remarque qu’un des nombreux avantages (et non le moindre), quand on a renoncé depuis longtemps à entretenir toute vie sentimentale et même sociale, c’est que l’hiver on peut s’enfiler des litres de décoction ail / clous de girofle sans être obligée d’aller se laver les dents tout de suite après.
Évidemment cet avantage perd un peu d’intérêt quand en plus d’être anachorète on est devenue complètement agomphe.
(« Zyva, agomphe le Lectorat, celle-là, avec ses mots chelous. »)