Vous voulez savoir ce qu’il circule sur internet en 60 secondes ? Une infographie nous le dévoile
#web #infographie
Vous voulez savoir ce qu’il circule sur internet en 60 secondes ? Une infographie nous le dévoile
Bonjour Netlib,
Pour info, un article intéressant sur le vertige des métriques : ►http://www.internetactu.net/2011/07/28/le-vertige-des-metriques et aussi ►http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2011/06/imaginaire-numeraire-numerique.html
A+
Salut @assr38 merci pour le rajout de liens, sympa :)
vertigineux, l’individu est noyé dans la masse aussi, un truc qui me fait flipper sur le oueb , le nombre de followers, d’amis imaginaires... Ça n’a guère de sens en effet , je suis nulle en math mais c’est vrai que c’est fascinant quand même de tenter de quantifier, j’aimerais voir de l’humanité derrière ces chiffres quand même.
Chaque action humaine sur le web est analysée et répertoriée ,terrifiant !
L’imaginaire numéraire du numérique (affordance.info)
►http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2011/06/imaginaire-numeraire-numerique.html
Le vertige des grands nombres est constitutif de la statistique du web, formidable écosystème facilitateur et multiplicateur de la moindre interaction, de la moindre navigation, de la moindre publication, de la moindre attention portée. Les chiffres de Facebook sont donc pareillement vertigineux, comme sont vertigineux ceux de Google, de Youtube et de l’ensemble de ces mégalopoles virtuelles dans lesquelles se croisent, chaque jour, deux milliards d’internautes. (...)
60 Seconds - Things That Happen On Internet Every Sixty Seconds [Infographic]
►http://www.go-gulf.com/blog/60-seconds
Le #web et le vertige du grand #nombre
►http://culturevisuelle.org/icones/1816
Cette inquiétante invisibilité du chiffre illustre mieux qu’aucun discours le trait que je souhaitais voir interroger : la naturalisation produite par l’outil statistique. Par une heureuse coïncidence, Olivier Ertzscheid vient de publier sur son blog la forme achevée de la réflexion que j’appelais de mes vœux : « Le vertige des grands nombres, explique-t-il, est constitutif de la statistique du web, formidable écosystème facilitateur et multiplicateur de la moindre interaction, de la moindre navigation, de la moindre publication, de la moindre attention portée. (…) La mythologie de l’internet – au sens des Mythologies de Barthes – est construite sur ces chiffres renvoyant à une nouvelle Babel statistique. Une Babel à l’achèvement d’autant plus incertain qu’à l’exception notable des études du Pew Internet et de quelques autres, l’essentiel des infographies circulant sur le net et renvoyant à cet imaginaire numéraire, sont soit produites sur la base de données erronées, incomplètes ou non-vérifiables, soit produites par les sociétés propriétaires des sites ainsi “décomptés”.
L’imaginaire numéraire du numérique
►http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2011/06/imaginaire-numeraire-numerique.html
Article qui évoque l’infographie ci-dessus, d’ailleurs.
« Il n’y a rien que l’homme soit capable de vraiment dominer : tout est tout de suite trop grand ou trop petit pour lui, trop mélangé ou composé de couches successives qui dissimulent au regard ce qu’il voudrait observer. Si ! Pourtant, une chose et une seule se domine du regard : c’est une feuille de papier étalée sur une table ou punaisée sur un mur. L’histoire des sciences et des techniques est pour une large part celle des ruses permettant d’amener le monde sur cette surface de papier. Alors, oui, l’esprit le domine et le voit. Rien ne peut se cacher, s’obscurcir, se dissimuler. » Bruno Latour, Culture technique, 14, 1985 (cit par Christian Jacob dans L’Empire des cartes, Albin Michel, 1992).
Statistiques mondiales en #temps_réel
►http://www.worldometers.info/fr
Le monde réel ne nous a pas habitués à de telles métriques. Peut-on comparer pourtant 300 000 exemplaires vendus d’un journal à son million de visiteurs quotidien ? Peut-on comparer 4 milliards d’exemplaires papiers vendus et 4 milliards de visites comme nous l’explique l’OJD (.pdf) ? Peut-on comparer les téléchargements d’un livre numérique à des ventes papiers quand leur prix est différent ? Peut-on comparer des ventes et des visites ? Des enregistrements et des acheteurs ? Des internautes et des gens qui ont une action sur le monde réel ? Cela ne veut pas dire que les internautes n’en ont pas, au contraire. Mais qu’on achoppe à comparer sans cesse des serviettes avec des torchons.
Le vertige des métriques
►http://www.internetactu.net/2011/07/28/le-vertige-des-metriques