• Die #Europa-Politik gehört zu den Katastrophen der vergangenen GroK...
    https://diasp.eu/p/12840049

    Die #Europa-Politik gehört zu den Katastrophen der vergangenen GroKos und wenn LePen im nächsten Jahr gewinnen und der EU den Garaus machen sollte, hat Deutschland eindeutig Mitschuld. Immerhin gibt es jetzt ein gemeinsames Projekt europäischer Sendeanstalten: The European Collection (piqd) https://www.ardmediathek.de/video/the-european-collection/was-wurde-aus-unserem-europaeischen-traum/arte/Y3JpZDovL2FydGUudHYvMDk3ODg1LTAwMi1B

    • Qu’avons-nous fait du rêve européen ? - 54 min

      Disponible du 04/12/2020 au 30/06/2021

      https://www.arte.tv/fr/videos/097885-002-A/qu-avons-nous-fait-du-reve-europeen

      Qu’avons-nous fait du #rêve_européen ? Peut-on encore croire en un avenir meilleur dans une période marquée par le #Brexit, la montée des #nationalismes, le regain des débats #identitaires et du #protectionnisme_économique ? Et comment en est-on arrivé là ? Enquête et analyse sur cet état de faits et tentative d’élaboration d’un manifeste d’avenir.

      Ce programme de France Télévisions fait partie de la Collection européenne, une initiative commune de médias publics européens (ARD, ARTE, France Télévisions, SSR SRG et ZDF), coordonnée par ARTE.

      Peut-on encore ré-enchanter le rêve européen, dans une période marquée par le Brexit, la montée des nationalismes, le regain des débats identitaires et du protectionnisme économique ? D’ailleurs, comment en est-on arrivé là ?
      Que s’est-il passé depuis 25 ans, alors que la chute du Mur de #Berlin et l’adoption du Traité de #Maastricht semblaient ouvrir la voie à la construction résolue d’une communauté de valeurs et de projets et d’une union sans cesse renforcée ? Avons-nous été trop confiants en considérant le processus d’intégration acquis ? Qu’est-il advenu de cet idéal de paix, de tolérance, de liberté, d’ouverture au monde et de prospérité économique ? Comment se fait-il qu’en l’espace d’un demi-siècle, l’Europe soit passée de l’utopie au contre-modèle ?
      Ce film est une enquête sur l’avenir de l’ #Europe. Il nous entraîne de #Bruxelles à #Varsovie et #Budapest, terres d’épanouissement des #populismes #eurosceptiques, pour comprendre ce qui s’y joue, les coups portés aux principes de l’Etat de droit, l’incurie des dirigeants qui dilapident les fonds européens dans des projets ubuesques, mais aussi entendre les arguments des adversaires de l’Union européenne.Il est aussi et surtout un manifeste pour nous, citoyens européens, afin que nous puissions à nouveau avancer ensemble vers un destin commun.

      #EU / #UE

  • L’UE « exige que la Suisse accepte la concurrence sur les salaires » Propos recueillis par Romain Clivaz - 15 Octobre 2018 - RTS
    https://www.rts.ch/info/suisse/9918065-l-ue-exige-que-la-suisse-accepte-la-concurrence-sur-les-salaires-.html

    Le conseiller d’Etat socialiste vaudois Pierre-Yves Maillard regrette la « nouvelle approche » de l’UE sur les mesures d’accompagnement. A ses yeux, il s’agit « d’exiger de la Suisse qu’elle accepte une concurrence sur les salaires ».
    « On a toujours considéré que les mesures d’accompagnement étaient une affaire politique intérieure. On doit constater que c’est maintenant devenu un élément qui est considéré par l’Union européenne comme une sorte de mesure d’entrave au commerce, ce qui est une approche nouvelle et tout à fait inacceptable », regrette Pierre-Yves Maillard lundi dans La Matinale de la RTS.

    A ses yeux, dans ces discussions concernant les mesures d’accompagnement, l’UE veut « exiger de la Suisse qu’elle accepte une concurrence sur les salaires ».

    Position de l’UE « pas rationnelle »
    « Nous avons toujours dit que l’on acceptait la concurrence avec les entreprises européennes, mais que ses conditions ne se font pas sur les salaires (...). Maintenant, l’UE nous dit que l’on doit accepter que des entreprises allemandes ou françaises viennent sur le marché suisse et que l’hypothèse qu’elles travaillent avec leur salaire d’origine et pas avec le salaire suisse doit être un peu relativisée. Qu’il faut admettre qu’il n’y a que 3% des entreprises qui soient contrôlées alors qu’aujourd’hui, on a entre 30 et 50% des entreprises contrôlées », regrette Pierre-Yves Maillard, qui brigue également la tête de l’Union suisse des syndicats en décembre.

    Pour le socialiste vaudois, la position de l’UE « n’est pas rationnelle ». « La Suisse n’a commis aucune entrave aux accords bilatéraux qu’elle a signés (...). La question ici est que l’un des partenaires aimerait aller plus loin. Il s’agit de soumettre à la Cour de justice européenne l’application des accords. Jusqu’à présent, la législation fédérale n’est pas soumise à un contrôle en constitutionnalité », explique-t-il. Pour lui, « on est face à une demande absolument fondamentale, qui demande un débat profond ».

    « Pas contre les juges étrangers »
    Le raisonnement de Pierre-Yves Maillard rejoint-il en partie celui de l’initiative de l’UDC contre les « juges étrangers », soumise au peuple le 25 novembre ? « Non, je suis complètement en défaveur de l’intiative de l’UDC. Elle remet en cause des principes que nous avons nous-même acceptés, notamment le contrôle de la compatibilité de notre législation avec les droits humains, qui est au coeur même de notre Constitution », se défend-il.

    Pour le conseiller d’Etat, « on est dans une affaire de droit économique ». « Je n’ai pas de problème de savoir si c’est un juge étranger ou non (...). Même si l’on confiait ce contrôle au Tribunal fédéral, j’aurais des réserves, car je pense que c’est une des chances qu’a la Suisse de pouvoir, sur des questions économiques et sociales, au moins à l’échelle nationale, trancher par des aspects qui sont politiques », insiste-t-il.

    « Le projet européen a changé »
    Pierre-Yves Maillard, fervent défenseur du « oui » à l’Espace économique européen en 1992, est-il désormais déçu de l’Europe ? « L’Europe a changé dans son projet. Depuis le traité de Maastricht, on voit une évolution qui s’est vraiment orientée sur le marché libre, la volonté d’établir des marchés libéralisés. Et tout l’aspect d’Europe sociale qu’on attendait, qui serait hautement nécessaire, malheureusement, cela ne voit pas le jour », regrette-t-il.

    Et d’ajouter : « Cette idée d’ouverture des marchés était, dans un premier temps, celle des socio-démocrates français et allemands pour attirer les Anglais dans le projet européen. Résultat : on a toujours les marchés libéralisés, mais on n’a même plus l’Angleterre ».

    #travailleurs_détachés #salaires #UE #union_européenne #Suisse #Brexit #tribunaux #maastricht #libéralisation

    • Curieux quand même que ce Conseiller d’Etat ne parle que des travailleurs.e.s détachés Allemands.e.s ou Français.e.s.
      Il aurait pu citer les Roumains.e.s, les Hongrois.e.s, les Polonais.e.s
      Bon, l’essentiel c’est d’en parler.

  • Peut-on dire « non » à l’Europe ?
    http://fr.myeurop.info/2016/07/04/peut-dire-non-l-europe-14620

    http://cdn1.myeurop.info/sites/default/files/imagecache/third_thumbnail/media/images/NON+A+L'EUROPE.png

    Daniel Vigneron

    Loin de se réjouir, les partisans du #Brexit ont le blues. L’avenir des relations avec l’Union est totalement flou et aucune option sur la table ne paraît satisfaisante. L’Europe a l’habitude de contourner les référendums négatifs et beaucoup pensent que rien n’est encore joué pour Londres.

    Après le Brexit, le « Brexit blues ». lire la suite

    #EUROFOCUS #Danemark #France #Irlande #Pays-Bas #Royaume-Uni #Suède #Maastricht #Nigel_Farage #référendums_en_Europe #RFI #Traité_constitutionnel

  • Quatrepoint : « Il faudrait tenir tête à Angela Merkel »
    http://www.marianne.net/Quatrepoint-Il-faudrait-tenir-tete-a-Angela-Merkel_a240717.html

    Pour le journaliste Jean-Michel Quatrepoint, auteur du livre « Le Choc des empires. Etats-Unis, Chine, Allemagne : qui dominera l’économie-monde ? », la situation économique actuelle et notamment la « domination de notre grand voisin » outre-Rhin sont « le produit d’une faillite : celle de la classe dirigeante française qui a choisi de faire passer les intérêts de la construction européenne avant ceux de la France ».

    http://www.marianne.net/photo/art/default/984709-1167500.jpg?v=1408644105

    Jean-Michel Quatrepoint : Pour la petite histoire, j’avais également écrit que le triomphe de Merkel sera cette victoire au Brésil ! Mais soyons sérieux : tout est dans le « presque sans le vouloir ». La domination de notre grand voisin tire sa source de ses propres qualités mais aussi de nos défauts, en tout cas de notre expectative. Déjà à la fin des années 1980, la RFA d’alors accumule d’imposants excédents commerciaux. A la chute du mur, la réunification va contraindre l’Allemagne à renouveler une stratégie qui lui a tant réussi. Désormais intégrée, la RDA ne peut plus jouer les sous-traitants à bas coût (un rapport de 1 à 8 entre l’Ost mark et le Deutsche mark). Pour cela, Kohl va pousser son avantage politique en initiant l’élargissement de l’Union européenne vers la Mitteleuropa, l’espace naturel allemand : la Hongrie, la Tchéquie, les pays baltes et même la Pologne. On retrouve au passage la Germanie, le Saint-Empire romain germanique.
    Le chancelier met tous ses partenaires devant le fait accompli, au premier rang desquels, la France et la Grande-Bretagne. Quant à la Russie, Gorbatchev se fait acheter pour 12 milliards de marks, censés payer le rapatriement des soldats russes. A ce moment-là, l’Europe change de nature. D’une puissance qui se voulait à mi-chemin entre l’URSS et les Etats-Unis, elle devient une simple entité composante du grand marché mondial libre-échangiste.
    L’erreur de Mitterrand, inspiré par Jacques Delors, fut de croire que « voler le mark » à l’Allemagne via la mise en place de l’euro, compenserait notre soudain désavantage. Cruelle, Margaret Thatcher en donnera le vrai sens : « Ce n’est pas l’Allemagne qui s’arrime à l’Europe, mais le contraire ». Voilà la source de la domination Allemande. ...

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    La force de l’Allemagne est-elle d’avoir le siège de la Banque centrale européenne à Francfort ou d’abriter celui de Mercedes à Stuttgart et BMW à Munich ?

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    « Quand les Allemands ont investi dans l’appareil productif, nous avons construit des ronds-points » !

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    ..Nicolas Sarkozy, puis François Hollande ont cédé, tour à tour, face à la chancelière, et je ne vois aucun des dirigeants actuels capables de lui tenir tête. Pourtant notre situation intérieure est proche de celle de 1958. Le pays a perdu confiance en lui-même

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    Les énergéticiens ont clairement fait comprendre à Merkel qu’une position trop anti-Russes pouvait s’avérer catastrophique pour le pays. A la France de s’appuyer sur eux. Sur eux, mais aussi sur les prémices d’un désamour allemand pour l’atlantisme

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    #Allemagne
    #industrie
    #Maastricht
    #Merkel
    #monnaie
    #RDA
    #RFA
    #réunification

  • La criante actualité du discours de Philippe Seguin contre Maastricht. : J’ai dû louper un épisode...
    http://j-ai-du-louper-un-episode.hautetfort.com/archive/2014/01/21/la-criante-actualite-du-discours-de-philippe-s

    La criante actualité du discours de Philippe Seguin contre Maastricht.

    C’est Laurent Pinsolle qui me l’a fait découvrir, ce discours. Et chacun aurait intérêt à l’écouter !

    Bien sûr, il y a un art rhétorique certain, mais mis au service des idées. Ca change fichtrement du langage mou des politiques actuels, plus versés dans la comm’ que dans le débat d’idées... Mais surtout, il y a le fond, une vraie réflexion sur la nature de l’Europe, de la Nation et de la souveraineté nationale. Il était un temps où certains mots n’étaient pas laissés à l’extrême-droite, apparemment....

    Là, vous avez une version brève ( 20 mn), mais la version longue et la transcription sont là : http://www.assemblee-nationale.fr/connaissance/revision5_...

    http://www.dailymotion.com/video/xbsxcm_extrait-du-discours-de-m-philippe-s_news

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    #Maastricht
    #Philippe-Séguin
    #union-européenne
    #Europe
    #Nation
    #souveraineté-nationale

  • Blog gaulliste libre : Loi de 1973 : ne pas tomber dans le panneau du complot
    http://www.gaullistelibre.com/2013/11/loi-de-1973-ne-pas-tomber-dans-le.html

    La loi de 1973 sur le statut de la banque de France est une des lois qui suscitent le plus de réflexions et alimentent un nombre de fantasmes incroyable. Non seulement les apprentis complotistes ont tort d’un point de vue factuel, mais ils ne prennent pas en compte le contexte de sa rédaction.

    Délires complotistes et réalités juridiques

    Alors que la polémique semblait close l’an dernier grâce à l’énorme travail réalisé par Lior Chamla et Magali Pernin, elle a paradoxalement repris ce printemps, un an après la publication de leurs travaux, avec la sortie du livre de Pierre-Yves Rougeyron et l’article de Michel Santi dans la Tribune. Ignorant étrangement ces travaux qui ont pourtant agité Internet, ils font de la loi du 3 janvier 1973 le point de départ de l’indépendance de la banque de France, s’appuyant sur l’article 25 selon lequel « le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France ».

    Cette interprétation est contredite par le papier de Lior et Magali, que j’avais résumé l’an dernier. D’abord, il faut rappeler que le premier objectif de cette loi était de clarifier l’ensemble des textes concernant la Banque de France, « 192 articles disséminés dans 35 lois ou ordonnances, 16 conventions, 6 décrets-lois et 40 décrets ». Le fameux article 25 existait depuis 1936 et n’était donc pas neuf. Mieux, la loi permettait toujours à l’Etat de passer des conventions (devant être approuvées par le Parlement) avec la Banque de France pour obtenir des avances (20,5 milliards en septembre 1973).

    Mieux, le contrôle de l’Etat y était encore renforcé en donnant à son représentant un droit de veto sur les décisions. Bref, la rupture est bien davantage venue du traité de Maastricht, qui a imposé à l’ensemble de la zone euro la vision allemande de la banque centrale, prix à payer pour que Bonn accepte à l’époque de sacrifier le deutsche mark, comme le rapportent Magali Pernin et Lior Chamla dans leur critique précise et argumentée du livre de Pierre-Yves Rougeyron, qui tord le cou à de nombreuses contre-vérités. Le point de départ, c’est l’article 104 du traité de Maastricht (article 123 du TFUE)....

    #économie
    #André-Jacques-Holbecq
    #banques-centrales
    #Lior-Chamla
    #loi-de-1973
    #Maastricht
    #Magali-Pernin
    #Michel-Santi
    #monétisation
    #Pierre-Yves-Rougeyron