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  • Les végans meilleurs soutiens de Nétanyaou ? Israël terre promise du vegan-washing Paul Aries - 24 Avril 2019 - Le Grand Soir
    https://www.legrandsoir.info/les-vegans-meilleurs-soutiens-de-netanyaou-israel-terre-promise-du-veg

    Un site végan me soupçonnait récemment d’antisémitisme (ce qui est un comble) parce que j’évoquais l’importance du lobby végan en Israël dans ma Lettre aux mangeurs de viandes qui souhaitent le rester sans culpabiliser (Larousse). Je vais cependant récidiver en m’abritant derrière le site autorisé de la Chambre de commerce France-Israël qui titrait, au lendemain de la réélection du candidat de la droite la plus dure : « Le véganisme : clé de la victoire de Nétanyaou ? ».

    La thèse, même sous forme interrogative, mérite le détour pour qui connait Israël. Il est exact que pour emporter les voix des « amis des animaux », Netanyahou a annoncé arrêter de consommer de la viande. Lors d’une conférence de presse donnée le 10 mars 2019, la députée Sharren Haskel, membre du parti du Likoud et proche de « Bibi », a annoncé que le Premier ministre et toute sa famille « avaient opté pour le végétarisme ». « Pas entièrement », a-t-elle ajouté à mi-mot. La presse conclut qu’en « s’entourant de cette figure appréciée par les défenseurs des bêtes, « Bibi » a probablement gagné des points dans les urnes ». Beaucoup de sites dont Actualité Israël ont repris aussitôt cette analyse. Sharren Haskel a joué effectivement un rôle central dans la véganisation de la droite. Ex-membre volontaire des commandos de la police des frontières, opposée récemment aux projets d’amélioration de la situation juridique des gays, reconnue comme proche idéologiquement du Tea Party des Etats-Unis, elle n’a cessé de se droitiser, au fils des années, expliquant, par exemple, qu’« ll n’y a pas d’armée plus morale dans le monde que la nôtre » (sic). Les journalistes s’interrogent cependant : « Deux questions émergent lorsqu’on constate l’importance de ces mouvements en Israël : y a-t-il un lien entre l’antispécisme et la spécificité historique d’Israël, à savoir sa définition comme « Etat des Juifs » ? Ensuite, cet engouement pour la cause animale a-t-il un lien avec le conflit israélo-palestinien ? ». La faute politique du candidat travailliste aurait été de ne jamais préciser si, de son côté, il mangeait encore du poulet, lit-on sous la plume des experts.

    L’instrumentalisation du véganisme à des fins politiques ne date pas cependant de cette seule période électorale ni même de la présence de Sharren Haskel. Nétanyaou se dit depuis longtemps favorable aux « lundis sans viande » et l’armée israélienne se proclame végane (alimentation et vêtements).

    Les faits sont assez têtus pour permettre de raconter une tout autre histoire. Cette pseudo « première nation végane » (comme on le lit dans la presse) reste l’un des pays au monde consommant le plus de viande (80 kilos par personne et par an contre 66 en France), notamment de poulets (57 kilos), et les végans, avec 8 % de la population, n’y sont guère plus nombreux qu’ailleurs… Alors pourquoi Israël passe-t-elle pour être le paradis des végans dans le monde ? L’Etat israélien est l’inventeur du vegan-washing en tant que stratégie politique.

    Israël a été d’abord le laboratoire d’une expérience grandeur nature, en matière de conversion, puisque 60 % des téléspectateurs réguliers de l’émission de télé-réalité « Big Brother » ont changé leur façon de manger. Tel Gilboa (née en 1978), fondatrice du Front israélien de libération des animaux (ALF) en 2013, a remporté la sixième édition de « Big Brother » en 2014, en utilisant, avec la complicité de la production, l’émission pour propager, en prime time, le véganisme, et ceci durant trois mois et demi… Végan France titrait le 10 février 2016 : « Une activiste végane remporte « Big Brother » ». Elle portait pour la finale un T-shirt « Go Végan », son opposant en finale (Eldad) était aussi végan, comme d’ailleurs 4 des 18 occupants de la « maison ». On sait aujourd’hui qu’elle a bénéficié d’une véritable mise en scène, un autre candidat était un pseudo-éleveur bovin engagé par la production et dont le rôle était de provoquer et de pousser la participation végane, la production a même autorisé l’ami de Tal à venir parler de véganisme devant les résidents de la « maison » et leur a projeté une vidéo sur l’industrie des œufs, de la viande et du lait, séance enregistrée puis projetée à la télévision, avec une séquence montrant les résidents fondant en larmes. Yoram Zack, directeur de la production, a prononcé un discours après sa victoire : « Il y a cent neuf jours vous êtes entrée dans la maison pour accomplir une mission. Vous êtes venue ici pour servir de voix à ceux qui ne peuvent pas parler . »

    Cette belle aventure n’est pas sans lien avec le fait que le gouvernement israélien a choisi de faire des biotechnologies (notamment dans le domaine agricole) un secteur de pointe, avec la fondation de plus 1 350 firmes, dont 612 créées depuis 2007, et qui mobilisent 20 % du total des investissements. Un exemple : la start-up SuperMeat commercialise une viande vegan friendly , grâce à un blanc de poulet issu de cultures cellulaires, les cellules sont prélevées par biopsie puis cultivées industriellement en laboratoire, elles se nourrissent d’acides aminés d’origine végétale et de glucose. L’association #L214 a relayé l’appel aux dons à SuperMeat sur Facebook. Le professeur Yaakov Nahmias, cofondateur et directeur de recherche de SuperMeat, est aussi directeur du Grass Center for Bioengineering de l’Université hébraïque de Jérusalem et membre du Broad Institute de Harvard et du Massachusetts Institute of Technology (MIT). Ces projets sont soutenus par des organisations comme l’ONG A #Well-fed_World (Un monde bien nourri) qui distribue de l’alimentation végane aux nécessiteux. Cette ONG travaille avec le Fonds international pour l’Afrique afin de généraliser des repas scolaires strictement végétariens (Éthiopie). La #Modern_Agriculture_Foundation et l’université de Tel-Aviv ont lancé, en 2014, un projet de viande de poulet cultivée, sous la direction d’Amit Gefen, un des principaux experts mondiaux en ingénierie tissulaire. La firme #Jet-Eat vient de lancer la première imprimante alimentaire 3D végane…au monde.

    Cette belle aventure n’est pas non plus sans lien avec la possibilité que donne le #vegan-washing de laver plus blanc l’Etat d’Israël et sa politique de colonisation.

    Gary Yourofsky, le meilleur VRP végan en Israël
    Le militant étasunien Gary Yourofsky est l’un des nouveaux visages du véganisme israélien. Sa vidéo a été visionnée par plus d’un million d’habitants sur une population de huit millions, ses conférences font le plein et attirent l’élite de la société y compris des politiques comme Tzipi Livni (ancienne agente du Mossad, ancienne députée, elle vient d’abandonner la politique) … à tel point que la presse se demandait si Netanyaou n’irait pas la prochaine fois dans le cadre de sa stratégie assister à une conférence de Yourofsky. Gary Yourofsky ne recycle pas seulement les plus vieux clichés du végétarisme, l’humanité serait herbivore, toutes les maladies majeures seraient dues à la consommation carnée, car il se veut aussi ouvertement misanthrope et « dérape » souvent : « Au fond de moi, j’espère sincèrement que l’oppression, la torture et le meurtre se retournent dix fois contre les hommes qui s’en moquent ! Je souhaite que des pères tirent accidentellement sur leurs fils à l’occasion des parties de chasse, pendant que les carnivores succombent lentement à des crises cardiaques. Que chaque femme emmitouflée dans la fourrure doive endurer un viol si brutal qu’elle en soit marquée à vie. Et que chaque homme couvert de fourrure se fasse sodomiser si violemment que ses organes internes en soient détruits. Que chaque cowboy et chaque matador soit encorné jusqu’à la mort, que les tortionnaires du cirque se fassent piétiner par des éléphants et lacérer par des tigres . » Gary Yourofsky a pris position également en faveur d’Israël contre la Palestine : « Alors que les Israéliens sont dans un processus de destruction des industries de viande, de produits laitiers et d’œufs – ce qui amènera à l’éradication des camps de concentration pour les animaux, les Palestiniens et leurs sympathisants “droitdelhommistes”, psychotiques, sont en train de construire encore plus de camps pour les animaux ! […] Les Palestiniens sont le problème. C’est le groupe de personnes le plus psychotique du monde . »

    Cette position n’est malheureusement pas isolée. Eyal Megged appelle Netanyahou à faire d’Israël la terre des droits des animaux plutôt que de chercher inutilement une paix impossible avec les Palestiniens . Aeyal Gross, professeur israélien de droit international, s’insurge : « Le végétarisme devient un outil pour améliorer l’image des forces de défense israélienne, ou celle d’Israël dans son ensemble […] À Tel-Aviv aujourd’hui, il est beaucoup plus facile de trouver de la nourriture dont la préparation n’a pas impliqué l’exploitation des animaux que de trouver une nourriture dont la production n’a pas entraîné l’oppression et le déracinement d’autres êtres humains ». Le mouvement palestinien de défense des animaux dénonce Israël comme le premier pays du monde à faire du vegan-washing (blanchiment de l’image par le véganisme comme d’autres font du green-washing alors qu’ils bousillent la planète). On peut lire sur le site de Palestinian Animal League la mise en garde suivante : « Israël utilise le vegan washing pour couvrir les dégâts causés aux vies palestiniennes et au véganisme en Palestine, et obtient maintenant le soutien international de végétaliens bien connus, qui sont intentionnellement ou involontairement des outils dans le jeu de vegan washing du « paradis végétarien ». Les Palestiniens dénoncent ainsi le rôle d’institutions de propagande comme Vibe Israël qui invite d’éminents blogueurs végétaliens à visiter « l’empire végan appelé Israël ». Le mouvement palestinien accuse aussi Binthnight Israël, une association de défense d’Israël auprès des juifs du monde entier, d’avoir ajouté à son programme « Israël pour les végans »… Les palestiniens rappellent que la plus grande partie des productions véganes est réalisée dans les colonies israéliennes illégales à l’intérieur des territoires palestiniens.
    
Le gouvernement israélien, et notamment, son armée communique sur « Tsahal, l’armée la plus vegane au monde… », de là à soutenir qu’elle fait une guerre propre, le passage est souvent étroit).

    Cette propagande consistant à utiliser le véganisme pour légitimer la politique d’Israël fonctionne à plein au sein des multiples relais communautaires. Le JForum.fr (portail juif francophone) a ouvert un Forum sur « Israël, terre promise des végans ». Infos-Israël.News ajoute qu’Israël, paradis pour les végétariens mérite le détour et le soutien actif… L’association végétarienne de France titre « Ici, il fait bon être végé ! » et intègre Tel-Aviv « nation végane selon le Ministère du tourisme » dans les lieux de vacances de tout bon végan. Tribune Juive se fait l’écho cependant du débat qui secoue la communauté.

    Israël champion du vegan-washing ?
    Jérôme Segal nous aide à comprendre les raisons du véganisme israélien. Il y voit déjà une idéologie de substitution pour une gauche orpheline de victoires. Il cite le rôle des juifs, comme Peter Singer et Henry Spira, dans la naissance du véganisme. Il prolonge, également l’analyse de Jean Stern, selon lequel le pinkwashing était une stratégie politique visant à promouvoir Tel-Aviv comme capitale mondiale de la tolérance envers les minorités sexuelles dans le seul but de présenter le pays autrement que comme un Etat épinglé par des associations humanitaires pour ses manquements aux droits humains. Jérôme Segal parle donc du vegan-washing comme d’une stratégie délibérée servant les intérêts militaristes, colonialistes, économiques de l’Etat israélien. Le journaliste Gidéon Levy (éditorialiste au quotidien Haaretz) explique que le véganisme permet de mieux camoufler ce qui se passe en Cisjordanie. La gauche israélienne a tenté naturellement de surfer sur ce courant végan (comme certains dirigeants politiques de la gauche française le font encore). Conséquence : la gauche est de plus en plus marginalisée en Israël, au point que le seul parti qui ose encore se dire de gauche aujourd’hui, Meretz, n’a obtenu que 3,6 % des suffrages en avril 2019. Ce n’est pas pourtant faute d’avoir fait des efforts, puisque Tamar Zandberg, député du Meretz, est l’organisateur de la journée végane, au sein même de la Knesset, réunissant tous les députés…

    La gauche et les milieux écologistes israéliens ne parviendront à retrouver une parole forte qu’en se portant à la défense de l’élevage paysan israélien et palestinien.

    Paul Ariès

    #végan #biotechnologies #véganisation de la droite #antispécisme #vegan-washing #SuperMeat #vibe_israël #végétalisme #tsahal
    #sharren_haskel https://fr.wikipedia.org/wiki/Sharren_Haskel
    #gary_yourofsky https://fr.wikipedia.org/wiki/Gary_Yourofsky
    # Tzipi_Livni https://fr.wikipedia.org/wiki/Tzipi_Livni
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  • Death toll rises to 27: Married couple found dead under rubble in Gaza
    http://www.maannews.com/Content.aspx?ID=783380


    May 6, 2019 2:23 P.M. (Updated: May 6, 2019 2:27 P.M.)

    GAZA CITY (Ma’an) — Palestinian Civil Defense and ambulance crews were able to recover the bodies of a married Palestinian couple from the rubble of the completely destroyed buildings, which were targeted by Israeli warplanes, bringing the death toll in the Gaza Strip to 27, on Monday.

    The Palestinian Ministry of Health in Gaza confirmed that the two bodies recovered from under the rubble were husband and wife, identified as Talal Abu al-Jadyan and Raghda Muhammad Abu al-Jadyan.

    Talal and Raghda’s 12-year-old son, Abdul Rahman al-Jadyan, was also killed several hours earlier due to the Israeli airstrikes.

    The bodies of Talal and Raghda were transferred to the Indonesian Hospital, in northern Gaza, were they were pronounced dead.

    #Palestine_assassinée

  • #Didier_Porte tire les cartes à Ismaël Esmelien
    https://la-bas.org/5511

    Que n’a-t-on lu et entendu sur Ismaël Emelien, ce petit prodige de 32 ans, conseiller spécial du président Macron et mélange, à lui tout seul, de Raspoutine, Kissinger et Talleyrand : depuis trois ans, les plumitifs de tous bords n’en peuvent plus de s’extasier sur le génie de ce magicien et stratège hors pair, dont la principale qualité vraiment établie est de ne jamais donner d’interview.Continuer la lecture…

    #Vidéo #Médias #Politique

  • Hurler avec les loups
    https://nantes.indymedia.org/articles/45054

    Un texte de Tali Shapiro publié dans Les Anarchistes contre le mur. Action directe et solidarité avec la lutte populaire palestinienne, Éditions Libertaires 2016 [Édition originale AK Press & Institute for Anarchist Studies 2013]

    #Resistances #/ #-ismes #en #tout #genres #_anarch-fémin #anarchisme #genre #sexualités #israël #Resistances,/,-ismes,en,tout,genres,_anarch-fémin…,anarchisme,genre,sexualités,israël

  • The New Zealand Shooter’s White, Islam-Free Europe is Imaginary - But European Islamophobia is Frighteningly Real | Opinion
    https://www.newsweek.com/islamophobia-christchurch-manifesto-breivik-europe-1365089

    American cultural anthropologist Talal Asad puts it best: “Muslims are present in #Europe and yet absent from it. The problem of understanding #Islam in Europe is primarily, so I claim, a matter of understanding how “Europe” is conceptualized by Europeans. Europe (and the nation-states of which it is constituted) is ideologically constructed in such a way that Muslim immigrants cannot be satisfactorily represented in it. I argue that they are included within and excluded from Europe at one and the same time in a special way.”

    #musulmans #islamophobie

  • " La vengeance des Arméniens - Le procès Tehlirian "
    http://enuncombatdouteux.blogspot.com/2019/03/la-vengeance-des-armeniens-le-proces.html
    https://www.youtube.com/watch?v=RNhttOqxXgM

    En 1921, Mehmet Talaat Pacha, ancien chef du gouvernement turc en exil à Berlin, est abattu en pleine rue par un jeune étudiant arménien, Soghomon Tehlirian. Aussitôt arrêté, ce dernier est jugé quelques semaines plus tard. Au fil des audiences se produit un renversement inattendu : 

    le procès devient celui des horreurs perpétrées six ans plus tôt par l’Empire ottoman contre sa population arménienne, sous l’égide notamment de Talaat Pacha, grand ordonnateur des massacres et des déportations. Deux tiers des Arméniens de l’empire, soit quelque 1,2 million d’hommes, de femmes et d’enfants, ont ainsi été exterminés de façon planifiée entre avril 1915 et juillet 1916.

    En deux jours de débats sous haute tension, le jeune Tehlirian, qui a lui-même perdu une partie de sa famille dans les massacres, est reconnu innocent de meurtre avec préméditation et acquitté. Le verdict est embarrassant pour l’Allemagne, qui en 1915, a armé et équipé son allié turc dans la Grande Guerre, puis a délibérément ignoré le crime de masse dont ses officiers ont pourtant été témoins.

  • 16 03 2019 Soul Driver
    http://www.radiopanik.org/emissions/soul-driver/16-03-2019-soul-driver

    Smino – HOOPTI

    Sun Rai - San Francisco Street

    Talib Kweli and Hi-Tek feat. Jay Electronica, J Cole & Mos Def - Just Begun

    Tom Misch - It Runs Through Me

    Masego feat. SiR - Old Age

    Mac Miller feat. Anderson .Paak - Dang!

    Brief Encounter – Human

    Joel Culpepper - Woman

    N.W.A. - Alwayz Into Somethin

    MF Grimm – Earth

    Gravediggaz - Mommy Whats A Gravedigga (RZA Mix)

    IAMDDB & Inka – Learned out

    J.I.D - Working Out

    Masego - Send Yo Rita!

    Oddisee - Brea

    http://www.radiopanik.org/media/sounds/soul-driver/16-03-2019-soul-driver_06341__1.mp3

  • Bouteflika et les autres – Salimsellami’s Blog
    https://salimsellami.wordpress.com/2019/02/03/bouteflika-et-les-autres

    Voyez-vous Bouteflika se mettre pour une course politique sur la même ligne de départ avec tous ces gens-là qui viennent de marquer leur intention de se présenter à la candidature de la présidence de la République ? De par son long parcours, président de la République pendant 20 ans, ayant vécu la révolution et connu ses martyrs, ses concepteurs, ayant côtoyé les grands de ce monde, Boumediene, Nehru, Nasser, Tito, Che Guevara, Castro, Mandela, De Gaulle, rois, reines, monarques et sultans ; on le voit mal aligné avec des gens tout à fait singuliers, quelconques et effacés.
    L’on se dira que chacun doit faire son temps et que ce temps n’est plus de l’ère de Bouteflika. L’on se dira et à moindre mal que tout serait possible si du moins les candidats en course étaient parmi ceux qui restent de la même ère, tel Taleb Ibrahimi, Mouloud Hamrouche, Belaid Abdesselem, Sid Ahmed Ghozali… L’on se dira aussi qu’il aurait pu sauvegarder l’honneur de ce parcours exceptionnel en se défendant de concourir avec les pièces de cette si mauvaise circonstance.
    A faire rire ou pleurer ; l’on est dans le souci majeur de penser que si démocratie rime avec une certaine liberté, elle ne peut aussi se faire corrompre et se permettre de faire prendre la nation pour une risée nationale.

    On les a vus retirer leurs lots de souscription. On nous les a montrés, pour en rire et en pleurer. Ces images largement diffusées par des chaînes privées rivées au bord du pouvoir ne viennent pas comme ça par hasard ou par devoir de communication et d’information. Il y a du quelque chose dedans. Veut-on jeter l’anathème sur cette liberté ? Cette démocratie ? Cette implication « citoyenne » ? Des communs de mortels aux différentes pathologies, de l’illusion à la folie, de l’irréel à la rigolade ; ces dames et messieurs semblent prendre la République pour une agence d’emploi et le palais du gouvernement pour une scène de folklore et d’amusement. Ont-ils été par un moyen ou un autre incités à le faire ? Croient-ils vraiment que la partie est réellement jouable ? Non.

    Ainsi toute la problématique ne se trouve pas pour autant dans l’esprit de ces compétiteurs. Elle est dans le texte.

    Ce code électoral mal agencé et en mauvaise adéquation avec l’âme solennelle de cette haute magistrature se devait d’être corrigé après cette foire publique et sans enchères au trône de la République. Le nombre faramineux des indépendants, dépassant celui des partis, démontre la grande méfiance et le discrédit qui frappent ces partis. C’est un outrage au paysage politique, un affront à l’histoire qui se fait. Preuve en est qu’ils ne sont que des vitrines falotes mises en relief pour enjoliver une démocratie malade et gangrenée. Si un indépendant peut rassembler 60.000 individus, il lui est numériquement et politiquement facile d’en constituer un parti.

    Alors, il serait judicieux que la candidature à ce poste de responsabilité ne puisse être laissée ainsi à tout vent, à toute individualité. Elle ne pourrait valablement se faire que sous l’égide d’un parti. Ceci renforcera l’organisation du panorama politique et donnera plus de tonus à la philosophie du militantisme.

    Bouteflika, tout laisse à le penser, n’aurait jamais accepté de croiser le fer avec ceux qui ne savent que croiser des intérêts, battre le fer quand il est chaud et ignorent la finesse du maniement des sabres doux et tranchants dans les arènes politiques.

    Il a été mis dans cet ultime embarras par ceux-là mêmes qui persistent à le voir encore les protéger n’ayant du coup nulle indulgence pour ce que dira la postérité de son passage. Notamment sa dernière étape qui a fait apparaître des personnages entre domestiques, valets, dirigeants, leaders, téléviseurs inouïs, voraces et sans commune mesure avec sa stature. Ils ont tout fait pour la flétrir. L’homme ne mérite pas ça. Par El Yazid Dib.

    http://http://www.lequotidien–oran.com/?news=5272660

  • Indiedrome du 5/2/2019
    http://www.radiopanik.org/emissions/indiedrome/indiedrome-du-5-2-2019

    Joana Gama & Luis Fernandes: Perpetual Possibility « At the still point of the turning world » (Room 40)

    Joana Gama & Luis Fernandes: The Pattern Is Movement « At the still point of the turning world » (Room 40)

    Stephanie Pan: Have Robot Dog, Will Travel « Have Robot Dog, Will Travel » (Arteksounds)

    Zonk’t: Conditional Probability « Banburismus » (Sound On Probation)

    Ulrich Troyer: Dolomite Dub (Part IV) « Dolomite Dub « (4Bit Productions)

    Dub Mentor feat. Tal Weiss: Synaesthesia « 7 inch » (Ent-t)

    In Between: Gone Gone « S/T » (PMS Studio)

    Laurie Spiegel: A Folk Study « The Expanding Universe » (Unseen Worlds)

    Planet B: Crustfund (Feat. Kool Keith) « Three. One. G » (Ipecac)

    Royal Trux: Every Day Swan « White Stuff » (Fat Possum)

    Frame: Saturn « The Journey » (Glacial Movements)

    Kuhzunft: (...)

    http://www.radiopanik.org/media/sounds/indiedrome/indiedrome-du-5-2-2019_06117__1.mp3

  • Drone footage reveals hundreds of abandoned Turkish chateaux at Burj Al Babas
    https://www.dezeen.com/2019/01/18/drone-abandoned-turkish-chateau-burj-al-babas

    Approximately halfway between Turkey’s largest city Istanbul and its capital Ankara, the Burj Al Babas development will contain 732 identical mini chateaux when, or if, it completes.

    Au premier regard j’ai cru à des maquettes, mais non !

    #architecture #lotissement

    • Vraiment ? Pas un fake ? Y’a d’autres sources ? Google maps ?
      Parce qu’ un château, c’est bien quand t’es seul. La non seulement tu te tapes des voisins mais en plus, t’as la même baraque que les autres, autant vivre à la Courneuve.
      Une Ferrari c’est bien si le parking du supermarché n’en est pas rempli. Sinon ça devient du mauvais goût, comme là.

    • non pas du tout fake

      #Talia_Saray_Villa

      gg:Maps
      https://www.google.fr/maps/place/Burj+Al+Babas+Villa/@40.4450213,31.1973133,1129m/data=!3m1!1e3!4m5!3m4!1s0x14cd368170cadda5:0x1c3af436b3407cb!8m2!3d40.462581!

      gg:Images

      présenté comme un "projet hôtelier", je crois (mais ce n’est pas très clair) que les pavillons sont destinés à des investisseurs, non pour une gestion directe des locations.

      Talia Saray Project » Burj Global Group
      http://burjglobalgroup.com/property/talia-saray-project

      DESCRIPTION
      Burj Global Real Estate Group Launches Talia Saray Project (Talia Sarai) for Royal Villas (1/5/2017)

      The resort is located in Modorno district of the Polo Turkish state Which is one of the most attractive natural areas for tourists and it is two hours from Istanbul and an hour and  a half from the capital Ankara, an hour from Sabanga, a lively area of ??nature and sulfuric water (therapeutic)  at 860 meters above sea level, where fresh air and 25 degrees Summer degree.

      The area is characterized by a tourist atmosphere in the summer and winter, where tourists go for recreation and  relax with therapeutic water. The Talia Saray project is the company’s sixth project in this region.

      The resort is equipped with all hotel services / large commercial mall / 8 natural and industrial lakes  / restaurants and cafés throughout the resort / indoor and open swimming pools for women and men for privacy / Hotel / children daycare / Mosques / Hospital / Cinema / Spa Jacuzzi & Sauna / Horseback Riding /
      Thermal Water Swimming Pool / Heliport / Aqua Park / Golf Land / Soccer courts, Basketball, Tennis /  Artificial river / Golf cars for mobility within the project / Trips to Istanbul / Maintenance /  Guarding and security 24 hours a week /

      The project consists of 350 villas designed in classic style. The interior of the villa is 300 square meters. Divided into two floors. The ground floor consists of three open living rooms (can be two bedrooms), a dining room,  a kitchen with a bathroom and rooms, a Jacuzzi and steam room with thermal water, with a terrace that can be  turned into a diwaniya and a back terrace overlooking the villa’s back garden. The first floor consists of three bedrooms (one of them master room) and two bathrooms with a large terrace  and a balcony overlooking the lakes in the resort, villas also feature modern furnishings and  full luxurious decor in keeping with the villa’s exterior design.

      The villa garden is organized in an engineering style, decorated with flowers and enjoys full privacy.  A private outdoor swimming pool can also be set up for the villa.
      The land area of each villa ranges from 320 meters to 669 square meters registered under the title deed,  and most of the sites are characterized by the presence of pleas for the right of use of owners villas.

      Delivery date 2019
      Payment methods cash or installments up to Three-year

    • Faillite en novembre 2018, donc…
      –> #ghost_town !


      Partially completed chateau-like houses in the project
      Source: Sarot Group/Burj Al Babas/Facebook

      Customers from Qatar, Bahrain, Kuwait, United Arab Emirates and Saudi Arabia snapped up 350 of the villas, according to Hurriyet, at a going rate of $370,000 to $530,000. They specifically asked for the chateau-like design, according to the project’s consulting architect, Naci Yoruk.

      Sarot Group Chairman Mehmet Emin Yerdelen blamed his predicament on deadbeat clients.

      We couldn’t get about 7.5 million dollars receivables for the villas we have sold to Gulf countries,Hurriyet quoted Yerdelen as saying. “We applied for bankruptcy protection but the court ruled for bankruptcy. We will appeal the ruling.

      The group finished building 587 villas before it applied for bankruptcy protection.

      Although the court ordered the group to stop construction immediately, Yerdelen is still hopeful.

      Investisseurs défaillants du Golfe…

    • article non daté, mais très certainement du 5/12/2018 vu le numéro de la page…
      (et modifié après puisqu’il reprend une annonce du 16/09/2019

      Bonne nouvelle, le groupe serait plutôt sous redressement judiciaire et a été autorisé à poursuivre la commercialisation des pavillons et châteaux…

      http://i.hurimg.com/i/hdn/75/650x650/5bfbcf4567b0a820a05ea3fd

      http://i.hurimg.com/i/hdn/75/650x650/5bfbcf4867b0a820a05ea3ff

      A lawsuit had been filed against the developers of the Burj Al Babas housing project on grounds that the company destroyed trees and dumped excavated soil on forestland in the district of Mudurnu in the northwestern province of Bolu.

      With the criminal case continuing in the Mudurnu court and the company also appealing the court-declared bankruptcy in Istanbul, the firm’s chairman Mehmet Emin Yerdelen told Demirören News Agency on Jan. 16 that the sale of the villas resumed because the Bankruptcy Directorate allowed it.

      Our companies are currently operating in normal conditions under judicial control. Our sales and construction works continue as part of our resumed commercial activities,” he said.
      […]
      But the court now decided on bankruptcy. That was a wrong decision. The total value of the project is about $200 million. We will object to this decision. We still have 250 villas completed and ready to go on sale. Selling only 100 of them would be enough to pay off the debts and complete the project,” Mehmet Emin Yerdelen, the chair of the Sarot Group, told daily Hürriyet.

  • كَلِمَة لا بُد أن تُقال في حَقِّ الأمير الراحل طلال بن عبد العزيز الذي طَالب بمَلكيّة دُستوريّة.. وحُقوق كامِلَة للمَرأة.. وعارَض القَواعِد الأمريكيّة واسْتَحقَّ لقب « الأمير الأحمَر ».. وهذا ما قالَه في آخِر مُكالَمة هاتفيّة معه - رأي اليوم
    https://www.raialyoum.com/index.php/%d9%83%d9%8e%d9%84%d9%90%d9%85%d9%8e%d8%a9-%d9%84%d8%a7-%d8%a8%d9%8f%d8%a

    Pour une fois qu’elle aurait pu dire du bien d’un prince saoudien sans trop rougir, les médias français sont totalement silencieux sur la mort de Talal Bin Abdelaziz. Abdel Bari Atouane rappelle qu’il prônait une monarchie constitutionnelle et des droits réels pour les femmes, en plus d’appeler à la fin du colonialisme et aux réformes. On a les amis qu’on mérite du côté des médias et des diplomates français.

    #arabie_saoudite

  • Ce 25 novembre, les gilets jaunes ont manqué le bal des débutantes _ Le Figaro Madame - Marion Galy-Ramounot *

    Forest Whitaker et sa fille True dansent la première valse du Bal des débutantes à Paris
    http://madame.lefigaro.fr/celebrites/bal-des-debutantes-forest-whitaker-et-sa-fille-dansent-la-premiere-v
    Le Bal des débutantes s’est déroulé samedi soir sous les ors du palace Shangri-La Paris, dans le très chic XVIe arrondissement de la capitale. Au menu : « filles de » en haute couture et valses viennoises à cinq temps.


    Gabrielle de Pourtalès et... Stéphane Bern, sollicité pour la danse. (Bal des Débutantes, Paris, le 24 novembre 2018.)

    Derrière ses petites lunettes rondes, à l’aise dans son smoking, Forest Whitaker est serein. Au Bal des débutantes, il a déjà présenté l’une de ses trois filles, Autumn, en 2009. Neuf ans plus tard, il accompagne sa cadette, True, pour son « entrée dans le monde », comme dit l’expression (dépassée). Elle n’est pas la première « fille de » à se prêter à l’exercice mondain. Ava Phillippe (la fille de Reese Witherspoon), Tallulah Willis (la fille de Demi Moore) et Sophia Rose Stallone (la fille de Sylvester) ont valsé avant elle. Au bras de son cavalier Giacomo Belmondo, petit-fils de Bébel, elle défile comme de coutume entre les tables du grand salon, où se tient le dîner très privé - moins de 200 personnes - donné en faveur de l’association Enfants d’Asie et du Seleni Insitute.


    Juliet James Gordy (en robe Elie Saab Haute Couture). (Bal des débutantes, Paris, le 24 novembre 2018.)

    Pour le grand soir, la jeune femme de 20 ans porte une robe Gaultier Paris dans les tons jaune et noir, « inspirée des peintures de Degas » - nous confiait-elle la veille, lors des derniers essayages. C’est la marque de fabrique du Bal créé par Ophélie Renouard en 1992, les « debs » sont présentées en haute couture - et traditionnellement à haute voix par Stéphane Bern. La comtesse Gabrielle de Pourtalès, au bras du prince Priko Sajonia-Coburgo-Gotha, a des airs de Charlotte Casiraghi en Dior haute couture. Anna Pei, petite-fille de l’architecte sino-américain Ieoh Ming Pei (qui a, entre autres, conçu la #pyramide_du_Louvre), semble ne plus toucher terre en Emmanuel Ungaro.
    . . . . .


    Le meilleur du Bal des débutantes 2018 - Les débutantes, promotions 2018. (Bal des débutantes, Paris, le 24 novembre 2018.)


    Le meilleur du Bal des débutantes 2018 - Les cavaliers, promotion 2018. (Bal des débutantes, Paris, le 24 novembre 2018.)


    La princesse Ananya Raje Scindia of Gwalior (en robe Lecoanet Hemant) avec sa mère HRH Maharani Priyadarshini Raje Scindia of Gwalior et son cavalier HH Yuvraj Mahanarayana J. Scindia de Gwalior. (Bal des débutantes, Paris, le 24 novembre 2018.)


    La baronne Ludmilla von Oppenheim (en robe Stephane Rolland haute couture) et son cavalier le prince Philippe-Emmanuel de Croy-Solre. (Bal des débutantes, Paris, le 24 novembre 2018.)

    #Caste #Luxe #Ieoh_Ming_Pei #Stéphane_Bern #Ruissellement d’images #femme #fille #France #obscénité #exposition de #viande #richesse #en_marche

  • Khan al-Ahmar : nous défendons le rêve de la Palestine face à la démolition
    Middle East Eye - Eid Khamis - 22 novembre 2018
    https://www.middleeasteye.net/fr/opinions/khan-al-ahmar-nous-d-fendons-le-r-ve-de-la-palestine-face-la-d-moliti

    Je m’appelle Eid Khamis et Israël veut détruire Khan al-Ahmar, le village où j’ai vécu toute ma vie.

    Je suis né dans ce village ; je me suis marié dans ce village ; mes enfants sont nés dans ce village et ils s’y sont mariés. Tous mes souvenirs sont ici, les bons comme les mauvais. Je vis ici depuis 52 ans.

    En 1951, les forces israéliennes nous ont expulsés de force de nos terres d’origine dans le désert du Naqab, où nous vivions en tant que bédouins, et nous sommes aujourd’hui contraints de vivre dans des cabanes en acier et de nous battre pour les droits de l’homme les plus élémentaires.

    Colonisation et démolition

    Nos grands-pères vivaient à Tal Arad, qui surplombe la mer Morte. Les terres appartenaient à notre tribu – les Jahalin – et chaque famille possédait son propre lopin de terre, qu’elle exploitait et utilisait pour son bétail. Ils cultivaient du blé, de l’orge et des lentilles.

    Lorsque nous avons été déplacés en Cisjordanie, nous avons vécu comme des nomades jusqu’à notre installation à Khan al-Ahmar, à l’est de Jérusalem. Il y avait deux sources d’eau, un espace pour l’élevage et le marché de la vieille ville de Jérusalem pour vendre nos produits, yaourts, lait ou beurre.

    Nous avons loué nos terres à des propriétaires privés palestiniens dans la ville d’Anata, à proximité. Nous, bédouins, avons noué des relations étroites et bénéfiques avec les villageois. Le propriétaire terrien prenait 50 % de nos bénéfices. La situation était paisible jusqu’en 1967, lorsque Israël a occupé la Cisjordanie et Jérusalem-Est.

    En 1975, l’armée israélienne s’est approprié la région et l’a déclarée zone militaire fermée pour l’établissement de colonies de peuplement illégales à proximité.

    Au fil des ans, l’armée a démoli de nombreuses structures, y compris des maisons, et a rendu notre vie de plus en plus difficile, dans l’espoir de nous contraindre à fuir.

    Le 5 septembre dernier, après plus de huit ans de bataille juridique – avec des avocats, des audiences et des propositions de plans de zonage généraux –, la Cour suprême israélienne a décidé que le village devait être démoli et a rejeté toutes nos suggestions.

    La route vers Jérusalem

    Le problème de Khan al-Ahmar est plus grand que le village lui-même. Ce n’est pas un problème de construction ou d’école. Il s’agit de la création d’un État palestinien ; les soi-disant efforts de paix dépendent de ce village. Si ce village est démoli, c’est le rêve palestinien qui s’effondre.

    Israël veut notre terre pour deux raisons. Premièrement, Israël a déjà coupé la Cisjordanie de Jérusalem au nord, au sud et à l’ouest en créant un ensemble de colonies autour de la ville. Désormais, les Palestiniens n’ont qu’une seule porte ouvrant sur Jérusalem, et c’est l’est – où nous sommes. L’Occupation vise à fermer cette dernière porte aux Palestiniens.

    #Khan_al-Ahmar

  • Israel Sabotages Ceasefire Talks, Assassinating Hamas Commander, IDF Senior Commander Also Killed - Tikun Olam תיקון עולם

    https://www.richardsilverstein.com/2018/11/12/israel-sabotages-ceasefire-talks-assassinating-hamas-commander-i

    Today, IDF commandos invaded Gaza in a night-time raid and murdered seven Hamas operatives, including the commander responsible for the tunnel defense system maintained by the Islamist rulers of the enclave. According to various media sources, the raid was exposed and Palestinian militants fought back fiercely. In order to free the IDF forces, the Israelis had to lay down a massive drone and air attack which permitted them to withdraw back to Israel.

    Israeli senior IDF officer killed Gaza
    The Israeli military censor has prohibited domestic media naming the Israeli commando who was killed. But an Israeli source has informed me he is Lt. Col. Mahmoud Kheireddine from the Druze village of Hurfeish. Another officer who was wounded is from Isfiya. They both served in Sayeret Matkal, Israel’s equivalent of the Navy SEALs. Kheireddine was deputy commander of the unit. Given the death of so high-ranking an IDF officer, something went terribly wrong on this mission.

    In response, Hamas has launched missiles into southern Israel and driven hundreds of thousands into air raid shelters. Once again, just as both sides thought they might be close to a ceasefire and/or a prisoner exchange, Israel rescued defeat from the jaws and victory and almost guaranteed a new escalation, if not war, against Gaza.

    A former IDF general has suggested that the raid was not an assassination attempt, but an attempt to capture the Hamas commander:

    Maj. Gen. (res.) Tal Russo, a former commander of the IDF Southern Command, indicated that the operation was likely an intelligence-gathering mission gone wrong, rather than an assassination.

  • Venezuela : décès de l’intellectuel et opposant Teodoro Petkoff - Amériques - RFI
    http://www.rfi.fr/ameriques/20181101-venezuela-opposant-intellectuel-teodoro-petkoff-deces

    Au Venezuela, c’est une journée de deuil dans la presse et pas seulement puisqu’on a appris la mort le mercredi 31 octobre de Teodoro Petkoff, illustre économiste, homme politique, ex-guérillero, ancien ministre et fondateur du journal Tal Cual. Un opposant notoire d’Hugo Chavez et de son successeur, l’actuel président Nicolas Maduro. Retour sur les principales étapes de sa vie.

    C’est une figure du Venezuela qui s’est éteinte. « Un Vénézuélien exemplaire », comme le titre El Nacional. « Une vie dédiée à la réflexion et l’action politique », titre quant à lui Tal Cual, le journal qu’il a fondé après avoir quitté le monde politique. Teodoro Petkoff est décédé mercredi 31 octobre à l’âge de 86 ans à Caracas. Il était un opposant notoire d’Hugo Chavez et de son successeur Nicolas Maduro. Preuve qu’il était très respecté : même ses adversaires politiques lui ont rendu hommage après la nouvelle de son décès.

    Guérillero dans les années 1960, lorsqu’il militait dans les rangs du parti communiste, il fonde en 1971 le Mouvement vers le socialisme (MAS). Élu député à deux reprises, candidat à la présidence également à deux reprises, Teodoro Petkoff a aussi dirigé deux ministères entre 1996 et 1998, avant l’arrivée d’Hugo Chavez, moment qu’il choisit pour quitter le monde politique et se lancer dans le journalisme.

    Ses analyses toujours fines représentaient une menace pour le pouvoir. Lauréat du prix « Ortega y Gasset » en 2015, pour l’ensemble de sa carrière, il ne put se rendre en Espagne faute à une interdiction de sortie du territoire. « Teodoro nous a quittés, mais ses idées progressistes resteront à jamais », peut-on lire dans les pages de Tal Cual, qu’il avait fondé en 2000 après avoir quitté le monde la politique.

    Ancien commissaire politique dans la guérilla de Douglas Bravo au milieu des années 60i, …

    • . . . . . . . .
      CI JOINT LA LISTE DES PERSONNALITÉS IRAKIENNES LIQUIDÉES, SELON LA LISTE ÉTABLIE PAR LE QUOTIDIEN EN LIGNE « AR RAI AL YOM »

      Dirigé par Abdel Bari Atwane, fondateur du journal trans-arabe Al Qods Al Arabi » : http://www.raialyoum.com/?p=454552

      Université de Bagdad (40 membres du corps enseignant asssassinés)

      1- Dr Mohamad Abdallah Al Rawi : Recteur de l’Université de Bagdad, Président de l’Ordre des Médecins iraien, assassiné à sa clinique sise quartier Al Mansour (Bagdad).
      2- Makki Habib Al Mou’men : diplomé de l’Université du Michigan (États-Unis), spécialiste de l’Histoire contemporaine, ancien professeur aux universités irakiennes (Bassorah, Bagdad, Irbil et Souleymaniyeh), ainsi qu’à l’Institut des Études Palestiniennes.
      3 – Mohamad Abdallah Moneim Al Azmiralli : Titulaire d’un doctorat en Chimie, scientifique distingué, en poste dans des centres de recherches spécialisés. Professeur à la Faculté des Sciences de l’Université de Bagdad, Département de Chimie. Cet égyptien, titulaire de la nationalité irakienne, a été liquidé par les Américains dans le camp aménagé à proximité de l’aéroport de Bagdad, en 2003.
      4- Issam Charif Al Takriti : Ancien ambassadeur d’Irak en Tunisie. Titulaire de la chaire d’Histoire à l’Université de Bagdad, il a été liquidé en compagnie de 5 de ses collègues, le 22 octobre 2003, dans le secteur d’Amiryah (Bagdad) .
      5- Majed Hussein Ali : Savant atomique, spécialiste de la physique nucléaire (Université de Bagdad, Faculté des Sciences), éliminé début 2004.
      6- Imad Sarsour : Doyen de la Faculté de médecine de Bagdad, spécialiste de la chirurgie réparatrice.
      7- Soubeiry Moustapha Al Bayyat i : Chef du département de géographie de l’Université de Bagdad , tué en 2004.
      8- Ahmad Al Raw i : Professeur d’agronomie à l’Université de Bagdad, en charge du centre d’épidémiologie. Tué avec sa femme, en 2004, sur l’autoroute Bagdad-Al Ghazalyah.
      9- Housni Kamal : Physicien, Faculté des Sciences, Université de Bagdad.
      10- Marwane Mouzher Al Hayti : Ingénieur chimiste ; Professeur à la Faculté des Sciences de l’Université de Bagdad.
      11- Moustapha Al Machahandi : Professeur de civilisation islamique. Faculté des lettres, Université de Bagdad.
      12- Khaled Mohamad Al Janabi : Titulaire de la chaire Histoire de l’Islam- Faculté des Lettres – Université de Bagdad.
      13- Hassan Abd Ali Daoud Al Rabihi : Vice doyen de la Faculté de Médecine de l’Université de Bagdad.
      14- Marwane Rachid : Vice-doyen de la Faculté de Génie- Université de Bagdad
      15- Abdel Latif Ali Al Mayyah : Adjoint au Directeur du Département du Monde arabe-Université de Bagdad. Assassiné en 2004 au lendemain de son apparition sur une chaîne de télévision arabe pour réclamer la tenue d’élections législatives.
      16- Hicham Charif : Chef département Histoire – Université de Bagdad
      17- Raad Chalah : Chef du département de Biologie – Faculté des Sciences-Université de Bagdad.
      18 -Fouad Ibrahim Mohamad Al Bayyati : Chef du département de l’Allemand (langue et civilisation allemandes) -Faculté des Langues- Université de Bagdad. Assassiné devant sa maison, quartier de Ghazala (Bagdad), le 19 avril 2005.
      19- Mohammad Kard Al Jammali : Spécialiste de la langue anglaise-Université de Bagdad. Directeur général du ministère de l’Éducation nationale. Assassiné le 10 juin 2004 dans le secteur d’Al Amiryah (Bagdad).
      20- Haifa Alawane Al Helli : Physicienne- Faculté des Sciences-Section féminine- Université de Bagdad.
      21- Abdel Razzak Al Na’as : Faculté des Sciences de la communication- Université de Bagdad. Assassiné le 28 janvier 2004.
      22- Haykal Mohammad Al Moussawi : Faculté de Médecine- Université de Bagdad.

      23- Hazem Abdel Hadi : Faculté de Médecine-Université de Bagdad.
      24- Abbas Al Attar : Doctorat en Sciences Humaines-Université de Bagdad
      25- Bassam Al Moudaress : Doctorat en Sciences Humaines-Université de Bagdad.
      26 – Bassel Al Kerkhi : Spécialiste Chimie. Faculté des Sciences – Université de Bagdad.
      27- Nasser Amir Al Obeidy : Université de Bagdad
      28- Nafeh Abboud : Spécialiste de la Littérature arabe- Université de Bagdad
      29- Marwane Al-Rawi : Génie civil – Université de Bagdad
      30- Rafi Sarkissian Vanagan : Magistère en Langue Anglaise – Professeur à la Faculté des Lettres- Université de Bagdad.
      31- Nafiha Hamad Khalaf : Professeur de Littérature arabe – Faculté des Lettres- Université de Bagdad
      32- Khalil Ismail Abd Ad Dahiry : Faculté de l’Éducation sportive – Université de Bagdad
      33- Ghaleb Al Hayti : Professeur de Chimie- Université de Bagdad. Assassiné en mars 2004.
      34- Hussein Ali Ibrahim Al Karbassy : Ingénieur géomètre- Spécialiste de la Topographie- Institut de Technologie Bagdad – Al Zaafaranyah. Assassiné le 16 avril 2006 dans le quartier Al Amiryah.
      35- Mohammad Al Douleimy : Faculté de Génie – Université de Bagdad. Assassiné en 2004.
      36- Hassan Al Rabihi : Faculté d’Art Dentaire – Université de Bagdad. Assassiné le 25 décembre 2004, alors qu’i roulait en voiture en compagnie de son épouse.
      39- Jassem Mohammad Al Issawi : Professeur de Sciences Politiques- Université de Bagdad. Membre du comité de rédaction du quotidien irakien « Al Syada » (La Souveraineté), un des négociateurs au sein du « Comité de Rédaction de la Constitution ». Assasiné le 22 juin 2005 dans le secteur Al Chaaba à Bagdad, à l’âge de 61 ans.
      40- Abdel Sattar Saber Al Khazarji : Faculté de Génie – Université de Bagdad – Assassiné le 4 juin 2005 dans la caserne « Madina Al Horra » (La Ville Libre) à Bagdad.

      Université de Bassorah – Sud de l’Irak (14)

      41 – Ala’a Daoud : Vice-Recteur de l’Université de Bassorah pour la division scientifique.
      42- Assad Salem Choureyda : Docteur en génie civil. Doyen de la Faculté de Génie- Université de Bass
      43- Omar Fakhry : Biologiste – Faculté des Sciences de l’Université de Bassorah.
      44- Khaled Chreyda : Titulaire d’un Doctorat en Génie civil -Faculté du Génie – Université de Bassorah.
      45- Abdel Latif Al Fadel : Spécialiste en Chimie. Faculté des Sciences- Université de Bassorah.
      46- Joumhour Karim Khamas Al Zarzani : Critique littéraire réputé. Chef du Département de Langue Arabe – Faculté de Lettres- Université de Bassorah. Enlevé le 7 juillet 2005, son cadavre a été retrouvé à Qiblah, à 3 kms de Bassorah.
      47- Ghadab Jaber Attar : Faculté de Génie – Université de Basssorah
      48- Kifaya Hussein Saleh : Faculté des Lettres – Université de Bassorah
      49- Ali Ghaleb Abed Ali : Faculté de Génie – Université de Bassorah
      50- Saad Al Rabihi : Biologiste- Faculté des Sciences. Université de Bassorah.
      51- Naoufal Ahmad : Faculté des Beaux-Arts-Université de Bassorah.
      52- Abdel Karim Hussein : Faculté d’Agronomie-Université de Bassorah. Assassiné le 11 avril 2006.
      53- Ala’a Abdel Hamid : Doyen Faculté de Médecine – Université de Bassorah.
      54- Haydar Al Ba’aj : Directeur du CHU de Bassorah.

      Université de Mossoul (Nord de l’Irak, capitale éphémère de L’Etat Islamique, dix ans après l’invasion américaine de l’Irak) : 12 membres

      55- Abdel Jabbar Moustapha : Doyen de l’Université de Mossoul ; Professeur de Sciences Politiques.
      56- Leila Abdallah Said : Doyenne de la Faculté de Droit de l’Université de Mossoul, assassinée en compagnie de son époux.
      57- Mounir Al Khaïrou : Professeur de Droit à l’Université de Mossoul, époux de la doyenne Leila Abdallah Said, tuée en sa compagnie.
      58- Imane Younes : Chef du département de l’Interprétariat – Université de Mossoul.
      59- Nouayl Boutros Mathew : Faculté de Médecine-Université de Mossoul.
      60- Mohammad Al-Douleimy : Génie mécanique. Faculté de Génie. Université de Mossoul.
      61- Khaled Faysal Hamad Cheikhou : Faculté de l’Éducation Sportive – Université de Mossoul.
      62- Mahmoud Younes Zannoune : Faculté des Lettres- Université de Mossou
      63- Imane Abdel Moneim Younés : Faculté des Lettres – Université de Mossoul
      64- Mahfouz Mohammad Hassan Al Kazzaz : Professeur de Lettres- Faculté des Sciences de l’Éducation – Université de Mossoul. Tué lors d’une intervention des forces d’occupation américaines, le 25 Décembre 2004, à proximité de la Mosquée Dr Oussama Kachmoula- Province de Ninive.
      65- Inmar Al Ticq : L’un des plus célèbres ophtalmologistes irakiens. Professeur à la Faculté de Médecine – Université de Mossoul. Assassiné en Octobre 2004.
      66- Madame Falha Saleh Ahmad : Professeure de Sciences Politiques- Université de Mossoul. Assassinée en 2004

      Université Al Moustansariyah (15 membres)

      67- Sabah Mahmoud Al Rabihi : Doyen de la Faculté des Sciences de l’Éducation -Université Al Moustansariyah
      68- Salem Abdel Hamid : Doyen de la Faculté de Médecine à l’Université d’Al Moustansariyah, spécialiste de la médecine préventive.
      69- Falah Ali Hussein : Doyen de la Faculté des Sciences- Université Al Moustansariyah.
      70- Ibrahim Talal Hussein : Vice-Doyen Faculté des Sciences de l’Éducation -Université Al Moustansariyah.
      71- Houba Eddine Ahmad Mahmoud : Chef du Département de l’Éducation- Faculté des Sciences de l’Éducation – Université Al Moustansariyah.
      72- Moussa Salloum Amir Al Rabihi : Vice-Doyen Faculté des Sciences de l’Éducation – Université Al Moustansariyah. Assassiné le 28 Mai 2005-Quartier Al Bayyyah (Bagdad).
      73- Abdel Samih Al Janaby : Doyen de la Faculté des Sciences -Université Al Moustansariyah. Poignardé lorsqu’il a mis en application une décision du ministère de l’enseignement supérieur prohibant la transformation des enceintes universitaires en tribunes religieuses.
      74- Mohammad Fakhr Al Douleimy : Titulaire d’un doctorat en Physique. Vice-Doyen de la Faculté des Sciences – Université Al Moustansari
      75- Zaki Zaker Al Ani : Professeur de Langue Arabe. Faculté des Lettres- Université Al Moustansariyah. Tué devant la porte d’entrée de l’Université, le 26 Août 2005.
      76- Hadi Abdel Karim : Faculté des lettres- Université Al Moustansariyah. Tué devant la porte d’entrée de l’Université, le 26 Août 2005.
      77- Mohamad Najib Al Kaissy : Département de la recherche – Université Al Moustansariyah.

      78- Samir Yelda Gergis : Vice-Doyen de la Faculté de Gestion et d’Économie- Université Al Moustansariyah. Enlevé devant l ‘entrée de l’Université, en Août 2005, son cadavre a été retrouvé un mois plus tard, dans une ruelle le 25 septembre 2005.
      79- Kazem Talal Hussein : Vice-Doyen de la Faculté de l’Enseignement Fondamental. Université Al Moustansariyah. Assassiné le 25 Novembre 2005 dans le quartier Moussayleh en compagnie de trois des ses gardes de corps.
      80- Ali Mouhaych : Doyen de la Faculté de Génie. Université Al Moustanssariyah. Assassiné le 13 Novembre 2006.
      81- Kazem Battine Al Hayani : Professeur de Psychologie – Faculté des lettres- Université al Moustanssariyah. Enlevé par des membres d’une milice religieuse le 3 Mars 2006. Son cadavre, mutilé, a été retrouvé à l’Institut Médico-légal.
      82- Mohammad Abdel Rabih Al Ani : Professeur de Droit à l’Université Al Moustansaryah. Doctorant à la Faculté des Sciences Islamiques à l’Université de Bagdad. Assassiné le 27 avril 2006 devant la Mosquée « Imam Farouq », proche de la Rue Palestine, dans le centre de Bagdad. Son cadavre a été retrouvé cinq jours plus tard le 2 Mai 2006 à l’Institut Médico-légal de Bagdad.

      Université de technologie Bagdad (8 membres)

      83- Mohie Hussein : Génie mécanique-Université de Technologie
      84- Mohammad Abbas Khodeyr : Génie mécanique- Université de Technologie.
      85- Qahtane Kazem Hatem : Faculté des Sciences-Université de Technologie.
      86- Amir Mouzher Al Dayni : Ingénieur Télécommunications.
      87-Mohamad Abdel Hassan Wahed : Institut de Gestion Technologique- Bagdad.
      88- Amr Ibrahim Hamza : Centre de Recherches sur le Cancer – Institut de Gestion Technologique.
      89- Issam Saad Abdel Karim : Géologue. Chercheur au Centre National des Recherches. Enlevé le 28 Septembre 2004, assassiné le 1 er Octobre 2005.
      90- Mohannad Saleh Mehdi : Centre de Recherches sur le Cancer – Institut de Gestion Technologique.
      91- Saad Yassine Al Ansari : Centre de Recherches sur le Cancer – Institut de Gestion Technologique.

      Université Al Anbar (Ouest de l’Irak qui abrite les deux villes rebelles à la présence américaine Ramadi et Falloujah) : (7 membres)

      92- Raad Okhsen Al Binno : Faculté de Médecine-Université Al Anbar.
      93-Ahmad Abel Rahman Al Qobeissy : Professeur faculté de Médecine-Université Al Anbar
      94- Ahmad Abdel Hadi Al Rawi : Faculté d’Agronomie – Université Al Anbar.
      95- Chaker Mahmoud Jassem : Faculté d’Agronomie – Université d’Al Anbar.
      96- Abdel Karim Mokhallaf Saleh : Faculté des Lettres – Département de Langue Arabe – Université d’Al Anbar.
      97- Nasser Abdel Hamid Moukhlef Al Douleimy : Université Al Anbar

      98- Hamid Faysal Antar : Faculté de l’Éducation Sportive – Université Al Anbar.
      99- Abdel Majid Al Karbouly : Université Al Anbar

      Université Al Nahrayne (Université des deux fleuves ; le Tigre et l’Euphrate). 3 membres

      100- Akil Abdel Jabbar Al Bahadl y : Vice-Doyen Faculté de Médecine-Université d’Al Nahrayne (Université des deux fleuves ; le Tigre et l’Euphrate).
      101- Laith Abdel Aziz Abbas : Faculté des Sciences – Université d’Al Nahrayne.

      102- Mohammad Falah Houeidy Al Jazairy : Chirurgie réparatrice- Faculté de Médecine – Université d’Al Nahrayne. Assassiné le jour de son retour du pèlerinage de La Mecque début 2006. Médecin au CHU (Centre Hospitalier Universitaire) d’Al Kazmiyah (Bagdad).

      Université de Dyala : (Ouest de l’Irak, 6 membres)

      103- Abdel Sattar Al Assady : Faculté des Lettres – Université de Dyalla. Assassiné le 19 avril 2006.
      104- Salem Hussein Al Mahdawi : Faculté des Lettres – Université de Dyalla. Assassiné le 9 avril 2006.
      105- Mouchhen Hardane Mazloum Al Alawi : Université de Dyalla. Assassiné le 19 avril 2006.
      106- Mayss Ghanem : Membre du corps professoral du Département de langue et de civilisation anglaise – Université de Dyalla.
      107- Abdel Sattar Jabbar : Faculté de Médecine Vétérinaire- Université de Dyalla. Assassiné le 22 avril 2006.
      108- Taleb Ibrahim Al Zahar : Spécialiste de physique nucléaire – Professeur-à la Faculté des Sciences- Université de Diyala. Assassiné à Ba’aqouba en Mars 2005.

      Université de Tikrit (centre de l’Irak, Région natale de Saddam Hussein)

      109- Fadl Moussa Hussein : Faculté de l’Education Sportive – Université de Tikrit.
      110- Mahmoud Ibrahim Hussein : Faculté des Lettres – Université de Tikrit

      Université Al Ma’moun

      111- Mohsen Abbas Khodeir Al Salmane : Chef du département au ministère de l’irrigation. Professeur à l’Université Al Ma’moun, tué à Falloujah en 2004

      Divers

      112- Wajih Mahjoub Al Taï : Directeur général de l’enseignement supérieur au ministère de l’Éducation Nationale
      113-Chaker Al Khafaji : Directeur de l’Office Central de la Maîtrise de la Qualité.
      114- Moustapha Abel Hamid Al Hayti : Spécialiste des maladies infantiles.
      115-Wissam Al Hachimi : Président de l’Association des Géographes d’Irak.
      116- Raad Abdel Latif Al Saadi : Linguiste. Conseiller en langue arabe au ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Assassiné le 28 mai 2005, quartier d’Al Bayyah (Bagdad).

      117- Hussein Nasser Khalaf : Chercheur à la Faculté d’Agronomie. Centre des études « Al Nakhil » (Palmiers-Dattiers) de Bassorah. Enlevé le 18 Mai 2005, son cadavre a été retrouvé, quatre jours plus tard, le 22 Mai 2005, dans le quatier Al Bayyah-Bagdad.
      118- Taqi Al Talqua’ay : Titulaire d’un doctorat en physique nucléaire.
      119- Khawla Mohammad Taqi : Faculté de Médecine-Université de Coufa
      120- Zaki Jaber Lafta Al Saadi : Faculté de médecine vétérinaire.
      121- Mohsen Souleimane Al Oujeily : Faculté d’Agronomie- Université de Babel.

      122- Dr Liwa Al Sannanne Abdel Jabbar Abou Halhal : Université Al Bakr pour les Hautes Études. Assassiné à la prison d’Abou Ghraib en 2004.
      123- Ali Mabak Al Malki : Expert comptable – Direction des impôts – Ministère des Finances.
      124- Achoura Awdat Al Rabihi : Titulaire d’un Magistère en Géographie Humaine de l’Université de Michigan. Directeur du Centre d’Études « Al Mansour ». Assassiné dans le quartier Al Amriyah (Bagdad) en 2004.
      125- Moujber Al Cheikh Issa al Jouboury : Juriste. Membre du « Comité de Rédaction de la Constitution.
      126- Damman Hussein Alaoui Al Obeidy : Doyen de la Faculté de Droit de l’Université de Salaheddine et membre du « Comité de Rédaction de la Constitution ». Assassiné le 12 juillet 2005 à Bagdad.
      127- Sabah Aziz Hachem : Institut de technologie – Province de Bassorah. Tué devant l’entrée de l’établissment le 11 Avril 2006.
      128 – Faydi Mohammad Al Faydi : Membre du Haut Comité des Théologiens de l’Islam. Titulaire d’un Doctorat de l’Université de Législation islamique (promotion 1990). Tué devant la Mosquée dans le secteur d’Al Mouthanna (district de Mossoul).
      129- Amid Mounzer Al Bayati : Médecin. Asssassiné le 16 juin 2005 devant sa maison située dans le quartier Al Sayyeh.
      130- Amid Sadeq Al Abadi : Medecin. Assassiné le 1 er septembre 2005 devant le complexe médical qu’iil avait édifié pour les soins aux nécessiteux.
      131- Amer Mohammad Falah : Chef du département de Chirurgie au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Républicain de Bagdad. Assassiné devant son domicile le 3 Octobre 2004.
      132- Reda Amine : Assistant technique – CHU de Kirkouk. Assassiné le 15 septembre 2004 à Kirkouk.
      133- Abdallah Saheb Younes : Hopital Naaman-Al A’Azamiyah-Bagdad. Assassiné le 18 Mai 2005.

      134- Ibrahim Ismail : Directeur général du Département de l’Éducation Nationale à Kirkouk. Assassiné le 30 Septembre 2004, alors qu’il était en route vers l’Institut de Technologie de Kirkouk.
      135- Rajeh Al Ramadani : Inspecteur au ministère de l’Éducation Nationale. Assassiné le 29 septembre 2004, alors qu’il sortait de la Mosquée Ziad Al Iraqi à Ninive.

      Source : Madaniya, René Naba, 21-09-2018

      #génocide

  • Ca y est, j’ai résumé tout ça dans ma chronique hebdomadaire :

    ELO#336 - Queen of Soul Forever
    Dror, Entre Les Oreilles, le 22 août 2018
    http://entrelesoreilles.blogspot.com/2018/08/elo336-queen-of-soul-forever.html

    Par rapport à tout ce que j’ai déjà raconté ici, pas grand chose de neuf si ce n’est une meilleure mise en page, quelques mp3 et quelques liens en plus...

    #Aretha_Franklin #Musique #Soul #mort_en_2018

  • Le Quai d’Orsay ferme l’Institut français de Naplouse en Cisjordanie - RFI - Par Marine Vlahovic Publié le 13-07-2018
    http://www.rfi.fr/moyen-orient/20180713-territoires-palestiniens-fermeture-institut-francais-naplouse

    Le ministère des Affaires Etrangères Français a décidé d’arrêter les activités de l’Institut Français de Naplouse, l’une des plus grandes villes de Cisjordanie. Une décision incomprise par les Palestiniens francophones sur place qui signe aussi la disparition de la dernière représentation étrangère officielle dans le nord de la Cisjordanie.
    (...)
    Le ministère des Affaires Etrangères a acté au printemps la fermeture de cet institut . Elle sera effective cet été. Ce n’est pas du goût des francophones de Naplouse qui ont lancé une pétition sur la plateforme change.org [ https://www.change.org/p/consulate-stop-the-closing-of-the-french-institute-of-nablus-%D9%88%D9%82%D9 ] pour demander aux autorités françaises de revenir sur cette décision. Tala Shelbayeh, est l’une des signataires. Pour cette jeune Palestinienne, c’est un lieu d’ouverture sur le monde dans un territoire soumis aux restrictions de circulation : « L’Institut n’est pas seulement pour les étudiants en français, mais pour tout le monde. Nous sommes dans un pays enfermé. Nous n’avons pas beaucoup la possibilité de découvrir le monde extérieur. L’Institut français nous donne une grande chance de pouvoir le faire. C’est très bien pour les échanges culturels. Ce qui va se passer si l’Institut ferme, c’est grave parce que cela ne va pas d’être enfermés comme cela. » (...)

  • How a victorious Bashar al-Assad is changing Syria

    Sunnis have been pushed out by the war. The new Syria is smaller, in ruins and more sectarian.

    A NEW Syria is emerging from the rubble of war. In Homs, which Syrians once dubbed the “capital of the revolution” against President Bashar al-Assad, the Muslim quarter and commercial district still lie in ruins, but the Christian quarter is reviving. Churches have been lavishly restored; a large crucifix hangs over the main street. “Groom of Heaven”, proclaims a billboard featuring a photo of a Christian soldier killed in the seven-year conflict. In their sermons, Orthodox patriarchs praise Mr Assad for saving one of the world’s oldest Christian communities.

    Homs, like all of the cities recaptured by the government, now belongs mostly to Syria’s victorious minorities: Christians, Shias and Alawites (an esoteric offshoot of Shia Islam from which Mr Assad hails). These groups banded together against the rebels, who are nearly all Sunni, and chased them out of the cities. Sunni civilians, once a large majority, followed. More than half of the country’s population of 22m has been displaced—6.5m inside Syria and over 6m abroad. Most are Sunnis.

    The authorities seem intent on maintaining the new demography. Four years after the government regained Homs, residents still need a security clearance to return and rebuild their homes. Few Sunnis get one. Those that do have little money to restart their lives. Some attend Christian mass, hoping for charity or a visa to the West from bishops with foreign connections. Even these Sunnis fall under suspicion. “We lived so well before,” says a Christian teacher in Homs. “But how can you live with a neighbour who overnight called you a kafir (infidel)?”

    Even in areas less touched by the war, Syria is changing. The old city of Damascus, Syria’s capital, is an architectural testament to Sunni Islam. But the Iranian-backed Shia militias that fight for Mr Assad have expanded the city’s Shia quarter into Sunni and Jewish areas. Portraits of Hassan Nasrallah, the leader of Hizbullah, a Lebanese Shia militia, hang from Sunni mosques. Advertisements for Shia pilgrimages line the walls. In the capital’s new cafés revellers barely notice the jets overhead, bombing rebel-held suburbs. “I love those sounds,” says a Christian woman who works for the UN. Like other regime loyalists, she wants to see the “terrorists” punished.

    Mr Assad’s men captured the last rebel strongholds around Damascus in May. He now controls Syria’s spine, from Aleppo in the north to Damascus in the south—what French colonisers once called la Syrie utile (useful Syria). The rebels are confined to pockets along the southern and northern borders (see map). Lately the government has attacked them in the south-western province of Deraa.

    A prize of ruins

    The regime is in a celebratory mood. Though thinly spread, it has survived the war largely intact. Government departments are functioning. In areas that remained under Mr Assad’s control, electricity and water supplies are more reliable than in much of the Middle East. Officials predict that next year’s natural-gas production will surpass pre-war levels. The National Museum in Damascus, which locked up its prized antiquities for protection, is preparing to reopen to the public. The railway from Damascus to Aleppo might resume operations this summer.

    To mark national day on April 17th, the ancient citadel of Aleppo hosted a festival for the first time since the war began. Martial bands, dancing girls, children’s choirs and a Swiss opera singer (of Syrian origin) crowded onto the stage. “God, Syria and Bashar alone,” roared the flag-waving crowd, as video screens showed the battle to retake the city. Below the citadel, the ruins stretch to the horizon.

    Mr Assad (pictured) has been winning the war by garrisoning city centres, then shooting outward into rebel-held suburbs. On the highway from Damascus to Aleppo, towns and villages lie desolate. A new stratum of dead cities has joined the ones from Roman times. The regime has neither the money nor the manpower to rebuild. Before the war Syria’s economic growth approached double digits and annual GDP was $60bn. Now the economy is shrinking; GDP was $12bn last year. Estimates of the cost of reconstruction run to $250bn.

    Syrians are experienced construction workers. When Lebanon’s civil war ended in 1990, they helped rebuild Beirut. But no such workforce is available today. In Damascus University’s civil-engineering department, two-thirds of the lecturers have fled. “The best were first to go,” says one who stayed behind. Students followed them. Those that remain have taken to speaking Araglish, a hotch-potch of Arabic and English, as many plan futures abroad.

    Traffic flows lightly along once-jammed roads in Aleppo, despite the checkpoints. Its pre-war population of 3.2m has shrunk to under 2m. Other cities have also emptied out. Men left first, many fleeing the draft and their likely dispatch to the front. As in Europe after the first world war, Syria’s workforce is now dominated by women. They account for over three-quarters of the staff in the religious-affairs ministry, a hitherto male preserve, says the minister. There are female plumbers, taxi-drivers and bartenders.

    Millions of Syrians who stayed behind have been maimed or traumatised. Almost everyone your correspondent spoke to had buried a close relative. Psychologists warn of societal breakdown. As the war separates families, divorce rates soar. More children are begging in the streets. When the jihadists retreat, liquor stores are the first to reopen.

    Mr Assad, though, seems focused less on recovery than rewarding loyalists with property left behind by Sunnis. He has distributed thousands of empty homes to Shia militiamen. “Terrorists should forfeit their assets,” says a Christian businesswoman, who was given a plush café that belonged to the family of a Sunni defector. A new decree, called Law 10, legitimises the government’s seizure of such assets. Title-holders will forfeit their property if they fail to re-register it, a tough task for the millions who have fled the country.

    A Palestinian-like problem

    The measure has yet to be implemented, but refugees compare it to Israel’s absentees’ property laws, which allow the government to take the property of Palestinian refugees. Syrian officials, of course, bridle at such comparisons. The ruling Baath party claims to represent all of Syria’s religions and sects. The country has been led by Alawites since 1966, but Sunnis held senior positions in government, the armed forces and business. Even today many Sunnis prefer Mr Assad’s secular rule to that of Islamist rebels.

    But since pro-democracy protests erupted in March 2011, Syrians detect a more sectarian approach to policymaking. The first demonstrations attracted hundreds of thousands of people of different faiths. So the regime stoked sectarian tensions to divide the opposition. Sunnis, it warned, really wanted winner-take-all majoritarianism. Jihadists were released from prison in order to taint the uprising. As the government turned violent, so did the protesters. Sunni states, such as Turkey, Saudi Arabia and Qatar, provided them with arms, cash and preachers. Hardliners pushed aside moderates. By the end of 2011, the protests had degenerated into a sectarian civil war.

    Early on, minorities lowered their profile to avoid being targeted. Women donned headscarves. Non-Muslim businessmen bowed to demands from Sunni employees for prayer rooms. But as the war swung their way, minorities regained their confidence. Alawite soldiers now flex arms tattooed with Imam Ali, whom they consider the first imam after the Prophet Muhammad (Sunnis see things differently). Christian women in Aleppo show their cleavage. “We would never ask about someone’s religion,” says an official in Damascus. “Sorry to say, we now do.”

    The country’s chief mufti is a Sunni, but there are fewer Sunnis serving in top posts since the revolution. Last summer Mr Assad replaced the Sunni speaker of parliament with a Christian. In January he broke with tradition by appointing an Alawite, instead of a Sunni, as defence minister.

    Officially the government welcomes the return of displaced Syrians, regardless of their religion or sect. “Those whose hands are not stained with blood will be forgiven,” says a Sunni minister. Around 21,000 families have returned to Homs in the last two years, according to its governor, Talal al-Barazi. But across the country, the number of displaced Syrians is rising. Already this year 920,000 people have left their homes, says the UN. Another 45,000 have fled the recent fighting in Deraa. Millions more may follow if the regime tries to retake other rebel enclaves.

    When the regime took Ghouta, in eastern Damascus, earlier this year its 400,000 residents were given a choice between leaving for rebel-held areas in the north or accepting a government offer of shelter. The latter was a euphemism for internment. Tens of thousands remain “captured” in camps, says the UN. “We swapped a large prison for a smaller one,” says Hamdan, who lives with his family in a camp in Adra, on the edge of Ghouta. They sleep under a tarpaulin in a schoolyard with two other families. Armed guards stand at the gates, penning more than 5,000 people inside.

    The head of the camp, a Christian officer, says inmates can leave once their security clearance is processed, but he does not know how long that will take. Returning home requires a second vetting. Trapped and powerless, Hamdan worries that the regime or its supporters will steal his harvest—and then his land. Refugees fear that they will be locked out of their homeland altogether. “We’re the new Palestinians,” says Taher Qabar, one of 350,000 Syrians camped in Lebanon’s Bekaa Valley.

    Some argue that Mr Assad, with fewer Sunnis to fear, may relax his repressive rule. Ministers in Damascus insist that change is inevitable. They point to a change in the constitution made in 2012 that nominally allows for multiparty politics. There are a few hopeful signs. Local associations, once banned, offer vocational training to the displaced. State media remain Orwellian, but the internet is unrestricted and social-media apps allow for unfettered communication. Students in cafés openly criticise the regime. Why doesn’t Mr Assad send his son, Hafez, to the front, sneers a student who has failed his university exams to prolong his studies and avoid conscription.

    A decade ago Mr Assad toyed with infitah (liberalisation), only for Sunni extremists to build huge mosques from which to spout their hate-speech, say his advisers. He is loth to repeat the mistake. Portraits of the president, appearing to listen keenly with a slightly oversized ear, now line Syria’s roads and hang in most offices and shops. Checkpoints, introduced as a counter-insurgency measure, control movement as never before. Men under the age of 42 are told to hand over cash or be sent to the front. So rife are the levies that diplomats speak of a “checkpoint economy”.

    Having resisted pressure to compromise when he was losing, Mr Assad sees no reason to make concessions now. He has torpedoed proposals for a political process, promoted by UN mediators and his Russian allies, that would include the Sunni opposition. At talks in Sochi in January he diluted plans for a constitutional committee, insisting that it be only consultative and based in Damascus. His advisers use the buzzwords of “reconciliation” and “amnesty” as euphemisms for surrender and security checks. He has yet to outline a plan for reconstruction.

    War, who is it good for?

    Mr Assad appears to be growing tired of his allies. Iran has resisted Russia’s call for foreign forces to leave Syria. It refuses to relinquish command of 80,000 foreign Shia militiamen. Skirmishes between the militias and Syrian troops have resulted in scores of deaths, according to researchers at King’s College in London. Having defeated Sunni Islamists, army officers say they have no wish to succumb to Shia ones. Alawites, in particular, flinch at Shia evangelising. “We don’t pray, don’t fast [during Ramadan] and drink alcohol,” says one.

    But Mr Assad still needs his backers. Though he rules most of the population, about 40% of Syria’s territory lies beyond his control. Foreign powers dominate the border areas, blocking trade corridors and the regime’s access to oilfields. In the north-west, Turkish forces provide some protection for Hayat Tahrir al-Sham, a group linked to al-Qaeda, and other Sunni rebels. American and French officers oversee a Kurdish-led force east of the Euphrates river. Sunni rebels abutting the Golan Heights offer Israel and Jordan a buffer. In theory the territory is classified as a “de-escalation zone”. But violence in the zone is escalating again.

    New offensives by the regime risk pulling foreign powers deeper into the conflict. Turkey, Israel and America have drawn red lines around the rebels under their protection. Continuing Iranian operations in Syria “would be the end of [Mr Assad], his regime”, said Yuval Steinitz, a minister in Israel, which has bombed Iranian bases in the country. Israel may be giving the regime a green light in Deraa, in order to keep the Iranians out of the area.

    There could be worse options than war for Mr Assad. More fighting would create fresh opportunities to reward loyalists and tilt Syria’s demography to his liking. Neighbours, such as Jordan and Lebanon, and European countries might indulge the dictator rather than face a fresh wave of refugees. Above all, war delays the day Mr Assad has to face the question of how he plans to rebuild the country that he has so wantonly destroyed.


    https://www.economist.com/middle-east-and-africa/2018/06/30/how-a-victorious-bashar-al-assad-is-changing-syria?frsc=dg%7Ce
    #Syrie #démographie #sunnites #sciites #chrétiens #religion #minorités

    • Onze ans plus tard, on continue à tenter de donner un peu de crédibilité à la fable d’une guerre entre « sunnites » et « minoritaires » quand la moindre connaissance directe de ce pays montre qu’une grande partie des « sunnites » continue, pour de bonnes ou de mauvaises raisons, mais ce sont les leurs, à soutenir leur président. Par ailleurs, tout le monde est prié désormais par les syriologues de ne se déterminer que par rapport à son origine sectaire (au contraire de ce qu’on nous affirmait du reste au début de la « révolution »)...

  • Israel contrató a Daesh para recuperar cuerpos de sus soldados | HISPANTV
    https://www.hispantv.com/noticias/siria/378294/israel-estado-islamico-rebeldes-cuerpo-soldados

    El ejército israelí contrató a los terroristas del EIIL (Daesh, en árabe) y a los llamados rebeldes sirios para recuperar los cuerpos de tres de sus soldados, que desaparecieron en el marco de la batalla librada entre Siria e Israel en 1982, revelan autoridades palestinas.

    El subsecretario general del Frente Popular para la Liberación de Palestina (FPLP)-Comando General, Talal Nayi, aseguró que los terroristas colaboraron con el régimen de Tel Aviv para buscar al sur de Damasco, la capital de Siria, los restos de los soldados israelíes desaparecidos en la batalla que lleva por nombre Sultan Qabus.

    Según el funcionario palestino, después de que el Ejército sirio recuperara el campo de refugiados palestinos de Al-Yarmuk y los alrededores de Damasco, se descubrió que los terroristas habían excavado en varias tumbas viejas, localizadas en esta zona, a fin de dar con los cuerpos de los tres israelíes.

    “Organizaciones terroristas como Daesh, el Frente Al-Nusra (autoproclamado Frente Fath Al-Sham) y el denominado Ejército Libre Sirio (ELS) cavaron en el cementerio de Al-Shuhada, en el campamento, en busca de los restos de los soldados israelíes”, indicó Nayi en una entrevista concedida el sábado a la cadena libanesa de televisión Al Mayadeen.

    Dans Rai al-yom, en plus, histoire d’une femme surprise en train de faire passer en contrebande des sacs de terre...

    #palestine #syrie #yarmouk

  • » Detainee ‘Oweisat Dies From His Serious Wounds Inflicted by Israeli Soldiers
    IMEMC News | May 21, 2018 3:22 AM
    http://imemc.org/article/detainee-oweisat-dies-from-his-serious-wounds-inflicted-by-israeli-soldiers

    The Palestinian Detainees’ Committee has reported that detainee Aziz ‘Oweisat, 53, died at an Israeli hospital from serious complications after he was assaulted by several Israeli soldiers in the prison, who claimed he attacked an officer with a sharp object.

    The Committee said ‘Oweisat, from Jabal al-Mokabber in occupied Jerusalem, was taken prisoner on March 24, 2014, and was sentenced to a life term.

    The Committee added that he suffered brain hemorrhage and a heart attack after the soldiers continuously assaulting him in Eshil Israeli prison, on May 2, 2018, and went into a coma before he was moved to Ramla Israeli Medical Center.

    Later, the detainee was moved to Assaf Harofeh Medical Center due to the seriousness of his condition, but he suffered further deterioration, and was transferred to Tal HaShomer Medical Center.

    On May 10th, 2018, he underwent heart surgery at Tal HaShomer Israeli Medical Center, and lasted for nearly three hours.

    Despite his serious condition, he was returned a few days ago to Assaf Harofeh Medical Center, after the Administration of Tal HaShomer refused to keep him hospitalized at their facility.

    The Detainees’ Committee said he died at Assaf Harofeh Medical Center, due to the seriousness of his condition.

    It is worth mentioning that the Detainees’ Committee filed an urgent appeal with an Israeli court asking for his release so that he could receive steady medical attention, and the court scheduled the hearing for May 25th. He did not make it to the hearing, however, since he died on May 20th.

    The detainees in Israeli prisons and detention camps declared a three-day mourning period, and demanded that Israel be held accountable for its violations and crimes.

    For its part, the Palestinian Prisoners’ Society (PPS) held Israel fully responsible for his death, especially since the Israeli Prison Authority refused to release him despite its knowledge of his serious condition.

    It added that seven Palestinian detainees have died in the last five years after being denied medical attention, in addition to ‘Oweisat.

    #Palestine_assassinée

  • Names and ages of Palestinians killed by Israeli troops in Gaza

    These are the names of the unarmed Palestinians shot dead by Israeli troops since Friday 30 March, 2018. They were protesting at the Gaza border for the right of return to their ancestral lands and homes, from which they were driven out in 1948. The list does not include the many thousands wounded by live fire.

    Name and age of victims :
    01. Omar Wahid Samour, 31 years old
    02. Mohammed Kamal al-Najjar, 25 years old
    03. Jihad Zuhair Abu Jamous, 30 years old
    04. Amin Mansour Abu Muammar, 22 years old
    05. Ibrahim Salah Abu Sha’er, 17 years old
    06. Nagy Abdullah Abu Hjeir, 25 years old
    07. Musab Zuhair Al-Soloul, 23 years old
    08. Abd al-Qader Mardi al-Hawajri, 42 years old
    09. Mahmoud Saadi Rahmi, 23 years old
    10. Mohammed Naeem Abu Amro, 26.
    11. Ahmed Ibrahim Ashour Odeh, 19.
    12. Jihad Ahmed Farina, 34 years old
    13. Abdel-Fattah Abdel-Nabi, 18 years old
    14. Bader Fayiq al-Sabbagh, 22 years old
    15. Sari Walid Abu Odeh, 27 years old
    16. Hamdan Isma’il Abu Amsha, 23 years old
    17. Fares Al-Ruqab, 29 years old
    18. Ahmad Omar Arafah, 25 years old
    19. Osama Khamis Qdeih, 38 years old
    20. Majdi Ramadan Shabat, 38 years old
    21. Hussein Muhammad Adnan Madi, 13 years old
    22. Subhi Abu Atawi, 20 years old
    23. Mohammad Said al-Haj-Saleh, 33 years old
    24. Sedqi Faraj Abu Atawi, 45 years old
    25. Alaa al-Din Yahya Ismail al-Zamli, 15 years old
    26. Hamza Abd al-Al, 20 years old
    27. Yaser Murtaja, 30 years old
    28. Ibrahim Al-‘ur, 19 years old
    29. Mujahed Nabil Al-Khudari, 25 years old
    30. Marwan Odeh Qdeih, 45 years old
    31. Mohammed Hjeila, 30 years old
    32. Abdallah Al-Shahri, 28 years old
    33. Tahrir Wahba, 17 years old
    34. Saad Abu Taha, 29 years old
    35. Mohammed Ayoub, 15 years old
    36. Ahmed Abu Hussein, 25 years old
    37. Abdullah Shamali, 20 years old
    38. Ahmad Rashad Al Athamna, 23 years old
    39. Ahmed Nabil Aqel, 25 years old
    40. Mahmoud Wahba, 18 years old
    41. Ahmed Dabour, 23 years old
    42. Ayed Hamaydeh, 23 years old
    43, Amjad Qartous, 18 years old
    44. Hesham Abdul-Al, 22 years old
    45. Abd al-Salam Bakr, 29 years old
    46. Mohammed Amin al-Maqeer, 21 years old
    47. Khalil Na’im Mustafa Atallah, 22 years old
    48. Azzam Oweida, 15 years old
    49. Anas Shawqi, 19 years old
    50. Jaber Salem Abu Mustafa, 40 years old
    51. Amin Mahmoud Muammar, 26 years old
    52. Hani Fayez al-Ardarba, 23 years old
    53. Mohammed Khaled Abu Reida, 20 years old
    54. Jamal Abu Arahman Afaneh, 15 years old
    55. Laila Anwar Al-Ghandoor, 8 months old
    56. Ezz el-din Musa Mohamed Alsamaak, 14 years old
    57. Wisaal Fadl Ezzat Alsheikh Khalil, 15 years old
    58. Ahmed Adel Musa Alshaer, 16 years old
    59. Saeed Mohamed Abu Alkheir, 16 years old
    60. Ibrahim Ahmed Alzarqa, 18 years old
    61. Eman Ali Sadiq Alsheikh, 19 years old
    62. Zayid Mohamed Hasan Omar, 19 years old
    63. Motassem Fawzy Abu Louley, 20 years old
    64. Anas Hamdan Salim Qadeeh, 21 years old
    65. Mohamed Abd Alsalam Harz, 21 years old
    66. Yehia Ismail Rajab Aldaqoor, 22 years old
    67. Mustafa Mohamed Samir Mahmoud Almasry, 22 years old
    68. Ezz Eldeen Nahid Aloyutey, 23 years old
    69. Mahmoud Mustafa Ahmed Assaf, 23 years old
    70. Ahmed Fayez Harb Shahadah, 23 years old
    71. Ahmed Awad Allah, 24 years old
    72. Khalil Ismail Khalil Mansor, 25 years old
    73. Mohamed Ashraf Abu Sitta, 26 years old
    74. Bilal Ahmed Abu Diqah, 26 years old
    75. Ahmed Majed Qaasim Ata Allah, 27 years old
    76. Mahmoud Rabah Abu Maamar, 28 years old
    77. Musab Yousef Abu Leilah, 28 years old
    78. Ahmed Fawzy Altetr, 28 years old
    79. Mohamed Abdelrahman Meqdad, 28 years old
    80. Obaidah Salim Farhan, 30 years old
    81. Jihad Mufid Al-Farra, 30 years old
    82. Fadi Hassan Abu Salah, 30 years old
    83. Motaz Bassam Kamil Al-Nunu, 31 years old
    84. Mohammed Riyad Abdulrahman Alamudi, 31 years old
    85. Jihad Mohammed Othman Mousa, 31 years old
    86. Shahir Mahmoud Mohammed Almadhoon, 32 years old
    87. Mousa Jabr Abdulsalam Abu Hasnayn, 35 years old
    88. Mohammed Mahmoud Abdulmoti Abdal’al, 39 years old
    89. Ahmed Mohammed Ibrahim Hamdan, 27 years old
    90. Ismail Khalil Ramadhan Aldaahuk, 30 years old
    91. Ahmed Mahmoud Mohammed Alrantisi, 27 years old
    92. Alaa Alnoor Ahmed Alkhatib, 28 years old
    93. Mahmoud Yahya Abdawahab Hussain, 24 years old
    94. Ahmed Abdullah Aladini, 30 years old
    95. Saadi Said Fahmi Abu Salah, 16 years old
    96. Ahmed Zahir Hamid Alshawa, 24 years old
    97. Mohammed Hani Hosni Alnajjar, 33 years old
    98. Fadl Mohamed Ata Habshy, 34 years old
    99. Mokhtar Kaamil Salim Abu Khamash, 23 years old
    100. Mahmoud Wael Mahmoud Jundeyah, 21 years old
    101. Abdulrahman Sami Abu Mattar, 18 years old
    102. Ahmed Salim Alyaan Aljarf, 26 years old
    103. Mahmoud Sulayman Ibrahim Aql, 32 years old
    104. Mohamed Hasan Mustafa Alabadilah, 25 years old
    105. Kamil Jihad Kamil Mihna, 19 years old
    106. Mahmoud Saber Hamad Abu Taeemah, 23 years old
    107. Ali Mohamed Ahmed Khafajah, 21 years old
    108. Abdelsalam Yousef Abdelwahab, 39 years old
    109. Mohamed Samir Duwedar, 27 years old
    110. Talal Adel Ibrahim Mattar, 16 years old
    111. Omar Jomaa Abu Ful, 30 years old
    112. Nasser Ahmed Mahmoud Ghrab, 51 years old
    113. Bilal Badeer Hussein Al-Ashram, 18 years old
    114. Unidentified
    115. Unidentified
    116. Unidentified

    –-> https://medium.com/@thepalestineproject/names-and-ages-of-palestinians-killed-by-israeli-troops-in-gaza-29bad3a12db6

  • Taste of Cement
    http://www.nova-cinema.org/prog/2018/166-lebanon-days-of-tomorrow/lebanon-days-of-tomorrow/article/the-taste-of-cement

    Ziad Khaltoum, 2017, DE-LB, DCP, VO AR ST FR ANG, 90’

    Avec « Taste of Cement », le jeune réalisateur syrien Ziad Kalthoum signe un étrange film, une hallucination froide et cauchemardesque sur la ville de Beyrouth vu par ceux qui la construisent : les ouvriers venus du pays voisin détruit par la guerre : la Syrie. Servi par la caméra majestueuse de Talal Khoury, chef opérateur libanais ultra talentueux, le film de Kalthoum se développe autour d’une voix-off qui se raconte, entre rêves et souvenirs. Cette voix pourrait être celle de n’importe lequel de ces ouvriers que la caméra suit, dévoile, scrute sur l’immensité de ce paysage en devenir. Visages immobiles qui défilent, corps qui travaillent ou scrutent l’horizon, chaque homme ici perd un peu de son identité dans ce territoire de (...)

  • » Palestinian Dies From Serious Wounds Suffered Last Friday In Gaza IMEMC News – May 3, 2018 12:45 PM
    http://imemc.org/article/palestinian-dies-from-serious-wounds-suffered-last-friday-in-gaza

    Dr. Ashraf al-Qedra, the spokesperson of the Health Ministry in Gaza, has reported that a young Palestinian man died, on Thursday morning, from serious wounds he suffered last Friday, after Israeli soldiers shot and seriously injured him.

    Dr. al-Qedra stated that Anas Shawqi Abu ‘Asser , 19, from Tal al-Hawa neighborhood in Gaza city, was shot with a live round in the head, and remained in the Intensive Care Unit until he succumbed to his serious wound.

    The young man was shot during a nonviolent procession east of the Zeitoun neighborhood, southeast of Gaza City. (...)

    #Palestine_assassinée #marcheduretour

  • » Palestinian Teen Dies From Wounds Suffered On April 1st In Gaza– IMEMC News -
    April 23, 2018 10:42 AM
    http://imemc.org/article/palestinian-teen-dies-from-wounds-suffered-on-april-1st-in-gaza

    The Palestinian Health Ministry has reported that a Palestinian teenager died, Monday, from very serious wounds he suffered, on April 1st, after Israeli soldiers shot him during a nonviolent protest near the border fence, in Khuza’a village, east of Khan Younis, in the southern part of the Gaza Strip.

    The Ministry said the Palestinian, Tahrir Mahmoud Wahba , 18, was shot in the head during a nonviolent procession, and remained in a very serious condition until his death at the European Hospital, in Khan Younis, in the southern part of the Gaza Strip.

    The Palestinian, who is also deaf and cannot speak, was shot near the border fence east of Khuza’a town, east of Khan Younis. He was from Tal al-Sultan area, in nearby Rafah.

    “My son cannot speak or hear, and I frequently tried to prevent him from protesting near the border area,” his mother said, “But he would get angry, and shake his head, refusing to stay home, and insisting on being part of the struggle.”

    #Palestine_assassinée