person:emad burnat

  • http://bit.ly/1pi7lUI

    5 caméras brisées
    projection-débat du film de Emad Burnat et Guy Davidi
    mardi 23 septembre au cinéma Chaplin Denfert (Paris 14e)

    Emad, paysan, vit à Bil’in en Cisjordanie. Au milieu du village, Israël a élevé un mur de séparation qui exproprie les 1 700 habitants de la moitié de leurs terres, au motif de protéger la colonie juive de Modi’in Illit. Les villageois de Bil’in s’engagent dès lors dans une lutte non-violente pour obtenir le droit de rester propriétaires de leurs terres, et de coexister pacifiquement avec les Israéliens. Dès le début de ce conflit, et pendant cinq ans, Emad va filmer tout ce qu’ils entreprennent...

  • « Les Revenants » et « Cinq caméras brisées » récompensés aux Emmy Awards
    http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/11/26/les-revenants-et-cinq-cameras-brisees-recompenses-aux-emmy-awards_3520165_32

    UN PALESTINIEN AUTODIDACTE RÉCOMPENSÉ

    Cinq caméras brisées, le documentaire franco-israélo-palestinien écrit et réalisé par Emad Burnat et Guy Davidi, qui raconte les résistances du village palestinien de Bil’in, à travers les caméras cassées d’Emad Burnat, cameraman palestinien autodidacte, l’a emporté dans la catégorie documentaire.

    M. Burnat, accompagné de la coproductrice Christine Camdessus, s’est réjoui de ce « grand honneur », soulignant qu’il était le premier Palestinien récompensé par un Emmy Award. « Nous voulons la même chose que vous, la paix et la liberté », a-t-il ajouté. Les Palestiniens ont « besoin de votre soutien », a-t-il ajouté.

    Achevé en 2011, ce film avait déjà été nommé à l’Oscar du meilleur film documentaire en 2013, et récompensé au Festival de Sundance 2012, par le Prix du meilleur réalisateur international, ainsi que par le Prix du public et le Prix spécial du jury à l’International Documentary Film Festival d’Amsterdam en 2011.

    http://www.youtube.com/watch?v=t63A-Xdxwec

  • Cinq caméras brisées, une histoire Palestinienne.

    #Documentaire d’#Emad_Burnat sur les conditions de vie actuelles du peuple Palestinien.

    Emad Burnat est #paysan. Il vit dans le petit village de #Bil'in, en #Cisjordanie. Il y a cinq ans, les forces israéliennes ont décidé de construire, au milieu des terres du village, un « #mur de séparation », en invoquant des impératifs de sécurité liés à la proximité de la colonie juive de #Modin'in Illit. En conséquence, les villageois de Bil’in ont perdu la moitié de leurs #terres. Ils s’engagent alors dans une longue lutte pour contrecarrer les #expropriations. Dès le début, Emad prend une décision : filmer l’#action_non-violente entreprise par les habitants. Il a suivi cinq années de la vie d’un #village en ébullition, avec cinq caméras qui ont connu des épreuves et se sont brisées, l’une après l’autre, au gré des affrontements.

    http://www.youtube.com/watch?v=C-Nd0-8x77Y

    #Palestine #film

    cc @reka

  • For backing “5 Broken Cameras”, “Jewish Press” smears Dustin Hoffman as has-been “figleaf” with “Semitic nose”
    http://mondoweiss.net/2013/04/for-backing-5-broken-cameras-jewish-press-smears-dustin-hoffman-as-has-b

    What an ongoing calamity Zionism is for the American Jewish community. On Saturday night in LA, Dustin Hoffman was to present a Muslim Public Affairs Council (MPAC) award to Emad Burnat, the Palestinian co-director of the brilliant documentary “5 Broken Cameras” about resistance in occupied Bil’in. A disturbing article in the Jewish Press vilifies both Hoffman for daring to present the award and Burnat for daring to chronicle the occupation.

    Lori Lowenthal Marcus first provides the news, then the character assassination, then the “He’s not really Jewish stuff.” Along the way, she talks about his “Semitic nose.” Imagine if a non-Jew used such a description! And Marcus calls Burnat an “Israel-hater” because he has protested the seizure of his village’s lands by an illegal settlement.

  • Emad Burnat: Mon voyage de Palestine jusqu’à Hollywood
    http://www.huffingtonpost.fr/emad-burnat/controle-immigration-oscars_b_2763415.html

    Et bien oui, je suis nominé aux Oscars. Mais surtout, mon film, 5 Caméras brisées -qui raconte le combat pacifique de mon village, Bil’in, pour résister à l’occupation israélienne- parle précisément du genre d’humiliation que ma famille et moi avons endurée à l’aéroport international de Los Angeles (LAX). La seule différence est que les victimes se comptent en millions d’où je viens, et que ces épisodes font tellement partie du quotidien là-bas que ce qui nous est arrivé, paraît bien pâle en comparaison.
    (...)
    Alors qu’on m’interrogeait au LAX, les membres de l’Académie des Oscars se réunissaient pour une soirée en l’honneur des nominés 2013 pour le Meilleur documentaire. J’étais invité et quand le bruit a couru que j’étais retenu à l’immigration, le groupe a insisté de sauter le dîner jusqu’à ce que j’arrive. Leur solidarité m’a rappelé une autre citation de King :

    « Une injustice commise quelque part est une menace pour la justice dans le monde entier ».

    Agissant selon ce principe, mes compagnons de repas ont jeûné ce soir-là pour un fermier et sa famille d’un petit village de Palestine. Bien plus que des déclarations d’hommes politiques ou de journalistes -ou des actes d’intimidation des fonctionnaires de l’immigration-, ce sont de tels gestes de décence et de courage moral qui ramèneront la paix en Terre Sainte.

  • De Bil’in à Los Angeles : cinq ou six caméras brisées ?

    "Doesn’t Immigration have Google ?" Michael Moore

    Réalisateur palestinien malgré lui, Emad Burnat le cultivateur de Bil’in , le célèbre petit village de Cisjordanie, a été invité aux Oscars comme le premier réalisateur de documentaire palestinien à être nominé. Invité, mais arrêté et retenu arbitrairement à l’aéroport de Los Angeles il y a trois jours alors qu’il se rendait à un dîner officiel avant la cérémonie des Oscars aujourd’hui.

    Le réalisateur palestinien, sa femme et leur enfant Gibreel (Gabriel) ont été libérés grâce à l’intervention du cinéaste américain Michael Moore .

    Emad Burnat, courageusement et dignement, a voulu filmer et montrer au monde la résistance et la lutte désespérée des habitants de Bil’in contre les intimidations des soldats et des colons israéliens construisant un mur de séparation car préparant l’installation d’une autre colonie sur la même commune. Le quotidien oublié des occupants et des occupés…

    « Cinq caméras brisées » est le titre de son documentaire et surtout le nombre de caméras utilisées et brisées par les soldats durant sept ans, l’âge de Gibreel. L’idée de filmer a commencé avec la naissance de l’enfant…

    « Six caméras brisées » si on ajoute l’autre caméra de la projection du mythe américain de « terre d’accueil » …

    Lire la suite

    http://chahidslimani.over-blog.com

  • How My Friend and Current Oscar Nominee Emad Burnat Was Held and Threatened with Deportation Last Night at LAX | MichaelMoore.com
    By Michael Moore
    http://www.michaelmoore.com/words/mike-friends-blog/how-my-friend-and-current-oscar-nominee-emad-burnat-was-held-and-threa

    Thus, last night, as an elected Governor of the Documentary Branch, I and my fellow Governors – Michael Apted and Rob Epstein – were co-hosting the nominee dinner for the documentary filmmakers. But one of the nominated directors was not there – Emad Burnat, the co-director of the Oscar-nominated ’5 Broken Cameras.’ This exceptional, award-winning movie about how Emad’s village in the West Bank used non-violence to oppose the Israeli’s government’s decision to build a wall straight through their farms and village – only to see (and capture on camera) Israeli soldiers shooting unarmed Palestinian civilians – had become the first Palestinian documentary ever to be nominated by the Academy.

    While we awaited Emad’s arrival from the airport – he and his family had already spent nearly six hours at an Israeli checkpoint as he was attempting to drive to Amman to catch their plane – I received an urgent text from Emad, written to me from a holding pen at the Los Angeles International Airport (LAX).

    Here is what it said, in somewhat broken English:

    “Urgent - I am in the air port la they need more information why I come here
    Invitation or some thing
    Can you help they will send us back
    If you late
    Emad”

    I quickly texted him back and told him that help was on the way. He wrote back to say Immigration and Customs was holding him, his wife, Soraya, and their 8-year old son (and “star” of the movie) Gibreel in a detention room at LAX. He said they would not believe him when he told them he was an Oscar-nominated director on his way to this Sunday’s Oscars and to the events in LA leading up to the ceremony. He is also a Palestinian. And an olive farmer. Apparently that was too much for Homeland Security to wrap its head around.

    “They are saying they are going to put us on the next plane back to Amman,” he told me.

    I immediately contacted the Academy CEO Dawn Hudson and COO Ric Robertson, who in turn told Academy President Hawk Koch. They got ahold of the Academy’s attorney who is also partners with a top immigration attorney and they went to work on it. I called the State Department in DC.

    I told Emad to give the Homeland Security people my name and cell number and to have them call me ASAP so I could explain who he was and why they should let him go.

    After being held for somewhere between one and two hours, with repeated suggestions that the U.S. may not let him into the country – saying that they may send him back home – the authorities relented and released Emad and his family.

    I texted him to say we would not start the dinner until he arrived. When he got there, he was fairly shaken and upset.

    He told us that this sort of treatment is something he is used to “on a daily basis under Occupation.” He gave an eloquent and moving impromptu speech, in his usual soft-spoken voice, to his fellow nominees. He said this was his 6th trip with his film to the U.S. this year and that this was the first time he was detained. He said they wanted to see some “official document” that he was an actual nominee. I said, “Doesn’t Immigration have Google?”

    The Americans in the dining room apologized to Emad for the way our government and its security police treated him. We then sat down and ate some good ol’ American roast beef.

  • Un réalisateur palestinien retenu par les services d’immigration américains http://www.rtbf.be/info/medias/detail_un-realisateur-palestinien-retenu-par-les-services-d-immigration-america

    Puis relâché après intervention.

    Emad Burnat, réalisateur palestinien du film nominé aux Oscars “5 caméras brisées”, a été retenu cette nuit par les services de l’immigration à l’aéroport de Los Angeles alors qu’il venait d’atterrir pour participer à la cérémonie des Oscars." C’est la teneur du tweet que Michael Moore a envoyé à minuit (heure de Los Angeles) ce mercredi.

    L’ami du réalisateur américain était invité à la cérémonie des Oscars, qui doit se dérouler ce week-end aux États-Unis : son documentaire avait été sélectionné par le jury.

    Emad Burnat, à l’origine paysan du le village de Bil’in, en Cisjordanie, avait filmé ses voisins et sa famille pour témoigner du quotidien des habitants de sa région : heurts avec les colons, constructions de clôtures, manifestations…

    Michael Moore ironise : "Apparemment, les officiers des services de l’immigration et des douanes ne comprenaient pas comment un Palestinien pouvait être nominé aux Oscar" ; malgré le fait que ce dernier ait montré son invitation officielle, les policiers n’ont rien voulu savoir.

    Retenu avec sa femme et sa fille de 8 ans, Emad Burgat doit une fière chandelle à Michael Moore. Le réalisateur " poil à gratter "de l’Amérique a informé régulièrement ses fans de la situation de son ami via son compte Twitter. Mais pas seulement : "J’ai appelé des membres de l’Académie des Oscars. Ils ont contacté des avocats. J’ai dit à Emad de donner mon numéro de téléphone aux officiers et de leur répéter qui j’étais."

    Ses efforts vont payer : Emad Burnat et sa famille sont relâchés après une heure et demie. "Bienvenue en Amérique" ironise alors Michael Moore dans un dernier tweet.

    Pour Kevin Gosztola, https://twitter.com/kgosztola/status/304321213533130752

    Reasonable to suspect Israel urged US govt to deport Oscar-nominated Palestinian filmmaker at LA airport http://dissenter.firedoglake.com/2013/02/20/ice-officers-detain-oscar-nominated-palestinian-filmmaker-thr

  • « 5 Caméras brisées (E. Burnat & G. Davidi) – Entretien « Le blog documentaire

    http://cinemadocumentaire.wordpress.com/2013/02/18/5-cameras-brisees-emad-burnat-guy-davidi-lentretien

    « 5 Caméras brisées » (E. Burnat & G. Davidi) – Entretien

    Publié le 18 février 2013 par C.Mal

    Événement sur Le Blog documentaire puisque nous sommes aujourd’hui partenaires d’un film « oscarisable »… 5 Caméras brisées, de Emad Burnat et Guy Davidi, sort en salles ce mercredi 20 février en France.

    Chronique intime d’un village situé à la frontière israélo-palestinienne, ce documentaire est notamment composé par les images filmées par Emad, simple paysan devenu coréalisateur du film. En 2005, il achète une caméra pour la naissance de son dernier fils, et depuis il documente sans relâche la résistance pacifique des habitants de Bil’in face à la progression de l’armée israélienne. Entretien.

    #israel #palestine #bilin #mur #frontière

    • voir aussi 5 Broken Cameras via @sabah

      According to Moore’s Twitter message, after Burnat arrived on a flight to Los Angeles with his wife and 8-year-old son, immigration authorities ushered them into a waiting area and claimed that Burnat lacked the necessary documentation to prove that he was in Los Angeles to attend the Oscar ceremony. “Although he produced the Oscar invite nominees receive, that wasn’t good enough & he was threatened with being sent back to Palestine,” Moore tweeted.

      In other Twitter messages, Moore, whose films include “Bowling for Columbine” and “Fahrenheit 9/11,” commented: “Apparently the Immigration & Customs officers couldn’t understand how a Palestinian could be an Oscar nominee. Emad texted me for help.”