#debunking : la rédaction de Contre-Attaque n’a pas pris le temps de la vérification. Il ne s’agirait pas à proprement parler de LDJ (Ligue de défense juive) mais de membres du SCPJ, service de protection de la communauté juive qui n’est enregistrée nulle part, n’a aucun statut légal et donc se comporte comme une milice privée orientée communauté politico-ethnico-religieuse. Bref des nervis qui font le SAV de l’extrême droite. Là encore, c’est le « deux poids deux mesures » qui prévaut dans l’application de la « loi séparatisme ».
Par erreur, j’ai indiqué en reprenant les infos d’autres journalistes qu’il s’agissait de la LDJ qui était protégée par la BRAV à la suite de l’altercation de tout à l’heure à la manif. Il s’agissait en fait du SCPJ qui faisait le service d’ordre de « Nous Vivrons ». My bad !
(▻https://twitter.com/LouisWitter/status/1766151460251672654)