region:le nord de l'irak

  • Iraq′s drought unveils 3,400-year-old palace of mysterious empire | News | DW | 28.06.2019
    https://www.dw.com/en/iraqs-drought-unveils-3400-year-old-palace-of-mysterious-empire/a-49384876

    A team of researchers in Germany will now try to interpret the cuneiform tablets. They hope that the clay tablets will reveal more about the Mittani Empire, which once dominated life in parts of Syria and northern Mesopotamia.

    Irak : un palais ancien émerge d’un réservoir à sec | www.cnews.fr
    https://www.cnews.fr/monde/2019-06-29/irak-un-palais-ancien-emerge-dun-reservoir-sec-855806

    Un palais datant de 3.400 ans a émergé d’un réservoir dans la région du Kurdistan en #Irak, suite à une baisse du niveau de l’eau causée par les fortes chaleurs et la sécheresse qui frappent le pays.

    Relevée par CNN, la découverte de ce bâtiment a mobilisé une équipe d’archéologues kurdes et allemands. Situé sur le site de « Kemune », dans le nord de l’Irak, le palais avait été inondé en raison de la construction du barrage de Mossoul et se trouvait sous le fleuve du Tigre. Déjà partiellement découvert pour la première fois en 2010, le site n’avait pas pu être exploré car le niveau de l’eau était encore trop élevé.

    Ce vestige de l’âge de bronze est « l’une des découvertes archéologiques les plus importantes dans la région au cours des dernières années », selon l’archéologue kurde Hasan Ahmed Qasim. Il remonte à l’époque où l’empire Mittani dominait la région et pourrait, selon la chaîne américaine, permettre d’en apprendre d’avantage sur ce royaume qui figure parmi les plus méconnus du #Proche-Orient.

    Dans ce palais, certains éléments ont été remarquablement préservés. Notamment des peintures murales dans les tons rouge et bleu, caractéristiques des palais de l’époque, ainsi que dix tablettes d’argile gravées d’écritures cunéiformes. À l’aide de ces textes, les chercheurs espèrent « obtenir des informations sur la structure interne de l’empire #Mittani, son organisation économique et les relations entre sa capitale et les centres administratifs des régions voisines ».

    #archéologie #climat

  • Irak : deux charniers de yézidis découverts près de Sinjar - Le Point
    http://www.lepoint.fr/monde/irak-deux-charniers-de-yezidis-decouverts-pres-de-sinjar-27-11-2016-2086109_

    Deux fosses communes contenant des corps de membres de la minorité yézidie, persécutée par le groupe État islamique (EI), ont été découvertes dans le nord de l’Irak, a annoncé dimanche un responsable local.

    #Yézidis #Irak #E.I #daesh

  • Un autre très intéressant article de Stéphane Mantoux qui se décrie lui-même comme « Agrégé d’histoire, enseignant dans le secondaire (ni historien, ni spécialiste de la Syrie/de l’Irak) » travaillant sur le confit syrien/irakien depuis l’été 2013 et dont les études sont d’un grand interêt.

    Historicoblog (3) : Panic Room ? Analyse de la vidéo GoPro d’un combattant de l’EI de Vice News
    http://historicoblog3.blogspot.fr/2016/05/panic-room-analyse-de-la-video-gopro.html

    Le 27 avril dernier, Vice News met en ligne une vidéo récupérée sur le corps d’un combattant de l’Etat Islamique. Le commentaire de l’article accompagnant la vidéo est le suivant :

    « VICE News a obtenu des images prises par la caméra frontale d’un combattant du groupe État islamique (EI), mort en mars dernier, alors qu’il se battait contre les troupes peshmergas dans le nord de l’Irak. La bataille a eu lieu à 50 kilomètres au nord de Mossoul.

    Contrairement à la propagande de l’EI — qui présente souvent les combattants de l’EI en train de prendre des villes avec facilité — cette vidéo montre la panique et le manque de préparation des djihadistes, alors qu’ils engagent une retraite sous le feu peshmerga. »

    J’étudie et je décortique les vidéos de propagande militaire de l’EI depuis maintenant plus de 8 mois. Il est inexact de dire que les vidéos présentent souvent « les combattants de l’EI en train de prendre des villes avec facilité » : si cela a pu être vrai au moment des grandes victoires de l’EI à l’été 2014, et encore en 2015 (chute de Ramadi, de Palmyre, etc), les vidéos plus récentes sont loin désormais de ce lieu commun. Cela amène à s’interroger sur la fin du commentaire : les djihadistes sont-ils seulement paniqués et désorganisés sous le feu ? Est-ce le seul élément à prendre de l’analyse de ce document ? J’ai décidé de l’analyser comme j’ai pu le faire avec des dizaines de vidéos de l’EI.

    #EI
    #StéphaneMantoux
    #vidéos_de_propagande-EI

  • La Turquie retourne à Mossoul en conduisant une nouvelle « révolte arabe »
    Par M. K. Bhadrakumar | AsiaTimesOnline, le 7 décembre 2015 | traduction [JFG-QuestionsCritiques]
    http://questionscritiques.free.fr/edito/AsiaTimesOnline/M_K_Bhadrakumar/Turquie-Mossoul_Irak_071215.htm

    (...) C’est sans surprise que la Turquie se coordonne avec l’Arabie Saoudite et le Qatar — avec le soutien tacite de Washington — étant donné l’élan anti-iranien et anti-russe de sa manœuvre en vue d’établir un contrôle militaire sur la région de Mossoul, hautement stratégique.

    Le Roi Salman d’Arabie Saoudite, avec une suite de 20 princes de premier rang à son service, dont le Prince héritier Mohammed ben Nayef et le vice-Prince héritier Mohammed ben Salman, a reçu Barzani pour un déjeuner royal, le 1er décembre, juste quatre jours avant que la Turquie n’envoie des centaines de soldats et de chars à Mossoul. Certes, le grand banquet offert par Salman à Barzani était un gros signal pour Téhéran (et Moscou) que les Saoudiens s’introduisent dans la politique turque.

    Erdogan a l’intention de saper la capacité de la Russie et de l’Iran à utiliser la carte séparatiste kurde contre la Turquie, ce qui à son tour donnerait à Ankara une liberté d’action pour faire accepter le programme d’un « changement de régime » en Syrie, prendre le contrôle des vastes réserves d’hydrocarbures de la région (que la Grande-Bretagne impériale s’était accaparées en vertu de l’Armistice de Moudros en 1918) et de rallier les pays arabes sunnites sous son leadership.

    Certes, Erdogan va devoir batailler. Téhéran a réagi furieusement à l’annonce turque concernant l’installation d’une base militaire à Mossoul, disant que cela « menace la sécurité de la région », laquelle, au lieu d’aider à combattre le terrorisme, ne fera qu’« accroître le chaos et l’insécurité » dans la région.

    Le ministre irakien des affaires étrangères a convoqué l’ambassadeur turc pour protester contre cet « acte hostile » ; le Premier ministre Haïder al-Abadi a dit que c’était une « grave violation de la souveraineté irakienne » ; le Président Fouad Massoum a dit que ce mouvement est « une violation des normes et des lois internationales et de la souveraineté de l’Irak » et exigé que la Turquie retire ses troupes « immédiatement ». (...)

    #Turquie #Mossoul #pétrole

    • À quoi Erdogan joue-t-il en Syrie et en Irak ?
      Par Pepe Escobar
      Sputnik News, le 8 décembre 2015 | traduction [JFG-QuestionsCritiques]

      (...) Le Premier ministre Ahmet Davutoglu jure qu’Ankara a été « invité » par le gouvernement de la province de Ninive, avec l’approbation de Bagdad (un mensonge flagrant). Un porte-parole du Gouvernement régional du Kurdistan (KRG) semi-autonome, au nord de l’Irak, dit que tout est légal.

      Le quotidien turc Hurriyet débite qu’Ankara occupe une base militaire permanente à Bashiga, près de Mossoul, pour entraîner les forces Peshmergas, un accord signé le mois dernier entre le président du KRG, Massoud Barzani, et le ministre turc des affaires étrangères Feridun Sinirliogu.

      Eh oh ! Ankara ! Il y a un (énorme) problème ! Mossoul et Bashiga ne font même pas partie du KRG. Cela n’a donc rien à voir avec l’entraînement des Peshmergas — autant qu’Erdogan et l’AKP cuirassent lourdement leur haine des Kurdes : les trafiquants du KRG et les Peshmergas sont les « bons Kurdes », tandis que le PYD/YPG et le PKK sont les « mauvais Kurdes ».

      Si vous avez un doute, suivez le pétrole. La mafia de Barzani vend — illégalement — à la Turquie le pétrole qui appartient à Bagdad. Ils possèdent littéralement le trafic de pétrole dans le KRG ; et ils font un malheur, grâce aux bonnes relations avec leur « associé », Genel Oil, dont le président est Tony « Deepwater Horizon » Hayward.

      Il a été largement prouvé que le gendre d’Erdogan et ministre de l’énergie Berat Albayrak détient le droit exclusif de déplacer le pétrole du KRG en Turquie. Suivant les preuves collectées par le ministère russe de la défense, le pétrole volé de Daech pourrait bien être mélangé en chemin au pétrole du KRG. Et l’un des principaux bénéficiaires de tout ce système est le fils d’Erdogan, Bilal, alias Mini Me, à travers sa compagnie maritime BMZ, qui livre ce pétrole essentiellement à Israël. Mini Me est à présent exilé à Bologne, en Italie, où il gère des montants intraçables de cash, bien au chaud dans des comptes bancaires suisses.(...)

    • Paralysée en Syrie, la Turquie vise à créer un Sunnistan en Irak
      Par Pepe Escobar | RT, le 9 décembre 2015
      http://questionscritiques.free.fr/edito/Pepe_Escobar/syrie_turquie_sunnistan_irak_091215.htm

      L’« incursion » de la Turquie en Irak est une manœuvre froide et calculée. Et, une fois encore, le nom de ce jeu est — quoi d’autre ? — Diviser pour Régner.

      La Turquie a envoyé au Kurdistan irakien — qui fait partie de l’Etat irakien — un bataillon constitué de pas moins de 400 soldats, soutenu par 25 chars d’assaut M-60A3. A présent, le nombre de bottes turques sur le sol au camp de Bachika, au nord-est de Mossoul, atteindraient désormais un total d’environ 600. Pour faire court, ce n’est pas un « camp d’entraînement » — comme Ankara le débite. C’est une véritable base militaire, peut-être permanente.

      Cet accord louche a été passé le mois dernier, à Erbil, entre le Gouvernement Régional du Kurdistan (KRG) ultra-corrompu et le ministre turc des affaires étrangères d’alors, Feridun Sinirlioglu.

      Des torrents de propagande turque jurent qu’il ne s’agit que « d’entraîner » les Peshmergas pour combattre L’Etat Islamique/Daech. Foutaises ! Le fait crucial est qu’Ankara est terrifié par l’alliance « 4+1 » qui combat l’Etat Islamique, alliance qui unit l’Iran, les Chiites irakiens et l’Armée arabe syrienne (AAS), de même que le Hezbollah, à la Russie.

      En Syrie, Ankara est quasiment paralysé, après le « coup de poignard dans le dos » en abattant le Su-24 : révélations russes de complicité entre la première famille turque et le pétrole syrien volé (Bilal Erdogan, alias « Mini Me », nie tout en bloc) ; forces aériennes russes qui pilonnent sans relâche la cinquième colonne turkmène de la Turquie. Sans mentionner le déploiement des S-400 et même d’un sous-marin de troisième génération équipé de missiles de croisière Kalibr.

      Ankara détourne donc l’attention vers l’Irak avec une « contre-alliance », faite de la Turquie, du KRG (qui vend — illégalement — du pétrole à la Turquie) et de Sunnites au nord de l’Irak, sous le prétendu leadership de la tribu tentaculaire Nuceyfi à Mossoul.

      C’est le néo-ottomanisme dans toute sa grandeur en action. Nous ne devrions jamais oublier que pour l’AKP, au pouvoir à Ankara, le nord de la Syrie et le nord de l’Irak ne sont rien d’autre que des provinces de l’ancien empire ottoman, une extension orientale de la province turque du Hatay. Le phantasme (inavoué) du « Sultan » Erdogan est d’annexer tout cet ensemble.

      Pendant ce temps, Daech contrôle toujours Mossoul. Mais les Sunnites irakiens — de même que l’Armée irakienne — préparent lentement une offensive. Donc, ce qu’Ankara veut avec sa base militaire à proximité de Mossoul, est d’être de la partie, et venant s’ajouter à cela deux programmes « invisibles » : protéger leur cinquième colonne turkmène, où qu’elle se trouve, et avoir plus de bottes sur le terrain pour combattre — qui d’autre ? — les Kurdes du PKK qui ont pris refuge dans le Kurdistan irakien.

      Toute la logique du Sultan Erdogan est que Bagdad ne gouverne plus le nord de l’Irak (là, il a raison). Mais le problème, pour Ankara, est que les puissances réelles dans cette région pourraient s’avérer être les Chiites et le PKK (c’est tiré par le cheveux, mais c’est le raisonnement d’Erdogan).

  • La #turquie refuse de retirer ses troupes d’Irak
    https://www.mediapart.fr/journal/international/081215/la-turquie-refuse-de-retirer-ses-troupes-dirak

    Le ministère turc des affaires étrangères a annoncé avoir interrompu le déploiement de ses troupes dans le nord de l’Irak, mais également que celles-ci ne se retireraient pas. Ankara continue à affirmer que cette opération a été autorisée par Bagdad, ce que les autorités irakiennes démentent.

    #International #Fil_d'actualités #Etat_islamique #Irak #Proche-Orient #Russie #Syrie

  • La #turquie refuse de retirer se troupes d’Irak
    https://www.mediapart.fr/journal/international/081215/la-turquie-refuse-de-retirer-se-troupes-dirak

    Le ministère turc des affaires étrangères a annoncé que le déploiement de ses troupes dans le nord de l’Irak mais également que celles-ci ne se retireraient pas. Ankara continue à affirmer que cette opération a été autorisée par Bagdad, ce que les autorités irakiennes démentent.

    #International #Fil_d'actualités #Etat_islamique #Irak #Proche-Orient #Russie #Syrie

  • L’Irak appelle la Turquie à retirer ses troupes de son territoire - 05/12/2015 - ladepeche.fr
    http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/05/2231966-irak-bagdad-appelle-turquie-retirer-troupes-irak.html

    L’Irak a appelé samedi la Turquie à retirer « immédiatement » ses troupes de son territoire après le déploiement de soldats turcs dans les environs de Mossoul (nord), selon un communiqué officiel.

    Le déploiement turc est considéré comme « une sérieuse violation de la souveraineté irakienne », a ajouté le communiqué diffusé par le Premier ministre Haider al-Abadi. « Les autorités irakiennes appellent la Turquie à se retirer immédiatement du territoire irakien ».

    Selon l’agence progouvernementale turque Anatolie, quelque 150 soldats turcs sont arrivés vendredi dans les environs de Mossoul, deuxième ville d’Irak occupée par le groupe jihadiste Etat islamique (EI), dans le cadre d’une mission d’entraînement des troupes kurdes irakiennes.

    Ce contingent turc, soutenu par 20 à 25 chars, s’est déployé dans la région de Bashika, a ajouté Anatolie. Des soldats turcs sont présents depuis deux ans et demi dans le nord de l’Irak dans le cadre d’un accord de coopération destiné à l’entraînement des « peshmergas », les troupes de la région autonome du Kurdistan irakien.

    Dans ce(t article, Al-Mayadeen considère qu’il s’agit clairement de « châtier » les Kurdes de Syrie, pas assez hostiles au régime syrien. Une fois entrés, pas sûr que les Turcs s’en aillent de sitôt. En même temps, s’ils sont à Mossoul, on ne pourra plus les accuser de vendre le pétrole de l’EI !!!

    #irak #turquie #pétrole #ei

  • IRAK. Les statues détruites par l’EI à Mossoul étaient des copies
    http://www.brujitafr.fr/2015/03/irak-les-statues-detruites-par-l-ei-a-mossoul-etaient-des-copies.html

    Plusieurs responsables de musée irakien affirment que les oeuvres détruites par les djihadistes dans le musée Ninive de Mossoul, dans le nord de l’Irak, n’étaient que des répliques.

    Irak : le groupe Etat islamique détruit des vestiges archéologiques (Image de propagande diffusée par le groupe Etat islamique)

    Le monde avait regardé avec effroi les djihadistes du groupe Etat islamique (EI) détruire des statues, des frises et des reliques archéologiques pré-islamiques du musée de Ninive à Mossoul, dans le nord de l’Irak. Mais en réalité, la plupart de ces oeuvres étaient des répliques, comme le rapporte le site Al-arabiya. « C’était des copies. Les originaux sont tous ici », a indiqué l’un des responsables du musée de Bagdad à la radio allemande Deutsche Welle.

    Fawzye al-Mahdi, chef du département des (...)

  • Le musée de #Bagdad rouvre ses portes douze ans après avoir été pillé - Yahoo Actualités France
    https://fr.news.yahoo.com/mus%C3%A9e-bagdad-rouvre-portes-douze-ans-apr%C3%A8s-avoir-151724249.

    Le #musée national irakien a officiellement rouvert ses portes samedi après douze ans d’efforts acharnés durant lesquels près d’un tiers des 15.000 pièces volées ont été récupérées.

    Cette réouverture moult fois reportée a été accélérée en réaction à la destruction jeudi de sculptures préislamiques inestimables par des jihadistes du groupe Etat islamique (#EI) à Mossoul, dans le nord de l’Irak.

    #art

  • Kurdistan irakien - Des hommes victimes de la violence conjugale | Courrier international

    http://www.courrierinternational.com/article/2013/11/02/des-hommes-victimes-de-la-violence-conjugale

    Dans la région du Kurdistan irakien [dans le nord de l’Irak], on assisterait à un recul des violences à l’égard des femmes, mais à une apparition de violences à l’égard des hommes. En effet, à Souleymanieh, le Bureau de la lutte contre les violences faites aux femmes donne le chiffre de 1 613 cas contre les femmes pour l’année 2012, en forte baisse par rapport à l’année 2011 (4 084 cas). Or dans le même temps les violences contre les hommes s’élèvent à 163 en 2012.

    Les femmes attaquent leur époux après avoir été elles-mêmes maltraitées.

    #Kurdistan #Irak

  • Kurdistan irakien - Des hommes victimes de la violence conjugale | Courrier international

    http://www.courrierinternational.com/article/2013/11/02/des-hommes-victimes-de-la-violence-conjugale

    Dans la région du Kurdistan irakien [dans le nord de l’Irak], on assisterait à un recul des violences à l’égard des femmes, mais à une apparition de violences à l’égard des hommes. En effet, à Souleymanieh, le Bureau de la lutte contre les violences faites aux femmes donne le chiffre de 1 613 cas contre les femmes pour l’année 2012, en forte baisse par rapport à l’année 2011 (4 084 cas). Or dans le même temps les violences contre les hommes s’élèvent à 163 en 2012.

    Les femmes attaquent leur époux après avoir été elles-mêmes maltraitées.

    #Kurdistan #Irak