Lester Bangs raconté par Tristram, son éditeur français – Gonzaï

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  • Lester Bangs raconté par Tristram, son éditeur français – #Gonzaï
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    A 715 kilomètres de Paris, un duo d’irréductibles Gaulois imprime depuis 30 ans des voyelles et des consonnes dans une chapelle légère comme une feuille. Son nom : #Tristram. Et tout en haut du clocher, un best-seller nommé #Lester_Bangs, édité en français pour la première fois en 1996 et réédité ces jours-ci pour le plus grand plaisir des amateurs de carburateurs flingués. Pour l’occasion, on a passé un coup de fil à Auch, là sont installés Jean-Hubert Gailliot et Sylvie Martigny, fondateurs de la maison Tristram, histoire de revenir sur la genèse de cette histoire d’amour avec un Américain à l’écriture aussi fulgurante que cette vie passée à gratter des centaines de pages pour l’amour du disque.

    Le traducteur, Jean-Paul Mourlon, a dû passer 3 à 4 ans sur la #traduction du premier volume, en travaillant d’arrache-pied. Le tout interrompu tout de même par deux dépressions nerveuses. Avec le recul, il faut bien reconnaitre que les vrais fous capables de se tuer à la tâche, ce sont les traducteurs. En comparaison, les écrivains sont des gens très organisés et soucieux de leurs intérêts.