city:st denis

  • Fatima Bedar, fille de tirailleur algérien, « noyée » le 17 octobre 1961.
    https://www.bondyblog.fr/reportages/cest-chaud/fatima-bedar-fille-de-tirailleur-algerien-noyee-le-17-octobre-1961

    Fatima Beddar avait 15 ans quand son corps a été retrouvé dans la Seine le 31 octobre 1961. Elle portait encore son cartable, ses parents ont pu identifier son corps uniquement grâce à ses 2 tresses.

    Il a fallu 25 ans pour retrouver son nom sur la liste établie par Enaudi. La ville de St Denis a adressé un courrier à son frère, Djoudi, en 2012 quand ils ont nommé un parc en l’honneur de Fatima.

    Après avoir été exhumée du cimetière de Stains en 2006, elle repose désormais à Tichy, en Algérie. Il a fallu presque 20 ans à la fondation du 08 mai 1945 pour obtenir qu’elle soit rapatriée chez elle.
    https://twitter.com/Chaouinette/status/1052607392062398464

  • « Pédés », « Pirate somalien », mains au cul : garde-à-vue pour 4 lycéens de Bergson
    https://paris-luttes.info/home/chroot_ml/ml-paris/ml-paris/public_html/local/cache-gd2/5a/c2c8ddee2b439bbc15bba85c6971fb.jpg?1507672625
    https://paris-luttes.info/pedes-pirate-somalien-mains-au-cul-8853

    Quatre lycéens du lycée Bergson (Paris 19e) ont été mis en garde-à-vue à la suite d’une tentative de blocus ce 10 octobre. Ils passent la nuit au commissariat et y ont déjà subi harcèlement et humiliation.

    @rezo

    • Communiqué sur les arrestations devant le lycée Bergson mardi 10 octobre 2017, CGT Éduc’action Paris, CNT FTE 75, Sud éducation Paris
      https://paris-luttes.info/communique-syndical-sur-les-8873

      Mardi 10 octobre 2017 une journée de grève et de mobilisation était appelée dans la fonction publique. Des travailleuses et travailleurs du secteur privé s’y sont joints pour poursuivre la lutte contre la loi travail XXL. La grève a été très suivie dans l’éducation nationale.
      Dans la matinée, de nombreux lycées parisiens ont été bloqués par les élèves (Voltaire, Arago, Lamartine...).

      Devant le lycée Bergson (19ème arrondissement), bloqué par les élèves, quelques poubelles ont pris feu. La police est intervenue et a arrêté plusieurs collégiens et lycéens.
      Certains sont sortis après un contrôle d’identité, mais quatre d’entre eux ont été placés en garde-à-vue.

      Deux collégiens de 13 ans et deux lycéens sont restés jusqu’à 48 heures en garde-à-vue ! Ces deux derniers ont été déférés au tribunal et ont comparu devant un juge pour mineurs ce jeudi 12 octobre au matin. Nous ne savons pas ce qu’il en est.
      Les élèves relâchés après contrôle d’identité ont témoigné d’insultes à caractères racistes et homophobes, d’humiliations et de menaces de la part des policiers à l’intérieur du commissariat.

      Nous condamnons ces interpellations et l’usage d’intimidations et d’humiliations à l’égard de ces élèves qui sont resté enfermés pendant 48h !

      Déjà en 2016, pendant le mouvement contre la loi travail, des policiers avaient frappé des élèves devant le lycée Bergson. Un des policiers auteur des violences a été condamné depuis. Nous nous alarmons de cet acharnement.

      C’est la liberté de manifester pour les jeunes qui est gravement attaquée.

      Face à la répression, nous ne nous tairons pas et réaffirmons notre solidarité avec les jeunes mobilisés et leur famille.

      #Justice

    • « Que Bergson ne bouge ! », 1972, Paris XIX, lycée Bergson, trouvé dans Tiens ils ont repeint !
      https://seenthis.net/messages/656170

      Appel à manifester en soutien aux collégien.ne.s et lycéen.ne.s mobilisé.e.s Jeudi 18 janvier 2018 à 18h devant le lycée Bergson

      En 2016, pendant le mouvement contre la loi Travail, des policiers frappent des élèves devant le lycée Bergson. Le 24 mars notamment, A. reçoit un coup de poing. Un des policiers auteur de ces violences a été condamné depuis et un autre doit comparaître le 30 mars 2018.
      Ce 24 mars 2016, les lycéen.ne.s sont victimes de nombreux coups et certains subissent des gardes à vue violentes et humiliantes. Ainsi S.est frappé, perd connaissance et les pompiers doivent le ré-animer. Il est arrêté puis mis en garde à vue. S. est mineur au moment des faits.
      Trois éléments de loi essentiels à la Protection des Mineurs ne vont pas être respectés :
      – Il est gardé à vue pendant 48h sans qu’aucun responsable légal ne soit prévenu de sa détention.
      – Ses auditions ne sont pas filmées.
      – Il est relâché, seul, alors qu’il aurait dû être remis à un
      responsable légal à sa sortie du commissariat.
      Et pourtant c’est quand même lui qui a été convoqué par la justice et reconnu coupable un an et demi plus tard, le 27 novembre 2017. Condamné à 3 mois de prison avec sursis, 18 mois de mise à l’épreuve et 1 500 € d’amende ! La justice condamne, les violences policières continuent.

      Mardi 10 octobre 2017, une journée de grève et de mobilisation est appelée dans la fonction publique contre la loi Travail XXL. La grève est très suivie dans l’Éducation Nationale. Dans la matinée, de nombreux lycées parisiens sont bloqués par les élèves.
      Devant le lycée Bergson, quelques poubelles prennent feu. La police intervient et arrête plusieurs collégiens et lycéens. Certains sortent après un contrôle d’identité, mais d’autres sont placés en garde-à-vue.
      Au moins un élève de 13 ans et deux lycéens restent jusqu’à 48 heures en garde-à-vue. Ces deux derniers ont été déférés au tribunal et ont comparu devant un juge pour mineurs le jeudi 12 octobre. Certain.e.s, relâchés après contrôle d’identité, ont témoigné d’insultes racistes et
      homophobes, d’humiliations et de menaces à caractère sexuel de la part des policiers à l’intérieur du commissariat.

      Nous dénonçons ces interpellations, les violences policières et les intimidations et humiliations à l’égard des jeunes mobilisé.e.s., des pratiques qui sont quotidiennes dans ce quartier comme dans tous les quartiers populaires.

      Nous dénonçons aussi la complicité de l’administration du lycée qui filme les élèves, collabore éhontément avec la police et organise la double peine en convoquant des conseils de discipline qui votent l’exclusion des élèves « avec sursis ». Un langage emprunté aux tribunaux.

      À Bergson, comme au lycée Suger à St Denis, au lycée Léonard de Vinci à Levallois-Perret, la liste est longue des établissements qui collaborent avec la police et oublient leurs missions de protection en livrant les jeunes à la police. Plus récemment à Cachan, le 23 novembre dernier, une lycéenne a perdu un œil lors d’une manifestation devant son établissement suite à un tir de flash ball par la police. Déjà en 2010, à Montreuil, devant le lycée Jean Jaurès mobilisé contre la réforme des retraites, un autre jeune avait été mutilé après un tir de flash ball.
      Pourtant nous savons que dans d’autres établissements, des équipes éducatives s’assurent que la police n’interviendra pas lors des blocages.

      Nous dénonçons les récentes interventions de police dans les universités pour déloger une occupation ou empêcher des réunions : jeudi 7 décembre, pour la troisième fois en deux semaines, la police a expulsé de l’Université Lille 3 les étudiant-es et personnels qui tenaient une conférence. À Paris 8 le même jour, police et gendarmerie sont venus faire du recrutement au sein même de l’université lors d’un forum de l’emploi.

      Face aux violences, aux provocations, aux humiliations, visant à faire taire la jeunesse très présente et déterminée lors du mouvement contre la loi Travail, nous appelons tou-te.s les acteurs.trices du mouvement social à venir manifester pour dénoncer la répression policière, judiciaire et administrative*.

      Rendez-vous
      Jeudi 18 janvier 2018 à 18h
      devant le lycée Bergson
      rue Edouard Pailleron métro Laumière ou Jaurès
      pour aller en direction du commissariat
      du 19ème arrondissement rue Erik Satie

      *répression administrative : dans les collèges et lycées, le/la chef.fe d’établissement peut convoquer un conseil de discipline. Il est composé majoritairement de représentants de l’administration, de parents et de professeurs. Le/la chef.fe d’établissement peut cependant prononcer seul.e une sanction, sans passer par le conseil de discipline.

  • Du saccage du Lycée Brie-Comte-Robert en 1974 au Lycée Suger à St Denis
    https://paris-luttes.info/du-saccage-du-lycee-brie-comte-7728?lang=fr

    Se ré-approprier la mémoire sur les luttes des mineur.e.s, c’est affermir celles d’aujourd’hui. Redonner un espace à celles et ceux que l’on efface, que l’on méprise, la jeunesse que la société gère, digère, éduque, et finalement : détruit. Opposer à la destruction matérielle d’un lycée, la destruction de nos vies, soumises à l’autorité et policées à un État de plus en plus policier. Source : Paris-luttes.info

  • De Paris à St Denis : la traque des migrant·e·s et des sans-logis | l’Actualité des luttes
    http://sonsenluttes.net/?DE-PARIS-A-SAINT-DENIS-LA-TRAQUE-DES-MIGRANT-E-S-ET-DES-SANS-LOGIS

    Ce 4 novembre au matin a eu lieu dans le 19e arrondissement de Paris l’évacuation par la police du camp de migrant-e-s qui se tenait depuis plusieurs semaines. Dans la première partie de cette émission,nous revenons avec nos invité-e-s sur cette situation d’expulsion permanente. Dans la seconde partie, il sera question des habitant-e-s du 168 avenue du président Wilson à st-Denis, expulsés par leur bailleur. Un jeudi matin, fin août, la police leur demande de descendre. Une fois en bas, des maçons s’affairent à murer les issues et les entrées, forçant les habitants à laisser derrière eux tous leurs biens et effets. Durée : 1h10. Source : Fréquence Paris Plurielle via Sons en (...)

    http://sonsenluttes.net/IMG/mp3/161104migrant-e-s_sans_logis-expulsion_de_paris_a_st_denis_1h09mn57_.m

  • Saint-Denis : les Oubliés des attentats, et Non aux lignes THT en Hautes-Alpes
    http://www.franceinter.fr/emission-comme-un-bruit-qui-court-saint-denis-les-oublies-des-attentats-

    Jeudi 18 février, 3 mois jour pour jour après l’assaut des forces de l’ordre sur leur immeuble où était retranché Abdelamid Abaoud, le cerveau des attentats de Paris, les habitants du 48 rue de la République à St Denis manifestaient. Sur les 45 ménages qui y vivaient seuls 10 ont été relogés. Pire, ils ne sont toujours pas reconnus comme victimes, et ne peuvent prétendre à aucune indemnisation, ni prise en charge suite au traumatisme subi.

    En Haute-Durance (Hautes-Alpes) près du parc national des Écrins, l’entreprise RTE souhaite implanter 80 kilomètres de lignes électriques à 225 000 volts, malgré l’opposition d’une partie de la population qui multiplie les marches et les blocages. Durée : 55 min. Source : France (...)

    http://rf.proxycast.org/1134911633160675328/13947-27.02.2016-ITEMA_20923685-0.mp3

  • Deux mois après l assaut, les victimes du 48 rue de la République à St Denis attendent toujours du concret
    http://endehors.net/news/deux-mois-apres-l-assaut-les-victimes-du-48-rue-de-la-republique-a-st-deni

    Lu sur Paris-luttes.info : "Les habitants du 48 rue de la république à St Denis ont été évacués suite à l assaut mené par les forces de l ordre contre des terroristes le 18 novembre dernier. Trois d entre eux ont été blessés par balle, dont un toujours hospitalisé. L immeuble est inhabitable. Aucunes (...) — Actualité

  • Deux mois après l’assaut, les victimes du 48 rue de la République à St Denis attendent toujours du concret
    http://paris-luttes.info/deux-mois-apres-l-assaut-les-4714

    Les habitants du 48 rue de la république à St Denis ont été évacués suite à l’assaut mené par les forces de l’ordre contre des terroristes le 18 novembre dernier. Trois d’entre eux ont été blessés par balle, dont un toujours hospitalisé. L’immeuble est inhabitable. Aucunes solutions sérieuses de relogement (...) — Logement - Squat, Saint-Denis, Attentats de Paris

  • Meeting « pour une politique de paix, de justice et de dignité » demain à St Denis - @CAislamophobie

    http://contre-attaques.org/magazine/article/grand-meeting

    Dans une tribune unitaire, un collectif d’associations et de personnalités lancent un appel. Contre les dérives racistes et islamophobes de l’état d’urgence, la politique guerrière de la France, le tout sécuritaire et l’état d’exception liberticide, ils en appellent à la paix, la justice et la dignité lors d’un Grand meeting le vendredi 11 décembre 2015 à 18h30 à la Bourse du Travail de Saint-Denis.

  • COP21 : le gouvernement interdit les manifestations sur la voie publique
    http://www.lemonde.fr/cop21/article/2015/11/18/le-gouvernement-annule-les-manifestation-sur-le-climat-du-29-novembre-et-du-

    Le gouvernement a décidé, mercredi 18 novembre, l’annulation de la grande manifestation qui devait se tenir à Paris, entre les places de la République et de la Nation, dimanche 29 novembre, veille de l’ouverture de la Conférence des Nations unies sur le climat (COP21), de même que les événements prévus le dimanche 12 décembre, au lendemain de la clôture de la conférence. Le gouvernement avait dans un premier temps laissé entendre qu’une solution de remplacement serait peut-être proposée aux organisateurs, mais les hypothèses étudiées telles qu’une initiative statique ou dans un lieu fermé n’ont finalement pas été retenues. Cette décision a été prise lors d’une réunion avec le chef de l’Etat et le premier ministre, mercredi après-midi.

    #état_d'urgence ou #état_de_siège ?

    L’état de siège est un dispositif juridique généralement mis en œuvre par le gouvernement en cas de péril imminent (insurrection armée ou invasion étrangère) pour la nation.

    Il comprend plusieurs dispositions :

    L’armée remplace la police pour la sécurité publique.
    Certaines libertés de l’État de droit (circulation, manifestation, expression) sont fortement restreintes.
    Les médias sont contrôlés.
    Un couvre-feu entre en vigueur sur le territoire concerné par l’état de siège.
    La mobilisation nationale peut être décidée.
    Les tribunaux civils sont remplacés par des tribunaux militaires.
    Surveillance accrue de la population.

    (in Wikipédia)

  • Ecoles massacrée en Seine-St-Denis : Autodéfense populaire à St Denis !


    https://paris-luttes.info/ecoles-massacree-en-seine-st-denis

    Communiqué de soutien du groupe région parisienne de la CGA à la lutte des écoles à Saint-Denis menée par les parents et les enseignant-e-s de Saint-Denis.
    Après le 6e jour de grève jeudi dernier, le lycée de la Légion d’honneur était occupé ce week-end par les parents, enfants et enseignant-e-s mobilisé-e-s.

    #ecole #education #93 #education-prioritaire

  • « Or il fut un temps passé où le futur était présent », expo - Archives Getaway - #archives des #luttes_sociales et groupes #révolutionnaires / Saint-Denis
    http://paris.demosphere.eu/rv/38901

    Les Archives ont été invitées à prendre part à une exposition à St Denis dans un espace lié au musée d’art et d’#histoire et exposant habituellement des choses autour des « arts visuels », c’est un lieu usuellement dédié à l’art contemporain. Nous avons travaillé sur 3 sujets qui ne seront pas inconnus à ceux qui ont participé aux rencontres précédentes ou qui ont lu les liasses.
    Les choses seront présentées sous forme de « tables », une est sur #Radio_Alice et les #radios_pirates, une autre est sur le #Collectif_Mohamed, une troisième sur l’Affaire #Hurst et Libérons l’#école. Le travail sur cette exposition nous a permis de reprendre et de développer ces trois chantiers.
    L’exposition, dont le titre général est « Or il fut un temps passé où le futur était présent » aura lieu du 27 mars au 4 mai 2015, dans le bâtiment (La Chapelle Vidéo) qui se trouve accolé au musée d’art et d’histoire de St Denis, au 22 bis rue Gabriel Péri (93200). (informations pratiques plus bas).