• Le gouvernement embarrassé par un “deepfake” visant Marine Le Pen
    https://www.politico.eu/article/france-gouvernement-deepfake-marine-le-pen

    Alors que le gouvernement français fait de la régulation des deepfakes l’un de ses combats dans le monde numérique, ces trucages destinés à tromper le public ont fait leur entrée dans la bataille politique par le biais d’un représentant du parti présidentiel lui-même.

    Loïc Signor, porte-parole de Renaissance, s’est attaqué à Marine Le Pen en la mettant en scène dans un montage généré par intelligence artificielle, publié sur la plateforme X. De quoi créer un précédent dans le débat français, à quelques mois des élections européennes.

    https://video.twimg.com/amplify_video/1741512612028850177/vid/avc1/1280x720/a0l3yNErDff2P_PZ.mp4

    • Après, assimiler le simple fait de parler russe au fait d’être financé par un gouvernement autoritaire, ça n’a pas l’air de poser de problème. (Fais un montage de Macron qui se mettrait à parler en hébreux, tu vas voir du pays.)

    • déshumaniser / diaboliser l’ennemi…

      en même temps, la question est loin d’être simple : voir la place du russe et de la culture russe en Ukraine. Entre la culture comme soft power (pas forcément si soft d’ailleurs…) en soulignant le passé commun et l’éradication totale rejetant le passé commun (dominé…)

      connaître / comprendre, c’est déjà adhérer.

      On est loin du général de Gaulle dont on me disait quand j’étais petit qu’il avait choisi d’apprendre l’allemand, langue de l’ennemi…

    • J’ai pris allemand seconde langue en hommage à mon père qui avait « fait » la seconde guerre mondiale . Il en est ressorti militant pro Européen. L’allemand restait la langue de l’ennemi qu’il fallait connaitre...une peur restait...