• لا رابح في “رواية يونس قنديل المزوّرة” إلا القمع والسلطوية : احتفاء واسع في الأردن بتقرير أمني يفنّد رواية “عنف وحشي” ضد رئيس منظمة مؤمنون بلا حدود.. وجمود حقوقي متوقّع.. “رأي اليوم” تقرأ التداعيات وتزامن مثير مع اقالة المبعوث الملكي للرياض باسم عوض الله | رأي اليوم
    https://www.raialyoum.com/index.php/%d9%84%d8%a7-%d8%b1%d8%a7%d8%a8%d8%ad-%d9%81%d9%8a-%d8%b1%d9%88%d8%a7%d9%

    Edifiante histoire (totalement passée sous silence ailleurs que sur place) à propos d’une très belle simulation de tortures contre un "activiste" (par ailleurs pro-musulman, soutenu par nos chers amis (et néanmoins bons clients) des Emirats arabes unis. La très belle simulation de tortures subie par le patron de "Musulmans sans frontières" était une affaire totalement bidon, montée dans le but de faire monter la tension en Jordanie. Aucun rapport avec des événements similaires qui se seraient passés dans la région, bien entendu.

    #jordanie #manipulation #false_flag

    (Ce n’es

  • Inquiétude pour des réfugiés syriens à la frontière jordanienne

    Des milliers de #réfugiés_syriens du camp de #Roukbane, à la frontière entre la Syrie et la #Jordanie, ne reçoivent plus de #ravitaillement depuis plus d’une semaine, s’inquiètent jeudi les organisations humanitaires. Côté syrien, l’armée de Bachar el-Assad qui a chassé les insurgés de la région a coupé les voies d’accès au camp pour mettre fin à la #contrebande. Côté jordanien, les autorités bloquent depuis le début de l’année les livraisons de l’aide internationale à Roukbane, qui abrite environ 50.000 réfugiés, en majorité des femmes et des enfants.

    « Il y a plus d’une semaine, le régime syrien a bloqué les routes vers le camp, où n’arrivent plus que de très petites quantités de vivres de contrebande », a expliqué à Reuters l’un des responsables du camp, Abou Abdallah. « La situation est explosive en raison de la #faim et des #maladies (...) La #famine menace », a-t-il ajouté. Les Jordaniens, pour leur part, estiment qu’ils n’ont plus à se charger de l’aide aux réfugiés puisque les forces gouvernementales syriennes ont repris le contrôle des environs du camp.

    Les agences des Nations unies exhortent Amman à autoriser de nouveau le passage de l’aide internationale. Le directeur régional de l’Unicef, Geert Cappelaere, a dit craindre pour la vie de milliers d’enfants à l’approche de l’hiver. Ces dernières quarante-huit heures, deux enfants sont morts à Roukbane, a-t-il ajouté. Une femme est également morte dans le camp cette semaine.

    https://www.lorientlejour.com/article/1138416/inquietude-pour-des-refugies-syriens-a-la-frontiere-jordanienne.html
    #Camp_de_réfugiés #frontières

  • Les archéologues ont découvert du pain fabriqué il y a 14 400 ans, soit 4000 ans avant le début de l’agriculture.
    11/07/2018

    https://humanities.ku.dk/news/2018/archaeologists-discover-bread-that-predates-agriculture-by-4000-years

    Sur un site archéologique du nord-est de la Jordanie, des chercheurs ont découvert les restes carbonisés d’un pain plat cuit par des chasseurs-cueilleurs il y a 14 400 ans. C’est la preuve directe la plus ancienne du pain trouvé à ce jour, précédant l’avènement de l’agriculture d’au moins 4 000 ans. Les résultats suggèrent que la production de pain à base de céréales sauvages pourrait avoir encouragé les chasseurs-cueilleurs à cultiver des céréales, contribuant ainsi à la révolution agricole au Néolithique.

    Une équipe de chercheurs de l’Université de Copenhague, de l’University College London et de l’Université de Cambridge ont analysé des restes de nourriture carbonisée provenant d’un site de chasseurs-cueilleurs Natoufiens de 14 400 ans situé dans le désert noir au nord-est de la Jordanie.

    (...)

    « La présence de centaines de restes calcinés dans les cheminées de Shubayqa 1 est une découverte exceptionnelle qui nous a permis de caractériser des pratiques alimentaires vieilles de 14 000. Les 24 restes analysés dans cette étude montrent que les ancêtres sauvages des céréales telles que l’orge, l’einkorn et l’avoine ont été broyées, tamisées et malaxées avant la cuisson. Les restes sont très similaires aux pains plats non levés identifiés sur plusieurs sites néolithiques et romains en Europe et en Turquie. L’étape suivante consiste à évaluer si la production et la consommation de pain ont influencé l’émergence de la culture et de la domestication des plantes », a déclaré l’archéobotaniste de l’Université de Copenhague, Amaia Arranz Otaegui, première auteure de l’étude.

    L’archéologue Tobias Richter, de l’Université de Copenhague, qui a dirigé les fouilles à Shubayqa 1 en Jordanie, a expliqué :

    « Les chasseurs-cueilleurs Natoufiens nous intéressent particulièrement parce qu’ils ont vécu une période de transition où les gens sont devenus plus sédentaires et que leur régime alimentaire a commencé à changer : les faucilles en silex ainsi que les outils en pierre trouvés sur les sites Natoufiens au Levant de soupçonner que les gens avaient commencé à exploiter les plantes d’une manière différente et peut-être plus efficace.Mais le pain plat trouvé à Shubayqa 1 est la première preuve de fabrication de pain récupérée jusqu’ici, et il montre que la boulangerie a été inventée avant la culture des plantes. Ces données confirment donc certaines de nos idées : il se peut que la production précoce et extrêmement longue de pain à base de céréales sauvages ait été l’un des principaux moteurs de la révolution agricole qui a suivi la culture des céréales sauvages. sources de nourriture plus pratiques. "
    (...).

    #Natoufien #Néolithisation #Moyen-Orient #nourriture #pain
    #Amaia_Arranz-Otaegui #Lara_Gonzalez_Carretero #Monica_N._Ramsey #Dorian_Q._Fuller #Tobias_Richter.
    DOI : 10.1073/pnas.1801071115
    https://doi.org/10.1073/pnas.1801071115
    #University_of_Copenhagen #University_College_London #University_of_Cambridge
    #14400BC

  • The #compact experiment. Push for refugee jobs confronts reality of Jordan and Lebanon

    In September 2015, as Europe veered between fear and compassion in response to the refugee crisis, the outline of a radical reform to refugee policy appeared in the journal Foreign Affairs. Its authors – Paul Collier, an influential development economist, and Alexander Betts, a social scientist and then-head of the Refugee Studies Centre at Oxford – proposed a pathway for Syrian refugees into Jordan’s labor market.


    http://issues.newsdeeply.com/the-compact-experiment
    #Liban #travail #réfugiés #réfugiés_syriens #Jordanie #Zaatari #marché_du_travail

  • #NEW_SEVEN_WONDERS_OF_THE_WORLD

    Les #Sept_Nouvelles_Merveilles_du_Monde
    https://www.travelchannel.com/interests/outdoors-and-adventure/articles/new-seven-wonders-of-the-world
    consulté le 03/06/2018

    The following list of the New Seven Wonders is presented without ranking, and aims to represent global heritage.
    In 2007, more than 100 million people voted to declare the New Seven Wonders of the World. The following list of seven winners is presented without ranking, and aims to represent global heritage.

    #Great_Wall_of_China (#China)
    https://travel.home.sndimg.com/content/dam/images/travel/fullset/2015/10/12/new-seven-wonders-great-wall-of-china.jpg.rend.hgtvcom.616.462.suffix/1491581549051.jpeg
    Built between the 5th century B.C. and the 16th century, the Great Wall of China is a stone-and-earth fortification created to protect the borders of the Chinese Empire from invading Mongols. The Great Wall is actually a succession of multiple walls spanning approximately 4,000 miles, making it the world’s longest manmade structure.

    #Christ_the_Redeemer Statue (#Rio_de_Janeiro)
    https://travel.home.sndimg.com/content/dam/images/travel/fullset/2015/10/12/new-seven-wonders-christ-the-redeemer.jpg.rend.hgtvcom.616.462.suffix/1491581548898.jpeg
    The Art Deco-style Christ the Redeemer statue has been looming over the Brazilians from upon Corcovado mountain in an awe-inspiring state of eternal blessing since 1931. The 130-foot reinforced concrete-and-soapstone statue was designed by Heitor da Silva Costa and cost approximately $250,000 to build - much of the money was raised through donations. The statue has become an easily recognized icon for Rio and Brazil.

    #Machu_Picchu (#Peru)
    https://travel.home.sndimg.com/content/dam/images/travel/fullset/2015/10/12/new-seven-wonders-machu-picchu.jpg.rend.hgtvcom.616.462.suffix/1491581548990.jpeg
    Machu Picchu, an Incan city of sparkling granite precariously perched between 2 towering Andean peaks, is thought by scholars to have been a sacred archaeological center for the nearby Incan capital of Cusco. Built at the peak of the Incan Empire in the mid-1400s, this mountain citadel was later abandoned by the Incas. The site remained unknown except to locals until 1911, when it was rediscovered by archaeologist Hiram Bingham. The site can only be reached by foot, train or helicopter; most visitors visit by train from nearby Cusco.

    #Chichen_Itza (#Yucatan_Peninsula, #Mexico)
    https://travel.home.sndimg.com/content/dam/images/travel/fullset/2015/10/12/new-seven-wonders-chichen-itza.jpg.rend.hgtvcom.616.462.suffix/1491581548887.jpeg
    The genius and adaptability of Mayan culture can be seen in the splendid ruins of Chichen Itza. This powerful city, a trading center for cloth, slaves, honey and salt, flourished from approximately 800 to 1200, and acted as the political and economic hub of the Mayan civilization. The most familiar ruin at the site is El Caracol, a sophisticated astronomical observatory.

    The Roman #Colosseum (#Rome)
    https://travel.home.sndimg.com/content/dam/images/travel/fullset/2015/10/12/new-seven-wonders-roman-coloesseum.jpg.rend.hgtvcom.616.462.suffix/1491581548881.jpeg
    Rome’s, if not Italy’s, most enduring icon is undoubtedly its Colosseum. Built between A.D. 70 and 80 A.D., it was in use for some 500 years. The elliptical structure sat nearly 50,000 spectators, who gathered to watch the gladiatorial events as well as other public spectacles, including battle reenactments, animal hunts and executions. Earthquakes and stone-robbers have left the Colosseum in a state of ruin, but portions of the structure remain open to tourists, and its design still influences the construction of modern-day amphitheaters, some 2,000 years later.

    #Taj_Mahal (Agra, #India)
    https://travel.home.sndimg.com/content/dam/images/travel/fullset/2015/10/12/new-seven-wonders-taj-mahal.jpg.rend.hgtvcom.616.462.suffix/1491581548979.jpeg
    A mausoleum commissioned for the wife of Mughal Emperor Shah Jahan, the Taj Mahal was built between 1632 and 1648. Considered the most perfect specimen of Muslim art in India, the white marble structure actually represents a number of architectural styles, including Persian, Islamic, Turkish and Indian. The Taj Mahal also encompasses formal gardens of raised pathways, sunken flower beds and a linear reflecting pool.

    #Petra (#Jordan)
    https://travel.home.sndimg.com/content/dam/images/travel/fullset/2015/10/12/new-seven-wonders-petra.jpg.rend.hgtvcom.616.462.suffix/1491581549062.jpeg
    Declared a World Heritage Site in 1985, Petra was the capital of the Nabataean empire of King Aretas IV, and likely existed in its prime from 9 B.C. to A.D. 40. The members of this civilization proved to be early experts in manipulating water technology, constructing intricate tunnels and water chambers, which helped create an pseudo-oasis. A number of incredible structures carved into stone, a 4,000-seat amphitheater and the El-Deir monastery have also helped the site earn its fame.

    En 2007, plus de 100 million de personnes ont voté pour élire les Sept Nouvelles Merveilles du Monde.
    La #Grande_Muraille_de_Chine (#Chine) :
    Construite antre le Vème siècle avant J.C. et le XVIème siècle, la Grande Muraille de Chine a été conçue pour protéger les frontières de l’Empire chinois des invasions mongoles. Aujourd’hui, la Grande Muraille est une succession de multiples murs qui s’étend sur environ 6 500 kilomètres : il s’agit de la plus longue construction humaine au monde.
    La statue du #Christ_Rédempteur (Rio de Janeiro) :
    La statue du Christ Rédempteur se dresse sur le mont du Corcovado depuis 1931. Cette statue de 40 mètres de haut a été conçue par Heitor da Silva Costa et a coûté environ 250 000 dollars (une grande partie du financement provient de dons).
    Le Machu Picchu (#Pérou) :
    La cité inca du Machu Pichu est supposée avoir été le centre de la capitale Inca Cusco. Construite au milieu du Vème siècle, la citadelle a été par la suite abandonnée par les Incas. Le site, qui n’a été découvert qu’en 1911 par l’archéologue Hiram Bingham, n’est accessible qu’à pied, en train ou en hélicoptère depuis Cusco.
    Chichen Itza (#Péninsule_du_Yucatan, Mexico) :
    La puissante cité de Chichen Itza, probablement construite entre le IX ème et le XIIIème siècles, était le centre économique et politique de la civilisation maya. Les ruines les plus visitées sont celles de l’observatoire astronomique El Caracol.
    Le #Colisée (Rome) :
    Construit au Ier siècle avant J.C., le Colisée a pu accueillir, pendant environ 500 ans, presque 50 000 spectateurs pour les spectacles de gladiateurs et autres événements publics. À cause de tremblements de terre et de vols, le Colisée est aujourd’hui en ruines.
    Le Taj Mahal (Agra, #Inde) :
    Mausolée construit pour la femme de l’Empereur Mongol Shah Jahan, la Taj Mahal a été construit entre 1632 et 1648. Cette structure de marbre blanc comprend un certain nombre d’influences et de styles architecturaux, parmi lesquels les styles persan, islamique, turque et indien.
    Pétra (#Jordanie) :
    Déclaré site mondial de l’UNESCO en 1985, Pétra était la capitale de l’Empire nabatéen au Ier siècle avant J.C. Cette civilisation était apparemment très avancée dans la maîtrise de l’irrigation, ce qui a permis de créer un pseudo-oasis.

    Mon commentaire sur cet article :
    La volonté mondiale de choisir « Sept Nouvelles Merveilles du Monde » montre bien que l’art peut permettre de redéfinir les « codes » établis. On remarque en effet que les « Sept Merveilles du Monde », dont la liste datait de l’Antiquité, se trouvaient toutes aux alentours de la Méditerranée (la pyramide de Khéops à Gizeh en Égypte, les Jardins suspendus de Babylone, la statue de Zeus à Olympie, le temple d’Artémis à Éphèse, le mausolée d’Halicarnasse, le colosse de Rhodes et le phare d’Alexandrie). Plus encore, presque aucune de ces œuvres mystiques n’existe encore aujourd’hui : ces merveilles n’étaient que le symbole de la puissance culturelle et du développement avancé des « civilisations européennes ». Les « Sept Nouvelles Merveilles du Monde » permettent de sortir de cet européanocentrisme en reconnaissant la magnificence de civilisations « autres ».

  • يديعوت أحرونوت: السعودية والإمارات وإسرائيل ساهموا بتصاعد الإحتجاجات في الأردن | القدس العربي Alquds Newspaper
    http://www.alquds.co.uk/?p=947263

    قالت صحيفة يديعوت أحرونوت، ان السعودية والإمارات ومصر وإسرائيل وأمريكا كان لهم دور في تصاعد الأحداث والإحتجاجات التي تعم الأردن حالياً.

    وفي تقرير لمراسل الصحيفة للشؤون العربية أشارت الصحيفة الى ان “أمرين حصلا في الأردن في الأيام الأخيرة، الأول؛ استثناء عمان من الاتفاق الذي تم بين الولايات المتحدة وإسرائيل والسعودية ومصر، في موضوع نقل السفارة الأمريكية إلى القدس″، أما الثاني، فهو “تظاهر الأردنيين في المدن الكبرى ضد رفع أسعار النفط والكهرباء ومشروع ضريبة الدخل الجديد، مشيرة الى انه “في الظاهر لا يوجد رابط بين الأمرين، فنقل السفارة سياسي، ومطالب الأردنيين تتعلق بالشأن الاقتصادي”، مؤكدة ان الرابط يكمن في ان “الأردن الذي يتصرف كدولة غنية، يعيش عملياً على االدعم والمساعدات الأجنبية منذ سنوات عديدة”.

    وأضافت الصحيفة: “ملك الأردن الراحل حسين، ومن بعده ابنه عبدالله، عرفا كيف يحصلان على (الدعم) من الخليج وامريكا، وهكذا أدى الاقتصاد الأردني المتعثر دوره على مدى السنين”،ولكن “دفعة واحدة تفكك كل شيء، فالسعودية ولأسبابها، قررت التنازل عن الأردن في اتفاق مع الأمريكيين، ومصر التي ليس لديها مال زائد جرت خلفها، ومعهما الإمارات”.

    وادعت الصحيفة أن “الضغط الإسرائيلي على واشنطن لحماية الأردن آخذ في الانخفاض وبالتالي؛ فإن على الأردن أن يقف على قدميه وأن يهتم بنفسه”.

    وتطرقت الصحيفة إلى “تفجر غضب الولايات المتحدة، وإسرائيل والسعودية من مشاركة عاهل الاردن في القمة الاستثنائية لمنظمة التعاون الإسلامي، التي عقدت بإسطنبول التركية الجمعة 18 أيار/مايو الماضي، والتي بحثت تطورات الوضع في فلسطين المحتلة عقب نقل السفارة الأمريكية إلى القدس.” ونتيجة لإجراءات الحكومة الأردنية الأخيرة، فقد “خرج الأردنيون الغاضبون إلى الاحتجاج في العديد من المناطق، في وقت قرر فيه ملك الاردن تجميد إجراءات رفع اسعار المحروقات الاخيرة لحين اتضاح الرؤيا .

    #jordanie

  • Le projet nucléaire jordanien abandonné, ou du moins reconfiguré à la baisse sans certitude que la nouvelle solution sera plus réaliste financièrement.
    Auteurs: Ali Ahmad is director of the Energy Policy and Security in the Middle East Programme at the Issam Fares Institute at the American University of Beirut in Lebanon. M. V. Ramana is the Simons Chair for Disarmament, Global and Human Security at the School of Public Policy and Global Affairs at the University of British Columbia in Canada and author of “The Power of Promise: Examining Nuclear Energy in India” (Penguin Books, 2012).
    HTRs will not help establish nuclear power in Jordan | Jordan Times
    http://www.jordantimes.com/opinion/ali-ahmad-and-m-v-ramana/htrs-will-not-help-establish-nuclear-power-jordan

    Chairman of Jordan Atomic Energy Commission (JAEC), Khaled Toukan, has announced that the organisation is in “serious and advanced” talks with China National Nuclear Corporation (CNNC) to build a 220 megawatt High Temperature Gas-Cooled Reactor (HTR) in the Kingdom. Viewed in light of earlier announcements by JAEC and its failure to realise any of its proposed plans since 2007, this pronouncement suggests that the Kingdom is downsizing its nuclear plans in a desperate bid to keep alive the possibility of building a nuclear plant in the country. But this effort is as misguided as prior ones and the best option is to stop investing any more effort, or money, into developing nuclear power.

    Perhaps the most important earlier announcement worth recalling is from three years ago, when, amid much fanfare, Jordan signed an inter-governmental agreement with Russia to build two 1,000-megawatt reactors, at a total cost of $10 billion. The two reactors were “expected to be operational by 2022”. Reports suggested that Russia was to finance 50.1 per cent of the project and Jordan would find financing for the other half. But Jordan struggled to come up with its share.

    Although there has been no official announcement to that effect, the project is likely dead. This is presumably why there is now talk of a smaller reactor.

    #énergie #nucléaire #jordanie #électricité

  • Armi italiane nel mondo: dove finiscono e chi colpiscono

    Bombe per decine di milioni di euro all’Arabia Saudita, che le usa nella guerra in Yemen. E le armi italiane finiscono pure in Nord Africa, Turchia e in tanti altri paesi del Medio Oriente. Un commercio che vede tra i protagonisti la #Rwm_Italia (della #Rheinmetall) e le autorità italiane che lo permettono. Una situazione così grave che gli attivisti hanno presentato un esposto.

    Più di 45 milioni di euro di bombe all’Arabia Saudita. Una fornitura che rappresenta un record non solo per la piccola azienda di Domusnovas in Sardegna, dove la Rwm Italia produce bombe aeree del tipo MK 82. MK83 e MK84 per conto della multinazionale tedesca Rheinmetall, ma per l’intera produzione italiana di ordigni.

    Un dato che, considerata la rilevanza a livello manifatturiero e soprattutto la criticità del destinatario e utilizzatore finale, dovrebbe apparire in chiara evidenza nella Relazione destinata al Parlamento. Di cui, invece, non si trova menzione nella “Relazione sulle operazioni autorizzate e svolte per il controllo dell’esportazione, importazione e transito dei materiali di armamento per l’anno 2017” pubblicata – in totale silenzio (nemmeno un tweet per annunciarla) – lo scorso venerdì 4 maggio sul sito del Senato (ma non ancora disponibile su quello della Camera).
    Armi italiane in Medio Oriente e Nord Africa

    Della Relazione sul controllo del commercio di armi ci siamo in parte già occupati, commentando alcune anticipazioni offerte, in modo alquanto insolito, dal direttore dell’Unità nazionale per le autorizzazioni dei materiali di armamento (Uama), Francesco Azzarello, con una sua intervista all’Ansa. Ma i dati che emergono dal documento ufficiale sono molto più preoccupanti di quelli finora anticipati.

    Innanzitutto perché, degli oltre 10,3 miliardi di euro di autorizzazioni all’esportazione di materiali d’armamento rilasciate nel 2017 dal governo Gentiloni, il 57,5% è destinato a Paesi non appartenenti all’Ue o alla Nato e prevalentemente ai paesi del Medio Oriente e Nord Africa. Ma soprattutto perché tra i principali destinatati figurano nazioni belligeranti, monarchie assolute, regimi autoritari irrispettosi dei diritti umani, governi fortemente repressivi.

    L’esatto opposto di quello che ci si aspetterebbe: ai sensi della normativa nazionale che regolamenta questa materia, la legge 185 del 1990, le esportazioni di armamenti «devono essere conformi alla politica estera e di difesa dell’Italia» e dovrebbero essere regolamentate «secondo i principi della Costituzione repubblicana che ripudia la guerra come mezzo di risoluzione delle controversie internazionali» (art. 1).
    Guerra in Yemen e regimi: le armi italiane nel mondo

    L’elenco di questi Paesi è impressionante. Si comincia con il Qatar (4,2 miliardi di euro), a cui sono state fornite da Fincantieri quattro corvette, una nave per operazioni anfibie e due pattugliatori e in aggiunta il sistema di combattimento e missilistico della Mbda: un intero arsenale bellico che la sottosegretaria di Stato alla Presidenza del Consiglio dei ministri, onorevole Maria Elena Boschi, nella sezione di sua competenza liquida sbrigativamente come una mera «fornitura di navi e di batterie costiere».

    Segue l’Arabia Saudita (52 milioni), a cui vanno aggiunti altri 245 milioni di euro per gli Efa “Al Salam” e i Tornado “Al Yamamah” riportati nei programmi intergovernativi.

    E poi Turchia (266 milioni), Pakistan (174 milioni), Algeria (166 milioni), Oman (69 milioni), Iraq (55 milioni), Emirati Arabi Uniti (29 milioni), Giordania (14 milioni), Malaysia (10 milioni), Marocco (7,7 milioni), Egitto (7,3 milioni), Tunisia (5,5 milioni), Kuwait (2,9 milioni), Turkmenistan (2,2 milioni).
    #Pakistan #Algérie #Oman #Irak #EAU #Emirats_Arabes_Unis #Jordanie #Malaysie #Maroc #Birmanie #Egypte #Tunisie #Kuwaït #Turkmenistan

    Come ha rilevato con un comunicato la Rete italiana per il Disarmo, «il risultato è evidente: gli affari “armati” dell’industria a produzione militare italiana si indirizzano sempre di più al di fuori dei contesti di alleanze internazionali dell’Italia verso le aree più problematiche del mondo».

    Armi all’Arabia Saudita: «Violati i diritti umani»

    Soprattutto le forniture di armamenti all’Arabia Saudita sono state oggetto di specifiche denunce da parte delle associazioni pacifiste italiane ed europee. Si tratta di forniture – non va dimenticato – che il Parlamento europeo ha chiesto con tre specifiche risoluzioni di interrompere ponendo un embargo sugli armamenti destinati all’Arabia Saudita «visto il coinvolgimento del paese nelle gravi violazioni del diritto umanitario accertato dalle autorità competenti delle Nazioni Unite» (risoluzione del Parlamento europeo sulle esportazioni di armi del 13 settembre 2017).

    Insieme all’’European Center for Constitutional and Human Rights (Ecchr) e all’organizzazione yemenita per i diritti umani Mwatana, lo scorso 18 aprile la Rete Italiana per il Disarmo ha presentato una denuncia penale alla Procura della Repubblica italiana di Roma.
    Autorità e Rwm Italia: chiesta apertura indagine

    Nella denuncia si chiede che venga avviata un’indagine sulla responsabilità penale dell’Autorità italiana che autorizza le esportazioni di armamenti (Unità per le autorizzazioni dei materiali d’armamento – Uama) e degli amministratori della società produttrice di armi Rwm Italia S.p.A. per le esportazioni di armamenti destinate ai membri della coalizione militare guidata dall’Arabia Saudita coinvolti nel conflitto in Yemen.

    La denuncia è estremamente dettagliata e riporta il caso di un raid aereo effettuato l’8 ottobre 2016, verosimilmente dalla coalizione militare guidata dall’Arabia Saudita, che ha colpito il villaggio di Deir Al-Hajari, nello Yemen nord-occidentale, distruggendo la casa della famiglia Houssini e uccidendo sei persone, tra cui una madre incinta e quattro bambini. Sul luogo dell’attacco sono stati rinvenuti dei resti di bombe e un anello di sospensione prodotti da Rwm Italia.
    Rheinmetall nel mirino dell’azionariato critico

    Le associazioni non si sono limitate alla denuncia. Per sensibilizzare l’opinione pubblica la Fondazione Finanza Etica (Ffe) ha partecipato lo scorso 8 maggio a Berlino all’assemblea degli azionisti della Rheinmetall, l’azienda che controlla la Rwm Italia.

    All’assemblea era presente, in rappresentanza delle associazioni pacifiste italiane, Francesco Vignarca, coordinatore di Rete Disarmo. Numerose anche le organizzazioni tedesche che, acquistando azioni della Rheinmetall, hanno potuto partecipare all’assemblea dei soci: tra le altre va ricordata la banca cattolica Bank für Kirche und Caritas (presente in rappresentanza del network SfC-Shareholder for Change), Urgewald, Campact, varie associazioni cattoliche ed Ecchr (European Centre for Constitutional and Human Rights).

    Particolarmente significativo l’intervento di Bonyan Gamal, in cui l’attivista yemenita di Mwatana ha descritto la tragica morte della famiglia Houssini, suoi vicini di casa, centrati da una bomba prodotta dalla Rwm Italia.
    Mons. Zedda su Rwm Italia: «No a produzione di armi»

    Una presa di posizione quanto mai significativa è venuta dal vescovo di Iglesias, monsignor Giovanni Paolo Zedda. Il prelato è titolare della diocesi di cui fa parte Domusnovas, dove ha sede la fabbrica della Rwm Italia. Dopo aver ricordato nel suo messaggio la «gravissima situazione occupativa» nell’iglesiente, monsignor Zedda evidenzia che «la gravissima situazione economico-sociale non può legittimare qualsiasi attività economica e produttiva, senza che ne valutiamo responsabilmente la sostenibilità, la dignità e l’attenzione alla tutela dei diritti di ogni persona».

    «In particolare, non si può omologare la produzione di beni necessari per la vita con quella che sicuramente produce morte. Tale è il caso delle armi che – è purtroppo certo – vengono prodotte nel nostro territorio e usate per una guerra che ha causato e continua a generare migliaia di morti».

    E, in merito ai piani proposti dalla Rwm Italia per ampliare la fabbrica, monsignor Zedda afferma con chiarezza: «Qualunque idea di conservazione o di allargamento di produzione di armi è da rifiutare». Un messaggio che è stato accolto con grande attenzione dai partecipanti al convegno “Pace, lavoro, sviluppo”, che proprio in quei giorni si teneva a Iglesias per riflettere anche sulle prospettive di una possibile riconversione della fabbrica delle bombe.


    https://www.osservatoriodiritti.it/2018/05/15/armi-italiane-nel-mondo-arabia-saudita-yemen
    #armes #Italie #armement #commerce_d'armes #Arabie_Saoudite #Yémen #Turquie
    cc @albertocampiphoto

    • Armi italiane in Yemen: Governo del Cambiamento alla prova

      Il ministro della Difesa, Elisabetta Trenta, vuole vederci chiaro sull’esportazione di armi italiane verso Arabia Saudita e altri Paesi coinvolti nel conflitto in Yemen. E si dichiara pronta a bloccare le vendite di armi «verso Paesi in guerra o verso altri Paesi che potrebbero rivenderle a chi è coinvolto». Nel frattempo, però, servirebbe più trasparenza.

      Il ministro della Difesa, Elisabetta Trenta, ha annunciato ieri l’intenzione, «laddove si configurasse una violazione della legge 185 del 1990», di interrompere le esportazioni di armamenti a Paesi coinvolti in conflitti bellici. L’annuncio, pubblicato sulla sua pagina Facebook, fa seguito a una serie di dichiarazioni rilasciate nei giorni scorsi da diversi parlamentari del Movimento 5 Stelle (M5S) ed in particolare dal suo leader politico, Luigi Di Maio.

      Al termine della riunione della Cabina di Regia per l’Italia internazionale, il ministro dello Sviluppo economico, Di Maio, aveva infatti affermato:

      «Non vogliamo, ad esempio, continuare ad esportare armi verso Paesi in guerra o verso altri Paesi che, a loro volta, potrebbero rivenderle a chi è coinvolto in un conflitto bellico».

      Una dichiarazione salutata positivamente da alcuni parlamentari del M5S che hanno annunciato di voler avviare iniziative parlamentari «per imprimere un cambiamento anche in questo settore».
      Trenta chiede chiarimenti su esportazione armi italiane

      Ma torniamo alla dichiarazione del ministro della Difesa. A fronte delle «immagini di quel che accade in Yemen ormai da diversi anni», Elisabetta Trenta annuncia innanzitutto di aver chiesto «un resoconto dell’export, o del transito di bombe o altri armamenti dall’Italia all’Arabia Saudita». Il ministro, specificando agli organi di stampa che «fino ad ora, erroneamente, si era attribuita la paternità della questione al ministero della Difesa, mentre la competenza è del ministero degli Affari Esteri (Unità per le autorizzazioni dei materiali di armamento-UAMA)», comunica di aver inviato «venerdì scorso una richiesta di chiarimenti, sottolineando – laddove si configurasse una violazione della legge 185 del 1990 – di interrompere subito l’export e far decadere immediatamente i contratti in essere».

      Si tratta, evidenzia, di «contratti firmati e portati avanti dal precedente governo» (leggi Armi italiane ai regimi autoritari). La titolare della Difesa annuncia infine di aver «allertato il collega Moavero, che sono certa si interesserà quanto prima dell’argomento». Al momento, dal ministero degli Esteri non risulta alcuna risposta. Ma la dichiarazione della Trenta evidenzia un’attenzione, finora inedita, da parte di un organo governativo, da non sottovalutare.
      Rete Disarmo e Amnesty su armi italiane vendute all’estero

      La Rete italiana per il Disarmo, che per anni insieme a diverse altre organizzazioni della società civile ha sollevato in varie sedi la questione, ha salutato positivamente la presa di posizione della ministro Trenta sulla questione delle vendite di bombe italiane all’Arabia Saudita, evidenziando che «va nella giusta direzione e verso l’unica e sola soluzione sensata e umana: lo stop di qualsiasi fornitura militare».

      https://www.osservatoriodiritti.it/2018/09/18/armi-italiane-in-yemen-arabia-saudita

    • Triplicherà la produzione la fabbrica di bombe in Sardegna che rifornisce i sauditi

      L’azienda tedesca investe sulle sue filiali all’estero per aggirare il blocco di forniture a Riyadh imposto da Angela Merkel

      #Rwm verso l’ampliamento. Il comitato di riconversione e Italia Nostra Sardegna in piazza per protestare: «Il comune di Iglesias non ci ascolta»

      La Rwm, la fabbrica di bombe situata a Domusnovas in Sardegna, triplicherà la sua produzione e amplierà le sue strutture su un territorio che rientra sotto il comune di Iglesias. È prevista la costruzione di due nuovi reparti produttivi; a giorni verrà pubblicata l’autorizzazione sull’albo pretorio comunale.

      Secondo Italia Nostra Sardegna, la richiesta di autorizzazione all’ampliamento è stata formulata in modo che i due reparti impiegati nel processo di miscelazione, caricamento e finitura di materiali esplodenti non vengano inquadrati come impianti chimici, così da eludere le valutazioni di Impatto ambientale e il coinvolgimento della Regione Sardegna. Con i due nuovi reparti la produzione passerà da 5 mila a 15 mila bombe l’anno.

      La Rwm è tristemente famosa per le forniture all’Arabia Saudita, che utilizza gli ordigni per bombardare i civili in Yemen nella guerra contro i ribelli sciiti Houthi che ormai va avanti dal 2015. La fabbrica è una filiale dell’azienda tedesca di armamenti Rheinmetall, il cui presidente Papperger già a maggio scorso dichiarava durante il consiglio di amministrazione il rinnovo di investimenti per il sito di Domusnovas. Gli investimenti sono arrivati e l’ampliamento ha ricevuto l’autorizzazione.

      In circa 18 mesi i lavori dovrebbero essere conclusi: a dare la tempistica approssimativa era stato proprio l’amministratore delegato di Rwm, Fabio Sgarzi, in un’intervista a La Nuova Sardegna lo scorso luglio. Proprio in quel periodo, infatti, la società aveva presentato la richiesta di ampliamento per la quale lo scorso 3 novembre è scaduta la prima fase autorizzativa.

      «Non possiamo essere complici di una tale sciagura» dichiara Arnaldo Scarpa, portavoce del Comitato di riconversione, che giovedì 8 novembre era in piazza assieme all’associazione Italia Nostra Sardegna per un sit in di protesta. Lo scorso luglio le due associazioni si sono costituite nella Conferenza dei Servizi, in cui vengono presi in considerazione gli interessi pubblici, per richiedere la necessità di una valutazione di impatto ambientale. Ma questa volta non sono stati ascoltati: in assenza di pareri contrari, la procedura di ampliamento va avanti. «Diventa così ancora più importante la protesta” continua Scarpa “Stiamo valutando gli estremi per un ricorso al Tar».

      È dal 2016 che la Rwm prova ad ampliarsi nel territorio di Iglesias: due anni fa, infatti, la società aveva richiesto l’autorizzazione per la costruzione di un nuovo campo per i test. Ma questa richiesta è al momento bloccata in fase istruttoria presso la regione Sardegna, in attesa di una Valutazione di impatto ambientale, istanza fortemente voluta dall’associazione Italia Nostra Sardegna. Fino ad ora, denunciano le associazioni, la politica locale non ha preso una posizione, sostenendo che l’approvazione o il rigetto delle autorizzazioni di ampliamento siano questioni puramente tecniche di competenza del Suap (Sportello unico per le attività produttive). «Ci siamo rivolti direttamente al Sindaco di Iglesias, al responsabile del Suap e al responsabile del procedimento del comune di Iglesias, speriamo che in questi giorni la situazione possa essere ribaltata” conclude Scarpa «la lotta non violenta continua e con maggiore motivazione».

      I progetti di espansione peraltro vanno nella direzione contraria a quella indicata dalla cancelliera tedesca Angela Merkel, che in relazione al caso Kashoggi ha minacciato di sospendere il commercio di armi con l’Arabia Saudita. Di fatto però la Merkel sa benissimo che in mancanza di una regolamentazione definita sulle filiali all’estero, le grosse aziende tedesche di armi possono continuare a commerciare impunite.

      La Rheinmetall infatti sta implementando gli investimenti sulle sue due più grosse succursali all’estero: da un lato procede all’ampliamento della sarda Rwm e dall’altra ha appena ricevuto una grossa offerta dalla compagnia della difesa saudita Sami (Saudi Arabian Military Industries) per la sudafricana Rdm (Rheinmetall Denel Munition). Secondo una fonte anonima riportata dalla Reuters l’offerta ammonterebbe a un miliardo di dollari e riguarderebbe Denel, l’azienda che dal 2008 si è legata in una join venture con la Rheinmetall Waffe Munition tedesca e che attualmente detiene il 49% della filiale sudafricana. In tale modo i sauditi, con una quota di minoranza, entrerebbero di diritto nel consiglio di amministrazione e riuscirebbero ad impossessarsi di una grossa parte della fabbrica.

      Se nelle dichiarazioni politiche viene messa in discussione la possibilità di commerciare con l’Arabia Saudita, nei fatti quando si parla di affari milionari, la solidarietà tra i vari paesi coinvolti risulta più compatta che mai.

      https://www.dirittiglobali.it/2018/11/triplichera-la-produzione-la-fabbrica-di-bombe-in-sardegna-che-riforn
      #Allemagne

    • Armi italiane vendute all’estero per rilanciare il “Sistema Paese”

      Il Governo del Cambiamento non ha intenzione di rinunciare alla vendita di armi italiane in Medio Oriente. Tanto che per il sottosegretario alla Difesa Tofalo si tratta di un business «da sfruttare al massimo». Con buona pace dei diritti umani violati dall’Arabia Saudia nella guerra in Yemen. Società civile e Comuni, invece, chiedono un’inversione di rotta

      Ha preso il via domenica scorsa Idex 2019 (International Defence Exhibition), l’esposizione biennale di sistemi militari di Abu Dhabi giunta alla quattordicesima edizione. Un salone che rappresenta il punto di riferimento per i ricchi acquirenti del Medio Oriente e, soprattutto, per le aziende produttrici di armamenti.

      Come annunciato (leggi Marina militare: dalla Spezia al Medio Oriente per affari di guerra), la Marina Militare ha voluto inviare ad Abu Dhabi la fregata Margottini per arricchire con le sue tecnologie belliche il salone Navdex, che si tiene in contemporanea a Idex.

      Tra le 1.235 aziende di 57 Paesi, la presenza italiana è rilevante: 31 aziende, tra cui oltre ai colossi #Leonardo (ex #Finmeccanica) e #Fincantieri, figurano i produttori di bombe (#Simmel_Difesa del gruppo francese #Nexter), di “armi leggere” (#Beretta, #Benelli, #Tanfoglio, #Fiocchi, ma anche la meno nota #Mateba), di “materiali da difesa” di ogni tipo e soprattutto di sistemi elettronici tra cui spicca #Hacking_Team, l’azienda sospettata di essere coinvolta nello spionaggio di Giulio Regeni (con relative proteste dell’azienda) e anche nel caso dell’omicidio del giornalista saudita Jamal Khashoggi.

      In breve, un ampio campionario dell’arsenale bellico italiano, pesante e leggero, con tanto di associazione di rappresentanza, l’Aiad (Federazione Aziende Italiane per l’Aerospazio, la Difesa e la Sicurezza), la cosiddetta “Confindustria degli armamenti”, capitanata dal suo presidente Guido Crosetto che è anche coordinatore nazionale di Fratelli d’Italia.

      Armi italiane vendute all’estero: occasione da “sfruttare”

      In questo contesto non poteva certo mancare la visita di un rappresentante del governo italiano: vi ha infatti partecipato il sottosegretario alla Difesa, l’onorevole pentastellato Angelo Tofalo. Per non far passare inosservata la sua presenza, il sottosegretario ha voluto dedicare al salone militare un ampio scritto sulla sua pagina Facebook con tanto di foto ricordo della visita agli stand ed in particolare del suo incontro con Mohammed bin Zayed Al Nahyan, il Principe erede dell’Emirato di Abu Dhabi e delegato per il ministero della Difesa.

      Un resoconto entusiasta, in cui il sottosegretario parla di Idex 2019 nei termini di «una grande opportunità per stabilire e rafforzare cooperazioni con i principali attori dell’area», di «un’occasione da sfruttare al massimo» e, soprattutto, del suo ruolo «per sostenere le nostre eccellenze (…) per affermare il “made in Italy” nel mercato internazionale». «Anche questo vuol dire fare politica, quella buona, e gli interessi dell’Italia», chiosa Tofalo.

      Dichiarazioni in perfetto stile “commesso viaggiatore” dell’industria militare italiana. Quanto questo risponda al suo ruolo di sottosegretario alla Difesa, il cui compito principale sarebbe quello di assicurare la sicurezza del nostro Paese a fronte della minaccia che queste monarchie rappresentano (ne parlo più sotto), non è dato di sapere.

      In sfregio alle violazioni e ai crimini di guerra

      La partecipazione di Tofalo a Idex 2019 è un messaggio molto chiaro: il governo Conte non intende rinunciare agli affari militari e coglie l’occasione del salone di Abu Dhabi per rafforzare i legami con le monarchie del Golfo. Manifestando così il suo appoggio politico all’intervento militare che vede protagonisti gli Emirati Arabi insieme ai sauditi in Yemen.

      Un sostegno inammissibile alla luce della relazione dell’Alto commissario delle Nazioni Unite per i diritti umani dell’agosto scorso che documenta come tutte le parti implicate nel conflitto nello Yemen stiano commettendo “crimini di guerra”. E in totale disprezzo della risoluzione 2018/2853 del Parlamento europeo che lo scorso ottobre ha esortato tutti gli Stati membri dell’Ue ad «astenersi dal vendere armi e attrezzature militari all’Arabia Saudita, agli Emirati Arabi Uniti e a qualsiasi membro della coalizione internazionale, nonché al governo yemenita e ad altre parti del conflitto».

      Sulla questione dello Yemen il sedicente governo del Cambiamento quindi si mostra non solo in perfetta continuità con i governi che l’hanno preceduto (leggi Armi italiane in Yemen: Governo del Cambiamento alla prova), ma anzi intende incentivare le forniture belliche perché – come spiega il sottosegretario Tofalo – «in questo settore, quando viene a crearsi un bisogno, accade che tanti competitor sono pronti a inserirsi e affermare le proprie tecnologie e prodotti». E per promuovere l’export armato sta pensando «ad una a grande fiera sull’Industria della Difesa, magari a Milano», scrive Tofalo nel suo post.
      Armi sviate alle milizie in Yemen

      Tutto questo avviene a pochi giorni di distanza dalla pubblicazione di un rapporto in cui Amnesty International documenta che «gli Emirati Arabi Uniti sono diventati il principale fornitore di veicoli blindati, sistemi di mortaio, fucili, pistole e mitragliatrici a milizie presenti in Yemen che compiono crimini di guerra e altre gravi violazioni dei diritti umani in modo del tutto impunito».

      Non solo. Amnesty evidenzia che «i gruppi armati destinatari finali di questi loschi traffici – tra cui i “Giganti”, la “Cintura di sicurezza” e le “Forze di elite” – sono addestrati e finanziati dagli Emirati Arabi Uniti ma non rispondono ad alcun governo». Alcuni di loro sono stati accusati di crimini di guerra, anche nel corso della recente offensiva contro la città portuale di Hodeidah e nella gestione del sistema di prigioni segrete nel sud dello Yemen».
      Guerra in Yemen: anche gli Usa ci ripensano

      Accuse confermate da un’inchiesta della CNN che documenta come Arabia Saudita e Emirati Arabi hanno trasferito armamenti di fabbricazione americana a combattenti legati ad al Qaeda, alle milizie salafite e ad altre fazioni attive nella guerra nello Yemen. Arabia Saudita e Emirati Arabi «hanno usato le armi prodotte dagli Stati Uniti come una forma di valuta per comprare la lealtà delle milizie e delle tribù, rafforzare i rapporti con gruppi armati scelti e influenzare il complesso panorama politico», riporta la CNN.

      Anche a fronte di queste inchieste, nei giorni scorsi la Camera degli Stati Uniti ha votato per porre fine al coinvolgimento militare e al sostegno di Washington alla coalizione a guida saudita nello Yemen. Un fatto rilevante, sia per il ruolo fondamentale di sostegno degli Stati Uniti alla coalizione a guida saudita nel conflitto yemenita, sia perché la risoluzione è passata grazie al voto anche di 18 rappresentanti repubblicani (248 voti a favore, 177 contrari): è la prima volta che la Camera approva una risoluzione del “War Powers Act” da quando la legge è stata emanata nel 1973.
      Le città italiane: basta armi italiane all’Arabia Saudita

      Il blocco delle forniture belliche all’Arabia Saudita e agli Emirati Arabi Uniti è stato ripetutamente richiesto, oltre che dal Parlamento europeo (leggi Basta armi ai sauditi, lo chiede l’Europa), anche da numerose associazioni della società civile italiana (da Amnesty International Italia a Fondazione Finanza Etica, dal Movimento dei Focolari a Oxfam Italia, dalla Rete della Pace alla Rete Italiana per il Disarmo e Save the Children Italia che ieri ha diffuso un nuovo appello). E sta trovando il sostegno da parte di numerose amministrazioni comunali.

      La mozione per fermare le forniture belliche è partita da Assisi, “Città della pace”, dove nel novembre scorso è stata approvata all’unanimità nel consiglio comunale. È poi approdata a Cagliari (la città dal cui porto e aeroporto partono le bombe della serie MK 80 fabbricate dalla Rwm Italia di Domusnovas e destinate all’Arabia Saudita), dove il consiglio comunale lo scorso 8 gennaio ha approvato un ordine del giorno che sollecita l’applicazione delle legge 185/90, che vieta la produzione e la vendita di armi ai Paesi in guerra. Sono seguite le mozioni approvate nei consigli comunali di Verona e di Bologna.

      È quindi approdata nell’assemblea capitolina che lo scorso 12 febbraio ha approvato la mozione “Stop bombe per la guerra in Yemen”. La mozione impegna la giunta, tra l’altro, a:

      «Promuovere, insieme agli altri comuni convergenti su questi intenti, alle associazioni e ai comitati di cittadini interessati, ogni azione perché il Governo e il Parlamento Italiano diano attuazione ai principi costituzionali e alle risoluzioni del Parlamento Europeo, bloccando l’esportazione di armi e articoli correlati, prodotti in Italia, destinate all’Arabia Saudita e a tutti i Paesi coinvolti nel conflitto armato in Yemen».

      Un’iniziativa importante, che andrebbe replicata in tutte le città e comuni d’Italia.

      Per riportare all’attenzione nazionale il tema delle esportazioni di armamenti, segnaliamo il convegno “Produzione e commercio di armamenti: le nostre responsabilità”, che si terrà il 1° marzo a Roma (iscrizione obbligatoria entro il 22 febbraio).

      https://www.osservatoriodiritti.it/2019/02/22/armi-italiane-vendute-all-estero-yemen-arabia-saudita

    • No all’allargamento della #RWM a #Iglesias

      La Tavola Sarda della Pace prende atto della decisione dell’Amministrazione comunale di Iglesias che autorizza d’ufficio l’allargamento della fabbrica di armamenti RWM, con la costruzione di due nuove linee di produzione che porteranno lo stabilimento a triplicare la capacità produttiva. Poiché tutto ciò è avvenuto con scarsa trasparenza, nessuna apertura ad un dibattito pubblico che coinvolga le popolazioni locali, nessuna considerazione dei documenti a tale scopo presentati da comitati ed organizzazioni della società civile, intende prendere posizione su questo grave fatto.

      Da oltre tre anni ormai la RWM, succursale italiana della multinazionale degli armamenti Reinhmetal a maggioranza tedesca e con sede a Berlino, vende i suoi micidiali ordigni all’Arabia Saudita, che li utilizza per i bombardamenti a tappeto contro i centri abitati e le popolazioni civili dello Yemen, che hanno fino ad oggi causato oltre 10mila vittime, in un’emergenza umanitaria gravissima, amplificata dalla mancanza di acqua e cibo e dalla conseguente epidemia di colera che ha colpito la popolazione. Il Governo italiano in carica, come peraltro quello precedente, continua ad ignorare l’applicazione della legge 185 del 1990 che fa divieto alla vendita e al transito sul suolo italiano di armi dirette a paesi in guerra o che violino i diritti umani. La monarchia saudita non sfugge ad entrambi i criteri, in quanto viola i diritti umani (il caso Khashoggi è solo la punta dell’iceberg, le donne continuano ad essere pesantemente discriminate) e bombarda la popolazione yemenita con le bombe prodotte nella fabbrica RWM situata nei territori dei Comuni di Domusnovas e Iglesias.

      Essendo fermamente avversi ad ogni guerra, violenza e discriminazione, pensiamo che questo devastante e illecito commercio d’armi vada fermato e, nel rispetto del diritto ad un lavoro dignitoso, vadano con urgenza ricercate soluzioni di sviluppo ecosostenibile sul territorio sardo.

      Per questo chiediamo che il Sindaco di Iglesias Mauro Usai riconsideri la decisione presa troppo frettolosamente, che il Presidente della Giunta Francesco Pigliaru intervenga in modo chiaro utilizzando le prerogative della Regione, che il Governo italiano aderisca all’embargo proposto dall’Unione Europea sulla vendita d’armi all’Arabia Saudita.

      https://www.arci.it/no-allallargamento-della-rwm-a-iglesias
      #Sardaigne

    • Rwm nel #Sulcis. Fabbrica delle bombe giorni decisivi per l’ampliamento

      Il momento è decisivo. In questi due giorni si gioca la fase clou della partita per l’ampliamento della “fabbrica delle bombe” sarde. Così è spesso chiamato lo stabilimento di Rwm Italia situato nel Sulcis, in bilico fra il comune di Domusnovas e quello di Iglesias. La ragione è semplice. L’impianto è specializzato – come si evince dal sito ufficiale – nella produzione di «sistemi antimine, testate missilistiche, dispositivi elettronici con spolette». In particolare, ordigni Mk-80. I cui frammenti, con tanto di codici identificativi – come documenta da anni Avvenire – sono stati ritrovati sul territorio yemenita dopo i bombardamenti della coalizione a guida saudita.

      Riad, del resto, è tra i clienti principali della Rwm Italia. Proprio da quest’ultima, nel 2016, ha ricevuto un “mega-ordine” da 411 milioni di euro. A cui si sono sommate, nel periodo successivo, commesse più piccole, tutte già autorizzate. Le richieste hanno fatto aumentare di oltre il 50 per cento il fatturato dell’azienda in un biennio. I ricavi delle vendite sono passati da 48,1 milioni di euro nel 2015 a 90 milioni di euro. Al contempo, però, esso ha innescato una “maratona produttiva”.

      L’impianto sardo lavora ormai h 24, sette giorni su sette. Nemmeno questo, però, sembra essere sufficiente per soddisfare la domanda. Da qui, l’idea di un’espansione. Dal 2016, nell’ambito di un piano di investimenti da 40 milioni di euro, Rwm Italia ha presentato al Comune di Iglesias dodici pratiche di ampliamento. La sorte della più significativa di queste si conoscerà domani. Ieri, è scaduto il termine per la presentazione di “osservazioni” relative all’effetto sul territorio dell’autorizzazione per la costruzione di due nuovi siti nella regione iglesiente da parte dei diversi enti locali.

      Solo domani, però, data la concomitanza della festa, si saprà se queste sono state effettivamente inoltrate. In caso affermativo, le parti ne dovranno discutere in una riunione ad hoc già prevista per giovedì. Il mancato recapito di rimostranze, invece, equivarrebbe a un via libera all’ampliamento, senza necessità di una valutazione dell’impatto ambientale. A quel punto, Rwm Italia potrebbe raddoppiare o triplicare la produzione, passando dall’attuale media annuale di 5mila ordigni a 10 o 15mila. Certo, tale espansione avrebbe anche ricadute in termini di occupazione.

      Un problema non da poco in un’aerea depressa come il sud della Sardegna che, nel 2017, s’è aggiudicato il penultimo posto nella classifica italiana per Pil pro capite. Dal 2015 al 2017, sono stati assunti altri 37 nuovi dipendenti, raggiungendo quota 171, in buona parte con contratti a termine o interinali. «Siamo pienamente consapevoli del dramma della disoccupazione che tanto ferisce la nostra terra – spiega Cinzia Guaita, del Comitato riconversione Rwm –. Eventuali nuove assunzioni, tuttavia, aumenterebbero una produzione eticamente inaccettabile e totalmente incompatibile con la legislazione italiana, che consente la produzione di armi solo per fini difensivi.

      Non solo. Finirebbero per incrementare ulteriormente l’esercito dei precari e, poi, dei disoccupati. In caso di blocco dell’export a Riad, i contratti sarebbero soggetti a immediata risoluzione». Nato il 15 maggio 2017, il Comitato – a cui aderiscono venti tra associazioni, fondazioni, singole persone di diverse orientamento – si batte per la riconversione dell’impianto. In occasione della scadenza di ieri, in collaborazione con Italia Nostra, ha rivolto forti appelli agli enti locali perché approfondissero le conseguenze ambientali dell’ultimo ampliamento. «Lottiamo pacificamente per un lavoro sostenibile e umano. In questo anno e mezzo, abbiamo promosso incontri con esperti per trovare insieme alternative per tutti i dipendenti della fabbrica – spiega il portavoce Arnaldo Scarpa –. Soluzioni non assistenziali, pacifiche, sostenibili e foriere di duraturo sviluppo nel nostro territorio».

      «Dobbiamo costruire pezzi di pace nei territori, invertendo il processo di un’economia armata che fa cadere sui lavoratori, ultimo anello della catena, un peso di coscienza insostenibile», conclude Guaita. Curioso che una delle partite decisive per Rwm si giochi proprio proprio l’indomani del moto di indignazione mediatica per la morte per fame della piccola yemenita Amal. Mentre la foto della bimba scompare dai social, il flusso di armi occidentali verso i teatri di guerra, prosegue.

      https://www.avvenire.it/attualita/pagine/rwm-si-prepara-a-ingrandirsi-fino-a-15mila-bombe-lanno

    • La fabbrica di bombe e armi si amplia: reportage della tv di Stato tedesca

      Il primo canale della tv di Stato tedesca continua a interessarsi al Sulcis, e in particolare alla fabbrica di bombe di #Domusnovas. Ieri, in prima serata, sulla Ard è andato in onda un dettagliato servizio firmato da Philipp Grüll e Karl Hoffmann (qui il video completo con un’intervista al vescovo di Iglesias, Giovanni Paolo Zedda). Al centro ci sono gli ampliamenti previsti – e già in corso, come si capisce dalle immagini – della sede locale della Rwm (di proprietà del colosso tedesco #Rheinmetall). Undici gli interventi diversi – autorizzati dal Comune di Iglesias – che porteranno all’aumento della produzione di bombe e armi, impiegate, come documentato anche da un’inchiesta del New York Times nello Yemen. Più volte, inutilmente, il Parlamento europeo ha approvato risoluzioni contrarie ell’export di armi verso i paesi in conflitto. Ma di fatto produzione e carichi non si sono mai fermati. E ora arriva il rilancio. Alle proteste di pacifisti e dello stesso presidente della Regione, Francesco Pigliaru, si contrappongono i lavoratori e chi sostiene la linea “se non qui si produrranno altrove”.

      https://www.sardiniapost.it/cronaca/la-fabbrica-di-bombe-e-armi-si-amplia-il-servizio-della-tv-di-stato-ted

    • Iglesias, la fabbrica di bombe Rwm raddoppia: ok del Comune per l’ampliamento dello stabilimento

      La fabbrica di bombe, al centro di tantissime polemiche nel corso degli ultimi anni dopo che si è scoperto che gli ordigni qui prodotti venivano utilizzato contro i civili in Yemen, non lascia la Sardegna, anzi raddoppia.

      https://www.vistanet.it/cagliari/2018/11/14/iglesias-la-fabbrica-di-bombe-rwm-raddoppia-ok-del-comune-per-lampliamento-

  • Raytheon-Jordan Border Defense Against ISIS Enters Final Phase

    A US-funded partnership between Jordan and #Raytheon is entering the final phase of a nearly $100 million program to guard the Hashemite Kingdom against infiltrators from the Islamic State group and other extremist organizations operating beyond its border with Syria and Iraq.


    https://www.defensenews.com/global/mideast-africa/2016/05/26/raytheon-jordan-border-defense-against-isis-enters-final-phase
    #Jordanie #Syrie #Irak #murs #frontières #barrières_frontalières #ISIS #EI #Etat_islamique

  • لأول مرة في البرلمان الاردني : مذكرة بأكثر من نصف اعضاء المجلس تطالب بعودة السفير القطري الى عمله ورسائل ود متواصلة من الدوحة الى عمان | رأي اليوم
    https://www.raialyoum.com/index.php/%d9%84%d8%a3%d9%88%d9%84-%d9%85%d8%b1%d8%a9-%d9%81%d9%8a-%d8%a7%d9%84%d8%

    La majorité des députés jordaniens réclament le retour de l’ambassadeur du Qatar dans leur pays.

    #jordanie #nuit_torride

  • Der König und die Wespenfrau | Telepolis
    https://www.heise.de/tp/news/Der-Koenig-und-die-Wespenfrau-3940739.html
    Comment la CIA manipule le futur Roi Hussein I. de Jordanie qui paie une pension alimentaire encore des années après « l’incident ».

    Die CIA arrangierte ein Königskind

    Der amerikanische Geheimdienst ist für viele schmutzige Tricks bekannt, ausgerechnet die sexuelle Verführung allerdings gehörte nach Stand der Forschung nie zum Repertoire der CIA (Die Honigfalle - Spione in Spitzenhöschen). Zumindest aber beschafften die amerikanischen Schattenmänner durchaus Schattenmädchen, wenn es der Beziehungspflege zu ausländischen Machthabern diente. Der vermutlich skurrilste Fall dieser Art wurde nun durch jüngste Freigaben aus den Kennedy-Akten dokumentiert (Feuerwerk auf der Dealey Plaza, JFK-Akten bleiben geheimnisvoll).

    Dem nun veröffentlichen Geheimdokument zufolge hatte sich 1959 ein ausländisches Staatsoberhaupt für einen Besuch in Kalifornien angesagt und um adäquate feminine Begleitung gebeten. Zur Gewährleistung der Diskretion beauftragte die CIA mit der delikaten Mission nicht etwa einen gewöhnlicher Zuhälter, sondern ihren Agenten für „unmögliche Aufträge“: Robert Maheu firmierte offiziell als Privatdetektiv, arbeitete jedoch im Wesentlichen heimlich für die CIA, die offiziell nicht im Inland operieren durfte. So hielt er für die CIA Verbindungen zur Unterwelt sowie zum exzentrischen Milliardär Howard Hughes.

    Der Jurist hatte während des Zweiten Weltkriegs im FBI bei der Gegenspionage gearbeitet. Seine Spezialität waren Desinformation und andere schmutzige Tricks. Etwa um den indonesischen Präsident Sukarno in Misskredit zu bringen, streute die CIA einst Gerüchte, dieser werde vom KGB wegen einer Affäre mit einer Stewardess erpresst. Hierzu produzierte Maheu einen mit vermeintlich versteckter Kamera aufgenommenen Film, der Sukarno beim Verkehr mit einer Blondine zeigen sollte. Der Sukarno-Darsteller trug hierzu eine elastische Maske, wie man sie später in der TV-Serie „Mission Impossible“ sehen konnte – Maheu gilt als Inspiration für die Figur des Jim Phelps, der heikle Regierungsaufträge übernimmt, die plausibel abstreitbar sein sollen.

    Bei dem in den Akten nicht identifizierten Besucher handelte es sich zweifellos um den jordanischen König Hussein I., der mit den USA über eine langfristige Partnerschaft verhandelte. Der Monarch, der über eine englische Schulbildung verfügte und 1954 den Thron bestieg, war ein Gegner des arabischen Nationalismus. Im damals von Jordanien beanspruchten Jerusalem war er 1951 Zeuge des Mordanschlags auf seinen Großvater gewesen, der als direkter Nachkomme des Propheten Mohammeds galt. Der CIA lag viel darin, die prowestliche Haltung des Königs zu erhalten.

    Maheu arrangierte für den Staatsgast eine Party im Haus des Ölbarons Edwin Pauley, einem Geschäftspartner von Howard Hughes und George H.W. Bush, und mietete für den Gast als Liebesnest ein Haus in Long Beach. Feminines Personal organisierte Maheu über einen Anwalt aus Hollywood, der offenbar ein gutes Händchen für Besetzungen hatte. So fragte man die attraktive Filmschauspielerin Susan Cabot.

    Sinnigerweise hatte Cabot einst mit Tony Curtis einen Film Der Sohn des Ali Baba gedreht. Spätere hatte sie jedoch nur kleinere Rollen in zweiklassigen Western. In ihrem aktuellen und letzten Streifen Die Wespenfrau, einem Abklatsch des Vorjahrserfolgs „Die Fliege“, war Cabot mit der Hauptrolle besetzt worden. Als man der 32jährigen antrug, mit dem Gast das Bett zu teilen, lehnte die Schauspielerin ab – erschien dann aber doch auf der Party.

    Zur Freude der Geheimdienste funkte es sofort zwischen beiden. Das von der CIA arrangierte Paar verstand sich so gut, dass sich aus der staatsgeheimen Affäre von 1959 schließlich eine Beziehung entwickelte. Trotz der Geheimhaltung sickerten Gerüchte durch. 1964 gebahr Cabot einen Sohn, für den der königliche Hof monatliche Alimente in Höhe von 1.500,- $ zahlte. Die Dauer der Beziehung ist unbekannt, sie endete jedoch, als der muslimische König von der jüdischen Herkunft der Frau erfuhr, die in Wirklichkeit Harriet Shapiro hieß. Als der König Cabot 1969 in New York sprechen wollte, checkte sie die CIA unter falschem Namen in einem Hotel ein.

    Cabot heiratete 1968 einen Schauspielkollegen. Ihr weiteres Schicksal ähnelte jedoch eher ihren Horrorfilmen. So litt die einstige Schauspielerin an Depressionen. Ihren Sohn ließ sie wegen geringer Größe mit Drogen behandeln, die angeblich aggressive Nebenwirkungen hatten. Während eines Handgemenges zwischen der geisteskranken Mutter und ihrem aggressiven Sohn erschlug dieser sie 1986 mit einer Hantelstange.

    #histoire #CIA #Jordanie #sex

  • Local Politics and the Syrian Refugee Crisis | A new report

    A new report by Alexander Betts, Ali Ali, and Fulya Memişoğlu on ‘Local Politics and the Syrian Refugee Crisis: Exploring Responses in Turkey, Lebanon, and Jordan’ is published today. This report details the findings of their research project The Politics of the Syrian Refugee Crisis, funded by the Human Security Division of the Swiss Federal Department of Foreign Affairs.

    In order to explain responses to Syrian refugees, it is important to understand politics within the major host countries. This involves looking beyond the capital cities to examine variation in responses at the local level. Turkey, Lebanon, and Jordan followed a similar trajectory as the crisis evolved. Each began the crisis in 2011 with a history of relative openness to Syrians, then increased restrictions especially around October 2014 with the growing threat of ISIS, before agreeing major bilateral deals with the European Union in early 2016. These common trajectories, however, mask significant sub-national variation. To explore this the authors examine three local contexts in each of the main countries: Gaziantep, Adana, and Izmir in Turkey; Sahab, Zarqa, and Mafraq in Jordan; and predominantly Christian, Shia, and Sunni areas in Lebanon. In each country, some governorates and municipalities have adopted relatively more inclusive or restrictive policies towards Syrian refugees. The main sets of factors that appear to mediate this relate to identity and interests, but also to the personalities of individual heads of municipal authorities. The report argues that political analysis – across all levels of governance – matters for refugee protection. There is a need to enhance the capacity for political analysis within humanitarian organisations.

    https://www.rsc.ox.ac.uk/publications/local-politics-and-the-syrian-refugee-crisis-exploring-responses-in-turkey-lebanon-and-jordan/@@images/f78d35ae-9de3-4b45-920b-57e3d68ed28b.jpeg
    https://www.rsc.ox.ac.uk/news/new-report-on-local-politics-and-the-syrian-refugee-crisis
    #réfugiés #réfugiés_syriens #asile #migrations #réfugiés #rapport #Liban #Jordanie #Turquie #politiques_locales

  • #Maroc : le #PopCorn a explosé sous #François_Hollande
    https://reflets.info/maroc-le-popcorn-a-explose-sous-francois-hollande

    Le 8 mai 2015, quelques médias marocains évoquaient une plainte du ministère de l’Intérieur qui allait être déposée afin d’identifier et punir plusieurs militants et journalistes. Ceux-ci avaient déclaré que le Maroc avait acheté un […]

    #Bienvenue_chez_Amesys #Monde #Abu_Dhabi #Amesys #Arabie_Saoudite #Bahreïn #Eagle #Jordanie #Lawful_Interception #Nexa #Qatar #Wassenaar

  • Entamées depuis des semaines les négociations discrètes autour de la réouverture de la frontière entre la Jordanie et la Syrie achoppent sur l’exigence (russo)syrienne d’une officialisation de ces négociations. Parmi les enjeux, le sort de quelque 3500 "révolutionnaires" de l’ASL dont la Jordanie craint que, sans solde, ils n’aillent rejoindre les rangds des groupes extrémistes.

    إجتماعات بالجملة لمسلحي فصائل درعا تحت عنوان “تخلي الإقليم والأردن” عن شعب جنوب سورية وقلق في عمان ومفاوضات معقدة مع موسكو لتوفير حل لمعضلة معبر نصيب ومشاريع لتحديد مصير “سلاح الحر” | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=770144

    #syrie #jordanie #mercenaires

  • Israel-Jordan relations remain frozen as Jordan refuses re-entry of Israeli ambassador
    http://www.maannews.com/Content.aspx?ID=778927

    BETHLEHEM (Ma’an) — The Jordanian government is reportedly refusing to allow the return of the Israeli ambassador to the country, more than a month after an Israeli embassy security guard shot and killed two Jordanian citizens, Israeli news website Ynet reported on Thursday.

    Additionally, Ynet reported that relations between Israel and Jordan have remained frozen and no visas are being issued, meaning that “thousands of Jordanians and Palestinians living in Jordan who cannot enter Israel through the Allenby crossing” and “163 passports of Jordanian citizens waiting to receive a visa to Israel have been held in a safe of the Israeli embassy in Jordan.”

    Staff members of the Israeli embassy to Jordan, including the security guard who Ynet identified as Ziv Moyan — who killed Jordanian citizens Muhammad Zakariya al-Jawawdeh, 17, and Bashar Hamarneh in what Jordanian media and officials said was a professional dispute — had returned to Israel in late July, just days after high tensions following the shooting incident.

    According to Jordanian media, the Jordanian government had decided not to allow the Israeli ambassador to Jordan and the embassy staff to return to Amman until “gaining complete assurances” guaranteeing that Moyan would be prosecuted.

    Ynet reported that Jordan’s refusal to accept ambassador Einat Shlain’s return to Amman was due Shlain’s participation with Moyal and Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu in a celebratory reception upon their return to Tel Aviv.

    At the time, Jordanian news sites reported that Jordan’s King Abdullah had criticized Netanyahu’s welcoming home of the guard as “a political showoff,” saying it was "provocative and destabilizes security and encourages extremism in the region.”

    #Jordanie #Ziv

  • #Jordanie : les relations avec le régime en #Syrie vont dans la « bonne direction » - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1069317/jordanie-les-relations-avec-le-regime-en-syrie-vont-dans-la-bonne-dir

    Les relations entre la Jordanie et le régime en Syrie vont dans la « bonne direction », a affirmé le ministre d’Etat à l’Information et porte-parole du gouvernement jordanien, Mohammed al-Momeni, exprimant l’espoir que les postes-frontières entre les deux pays puissent bientôt rouvrir.

  • Exclusive : Cheap drug sweeps across Arab countries with gruesome outcome
    https://www.almasdarnews.com/article/exclusive-cheap-drug-sweeps-across-arab-countries-gruesome-outcome

    Très important, surtout si on évite de se focaliser sur le Captagon ! J’ai mis en gras ce qui pourrait bien devenir un narrative politiquement utile pour certains.

    Joker is the latest and most fashionable drug in the Middle East. Joker is a mixture of fertilizers, chemicals, pesticides, oil, animal hormones among other components. Its consumption has become the nightmare for the Jordanian anti-narcotics agency (PSD) It made its first appearance in the early 2000s, however, it was not until a year ago that it burst into the illegal drug market. Since then, it has gained popularity, especially among the youth.

    According to PSD sources, after the Jordanian anti-narcotics agency succeeded in eliminating 95 percent of the country’s marijuana plantations the joker took over the drug market. “Getting joker is easier than going to the supermarket”, says Yusef, a barber who has lived and run his business for decades in the al-Wehdat refugee camp in eastern Amman.

    According to a study by the Jordanian Economic and Social Council, the price of narcotics in the country is among the lowest in the world. In fact, a joker bag costs around 3 Jordanian dinars, (about 4 dollars) while a pill of captagon, has a derisory price of 0.35 Jordanian dinars (0.50 dollars). It is precisely the accessibility to this type of substances that is causing havoc in some of the poorer areas of the Jordanian Kingdom while also becoming the access corridor of the new drug towards the Gulf countries. “People are afraid, they do not want to enter the refugee camp. Some neighbours prefer to rent their own homes and move to other areas because of the problems the drug is causing and because businesses are being affected. It has damaged our image.”

    Accessibility to these types of substances is wreaking havoc in some of the poorest areas of the kingdom. This substance, also known as Spice, Dream and Diesel, produces the same effects as common narcotics but the health risks are multiplied. Kidney and liver failure, mental disruptions, cerebrovascular failures, convulsions, loss of concentration and abstraction of reality, psychosis, hallucinations and panic attacks are just some of their effects. It has the highest mortality rate among all the narcotic substances sold in the Hashemite Kingdom. “The old dealers are the ones who manufacture the joker. They know how to do it and how to sell it, but they do not consume it”, says Yusef.

    So, why is it so popular? Among young people, especially university students, the idea that the joker works as a substitute for tobacco and 100% natural was promoted. The mafias say it improves memory and helps to socialize. The reality is that it is manufactured in clandestine laboratories throughout the country and is completely synthetic. “It is very easy to play joker, most of the traffickers do it here, in the refugee camps – which are already part of the structure of the big cities. Everyone knows how to make joker”.

    A few kilometres from Al Wehdat, in Sahhab, a suburb south of Amman, this type of substance is even more popular. The neighbourhood is one of the favorite destinations for the sale and distribution of drugs. In this district, dominated by three tribes, it sells up to 30% of all the drug of individual sale of Jordan. Until there we accede. “Most traffickers do their business in the cafes they control and in the smoke-shops. Everyone who uses drugs does it here and everybody knows each other, so they avoid informers”, says Mohammed, owner of a traditional pastry shop in the neighbourhood. “The main reason for being a drug dealer is that there are a lot of people in the refugee camps and because there is no job, many are looking for an alternative. They start using drugs and then go on to traffic. Most of them do not have a job,” says Yusef.

    According to PSD sources, the consumption of narcotic substances shot up 25% between 2015 and 2016, coinciding with the arrival of Syrian refugees to Jordan. Drugs have become a way to deal with the harsh living conditions offered by the Middle East. “Life here, in the fields, is very hard and drugs have become an escape route for young people,” says Yusef. A few meters away an old man, dressed in a traditional kufiyah – head to head – listens to the conversation and adds: “Teenagers consume it. They need something to have fun and believe they are men”.

    Last February, police officers seized up to 133,000 narcotic pills and 17 kilos of hashish, one of the largest anti-narcotic operations in the past year. After battling marijuana and caption, the rapists’ drug and whose consumption is widespread in the region, the Jordanian anti-drug department has opened a battle against joker and synthetic drugs. Safuan, -not his real name-, is the youngest son of a prominent Sheikh, a religious leader. From his childhood, he and his siblings have been the model for a community, but that has not stopped the drug from entering his family. “My older brother started using drugs and later went on to sell it. When my father learned of it he banished him from home. Three years ago he returned, rehabilitated and with a job, nevertheless he has spent seven years of his life tumbling through prisons”. This young man, the son of a magnate, explains that it is the political police – mujabarat – who persecute the traffickers, neighbourhood to neighbourhood. “For my brother, the penalty for using soft drugs for the first time was 125 dinars Jordan (about 230 dollars) and three months of arrest. The second was six months in jail and 250 dinars Jordan (about 350 dollars), the third were 500 Jordanian dinars (about 700 dollars) and a year in prison. After that, they will usually ask you to be their informant, that’s when the beatings begin, supposedly.” As some Sahhab neighbours say, in areas instigated by the drug police raids are constant. Up to three times a week, police and army sweep through major drug outlets and distribution centres, however, “although police do their jobs, they cannot control the flow of substances. There are too many people and tribes involved”, assures the premises of Sahhab.

    The UN has warned on more than one occasion that since the war in Syria began, the lack of security has led to an increase in organized crime and drug trafficking in the Middle East. Jordan, the region’s last peace oasis, has become a transit zone for such illegal substances into the Gulf countries, especially Saudi Arabia. “It is from Aqaba and Ma’an, from where the drug is distributed,” says Safuan. “The tribes involved in this business lead the Salafist movement and organized crime all at once. This is a time bomb”.

    #Jordanie #guerre #catastrophe_arabe

  • Embassy killings fuel Jordan-Israel tensions
    Osama Al Sharif | Posted July 27, 2017
    http://www.al-monitor.com/pulse/originals/2017/07/jordan-israel-embassy-shooting-tensions-aqsa-clashes.html

    Two days after an Israeli Embassy guard shot and killed two Jordanians on July 23 in what appeared to be an argument over the installation of bedroom furniture at the assailant’s apartment, a talk-show guest on Jordan’s government-run TV station described Israel as “the usurper Zionist entity." Public acrimony against Israel has transcended even the usual scorn often directed at the Jewish state that one can hear on private TV and radio stations and read on social media platforms and local news websites.

    #Jordanie #Ziv

  • Hero of Israel
    Gideon Levy | Jul 27, 2017
    http://www.haaretz.com/opinion/1.803684

    Netanyahu, Einat Schlein, Israel’s ambassador to Jordan and Ziv, an embassy security officer, at the Prime Minister’s Office in Jerusalem, July 25, 2017. Haim Zach / GPO

    The new hero of Israel wears torn jeans, lives in a religious cooperative community in the south, has a girlfriend and he kills Arabs. Heroes of Israel have always killed Arabs, but sometimes they did so bravely; today they do so with rather pathetic cowardice. They’re scared of a teen with a screwdriver.

    The hero of Israel kills Arabs indiscriminately, including ones who are innocent or who did not deserve to die. The Israeli hero is a young man of principles, principles he absorbed while serving in the occupied territories. He learned dehumanization in the Givati Brigade and how to kill civilians in Operation Protective Edge. He learned that the first action to take against an Arab is always to shoot to kill; the alternatives can be considered later.

    He learned that it’s perfectly fine, even heroic, to kill an Arab, no matter why. He trained in the territories and put it to use in Jordan — what difference does it make, all Arabs are the same, whether on the east or the west bank of the Jordan River. His friends say he’s a “man’s man,” that this wasn’t his first time in a tough situation, like that teen with a screwdriver, and that he’s calm and considered. Imagine what might have happened if he weren’t. He might have killed five people, maybe 10.

    The hero of Israel killed civilians: a physician, for no reason, and a teenager who was assembling furniture and who threatened him with that doomsday weapon, the screwdriver, in the heat of some argument, not even an attack. The hero of Israel didn’t blink. A hero of Israel never counts to 10. He draws and fires. Two dead, two more kill notches.

    Our newest hero’s name is Ziv, but we can’t show his face. His blurred visage as he is embraced by the prime minister only adds to his aura. He replaces his predecessor, the more exalted Elor Azaria. The former killed a dying man, the latter killed two civilians. Don’t accuse him. That’s what he was taught to do in “tough situations” in the territories — to shoot and to kill. That’s what he was trained to be, a blind machine gun.

    He is considered a hero. No one would dream of seriously questioning him as a suspect, beyond the formality promised to Jordan, and it’s already been said it would lead to nothing. Perhaps he committed murder, or perhaps negligent manslaughter? Perhaps he violated the rules of engagement? How would we know? We won’t know. We don’t want to know. Instead of that, we got the prime minister’s unsurprising phone call to him. “Did you make a date with your girlfriend yet?” asked Benjamin Netanyahu in that fatherly manner reserved for heroes. After that came the brave embrace in his office. Look, Jordan, look, these are the heroes of Israel, your sister in peace, the killers of your citizens. And the Palestinians are accused of exalting terrorists.

    When a Jordanian soldier killed seven Israeli schoolgirls in Naharayim in 2007, Jordan’s King Hussein cut short his trip to Spain and hurried to Beit Shemesh to kneel before the grieving families and beg forgiveness. He also visited the wounded and his kingdom paid compensation. But when an Israeli government security guard kills two Jordanians, at least one of them completely innocent, the Israeli prime minister won’t even consider apologizing. Condemnations we demand only from Palestinian President Mahmoud Abbas. We can only fantasize about a condolence call or the payment of compensation. Why, who died, as the saying goes? Two Arabs, nothing more.

    King Hussein of jordan consoling an Israeli family whose daughter was killed by a Jordanian soldier during a class trip to Naharayim, 2007.Avi Ohayon / GOP

    Two dead Arabs, and a hero of Israel who returned home safely, overcoming his injuries. Ziv the hero will recite his version of events, and perhaps even return to service. Tens of thousands of young Israelis dream of being Ziv. They dream of serving in the territories in the occupation army, of abusing and killing Arabs, of traveling to India and to Guatemala before becoming embassy security guards. If they’re lucky, they might even get to kill some teenager with a screwdriver and a doctor who happened to be there, as in the good old days in Qalandiyah.

    Salute the heroes of Israel. They are the finest of our youth.

    #Jordanie #Ziv