Frida Kahlo voz
▻https://soundcloud.com/antena-radio-imer/frida_kahlo_voz
La Fonoteca Nacional presentó la probable voz de la artista Frida Kahlo.
via ▻https://www.nytimes.com/2019/06/13/arts/design/frida-kahlo-voice.html
#voix
Frida Kahlo voz
▻https://soundcloud.com/antena-radio-imer/frida_kahlo_voz
La Fonoteca Nacional presentó la probable voz de la artista Frida Kahlo.
via ▻https://www.nytimes.com/2019/06/13/arts/design/frida-kahlo-voice.html
#voix
1933 Article on Frida Kahlo: “Wife of the Master Mural Painter Gleefully Dabbles in Works of Art” | Open Culture
▻http://www.openculture.com/2015/03/1933-article-on-frida-kahlo-wife-of-the-master-mural-painter-gleefully-
Glané sur Twitter grâce à @fil si je me souviens bien
And yet, far from the Keane’s San Francisco, and perhaps as far as a person can get from Margaret’s frustrated acquiescence, we have Frida Kahlo creating a body of work that would eventually overshadow her husband’s, muralist Diego Rivera. Unlike Walter Keane, Rivera was a very good painter who did not attempt to overshadow his wife. Instead of professional jealousy, he had plenty of the personal variety. Even so, Rivera encouraged Kahlo’s career and recognized her formidable talent, and she, in turn, supported him. In 1933, when Florence Davies---whom Kahlo biographer Gerry Souter describes as “a local news hen”---caught up with her in Detroit, Kahlo “played the cheeky, but adoring wife” of Diego while he labored to finish his famous Detroit mural project.
–----
The big-eyed children: the extraordinary story of an epic art fraud | Art and design | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/artanddesign/2014/oct/26/art-fraud-margaret-walter-keane-tim-burton-biopic
In the 1960s, Walter Keane was feted for his sentimental portraits that sold by the million. But in fact, his wife Margaret was the artist, working in virtual slavery to maintain his success. She tells her story, now the subject of a Tim Burton biopic
Dans un des liens de l’article, il y avait ceci :
No Women Need Apply : A Disheartening 1938 Rejection Letter from Disney Animation | Open Culture
▻http://www.openculture.com/2013/04/no_women_need_apply_a_disheartening_1938_rejection_letter_from_disney_a
Put yourself in the mind of an artistic young woman who goes to see Disney’s Snow White and the Seven Dwarfs when it first opens in 1937. Captivated by the film’s groundbreaking cel-based cinematic animation, understanding that it represents the future of the art form, you feel you should pursue a career with a studio yourself. Alas, in response to the letter of inquiry you send Disney’s way, you receive the terse rejection letter above. “Women do not do any of the creative work in connection with preparing the cartoons for the screen,” it flatly states, “as that work is performed entirely by young men. For this reason girls are not considered for the training school.” Your only remaining hope? To aim lower on the totem pole and become an “Inker” or “Painter,” but “it would not be advisable to come to Hollywood with the above specifically in view, as there are really very few openings in comparison with the number of girls who apply.”
« Les accessoires de Frida Kahlo étaient une extension de son art »
▻https://www.lemonde.fr/m-styles/article/2018/08/01/les-accessoires-de-frida-kahlo-etaient-une-extension-de-son-art_5338120_4497
Vêtements, maquillages, accessoires… c’est la première fois que des effets personnels de Frida Kahlo quittent le Mexique et la Casa Azul, là ou la célèbre peintre a résidé toute sa vie. Ils sont exposés et mis en scène, avec certaines de ses œuvres, à Londres, au Victoria & Albert Museum jusqu’au 4 novembre.
D’où proviennent les pièces exposées ?
Nous exposons plus de deux cents objets personnels ayant appartenu à l’artiste, prêtés par le Musée Frida-Kahlo de Mexico, qui n’est autre que la Casa Azul (« maison bleue ») où l’artiste est née et a vécu avec son époux, le peintre muraliste Diego Rivera. Nous présentons des archives privées, des lettres, mais aussi des colliers en perles de jade, des rouges à lèvres, fards à joues, étuis à cigarettes et vêtements. On retrouve le crayon pour les yeux Revlon qu’elle utilisait pour assombrir son regard. Son mari se souvenait de leur première rencontre en ces termes : « Elle avait des sourcils sombres et épais réunis au-dessus de son nez. Ils ressemblaient aux ailes d’un oiseau, leurs arcs noirs encadrant des yeux bruns extraordinaires. » Pendant de nombreuses années, ses effets personnels ont été entreposés dans deux pièces de la maison et placés sous scellés, sur ordre de Diego, à la mort de Frida, en 1954. Les chambres n’ont été ouvertes qu’en 2004 et c’est la première fois, depuis, que ces pièces sont exposées hors du Mexique.
Pourquoi Frida Kahlo est-elle devenue une référence internationale de la mode ?
Elle était très en avance sur son temps et c’est ce qui la rend si pertinente et si contemporaine. Elle s’est forgé une identité très puissante à travers ses convictions politiques, son handicap (elle fut rescapée d’un terrible accident de bus en 1925) et son art, qui résonne encore aujourd’hui. Son style contribue autant à son mythe que ses peintures. Ses robes de Tehuana (robes traditionnelles mexicaines), ses coiffes, ses corsets peints à la main et ses prothèses, qu’elle fabriquait elle-même, étaient une forme d’expression personnelle, mais aussi, et surtout, une extension de son art. Elle a d’ailleurs beaucoup inspiré les designers de mode d’aujourd’hui, de Jean Paul Gaultier, avec ses explorations autour du corset, à Alessandro Michele chez Gucci, en passant par Riccardo Tisci, qui lui rendit hommage dans la collection haute couture de Givenchy automne-hiver 2010-2011, notamment avec ces vestes en forme d’ailes de colombe que l’on retrouve dans l’œuvre de Frida, surtout quand elle était en proie à la douleur et qu’elle s’accrochait à l’espoir de pouvoir s’échapper de son propre corps.
Lire aussi : Frida Kahlo, haute en couleur
Comment son apparence vestimentaire reflétait-elle son engagement politique ?
Sa garde-robe est le reflet de sa fierté pour la culture de son pays : elle a utilisé son apparence comme une déclaration politique, façonnant son allure comme une forme d’allégeance à l’identité mexicaine. Nous exposons ses vêtements traditionnels mexicains, tels que des rebozos (des châles mexicains) ou son resplandor, une coiffe de dentelle portée par les femmes de la société matriarcale, de l’isthme de Tehuantepec, dans le sud du Mexique. Son vestiaire est d’ailleurs principalement composé de pièces traditionnelles d’Oaxaca, à l’ouest de Tehuantepec. Au fil du temps, le style de l’artiste a évolué, fusionnant vêtements traditionnels mexicains et pièces étrangères. On repère des vêtements ethniques du Guatemala et de la Chine, ainsi qu’une intéressante collection de blouses européennes et américaines. L’artiste illustre cette fusion des styles européens et mexicains dans l’un
de ses autoportraits les plus célèbres, Les Deux Frida (1939).
J’essaye d’imaginé une expo Diego Rivera durant laquelle serait exposé son rasoir, son after shave, ses calfutes et sa poire à lavement en guise de peinture. A la limite on aurais vu ses pinceaux, couleurs, outils de travail... et on aurais pu croire que Frida Kahlo était une artiste, mais non c’est juste une lafâme, cet petit être mignon qui met du rouge à lèvre.
Ce sont les hommes, couturiers misogynes qui réduisent cette artiste à son vetement, un corcet de souffrance qui les faits bander.
Elle a d’ailleurs beaucoup inspiré les designers de mode d’aujourd’hui, de Jean Paul Gaultier, avec ses explorations autour du corset, à Alessandro Michele chez Gucci, en passant par Riccardo Tisci, qui lui rendit hommage dans la collection haute couture de Givenchy automne-hiver 2010-2011, notamment avec ces vestes en forme d’ailes de colombe que l’on retrouve dans l’œuvre de Frida, surtout quand elle était en proie à la douleur et qu’elle s’accrochait à l’espoir de pouvoir s’échapper de son propre corps.
Si des fois une femme voulait s’échappé de son corps, les mecs se bousculent pour l’y ramener de force et d’outre tombe.
Sojourner Truth Tania Bunke Frida Kahlo Ella Baker Angela Davis Octavia Butler Leila Khalid
Mexique : la justice interdit la vente d’une Barbie à l’effigie de Frida Kahlo Miguel Medina - RTBF - 20 Avril 2018
▻https://www.rtbf.be/info/insolites/detail_mexique-la-justice-interdit-la-vente-d-une-barbie-a-l-effigie-de-frida-k
Un juge mexicain a interdit au groupe américain Mattel de commercialiser au Mexique une poupée #barbie à l’effigie de la peintre Frida Kahlo (1907-1954), donnant ainsi raison à la famille de l’artiste, a annoncé ce jeudi l’avocat de cette dernière.
Cette décision s’applique immédiatement, mais Mattel peut faire appel, a indiqué l’avocat, Me Pablo Sangri.
La famille de Frida Kahlo espère désormais pouvoir engager une procédure juridique aux États-Unis afin d’obtenir que la poupée soit également interdite dans ce pays, a-t-il précisé.
Le juge a ordonné à #Mattel et ses distributeurs qu’ils « s’abstiennent de tout acte tendant à utiliser la marque, l’image ou l’oeuvre de Frida Kahlo ».
En mars, le fabricant américain de jouets avait dévoilé une série de poupées à l’effigie de personnalités, baptisée « Inspiring Women » ( #femmes inspirantes), parmi lesquelles figure Frida Kahlo.
La famille conteste
L’épouse du grand muraliste mexicain Diego Rivera et un temps la maîtresse du révolutionnaire russe exilé Léon Trotsky-, Frida Kahlo est considérée comme l’une des plus grandes peintres du XXe siècle pour ses émouvants auto-portraits, dans lesquels elle exprimait à la fois sa douleur physique et son isolement.
Mais la famille de l’artiste mexicaine a contesté à la société californienne le droit de commercialiser cette poupée.
« Je suis ravie, car je crois que justice a été rendue : c’est nous la famille Kahlo qui détenons les droits pour toutes ces choses », a dit à l’AFP Mara Romeo, la petite-nièce de l’artiste.
Image déclinée sous tous produits
De son côté Mattel estime être détenteur des droits, car le fabricants de jouets dit avoir « travaillé en étroite collaboration avec Frida Kahlo Corporation », basée à Miami, et « qui détient tous les droits liés au nom et à l’identité de Frida Kahlo ».
Cette société basée en Floride a bien été fondée par la famille de l’artiste, reconnaît l’avocat de Mara Romeo, mais en association avec la société Casablanca Distributors, qui selon lui n’a pas respecté le contrat en omettant d’informer les proches de l’usage fait de l’image de l’artiste.
Le visage de #Frida_Kahlo - et son fameux monosourcil - a été décliné à travers des dizaines d’objets au cours des dernières années : chaussures, carnets, sacs, parfum ou tequila.
▻https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/100318/frida-kahlo-en-barbie-la-famille-s-insurge
Pour la journée des droits de la femme, Mattel avait cru bon de renouveler ses #Barbie et avait notamment choisi la peintre mexicaine, fervente communiste, #Frida_Kahlo comme « Figure d’inspiration ». Résultat : une poupée au ton très clair et aux sourcils bien sages, ne ressemblant que très vaguement à l’artiste. Et une partie de la famille très en colère, qui a saisi la justice pour contester à la firme américaine le droit d’utiliser l’image de l’artiste.
▻https://www.gaystarnews.com/article/frida-kahlo-barbie-doll/#gs.Mx2y9qU
Pour la Journée internationale de la femme, le 8 mars, Barbie présente 17 poupées flambant neuves, inspirées des femmes historiques et des femmes d’aujourd’hui.
L’une des nouvelles figures est l’artiste bisexuelle Frida Kahlo. Elle rejoint la prochaine série Inspiring Women ™ Doll aux côtés d’Amelia Earhart et Katherine Johnson.
Selon le communiqué de presse de #Mattel, ces poupées « contiennent des informations éducatives sur les contributions de chaque femme à la société et à leurs domaines respectifs ».
Des femmes peintres autour de Diego Rivera : au-delà de Frida Kahlo
▻http://sisyphe.org/spip.php?article5442
Lire aussi de la même auteure : Au Mexique, l’apport des créatrices surréalistes.
Frida Kahlo (1907-1954) est, généralement, la seule peintre mexicaine que les gens connaissent. Une forte médiatisation l’a mise en lumière, ainsi que le couple, devenu quasi-mythique, qu’elle formait avec le peintre et muraliste Diego Rivera. Deux incontournables de l’art moderne mexicain. Mais, derrière la légende, se cache une autre réalité : y apparaissent d’autres femmes peintres dans la vie intime de Rivera. Des créatrices, trahies par l’homme, mais avec une œuvre bien à elles. Et qui méritent de sortir de l’ombre.
Angelina Beloff (Saint-Petersbourg, 1879 – Mexico, 1969)
Angelina Beloff, peintre, 1916
Diego Rivera (1886-1957), après des études fructueuses en peinture, à Mexico, avait reçu, en 1906, une bourse de son gouvernement pour aller se perfectionner en Europe. D’une durée de quatre ans, elle lui permit d’abord d’étudier à Madrid, puis, en 1909, de s’installer à Paris. Il rejoignit, dans le quartier de Montparnasse, toute une colonie de jeunes peintres, et il devint l’ami, entre autres, de Modigliani, de Chagall et Picasso, encore méconnus.
L’été suivant son arrivée à Paris, Rivera décida d’aller visiter la Belgique. Et, à Bruxelles, il rencontra par hasard une amie étudiante qu’il avait connue à Madrid, María Gutiérrez Blanchard (1881-1932). Je souligne, en passant, que María Gutiérrez Blanchard devint une grande peintre de l’école cubiste. Née handicapée, elle souffrit toute sa vie des difformités de son corps douloureux. Une « négligée » de plus des Histoires de l’art.
María Gutiérrez Blanchard était en compagnie d’une jeune artiste russe, Angelina Beloff qui venait, elle aussi, de s’installer à Paris grâce à une bourse. Elle étudiait avec Matisse. Les trois visitèrent Bruges, puis partirent avec d’autres amis à Londres. C’est là que Rivera se mit à faire à Angelina Beloff une cour sans relâche : "Diego me courtisa avec tant d’insistance que je ressentis trop de pression… Je décidai donc de retourner à Paris pour réfléchir en paix." (D’après : Diego Rivera : Legendary Mexican Painter, Laura Baskes, Enslow Publishers inc p.30)
À l’automne, ils vivaient ensemble. Diego retourna pour quelques mois au Mexique, mais à son retour, en 1911, ils se mariaient. Elle avait 29 ans, lui 23. La vie était dure, Rivera venait de perdre sa bourse à cause des bouleversements de la Révolution mexicaine, et les subsides russes d’Angelina Beloff étaient également coupés. Les années subséquentes, tous deux continuèrent à peindre dans leur petit atelier, tout en tentant de survivre. Mais la guerre faisait rage en Europe, et le marché de l’art était au ralenti. Durant une trop courte période, Rivera reçut une petite mensualité venant d’un marchand de tableaux mais, pour aider le couple, Angelina Beloff prit des travaux de traduction. Elle jugeait son œuvre à lui plus importante que la sienne, air connu !
Au Mexique, l’apport des créatrices surréalistes
▻http://sisyphe.org/spip.php?article5445
María Izquierdo (1902 ?/1906 ?-1955), une peintre amérindienne purepecha, dont la carrière fut quelque peu éclipsée par sa célèbre contemporaine Frida Kahlo (1907-1954). María Izquierdo avait passé son enfance au Michoacán, dans le centre du Mexique. Après un mariage forcé, et déjà mère de trois enfants à 17 ans, elle divorça pour aller étudier, en 1927, la peinture à l’Académie de San Carlo, puis à l’École Nationale des Beaux-Arts où Diego Rivera, le directeur, fut très impressionné par son talent. Très vite, elle participa à des expositions, dont une en solo à New-York, en 1930.
▻https://www.pinterest.fr/offsite/?url=https%3A%2F%2Fi.pinimg.com%2Foriginals%2F8b%2F7d%2F0b%2F8b7d0b036a433
Artaud fut séduit par son style primitif, sa palette colorée, et les sujets de ses tableaux : la nature, les rites antiques, l’art populaire. À son retour à Paris, il organisa une exposition de ses gouaches. Dans les années 1940, la carrière de María Izquierdo était bien lancée, et elle devint ambassadrice de la culture mexicaine en Amérique latine. Malheureusement, une première crise cardiaque freina sa carrière, une deuxième, en 1955, lui fut fatale. Malgré l’engouement de Artaud, elle ne se sentait pas surréaliste, mais plutôt l’interprète de son peuple, et surtout des femmes.
Notes chiapanèques
▻https://lundi.am/Notes-chiapaneques
Par Joseph Andras
Chaque jour, nous mangions – des haricots rouges et des tortillas, pour l’essentiel – sous le portrait d’Abdullah Öcalan, leader du PKK embastillé par l’État turc, et dormions dans des lits superposés que l’usage dirait peu ou prou « de fortune ». En zone zapatiste, l’alcool et les drogues sont prohibés, de même que l’usage de pesticides. Les fresques recouvrant chaque bâtiment donnaient à voir les figures nationales, le maïs sacré, Frida Kahlo, la rébellion contre l’ordre néolibéral, l’escargot totémique (symbole du temps à retrouver face à la modernité déferlante et l’hybris capitaliste, avatar de la lutte à construire pierre après pierre), l’incontournable Che ou le combat des Afro-Américains. J’avais noté, amusé, ce slogan peint dans l’ombre d’un toit : « L’algèbre de l’éducation révolutionnaire est la dialectique ».
Nous avions longuement discuté avec quelques militants zapatistes, dansé – un peu et très mal – et assisté aux cours d’histoire anticapitalistes prodigués à la centaine d’élèves de l’internat, appelés « camarades » par leur « promoteur d’éducation ». « Nous marchons et le gouvernement ne sait plus vraiment comment agir », nous avait confié N., en espagnol et à visage découvert (comme le sont la presque totalité des zapatistes une fois franchie, hors rassemblements semi-publics, l’enceinte des caracoles). Le mystère quant à leur nombre est à dessein entretenu par la direction. « Un zapatiste naît tous les jours, impossible de savoir », avait confirmé notre interlocuteur, paysan et enseignant d’une trentaine d’années. N. affichait des pommettes pleines, de sombres yeux creusant une face qu’une barbiche prolongeait en poils indécis. « Nous n’avons pas la possibilité ni le luxe de partir ou de voyager, car on n’a pas de sous et on doit construire l’autonomie. C’est difficile de vivre en communauté mais c’est ainsi. Nous sommes en guerre. Mais nous avons beaucoup d’espoir : les petits feront ce qu’on n’a pas su faire. Nos parents ne savaient pas lire et il n’y avait pas d’écoles. Beaucoup de bébés mouraient d’une simple fièvre. Le zapatisme a changé tout ça. »
Amrita Sher-Gil, l’étrange vie de la Frida Kahlo indienne - 7 Lames la Mer
▻http://7lameslamer.net/amrita-sher-gil-l-etrange-vie-de-1511.html
#AmritaSherGil est une femme hors du temps. Elle meurt mystérieusement à 28 ans, en 1941. Sa courte vie bouscule tous les préceptes de la société dans laquelle elle évolue. Émancipée, indépendantiste, #féministe, #bisexuelle et mariée à un cousin germain, elle laisse en héritage une centaine d’#oeuvres pionnières de l’#artmoderne en #Inde. Étrange destin... De l’autre côté des océans, une autre femme peintre, la Mexicaine #FridaKahlo. Troublantes similitudes entre ces deux femmes libres...
“Passion is the bridge that takes you from pain to change” - Frida Kahlo
Le vêtement comme seconde peau
Brève biographie textile de Frida Kahlo
Par Rachel Viné-Krupa
▻http://jefklak.org/?p=4947
Illustrations par Maud Guély
Apparence et style vestimentaire riment-ils avec pure futilité ? L’œuvre et la vie de Frida Kahlo affirment l’inverse. Tout au long de sa carrière, l’artiste mexicaine a joué de sa propre image comme d’un véritable langage. C’est notamment en exposant ses propres meurtrissures corporelles et ses choix vestimentaires au moyen d’autoportraits qu’elle a sublimé/mis en scène ses écueils biographiques, et développé un discours politique questionnant la féminité ou la culture indigène de son pays.
Kashink, street artiste rebelle et insolite
▻http://www.barbieturix.com/2017/10/25/kashink-street-artiste-rebelle-et-insolite
On vous avait déjà parlé de cette artiste engagée lorsque l’on évoquait les grandes figures féminines du street art, milieu encore quasi exclusivement masculin. En effet, loin des traditionnels graffs girly, Kashink a toujours préféré peindre des têtes de morts à la mexicaine ou encore d’immenses visages colorés aux yeux multiples, souvent surmontés de punchlines féministes (« Girls just wanna have fun-damental rights »). D’origine slave et hispanique, Kashink a baigné dans un univers artistique fait de tatouages, de musique et de comics (son nom d’artiste provient d’ailleurs d’onomatopées qu’elle avait pu lire dans les bulles de comics). Après de longues études et un début de carrière dans les RH, elle envoie tout valser pour se consacrer à la pratique artistique, notamment la peinture sur mur (peinture acrylique ou à la bombe) et les collages.
Aujourd’hui, Kashink est une trentenaire atypique : tous les jours, elle dessine deux lignes fines au-dessus de ses lèvres en guise de moustache, cassant ainsi les stéréotypes masculin/féminin, elle a également défendu le mariage pour tous en montant le projet “50 cakes of gay”, peignant ainsi plus de 300 “gâteaux pour tous” en France, aux USA, en Espagne ou encore en Autriche, et elle continue de se battre pour les droits des minorités. Elle parle d’ailleurs elle-même de funtivism, contraction de fun et activisme, pour décrire son travail engagé, c’est-à-dire faire passer des messages tout en faisant sourire ses interlocuteurs.
Installée dans le 20e à Paris, elle multiplie les travaux personnels dans différentes villes du monde entier (Berlin, Abidjan, Détroit…), ainsi que les projets collaboratifs et engagés, comme la fresque « Rosa Parks » rue d’Aubervilliers dans le 19e, la campagne « Mon corps, mes droits » d’Amnesty International, en participant au M.U.R à Oberkampf, en travaillant sur les devantures des magasins Naturalia (dans le cadre d’une opération solidaire avec l’artiste Stew), ou encore en réalisant des peintures contre la montée des extrêmes (comme sur le chantier de rénovation du Musée de La Poste).
Actuellement, Kashink élargit ses horizons et se lance dans d’autres projets, notamment dans la réalisation de courts métrages et dans la musique, et elle nous confie trouver beaucoup de plaisir à travailler l’image autrement que de manière statique.
Mes influences artistiques sont très diverses, mais quand j’étais ado, mes plus grands “chocs esthétiques” ont été Frida Kahlo, Orlan, Fernando Botero, et aussi les performances de Leigh Bowery et l’univers de Gilbert et Georges. J’ai grandi en banlieue parisienne dans les années 90 donc j’ai vu se développer la scène graffiti, ce qui m’a aussi énormément influencée car c’est d’abord l’envie de faire des trucs interdits qui m’a poussé à me lancer.
De notre point de vue (chez BBX !), on perçoit le street art comme, notamment, une contre-culture féministe et militante. Tu penses que l’art est indissociable d’une démarche activiste ?
Je pense que le street art doit rester militant, en tout cas ça me plait plus quand ça fait passer un message. Sinon ça devient de la déco urbaine et je trouve ça dommage. Mon engagement vient aussi de ma personnalité et de ma volonté de bousculer les clichés et les codes esthétiques. C’est une démarche personnelle que je n’impose à personne, mais je trouve que la visibilité qu’on a dans la rue est une bonne opportunité pour parler de sujets profonds.
Est-ce que tu aurais des conseils à donner aux street artistes en herbe (moi la première qui bataille encore avec une simple bombe) ?
Pour se lancer dans le street art, il faut se demander pourquoi tu le fais, quel est le but d’un geste illégal potentiellement artistique. De quoi tu veux parler, comment aborder le sujet en image ou en texte. Le plus important, c’est de développer un style personnel, ton délire à toi. Même si techniquement ce n’est pas parfait au début, ce n’est pas grave si l’intention y est. Et après il faut perdurer, ne pas lâcher l’affaire, continuer à peindre et à rester visible dans la rue, autant que possible.
#kashink #stree_art #espace_publique #art #genre et #shamless_autopromo (car j’ai participé à la table ronde sur les femmes et le street art avant hier ^^)
“Le surréalisme est la surprise magique de trouver un lion dans un placard, là où on était sûr de trouver des chemises.” 》Frida Kahlo / Lettres
▻https://www.flickr.com/photos/valkphotos/35770090440
ValK. a posté une photo :
Frida Kahlo and Diego Rivera Visit Leon Trotsky in Mexico, 1938 | Open Culture
▻http://www.openculture.com/2012/07/vintage_video_diego_rivera_and_frida_kahlo_visit_leon_trotsky_in_mexico
Une vidéo indispensable pour celles et ceux qui ont lu « L’homme qui aimait les chiens ». Elle donne à voir ce que le roman avait décrit.
Here is some very rare footage of the great Mexican painters Diego Rivera and Frida Kahlo paying a visit to exiled Soviet revolutionary Leon Trotsky and his wife, Natalia Sedova, in Coyocoán, Mexico, in 1938.
The Trotskys had arrived the year before, after Rivera petitioned the government of President Lázaro Cárdenas to grant the controversial Marxist leader and theorist sanctuary in Mexico. When the Trotskys arrived on a Norwegian oil tanker at the port city of Tampico in January of 1937, Rivera was not well, but Kahlo boarded the ship to welcome the Trotskys and accompanied them on an armored train to Mexico City. She invited the Trotskys to stay at her family home, La Casa Azul (the Blue House) in Coyocoán, now a section of Mexico City. By the time this footage was taken by a visiting American named Ivan Heisler, Trotsky and Kahlo had either had, or were about to have, a brief affair, and the friendship between the two couples would soon fall apart. In early 1939 Trotsky moved to another house in the same neighborhood, where he was assassinated in August of 1940.
Les Guerrilla Girls secouent le cocotier de l’art - Culture / Next
▻http://next.liberation.fr/arts/2016/09/18/les-guerrilla-girls-secouent-le-cocotier-de-l-art_1501776
Toujours poilues et en colère, les Guerrilla Girls ont fêté leurs trente ans d’existence l’an dernier. Le collectif américain s’est fait la mauvaise conscience d’un milieu artistique souvent dominé par des artistes blancs et masculins. Pas encore ringardisées, elles exposent actuellement au côté des activistes françaises de La Barbe à la galerie Michèle Didier (Paris IIIe), avant d’investir Londres le mois prochain. Deux des membres fondatrices, dissimulées derrière les pseudos d’artistes Käthe Kollwitz et Frida Kahlo, étaient de passage à Paris, masquées comme à leur habitude, malgré la canicule, et conscientes du caractère ubuesque de la conversation. « Il faut donc porter un masque pour être prises au sérieux ? » ont-elles ironisé.
L’accrochage parisien de leurs productions, qui relèvent d’un street art tendance punk féministe et anticapitaliste, permet de mesurer la longévité et l’impact de cette résistance créative. Soit une forme d’« artivisme » mêlant pratiques artistiques, contestation incisive et redoutables plans de com. Leur marque de fabrique ? Des créations graphiques qui allient un sens de la formule souvent hilarant à des statistiques éclairantes.
More than a mask – Mashallah News
▻http://www.mashallahnews.com/mask
Pour enrichir un peu le discours sur le voile ! Le site d’où est tiré l’article est souvent très intéressant.
While the hijab is associated with religious beliefs and has the purpose of secluding parts of the body, the use of the burqe is broader: first of all, it codifies a woman’s identity through different motifs, colours and forms. The burqe also serves as protection against harsh sunlight and gives vendors and other people of traditional low class occupations the choice to stay undiscovered by others. Then, as with pieces of clothes and ornaments everywhere, the burqe is a means of beautification.
The region of Hormozgan is located near the Arabic countries in the Gulf, which means there are some shared traditions and a similar culture. The Hormozgan burqe is of three kinds: schiele, fabric and textile, while in the Arab world only the schiele kind is used. The schiele is sewn with a special sewing machine, and is thicker and more durable than the sort worn in Hormozgan, which is handmade.
The form and use of the burqe in Iran has evolved over time. With an increase in population, including in the rural areas, women have changed the way they make the burqe: forms, colours and motifs have altered alongside climatic and cultural shifts. In the past, the burqe was made of wood, whereas today material like plastic or plexiglas are used as well.
In the past, the burqe was seen as a handicraft rather than a form of art, but for us, when researching the use and form of the burqe, we considered its artistic qualities as well.
When working on this book, we travelled to around 40 Hormozgan villages to learn about the history and contemporary use of the burqe in this region. We learned that climate and culture affects how it is worn. In Hormozgan, women wear the burqe to protect their skin against the sun, and in the eastern parts, against the harsh sand winds. Different colours and patterns indicate what role the burqe plays in women’s lives: location-specific details and variations mean that a person wearing a burqe can be identified according to where she lives, how old she is, and whether she is married, single, divorced or widowed.
Burqe
A woman from Hormozgan wearing a burqe portraying the Mexican icon/artist Frida Kahlo.
Les femmes et l’art
▻http://www.radiorageuses.net/spip.php?article567
Dans cette émission, nous avons abordé la place des femmes dans l’art. Quelques chiffres évocateurs pour commencer, suivis d’une présentation du collectif d’artistes femmes Guerrilla Girls dont tout le travail consiste à exposer de scandaleuses statistiques sexistes. Nous nous sommes demandées quels pouvaient être les obstacles à la visibilité des femmes artistes, et la raison pour laquelle il n’existe pas de Grand Artiste femme. Notre invitée Ulla a partagé de son expérience en tant que ferronnière d’art, et enfin nous avons parlé de trois femmes artistes que le cinéma a contribué à sortir de l’ombre : Camille Claudel, Frida Kahlo et Séraphine de Senlis. Durée : 1h08. Source : Radio Zinzine via (...)
▻http://www.zinzine.domainepublic.net/emissions/CUP/2015/CUP20151218-4-FemmesArtistes.mp3
Esthétique du mur géopolitique
Des années après la chute du mur de Berlin, à l’heure de la mondialisation et du libre-échange, une cinquantaine de murs sont toujours érigés dans le monde, notamment autour du territoire d’Israël et à la frontière du Mexique et des États-Unis, où des barrières d’environ 500 km de long se dressent. Si les justifications énoncées par les États sont multiples – immigration clandestine, terrorisme, contrebande, etc. –, l’élévation d’une barrière de séparation semble reprendre une formule ancestrale de rejet de l’autre-étranger et transgresse le principe d’universalité. Sa matérialité archaïque entrant en conflit avec l’image d’un monde postmoderne et technologique, le mur cristallise un malaise qui se doit d’être élucidé par l’art. Sa visibilité et son sensationnalisme en font littéralement l’affiche d’un événement géopolitique, que les artistes investissent.
Qu’est-ce qui intéresse les artistes si le mur est conjoncturellement éphémère ? Est-ce ses métamorphoses ou bien son cadre spatiotemporel ? L’auteure de cet ouvrage compare trois murs – le mur de Berlin, la barrière de séparation entre Israël et l’autorité palestinienne et la frontière sécurisée entre le Mexique et les États-Unis – selon leur esthétique développée par trois artistes phares : Joseph Beuys, Banksy et Frida Kahlo. L’étude des contextes, enjeux et missions géopolitiques, appliquée à chaque barrière de séparation, rend compte des failles et des défaillances de systèmes a priori bien huilés. Car si le mur renvoie généralement à l’idée d’être chez soi et protégé, il peut aussi être synonyme d’isolement, que ce soit voulu ou non. Il est la structure physique et symbolique d’une dynamique carcérale.
#livre #murs #barrières_frontalières #esthétique
cc @reka @albertocampiphoto @marty @daphne
Why is a Raven Like a Writing Desk? sur Vimeo
▻https://vimeo.com/139123754
Pablo Picasso
Georgia O’Keeffe
S.H. Raza
Hokusai
Frida Kahlo
Vincent van Gogh
Tarsila
Saloua Raouda Choucair
Lee Krasner
Sol Lewitt
Wu Guanzhong
Elaine de Kooning
Ibrahim el-Salahi
Minnie Pwerle
Jean-Michel Basquiat
Edvard Munch
Natalia Goncharova
The Guerrilla Girls, After 3 Decades, Still Rattling Art World Cages - The New York Times
▻http://www.nytimes.com/2015/08/09/arts/design/the-guerrilla-girls-after-3-decades-still-rattling-art-world-cages.html
When you’ve spent 30 years wearing a gorilla mask, as the women known by the aliases Frida Kahlo and Käthe Kollwitz have, certain behavior becomes second nature. So there were Kahlo and Kollwitz, two of the pseudonymous founding members of the Guerrilla Girls, the activist, feminist art collective, preening and posing at their 30th anniversary party and retrospective in May. They sipped prosecco through straws (their gorilla lips wouldn’t allow much more) at the Abrons Arts Center on the Lower East Side, while guests gazed at walls lined with the posters protesting elitism and bias that first shook the art world in the 1980s. “Do Women Have to Be Naked to Get Into the Met Museum?” one provocatively asked. The Guerrillas’ name tags identified them as pioneering dead female artists (like Alice Neel, the portraitist, or Zubeida Agha, the Pakistani modernist) whose legacies they hope to continue.
! spoiler !
Dans #sense8, #lito se rend dans un musé et a une discussion sur l’œuvre de #Diego_Rivera.
Ceci ? Mais je vois pas de dessin de Rivera
▻http://www.diegorivera.com
@odilon, ton musée a plutôt l’air virtuel…
je trouve 3 musées consacrés à Diego Rivera et Frida Kahlo, mais aucun ne semble correspondre (ambiance, œuvres,…)
• le Museo mural Diego Rivera avec, comme son nom l’indique les productions monumentales
▻http://www.museomuraldiegorivera.bellasartes.gob.mx
une galerie d’œuvres de ce musée
▻http://www.flickriver.com/photos/hanneorla/sets/1550465
• le Museo Dolores Olmedo Patiño
▻http://www.museodoloresolmedo.org.mx
avec une galerie sur le Google Art Project
▻https://www.google.com/culturalinstitute/collection/museo-dolores-olmedo
• le Museo Casa Estudio Diego Rivera y Frida Kahlo
▻http://www.estudiodiegorivera.bellasartes.gob.mx
une galerie sur Flickr
▻https://www.flickr.com/photos/evagraciela/sets/72157624069712051
Il y a aussi le musée Frida Kahlo (la Maison Bleue), et si on a l’air de s’éloigner, il y a des éléments qui militent en ce sens (sol en mosaïque et murs) mais je ne trouve pas l’endroit ni les œuvres…
▻http://www.museofridakahlo.org.mx/esp/1/el-museo/la-casa/la-casa-azul
il y a une visite virtuelle
▻http://www.museofridakahlo.org.mx/esp/1/el-museo/multimedia/visita-virtual
oui, c’est le premier lien que j’ai trouvé, j’avais pas le temps de chercher plus :)
En fait, je crois que c’est celui là :
▻http://www.museoanahuacalli.org.mx/index.html
Dans cette scène, ils évoquent ce tableau :
▻https://en.wikipedia.org/wiki/Man_at_the_Crossroads
Man at the Crossroads was a fresco by Diego Rivera in New York City’s #Rockefeller Center. The painting was controversial because it included an image of #Lenin and a Soviet Russian May Day parade. Despite protests from artists, Nelson Rockefeller ordered its destruction before it was completed.
Je ne sais pas si les esquisses mentionnées (et qu’on voit dans l’image) sont réellement dans ce musée.
BALLAST Mexique : sur les pas de Frida Kahlo
▻http://www.revue-ballast.fr/frida-kahlo
Frida Kahlo décore désormais des sacs à main, inspire des couturiers et colore des tasses à thé : triste sort.
Les Cafés Géo » Frida Kahlo, Diego Rivera, l’art en fusion
▻http://cafe-geo.net/frida-kahlo-diego-rivera-l-art-en-fusion
Ce tableau illustre le rapport ambivalent que Frida entretient avec les EU où son mari connaît de grands succès et reçoit d’importantes commandes publiques. De petit format, il reprend l’iconographie populaire des ex-voto mexicains. Elle se présente debout sur un socle, sous l’aspect d’une statue vivante. Elle est revêtue d’une élégante robe rose et elle tient à la main un petit drapeau du Mexique. Sa figure divise l’espace en deux : à gauche la terre natale, avec ses symboles, son histoire, la vie naturelle ; à droite l’image des EU avec ses machines, ses hautes cheminées (dessus est écrit FORD) et ses gratte-ciel.
#frontières #mexique #états-unis #représentation #cartographie #visualisation #frida_kahlo
Avec Métroféminin, l’artiste #Silvia_Radelli revisite le plan mais en remplaçant 100 noms de stations par ceux de femmes qui ont marqué l’Histoire : de Simone Weil à Hannah Arendt en passant par Edith Piaf et Frida Kahlo. On y découvre également des petits clins d’oeils plus ou moins pertinents : Nefertiti prend ainsi la place de Pyramide, Franklin Roosvelt est remplacé par Eleanor, sa femme, et enfin Lady Di se retrouve à Alma Marceau.
Les oeuvres de Silvia Radelli sont exposées jusqu’au 29 mars à la galerie L’Aléatoire à Paris.
▻http://www.konbini.com/fr/inspiration-2/metro-paris-femmes-carte
L’artiste présente Métroféminin, un plan revisité du métro parisien, en hommage à des femmes admirables ou porteuses de destins étranges et magnifiques. De Mata Hari à Ann Bonny, de Calamity Jane à Eleanor Roosevelt, les stations renommées racontent une autre histoire du monde.
▻http://www.silviaradelli.book.fr/galerie-intro/metrofeminin-fragment
▻http://www.silviaradelli.book.fr/files/gal/120033/ebtwv83ri5.jpg
Vies magnifiques
Exposition de Silvia Radelli à la Galerie L’Aléatoire
Du 8 au 29 mars 2014 - de 14 à 19 heures du mercredi au samedi et sur RDV
Vernissage le 8 mars 2014 de 17 à 21 heures.
Galerie L’Aléatoire - 29 Rue de Bièvre Paris V°
▻http://www.silviaradelli.book.fr/galerie-intro/invitation-au-vernissage
@reka
#RATP #STIF #Paris #Féminisme #Phallocratie