naturalfeature:le tigre

  • Une vidéo dévoile le faste d’une fête donnée à Versailles par Carlos Ghosn en 2014
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/05/09/une-video-devoile-le-faste-d-une-fete-donnee-a-versailles-par-carlos-ghosn-e
    https://www.youtube.com/watch?v=DYhWZ0IYFSg

    Une vidéo dévoile le faste d’une fête donnée à Versailles par Carlos Ghosn en 2014
    Cet événement, qui a eu lieu le jour du 60e anniversaire du chef d’entreprise, visait officiellement à célébrer les 15 ans de l’Alliance Renault-Nissan.
    […]
    Officiellement, il s’agissait d’un événement pour les 15 ans de l’Alliance Renault-Nissan mais selon les deux médias, l’assistance était davantage composée d’amis de M. Ghosn que de représentants des deux constructeurs. La date, le 9 mars, interroge également, puisqu’elle correspond exactement aux 60 ans du chef d’entreprise et non à celle de l’anniversaire de l’Alliance. Le montant de la facture réglée par le constructeur s’élève à 600 000 euros.

  • Chroniques Mutantes #195
    http://www.radiopanik.org/emissions/chroniques-mutantes-/chroniques-mutantes-195

    Chronique sur les blocages sur les réseaux sociaux de la semaine des magies et de l’actualité du collectif Trangrrls en France en ce moment par divers personnes différentes (catholiques, féministes transphobes etc)

    Chronique histoire et état du milieu TERF (féministes transphobes)

    Billet d’humeur sur la pride de Bruxelles et annonce de la pride non commerciale de Gand du 11 Mai

    Revue de presse

    Playlist : Casey/Céature Ratée, Douche Froide/Stop, Laurie Anderson/It Tango, Le Tigre/My my metrocard

    http://www.radiopanik.org/media/sounds/chroniques-mutantes-/chroniques-mutantes-195_06155__1.mp3

    • . . . . . . . .
      CI JOINT LA LISTE DES PERSONNALITÉS IRAKIENNES LIQUIDÉES, SELON LA LISTE ÉTABLIE PAR LE QUOTIDIEN EN LIGNE « AR RAI AL YOM »

      Dirigé par Abdel Bari Atwane, fondateur du journal trans-arabe Al Qods Al Arabi » : http://www.raialyoum.com/?p=454552

      Université de Bagdad (40 membres du corps enseignant asssassinés)

      1- Dr Mohamad Abdallah Al Rawi : Recteur de l’Université de Bagdad, Président de l’Ordre des Médecins iraien, assassiné à sa clinique sise quartier Al Mansour (Bagdad).
      2- Makki Habib Al Mou’men : diplomé de l’Université du Michigan (États-Unis), spécialiste de l’Histoire contemporaine, ancien professeur aux universités irakiennes (Bassorah, Bagdad, Irbil et Souleymaniyeh), ainsi qu’à l’Institut des Études Palestiniennes.
      3 – Mohamad Abdallah Moneim Al Azmiralli : Titulaire d’un doctorat en Chimie, scientifique distingué, en poste dans des centres de recherches spécialisés. Professeur à la Faculté des Sciences de l’Université de Bagdad, Département de Chimie. Cet égyptien, titulaire de la nationalité irakienne, a été liquidé par les Américains dans le camp aménagé à proximité de l’aéroport de Bagdad, en 2003.
      4- Issam Charif Al Takriti : Ancien ambassadeur d’Irak en Tunisie. Titulaire de la chaire d’Histoire à l’Université de Bagdad, il a été liquidé en compagnie de 5 de ses collègues, le 22 octobre 2003, dans le secteur d’Amiryah (Bagdad) .
      5- Majed Hussein Ali : Savant atomique, spécialiste de la physique nucléaire (Université de Bagdad, Faculté des Sciences), éliminé début 2004.
      6- Imad Sarsour : Doyen de la Faculté de médecine de Bagdad, spécialiste de la chirurgie réparatrice.
      7- Soubeiry Moustapha Al Bayyat i : Chef du département de géographie de l’Université de Bagdad , tué en 2004.
      8- Ahmad Al Raw i : Professeur d’agronomie à l’Université de Bagdad, en charge du centre d’épidémiologie. Tué avec sa femme, en 2004, sur l’autoroute Bagdad-Al Ghazalyah.
      9- Housni Kamal : Physicien, Faculté des Sciences, Université de Bagdad.
      10- Marwane Mouzher Al Hayti : Ingénieur chimiste ; Professeur à la Faculté des Sciences de l’Université de Bagdad.
      11- Moustapha Al Machahandi : Professeur de civilisation islamique. Faculté des lettres, Université de Bagdad.
      12- Khaled Mohamad Al Janabi : Titulaire de la chaire Histoire de l’Islam- Faculté des Lettres – Université de Bagdad.
      13- Hassan Abd Ali Daoud Al Rabihi : Vice doyen de la Faculté de Médecine de l’Université de Bagdad.
      14- Marwane Rachid : Vice-doyen de la Faculté de Génie- Université de Bagdad
      15- Abdel Latif Ali Al Mayyah : Adjoint au Directeur du Département du Monde arabe-Université de Bagdad. Assassiné en 2004 au lendemain de son apparition sur une chaîne de télévision arabe pour réclamer la tenue d’élections législatives.
      16- Hicham Charif : Chef département Histoire – Université de Bagdad
      17- Raad Chalah : Chef du département de Biologie – Faculté des Sciences-Université de Bagdad.
      18 -Fouad Ibrahim Mohamad Al Bayyati : Chef du département de l’Allemand (langue et civilisation allemandes) -Faculté des Langues- Université de Bagdad. Assassiné devant sa maison, quartier de Ghazala (Bagdad), le 19 avril 2005.
      19- Mohammad Kard Al Jammali : Spécialiste de la langue anglaise-Université de Bagdad. Directeur général du ministère de l’Éducation nationale. Assassiné le 10 juin 2004 dans le secteur d’Al Amiryah (Bagdad).
      20- Haifa Alawane Al Helli : Physicienne- Faculté des Sciences-Section féminine- Université de Bagdad.
      21- Abdel Razzak Al Na’as : Faculté des Sciences de la communication- Université de Bagdad. Assassiné le 28 janvier 2004.
      22- Haykal Mohammad Al Moussawi : Faculté de Médecine- Université de Bagdad.

      23- Hazem Abdel Hadi : Faculté de Médecine-Université de Bagdad.
      24- Abbas Al Attar : Doctorat en Sciences Humaines-Université de Bagdad
      25- Bassam Al Moudaress : Doctorat en Sciences Humaines-Université de Bagdad.
      26 – Bassel Al Kerkhi : Spécialiste Chimie. Faculté des Sciences – Université de Bagdad.
      27- Nasser Amir Al Obeidy : Université de Bagdad
      28- Nafeh Abboud : Spécialiste de la Littérature arabe- Université de Bagdad
      29- Marwane Al-Rawi : Génie civil – Université de Bagdad
      30- Rafi Sarkissian Vanagan : Magistère en Langue Anglaise – Professeur à la Faculté des Lettres- Université de Bagdad.
      31- Nafiha Hamad Khalaf : Professeur de Littérature arabe – Faculté des Lettres- Université de Bagdad
      32- Khalil Ismail Abd Ad Dahiry : Faculté de l’Éducation sportive – Université de Bagdad
      33- Ghaleb Al Hayti : Professeur de Chimie- Université de Bagdad. Assassiné en mars 2004.
      34- Hussein Ali Ibrahim Al Karbassy : Ingénieur géomètre- Spécialiste de la Topographie- Institut de Technologie Bagdad – Al Zaafaranyah. Assassiné le 16 avril 2006 dans le quartier Al Amiryah.
      35- Mohammad Al Douleimy : Faculté de Génie – Université de Bagdad. Assassiné en 2004.
      36- Hassan Al Rabihi : Faculté d’Art Dentaire – Université de Bagdad. Assassiné le 25 décembre 2004, alors qu’i roulait en voiture en compagnie de son épouse.
      39- Jassem Mohammad Al Issawi : Professeur de Sciences Politiques- Université de Bagdad. Membre du comité de rédaction du quotidien irakien « Al Syada » (La Souveraineté), un des négociateurs au sein du « Comité de Rédaction de la Constitution ». Assasiné le 22 juin 2005 dans le secteur Al Chaaba à Bagdad, à l’âge de 61 ans.
      40- Abdel Sattar Saber Al Khazarji : Faculté de Génie – Université de Bagdad – Assassiné le 4 juin 2005 dans la caserne « Madina Al Horra » (La Ville Libre) à Bagdad.

      Université de Bassorah – Sud de l’Irak (14)

      41 – Ala’a Daoud : Vice-Recteur de l’Université de Bassorah pour la division scientifique.
      42- Assad Salem Choureyda : Docteur en génie civil. Doyen de la Faculté de Génie- Université de Bass
      43- Omar Fakhry : Biologiste – Faculté des Sciences de l’Université de Bassorah.
      44- Khaled Chreyda : Titulaire d’un Doctorat en Génie civil -Faculté du Génie – Université de Bassorah.
      45- Abdel Latif Al Fadel : Spécialiste en Chimie. Faculté des Sciences- Université de Bassorah.
      46- Joumhour Karim Khamas Al Zarzani : Critique littéraire réputé. Chef du Département de Langue Arabe – Faculté de Lettres- Université de Bassorah. Enlevé le 7 juillet 2005, son cadavre a été retrouvé à Qiblah, à 3 kms de Bassorah.
      47- Ghadab Jaber Attar : Faculté de Génie – Université de Basssorah
      48- Kifaya Hussein Saleh : Faculté des Lettres – Université de Bassorah
      49- Ali Ghaleb Abed Ali : Faculté de Génie – Université de Bassorah
      50- Saad Al Rabihi : Biologiste- Faculté des Sciences. Université de Bassorah.
      51- Naoufal Ahmad : Faculté des Beaux-Arts-Université de Bassorah.
      52- Abdel Karim Hussein : Faculté d’Agronomie-Université de Bassorah. Assassiné le 11 avril 2006.
      53- Ala’a Abdel Hamid : Doyen Faculté de Médecine – Université de Bassorah.
      54- Haydar Al Ba’aj : Directeur du CHU de Bassorah.

      Université de Mossoul (Nord de l’Irak, capitale éphémère de L’Etat Islamique, dix ans après l’invasion américaine de l’Irak) : 12 membres

      55- Abdel Jabbar Moustapha : Doyen de l’Université de Mossoul ; Professeur de Sciences Politiques.
      56- Leila Abdallah Said : Doyenne de la Faculté de Droit de l’Université de Mossoul, assassinée en compagnie de son époux.
      57- Mounir Al Khaïrou : Professeur de Droit à l’Université de Mossoul, époux de la doyenne Leila Abdallah Said, tuée en sa compagnie.
      58- Imane Younes : Chef du département de l’Interprétariat – Université de Mossoul.
      59- Nouayl Boutros Mathew : Faculté de Médecine-Université de Mossoul.
      60- Mohammad Al-Douleimy : Génie mécanique. Faculté de Génie. Université de Mossoul.
      61- Khaled Faysal Hamad Cheikhou : Faculté de l’Éducation Sportive – Université de Mossoul.
      62- Mahmoud Younes Zannoune : Faculté des Lettres- Université de Mossou
      63- Imane Abdel Moneim Younés : Faculté des Lettres – Université de Mossoul
      64- Mahfouz Mohammad Hassan Al Kazzaz : Professeur de Lettres- Faculté des Sciences de l’Éducation – Université de Mossoul. Tué lors d’une intervention des forces d’occupation américaines, le 25 Décembre 2004, à proximité de la Mosquée Dr Oussama Kachmoula- Province de Ninive.
      65- Inmar Al Ticq : L’un des plus célèbres ophtalmologistes irakiens. Professeur à la Faculté de Médecine – Université de Mossoul. Assassiné en Octobre 2004.
      66- Madame Falha Saleh Ahmad : Professeure de Sciences Politiques- Université de Mossoul. Assassinée en 2004

      Université Al Moustansariyah (15 membres)

      67- Sabah Mahmoud Al Rabihi : Doyen de la Faculté des Sciences de l’Éducation -Université Al Moustansariyah
      68- Salem Abdel Hamid : Doyen de la Faculté de Médecine à l’Université d’Al Moustansariyah, spécialiste de la médecine préventive.
      69- Falah Ali Hussein : Doyen de la Faculté des Sciences- Université Al Moustansariyah.
      70- Ibrahim Talal Hussein : Vice-Doyen Faculté des Sciences de l’Éducation -Université Al Moustansariyah.
      71- Houba Eddine Ahmad Mahmoud : Chef du Département de l’Éducation- Faculté des Sciences de l’Éducation – Université Al Moustansariyah.
      72- Moussa Salloum Amir Al Rabihi : Vice-Doyen Faculté des Sciences de l’Éducation – Université Al Moustansariyah. Assassiné le 28 Mai 2005-Quartier Al Bayyyah (Bagdad).
      73- Abdel Samih Al Janaby : Doyen de la Faculté des Sciences -Université Al Moustansariyah. Poignardé lorsqu’il a mis en application une décision du ministère de l’enseignement supérieur prohibant la transformation des enceintes universitaires en tribunes religieuses.
      74- Mohammad Fakhr Al Douleimy : Titulaire d’un doctorat en Physique. Vice-Doyen de la Faculté des Sciences – Université Al Moustansari
      75- Zaki Zaker Al Ani : Professeur de Langue Arabe. Faculté des Lettres- Université Al Moustansariyah. Tué devant la porte d’entrée de l’Université, le 26 Août 2005.
      76- Hadi Abdel Karim : Faculté des lettres- Université Al Moustansariyah. Tué devant la porte d’entrée de l’Université, le 26 Août 2005.
      77- Mohamad Najib Al Kaissy : Département de la recherche – Université Al Moustansariyah.

      78- Samir Yelda Gergis : Vice-Doyen de la Faculté de Gestion et d’Économie- Université Al Moustansariyah. Enlevé devant l ‘entrée de l’Université, en Août 2005, son cadavre a été retrouvé un mois plus tard, dans une ruelle le 25 septembre 2005.
      79- Kazem Talal Hussein : Vice-Doyen de la Faculté de l’Enseignement Fondamental. Université Al Moustansariyah. Assassiné le 25 Novembre 2005 dans le quartier Moussayleh en compagnie de trois des ses gardes de corps.
      80- Ali Mouhaych : Doyen de la Faculté de Génie. Université Al Moustanssariyah. Assassiné le 13 Novembre 2006.
      81- Kazem Battine Al Hayani : Professeur de Psychologie – Faculté des lettres- Université al Moustanssariyah. Enlevé par des membres d’une milice religieuse le 3 Mars 2006. Son cadavre, mutilé, a été retrouvé à l’Institut Médico-légal.
      82- Mohammad Abdel Rabih Al Ani : Professeur de Droit à l’Université Al Moustansaryah. Doctorant à la Faculté des Sciences Islamiques à l’Université de Bagdad. Assassiné le 27 avril 2006 devant la Mosquée « Imam Farouq », proche de la Rue Palestine, dans le centre de Bagdad. Son cadavre a été retrouvé cinq jours plus tard le 2 Mai 2006 à l’Institut Médico-légal de Bagdad.

      Université de technologie Bagdad (8 membres)

      83- Mohie Hussein : Génie mécanique-Université de Technologie
      84- Mohammad Abbas Khodeyr : Génie mécanique- Université de Technologie.
      85- Qahtane Kazem Hatem : Faculté des Sciences-Université de Technologie.
      86- Amir Mouzher Al Dayni : Ingénieur Télécommunications.
      87-Mohamad Abdel Hassan Wahed : Institut de Gestion Technologique- Bagdad.
      88- Amr Ibrahim Hamza : Centre de Recherches sur le Cancer – Institut de Gestion Technologique.
      89- Issam Saad Abdel Karim : Géologue. Chercheur au Centre National des Recherches. Enlevé le 28 Septembre 2004, assassiné le 1 er Octobre 2005.
      90- Mohannad Saleh Mehdi : Centre de Recherches sur le Cancer – Institut de Gestion Technologique.
      91- Saad Yassine Al Ansari : Centre de Recherches sur le Cancer – Institut de Gestion Technologique.

      Université Al Anbar (Ouest de l’Irak qui abrite les deux villes rebelles à la présence américaine Ramadi et Falloujah) : (7 membres)

      92- Raad Okhsen Al Binno : Faculté de Médecine-Université Al Anbar.
      93-Ahmad Abel Rahman Al Qobeissy : Professeur faculté de Médecine-Université Al Anbar
      94- Ahmad Abdel Hadi Al Rawi : Faculté d’Agronomie – Université Al Anbar.
      95- Chaker Mahmoud Jassem : Faculté d’Agronomie – Université d’Al Anbar.
      96- Abdel Karim Mokhallaf Saleh : Faculté des Lettres – Département de Langue Arabe – Université d’Al Anbar.
      97- Nasser Abdel Hamid Moukhlef Al Douleimy : Université Al Anbar

      98- Hamid Faysal Antar : Faculté de l’Éducation Sportive – Université Al Anbar.
      99- Abdel Majid Al Karbouly : Université Al Anbar

      Université Al Nahrayne (Université des deux fleuves ; le Tigre et l’Euphrate). 3 membres

      100- Akil Abdel Jabbar Al Bahadl y : Vice-Doyen Faculté de Médecine-Université d’Al Nahrayne (Université des deux fleuves ; le Tigre et l’Euphrate).
      101- Laith Abdel Aziz Abbas : Faculté des Sciences – Université d’Al Nahrayne.

      102- Mohammad Falah Houeidy Al Jazairy : Chirurgie réparatrice- Faculté de Médecine – Université d’Al Nahrayne. Assassiné le jour de son retour du pèlerinage de La Mecque début 2006. Médecin au CHU (Centre Hospitalier Universitaire) d’Al Kazmiyah (Bagdad).

      Université de Dyala : (Ouest de l’Irak, 6 membres)

      103- Abdel Sattar Al Assady : Faculté des Lettres – Université de Dyalla. Assassiné le 19 avril 2006.
      104- Salem Hussein Al Mahdawi : Faculté des Lettres – Université de Dyalla. Assassiné le 9 avril 2006.
      105- Mouchhen Hardane Mazloum Al Alawi : Université de Dyalla. Assassiné le 19 avril 2006.
      106- Mayss Ghanem : Membre du corps professoral du Département de langue et de civilisation anglaise – Université de Dyalla.
      107- Abdel Sattar Jabbar : Faculté de Médecine Vétérinaire- Université de Dyalla. Assassiné le 22 avril 2006.
      108- Taleb Ibrahim Al Zahar : Spécialiste de physique nucléaire – Professeur-à la Faculté des Sciences- Université de Diyala. Assassiné à Ba’aqouba en Mars 2005.

      Université de Tikrit (centre de l’Irak, Région natale de Saddam Hussein)

      109- Fadl Moussa Hussein : Faculté de l’Education Sportive – Université de Tikrit.
      110- Mahmoud Ibrahim Hussein : Faculté des Lettres – Université de Tikrit

      Université Al Ma’moun

      111- Mohsen Abbas Khodeir Al Salmane : Chef du département au ministère de l’irrigation. Professeur à l’Université Al Ma’moun, tué à Falloujah en 2004

      Divers

      112- Wajih Mahjoub Al Taï : Directeur général de l’enseignement supérieur au ministère de l’Éducation Nationale
      113-Chaker Al Khafaji : Directeur de l’Office Central de la Maîtrise de la Qualité.
      114- Moustapha Abel Hamid Al Hayti : Spécialiste des maladies infantiles.
      115-Wissam Al Hachimi : Président de l’Association des Géographes d’Irak.
      116- Raad Abdel Latif Al Saadi : Linguiste. Conseiller en langue arabe au ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Assassiné le 28 mai 2005, quartier d’Al Bayyah (Bagdad).

      117- Hussein Nasser Khalaf : Chercheur à la Faculté d’Agronomie. Centre des études « Al Nakhil » (Palmiers-Dattiers) de Bassorah. Enlevé le 18 Mai 2005, son cadavre a été retrouvé, quatre jours plus tard, le 22 Mai 2005, dans le quatier Al Bayyah-Bagdad.
      118- Taqi Al Talqua’ay : Titulaire d’un doctorat en physique nucléaire.
      119- Khawla Mohammad Taqi : Faculté de Médecine-Université de Coufa
      120- Zaki Jaber Lafta Al Saadi : Faculté de médecine vétérinaire.
      121- Mohsen Souleimane Al Oujeily : Faculté d’Agronomie- Université de Babel.

      122- Dr Liwa Al Sannanne Abdel Jabbar Abou Halhal : Université Al Bakr pour les Hautes Études. Assassiné à la prison d’Abou Ghraib en 2004.
      123- Ali Mabak Al Malki : Expert comptable – Direction des impôts – Ministère des Finances.
      124- Achoura Awdat Al Rabihi : Titulaire d’un Magistère en Géographie Humaine de l’Université de Michigan. Directeur du Centre d’Études « Al Mansour ». Assassiné dans le quartier Al Amriyah (Bagdad) en 2004.
      125- Moujber Al Cheikh Issa al Jouboury : Juriste. Membre du « Comité de Rédaction de la Constitution.
      126- Damman Hussein Alaoui Al Obeidy : Doyen de la Faculté de Droit de l’Université de Salaheddine et membre du « Comité de Rédaction de la Constitution ». Assassiné le 12 juillet 2005 à Bagdad.
      127- Sabah Aziz Hachem : Institut de technologie – Province de Bassorah. Tué devant l’entrée de l’établissment le 11 Avril 2006.
      128 – Faydi Mohammad Al Faydi : Membre du Haut Comité des Théologiens de l’Islam. Titulaire d’un Doctorat de l’Université de Législation islamique (promotion 1990). Tué devant la Mosquée dans le secteur d’Al Mouthanna (district de Mossoul).
      129- Amid Mounzer Al Bayati : Médecin. Asssassiné le 16 juin 2005 devant sa maison située dans le quartier Al Sayyeh.
      130- Amid Sadeq Al Abadi : Medecin. Assassiné le 1 er septembre 2005 devant le complexe médical qu’iil avait édifié pour les soins aux nécessiteux.
      131- Amer Mohammad Falah : Chef du département de Chirurgie au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Républicain de Bagdad. Assassiné devant son domicile le 3 Octobre 2004.
      132- Reda Amine : Assistant technique – CHU de Kirkouk. Assassiné le 15 septembre 2004 à Kirkouk.
      133- Abdallah Saheb Younes : Hopital Naaman-Al A’Azamiyah-Bagdad. Assassiné le 18 Mai 2005.

      134- Ibrahim Ismail : Directeur général du Département de l’Éducation Nationale à Kirkouk. Assassiné le 30 Septembre 2004, alors qu’il était en route vers l’Institut de Technologie de Kirkouk.
      135- Rajeh Al Ramadani : Inspecteur au ministère de l’Éducation Nationale. Assassiné le 29 septembre 2004, alors qu’il sortait de la Mosquée Ziad Al Iraqi à Ninive.

      Source : Madaniya, René Naba, 21-09-2018

      #génocide

  • L’affaire Benalla, une revanche pour « l’ancien monde »

    https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/07/28/l-affaire-benalla-une-revanche-pour-l-ancien-monde_5336968_823448.html

    Relégués, ringardisés et parfois méprisés par la jeune majorité LRM depuis un an, les représentants de l’opposition se délectent aujourd’hui des difficultés du pouvoir.

    Une atmosphère électrique. Le secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler, déroule ses arguments, point par point, depuis plus de deux heures et demie. Dans les sous-sols du Sénat, la climatisation fonctionne mais les esprits s’échauffent. L’audition du bras droit du président de la République, jeudi 26 juillet, est l’une des plus attendues de la commission d’enquête sénatoriale sur l’affaire Benalla, qui empoisonne l’exécutif depuis plus d’une semaine.

    Fatigué, les mains jointes devant le visage, Alexis Kohler tente de créer un moment de complicité avec le président de la commission, Philippe Bas. Le sénateur Les Républicains (LR) de la Manche est l’un de ses lointains prédécesseurs à l’Elysée. C’était sous Jacques Chirac. Une éternité. « Vous avez occupé la fonction que j’ai l’honneur d’occuper… », commence l’actuel secrétaire général de l’Elysée. La réponse tombe, cinglante : « C’était la préhistoire et l’ancien monde. Je veux bien reconnaître qu’il y ait des différences… »

    Dans la salle Clemenceau du Sénat, où se succèdent les auditions de la commission d’enquête, un ange passe… « La démocratie, c’est le pouvoir des poux de manger des lions », philosophait le Tigre. Aujourd’hui, les « poux » se régalent des déboires de ceux qui jouent aux « lions » depuis plus d’un an.

    En 2017, les jeunes fauves ont brutalement supplanté et ringardisé les partis politiques traditionnels et les élus de tout bord, qu’ils ont eu tôt fait de reléguer sous le vocable peu flatteur d’« ancien monde ». Multipliant les leçons d’exemplarité, La République en marche (LRM) a assommé, désorienté, et rendu inaudibles les tenants de l’ordre d’avant. En quelques jours, l’affaire Benalla a permis à ces derniers de se refaire une santé. Députés de l’opposition, anciens ministres, parlementaires déchus se délectent aujourd’hui des petites et grandes misères de la Macronie, tout en pensant tenir une forme de revanche.

    Le Sénat, « the place to be »

    Le retour en grâce du Sénat en est une illustration. Réputée poussiéreuse, inutile, cette chambre qui travaille dans l’ombre est le refuge des vieux élus et l’incarnation de l’art consommé du compromis politique. D’habitude désertée par les journalistes, c’est aujourd’hui « the place to be ». Là que se déroulent les auditions les plus attendues, celles qui ont été refusées par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale, contrôlée par LRM. Ici que sont entendus les piliers du régime, Alexis Kohler ou encore Christophe Castaner, le délégué général de LRM.

    Ici encore que, de l’avis général, le travail est le plus appliqué, le plus serein. Au point même que certains députés viennent en prendre de la graine. Jeudi matin, Marine Le Pen y joue ainsi les invités surprise, assise en tribune, dans le public, pour écouter M. Kohler. Même La France insoumise (LFI) est prise en flagrant délit de défense de la vieille chambre. « Je suis sous le choc, je défends des institutions bourgeoises et parlementaires de la Ve République alors que je suis trotskiste ! », a ironisé la députée (LFI) de Paris Danièle Obono. « Pour le Sénat, c’est inespéré », glisse un député LR pas tout à fait « nouveau monde ».

    Inespéré aussi le sursaut à l’Assemblée nationale, où les groupes de l’opposition retrouvent des couleurs. Un petit livre rouge et bleu est devenu le symbole de leur revanche : le règlement de l’Assemblée nationale. C’est grâce à cet objet, brandi dans l’Hémicycle 298 fois en quatre jours pour signaler un « rappel au règlement », que les députés de droite et de gauche ont pu paralyser les débats plusieurs jours d’affilée. L’obstruction, cette bonne vieille combine parlementaire.

    La majorité a dû céder, laissant l’opposition s’engouffrer dans la brèche. Coup sur coup, celle-ci a obtenu l’ouverture d’une enquête parlementaire, la publicité des auditions, et, finalement, le 22 juillet, l’ajournement de la réforme des institutions. Le texte, qui avait fait l’unanimité contre lui à l’Assemblée nationale, est repoussé sine die. Première victime collatérale de l’affaire Benalla.

    Une même scène se répète, à la buvette ou dans les couloirs. Un député de la majorité veut savoir : « C’est pas bientôt fini ce cirque ? » Avant de se voir rétorquer : « Ça fait un an qu’on en prend plein la tronche, c’est pas maintenant qu’on va vous lâcher ! » Suspecte hier, l’expérience est redevenue désirable. Aux élections législatives de juin 2017, les Français avaient plébiscité la nouveauté, installant des centaines de novices au Palais-Bourbon. Dans une crise, l’épaisseur politique donne pourtant l’avantage.

    « Il est frappant de voir autant d’amateurs au mètre carré, raille le chef de file de LFI, Jean-Luc Mélenchon. Ils ne comprennent rien à l’Etat et à la gestion de crise. » « Ils sont nuls, nuls, nuls !, s’écrie de son côté un ancien ministre de droite. Ce n’était quand même pas très compliqué de nous renvoyer au SAC [Service d’action civique] de [Charles] de Gaulle ! » « Les députés de la majorité ont été tellement abandonnés par leurs cadres que l’opposition n’avait pas besoin d’être dotée d’un sens élevé de la stratégie pour renverser la vapeur », analyse le député communiste de Seine-Saint-Denis Stéphane Peu.

    « Ça remet la balle au centre »

    Quoi qu’il en soit, plus personne à LRM n’ose critiquer l’ancien monde. « Il faut savoir s’appuyer sur l’expérience de ceux qui ont un passé politique », concède la députée (LRM) de l’Isère Emilie Chalas. Cette querelle des anciens et des modernes s’est parfaitement incarnée dans le face-à-face entre les deux corapporteurs de la commission d’enquête parlementaire consacrée à l’affaire Benalla, Yaël Braun-Pivet (LRM) et Guillaume Larrivé (LR). Les deux députés ont tenté de porter ensemble la commission, en vain. La néophyte n’a jamais réussi à prendre l’ascendant sur le conseiller d’Etat, qui a fini par claquer la porte, jetant le discrédit sur la commission.

    « Quand vous avez subi un an d’arrogance, sans expérience, sans recul historique et sans analyse politique, et que vous arrivez à renverser les choses, ce n’est pas que ça fait plaisir, mais ça remet la balle au centre », se gargarise encore Stéphane Peu. Pour se défendre, certains macronistes comme Emilie Chalas dénoncent « une soif de vengeance, des frustrations et des jalousies ». Les plus expérimentés des députés LRM le reconnaissent toutefois : un « flottement » s’est installé dans la majorité en début de crise. « Les députés d’opposition ont été malins et ils ont eu raison », concède l’une d’entre eux.

    « Attention à l’effet boomerang »

    Face à la majorité, les ténors de l’opposition s’affichent ostensiblement ensemble, se congratulent ou s’applaudissent. Drôle de concorde. Danièle Obono (LFI), Marine Le Pen (Rassemblement national, ex-FN) et Philippe Gosselin (LR) dénoncent ainsi côte à côte devant les caméras le « coup de force » de la majorité, qui a notamment voulu imposer sa liste de personnes auditionnées par la commission d’enquête.

    Ici, M. Mélenchon et Christian Jacob (LR) sont immortalisés en pleine conversation dans l’Hémicycle par une députée LRM. Là, le même Mélenchon se promène avec le député souverainiste de l’Essonne Nicolas Dupont-Aignan dans les couloirs du Palais-Bourbon. « Quand il s’agit de protéger l’Etat et de faire respecter la norme républicaine, il y a une convergence avec la droite, je l’assume », répond le président du groupe LFI.

    « Ils sont goguenards et ravis. Ils rongent l’os qu’on leur a donné à manger et ils vont le tirer jusqu’à la ficelle », analyse le député (MoDem) des Yvelines Bruno Millienne, avant d’avertir ses collègues : « Attention à l’effet boomerang, les Français vont se lasser. » « S’ils ne comptent que là-dessus pour se relégitimer, c’est la démonstration de la pauvreté de leur projet politique », lâche à son tour la députée (LRM) des Yvelines Aurore Bergé. « Comme s’il n’y avait pas eu [Patrick] Balkany et [Jérôme] Cahuzac », grommelle une autre députée LRM, renvoyant les partis d’opposition à leurs propres turpitudes.

    « Finalement le nouveau monde est très ancien ! »

    Le feuilleton de l’affaire Benalla apparaît encore plus savoureux pour ceux qui ont été mis hors jeu en 2017, à la faveur de l’alternance. « Je n’ai même pas besoin de regarder la télévision, je suis sur ma chaise longue et tout me parvient par SMS ! », s’amuse Jean-Christophe Cambadélis, depuis son lieu de vacances. « Il y a une forme de jubilation quand on voit que le président de la République combine en une seule affaire à la fois Cahuzac [l’ancien ministre du budget avait menti sur son compte en Suisse] et Leonarda [du nom de cette jeune Kosovare dont François Hollande avait tranché le sort, devant les caméras] », pouffe encore l’ancien premier secrétaire du PS.

    D’anciens conseillers du pouvoir, qui ont connu M. Macron à Bercy, se délectent eux aussi du feuilleton. La moindre information est partagée, diffusée et commentée dans des groupes de discussion sur l’application WhatsApp.

    « A chaque nouveau rebondissement, après chaque révélation, chaque contradiction, on s’envoie le même GIF [courte vidéo], se marre l’un d’entre eux, Michael Jackson dans un cinéma mâchouillant du pop-corn en regardant avidement la scène. »
    Du passage de l’actuel chef de l’Etat au ministère des finances, sous le précédent quinquennat, ces ex-conseillers ont gardé un fond de rancune qui éclaire, pour eux, l’épisode Benalla d’une lumière savoureuse. « Comme du temps de Bercy, la garde rapprochée d’Emmanuel Macron est sur un piédestal », commente l’un d’eux, sans cacher son étonnement : « Comment quelqu’un d’aussi minutieux a-t-il pu laisser un truc pareil se faire, ses collaborateurs se contredire [au sein de la commission d’enquête] ? Finalement le nouveau monde est très ancien ! »

    « Ce sera la tache du quinquennat »

    La Sarkozie non plus n’en rate pas une miette. Entre une séance de jardinage et son départ en vacances, l’ancien ministre Brice Hortefeux ne se lasse pas de commenter l’« affaire de l’Elysée ». « Cela restera un marqueur du quinquennat. Il y a toujours des taches, mais il y a les indélébiles. Celle-ci en sera une. Ce sera la tache du quinquennat », observe-t-il.

    En revanche, les deux anciens chefs de l’Etat, François Hollande et Nicolas Sarkozy, sont restés prudemment en retrait. Sans rien rater des événements, ils savent que toute intervention de leur part pourrait leur être reprochée. Le président de LR, Laurent Wauquiez, s’est lui aussi tenu à l’écart du feuilleton ; Brice Hortefeux lui a conseillé de « prendre de la hauteur ». Et de commencer à préparer le coup d’après.

    Cette crise, ce sont finalement les routiers de la politique qui en parlent le mieux. Dans le « vieux monde » socialiste, on se raconte ce que François Mitterrand aurait dit un jour à propos de Laurent Fabius qui, dans les années 1980, incarnait alors le « nouveau monde ». « Il y a deux singes. Celui qui reçoit des décharges électriques tous les jours, ce qui finit par être indolore : c’est l’ancien monde. Et il y a un autre singe, celui qui n’en prend jamais. Alors, quand il en prend une, il meurt. »

    • Le ministre de l’Agriculture Stéphane Travert a plaidé qu’il fallait un texte « qui marche sur ses deux jambes » et souligné « le rôle de régulateur du CSA » qui peut « travailler sur les contenus », « sans que nous ayons besoin d’inscrire des choses par trop contraignantes dans la loi ».

      Si le CSA peut régulé pourquoi ne le fait il pas déjà ?

      Les labos feront des bénéfices pharmamineux avec tous ces insulo-dépendant·es, sans compter le business des assurances puisque que la liquidation de la sécurité social est sur la route de ces marcheur·euses au talons de fer.
      #cynisme #thanatocratie #diabète

    • Il manque une info interessante sur ouest-france
      cette loi refusé n’était pas seulement sur la pub, mais comportait une partie sur les information présentes sur l’étiquette

      L’Assemblée nationale s’est refusée, dimanche 27 mai, au terme d’un débat animé, à inscrire dans la loi l’interdiction des publicités pour des produits alimentaires trop gras, trop sucrés ou trop salés à destination des enfants, ainsi qu’à rendre obligatoire l’étiquetage Nutri-Score.
      Des amendements défendus notamment par Olivier Véran (LRM, ex-PS) et d’autres « marcheurs », ainsi que des MoDem et LFI, pour rendre obligatoire la mention du Nutri-Score (étiquetage avec un code couleur) sur tous les supports publicitaires pour les denrées alimentaires ont subi le même sort, par 45 voix contre 18. « Quand on vous dit : “mange ces céréales et le Tigre est en toi”, ce qu’on oublie de vous dire (…) c’est qu’il y a aussi 50 grammes de sucres ajoutés et 30 grammes de graisse saturée », a notamment observé M. Véran, médecin, notant qu’il ne s’agit pas d’interdire mais de « donner une juste information ».

      Mais le ministre a notamment invoqué le « risque » européen que cela ferait peser sur l’expérimentation en cours concernant cet étiquetage, « une belle démarche » mais basée sur le volontariat.

      Le rapporteur, Jean-Baptiste Moreau (LRM), a aussi invoqué « l’impossibilité juridique » de rendre le Nutri-Score obligatoire, disant craindre « un sort funeste » pour l’ensemble du dispositif par « effet boomerang ». Martine Leguille-Balloy (LRM), avocate, qui a dit « travailler pour Fleury-Michon », a appelé à ne « pas agacer des gens qui peut-être demain vont mettre [la mesure] au niveau européen ».

      En savoir plus sur https://www.lemonde.fr/sante/article/2018/05/27/l-assemblee-nationale-rejette-l-interdiction-des-publicites-pour-aliments-tr

      A part ca je compend pas ce que dit Martine Leguille-Balloy. Quant on est députée on peut travaillé encore pour Fleury-michon ?
      http://www2.assemblee-nationale.fr/deputes/fiche/OMC_PA722008

      –----

      Yves Gonnord, ancien patron de Fleury Michon (3 900 salariés), a retiré son soutien à Wilfrid Montassier pour l’apporter à Martine Leguille-Balloy.

      https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/les-herbiers-85500/legislatives-vendee-le-bocage-de-centre-droit-seduit-par-macron-5058169

    • En ce moment, je fais mes exercices devant Sauvons le capitalisme, un doc sur Netflix au sujet du livre de l’ancien secrétaire au travail de Clinton, Robert Reich. Ce matin, il racontait précisément son dégout quand, en 1971, alors en poste dans une administration de protection des consommateurs, il s’était retrouvé avec tous les pas encore lobbies agroindustriels sur le dos pour avoir demandé une loi visant l’interdiction des pubs d’aliments pour enfants… Personne n’en avait rien à foutre de santé publique, tout le monde voulait juste augmenter les profits.
      Le résultat, on le connait.

      1971… l’année de ma naissance…

      Bref, ces gorets savent pertinemment ce qu’ils font, ils connaissent les conséquences de leur cupidité.
      Et ils s’en foutent.

  • Hier je me suis demandé si Chatroulette existait encore ou caméra virtuelle
    http://namok.be/blog/?post/2018/05/15/chatroulette-ou-camera-virtuelle

    Si vous avez une caméra sur votre laptop, vous l’avez probablement recouverte d’un papier… soit parce que vous êtes parano soit parce que vous vivez nu·e soit parce que vous ne l’utilisez en fait jamais.

    Le petit papier sur la caméra c’est bien. C’est facile. On ne voit pas ce qu’il se passe chez toi (éventuellement à ton insu). Par contre — petite digression — si tu es à peine parano, il faudrait surtout être sûr que ton micro ne fonctionne pas… mais c’est une autre paire de manches et un autre débat.

    La caméra donc.

    Pour une raison qui m’échappe je me suis rappelé l’existence de Chatroulette. Pour rappel, (re)lisez « À la recherche du chat sur la roulette ». Ça date de 2010 — huit ans déjà — et, je voulais savoir si le service était toujours là. En huit ans, on aurait pu le perdre et cela aurait été (...)

    #Mes_doigts_dans_le_clavier #divers #geek #inutile

  • Croyances et dictons populaires de la vallée pu Ngu6n-Sơn (fin) - Persée
    http://www.persee.fr/doc/befeo_0336-1519_1901_num_1_1_1017

    Le #crapaud dit un jour au tigre : « Veux-tu lutter avec moi à la course ? — Cha châ ! tu n’y penses pas ! — Essayons, je parie que je te surpasserai. — .l’y consens. » Le crapaud saisit le bout de la queue du tigre au moment où celui-ci parlait. Après avoir traversé montagnes et vallées, fourrés et clairières, le tigre s’arrêta et se retourna pour voir si le crapaud le suivait. Mais le mouvement de sa queue provoqué parle brusque arrêt, avait projeté le crapaud quelques pas en avant du tigre : « Je suis ici devant toi, pourquoi me cherches-tu en arrière ? » Le tigre, tout étonné, demanda un peu de répit pour aller se rafraîchir au lorrent voisin. Là il rencontra la tortue qui lui dit : « Qu’a donc mon frère aîné qu’il est si altéré ? — Vraiment j’ai grand soif, mais je suis surtout bien ému parce qui m’est arrivé : figure-toi que le crapaud m’a dépassé à la course. — Ce n’est pas étonnant, il avait atlrappé le bout de ta queue et tu l’as fait sauter devant toi en t’arrêtant. Si tu veux lui jouer un tour, attache une grosse pierre à ta queue, il ne pourra plus s’y suspendre et tu arriveras avant lui. » Le tigre suivit le bon conseil qu’on lui donnait. Le crapaud ne put pas saisir le bout de la queue du tigre, mais comme celui-ci traversait le torrent, la pierre l’entraîna au fond et il se noya.

    Gomme on le voit, dans toutes les histoires où figure le tigre, il joue toujours le vilain rôle : c’est lui qui est ou battu ou mystifié.

    Dans une longue histoire qui se rattache au proverbe : « Le crapaud pousse trois cris et il est entendu du ciel, à combien plus forte raison les hommes (*) », on voit une partie de cette fable de la lutte du crapaud et du tigre. Plusieurs animaux, entre autres le tigre et le crapaud, discutaient pour savoir qui irait porter aux génies du ciel les doléances des habitants de la terre, affligés par une longue sécheresse. On résolut de mettre à l’épreuve la force de chacun : celui qui franchirait le premier un torrent qui était près de là, serait chargé de cette délicate mission. Le tigre l’aurait emporté, si le crapaud n’avait eu soin de saisir le bout de sa queue. L’effort que fit le tigre en sautant et le brusque mouvement delà queue projetèrent le crapaud bien loin en avant du tigre : le crapaud fut déclaré vainqueur et chargé d’aller à la demeure des génies. Il eut d’ailleurs assez d’éloquence pour se faire écouter : à peine eut-il poussé trois « •ris que les génies firent tomber l’eau en abondance.

    (’) Concóc kêu ba tiêng, câng than trài ; laiàng chi nga-ô-i la ’.


  • https://vod.mediatheque-numerique.com/films/les-femmes-de-visegrad

    Un film de Jasmila Zbanic, ce film raconte l’histoire véridique d’une touriste ayant séjourné dans un hôtel des environs sans savoir que de terribles exactions y avaient été commises : environ 200 femmes bosniaques ont été violées et massacrées dans l’établissement. Apprenant la vérité à son retour en Australie, elle décide de revenir enquêter sur place, où police et population lui mettent des bâtons dans la caméra.

    Glaçant et salutaire. En lien avec un reportage de émilien Bernard dans le dernier n° de CQFD

    Déni de #mémoire à l’est de la Bosnie : #Višegrad, la ville qui a coupé le pont avec son passé > En 1992, des #milices_serbes ont massacré les populations musulmanes de Višegrad, dans l’est de la #Bosnie-Herzégovine. Une histoire terrible, beaucoup moins connue que d’autres épisodes du conflit yougoslave. Et pour cause : tout est fait pour occulter ce passé, des actions de la municipalité aux délires d’un certain #Kusturica. Reportage.

    http://cqfd-journal.org/Au-sommaire-du-no159

    http://www.livredepoche.com/sites/default/files/styles/cover_book_focus/public/media/imgArticle/LGFLIVREDEPOCHE/2013/9782253933212-T.jpg?itok=WgWcH3ex
    http://www.livredepoche.com/le-pont-sur-la-drina-ivo-andric-9782253933212
    « La construction d’un pont représente après celle d’une fontaine, la plus sacrée des oeuvres, et y toucher est le plus grand des péchés. » Ivo Andric
    #crime_contre_l'humanité #cqfd #reportage
    @cqfd n’est pas sur de passer l’hiver (PPH), plus de reportage comme celui-ci, le chien rouge risque d’aller à la niche avec Article11, Zélium, Le Tigre, Offensive ...
    envoyer la soudure : http://www.kedistan.net/2017/11/10/cqfd-sos

  • Hello,

    Je viens vous annoncer la sortie de mon premier livre « deux fois né », aux éditions Verticales, dans toutes les bonnes librairies à partir du 12 octobre.

    J’ai appris cent trente mille et une choses ici. Maintenant, c’est mon tour, laissez-moi vous rendre l’appareil (sic).

    Au travers de cette enquête, vous découvriez #Mètis, une océanide polymorphe méconnue, pourquoi, parfois, on a envie de tuer sa mère (et tout un tas d’autres gens), qu’est-ce qui se passe à Ikaria, l’île où les fêtes archaïques s’enchaînent sans interruption, ce qu’est un NINJA swap et certaines astuces comptabilité créative, qu’est-ce que l’UE envoie aux chèvres ikariote pour qu’elles frôlent le cannibalisme, ce qu’est la Katharevoussa, un chaïdevtiko ou encore ce que veut dire μοιραζώ (Moirazô) – mais aussi, vous apprendrez pourquoi les situations familiales impossibles ont la forme d’une boucle qui ressemble à un nœud qui ressemble à une toupie, qu’est-ce que la structure fondamentale d’hallucinations sous peyotl (qui est étrangement la même que celle de la mètis), comment les fascistes remontent la rivière, pourquoi un CAP de charpentier peut être une manière de thérapie, que se passe-t-il donc au dispensaire de solidarité de Thessalonique, pourquoi le désert mexicain est une figure paternelle ingrate, comment faire pour survivre quand on a l’impression d’être assis sur un champ de ruines héllénoïdes.

    C’est un livre riche, que j’ai tout de même essayer de rendre digeste et plaisant. Normalement, au sens propre, ça devrait vous éclater.

    http://www.editions-verticales.com/fiche_ouvrage.php?id=400&rubrique=3

  • La Grèce en 800 av. JC

    Je relis une série de livres qui datent du début des années 80. Je recevais ça une ou deux fois par mois. L’histoire de l’humanité en 52 volumes.

    Les premiers volumes évoquent l’histoire des premières civilisations, entre le Tigre et l’Euphrate. Telle citée gouvernée par tel roi qui attaque telle autre cité... certains habitants qui sont plus égaux que les autres habitants, l’esclavage, les grands palais, les pyramides...

    Et là, sur la Grèce, on en est à environ 800 av JC... Et je lis ces pages. Et je souris.

    L’impression d’un éternel recommencement, entre les massacres, les guerres, les révolutions, etc.

  • Délocalisez-vous !

    Salut Medhi et Cédric. On ne se connaît pas : sans doute n’avez-vous jamais ressenti le plaisir de lire Le Postillon, même si vous êtes tous les deux grenoblois. Vous n’êtes pas élus, chefs d’entreprise, ou responsables de quoi que ce soit, donc a priori nous n’avons aucune raison de parler de vous sans vous prévenir.
    Mais vous avez la chance d’avoir été choisis complètement arbitrairement pour notre « portrait Twitter ». En 2009, le curieux magazine Le Tigre avait fait sensation en dressant le « portrait Google » d’un inconnu, entraînant un débat national sur la quantité d’informations privées laissées sur Internet. Depuis Le Tigre a hélas disparu, en même temps que les possibilités de livrer sa vie privée aux internautes se sont démultipliées. Joie du monde moderne : il y a maintenant des applications de géolocalisation qui permettent de littéralement suivre à la trace des inconnus.
    Chers Mehdi et Cédric, vous en êtes adeptes, quoique de façon très différente. Grâce à vos comptes Twitter et Instagram, on va donc raconter un peu vos vies. Pardonnez-nous cette indélicatesse, mais après tout, vous n’aviez qu’à faire un peu attention.

    La suite est à lire sur https://www.lepostillon.org/Delocalisez-vous.html

    #Twitter #géolocalisation #foursquare #allezvousfaireconnecter

  • Syrie : comment les rebelles ont perdu la bataille d’Alep - Moyen-Orient - RFI
    http://www.rfi.fr/moyen-orient/20170102-syrie-alep-comment-rebelles-perdu-bataille-5e-colonne-medias?ns_campaig

    Pour venir à bout de ce qui était censé être une forteresse, l’armée syrienne et ses alliés ont mobilisé, selon une source proche du Hezbollah libanais, pas moins de trente-cinq mille hommes, déployés sur un front de 80 kilomètres entourant les quartiers Est. Le gros des troupes était formé d’unités de l’armée syrienne, dont des régiments d’élite de la Garde républicaine, la division palestinienne al-Qods, relevant de l’état-major syrien, et la milice supplétive des « Aigles du désert », composée d’éléments tribaux. Mais il y avait aussi plusieurs milliers de soldats aguerris du Hezbollah, des Gardiens de la révolution iraniens, des membres de la milice irakienne al-Nujaba’, et des combattants chiites afghans appelés les « fatimides ». Des dizaines d’officiers et de soldats des forces spéciales russes étaient également déployés sur les lignes de front.

    Cette armée disposait d’une impressionnante puissance de feu, composée de centaines de pièce d’artillerie de campagne, de lance-roquettes multitubes, de mortiers, de mitrailleuses lourdes de 23 mm, 14,5mm et 12,7 mm, ainsi que d’une centaine de tanks et des dizaines de véhicules blindés, selon un général libanais à la retraite, expert de la guerre syrienne.

    Sous le commandement du célèbre colonel Souheil al-Hassan, surnommé « Le tigre », cette force a mis en œuvre des tactiques militaires inspirées par cet officier, connu pour ses méthodes frontales. Au lieu de concentrer son effort sur les points faibles du front, l’armée syrienne et ses alliés ont attaqué les secteurs bien défendus, utilisant des tactiques de diversion et de segmentation des lignes ennemies. La chute de Hanano, le plus grand quartier situé à l’extrémité Est d’Alep, a porté un coup décisif au moral des rebelles, qui s’attendaient à une offensive d’envergure à Cheikh Saïd, au sud-ouest.

  • Alep ou Stalingrad sur le Tigre (*)
    http://www.dedefensa.org/article/alep-ou-stalingrad-sur-le-tigre

    Alep ou Stalingrad sur le Tigre (*)

    En arrière plan, une victoire presque inaperçue

    La décision prise par les pays de l’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole à Alger fin novembre 2016 de réduire de 1,2 Million baril/jour leur production était conditionnée par un effort équivalent que consentiraient d’autres pays producteurs non affiliés à l’OPEP.

    C’est chose faite depuis le 10 décembre 2016.

    Réunis à Vienne, les autres pays producteurs majeurs ont conclu cet accord qui représente un niveau de coopération sans précédent.

    Les non OPEP, essentiellement la Russie, s’abstiennent d’extraire 600 000 barils jour.

    Les 1,8 millions quotidiens ainsi ôtés représentent 2% de la production mondiale.

    Deux années d’effondrement des cours ont affecté les économies des pays concernés par la rente de l’or noir. En (...)

  • J – 162 : Longtemps j’ai pensé que l’on ne pouvait pas se faire avoir avec une arnaque dite nigérianne, que les ficelles étaient trop grosses, que l’on voyait bien le truc venir, et de loin encore.

    Et puis hier j’ai eu cet échange avec mon amie J. J’ai laissé l’orthographe d’origine, j’en suis encore étonné de ne pas avoir remarqué que ce n’était pas, vraiment pas, le niveau de langue de J.

    Bonjour, Comment vas tu ? Pouvons-nous correspondre par mail pour un recours et si possible ta disponibilité ? je reste en ligne devant l’ordi vu que j’ai un souci avec le tel.
    J.

    J., je suis là
    Phil

    Merci de m’avoir répondu. Je suis un peu embêté face une situation, j’ai le téléphone qui s’y met... Sûrement, un problème de batterie. Serait-il possible de me rendre un service ? J’ai du mal à trouver des recharges PCS mastercard comme je le fais habituellement via internet, c’est devenu un vrai casse-tête, impossible d’en trouver dans les points de vente( bureaux de tabacs, points presses, Taxiphones, stations-service...). Y a-t-il un point de vente non loin de toi ? Si oui peux-tu te rendre dans l’un de ces points de vente et me prendre 4 coupons PCS mastercard de 250 euros chacun. Dans le cas contraire,je me contenterais de ce que tu pourras m’apporter dans l’immédiat. Je parie que tu dois te demander, c’est quoi des recharges PCS, en fait, les recharges PCS sont des e-recharges que j’utilise pour des achats via le net et quand je suis en déplacement pour les vacances ou pour affaires. Il suffit de te rendre dans l’un de ces points de vente tel que chez un buraliste et demandé des coupons PCS , il saura de quoi il est question. Je reste connecté en attente de ton mail afin que tu puisses me transmettre les références des codes de RECH de chaque coupon. PS : N’oublie pas de m’indiquer le moyen adéquat pour le remboursement...Virement ?
    J.

    Le problème c’est que je ne peux pas vraiment m’absenter de mon travail de toute la journée et que le lundi est un jour noir pour moi, dès que je sors du travail je dois filer chercher Adèle pour l’emmener chez sa psy, donc en gros, je vais pas être disponible aujourd’hui. est-ce que cela peut attendre demain ?
    Bise
    Phil

    Je comprends ta situation, je suis vraiment désolé de te contrarier avec mon problème ce matin, mais j’ai urgemment besoin de ces coupons pour conclure une transation, pas possible de faire un effort d’avoir bureaux de tabacs, points presses, Taxiphones, stations-service juste à côté de toi pour les coupons ? je m’excuse encore de t’embêter avec ma situation
    J.

    C’est tout mon embarras, à la fois l’ambiance délétère de mon travail en ce moment et le fait que je sois coincé à la sortie. Il n’y a personne à Montreuil sur qui tu pourrais t’appuyer pour ce service qui n’est même pas énorme ?
    Phil

    Personne d’autre Tu es la seule personne à qui j’ai pu écrit, car ce que je te demandais me gêne beaucoup. surtout rassures-toi pour le remboursement.
    J.

    Tu te doutes bien que je ne me fais aucun souci d’argent. Encore que mon compte e soit pas très pourvu en ce moment. Je vais tenter une sortie en tout début d’après-midi, en sortant de déjeuner.
    Bise
    Phil

    Merci infiniment pour ton aide, je reste en ligne tient moi informée, Bise
    J.

    J.
    J’ai tenté une sortie. J’ai trouvé un commerce tabac qui vend de telles recharges, en revanche j’ai besoin de ta carte pour acheter ces recharges, j’ai eu beau inventer et broder une question de handicap (désolé seule chose qui me soit passée par la tête) pour tenter d’infléchir la dame qui, comme elle l’a dit, et cela ne va pas te faire plaisir, suivait la procédure.

    Est-ce que je peux essayer de passer en coup de vent chez toi récupérer ta carte, repartir acheter les recharges et te rapporter tout cela ?

    Ne peux-tu vraiment pas m’appeler, histoire de gagner un peu de temps ?

    Bise

    Phil

    Merci infiniment pour ton aide, le souci est que je suis en déplacement, je compte rentrer dans la soirée, ne peux-tu pas acheter ces coupons et me faire parvenir les codes de rechargement, rassures-toi pour le remboursement dès mon arrivée.
    J.

    Je ne peux pas acheter ces coupons sans ta carte. Comme dit la dame, c’est la procédure. Comme je vais aller dans Paris pour emmener Adèle chez la psy, j’essaierai alors de forcer la main à un autre buraliste qui sera peut-être moins regardant sur la procédure. Si je parviens à cela je passerai t’apporter les recharges.

    Phil

    PS peux-tu me donner ton numéro de portable s’il te plaît ?

    (Et je dois dire que c’est seulement là que j’ai commencé à flairer qu’il y avait quelque chose de pas très droit dans cette demande de J.)

    j’ai plusieurs foies achetés ces coupons chez les buralistes il n’y a pas de procédure à suivre pour avoir ces ,il suffit juste de dire au buraliste que tu as besoin des coupons de recharge et tu achete comme si les coupons etais pour toi et voila, après tu me fais parvenir les codes de rechargement par mail en ce qui concerne le rechargement j m’en occupe

    Le dernier message que j’ai envoyé est insignifiant, je conseillais à la personne qui se faisait passer pour mon amie J. d’aller se faire voir et plus si affinités. C’était le message de colère de qui se trouvait bien idiot et il y avait sans doute de quoi.

    En fait ce que je comprends de tout cela c’est que si un ami me demande un coup de main, je peux devenir vraiment idiot, stupide et manquer de jugement. C’est tout moi. Sans compter que si je me fais un ami d’un aveugle, je peux être assez distrait pour le déposer en haut d’une volée de marches de métropolitain.

    Exercice #38 de Henry Carroll : Promenez-vous avec un autre photographe et lancez-vous des défis photographiques

    C’est une chose que j’ai faite avec quelques amis photographes. Avec Barbara, nous avions échangé trois objets que nous devions chacun représenter de trois manière différentes. De mon côté j’ai appelé cela Barbara’s Moquitoes . En revanche les trois petits objets que j’avais offerts à Barbara ont tous les trois été perdus lors d’un retour en avion.

    De nombreuses fois je me suis promené avec Daphna dans Paris ou à New York, chacun son appareil, les récoltes de Daphna étaient tellement meilleures, c’était très décourageant. Il m’est arrivé par la suite de lui emprunter des négatifs pour les mélanger avec les miens dans le passe-vue de l’agrandisseur, j’ai retrouvé récemment un tirage de ce genre d’expériences dans le garage

    Mais sans doute l’une des plus belles fois, ce fut avec Bart Parker, à qui j’avais montré le début de ma série des Commuters . Bart, je ne le savais pas encore, lui, travaillait sur une série de personnes sur le départ, s’éloignat, de dos, et m’a demandé si je permettais qu’il m’accompagne un soir que je partais faire des photographies de ces personnes regagnant la gare de Chicago et leurs trains de banlieue. Nous nous sommes installé dos à dos, tel un ilôt que les Commuters étaient contraints de contourner, bien souvent c’étaient les mêmes personnes qui s’étaient fait photographier de face par moi qui étaient ensuite photographiées de dos par Bart. Bart et moi ne tirions dans la même catégorie, c’est le moindre que l’on puisse dire, aussi, quelques années plus tard quand j’ai découvert dans on livre A close brush with reality — quel titre ! —un extrait de cette série, j’ai été frappé de la force de ses images, et amusé que lui comme moi avions prévu d’associer les images prises sur le pont enjambant la fameuse rivière de Chicago sur Monroe Avenue avec d’autres images.

    Donc de face, de la série Home (Commuters), de dos, la série Leave and fall de Bart Parker.

    #qui_ca

  • A l’encontre » A Gaza être un tigre est une chance
    Par Amira Hass
    Article publié dans Haaretz le 3 octobre 2016 ; traduction A l’Encontre

    Le tigre « Laziz » lors de son transfert en Afrique du Sud (Photographie publiée dans Haaretz)
    http://alencontre.org/moyenorient/palestine/a-gaza-etre-un-tigre-est-une-chance.html

    Il y a quelques semaines, un tigre, des tortues, une autruche, des singes et d’autres animaux ont été sauvés sans encombre de leur double captivité dans la bande de Gaza, avant d’être transférés à des jardins zoologiques dans d’autres pays et dans la ville de Tulkarem en Cisjordanie. On peut dire, sans tomber dans le cynisme, que c’est la seule bonne nouvelle en provenance de la plus grande prison à ciel ouvert dans le monde, Gaza. Les animaux sont nés libres, et s’ils doivent être capturés pour le plaisir des enfants, il faut au moins leur accorder de l’espace et éviter qu’ils ne succombent sous la faim et la soif.

    Le gardien en chef – le directeur des activités gouvernementales dans les Territoires occupés [COGAT – Coordination of Governement Activities in the Territories, structure de l’Etat israélien qui s’occupe des infrastructures et « des besoins des colonies » en « Judée et Samarie » et « face à Gaza » ; elle est subordonnée au ministère de la Défense] – s’est surpassé en transmettant cette bonne nouvelle avec des communiqués de presse, des photos et des interviews. En début de semaine, le communiqué de presse du coordinateur notait : « Cette fois les singes ont également été transférés à cause des mauvaises conditions de vie qu’ils subissaient dans la bande de Gaza, qui ne permettent pas des soins optimaux adaptés à leurs besoins naturels » , avant de résumer, au nom des deux fonctionnaires qui ont coordonné le départ des animaux : « C’est notre souci pour le bien-être des animaux et le fait de savoir qu’ils recevront les bons soins médicaux qu’ils méritent qui nous conduit sans cesse à travailler vers cet objectif. » (...)

  • https://vimeo.com/158846389

    voilà ce qui occupe tout mon temps et mon esprit ces temps-ci, rien d’étonnant à ce que ça occupe aussi la plupart de mes posts seenthis.
    L’enjeu théorique et social, important pour moi - que signifie exposer de la bande dessinée dans un espace, la sortir du livre ? - est sans doute anecdotique pour beaucoup d’entre vous, j’imagine...
    Quoiqu’il en soit, j’espère que l’expo apportera des réponses intéressantes à ces questions.

  • Killoffer à la radio
    http://www.jetfm.asso.fr/site/Esperluette-lundi-23-novembre-a.html

    De passage à la libraire L’Index (Coiffard) de Nantes le 22 octobre dernier, Patrice Killoffer venait présenter notamment « Killoffer Tel Qu’en Lui-Même, Enfin » publié fraichement à L’Association, recueil de pages très largement autobiographiques parues dans le mensuel Le Tigre. Entretien sur sa pratique : le dessin, l’illustration, la bande dessinée. Durée : 1h58. Source : Jet FM

    http://www.jetfm.asso.fr/site/stockage/esperluette/esperluette_151123_killoffer.mp3

  • L’"Arche de Noé végétale" sollicitée pour la première fois du fait du conflit syrien
    AFP.com
    http://www.afp.com/fr/info/larche-de-noe-vegetale-sollicitee-pour-la-premiere-fois-du-fait-du-conflit-syri

    La Réserve mondiale de semences du #Svalbard, précieuse « Arche de Noé végétale » protégeant la #diversité_génétique des conflits et des catastrophes naturelles, a annoncé lundi qu’elle allait pour la première fois être mise à contribution, du fait du conflit syrien.

    Sa banque de gènes dans la ville syrienne d’Alep ayant été détruite, le Centre international de recherche agricole dans les zones arides (Icarda) a demandé à récupérer des graines pour reconstituer ses stocks dans les pays voisins de la #Syrie, mais pas en Syrie même, a déclaré à l’AFP Åsmund Asdal, le coordinateur de la Réserve de #semences.

  • #Liban : la crise des #déchets qui cache une crise du système
    http://www.mesp.me/2015/08/23/liban-la-crise-des-dechets-le-bout-de-liceberg-qui-cache-une-crise-du-systeme

    MESP fait une connexion entre la crise des déchets et son économie politique et la réorganisation des rapports de pouvoir au Liban.
    La question de l’identité des forces de l’ordre qui ont pris l’initiative de tirer semble importante. Le ministre de l’Intérieur, qui était à l’étranger, semble avoir désavoué cette initiative. Sur Twitter Karlsharro et Hisham Ashkar échangeaient aussi des pensées sur cette question.

    Les incidents, violents (tirs à l’arme automatique, une quinzaine de blessés), qui ont opposé, le 22/08, les manifestants libanais (indépendants, mobilisés contre la mauvaise gestion du dossier des déchets et contre la corruption de manière générale) et les forces de l’ordre (les unités chargées de protéger le siège du Premier ministre et le Parlement, des “milices privées” en quelque sorte, appuyées par le TIGRE, une troupe d’élite anti-terroriste du Ministère de l’Intérieur, relèvent, avant tout, d’un dossier politico-affairiste.

    Ces incidents, dont on fait payer les conséquences aux jeunes manifestants mobilisés contre le système et aux forces de l’ordre qui remplissaient (maladroitement) leurs missions, reflètent un bras de fer entre le camp haririen (Saad Hariri, Fouad Siniora et l’homme d’affaires sunnite Maysara Succar propriétaire de Sukleen une des caisses noires du système mafieux mis en place par Hariri père et Walid Joumblatt sous l’occupation syrienne) et le camp joumblattiste (Walid Joumblatt, druze, et l’homme d’affaires chiite Riad el-Assaad, exclu du système et qui tente un forcing dans l’ombre de Joumblatt).

    En effet, Joumblatt entend élargir sa part dans la caisse noire des déchets, au détriment de celle des Sunnites (les Sunnites estiment que Beyrouth, le plus gros “producteur” de déchets, est leur chasse gardée, et voient d’un mauvais œil la concurrence de leur “allié” druze et de son homme d’affaires chiite), alors que d’autres formules (décentralisation de la gestion des déchets) sont à l’étude.

  • L’#Etat_islamique met en scène la #destruction de la cité antique d’#Hatra

    L’organisation Etat islamique (#EI) a mis en ligne, samedi 4 avril, une vidéo montrant ses soldats djihadistes à l’œuvre dans la destruction de la cité antique d’Hatra (1er siècle av. J.-C. – 1er siècle ap. J.-C.), en Irak, pays dont les frontières actuelles correspondent à celles de l’ancienne Mésopotamie. Cette vidéo de plus de sept minutes porte le titre : « Gouvernorat de Dijlah » (le Tigre, en arabe, fleuve qui baigne la région). Elle est signée : « Bureau de communication de l’Etat Islamique ; année 1436 [de l’Hégire, soit 2015, selon notre calendrier] ».

    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2015/04/04/l-etat-islamique-met-en-scene-la-destruction-de-la-cite-antique-d-hatra_4609
    #ISIS

    • -Et si c’était à refaire ?

      Tu veux la vérité ? J’aurais jamais fait le voyou. J’aurais préféré que ce soit une autre vie pour moi, tu vois ? J’aurais étudié, j’aurais... je sais pas, moi, j’aurais siégé à l’Assemblée nationale ! Ça, c’est des trucs qui me font kiffer aujourd’hui. Moi, je vais pas te dire que je suis un bon voyou, parce qu’y’a pas de bons bandits, y’a des mecs plus débrouillards que les autres... des mecs qui ont eu la chance d’être nés sous une bonne étoile. Mais la seule chose, c’est que dans ma vie j’ai toujours travaillé, j’ai toujours eu une vraie situation. Je paye des impôts et je suis content de payer des impôts. Et je te le dis en toute simplicité : je suis un mec qui a un grand cœur. Je suis pas un enculé. Je suis pas une crapule. Alors j’ai fait des choses pas bien, qu’est-ce que tu veux... J’aurais pu faire mieux mais comme on dit chez nous, Dieu était le plus fort. Et ce que j’ai fait, je l’ai fait bien. J’ai jamais fait pleurer une gonzesse, tiens par exemple ! Parce que j’ai toujours averti : « Aaattention ! Avec moi c’est clac clac. » Et aller braquer un train de cigarettes, j’ai fait du mal à personne : j’ai vidé un wagon. Le distributeur, c’est pas une personne vivante, c’est une machine, y’a pas de vie. Tu vois ce que je veux dire ? Ouais, ils vont arriver, ils vont trouver que c’est vide, et après ? Ils vont re-remplir. C’est vrai ou pas ? Plaie d’argent, ça tue pas ! (il rit) C’est comme ça qu’il faut le prendre. Faut minimiser, des fois. (silence) Et tout compte fait... Tu sais, quand t’es là-dedans, l’essentiel c’est d’avoir des vraies valeurs - et les valeurs, c’est quelque chose qui ne se vole pas.

      #braquage #police #grand_banditisme

    • Faut savoir que l’argent, c’est un... Comment dire ? L’argent, c’est énorme ! L’argent, c’est les femmes - et tu vas trouver ça pathétique, mais dans le milieu de la nuit, sur cinquante gonzesses t’en a quarante-cinq qui bandent sur les voyous. L’argent, il appelle les femmes, il appelle le pouvoir, il appelle le respect. J’avais de l’argent, j’allais manger chez Robuchon, j’allais à La Tour d’Argent, je prenais une bouteille de Pétrus 1961, je la payais vingt bâtons, la bouteille, je buvais deux verres et je la jetais. Et tu voyais les vrais bourgeois, ils étaient là, ils nous regardaient...

      #argent #pouvoir

  • Pierre Jourde à propos du Tigre
    http://pierre-jourde.blogs.nouvelobs.com/tag/le+chant+du+monstre

    Le Tigre est une revue généraliste, culturelle au sens large. On trouvera dans le numéro de janvier des photos superbes, quelques extraits de L’Autofictif de Chevillard, des feuilletons, un article sur le mathématicien Grothendieck, une enquête sur la réjouissante République du Saugeais, dans le Jura, des feuilletons, un certain goût du bizarre, et pas mal d’humour. Mais Le Tigre est aussi une maison d’édition qui publie de petites merveilles. Petites merveilles pour la maquette, particulièrement réussie, qui en fait de très jolis objets à 6 euros. Ce serait bête de s’en priver.

    Je partage en tout point ce jugement. Après avoir lu l’an dernier La vie dans les arbres de Sylvain Prudhomme je viens de finir Suburbs de Raphaël Meltz. Des textes passionnants sur la manière de construire les villes, les maisons, entre rêves, utopies et vie quotidienne. Les urbanistes en prennent violemment pour leur grade. Voir aussi : http://www.le-tigre.net/SUBURBS.html
    #littérature
    #urbanisme
    #architecture
    #utopie