Sci-Hub: the first pirate website in the world to provide mass and public access to tens of millions of research papers
►http://sci-hub.io
Sci-Hub: the first pirate website in the world to provide mass and public access to tens of millions of research papers
►http://sci-hub.io
Le mieux c’est encore d’accéder à google scholar par le proxy sci hub, comme ça tous les liens vers les articles sont « scihubisés »
Accessible via #TOR (pas testé) :
►http://scihub22266oqcxt.onion
Meet the Robin Hood of Science | Big Think
▻http://bigthink.com/neurobonkers/a-pirate-bay-for-science
On September 5th, 2011, Alexandra Elbakyan, a researcher from Kazakhstan, created #Sci-Hub, a website that bypasses journal #paywalls, illegally providing access to nearly every scientific paper ever published immediately to anyone who wants it. The website works in two stages, firstly by attempting to download a copy from the LibGen database of pirated content, which opened its doors to academic papers in 2012 and now contains over 48 million scientific papers. The ingenious part of the system is that if LibGen does not already have a copy of the paper, Sci-hub bypasses the journal paywall in real time by using access keys donated by academics lucky enough to study at institutions with an adequate range of subscriptions. This allows Sci-Hub to route the user straight to the paper through publishers such as JSTOR, #Springer, Sage, and #Elsevier.
#science #femme #hacker #open_publication #robin_des_bois #libgen
ACME : An International E-Journal for Critical Geographies
▻http://acme-journal.org/index.php/acme
ACME, la revue universitaire critique qui refuse la logique du facteur d’impact et autres indices de citation destinés à classer les publications et les chercheurs.
Based on IP data, ACME is accessed by more than 600,000 ‘unique’ readers per year. The Editorial Collective has thus been approached a number of times to be included in journal impact factor rankings. Each request for inclusion in these measures has been refused on political grounds. ACME opposes entering into a neoliberal system of audit replete with manipulated calculations and spurious metrics that include impact factors and journal rankings that are neither accurate, nor credible.
Why peer review needs a good going over
The process is vital to academia but many are unhappy with how it works. New research sets out to explore where peer review falls short of expectations
▻http://www.theguardian.com/higher-education-network/2015/oct/28/why-peer-review-needs-a-good-going-over?CMP=share_btn_tw
#édition_scientifique #peer_review #recherche #science #revues_scientifiques
Let’s stop pretending #peer_review works
In the early 1980s, there was growing concern about the quality of peer review at scientific journals. So two researchers at Cornell and the University of North Dakota decided to run a little experiment to test the process.
The idea behind peer review is simple: It’s supposed to weed out bad science. Peer reviewers read over promising studies that have been submitted to a journal to help gauge whether they should be published or need changes. Ideally, reviewers are experts in fields related to the studies in question. They add helpful comments, point out problems and holes, or simply reject flawed papers that shouldn’t see the light of day.
The two researchers, Douglas Peters and Stephen Ceci, wanted to test how reliable and unbiased this process actually is. To do this, they selected 12 papers that had been published about two to three years earlier in extremely selective American psychology journals.
▻http://www.vox.com/2015/12/7/9865086/peer-review-science-problems
#édition_scientifique #revues_scientifiques #science #université
La vente d’articles scientifiques : du « racket » - Rue89 - L’Obs
►http://rue89.nouvelobs.com/2015/11/07/vente-darticles-scientifiques-racket-261982
Je voudrais aussi mentionner qu’Elsevier n’est pas le créateur de ces articles. Tous les articles sur leur site ont été écrits par des chercheurs, et les chercheurs ne reçoivent pas d’argent sur ce qu’Elsevier collecte. Cela est très différent de l’industrie de la musique ou du film, où les créateurs reçoivent de l’argent pour chaque copie vendue. Mais l’économie des articles de recherche est très différente. Les auteurs de ces articles ne reçoivent pas d’argent. Pourquoi enverraient-ils leurs travaux à Elsevier dans ce cas ? Ils se sentent contraints de le faire, parce que Elsevier est un propriétaire de ce qu’on appelle des “ journaux à haut impact ”. Si un/e chercheur/se veut être reconnu, avoir une carrière – il ou elle a besoin de publier dans de tels journaux.
#université #articles_scientifiques #édition_scientifique #Elsevier #racket #business #impact_factor
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►https://seenthis.net/messages/1036396
Je me demande vraiment pourquoi il n’existe pas de résistance efficace contre Elsevier. Tout le monde scientifique ou presque les traite de bandits rapaces mais tout le monde continue à leur confier leurs articles !
je pense qu’il faut que ça vienne de ’stars’... si moi, modeste chercheur je rejette le système, je me tire une balle dans le pied... mais si des grands noms ’osent’, alors on suivra tous !
Des grands noms ? Il y en a déjà… comme quoi c’est pas si simple !
▻https://en.wikipedia.org/wiki/PLOS
▻http://www.economist.com/node/21545974
De fait la remarque vaut dans tous les domaines pas seulement dans la recherche : on est tous englués dans un système qu’on sait qu’on devrait rejeter, et on se débat tous, avec plus ou moins de force et de succès sur tel ou tel point.
L’ensemble de la rédaction du journal scientifique Lingua, spécialisé dans la recherche linguistique, a annoncé sa démission, pour protester contre le refus de son éditeur Elsevier de se tourner vers un modèle en accès libre. Les éditeurs du journal ont annoncé vouloir ouvrir leur propre publication concurrente, et gratuite, qui s’appellera Glossa.
►http://www.lemonde.fr/campus/article/2015/11/04/pour-pouvoir-passer-en-acces-libre-l-ensemble-des-editeurs-d-un-journal-scie
Pour pouvoir passer en accès libre, tous les journalistes d’un journal scientifique démissionnent
▻http://lemonde.fr/campus/article/2015/11/04/pour-pouvoir-passer-en-acces-libre-l-ensemble-des-editeurs-d-un-journal-scie
"Depuis plusieurs années, de nombreuses voix s’élèvent contre son modèle économique, basé sur l’acquisition des droits de publications de travaux de recherche qui sont pour la plupart financés par de l’argent public."(Permalink)
#édition_scientifique #libre_accès #résistance #académie #Elsevier #Lingua #démission_en_bloc #glossa
Voilà les personnes qui ont démissionné (grand merci à eux !) —> je vais leur écrire je pense pour les remercier :
▻http://hum.leiden.edu/lucl/organisation/members/rooryckjecv.html
▻http://www.hum.leiden.edu/lucl/organisation/members-f-l/liptakak.html
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Et une pétition à signer, si le coeur vous en dit :
▻http://www.ipetitions.com/petition/support-fair-open-access-in-linguistics
Pour pouvoir passer en accès libre, tous les journalistes d’un #journal_scientifique (#edition_scientifique) démissionnent
►http://www.lemonde.fr/campus/article/2015/11/04/pour-pouvoir-passer-en-acces-libre-l-ensemble-des-editeurs-d-un-journal-scie
Entire editorial staff of #Elsevier journal Lingua resigns over high price, lack of open access | Ars Technica UK
▻http://arstechnica.co.uk/science/2015/11/entire-editorial-staff-of-elsevier-journal-lingua-resigns-over-high-p
Editors planning to launch their own #open_access rival early next year.
#éditions_scientifiques #libre_accès #résistance #académie #Elsevier #Lingua #démission_en_bloc #glossa #édition_scientifique
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Chercheurs : pour votre notoriété, oubliez les revues, préférez les médias
Pour faire connaître leurs dernières découvertes, certains chercheurs n’hésitent pas à court-circuiter le système de révision par les pairs (le « peer-review ») en sollicitant d’abord les médias. Une façon d’inverser le processus habituel de validation qui leur permet de gagner immédiatement en notoriété. Sans filet et dans l’urgence, les journalistes sont ainsi de appelés de plus en plus à jouer le rôle de « peer-reviewers »
▻http://www.letemps.ch/Page/Uuid/175228c6-620e-11e5-bcb8-823d68be581d/Quand_les_journalistes_valident_la_science
#médias #journalisme #édition_scientifique #science #université
#Elsevier #Wiley #Springer, #science Amis #chercheurs, vous vous faites arnaquer trois fois (merci Elsevier) | Hotel Wikipedia | Rue89 Les blogs
►http://blogs.rue89.nouvelobs.com/les-coulisses-de-wikipedia/2014/02/17/amis-chercheurs-vous-vous-faites-arnaquer-trois-fois-merci-el
Un hashtag clandestin pour partager la science inaccessible - Rue89 - L’Obs
►http://rue89.nouvelobs.com/2015/09/08/hashtag-clandestin-partager-science-inaccessible-261102
« Il n’y a pas que les scientifiques qui sont intéressés par l’accès aux articles scientifiques. Beaucoup de malades, qui ont une maladie orpheline ou un cancer spécifique, ont envie de se documenter, d’aller voir les dernières études, de comprendre et de lire des articles scientifiques. Et pour ces personnes-là, il y a peu de moyen d’accéder à cette connaissance. »
Bibliothèques clandestines
Mais certains sont passés à des méthodes plus massives de récupération d’articles scientifiques en créant de véritables bibliothèques clandestines. Deux grandes initiatives ont été créées clandestinement pour partager en masse des articles scientifiques.
Sci-hub, un réseau de proxies, permet de connecter l’utilisateur à un ordinateur qui a, lui, accès à un abonnement à la revue en question. Il a été mis en place par Alexandra Elbakyan, une chercheuse kazakh qui avait du mal à travailler sans avoir accès aux articles dont elle avait besoin. Elle explique à Torrent Freak qu’à l’origine l’idée n’était même pas de rendre toute l’information libre, « on avait juste besoin de lire ces articles pour faire avancer notre recherche ».
Quant à Libgen, c’est une vraie bibliothèque parallèle rassemblant, dans une base de données, une grande partie de la littérature scientifique et s’alimentant dynamiquement grâce aux demandes faites par les utilisateurs à Sci-hub. Selon Guillaume Cabanac qui a étudié [PDF] cette base de données, elle contiendrait environ 68% des articles des principaux éditeurs. Les éditeurs de revues et Elsevier en tête commencent donc à se sentir menacés et à attaquer ces sites juridiquement en espérant bien les rendre inaccessibles. Il est d’ailleurs de plus en plus difficile de se rendre sur Libgen car le site change de nom de domaine assez souvent.
Yes, bonne nouvelle !
#open_source (ça devrait me permettre de ne pas perdre la référence) #articles_scientifiques #édition_scientifique #partage
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#bibliogifts, #crowdsourcing et #biblioleaks aussi :)
this study reveals that 36% of all DOI papers are available for free at LibGen.
This figure is even higher (68%) for three major publishers: Elsevier, Springer, and Wiley
36% c’est déjà impressionnant
Excellent !
Sinon, j’aime bien :
[Alexandra Elbakyan, la chercheuse kazakh,] explique à Torrent Freak qu’à l’origine l’idée n’était même pas de rendre toute l’information libre, « on avait juste besoin de lire ces articles pour faire avancer notre recherche ».
C’est juste ça : avoir juste besoin IMPLIQUE l’information libre !
Quand j’essaie d’accéder à #LibGen (non-fiction) la page ne marche pas... que chez moi ?
La wikification de la Science comme nouvel horizon pour l’Open Access ?
En novembre dernier, je me souviens avoir participé dans le cadre du Paris Open Source Summit 2014 à une table-ronde sur l’#Open_Science. Lors de la séance de questions avec la salle, une discussion particulièrement intéressante a eu lieu à propos des liens entre l’Open Access et les #licences_libres. Pendant ma présentation, j’avais soutenu l’idée que pour aller vers une forme plus aboutie d’Open Science, il était nécessaire non seulement de rendre accessible les articles gratuitement en ligne, dans le cadre d’une démarche d’Open Access, mais aussi de faire en sorte qu’ils soient réutilisables en les plaçant sous licence libre. C’est une idée que j’ai développée à plusieurs reprises sur S.I.Lex, et notamment dans cet article : « L’Open Access sans licence libre a-t-il un sens ? »
►http://scinfolex.com/2015/08/12/la-wikification-de-la-science-comme-nouvel-horizon-pour-lopen-access
#open_access #publications_scientifiques #science #édition_scientifique
Elsevier journal editors ’may be asked to resign’ in open access row
Institutions pressure Elsevier to permit all Dutch papers to be freely available online by 2024
▻https://www.timeshighereducation.co.uk/news/elsevier-journal-editors-may-be-asked-resign-open-access-row
#Elsevier #pression #Pays_Bas #édition_scientifique #open_access
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cc @reka
Why #Wikipedia + #Open_Access = Revolution
The way scientific information diffuses through the knowledge economy is changing, and the first evidence from Wikipedia shows how.
Reçu via mailing list « geotamtam » :
Message de Sandrine Sandrine Malotaux
Responsable Département Coordination des négociations documentaires
Consortium Couperin
Directeur Service commun de la documentation et des bibliothèques
Institut National Polytechnique de Toulouse
"Poursuivant ses efforts pour faire de l’entreprise un modèle de rentabilité, Elsevier vient de modifier sa politique concernant le droit des chercheurs à déposer leurs publications en archive ouverte : ce dépôt est désormais conditionné à un embargo (délai entre publication dans la revue et mise en accès libre via l’archive ouverte) de 12 à 24 mois selon les revues.
Ce délai est incompatible avec les injonctions de certains financeurs : par ex. l’Union Européenne exige la mise en open access des publications issues de recherches financées dans le cadre d’Horizon 2020, tolérant un embargo de 6 mois maximum pour les STM cf
▻http://www.horizon2020.gouv.fr/cid82025/le-libre-acces-aux-publications-aux-donnees-recherche.html
L’objectif d’Elsevier est de pousser les chercheurs qui souhaitent/doivent mettre leurs publications en open access à se détourner des #archives_ouvertes et privilégier l’#open_access en #modèle_auteur-payeur dit aussi « gold » (l’auteur paie des frais de publication pour que son article soit en open access, jusque 3 300 $ l’article chez Elsevier) - dans l’unique but d’augmenter la rentabilité de l’entreprise, cf extrait du rapport financier en fin de ce message.
L’archive ouverte ne rapporte rien à l’éditeur ; le modèle auteur-payeur lui rapporte beaucoup. Exemple : un échantillon de 22 universités britanniques a payé à Elsevier en 2014 un total de £ 1.5 M en frais de publication open access auteur-payeur . Cette somme s’ajoute aux montant par ailleurs payés en abonnements.
Une pétition internationale a été lancée contre la nouvelle politique archive ouverte d’Elsevier, 170 signatures institutionnelles et 1700 individuelles à ce jour
▻https://www.coar-repositories.org/activities/advocacy-leadership/petition-against-elseviers-sharing-policy
Toutes les actions menées par Elsevier ces derniers temps montrent une offensive contre le libre-accès à l’information scientifique et un souci de reprendre la main :
Elsevier vient de déposer plainte contre deux dispositifs « pirates » de partage d’information scientifique illégalement téléchargée à partir des plateformes des éditeurs , Library Genesis et Sci-hub.org, cf
▻http://torrentfreak.com/elsevier-cracks-down-on-pirated-scientific-articles-150609
*Fin 2013, une première offensive avait visé le réseau social Academia (équivalent de Researchgate), Elsevier exigeant le retrait de tous les articles Elsevier déposés par les chercheurs.
▻http://www.wired.co.uk/news/archive/2013-12/17/elsevier-versus-open-access.
Rappelons que le dépôt des articles dans les réseaux sociaux type Researchgate n’est généralement PAS autorisé par les éditeurs.
Dans la video ci-joint consacrée à la marchandisation de l’information scientifique, à laquelle ont participé l’INSERM et l’INRA, l’interview du patron d’Elsevier -Masson (minutes 14:23 à 16:15) rappelle que la vocation du groupe Elsevier est avant tout la rentabilité.
►http://vimeo.com/127546263
Cf extrait du rapport financier Reed-Elsevier 2014, cf notamment le § « strategic priorities » de l’entreprise pour le secteur STM :
Market opportunities
Scientific, technical & medical information markets have good long-term growth characteristics. The importance of research and development to economic performance and competitive positioning is well understood by governments, academic institutions and corporations. This is reflected in the long-term growth in research and development spend and in the number of researchers worldwide. Growth in health markets is driven by ageing populations in developed markets, rising prosperity in developing markets and the increasing focus on improving medical outcomes and efficiency. Given that a significant proportion of scientific research and healthcare is funded directly or indirectly by governments, spending is influenced by governmental budgetary considerations. The commitment to research and health provision does, however, remain high, even in more difficult budgetary environments.
Strategic priorities
In the primary research market, Elsevier aims to grow volume through new journal launches, *expansion of author-pays journals and growth from emerging markets ; to enhance quality by building on our premium brands ; and to add value to coreplatforms by implementing new capabilities such as advanced recommendations on ScienceDirect and social collaboration
through Mendeley.
Je vous remercie de bien vouloir diffuser largement cette information au sein de vos laboratoires,
Bien cordialement,
S. Malotaux
–-
Sandrine Malotaux
Responsable Département Coordination des négociations documentaires
Consortium Couperin
Directeur
Service commun de la documentation et des bibliothèques
Institut National Polytechnique de Toulouse
33 (0)5 34 32 31 15
Jean-Michel Muller, directeur de recherches CNRS, co-directeur du GDR IM,
Lab. LIP, ENS Lyon, 46 allée d’Italie, 69364 Lyon Cedex 07, France
Phone (+33) 4 72728741, Fax (+33) 4 72728806
Jean-Michel.Muller@ens-lyon.fr ▻http://perso.ens-lyon.fr/jean-michel.muller
#édition_scientifique #elsevier #droits_d'auteur
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►https://seenthis.net/messages/1036396
Sci-Hub Tears Down Academia’s “Illegal” Copyright Paywalls | TorrentFreak
▻https://torrentfreak.com/sci-hub-tears-down-academias-illegal-copyright-paywalls-150627
Founded by Alexandra Elbakyan, a researcher born and graduated in Kazakhstan, [Sci-Hub]’s main goal is to provide the less privileged with access to science and knowledge.
(...) “If Elsevier manages to shut down our projects or force them into the #darknet, that will demonstrate an important idea: that the public does not have the right to knowledge. We have to win over Elsevier and other publishers and show that what these commercial companies are doing is fundamentally wrong.”
(...) “The funniest thing I was told multiple times by researchers is that they have to download their own published articles from Sci-Hub. Even authors do not have access to their own work,” Alexandra says.
Instead of seeing herself as the offender, Alexandra believes that the major academic publishers are the ones who are wrong.
Ah c’est pour ça que ça marchait plus depuis quelques jours...
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►https://seenthis.net/messages/1036396
Les ambassadeurs d’Elsevier | Tribune Compétences Informationnelles
▻https://tribuneci.wordpress.com/2015/05/19/les-ambassadeurs-delsevier-2
"C’est dans ce contexte que s’insère l’appel à contribution d’Elsevier du 15 décembre dernier. Le blogue du célèbre éditeur annonçait alors le lancement de STM Digest, un recueil censé réunir des résumés non-techniques (Lay Summary) de ses publications avec un haut impact sociétal. Étaient visés dans un premier temps des secteurs d’importance stratégique, soit environnement/écologie et économie/finances. Détail non dénué d’importance, ces revues sont consultables en libre accès. Alors que les autres éditeurs ont choisi les blogues pour coopter le grand #public dans la science en train de se faire (Citizen Science), le nouvel archétype éditorial Lay Summaries rejoint une audience élargie par l’entremise du réseau Mendeley : le Mendeley STM Digest Group relaye les résumés vulgarisés et sert, en conséquence, de (...)
#elsevier #édition_scientifique #citizen_sciences #STM_Digest
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►https://seenthis.net/messages/1036396
Adapter le modèle de l’#édition_scientifique
1Les innovations de rupture suscitent en parallèle l’invention de nouvelles fonctionnalités et changent les usages. À ce sujet, le réseau Internet sollicite beaucoup l’imagination. De nouvelles applications se créent chaque jour. Bien des changements des pratiques associées vont dans le sens de la suppression de fonctions voire d’institutions intermédiaires, et entraînent l’émergence de nouvelles formations sociales, de modes de représentation et de discours de référence, en suivant le schéma bien aperçu par Torsten Veblen dans son ouvrage sur la classe de loisirs. Qu’il s’agisse de locations d’appartements entre des particuliers qui bousculent les fonctions hôtelières, de partage de voitures qui ébranlent les sociétés de location ou les compagnies de taxis, de création de nouvelles monnaies qui valident des échanges sans le secours des banques, ou même de mise à disposition d’informations à ses « amis » sur les qualités des lieux de son voisinage, toutes ces fonctionnalités nouvelles ont en commun de faciliter les transactions, d’en augmenter la vitesse et d’en réduire les coûts, tout en modifiant les assises des intermédiations assurant leur sécurité.
Quel “open access” pour les publications scientifiques ?
▻https://www.futuribles.com/base/article/quel-open-access-pour-les-publications-scientifiqu
Au-delà des modèles économiques, l’open access pose des questions politiques et sociales. Le rôle des éditeurs doit-il être préservé au motif qu’ils représentent une activité économique à défendre ? À quelles conditions d’autres systèmes d’évaluation, directement gérés par les chercheurs et les institutions scientifiques (sur le modèle des presses universitaires ou des sociétés savantes), peuvent-ils garantir un niveau d’exigence satisfaisant ? Ici, c’est également le sens de l’évaluation scientifique qu’il s’agit d’interroger, les limites de la bibliométrie étant soulignées par de nombreux chercheurs, en particulier en sciences humaines et sociales, mais également en mathématiques, les biologistes étant les plus favorables (peut-être parce que les plus adaptés) à ces procédés [9]. Enfin, ne doit-on pas considérer les résultats scientifiques comme des « biens communs [10] » et redéfinir leur statut ?
#Bibliométrie #Libre_accès_(édition_scientifique) #Open_access #Publication_scientifique #Recherche_scientifique #Recherche_universitaire #Université #Édition_scientifique
Justina Siegemund, la sage-femme aux petites mains | Prendre corps
▻http://corpsgir.hypotheses.org/146
Tu connais @mad_meg ?
Fille d’un pasteur, Elias Dittrich originaire de Silésie, une région qui se trouve dans l’actuelle Pologne, Justina Siegemund (1636-1705) est surtout connue pour avoir publié un ouvrage d’#obstétrique en 1690[1], Die chur-Brandeburgische Hoff-Wehe-Mutter, das ist : ein Hoechst-noethiger Unterricht, von schweren und unrecht-stehenden Geburten, in einem Gespraech vorgestellet, (..), Cölln an der Spree (= une Sage-femme à la cour de Brandebourg, c’est-à-dire une leçon de première nécessité sur les naissances difficiles et qui se présentent mal, sous forme de dialogue).
C’est une autodidacte particulièrement douée qui a exercé sa profession à la cour de Brandebourg en 1683. Très appréciée et protégée par les puissants comme le montrent les nombreuses dédicaces au début de son ouvrage, elle fut appelée partout en Europe à assister une vingtaine d’accouchements princiers.
Son ouvrage est connu dans le monde anglophone par l’imposant travail de #recherche et d’#édition_scientifique de Lynne Tatlock (The Court Midwife, 2005). Pour ce billet, je me réfèrerai cependant à l’ouvrage original, disponible sur le site de la bibliothèque de Wolfenbüttel (v. lien ci-dessus).
Lit d’accouchement de #Justina_Siegemund
Cette autodidacte a ainsi inventé une technique pour retirer les tumeurs de l’utérus sans ouvrir le ventre des patientes leur offrant ainsi plus de chances de survie. Elle procède à l’ablation de la grosseur en l’entourant avec un ruban puis la sectionne. Elle utilise un ruban semblable pour faire tourner le fœtus dans l’utérus si la naissance se présente mal : il faudrait attacher un ruban à un pied et le faire bouger ainsi avec douceur. Elle a par ailleurs inventé une manipulation apparemment encore utilisée aujourd’hui en cas de placenta prævia (lorsque le placenta n’est pas placé vers le haut de l’utérus comme il le devrait, mettant ainsi la vie de la mère et de l’enfant en grand danger). C’est une position nouvelle à une époque où s’en remettre à Dieu dans des situations apparemment désespérées est une attitude répandue et recommandée par les autorités religieuses.
Je ne connaissait pas Justina Siegemund. Merci pour la découverte @odilon
#historicisation :)
Reed Elsevier deviendrait RELX group, et se tourne vers le Big data
▻https://www.actualitte.com/economie/reed-elsevier-deviendrait-relx-group-et-se-tourne-vers-le-big-data-55524
/images/facebook/cb9825de4ece4b0828e3b9e9dc86c144.jpg
Erik Engstrom, directeur exécutif de Reed Elsevier, désormais RELX, a signalé que les résultats 2015 devraient suivre la même évolution que ceux de l’année précédente. Le changement de nom, qui doit être validé par les actionnaires au mois d’avril prochain, ira de pair avec un rachat de 500 millions £ de ses propres actions, et un virage des investissements vers l’activité Big data du groupe.
« Ce nom sera, selon la société, une meilleure incarnation de sa transformation d’un éditeur de journaux et de livres papier en un fournisseur d’informations numériques », peut-on ainsi lire sur le site du groupe. Les actionnaires ont validé les différents investissements de Reed dans l’industrie des Big data, et l’action est désormais évaluée à 22,72 €, alors qu’elle s’arrêtait à 15,16 € il y a un an.
L’édition académique, juridique, scientifique ou médicale a donc fourni des résultats peu dynamiques pour cette année 2014. Cela n’étonne pas vraiment les actionnaires : l’open access et les nouveaux modèles économiques du secteur ont mis à mal les activités de Reed Elsevier, ou du moins les chahutent un peu. Ainsi, aux Pays-Bas, « pays natal » de Elsevier, les organisations universitaires ont lancé un boycott contre le groupe, qu’ils jugent trop hostile à l’open access.
Menace sur l’édition scientifique
NUMÉRIQUE • Des #éditeurs en sciences humaines et sociales contestent les nouvelles règles du Fonds national de la recherche. Il ne soutient plus les #publications_scientifiques au format papier.
▻http://www.lecourrier.ch/121535/menace_sur_l_edition_scientifique
#édition_scientifique #FNS #Fonds_national_de_la_recherche_scientifique #publication #recherche #papier
–-> C’est pour cela que je dois terminer la révision de mon manuscrit de thèse pour publication d’ici fin juin... sinon, pas d’argent du FNS ! ARRGHHH
cc @reka
Quelle horreur, lisez la réaction d’une prof à ma nouvelle que mon chapitre « territory » a été accepté pour la nouvelle édition du Companion to Political Geography…
"J’espère que tu recevras une copie papier du livre car mon chapitre dans un Handbook of Human Geography chez Sage vient de paraître et ils m’ont en envoyé seulement une version électronique et « généreusement offert 30% de rabais » si je veux acheter le livre. Et ils ont envoyé aussi un long message demandant à tous les auteurs comment promouvoir le livre et inciter nos bibliothèques à l’acheter. J’ai crié au scandale — ils n’ont pas répondu. Curieux monde de l’édition globalisée."
@reka suggère le tag #crapules
moi j’ajoute : #édition #édition_scientifique #éditeurs #Sage #université #publications #open_source #sources_ouvertes #partage #éditeur_prédateur #prédateurs #elsevier #sage #diffusion_du_savoir
Data Mining : quand #Elsevier écrit sa propre loi…
Le leader mondial incontesté de l’#édition_scientifique, Elsevier s’engage en faveur d’une simplification du #data_mining. De nouvelles conditions d’accès, dévoilées le mois dernier, vont grandement simplifier l’#accès à l’un des principaux corpus de #publications_scientifiques. D’autres #éditeurs devraient prochainement adopter un modèle similaire. C’est notamment le cas du principal concurrent d’Elsevier, #Springer.
En apparence ce pourrait être une bonne nouvelle. La recension de Nature met ainsi en évidence l’engouement de certains chercheurs. Max Hauessler, l’instigateur d’un immense projet d’extraction des #articles_scientifiques sur le génome humain, a salué l’initiative : « Finalement, tout ceci montre qu’il n’y a plus aucune raison d’être effrayé par le #text-mining ». Les membres du Human Brain Project (le projet européen d’étude du cerveau humain, doté d’un budget d’un milliard d’euros) semblent également emballés par l’affaire : « Nous sommes enchanté par tout ceci. Cela résout d’importantes questions techniques ».
Mais...
▻http://scoms.hypotheses.org/98
#information #recherche #privatisation #université #chercheurs
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ajouté à la métaliste sur l’éditions scientifique :
►https://seenthis.net/messages/1036396
Pour le reste, tout est mauvais…
#API obligatoire…
Les termes de la #licence sont profondément inadaptés.
Vers une #privatisation…
Amis chercheurs, vous vous faites arnaquer trois fois (merci Elsevier) | Hotel Wikipedia | Rue89 Les blogs
►http://blogs.rue89.nouvelobs.com/les-coulisses-de-wikipedia/2014/02/17/amis-chercheurs-vous-vous-faites-arnaquer-trois-fois-merci-el
la France s’apprête à reconduire un accord avec le géant de l’édition scientifique, Elsevier. Coût de l’opération : près de 190 millions d’euros, versés sur cinq ans. Une somme qui n’était pas censée être révélée au grand jour.
Le budget final passé sous silence
Le consortium qui négociait pour le compte du ministère de la Recherche a bien publié [PDF] un communiqué annonçant sa signature prochaine avec Elsevier, mais les éléments les plus intéressants (notamment le budget final) ne figuraient pas dans le document.
C’est bien pour cela qu’il faut d’autres modèles... et on attend avec impatience le #nouveau_visions_carto pour que les chercheurs aient une place !
Je viens de recevoir cette info d’un ami bibliothécaire :
Pour la Suisse, le renouvellement de l’abonnement doit se faire en 2017. A l’Université de Genève cet abonnement coûte 1’300’000 CHF chaque année...
Nouvelle ère pour les collections
▻http://www.bib.umontreal.ca/collections-nouvelle-ere/default.htm
Un train peut en cacher un autre
▻http://blog.educpros.fr/christophe-perales/2014/02/14/un-train-peut-en-cacher-un-autre
Effectivement, @thibnton, les chercheurs ont aussi leur part à jouer... comme c’est noté dans le lien que tu viens de publier :
Ainsi, que Couperin (un consortium d’établissements et non de bibliothèques, il semble qu’il faille encore le rappeler) conclue ou pas un accord, d’ailleurs historiquement avantageux, avec Elsevier, ne change rien à la vraie question, qui est celle du rôle de la publication dans l’évaluation de la recherche.
Pour y répondre, les professionnels de la documentation peuvent idéalement cesser de se chamailler et apporter leur expertise et leur expérience. Ce serait déjà beaucoup. Mais à condition de bien garder en tête que rien ne se fera sans les chercheurs, présents à toutes les étapes de la chaîne, et qui ont des intérêts contradictoires selon les positions qu’ils y occupent, parfois successivement. Un système générateur de schizophrénie.
Des chercheurs refusent d’être « pistés »
▻http://www.arretsurimages.net/articles/2014-03-08/Des-chercheurs-refusent-d-etre-pistes-par-l-editeur-scientifique-Els
Accord bloqué avec les bibliothèques universitaires | Enquête derrière #paywall
M’avait échappé :
Reed Elsevier (...) en sa qualité de numéro un planétaire de l’édition scientifique, possède The Lancet, prestigieuse revue médicale hebdomadaire. Ses lecteurs ont fait un bond en apprenant, dans l’éditorial de la livraison du vendredi 9 septembre [2005], sous le titre « Reed Elsevier et le commerce des #armes », que ce groupe de presse est aussi propriétaire de Spearhead, l’une des sociétés qui organisent le Salon des technologies militaires
▻http://www.humanite.fr/node/113962