Images du football
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Par Ivan Segré
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Par Ivan Segré
La question de l’antisionisme et de l’antisémitisme | L’Actualité des luttes
▻https://actualitedesluttes.info/?p=3494
Dans l’ émission de ce jour ,nous vous proposons une rencontre croisée avec Ivan Segré et Dominique Vidal pour leurs livres respectifs : « Les pingouins de l’universel . Antijudaïsme, antisémitisme, antisionisme » (Lignes, 2017) et « Antisionisme = antisémitisme ? Réponse à Emmanuel Macron », paru en janvier dernier aux éditions Libertalia. Cette rencontre se tenait le 31 mai dernier à la librairie scop Envie de lire à Ivry-sur-Seine. Durée : 1h. Source : Fréquence Paris Plurielle
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La vision de BHL - par Ivan Segré
▻https://lundi.am/La-vision-de-BHL
À propos de L’Empire et les cinq rois, (Grasset, 2018)
Expulsion de la ZAD : l’évêque de Limoges répond à la lettre ouverte d’Ivan Segré
▻https://lundi.am/Eveqye
Dans notre dernière édition, le philosophe et talmudiste Ivan Segré avait adressé une lettre ouverte aux évêques de France à propos de la violent expulsion de la ZAD. Monseigneur Pierre-Antoine Bozo, évêque de Limoges a tenu à répondre à cet appel, nous reproduisons ici sa réponse. À la suite, une seconde réponse que l’une de nos lectrices nous a transmise. Cher Monsieur, merci d’avoir pris la peine d’écrire une « Lettre ouverte aux évêques » qu’un de vos lecteurs bienveillants a eu la délicatesse de me (...)
« ▻http://www.piergiorgiofrassati.net/limpegno-politico »
« ►http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/encyclicals/documents/papa-francesco_20150524_enciclica-laudato-si.html »
« ▻http://www.vatican.va/roman_curia/pontifical_councils/justpeace/documents/rc_pc_justpeace_doc_20060526_compendio-dott-soc_fr.html »
« ▻http://thejosias.com/2017/06/05/usury/#_ftn2 »
« ▻http://w2.vatican.va/content/paul-vi/fr/encyclicals/documents/hf_p-vi_enc_26031967_populorum.html »
Les blindés, les évêques et la ZAD -Par Ivan Segré
▻https://lundi.am/Les-blindes-les-eveques-et-la-ZAD
Lettre ouverte aux évêques de France
« ►http://abonnes.lemonde.fr/planete/article/2018/01/12/notre-dame-des-landes-la-gendarmerie-se-prepare-a-une-operation-d-am »
« ▻https://www.lesechos.fr/27/03/2014/LesEchos/21656-061-ECH_francois--le-pape-qui-veut---guerir---le-capitalisme.htm#Cdo7 »
Procès Tarnac, 2e semaine : Le phallus et le signe ascendant
▻https://lundi.am/Proces-Tarnac-2e-semaine
Par Ivan Segré
Procès de Tarnac : le Comité invisible, dix ans de subversion
►http://www.lemonde.fr/idees/article/2018/03/14/proces-de-tarnac-le-comite-invisible-dix-ans-de-subversion_5270531_3232.html
De « L’insurrection qui vient » à la création du site « Lundimatin », la mouvance révolutionnaire liée à l’affaire de Tarnac s’ouvre au milieu culturel.
Voici plus de dix ans que L’insurrection qui vient (La Fabrique, 2007), brûlot théorique du Comité invisible, embrasait la sphère radicale. Depuis, les membres ont grandi, voyagé, bataillé, vieilli aussi. Se sont-ils pour autant assagis ? Disons qu’ils semblent avoir beaucoup appris. Et avoir en partie rompu avec la posture « post-situ » qui caractérisait leurs premiers écrits. Un ton péremptoire et un style comminatoire hérités des méthodes les plus contestables de l’Internationale situationniste et de son mentor, Guy Debord.
« Voir la gueule de ceux qui sont quelqu’un dans cette société peut aider à comprendre la joie de n’y être personne », écrivaient-ils en 2017. Et les voici qui, le 27 janvier 2018, organisent, à la Bourse du travail, à Paris, et au Clos sauvage, à Aubervilliers, une journée de conférences et de débats intitulée « Tout le monde déteste le travail », où sont notamment intervenus le philosophe Pierre Musso, l’écrivain de science-fiction Alain Damasio ou le metteur en scène Sylvain Creuzevault. Contradiction ? Plutôt une évolution, perceptible depuis leur deuxième opus, A nos amis (La Fabrique, 2014), où les formules lapidaires à l’égard d’autres collectifs – coopérativistes ou mutualistes – laissaient place à une volonté d’ouverture.
Il y a une indéniable volonté de « ne pas s’enfermer dans un ghetto radical », déclare Julien Coupat, lors de la soirée que les « tarnaciens » ont donnée, jeudi 8 mars, à la Marbrerie, chaleureuse salle de concerts de Montreuil, louée chichement pour l’occasion. Une fête pour se serrer les coudes avant les trois semaines d’audiences qui se sont ouvertes mardi 13 mars.
Autre pilier du groupe et animateur du site Lundimatin, Mathieu Burnel se réjouit que la soirée réunisse aussi bien de jeunes émeutiers que des écrivains confirmés, de nouvelles recrues que de vieux routiers, comme le philosophe Frédéric Lordon ou l’écrivain Serge Quadruppani. Car, « s’il y a bien un objectif que cette opération a lamentablement raté, c’était celui de nous isoler pour mieux pouvoir nous écraser », expliquent Mathieu Burnel et Julien Coupat.
En effet, poursuivent-ils « sans les centaines de personnes qui nous ont soutenus, sans tant d’amis rencontrés au fil des ans, nous ne serions aujourd’hui que le vague souvenir d’un fait divers un peu étrange ». L’« affaire de Tarnac » – ce village corrézien où des membres présumés du Comité invisible s’étaient installés – n’est pas tombée dans l’oubli. Elle est même devenue un symbole, une marque, un tarmac où circulent les idées subversives, même si une partie du groupe a émigré du côté d’Eymoutiers, dans la Haute-Vienne, sur le plateau de Millevaches, où d’autres manières de vivre et de subvertir l’ordre du monde s’inventent.
Solide armature théorique
Crée en 2014, le site Lundimatin marque incontestablement un tournant. C’est tout d’abord une réussite éditoriale. Le journal électronique, au graphisme sobre et élégant, rassemble toute la mouvance autonome, libertaire et révolutionnaire. Chaque lundi matin, un article sur la ZAD de Bure y côtoie une lecture du talmudiste Ivan Segré, un appel au blocage des universités jouxte un reportage sur un campement de réfugiés. Mais le cercle des lecteurs, comme celui des contributeurs, s’est élargi.
Bien sûr, la rhétorique émeutière est toujours présente. Mais elle est aussi bien portée par de jeunes zadistes que par Marcel Campion, « le roi des forains », qui « apporte [sa] voix et [ses] poings dans la guerre sociale qui se prépare » (Lundimatin no 112, 4 septembre 2017), ou par l’écrivain Eric Vuillard, Prix Goncourt 2017, auteur de romans dans lesquels « l’Histoire apparaît comme une puissance dévorante et absurde » (Lundimatin no 121, le 6 novembre 2017). Deux volumes de Lundimatin en version papier sont déjà sortis en libraire, dont un numéro entièrement consacré à l’affaire de Tarnac.
Cette ouverture n’empêche pas le groupuscule révolutionnaire de tenir une ligne ferme sur des sujets qui divisent la gauche radicale. Ainsi en va-t-il de la Syrie, dont témoignent les reportages de Pierre Torres, les entretiens avec des exilés kurdes, les analyses de Catherine Coquio sur la Ghouta. Une fidélité à la révolution syrienne et à l’opposition au régime de Bachar Al-Assad qui a conduit le site à mener l’une des critiques les plus argumentées de la façon dont Le Média renvoyait dos-à-dos le dirigeant syrien et ses opposants (Le Média sur la Syrie : naufrage du « journalisme alternatif », par Sarah Kilani et Thomas Moreau, Lundimatin no 135, 28 février 2018).
Ainsi Ivan Segré y a-t-il publié l’une des analyses les plus élaborées du livre « décolonial » de Houria Bouteldja, porte-parole du Parti des indigènes de la République et auteure de Les Blancs, les Juifs et nous : vers une politique de l’amour révolutionnaire (La Fabrique, 2016). Une solide armature théorique – Foucault, Deleuze, Debord, mais peut-être avant tout le philosophe italien Giorgio Agamben – et une connaissance aiguisée des mouvements émancipatoires du siècle dernier, adossée à de multiples implantations dans des luttes locales, leur permettent d’articuler témoignages et théorie en évitant, le plus souvent, les écueils du socialisme autoritaire comme ceux du gauchisme postcolonial.
Indéniable empreinte
La mouvance serait-elle devenue mainstream ? N’exagérons rien. Théoricienne de la guérilla des « cortèges de tête », notamment observés lors des manifestations contre la loi travail, elle demeure résolument insurrectionnelle, faisant l’apologie des blocages et autres sabotages (« Dans saboter, il y a beauté »). C’est pourquoi Lundimatin ne commémorera pas Mai 68. « Nous, on s’en fout de Mai 68, peut-on lire sur le site révolutionnaire. Que Cohn-Bendit soit pote avec Macron et Debord à la Bibliothèque nationale, ça ne nous fait ni chaud ni froid. »
Mais, poursuivent les auteurs anonymes, « ça n’est pas une raison pour ne pas se donner rencard en mai prochain, vu la situation », car « on ne va pas laisser Macron dérouler ses plans tranquillement pendant dix ans. On ne va pas se laisser marcher sur la gueule en nous récitant du Molière ». Que veulent-ils alors ? « Nous, on veut déchiqueter le désastre. » C’est pourquoi le philosophe Jacques Rancière a pu déceler dans cette prose, certes inventive et corrosive, un catastrophisme répandu à droite comme à gauche : « Il y a quand même une chose que Badiou, Zizek ou le Comité invisible partagent avec Finkielkraut, Houellebecq ou Sloterdijk : c’est cette description basique du nihilisme d’un monde contemporain » voué uniquement au « narcissisme marchand », déclare-t-il dans En quel temps vivons-nous ? (La Fabrique, 2016).
La surenchère décadentiste et l’antidémocratisme du groupe de Tarnac, qui conchie les assemblées générales, ont également suscité les critiques de Jaime Semprun, fondateur des éditions de l’Encyclopédie des nuisances, et René Riesel, ancien membre de l’Internationale situationniste : « Ces songeries catastrophiles s’accordent à se déclarer enchantées de la disparition de toutes les formes de discussion et de décision collectives par lesquelles l’ancien mouvement révolutionnaire avait tenté de s’auto-organiser » (Catastrophisme, administration du désastre et soumission durable, Encyclopédie des nuisances, 2008).
Pourtant, après vingt ans de publication théorique et d’activisme, l’empreinte du Comité invisible, notamment chez les jeunes générations, est indéniable. Malgré ses excès, il reste cité et plébiscité. Pour autres, une séquence s’achève, et il est temps de changer d’air. Notamment parce que la volonté affichée par Julien Coupat de « destituer la politique » conduirait à une forme de découragement. Et parce que cette sacrée insurrection ne vient toujours pas.
Pour l’écrivain Nathalie Quintane, au contraire, le site Lundimatin a ouvert un précieux espace politique et littéraire. De la revue Tiqqun à Lundimatin, en passant par L’insurrection qui vient, la mouvance insurrectionniste a, entre ouverture et clôture, tracé un chemin. L’insurrection viendra-t-elle enfin ? Et sera-t-elle communiste, anarchiste ou, au contraire, droitière et traditionaliste ? Nul ne le sait. Mais gageons avec Guy Debord que, pour ces jeunes gens qui veulent forcer la porte du temps, « la sagesse ne viendra jamais ».
Les « intellectuels juifs » et la ZAD de lundimatin
►https://lundi.am/Les-intellectuels-juifs-et-la-ZAD-de-Lundimatin
Par Ivan Segré, du Laboratoire autonome d’archéologie et d’anthropologie (LAAA)
"►http://indigenes-republique.fr/ivan-segre-quand-un-camus-israelien-critique-houria-bouteldja"
"►https://www.youtube.com/watch?v=v9p95guaYp8
La bonne conscience des intellectuels français
▻https://lundi.am/La-bonne-conscience-des-intellectuels-francais
Le cas de Thomas Guénolé et de la gauche française de Jean-Luc Mélenchon
»Tribune entièrement à charge ! (contre Thomas Guénolé voir plus) et pour le « bien lire » de Les Blancs, les Juifs et nous d’Houria Bouteldja. Attention ça dépote !
On « ne reconnaît pas un juif parce qu’il se déclare juif mais à sa soif de vouloir se fondre dans la blanchité », Les Blancs, les Juifs et nous, #Houria_Bouteldja
oui, oui, oui, trois fois oui, Ahmadinejad est un "indigène"
#Com' #antisémitisme #Pir #pipo
LES « INTELLECTUELS JUIFS » ET LA ZAD DE LUNDIMATIN, par Ivan Segré
►https://lundi.am/Les-intellectuels-juifs-et-la-ZAD-de-Lundimatin
Un islam défiguré - par Ivan Segré
▻https://lundi.am/Un-islam-defigure
A propos d’un livre de Jacob Rogozinski - Djihadisme : le retour du sacrifice
L’anomalie sauvage
Compte-rendu du livre de Christian Ferrié :
Le mouvement inconscient du politique. Essai à partir de Clastres (éd. Lignes, 2017)
Par Ivan Segré (du Laboratoire Autonome d’Archéologie et d’Anthropologie - LAAA)
▻https://lundi.am/Election-race-et-cabale
via @julien1
Que certains expliquent ne pas avoir à choisir, dans ce théâtre d’ombres, entre l’a-symbolisme du banquier Macron et la symbolisation archaïque et xénophobe du FN, cela peut relever du platonisme, certes, mais cela peut relever aussi de l’imprudence. Et en dernière analyse, la question pourrait se poser en ces termes : s’abstenir au second tour de ces élections, est-ce l’expression d’une sage indifférence ou le symptôme d’une position raciale privilégiée ?
Disons la chose ainsi : à moins d’être un assidu du « cortège de tête », ou un racialisé des « banlieues », ne pas choisir entre Macron et Lepen me paraît témoigner d’un confort national plus sûrement que d’une bravoure politique. Je ferai donc mienne, pour l’occasion, la parole du valeureux Fillon à ses ouailles désorientées : « L’abstention n’est pas dans mes gênes ». Ou pour le dire autrement : je sais bien de quoi le FN est le nom.
Il doit se tenir un peu tout seul à Lundi Matin Ivan Segré, son point de vue n’en demeure pas moins étonnant. Suis moins fan de la longue itroduction cabalistique, mais la cabale cela n’a jamais été trop mon truc. en revanche un peu de Tolstoï ne nuit pas
Retournement de veste d’Ivan Segré en faveur d’Israël
▻https://nantes.indymedia.org/articles/36260
En réponse à l’article d’Ivan Segré pour dénigrer le boycott d’Israël : ►https://lundi.am/Israel-l-impossible-boycott
#Répression #Resistances #contrôle #social #Répression,Resistances,contrôle,social
SPINOZA ET LE BATTLE-DRESS
►https://lundi.am/SPINOZA-ET-LE-BATTLE-DRESS
En réponse à l’article d’Ivan Segré, « Israël : l’impossible boycott », paru le 9 novembre 2016.
SUR UN VIRAGE
▻https://lundi.am/SUR-UN-VIRAGE
Réponse à Ivan Segré. Par Éric Hazan.
« Israël : l’impossible boycott » - par Ivan Segré paru le 9 novembre 2016
►https://lundi.am/Israel-l-impossible-boycott
►https://seenthis.net/messages/540820
Voir aussi une autre réponse :
SPINOZA ET LE BATTLE-DRESS
►https://lundi.am/SPINOZA-ET-LE-BATTLE-DRESS
Réactions salutaires mais qui passent encore à côté de :
–#whitesplaning : on parle de Palestiniens entre nous, sans jamais leur donner la parole
–confusion entre « cohérence de l’indignation » et « cohérence du boycott »
#Palestine #BDS #Ivan_Segré #Lundi_Matin #colonialisme
#Eric_Hazan #Patrick_Chailonick
Clinton avec Trump - par Ivan Segré
▻https://lundi.am/Clinton-avec-Trump
« Elections, pièges à cons »
Israël : l’impossible boycott - par Ivan Segré
►https://lundi.am/Israel-l-impossible-boycott
À propos d’Un boycott légitime (La Fabrique, 2016)
mais je n’ai pas encore lu le livre de Sivan et Laborie sur le boycott d’Israël, à l’exception de sa conclusion, où il est donc question d’un Etat « au-delà du droit international, c’est-à-dire hors-la-loi ». Je m’en vais le lire de ce pas du début à la fin, et me faire mon idée. Vous vous ferez la vôtre.
Article puant du colonisateur donneur de leçons qui explique au colonisé comment il doit se comporter, à quoi il doit se contenter d’aspirer, quels moyens il peut mettre en oeuvre pour ce faire, et quelles sont ses erreurs de raisonnement.
Il explique aussi aux militants du monde entier qu’ils sont stupides (et qu’ils ne critiquent pas le Qatar ?) :
La question de principe, quant au boycott, comporte toutefois un autre versant, celui de la nécessaire cohérence de son application. On ne peut en effet boycotter un Etat au prétexte qu’il viole le droit international, par exemple, sans étendre le boycott à tous les Etats qui se rendent coupables de telles violations.
Je me permet aussi, du coup, de relever une grave erreur de raisonnement d’Ivan Segré. La question de principe n’est pas celle du boycott, mais celle de l’indignation et de la condamnation. Je réécris donc : « On ne peut pas condamner un Etat au prétexte qu’il viole le droit international, par exemple, sans étendre cette condamnation à tous les Etats qui se rendent coupables de telles violations. »
En revanche, la mise en oeuvre de mesures coercitives cohérentes avec cette indignation, telle que le boycott, relève de multiples facteurs, de contextes locaux, de rapports de forces etc. Effectivement, le boycott n’est pas un outil, ou une stratégie, universel. Il peut et doit être utilisé avec discernement.
Je suis déçu aussi par Lundi Matin qui évoquait peu la Palestine, et jamais à travers la voix d’un Palestinien et qui, pour cette sortie, se plante lamentablement...
#whitesplanning
L’accusation d"anti judaïsme " est aussi bien hypocrite. Est ce que le boycotte d’Israel= Boycotte des juives et juifs ? Cette injonction à la cohérence conduit en fait à l’immobilisme, puisqu’il est impossible de boycotter tout ce qui est boycottable alors ne boycottons rien du tout. Et ce monsieur ne boycotte rien, meme pas une chose aussi simple que l’expression « droit de l’homme ».
Il s’agit d’une extension de la critique du livre de Houria Bouteldia. Aantisionisme antisémite, les rouge bruns et islamo gauchistes...
Le texté affirme que les arabes israeliens ne subissent pas de discriminations en Israël. Une recherche rapide sur le web me montre que c’est pourtant le cas
▻http://www.lepoint.fr/monde/israel-bruxelles-s-inquiete-des-discriminations-contre-la-minorite-arabe-29-
▻https://www.hrw.org/fr/news/2011/03/30/israel-deux-nouvelles-lois-marginalisent-les-citoyens-arabes-palestiniens
▻http://www.association-belgo-palestinienne.be/infos/analyses/la-cour-supreme-israelienne-legalise-la-discriminati
@unagi : théoriquement, il s’agit d’une critique du nouveau livre d’Eyal Sivan et Armelle Laborie, Un boycott légitime (La Fabrique, 2016), mais comme Ivan Segré avoue à la fin de son texte qu’il ne l’a même pas lu, alors il tape sur sa cible préférée, Houria Bouteldja...
@sinehebdo Je comprends tout à fait votre déception concernant lundimatin.
Les Inrocks avec Mathieu Dejean se sont interrogés sur les membres de la rédaction de lundimatin pour ainsi dire invisibles.
Seule les tribunes de collaborateurs extérieurs sont signées.
Selon Eric Hazan, l’éditeur du Comité invisible, ce sont des gens qui ont horreur de la notion d’auteurs.
Il est vrai que si certains d’entre eux font l’objet d’une fiche S, leur assigner une identité serait donc aussi désagréable qu’une assignation à résidence.
Toujours selon les Inrocks, Fredérique Lordon y a été tourné en ridicule dans une vidéo intitulée Adversus Lordonum ?
Personnellement je doute fortement que l’insurrection soit Lundi matin comme semble l’affirmer les inrocks malgré le souffle littéraire de leurs textes politiques et leur volonté de susciter la déroute du pouvoir à juste raison.
►http://www.lesinrocks.com/2016/10/04/actualite/medias-actualite/net-linsurrection-cest-site-lundi-matin-11869020
C’est une critique d’une parfaite mauvaise foi, qui vise à s’abstenir de toute remise en cause de la politique israélienne.
La très courte citation d’Houria Bouteldja est grotesque.
Comme le dit Emmanuel Todd dans une vidéo citée récemment
▻https://seenthis.net/messages/540938#message541142
et transcrite ici : ►http://blog.europa-museum.org/post/2016/11/10/Une-sur-accumulation-de-conformisme-et-de-cretinisme
Mais le tri éducatif, particulièrement à partir de l’Université, ne se fait pas uniquement sur le critère de l’intelligence... Il se fait aussi beaucoup sur le critère de l’obéissance...
ça fait un moment qu’Ivan Segré dérive, maintenant on commence à bien comprendre d’où il parle...
Lundi Matin, comme dans un tout autre genre Fakir, excelle quand il s’agit de politique française qu’ils/elles connaissent très bien.
Faute de s’y connaître en politique étrangère, ils/elles feraient mieux de s’abstenir que de publier de pseudo-anticonformistes garants de l’ordre colonial...
Serge Halimi lit-il trop vite "en diagonal" ou est-il simplement de mauvaise foi ?
À propos d’un article de @mdiplo :
« Ahmadinejad, mon héros », par Serge Halimi (Le Monde diplomatique, août 2016)
►http://www.monde-diplomatique.fr/2016/08/HALIMI/56087
et de la controverse portée ici même :
A propos de votre critique (parue dans le dernier numéro du Diplo, et réservée aux abonnés) du livre de Houria Bouteldja Les blancs, les juifs et nous. Vers une politique de l’amour révolutionnaire.
Tout d’abord, parler du « petit monde intellectuel et médiatique » au sujet de Houria Bouteldja et de son livre, paru aux éditions La Fabrique (au passage, merci à Eric Hazan pour son ouverture d’esprit) m’a juste fait sourire.
Parce qu’à mon sens, Houria Bouteldja est loin de faire partie de ce monde-là (Eric Hazan non plus) elle y est même plutôt persona non grata. C’est vade retro satanas pour la plupart des gens, même et surtout pour ceux qui ne se sont pas donné la peine de la lire.
En parlant du petit monde intellectuel et médiatique, peut-être évoquiez-vous, outre Pascal Bruckner, tous les autres éditocrates qui, comme la plupart des intellectuels (« de gauche » ou non) auraient pu avoir une (saine ?) réaction à ce livre que comme eux, vous n’envisagez que comme une « provocation » (vous employez d’ailleurs ce mot à plusieurs reprises) ce qui est pour le moins réducteur.
Vous titrez votre article « Ahmadinejad, mon héros », c’est au pire une insinuation malhonnête (rejoignant en cela la plupart des critiques de ce livre, mais passons), au mieux une pure contre-vérité au sujet du contenu du livre.
Vous m’avez habituée à autre chose, et je trouve ça dommage. Je tenais donc à vous faire part de quelques remarques.
Une critique polie un peu plus détaillée : UNE INDIGÈNE AU VISAGE PÂLE, Compte-rendu du livre de Houria Bouteldja : Les Blancs, les Juifs et nous. Vers une politique de l’amour révolutionnaire
►https://lundi.am/Une-indigene-au-visage-pale
Vous remarquerez à la lecture de la provocatrice #identitaire Bouteldja les nombreuses reprises de topos FN : "détail de l’histoire", "ma famille plutôt que mon voisin", l’original à la copie", du point de vue "#indigène" (terme qui s’applique au pdt de la république iranienne, sans doute lui aussi "opprimé" par "le prolo blanc"), quand ce n’est pas directement un mot d’ordre OAS "Fusillez Sartre !" qui set de titre à la première partie d’un livre qui se conclue par « Allahou akbar ! ».
Selon elle, « Le combat consiste à faire redescendre ceux qui commettent le sacrilège de s’élever au niveau de #Dieu. »
Bonne descente.
Le problème restant le fait d’une lecture sélective d’un-e auteur-e. J’ai pas d’exemple qui me viennent à l’esprit juste là mais le monde de la critique médiatique pullule de ces malhonnêtetés. Ou quand on veut noyer son chien ... on l’instrumentalise.
Je me suis infligé la lecture de ce « livre ». Le narcissisme exacerbé de cette auteure qui nous tutoie et prétend que la seule égalité possible réside dans la soumission à dieu, ça pue. Le texte de Segré n’est pas une lecture médiatique à la façon de l’imbécile Halimi, il n’en dit pas assez mais mieux vaut le lire avant de le ranger dans cette catégorie.
Ce que dit Ivan Segré :
L’auteure a manifestement étudié l’arabe et le Coran, dont elle maîtrise les principaux concepts ; enfin, disons qu’elle a en poche une ou deux citations du Coran. Pour le reste, c’est à prendre avec des pincettes. Je ne prétends pas être un fin lettré musulman, mais il me semble bien que dans l’islam, comme dans le judaïsme et le christianisme, la « supériorité des hommes sur les animaux et la nature » est un axiome fondamental plutôt qu’une théorie blasphématoire. Je dirai même plus : ranger « la supériorité de l’homme sur les animaux et la nature » dans la même catégorie – celle des « théories blasphématoires » - que « la supériorité des Blancs sur les non-Blancs », ou « des hommes sur les femmes », est aux yeux de tout musulman qui se respecte non seulement une ânerie, mais un blasphème. Cela dit, il se trouvera peut-être un théologien musulman pour me contredire. In cha Allah.
Ce que dit Houria Bouteldja dans son bouquin :
le gros reste à faire, et toutes les autres utopies de libération seront les bienvenues, d’où qu’elles viennent, spirituelles ou politiques, religieuses, agnostiques ou culturelles, tant qu’elles respectent la Nature et l’humain, qui n’en est fondamentalement qu’un élément parmi d’autres.
La pensée d’un-e auteur-e ne se limite pas à des « petites phrases sorties de leur contexte », non ?
Par ailleurs le PIR a re-répondu dans l’autre sens à l’article de Segré, de manière assez longue et détaillée. Donc à ajouter au débat/échange sur ce sujet :
►http://indigenes-republique.fr/ivan-segre-quand-un-camus-israelien-critique-houria-bouteldja
Heu ... mon cul ? Complaisance ?
Qu’est-ce à dire ?
Livre et personnage affligeants, j’estime donc que seule une forme de complaisance peut conduire à lui accorder quelque crédit que ce soit.
Clôture du « débat ». merci @rastapopoulos pour l’article.
Bouteldja, ses « sœurs » et nous par Mélusine
@sombre hermano
►https://blogs.mediapart.fr/melusine-2/blog/200616/bouteldja-ses-soeurs-et-nous
Il faut goûter l’ironie de la mystification à laquelle se livre Bouteldja dans « Nous, les femmes indigènes ». Nous la connaissons bien, c’est celle que la gauche communiste et traditionnelle a si longtemps opposée aux féministes : la lutte contre le patriarcat n’étant qu’une diversion produite et encouragée par le capital pour diviser les forces de la classe ouvrière, les travailleuses doivent rentrer dans le rang et refuser de donner prise au véritable ennemi. Décorant cette arnaque éculée des apprêts du combat décolonial, c’est la même capitulation à laquelle Bouteldja exhorte les femmes racisées au nom de ce qu’elle appelle l’amour révolutionnaire. Elle ne nie pas l’existence de la domination masculine et la minorité à laquelle sont réduites les femmes, en particulier racisées. Elle les reconnaît – et les déplore, mais demande à ses « sœurs » un pragmatisme résigné face au « patriarcat indigène » : si les hommes racisés sont « machos », écrit-elle, c’est en réaction à la violence de l’hégémonie blanche qui veut les mettre à genoux en niant leur virilité. Ils sont d’autant plus violents avec « leurs » femmes que leur dignité d’homme – leur moustache, Bouteldja ne risque pas une image plus osée – est insultée. (...) Il nous faut refuser à la fois la simplicité de l’analyse et la conclusion politique révoltante à laquelle elle conduit : puisque ces formes patriarcales « indigènes » sont des réactions de défense et de résistance contre le racisme, les femmes racisées, même si elles en sont les premières victimes, doivent se montrer compréhensives et indulgentes. « Il faudra deviner dans la virilité testostéronée du mâle indigène, la part qui résiste à la domination blanche » écrit Bouteldja. Autrement dit : distinguer, accepter et préserver la part de cette violence masculine qui résisterait au pouvoir blanc – malgré ses victimes collatérales éventuelles, « parce que c’est moins la réalité de la domination masculine qui pose problème que sa déshumanisation ». Celles qui subissent quotidiennement cette réalité apprécieront : il n’est pas certain que la gifle ait une saveur différente selon qu’elle soit blanche ou authentiquement indigène.
Sa conclusion : " Je crois que ce dont nous avons besoin : que nous cessions d’attendre l’adoubement de telle ou telle frange de la gauche radicale et progressiste, (...) pour enfin ouvrir le débat entre nous, les femmes racisées. Pour chercher ensemble une troisième voie, entre l’arnaque de l’allégeance communautaire et l’illusion des chevaliers blancs universalistes. La sororité ne se décrète pas au nom du sang, elle se construit politiquement. "
Revendiquer un monde décolonial
Jusqu’où : ne plus s’autoriser à se marier avec un blanc ?
►►http://www.vacarme.org/article2738.html
Quelle serait la perspective décoloniale du mariage mixte ?
La perspective décoloniale, c’est s’autoriser à se marier avec quelqu’un de sa communauté. Rompre la fascination du mariage avec quelqu’un de la communauté blanche. C’est tout sauf du métissage — une notion que je ne comprends pas d’ailleurs, je ne sais pas ce que c’est. Pour des générations de femmes et d’hommes, je parle surtout des maghrébins, le mariage avec un blanc était vu comme une ascension sociale. Pour les filles, les hommes blancs étaient vus comme moins machos que les arabes ; pour les garçons, une fille blanche, c’était une promotion. La perspective décoloniale, c’est d’abord de nous aimer nous-même, de nous accepter, de nous marier avec une musulmane ou un musulman, un noir ou une noire. Je sais que cela semble une régression, mais je vous assure que non, c’est un pas de géant.
Y a-t-il beaucoup d’hommes indigènes qui trouvent que les femmes ici ne sont plus assez musulmanes et qui veulent se marier avec des musulmanes qui n’ont pas été transculturalisées ?
Ça ne date pas d’aujourd’hui. Cela fait partie des pressions que les hommes indigènes font peser sur les femmes. C’est normal, puisque l’idéologie coloniale les fait passer pour des sauvages. Mais cela offre une perspective décoloniale pleine d’ambivalences. Ce que je veux dire c’est que les femmes répondent aussi à ce malaise lorsqu’elles se « réislamisent » : « Pas la peine d’aller chercher les femmes au bled puisqu’on est là. Vous dites qu’on est occidentalisées mais pas du tout ». C’est aussi une réponse au patriarcat blanc qui tente de conquérir les femmes non blanches. C’est pour ça que le premier pas, c’est d’abord de nous aimer nous-mêmes. Que les femmes indigènes reprennent confiance dans « leurs hommes », et réciproquement. Mais en réalité ce processus existe déjà depuis longtemps. À partir du moment où l’accusation de déloyauté est tombée, une réponse sociale est apparue : « Nous sommes de vraies musulmanes, nous ne trahissons pas la communauté ». Ça, c’est décolonial je trouve.
Revenons sur la question du métissage. Vous disiez « je ne comprends pas bien ce que c’est » .
Comme projet politique ou comme projet social, je ne le comprends pas. L’idéologie selon laquelle les couples mixtes, la rencontre entre deux cultures, c’est beau est vraiment pourrie. Si on parle dans l’absolu, il n’y pas de raison de ne pas adhérer à ça. Sauf qu’il y a des rapports de domination entre les cultures. Entre l’Algérie et la France, le contentieux historique est trop fort et le rapport de domination traverse ces couples mixtes et leurs enfants. Est-ce qu’il sera plutôt musulman ou plutôt français ? Est-ce qu’il va manger du porc ou pas ? Dans quelle culture on va les élever ? Il y a des processus de soumission de l’un à l’autre qui vont se mettre en place. Tu vas avoir ceux qui vont surinvestir le religieux ou ceux qui vont surinvestir la blanchité...
« Ahmadinejad, mon héros », par Serge Halimi
▻►http://www.monde-diplomatique.fr/2016/08/HALIMI/56087
Seulement, Bouteldja ne s’amuse pas ; elle entend donner des leçons d’émancipation à la gauche. Laquelle est sommée de tout subordonner — la domination sociale, la domination masculine, la persécution des minorités sexuelles — au combat contre l’hégémonie « blanche ». Et de le faire adossée à une réflexion théorique ne comportant en définitive qu’une variable, « Occident » contre « Indigènes », symétriquement conçus en blocs presque toujours homogènes, solidaires, immuables.
Entre le salarié de M. Bernard Arnault, ouvrier mais « blanc » comme son patron, donc responsable au même titre que lui du crime colonial, et l’homme « indigène » qui bat sa sœur ou sa compagne, Bouteldja a choisi. La condition de dominé du premier ne l’intéresse pas vraiment, puisqu’il est par ailleurs solidairement coupable du pire. Le second doit en revanche être, sinon encouragé, en tout cas « protégé » par ses victimes, que Bouteldja invite à « deviner dans la virilité testostéronée du mâle indigène la part qui résiste à la domination blanche » afin de canaliser sa violence vers d’autres destinataires. Mais, en dernière analyse, priorité « à ma famille, à mon clan, à mon quartier, à ma race, à l’Algérie, à l’islam ».
Une analyse qui me parait juste.
Renvoi vers : ►https://seenthis.net/messages/520536 où est mis en ligne un entretien-discussion avec Houria Bouteldja et Isabelle Stengers (►https://fr.wikipedia.org/wiki/Isabelle_Stengers)
LA CHRONIQUE des éditions La Fabrique (13/09/2016)
►http://www.lafabrique.fr/chronique.php
Des vieux staliniens du Monde diplomatique aux totos de Montreuil, des bien pensants du Nouvel Observateur aux ex-gauchistes de Libération, tous sont tombés d’accord : le livre d’Houria Bouteldja, Les Blancs, les Juifs et nous, est raciste, identitaire, homophobe, ignorant de l’histoire, balayé par des torrents essentialistes et religieux et – l’adjectif qui tue – antisémite. Il est inutile de faire remarquer que toutes ces critiques sont étayées par des phrases tronquées et sorties de leur contexte, que par bêtise ou mauvaise foi l’ironie du livre est prise au premier degré, que le mot « race » est absurdement pris au sens biologique, bref que toutes ces lectures sont truquées. Inutile parce que la religion de ces gens-là est faite : Houria Bouteldja est intolérable – comme femme, comme militante d’un mouvement qui fait entendre des vérités désagréables, et comme arabe, ce qui est vraiment un comble. On s’étonne que nous ayons publié ce livre, et même on nous en fait reproche, violemment parfois. Nous considérons au contraire qu’il a bien sa place chez nous, dans un catalogue consacré aux voies diverses menant à l’émancipation des opprimés.
Pour Houria Bouteldja, lettre ouverte à Serge Halimi
3 août 2016 Par Gavroche. Blog : Gavroche
▻https://blogs.mediapart.fr/gavroche/blog/030816/pour-houria-bouteldja-lettre-ouverte-serge-halimi
A propos de votre critique (parue dans le dernier numéro du Diplo, et réservée aux abonnés) du livre de Houria Bouteldja Les blancs, les juifs et nous. Vers une politique de l’amour révolutionnaire. Petite précision sans doute utile par ces temps troublés : je ne suis ni arabe, ni musulmane, juste une sans-dents comme une autre. Mais je me sens quand même indigène de la République ...
UNE INDIGÈNE AU VISAGE PÂLE, Compte-rendu du livre de Houria Bouteldja :Les Blancs, les Juifs et nous. Vers une politique de l’amour révolutionnaire, Ivan Segré
►https://lundi.am/Une-indigene-au-visage-pale
J’ai lu ce livre (...), et dirais plutôt : Segré, encore un effort.
Le Manifeste du Parti Communiste en 7 propositions - par Ivan Segré
▻https://lundi.am/Le-Manifeste-du-Parti-Communiste-en-7-propositions-par-Ivan-Segre
"Inscrire Marx au programme de l’agrégation s’apparente bel et bien à une « entreprise terroriste »"
L’esprit du judaïsme, la police et la règle du jeu - Par Ivan Segré
▻https://lundi.am/L-esprit-du-judaisme-la-police-et-la-regle-du-jeu
« Le roi d’Egypte leur dit : ‘Pourquoi, Moïse et Aaron, débauchez-vous le peuple de ses travaux ? Allez à vos affaires. Pharaon ajouta : ‘Vraiment, cette population est nombreuse à présent dans le pays, et vous leur feriez interrompre leur corvée ?’ Et Pharaon donna, ce jour-même, aux commissaires du peuple et à ses surveillants l’ordre suivant : ‘Vous ne fournirez plus, désormais, de la paille au peuple pour la préparation des briques comme précédemment : ils iront eux-mêmes faire leur provision de paille (...)
« ▻http://laregledujeu.org/2016/05/24/29035/violence-contre-la-policie-je-suis-flic »
A propos de « Les Blancs, les Juifs et nous », Houria Bouteldja (La Fabrique, 2016).
▻https://www.ensemble-fdg.org/content/propos-de-les-blancs-les-juifs-et-nous-houria-bouteldja-la-fabrique-20
Volontairement provocateur, ce qui est dans les habitudes de l’auteure et du PIR en général, ce titre aura atteint son but : faire parler et écrire (et, accessoirement, vendre).
Ivan Segré vient d’en faire une longue analyse1 qui, outre son érudition, a le mérite de faire sourire car il ne manque pas d’humour, même sur des sujets aussi sérieux. Il fait notamment un long et passionnant développement sur le point central du titre, qui se trouve aussi être le centre de l’analyse de HB, pour ne pas dire son obsession : les Juifs.
Pour ma part, je me contenterai d’aborder certains points : la construction d’un Roman décolonial miroir d’un Roman national qu’affectionne la droite ; l’idée centrale de responsabilité collective du Blanc ; le relativisme culturel camouflé en authenticité indigène pour finir en essayant comprendre à quoi renvoie la haine de Bouteldja pour Sartre..
L’argument du PIR - par Ivan Segré
▻https://lundi.am/L-argument-du-PIR-par-Ivan-Segre
« On avait sûrement calomnié Joseph K… » Franz Kafka Sur le site du Parti des Indigènes de la République est paru un texte intitulé : « Ivan Segré : quand un Camus israélien critique Houria Bouteldja ». Il est signé Malik Tahar-Chaouch et Youssef Boussoumah, membres du PIR. C’est une réponse à mon compte-rendu du livre de Houria Bouteldja, et incidemment à certains autres de mes textes, tous parus dans Lundimatin. On pourrait s’arrêter là : le lecteur, s’il le souhaite, peut confronter les textes et se (...)
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Vers une politique de l’amour… - Note sur la sexualité féminine
▻https://lundi.am/Vers-une-politique-de-l-amour
Par Ivan Segré (chercheur associé au LAAA)
Le cul, le voile et la kippa ou l’avenir politique de la pornographie
▻https://lundi.am/Le-cul-le-voile-et-la-kippa
Par Ivan Segré (chercheur associé au Laboratoire Autonome d’Anthropologie et d’Archéologie)
Prétexte à revenir (une troisième fois ?) sur #Houria_Bouteldja et sur #Israel