organization:secret service

  • The Secret Service wants to test facial recognition around the White House
    https://www.theverge.com/2018/12/4/18126136/secret-service-dhs-white-house-facial-recognition-test-privacy

    The US Secret Service has revealed plans for a test of facial recognition surveillance around the White House, with the goal of identifying “subjects of interest” who might pose a threat to the president. The document was published in late November, but the American Civil Liberties Union publicized its existence today. It describes a test that would compare closed circuit video footage of public White House spaces against a database of images — in this case, featuring employees who volunteered (...)

    #algorithme #CCTV #biométrie #vidéo-surveillance #surveillance #facial

  • Voyage dans l’Amérique en guerre (4/4) : une guerre sans limites

    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/01/06/voyage-dans-l-amerique-en-guerre-4-4-une-guerre-sans-limites_5058934_3222.ht

    Au nom de la lutte contre le djihadisme, le 11-Septembre a précipité les Etats-Unis dans quinze années de combats . Dernier volet de notre reportage dans un pays tourmenté.

    Tentant d’esquisser un bilan de ces quinze années, l’ex-colonel Andrew Bacevich, devenu historien et professeur à l’université de Boston, dénonce « la normalisation de la guerre. Pendant la guerre froide, le Vietnam et d’autres conflits, l’objectif politique final d’un président était la paix. Même les plus cyniques évoquaient la paix. Cette année, je n’ai entendu aucun des deux candidats à la présidentielle en parler. Ils promettent la guerre, pas la fin de la guerre ».

    Ce jour-là, à Boston, Andrew Bacevich a réuni chercheurs, militaires et espions pour une conférence intitulée « Quinze ans après le 11-Septembre ». Deux anciens pontes du renseignement s’interrogent. Ardent défenseur des programmes mis en œuvre depuis 2001, John Deutch, un ex-directeur de la CIA, constate que « le 11-Septembre a détruit tout le système sur lequel était bâtie la sécurité nationale américaine, où l’on faisait la différence entre l’extérieur et l’intérieur, et entre la guerre et la paix », et qu’il a bien fallu s’adapter à un monde nouveau.

    Andrew Bacevich, professeur à l’université de Boston (Massachusetts), le 14 septembre 2016.
    Nettement plus critique, Paul Pillar, un ancien du contre-terrorisme de la CIA et de l’état-major du renseignement, professeur à l’université Georgetown de Washington, dénonce « l’usage politique qui a été fait de la peur et des angoisses des Américains pour justifier à la fois la restriction des libertés et l’invasion de l’Irak. Alors que, franchement, il est impossible d’affirmer que nous sommes plus en sécurité aujourd’hui qu’il y a quinze ans ». S’adressant aux étudiants, et contrairement à beaucoup d’agents de la sécurité nationale qui se sont résignés à accompagner décisions politiques et avancées technologiques sans débat éthique, Pillar les conjure de « ne pas se résigner : ne prenez jamais la normalité pour inévitable ! »

    Au cours de ce voyage dans l’Amérique en guerre, une visite s’imposait. Un détour par Rockville, dans cet Etat du Maryland qui, avec la Virginie, accueille autour de Washington toute l’élite sécuritaire du pays. C’est là que vit un ancien espion, Marc Sageman, devenu au fil des années et de ses recherches peut-être le meilleur analyste du conflit entre l’Amérique et le djihad.

    Au cimetière d’Arlington (Virginie), le 21 septembre 2016.
    Sageman a vécu cette guerre à tous les postes : après avoir formé pour la CIA, dans les années 1980, les moudjahidin afghans et arabes qui combattaient les Russes en Afghanistan, après s’être ensuite frotté dans le monde civil à la criminalité en tant que médecin légiste et psychiatre, il est revenu aux affaires sensibles après le 11-Septembre, mû par « un sentiment de culpabilité d’avoir peut-être entraîné certains de ces types » et par « une envie de comprendre qui ils sont et ce qu’ils cherchent ».

    Il a repris du service pour le Pentagone à Washington et en Afghanistan, pour le FBI, pour la police de New York, pour le Secret Service chargé de la protection des présidents, et pour des instituts de recherche et des universités. C’est souvent lui, quelle que soit sa casquette, qu’on appelle pour interroger un djihadiste arrêté ici ou là, pour tenter d’évaluer la menace et de comprendre des motivations que la majorité des Américains considèrent comme incompréhensibles.

    POUR JOHN DEUTCH, UN EX-DIRECTEUR DE LA CIA, « LE 11-SEPTEMBRE A DÉTRUIT TOUT LE SYSTÈME SUR LEQUEL ÉTAIT BÂTIE LA SÉCURITÉ NATIONALE AMÉRICAINE, OÙ L’ON FAISAIT LA DIFFÉRENCE ENTRE L’EXTÉRIEUR ET L’INTÉRIEUR »

    Marc Sageman, qui a toujours jugé sévèrement les politiques étrangères de Bush puis d’Obama, est aujourd’hui encore plus désabusé que lors de conversations passées. « Même avec Obama, que j’ai pourtant soutenu, la situation a empiré. Il s’est entouré de faucons et est devenu faucon. Cette war on terror est incontrôlable. Elle a généré un complexe militaro-industriel de l’antiterrorisme dont les budgets se comptent en milliers de milliards de dollars. »

    L’ancien agent de la CIA à Islamabad n’est pas tendre non plus avec la préoccupation du moment, le front intérieur. Lui qui a pu interroger nombre de suspects arrêtés aux Etats-Unis estime que, malgré la menace réelle et quelques attaques réussies, « l’immense majorité de ces jeunes paumés ont été manipulés sur Internet par le FBI, qui parfois leur a même vendu les armes servant de preuves lors de leur arrestation ». « Au moins 400 arrestations ont été montées par le FBI pour des raisons de budget et de publicité. C’est la même technique que celle employée par John Edgar Hoover contre les communistes, puis contre les Noirs, puis contre les opposants à la guerre du Vietnam. Ces techniques avaient été suspendues après le Vietnam, sauf pour les dealers de drogue. Le FBI les a réactivées en 2001, soi-disant pour nous protéger de gens dangereux, mais en fait pour surveiller tout le monde et piéger qui il veut. »

    La torture, ligne de fracture

    Pour Marc Sageman, comme pour beaucoup d’Américains qui réfléchissent à l’onde de choc de ces conflits pour le pays et ses valeurs, la ligne de fracture de l’Amérique post-11-Septembre est la torture, ordonnée par Bush, puis supprimée par Obama sans être pénalement condamnée. « Raconter, comme dans le film Zero Dark Thirty, que la torture a permis de tuer Ben Laden, c’est vraiment de la connerie. Je connais le dossier. Cette histoire a été inventée par des types de la CIA qui ont enfumé les scénaristes du film. »

    L’ancien espion Marc Sageman, à Montgomery County (Maryland), le 19 septembre 2016.
    Son plus grand regret, à l’heure où Barack Obama va quitter la présidence, est « qu’il n’ait pas ordonné de poursuivre en justice nos criminels de guerre. Tant qu’il n’y aura pas de condamnation, ça recommencera ». Entraînant, comme avec Guantanamo ou Abou Ghraib, comme à chaque fois que l’Amérique n’est pas exemplaire sur l’état de droit, une augmentation significative du nombre de combattants ennemis.

    Kenneth Roth, le directeur de Human Rights Watch, la plus importante organisation de défense des droits de l’homme américaine, regrette lui aussi ce choix d’Obama, qui a supprimé l’utilisation de la torture le premier jour de sa présidence tout en excluant immédiatement de punir l’administration Bush pour ses excès. « Ne pas poursuivre en justice, c’est ramener la torture à une décision politique, au lieu de la rendre illégale. Obama l’a supprimée, ainsi que les détentions secrètes, mais ne pas condamner les responsables de la torture est un feu vert pour qu’un autre la rétablisse. »

    Lors d’une tournée d’entretiens avec des stratèges américains il y a huit ans, pendant l’hiver de transition entre Bush et Obama, beaucoup critiquaient déjà, pour des raisons diverses, la war on terror. Même si Ben Laden n’avait à l’époque pas encore été tué, chacun soulignait que le mot « guerre » semblait inadapté, puisque les responsables opérationnels des attaques du 11-Septembre, dont leur coordinateur Khalid Cheikh Mohammed, avaient été arrêtés au Pakistan par des moyens tout à fait classiques de renseignement et de police.

    POUR BEAUCOUP D’AMÉRICAINS QUI RÉFLÉCHISSENT À L’ONDE DE CHOC DE CES CONFLITS POUR LE PAYS ET SES VALEURS, LA LIGNE DE FRACTURE DE L’AMÉRIQUE POST-11-SEPTEMBRE EST LA TORTURE

    Si les années Obama ont permis un retour des troupes au bercail, elles n’ont en revanche pas inversé cette tendance à ne penser qu’en termes militaires. La militarisation de la lutte antidjihadiste est même telle, depuis que l’Etat islamique a bâti une armée de dizaines de milliers de combattants, que tout le monde a oublié que la réaction au 11-Septembre aurait peut-être pu être principalement policière, et plus personne ne critique la militarisation de la pensée. La réalité est là : aujourd’hui, en Irak et en Syrie mais également au Sahel, en Libye, au Yémen et ailleurs, seuls des moyens militaires peuvent venir à bout de certains groupes djihadistes, eux-mêmes désormais fortement militarisés.

    Quant à Khalid Cheikh Mohammed, il croupit toujours à Guantanamo, et même les Américains oublient de demander à leurs élus s’il sera un jour jugé pour ses crimes. « Avec le fait de ne pas juger nos criminels de guerre, c’est l’autre erreur d’Obama. Contrairement à Bush, lui aurait dû amener les responsables du 11-Septembre devant la justice, juge Kenneth Roth. C’est là aussi une décision liée à la torture : tout le système veut éviter des révélations sur ce sujet », certains aveux de Khalid Cheikh Mohammed ayant été extorqués lors de séances de waterboarding, la torture par suffocation dans l’eau.

    Le hasard – l’ironie pourrait-on dire, si le sujet de ces quinze ans de guerre n’était pas si tragique – est que ce voyage consacré à l’Amérique en guerre, commencé à New York un dimanche 11 septembre ensoleillé, s’achève, trois mois plus tard, en un pluvieux mois de décembre, sur le front de Mossoul.

    Dans cette ville marquée à la fois par ­Petraeus, par Al-Qaida et par l’Etat islamique, cette « capitale » des régions sunnites, des unités des forces spéciales irakiennes mènent la bataille contre l’EI. Ces soldats ont été formés par les Etats-Unis, qui ont depuis longtemps, en Irak comme ailleurs, adopté le concept de proxy war (« guerre par procuration ») afin d’éviter des engagements militaires directs. Les combats sont rudes. Les djihadistes finiront par perdre la « capitale » du « califat » proclamé par Abou Bakr Al-Baghdadi, l’héritier turbulent de Ben Laden et rival d’Al-Qaida, mais le fait même que cette bataille doive avoir lieu est l’aveu d’un échec colossal.

    Lors du premier débat présidentiel entre la démocrate Hillary Clinton et le républicain Donald Trump, à Oakland (Californie), le 26 septembre 2016.
    Quinze ans après le 11-Septembre, Ben Laden et ses 300 hommes ont muté en dizaines de milliers de combattants djihadistes, dont certains administrent depuis deux ans et demi villes et territoires en Irak et en Syrie, ont bâti une armée, peuvent envoyer une unité perpétrer des attentats jusqu’à Paris et Bruxelles et ont des partisans en armes dans beaucoup d’autres pays.

    Entre paix et peur

    « Le plus surprenant est tout de même d’avoir cette conversation quinze ans après, dit en souriant Peter Bergen. En 2001, jamais je n’aurais imaginé vivre cet état de guerre aujourd’hui. Puis il y a eu 2011, et moi aussi, comme beaucoup de monde, j’ai cru à la fin du problème djihadiste au moment de la mort de Ben Laden et des “printemps arabes”. »

    VINGT VÉTÉRANS SE SUICIDENT CHAQUE JOUR À TRAVERS LE PAYS, MAIS LES AMÉRICAINS NE PARLENT QUE DE « HÉROS » ET DE TEMPS GLORIEUX. NUL NE DOUTE DE LA PUISSANCE DU PAYS NI DE SES VALEURS FONDAMENTALES, MÊME LORSQU’ELLES SONT UN TEMPS TRAHIES.

    « C’est une question de temps. Al-Qaida et l’EI seront vaincus, prédit David Petraeus. Pour moi, la leçon de ces quinze années est que, malgré les erreurs commises le long du chemin, et alors qu’on prétend que les démocraties ne peuvent prétendument pas mener de “guerre longue”, cela se révèle être faux. Je ne pense pas que ce combat soit sans fin. C’est la guerre d’une génération. »

    Une guerre qui évolue : à la fin des années Bush, 180 000 soldats américains étaient déployés sur le champ de bataille ; à la fin des années Obama, presque tous sont rentrés chez eux, et le combat est principalement mené par les forces spéciales et les drones, en appui d’armées étrangères. Et, puisque la certitude est de faire face à une « guerre longue », celle-ci évoluera encore dans les années à venir, selon la façon dont le président élu Donald Trump abordera les questions stratégiques et militaires.

    La force des Etats-Unis réside peut-être là, dans ce paradoxe : le pays vit en même temps l’apogée du scepticisme et l’apogée du patriotisme. Alors que l’Amérique n’a enchaîné quasiment que des erreurs et des défaites depuis quinze ans – mis à part la mise hors d’état de nuire de Ben Laden et des organisateurs du ­11-Septembre –, nul ne doute de la victoire. Vingt vétérans se suicident chaque jour à travers le pays, mais les Américains ne parlent que de « héros » et de temps glorieux. Nul ne doute de la puissance du pays ni de ses valeurs fondamentales, même lorsqu’elles sont un temps trahies.

    Personne, mis à part l’écrivain Kevin Powers ou le chercheur Marc Sageman, ne mentionne les victimes autres qu’américaines, les morts, les blessés, les torturés, les vies ravagées. « Je ne veux pas savoir combien de gens nous avons tués depuis quinze ans… » : ces mots de Dick Couch pourraient être ceux d’une majorité d’Américains. Eux veillent (un peu) à panser les plaies de leurs blessés, ils célèbrent leurs morts, ils vouent un culte à leurs guerriers, et la minute d’après ils pensent à autre chose.

    Ils vivent en paix. Malgré leur peur irrationnelle d’un ennemi invisible, les Américains vivent en paix. D’où l’étonnement de les entendre parfois évoquer une « guerre sans fin ». D’où l’étonnement, alors que la menace ne fut jamais existentielle, lorsqu’ils laissent percevoir une peur qui confine parfois à la panique.

    Les Etats-Unis ne se perçoivent pas vraiment comme étant en guerre : ils vivent entre paix et peur. Et pourtant la crainte d’une « guerre sans fin » est très présente. Les Américains sont en fait dans l’illusion que guerre et paix appartiennent à des sphères différentes, cloisonnées, et que la guerre est l’affaire exclusive des militaires. Cette « guerre sans fin » de l’Amérique est une guerre non déclarée, indéfinie, sans véritable visage, ni territoire ni front. Plus qu’une guerre sans fin, c’est une guerre sans limites. C’est peut-être, après tout, la pire des guerres. Celle qui envahit les esprits. Celle qui empoisonne une société. Une guerre qui change un pays pour toujours, sans même qu’au fond, il sache très bien pourquoi…

    Au Lincoln Memorial, à Washington, le 19 septembre 2016.

  • 5月21日のツイート
    http://twilog.org/ChikuwaQ/date-160521

    #ねこあつめ pic.twitter.com/EAXGYxOx8d

    posted at 11:17:13

    ????? pic.twitter.com/3SvgEekLeA

    posted at 11:06:12

    Top story: Secret Service shoots gun-wielding man near White House | Reuters www.reuters.com/article/us-usa…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at 09:50:23

    The latest Papier! paper.li/ChikuwaQ/13277… Thanks to @carlagastal @247razz @EstherHawdon posted at 09:14:43

    Top story: Nikon is Now Allowing Some Grey-Market Camera Repairs in the US petapixel.com/2016/05/20/nik…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at 05:42:11

    Top story: U.S. Parks ‘Blitzed’ in Celebration of Biodiversity Across America |… voices.nationalgeographic.com/2016/05/17/u-s…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at (...)

  • Le nouveau chef de la police israélienne vient d’un univers obscur - http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/le-nouveau-chef-de-la-police-isra-lienne-vient-d-un-univers-obscur-16

    Aîda Touma-Suleiman, députée palestinienne de la Knesset appartenant à la Liste unifiée, a déclaré : « Nous nous sommes vivement opposés à Sau mais, au moins, il a commis ses crimes au grand jour. Les crimes d’Alsheikh contre les Palestiniens sont probablement encore plus graves que ceux de Sau, mais ils sont tellement secrets que nous ne pouvons pas savoir de quoi il s’agit. »

    Connu sous la seule initiale « R »

    Âgé de 52 ans, Alsheikh intègre la police après avoir opéré pendant plusieurs dizaines d’années dans deux univers obscurs : c’est un ancien officier supérieur de la police secrète d’Israël, connue sous le nom de #Shin_Bet, et un colon religieux qui a vécu dans certaines des plus extrêmes et violentes #colonies de #Cisjordanie.

    #Israël

  • Small #Drone Is Found on White House Grounds
    http://www.nytimes.com/2015/01/27/world/asia/white-house-drone.html?_r=0

    small aerial drone was found on the grounds of the White House but poses no threat, a spokesman for President Obama said on Monday.

    Josh Earnest, the White House press secretary, said he did not have details about the size or type of the drone, but he said the Secret Service was investigating.

    While drones are commonly thought of in the context of missile-firing, unmanned vehicles used against terrorists, there is a wide variety of devices that would qualify. Many small flying drones are available on the commercial market and are used as toys.

    Mr. Obama and the first lady, Michelle Obama, are on a three-day visit to India, but their daughters, Malia and Sasha, are in Washington. The report of a drone came at a time when other threats to the president’s family or their home have led to concerns about security.

    The Secret Service has received heavy criticism for a number of recent security breaches, including an intruder climbing the White House fence last year and reaching the interior of the building before being caught by agents.

  • FP’s Situation Report: Syrian rebels still not happy with U.S. strikes; ISIS targets civilians in Baghdad; A missing Marine; Pierson out at the Secret Service; and a bit more.
    http://www.foreignpolicy.com/articles/2014/10/02/fps_situation_report_syrian_rebels_still_not_happy_with_us_strikes_is

    A big red flag: Moderate Syrian rebels, who are central to President Barack Obama’s fight against the Islamic State, aren’t happy with U.S. airstrikes. There are a handful things about the U.S. air campaign that are alienating civilians and rebel groups on the ground but at the top of the list are reports of civilians deaths caused by U.S. bombs. The Islamic State will no doubt try to use these reports — true or not — to its advantage. Still, it’s concerning when the very people the strikes are supposed to benefit don’t see it that way.

  • L’intrus de la Maison Blanche est allé plus loin qu’annoncé
    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2014/09/30/l-intrus-de-la-maison-blanche-est-alle-plus-loin-qu-annonce_4496640_3222.htm

    L’homme qui s’est introduit il y a dix jours dans la Maison Blanche après avoir sauté par-dessus une grille a pénétré beaucoup plus loin dans la résidence présidentielle qu’initialement indiqué, affirme lundi 30 septembre le Washington Post.
    Omar Gonzalez, 42 ans, ancien combattant d’Irak sans domicile fixe, a franchi la grille nord de la résidence du président et de sa famille. Quelques heures après l’incident, le Secret Service, chargé d’assurer la sécurité du président, avait indiqué par la voix de son porte-parole que l’homme avait été interpellé « juste après avoir franchi le portail nord de la Maison Blanche ». Il était en possession d’un canif doté d’une lame de 9 centimètres.

    Or, selon le Washington Post, Omar Gonzalez a parcouru une partie du rez-de-chaussée, passant devant l’escalier qui mène aux appartements privés de la famille Obama, avant d’être immobilisé par un agent dans la chambre est. Un agent du Secret Service a en outre révélé sous le sceau de l’anonymat que l’alarme placée à l’entrée de la Maison Blanche avait été désactivée à la demande du bureau du majordome de la Maison Blanche, retardant l’intervention des services de sécurité, ajoute le journal.

    Décidément, c’est passoire, mensonge et grand déballage au Secret service.
    http://seenthis.net/messages/297195

    • Intrusion à la Maison Blanche : la directrice du Secret Service démissionne
      http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2014/10/01/intrusion-a-la-maison-blanche-la-directrice-du-secret-service-demissionne_44

      La directrice du Secret Service, chargé de la sécurité du président des Etats-Unis, Julia Pierson, pouvait reprocher à ses agents de l’avoir placée dans une situation difficile le 19 septembre en laissant un individu pénétrer dans la Maison Blanche. Elle ne pouvait, en revanche, s’en prendre qu’à elle-même pour les critiques suscitées après son audition par une commission de la Chambre des représentants, mardi 30 septembre.
      Elle en a tiré les conséquences en présentant, vingt-quatre heures plus tard, sa démission au secrétaire à la sécurité intérieure, Jeh Johnson. Ce dernier, qui l’a rendue publique mercredi 1er octobre en début d’après-midi, a indiqué qu’un ancien responsable de la sécurité présidentielle, Joseph Clancy, avait été nommé par intérim à sa place et que les conclusions d’une enquête sur les dysfonctionnements du 19 septembre étaient attendues début décembre.

      Pendant plus de trois heures, mardi, Julia Pierson avait été soumise aux critiques virulentes ou acides des élus. L’un d’eux le républicain John Mica (Floride) lui avait même suggéré de solliciter les services de la compagnie qui assure la protection de sa propre maison. Alors qu’elles devaient rassurer, ses réponses laconiques, teintées de jargon administratif, ont aggravé la défiance.

  • Le jour où on a tiré sur la Maison Blanche sans que le « Secret Service » réagisse
    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2014/09/28/le-jour-ou-on-a-tire-sur-la-maison-blanche-sans-que-les-secret-service-reagi

    Le soir du 11 novembre 2011, Barack Obama et son épouse Michelle n’étaient pas à Washington, mais leur fille cadette, Sasha, se trouvait à la Maison Blanche avec sa grand-mère Marian Robinson, révèle le Washington Post. Et la fille aînée du couple, Malia, devait rentrer à tout moment d’une soirée en ville avec des amis. Au moins sept balles, tirées depuis une voiture garée à environ 700 mètres de là, ont frappé la résidence présidentielle.

    Et lorsque des agents du Secret Service ont voulu réagir, ils ont reçu de leur superviseur un ordre surprenant : « Il n’y a pas eu de coups de feu. Restez où vous êtes. » Ce superviseur a déclaré que les détonations provenaient de l’échappement d’un engin de chantier, raconte le Washington Post, décrivant des failles dans le dispositif de sécurité qui n’avaient pas été rendues publiques jusqu’à présent.

    Le quotidien indique que Barack et Michelle Obama n’ont été informés de l’incident que plusieurs jours plus tard, et ont alors été furieux de la réaction inadaptée du Secret Service. Celui-ci a confirmé tardivement que des tirs avaient eu lieu, mais a déclaré, de manière erronée, qu’ils ne visaient pas la Maison Blanche.

    Ce n’est que lorsqu’une gouvernante a découvert sur le sol du verre brisé et un morceau de ciment que le Secret Service a compris que des balles avaient frappé la résidence du président des Etats-Unis, écrit le Washington Post.

  • « Beuverie » à Amsterdam : des gardes du corps d’Obama renvoyés chez eux
    http://www.lavoixdunord.fr/france-monde/beuverie-a-amsterdam-des-gardes-du-corps-d-obama-ia0b0n2017312?xtor=RSS

    Trois agents du Secret Service chargés de protéger le président américain Barack Obama aux Pays-Bas cette semaine ont été renvoyés aux États-Unis et mis à pied après une nuit de beuverie, a rapporté le Washington Post. « L’un d’eux a été trouvé ivre mort dans le hall d’un hôtel » d’Amsterdam dimanche matin, la veille de l’arrivée du président américain aux Pays-Bas pour un sommet sur la crise ukrainienne, a indiqué le Post, citant trois sources anonymes ayant eu connaissance de l’incident.

    Bourrés bourrés... à Dam c’est sur qu’ils ont du faire des mélanges. On ne nous dit pas tout là !

    #garde-du-corps-est-un-dur-métier #skunk

  • Meanwhile at the Nuclear Security Summit in the Netherlands…

    Des agents « ivres morts » du Secret Service renvoyés aux Etats-Unis
    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2014/03/26/des-agents-ivres-morts-du-secret-service-renvoyes-aux-etats-unis_4389741_322

    Trois agents du Secret Service, qui devaient protéger le président américain Barack Obama lors de sa visite aux Pays-Bas, ont été renvoyés aux Etats-Unis et mis à pied après une nuit de beuverie.
    « L’un d’eux a été trouvé ivre mort dans le hall d’un hôtel » d’Amsterdam dimanche matin, la veille de l’arrivée du président américain aux Pays-Bas pour un sommet sur la crise ukrainienne, indique le Washington Post, citant trois sources anonymes ayant eu connaissance de l’incident.
    (…)
    Le Secret Service, police d’élite chargée de la sécurité du président américain, avait déjà fait l’objet d’un scandale en avril 2012, mettant en cause des agents et des prostituées lors d’un déplacement de M. Obama à Carthagène, en Colombie.

  • How a #Hacker Intercepted Secret Service, FBI Calls Using #Google Maps
    http://www.theblaze.com/stories/2014/02/28/how-a-hacker-intercepted-secret-service-fbi-calls-using-google-maps

    “When unsuspecting citizens utilize this incorrect third party phone number to contact the Secret Service the call is directed through the third party system and recorded,” the Secret Service told Gawker. “This is not a vulnerability or compromise of our phone system. Virtually any phone number that appears on a #crowdsourcing platform could be manipulated in this way.” […]

    Les recettes les plus simples sont les meilleures…

  • Dans le même article du Akhbar sur les #kissinger_cables : Operation Boulder
    http://english.al-akhbar.com/content/revisiting-us-arab-diplomacy-operation-boulder-and-oil-embargo

    As Boston University law professor Susan M. Akram noted in a March 2002 article in Arab Studies Quarterly, “Nixon Administration’s ‘Operation Boulder’ [was] perhaps the first concerted US government effort to target Arabs in the US for special investigation with the specific purpose of intimidation, harassment, and to discourage their activism on issues relating to the Middle East.”

    Much of the secrets behind Operation Boulder were only recently discovered. What we know today is that the operation involved stringent reviews and background checks of Arabs, particularly Palestinians, by the FBI, CIA, State Department, and Secret Service. Moreover, much of the information was shared between the Israeli and American security services, as well as pro-Zionist organizations within the US.

  • The Ultimate Counterfeiter Isn’t a Crook—He’s an Artist | Wired
    http://www.wired.com/threatlevel/2012/05/ff_counterfeiter/all

    “It is also very likely that I did it because I was constantly being told that I was the only person far and wide who was able to make really good counterfeit dollar bills,” he later wrote in a statement to the court. “In retrospect, I must admit that at least from an artistic perspective this both flattered and challenged me.” If he couldn’t move his product with the help of someone like Falkenthal, Kuhl knew, his banknotes would rot in a storage locker, nullifying his artistic achievement.

    #contrefaçon #monnaie #art #allemagne

    • J’aime l’explication pour les américains :

      Germany’s Bundeskriminalamt, or Federal Criminal Police (...) is a bit like the FBI, Secret Service, and Department of Homeland Security all rolled into one.

      Bientôt nos films policiers seront mieux que ceux d’outre atlantique :-)

  • Bon esprit // Jewish paper’s column catches Secret Service’s eye - CNN.com
    http://edition.cnn.com/2012/01/21/us/jewish-president-threat/index.html?hpt=us_c2

    Andrew Adler, owner and publisher of the Atlanta Jewish Times, wrote a January 13 column about the threat of Iran to Israel. He posed three options for the Jewish state to counter the Iranian regime.
    One of them called for a “hit on a president in order to preserve Israel’s existence.”