’étudiants comme universités ont décidé de réagir. Plusieurs établissements ont lancé des campagnes de sensibilisation, en rappelant que la triche peut entraîner une suspension de 5 ans, d’autres ont décidé de renforcer l’intégration des étudiants, d’organiser des soutiens académiques, des tutoriels, d’aider les jeunes à développer leurs compétences eux-mêmes et de façon éthique.

    #étudiants #étudiantes #tricheur #tricheuses #plagiat #examens #fraude #triche #université #canada #inconduite #business #plateformes #internet #réseau #numérique

    Source : https://www.rtbf.be/article/ici-le-monde-canada-le-pays-des-tricheurs-11361186

  • Quand faut-il numériser ? - thematique-ecoconception - Designers Éthiques
    https://beta.designersethiques.org/thematique-ecoconception/quand-faut-il-numeriser

    Lorsque nous parlons d’écoconception, nous avons parfois la remarque : c’est bien d’éco-concevoir mais est-ce qu’il ne vaut mieux pas plutôt trouver une alternative à la numérisation ? En d’autres termes, le meilleur impact négatif est celui que l’on ne produit pas !

    Alors comment savoir s’il faut numériser ou non son service ? Sans pouvoir vous fournir de grille de décision pure et simple, voici une liste de questions à se poser et d’éléments à prendre en compte.

    À partir de : https://nousnavonspasnumerise.mmibordeaux.com

    #numérisation #informatique #low-tech

  • Faisons un dernier point sur l’actualité de ce mardi 9 avril :

    #CLIMAT Pour la première fois, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) condamne un Etat, la Suisse, pour son inaction face au changement climatique.

    #NUCLEAIRE Avec 340 voix pour et 173 contre, l’Assemblée nationale a approuvé le projet contesté de fusion de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et de l’Institut de radioprotection et sûreté nucléaire (IRSN). Le texte devrait être définitivement approuvé par le Parlement dans la nuit, après un ultime vote au Sénat.

    #FOOT La passe de deux pour les Bleues. Après l’Irlande vendredi soir, la France enchaîne sur une nouvelle victoire contre la Suède (1-0), lors du deuxième match des éliminatoires pour l’Euro 2025.

    #FOOT C’était le début des quarts de finale aller de la Ligue des champions, et on ne s’est pas ennuyés : 3-3 entre le Real Madrid et Manchester City ; 2-2 entre Arsenal et le Bayern Munich. Place au PSG ce mercredi soir face au FC Barcelone.

  • Faisons un nouveau rappel des principaux titres :
    #NUCLEAIRE 340 voix pour, 173 contre. L’Assemblée nationale a approuvé en fin d’après-midi le projet contestée de fusion de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et de l’Institut de radioprotection et sûreté nucléaire (IRSN). Le texte doit maintenant être définitivement approuvé par le Parlement, dans la soirée, après un ultime vote au Sénat.
    #CLIMAT Pour la première fois, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) condamne un Etat, la Suisse, pour son inaction face au changement climatique.
    #FOOT Objectif passe de deux pour les Bleues. Après l’Irlande vendredi, l’Equipe de France féminine affronte la Suède en ce moment, à l’occasion de la deuxième journée de qualifications pour le prochain Euro. 0-0 à la pause.

  • fait mollement défiler les faits divers du jour... Zyva, elle espère que les habitant·e·s de Gaza ou de Kharkiv relativisent, hein : iels sont quand même bien plus en sécurité là-bas qu’iels ne le seraient à la sortie d’un collège de l’Essonne ou de l’Hérault.

    Plus sérieusement, quand va-t-on enfin se décider à INTERDIRE les enfants ? Désormais seule une petite Loi de ce style pourrait encore sauver la planète.

    #NulliparesPower.

  • Calaméo - Yves Lenoir - L’OMS et les dégâts des radiations
    https://www.calameo.com/books/0025223115a96f6f290a3

    Yves LENOIR De l’indifférence au déni : l’OMS et les dégâts des radiations (1946-2006)

    DaNs La NuIT du 26 avril 1986 le bloc n° 4 de la centrale atomique de Tchernobyl a explosé. Le cœur nucléaire a pris feu. Il fallut dix jours d’efforts pour venir à bout de l’incendie.
    Chaque heure qui passait, une quantité de produits de fission de périodes longues équivalant à une explosion atomique de type Hiroshima ou Naga- saki était projetée dans l’atmosphère, mêlée aux gaz de la combustion.
    Jamais une telle catastrophe n’avait été imaginée, une catastrophe analogue à ce que laisserait dans l’environnement les retombées d’une bataille atomique de grande envergure : plusieurs centaines de milliers de kilomètres carrés plus contaminés que les sites des tests atomiques de Bikini, de Moruroa, du Nevada ou du Kazakhstan...
    Le 5 septembre 2005, l’aIEa diffusa un communiqué annonçant la publication d’un rapport sur le bilan définitif (sic) officiel de l’ac- cident, tel qu’établi par une instance ad hoc instituée par l’ONu en février 2003, le Chernobyl Forum. L’OMs avait été chargée d’endosser les résultats des études des conséquences sur la santé. Les chiffres à retenir, placés en exergue : 50 décès à court terme du fait d’irradiations aiguës et 4 000 cancers mortels probables dans les décennies futures. En clair, moins que le bilan, morts et blessés, de quelques heures ou jours de circulations routière dans l’ex-uRss !
    un miracle ? Non, l’OMs a ainsi assumé son parti-pris originel pour l’entrée, puis le maintien, de l’humanité dans l’âge de l’énergie atomique. C’est ce que démontre dans ces pages l’auteur, Yves Lenoir, au terme de recherches menées depuis plus de dix ans sur les relations entre les institutions médicales et la radioactivité .
    Le gouffre séparant ce « bilan » labellisé ONu et, singulièrement, OMs de la réalité ne relève pas d’une quelconque controverse scientifique. Car il est le produit de l’histoire, d’un enchaînement culturel et politique.
    L’important, ce n’est pas de croire ou de préjuger, mais de comprendre.
    Yves LENOIR, La Comédie atomique, La Découverte, 2016
    dessin de couverture : Gaël Gittard
    10 € - Livret édité au profit d’ETB Belrad ISBN - 2-7552-0022-7

    Un tirage de 1000 exemplaires sera réalisé avant le 26 avril.
    #nucléaire #OMS

  • Pourquoi Glucksmann ? - CONTRETEMPS
    https://www.contretemps.eu/pourquoi-glucksmann-parti-socialiste-gauche-strategie-palombarini

    Raphaël Glucksmann semble l’enfant chéri de la presse mainstream, qui voit en lui – dans la perspective des élections européennes à venir – un antidote utile à la gauche de rupture, incarnée depuis plusieurs années par Jean-Luc Mélenchon et la France insoumise. Son profil politique ne laisse effectivement guère place au doute : il s’agit d’une version vaguement rafistolée de l’orientation d’accompagnement du capitalisme néolibéral qui a plongé la gauche dans une crise historique, partout dans le monde.

    Mais qu’est-ce que cela dit des batailles qui se jouent à gauche actuellement et des stratégies des différents partis qui s’étaient unis dans le cadre de la NUPES, en particulier du PS ? L’économiste Stefano Palombarini, auteur notamment (avec Bruno Amable) de L’Illusion du bloc bourgeois, avance quelques pistes.

    #Politique #NUPES #Stratégie

  • Lecture d’un extrait du livre « Chambre distante » d’Emmanuel Laugier, paru aux Éditions Nous, en 2024.

    https://liminaire.fr/radio-marelle/article/chambre-distante-d-emmanuel-laugier

    Chambre distante se compose de 111 poèmes écrits à partir de 111 photographies. Le livre, qui offre une approche sensible de photographies très différentes, se présente également comme une histoire de la photographie du dix-neuvième siècle à aujourd’hui. Ces images ne sont pas visibles, ni décrites ni expliquées, parfois nous les reconnaissons, parfois le mystère reste entier. Ce sont les textes qui nous en révèlent l’essence, ce qui se dépose en nous. Leur auteur, leur titre, leur date figurent au recto de la page tandis que le poème se lit au verso. Les poèmes sont à la fois l’évocation et la trace d’un dialogue avec les œuvres et l’expérience d’une écriture.

    (...) #Radio_Marelle, #Écriture, #Livre, #Lecture, #En_lisant_en_écrivant, #Podcast, #Sensation, #Art, #Littérature, #Édition, #Récit, #Nuit, #Notabilia (...)

    https://liminaire.fr/IMG/mp4/en_lisant_chambre_distante_emmanuel_laugier.mp4

    http://www.editions-nous.com/laugier_chambredistante.html