person:terry gilliam

  • Absolutely Anything (2015)
    https://www.youtube.com/watch?v=NMuYR5PSdtU

    Si vous cherchez toujours le film pas trop chiant pour toute la famille, voici ma proposition. Mon critère de sélections est qu’il soit trop intelligent pour réussir chez les abrutis. Alors quand j’ai lu que la dernière oeuvre de Terry Jones a échoué aux États Unis, je l’ai regardé. Oui, c’est une histoire radicale, assez drôle et enfantile pour clore une soirée de Noël en famille - ce qui arrivera ce soir en Allemagne et demain en France.

    Héhé, on a encore de l’avance sur vous, hein Monsieur Macron !?!

    Cerise sur le gateau Youtube propose le film complet en v.o. avec sous-titres en anglais et si vous préférez en chinois.

    No spoiler - vous pouvez lire la trame dans l’encyclopédie en ligne officielle sans gâcher le plaisir.
    Absolutely Anything — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Absolutely_Anything

    Absolutely Anything est une comédie britannique coécrite par Terry Jones et Gavin Scott et réalisée par Terry Jones en 2015.

    La distribution est composée notamment de Simon Pegg, Eddie Izzard, Joanna Lumley, Kate Beckinsale, Sanjeev Bhaskar, Rob Riggle et les voix originales de Robin Williams (le chien), Michael Palin, Terry Jones, Terry Gilliam, John Cleese, Eric Idle.

    Terry Jones
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Terry_Jones#Biographie

    #film #humour #dieu

  • Sobriété numérique imposée : merci LinkedIn ! – Jean-Marc Jancovici
    https://jancovici.com/publications-et-co/bric-a-brac/sobriete-numerique-imposee-merci-linkedin

    Driver: are you a robot, or a human?
    Cop: I say I am a human, but actually you have no way to check (and some reasons to doubt it because occasionally I omit a word – or add an extra one – in a sentence). But if you ever trespass again a limit that you do not know, I will act as a robot, applying my own (ill-)logic without any feeling.

    Many thanks to Kafka, Orwell, Terry Gilliam and Ubu Roi.

  • Pour « Don Quichotte », la malédiction continue

    http://www.lemonde.fr/cinema/article/2018/04/03/pour-don-quichotte-la-malediction-continue_5279859_3476.html

    C’est l’Arlésienne du septième art. « L’Homme qui tua Don Quichotte » de Terry Gilliam, est enfin prêt à sortir en salles. Mais reste bloqué.

    Il faudrait toujours se fier à Sancho Pança, le fidèle serviteur du fantasque chevalier Don Quichotte, les deux ­héros de l’œuvre de Miguel de Cervantes. « Chacun est comme Dieu l’a fait, et bien souvent pire », observait ainsi le valet, pragmatique en diable.

    Pour avoir négligé cette sentence, voilà que deux figures majeures du septième art en sont à s’étriper. D’un côté, le mythique producteur Paulo Branco, 67 ans, près de 300 films d’auteur à son actif. De l’autre, le légendaire réalisateur Terry Gilliam, 77 ans, créateur inspiré de Brazil et de ­L’Armée des douze singes, et génial démiurge des Monty Python. Le dernier épisode de leur duel se jouera mercredi 4 avril devant la cour d’appel de Paris.

    Aux pieds de ces deux ogres du cinéma mondial, une seule victime : un film, L’Homme qui tua Don Quichotte, ce projet fou caressé par Terry Gilliam depuis un quart de siècle, mille fois enterré et autant de fois ressuscité. Il fit même l’objet d’un documentaire, Lost in La Mancha (2002), retraçant un premier essai – calamiteux – de tournage en 2000, avec Jean Rochefort et Johnny Depp. Tout s’était alors ligué contre Terry Gilliam, y compris sa propre négligence : pluies diluviennes, Rochefort malade, survol constant du plateau de tournage par des avions militaires… Sans compter ces chevaux aussi ­faméliques que Rossinante, la monture du « vrai » Don Quichotte…

    Et le sort continue de s’acharner aujourd’hui : finalement tourné et monté pour de bon en 2017, prêt à être distribué, L’Homme qui tua Don Quichotte est maintenant interdit de sortie, en raison du violent conflit entre Branco et Gilliam. Le Festival de Cannes est prêt à dégainer le film, mais la justice lui en laissera-t-elle l’opportunité ?

    « Je ne suis pas un saint »

    Pourtant, tout semblait réglé, enfin… C’était au Festival de Berlin, en février 2016 : Paulo Branco, allure de pirate fatigué, qui aime à ­fureter un peu partout, entre deux courses hippiques d’endurance – une autre de ses passions, avec le jeu –, est abordé par un producteur italien. Et s’il reprenait la production de L’Homme qui tua Don Quichotte ? Seul souci, il faut trouver 16 millions d’euros, le budget en deçà duquel Terry Gilliam n’entend pas descendre pour réaliser son vieux fantasme.

    Avec Paulo Branco, tout est simple, du moins au ­départ. Il a monté tant de films avec des bouts de ficelle et autres artifices… « Je ne suis pas un saint, reconnaît-il, il y a pas mal de légendes qui courent sur moi dans le milieu, certaines sont vraies… » Mais il dispose d’un sacré ­ réseau, Manoel de Oliveira, Raoul Ruiz ou Chantal Akerman pourraient en témoigner, si ces trois réalisateurs étaient encore de ce monde. Bref, il tope là. Un film réputé impossible ? Excitant. Seize millions d’euros à dénicher en six mois ? Dans ses cordes.

    Le scénario est prêt et les plans de tournage quasi établis, depuis le temps… Le film doit être mis en boîte en onze semaines, au Portugal et en Espagne, à l’automne 2016. Le couvent du Christ, dans la ville portugaise de ­Tomar, est réservé pour le tournage. Les ­acteurs principaux sont retenus : Adam ­Driver, dont la cote est au plus haut à ­Hollywood, et Michael Palin, l’un des membres fondateurs des Monty Python. Driver touchera 610 000 euros, Palin 285 000 euros. Gilliam, lui, percevra 750 000 euros. Sa fille, Amy Gilliam, est embauchée comme directrice de production. Des cours d’équitation, à Londres et à New York, sont prévus en ­urgence pour Driver et Palin.

    « J’avançais avec prudence, se souvient Branco. Dans la plupart des films de Gilliam, les budgets avaient explosé. Mais j’ai vite compris qu’il avait une haine profonde envers les producteurs. J’ai commencé à avoir des doutes, alors même que j’avais une grande partie du financement. » En face, même méfiance. « Branco a commencé à faire le ménage », sans prévenir Terry Gilliam, avance Me Benjamin Sarfati, l’avocat du réalisateur britannique d’origine américaine. « Nous avions été mis en garde, pourtant. Il est brutal, charismatique, autocrate et peu fiable. Il a planté X boîtes… Et il n’avait pas l’argent. »

    De fait, Branco a connu quelques faillites, il ne s’en cache d’ailleurs pas. La production de films est un sport à haut risque. Mais il a pu monter, en 2012, un autre long-métrage à gros budget, Cosmopolis, de David Cronenberg, une référence. Ça rassure les Gilliam, dans un premier temps.

    Pourtant, tout indique que, dès le début, la défiance était de mise. Le Monde a eu accès aux échanges de courriels entre les duellistes. C’est gratiné. Et précis.

    Terry Gilliam, une promesse de folie

    C’est d’abord Michael Palin qui se plaint à son ami Gilliam : finalement, c’est une offre de seulement 100 000 euros qui lui est faite par Branco. Le réalisateur anglais écrit dans la foulée, le 24 mars 2016, à son producteur : « L’offre faite à Michael Palin a été reçue comme une gifle, et ça a été encore plus désagréable pour moi de tenter de le calmer. Je ne te connais pas encore suffisamment pour te faire confiance ou ne pas te faire confiance. »

    Les échanges se tendent. Quid du budget ? Branco se démène, sollicite l’arrière-ban de ses amis. Jack Lang use de sa plume pour ­essayer de convaincre Delphine Ernotte, la patronne de France Télévisions, Gilles ­Pélisson, le boss de TF1, ou Vincent Bolloré, celui de Canal+, de mettre au pot pour aider son ami portugais.

    Le producteur tente d’affirmer sa position, dans un nouveau mail à Gilliam : « Ce projet, pour qu’il devienne une réalité, doit avoir un vrai producteur et un seul, un capitaine. (…) Tout cela dans une transparence parfaite et permanente de discussion budgétaire. » Le « capitaine », c’est Branco, bien sûr. Gilliam, qui a trop envie de faire ce film, fait fi des mises en garde de ses amis. Il leur écrit, le 26 mars 2016 : « Merci à tous pour vos conseils, avertissements, menaces, mais la seule façon dont le film sera fait cette année est de se jeter dans la folie… avec Paulo. » S’il avait su à quel point il aurait raison…

    Le 29 avril 2016, Gilliam cède donc ses droits d’auteur-réalisateur à Alfama, la ­société de Branco, par l’intermédiaire d’un contrat solide, dans lequel le producteur s’engage à faire preuve de transparence et à ­respecter les désirs du créateur. Auparavant, le 31 mars 2016, Alfama avait également acquis les droits du scénario auprès d’un ­producteur britannique, RPC. Tout paraît calé sur le plan juridique.

    Les conflits se multiplient

    Le 18 mai 2016, au Festival de Cannes, c’est l’émeute : Gilliam et Branco annoncent le projet à la presse. Même si Gilliam n’a rien réalisé de notable depuis longtemps, son nom est une promesse de folie. Un chef-d’œuvre est toujours possible, même à 77 ans. Surtout avec Branco, le faiseur de ­miracles. Mais en coulisses, cela se passe de plus en plus mal…

    Branco fait preuve d’une impétuosité qui dérange. Amazon, qui doit investir plus de 2,5 millions d’euros dans le film, se méfie de Branco et retire vite ses billes. Très précisément le 17 mai 2016, la veille de la conférence de presse de Cannes… En témoigne ce mail de Matthew Heintz, l’un des cadres d’Amazon, furieux de voir que sa société est déjà citée alors qu’aucun contrat ne la lie ­encore au film : « Nous n’avons pas donné notre accord au projet de rendre public notre engagement. (…) Bien que nous admirions les goûts de Paulo et son palmarès, au vu des ­interactions que nous avons eues avec lui, nous ne souhaitons pas poursuivre plus avant les négociations avec lui. »

    Fâcheux, d’autant que Branco a également rompu les ponts avec d’autres financiers pressentis. La société de production Kinology, par exemple. Dans un mail lapidaire, celle-ci affirme : « On ne fera pas le film ­ensemble. » Et les conflits se multiplient. A chaque fois, Branco tranche, violemment : la coiffeuse est trop chère, l’assistant-réalisateur aussi, il tente d’imposer sa sœur comme costumière, se dispute avec Amy Gilliam, ­récuse Michael Palin, trop vieux et pas cavalier pour un sou… Il veut aussi tourner en ­numérique, pour faciliter les effets spéciaux, tandis que Gilliam souhaite user du bon vieux 35 mm. Et puis, les dates ne conviennent plus : il pleut en octobre, le printemps 2017 serait plus indiqué, etc.

    Un parfum de « Panama Papers »

    Le film doit entrer en préproduction, mais rien ne va plus. « Il est temps de jouer cartes sur table. (…) J’ai malheureusement bien l’impression que c’est une question d’argent », attaque Gilliam. « Je n’accepte pas ce genre de comportement d’enfant gâté », rétorque Branco.

    Le 10 juin 2016, une réunion est organisée pour sauver le film. Peine perdue : Gilliam réclame des garanties financières. « Je vais devoir ­annuler tout cela immédiatement et vous renvoyer tous à la maison », se fâche Branco. Le 6 août 2016, il met sa menace à exécution. Par mail, il intime l’ordre à Gilliam d’accepter ses conditions : en substance, Branco devra être seul maître à bord, y compris dans le choix des équipes techniques.

    Inacceptable pour Gilliam. « Toutes tes ­demandes sont totalement incompatibles avec le contrat écrit que j’ai signé », répond-il à Branco, fustigeant aussi son « comportement déloyal et trompeur ». Amy Gilliam ­dénonce, dans un mail, le « comportement d’un tyran et d’un intimidateur ». Réaction immédiate du producteur : il suspend sine die la mise en œuvre du film, tout en prorogeant ses droits sur le scénario. Don Quichotte renoue avec la malédiction.

    Fort de ses contrats en béton armé, Branco attend la contre-offensive. De fait, des plaintes sont déposées en Espagne, au Royaume-Uni et en France. Elles doivent permettre à Gilliam de récupérer ses droits d’auteur, de réalisateur et de scénariste. Sans ceux-ci, difficile de relancer le projet. Mais deux premiers jugements, rendus en 2017 à Paris (en mai) et à Londres (en décembre), donnent raison à Branco.

    Pourtant, Gilliam n’a pas rangé son épée. Il décide de faire son film, malgré tout ! Il trouve un autre producteur, réunit les 16 millions d’euros et lance le tournage, au printemps 2017, avec Jonathan Pryce, qui a suppléé Palin. « Il a suivi toutes mes recommandations, tous mes conseils !, s’indigne Branco, ulcéré d’avoir été dépossédé. Alors, je suis allé voir son contrat, déposé au CNC. » Il fait une drôle de découverte : « Gilliam a demandé à être payé 750 000 euros au Panama ! C’est ça, l’idole de la gauche britannique, le donneur de leçons ? Moi, j’aurais refusé de le payer au ­Panama ! Et comment a-t-il pu bénéficier, dans ces conditions, de fonds publics, notamment d’Eurimages ? »

    De fait, Terry Gilliam est bien détenteur, depuis 1980, d’une société, nommée BFI, sise au Panama, par l’intermédiaire du cabinet d’avocats Mossack Fonseca, au cœur du scandale des « Panama Papers »… « C’est parfaitement assumé et légal vis-à-vis du fisc britannique, assure l’avocat de Gilliam. Branco bloque le film et empêche sa sortie, c’est un grand pervers qui a orchestré un braquage organisé. »

    « Gilliam est fou »

    Plusieurs médiations ont été proposées par Paulo Branco et son avocate, Me Claire Hocquet, qui réclament 3,5 millions d’euros de dédommagement pour laisser le film être projeté sur les écrans. « S’ils passent en force, nous ferons usage de toute voie de droit », prévient Me Hocquet. « Je ne céderai pas, renchérit Branco. Ils se sont comportés comme si j’étais fini, dépassé. Gilliam est fou et mythomane. »

    « Branco fait tout pour dynamiter la sortie du film, réplique Me Sarfati. C’est le sens de son chantage : “Vous me versez 3,5 millions d’euros ou je détruis le film, et je détruis Terry.” »

    Aux magistrats de la cour d’appel de Paris, désormais, de trancher, en méditant, peut-être, cet aphorisme de Cervantès : « Oiseaux de même plumage volent en compagnie. »

  • Un père horrible - le fils de Hunter S. Thompson raconte
    https://www.youtube.com/watch?v=DKxgSqS8ep8

    Who Was Hunter S. Thompson? His Private Life - Biography (2016)

    Hunter Stockton Thompson (July 18, 1937 – February 20, 2005) was an American journalist and author, and the founder of the gonzo journalism movement.

    Hunter Stockton Thompson (July 18, 1937 – February 20, 2005) was an American journalist and author, and the founder of the gonzo journalism movement. About the book: https://www.amazon.com/gp/product/030... The film Where the Buffalo Roam (1980) depicts heavily fictionalized attempts by Thompson to cover the Super Bowl and the 1972 U.S. presidential election. It stars Bill Murray as Thompson and Peter Boyle as Thompson’s attorney Oscar Zeta Acosta, referred to in the movie as Carl Lazlo, Esq. The 1998 film adaptation of Fear and Loathing in Las Vegas was directed by Monty Python veteran Terry Gilliam, and starred Johnny Depp (who moved into Thompson’s basement to “study” Thompson’s persona before assuming his role in the film) as Raoul Duke and Benicio del Toro as Dr. Gonzo. The film has achieved something of a cult following. The film adaptation of Thompson’s novel The Rum Diary was released in October 2011, also starring Johnny Depp as the main character, Paul Kemp. The novel’s premise was inspired by Thompson’s own experiences in Puerto Rico. The film was written and directed by Bruce Robinson.[77] At a press junket for The Rum Diary shortly before the film’s release, Depp said that he would like to adapt The Curse of Lono, “The Kentucky Derby Is Decadent and Depraved”, and Hell’s Angels for the big screen: “I’d just keep playing Hunter. There’s a great comfort in it for me, because I get a great visit with my old friend who I miss dearly.”[78] Fear and Loathing in Gonzovision (1978) is an extended television profile by the BBC. It can be found on disc 2 of The Criterion Collection edition of Fear and Loathing in Las Vegas. The Mitchell brothers, owners of the O’Farrell Theatre in San Francisco, made a documentary about Thompson in 1988 called Hunter S. Thompson: The Crazy Never Die. Wayne Ewing created three documentaries about Thompson. The film Breakfast with Hunter (2003) was directed and edited by Ewing. It documents Thompson’s work on the movie Fear and Loathing in Las Vegas, his arrest for drunk driving, and his subsequent fight with the court system. When I Die (2005) is a video chronicle of making Thompson’s final farewell wishes a reality, and documents the send-off itself. Free Lisl: Fear and Loathing in Denver (2006) chronicles Thompson’s efforts in helping to free Lisl Auman, who was sentenced to life in prison without parole for the shooting of a police officer, a crime she didn’t commit. All three films are only available online.[79] In Come on Down: Searching for the American Dream[80] (2004) Thompson gives director Adamm Liley insight into the nature of the American Dream over drinks at the Woody Creek Tavern. Buy the Ticket, Take the Ride: Hunter S. Thompson on Film (2006) was directed by Tom Thurman, written by Tom Marksbury, and produced by the Starz Entertainment Group. The original documentary features interviews with Thompson’s inner circle of family and friends, but the thrust of the film focuses on the manner in which his life often overlapped with numerous Hollywood celebrities who became his close friends, such as Johnny Depp, Benicio del Toro, Bill Murray, Sean Penn, John Cusack, Thompson’s wife Anita, son Juan, former Senators George McGovern and Gary Hart, writers Tom Wolfe and William F. Buckley, actors Gary Busey and Harry Dean Stanton, and the illustrator Ralph Steadman among others. Blasted!!! The Gonzo Patriots of Hunter S. Thompson (2006), produced, directed, photographed and edited by Blue Kraning, is a documentary about the scores of fans who volunteered their privately owned artillery to fire the ashes of the late author, Hunter S. Thompson. Blasted!!! premiered at the 2006 Starz Denver International Film Festival, part of a tribute series to Hunter S. Thompson held at the Denver Press Club. In 2008, Academy Award-winning documentarian Alex Gibney (Enron: The Smartest Guys in the Room, Taxi to the Dark Side) wrote and directed a documentary on Thompson, titled Gonzo: The Life and Work of Dr. Hunter S. Thompson. The film premiered on January 20, 2008, at the Sundance Film Festival. Gibney uses intimate, never-before-seen home videos, interviews with friends, enemies and lovers, and clips from films adapted from Thompson’s material to document his turbulent life.

    #USA #littérature #journalisme #famille #violence

  • Classer les choses, penser les hommes (3/4)
    Tous fichés ?

    LSD, La série documentaire par Perrine Kervran – 17/01/2018
    https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/classer-les-choses-penser-les-hommes-34-tous-fiches

    http://rf.proxycast.org/1390971409584365568/10177-17.01.2018-ITEMA_21558541-0.mp3

    Des vies dans des serveurs et des noms sur des fiches

    Aujourd’hui nos vies ont des reproductions sous forme de données ou de traces dans des serveurs et sont répliquées partout dans le monde. De quoi sont faites ces données, comment sont-elles utilisées, qu’est-ce qu’elles racontent de notre identité ?

    2,5 millions de fiches et 600 000 dossiers constituent le fichier central de la sureté nationale, un incroyable « fossil archivistique » conservé aux archives nationales datant du 19ème siècle et qui raconte de manière administrative le destin de millions de personnes.

    Classer les signes visibles, marquer les gens, le fichage des êtres humains que ce soit économique ou politique suscite toujours des inquiétudes légitimes. Des serveurs de Pantin aux fichiers administratifs, réflexion autour du fichage et de l’identification.

    "Qu’est ce qui fait mon identité, la vôtre, qu’est ce qui fait que je suis différent de vous, qu’est ce qui fait que vous êtes unique et que personne ne vous ressemble ?

    Nous sommes à la fois là et dans le serveur.

    On a été des catégories maintenant nous sommes des comportements.

    Imaginons une situation où vous observez que chaque nuit la lumière chez telle personne s’allume et s’éteint 4 ou 5 fois, qu’est-ce que ça peut vouloir dire ?

    J’ai besoin de vivre dans une société dans laquelle des gens cachent des choses.

    Ces fichiers sont la seule trace de l’existence de millions de gens."

    AVEC

    Arnaud Laroche, directeur associé de la société EY
    Mokrane Lamari, directeur des opérations clients chez Equinix France
    Dominique Cardon, sociologue et directeur du laboratoire de recherche MédiaLab de Science Po
    Jean-Marc Berlière, professeur émérite d’histoire contemporaine à l’université de Bourgogne et chercheur au CNRS
    Marion Veyssière, conservateur du patrimoine aux Archives Nationales et responsable du département de la justice et de l’intérieur
    Violaine Challeat-Fonck, conservateur aux Archives Nationales en charge des fonds du ministère de l’intérieur

    Une série documentaire de Laëtitia Druart, réalisée par Doria Zénine

    BIBLIOGRAPHIE

    A quoi rêvent les algorithmes ? Nos vies à l’heure des big data - Dominique Cardon, éditions du Seuil

    Histoire de l’identification des personnes - Ilsen About et Vincent Denis, éditions de La Découverte

    Fichés ? Photographie et identification du second empire aux années 60 - Catalogue de l’exposition sous la direction de Jean-Marc Berlière et Pierre Fournié

    EXTRAITS DES FILMS

    « Le prisonnier » de George Markstein et Patrick McGoohan (1967)

    « Alphaville » de Jean Luc Godard (1965)

    « Brazil » de Terry Gilliam (1985)

    EN PARTENARIAT

    Cette semaine, LSD, La série documentaire est en partenariat avec Tënk, la plateforme du documentaire d’auteur, qui vous permet de visionner le film de Philippe Ayme, intitulé Brigitte Senut, la dame aux fossiles.

  • C’est super chiant Blade Runner en fait, on dirait une vieille série B des années 80.

    Il repassait ce soir sur Arte, j’ai refait un essai mais vraiment, non, c’est vraiment pas ma tasse de culte.

    Les trucs technologiques bien dépassés, j’agrandis une photo comme dans les Experts Miami, les voitures qui décollent en faisant de la fumée...
    Le jeu d’acteurs (Harrison Ford, au secours), les coiffures, les fringues, l’imper transparent de la réplicante, les cadrages... série B !

    Y’a que la bande son et la musique à sauver (et pourtant je suis pas particulièrement fan de Vangelis).

    Pénible.

    Je l’avais vu ado, j’avais du pas mal fumer pour le trouver « cool ».
    Revu il y a quelques années chez Utopia (version remasterisée je crois, en tout cas bien marketée). Je voulais surtout le montrer à mes mômes.
    Ils ont vachement aimé plein de films que je leur ai montrés, mais Blade Runner, pas vraiment bluffés...

    En échange, je vous propose un film de Terry Gilliam qui n’a pas fait beaucoup parler de lui, démoli par la critique, mais que j’aime beaucoup : The zero theorem.

    http://www.imdb.com/title/tt2333804

    Inventif, touchant, dystopique (on dit qu’il est dans sa trilogie orwellienne), là vous allez vraiment vous régaler.

    Et mes mômes l’ont adoré celui là.

    #films_de_culte

  • Signataires de la pétition pour Roman Polanski / All signing parties to Roman Polanski’s petition - SACD
    http://www.sacd.fr/Tous-les-signataires-de-la-petition-All-signing-parties.1341.0.html ?

    #souteneurs #showbiz #viol #pédophile

    Roman Polanski a été informé des nombreux témoignages envoyés jusqu’à maintenant et vous remercie de votre soutien.

    Roman Polanski has been informed of the large number of messages that have been sent to him so far and thanks you for the support you keep giving him.

    [dernière MAJ : 29 octobre 16h / last update : october 29th - 4pm]

    Olivia A. Bugnon, Michael A. Russ, Erika Abrams, Marguerite Aflallo, Fortunio Aflallo, Stéphane Agussol, Fatih Akin, Yves Alberty, Stephane Allagnon, Brice Allavoine, Woody Allen, Pedro Almodovar, Gianni Amelio, Greta Amend, Wess Anderson, Michel Andrieu, Roger Andrieux, Pascale Angelini, Yannick Angelloznicoud, Jean-Jacques Annaud, Bernard Anne, Tomas Arana, Frédéric Aranzueque-Arrieta, Alexandre Arcady, Fanny Ardant, Asia Argento, Judith Arlt, Marie-Hélène Arnau, Stéphane Arnoux, Darren Aronofsky, Stéphanie Arques-Voitoux, Olivier Assayas, Alexander Astruc, Simone Audissou, Gabriel Auer, Jennifer Augé, Zdzicho Augustyniak, Alexandre Babel, Vladimir Bagrianski, Jean-Yves Bainier, Hélène Bainier, Lubomila Bakardi, Fausto Nicolás Balbi, Eleonor Baldwin, Jean-François Balmer, Alberto Barbera Museo nazionale de Torino, Sylvie Bardet-Borel, Ruth Barensteiner, Luc Barnier, Christophe Barratier, Ernest Barteldes, Carmen Bartl, Pascal Batigne, Sylvette Baudrot, Anne Baudry, Henning Bauer, Tone Bay, Juan Antonio Bayona, Xavier Beauvois, Liria Begeja, Matthieu Béguelin, Gilles Behat, Jean-Jacques Beineix, Marco Bellochio, Yannick Bellon, Florence Bellone, Monica Bellucci, Véra Belmont, Jacqueline Belon, Jean-Marc Benguigui, Djamel Bennecib, Saïd Ben-Said, Luc Béraud, Jean-Pierre Berckmans, Jacob Berger, Christof Berger, Alain Berliner, Gael Garcia Bernal, Pascal Berney, Xavier Berry, Jean-Paul Bertin, Bernardo Bertolucci, Giuseppe Bertolucci, Jean-Marie Besset, Nico Beyer, Marlène Bisson, Arnstein Bjørkly, Lucien Blacher, Jean-Marc Bloch, Léa Bloch, Marks Blond, Catherine Boissière, Anne-Sylvie Bonaud, Olivier Bonnet, Thierry Boscheron, Renata Bosco, Freddy Bossy, Claudia Bottino , Jacqueline Bouchard, Louise Anne Bouchard, Patrick Bouchitey, Cédric Bouchoucha, Paul Boujenah, Patrice Bourbon, Frédéric Bourboulon, Jérôme Bourgon, Etienne Boussac, Christine Bouthemy, Katia Boutin, Elizabeth Brach, Ian Brady, Jacques Bral, Sophie Bramly, Paulo Branco, Patrick Braoudé, Guila Braoudé, Edwin Brienen, Adrien Brody, Stéphane Brodzki, Isabelle Broué, Max Brun, Merima Bruncevic, Bastien Brunel, Caroline Brunner, Anne Burki, André Buytaers, Anthony Byrne, Come Caca, Marco Cacioppo, Gerald Calderon, Monica Cannizzaro, Peggy Carajopoulou-Vavali, John Carchietta, Christian Carion, Angela Carlin, Henning Carlsen, Jean-Michel Carré, Esteban Carvajal Alegria, Lionel Cassan, Bryan Cassiday, Pascale Castioni, Miss Catadler, Steve Catieau, Morgane Caux, Mathieu Celary, Pedro Celestino, Teco Celio, Muriel Cerf, Dabiel Chabannes, Thierry Chabert, Chagi, Jean-Yves Chalangeas, Daniel Champagnon, Christophe Champclaux, Georges Chappedelaine , Litseselidis Charalampos, Yann Charbonnier, David Charhon, Fabienne Chauveau, Claire Chazal, Valérie Chemarin, Patrice Chéreau, Hubert Chertier, Brigitte Chesneau, Marie-Christine Chesneau, Michel Chevalier, Franck Chevalier, Mishka Cheyko, Catherine Chiono, Catherine Chouchan, Elie Chouraqui, Alex Cichy, Souleymane Cissé, Jean- Pierre Clech, Henri Codenie, Robert Cohen, Olivier Cohen, Lilia Cohen Decerisy, Catherine Colassin, Suzanne Colonna, Jean-Paul Commin, Andrea Concato, Patrick Conrad, Anne Consigny, Alain Cophignon, Antony Cordier, Alain Corneau, Jérôme Cornuau, Bruno Coulais, Guy Courtecuisse, Miguel Courtois, Antoine Courtray, Christiane Courvoisier, Guillaume Cousin, Morgan Crestel, Rudyard Cretenet, Dominique Crevecoeur, Alfonso Cuaron, Estelle Cywje, Isabelle D. Philippe, Nicola D’Ugo, Frédéric Damien, Sophie Danon, Bill Darbyshire, Olivier Dard, Luc et Jean-Pierre Dardenne, Isabelle Dassonville, Sophie Davidas, Robin Davis, Bruno de Almeida, Marion de Blaÿ, Agnès de Kergorlay, François de Lamothe, Hervé de Luze, Artus de Penguern, Valérie de Saint-Do, Wim De Temmerman, Virginie De Wilde, Christel de Wit, Olivier Debert, Viviane Decuypere, Guillermo del Toro, Alain Delannoy, Benoît Delmas, Michel Deloore, Jonathan Demme, Nicolaine den Breejen, Ruud den Dryver, Louisa Dent, Caroline Deruas, Edwin Dervaux, Dante Desarthe, Romain Desbiens, Sophie Deschamps, Thomas Desjonquères, Alexandre Desplat, Chris Devi, Rosalinde et Michel Deville, Guillaume D’Ham, Christelle Didier, Dieter Diependaele, Anne-Sophie Dinant, Kathrin DiPaola, Claire Dixsaut, Julien Doger, Catherine Doire, Xavier Dolan, Fanny Dollé-Labbé, Helen Donlon, Ariel Dorfman, Kristen Doty, Jean Douchet, Thierry Drean, Fabrice du Welz, Marina Duarte Nunes Ferreira, Nicholas Dubreuil, Danièle Dubroux, Martine Dugowson, François Duhamel, Sissi Duparc, Jean Dusaussoy, Verlaine Eddy, Daniel Edinger, Yaniv Elani, Majka Elczewska, Benoît Eliot, Gerónimo Elortegui, Elrem, Sam Enoch, Peter Lucas Erixon, Ernest, Ann Eyckmans, Nicolas Fagard, Jacques Fansten, Joël Farges, Gianluca Farinelli (Cinémathèque de de Bologne), Etienne Faure, Pierre Antoine Faure, Guy Ferrandis, Maud et Romain Ferrari, Michel Ferry, Jean Teddy Filippe, Aurélie Fiorentino, Alan Fischer, Bob Fischer, Martine Fitoussi, Sebastian Fleischhacker, Joy Fleury., Michael Flynn, Hugues Fontenoy, Scott Foundas, Werner Fraai, Jean-Robert Franco, Stephen Frears, Patrick Frégonara, Marion Frelat, Thierry Frémaux, Christine Freret, Marc Freycon, Nadine Fruchard, Sam Gabarski, Dominique Gadoin, Jean Francois Gaillard, René Gainville, Sara Gandolfi, Fernand Garcia, Matteo Garone, Vincent Garreau, Philippe Garrel, Yves Gasser, Tony Gatlif, Catherine Gaudin-Montalto, Jean-Marc Gauthier, Costa Gavras, Christiane Gehl-Gabadou, Nathalie Geiser, Lizi Gelber, Isabelle Gély, Jean-Marc Ghanassia, Alain Gil, Véronique Gillet, Terry Gilliam, Christian Gion, Zbiggy Giovanos, Agata Giovanos, François Girault, Stéphane Gizard, Michaël Goldberg, Nelson Gonzalez, Carlos Miguel Bernardo González, Charles Andre Gordeaux, Christophe Goumand, Yann Gozlan, Michel Gras, Eric Gravereau, Martin Gregus, Dominique Greusard, Thierry Grizard, Serge Grünberg, Geoffroy Guerrier, Florent Guézengar, Marc Guidoni, Laurence Guillat, Bernd Günther, Marta Gutowska, Michele Hababou, Mikael Håfström, Lesly Hamilton, Catherine Hargreaves, Ronald Harwood, Dimitri Haulet, Geert Heirbaut, René Heitz, Buck Henry, Michèle Henx, Nicole Herbaut de Lamothe, Ingrid Herbert, Thoralf Herz, Siegfried Hettegger, David Heyman, Laurent Heynemann, Joshua Highfield , Patrick Hirigoyen, Fritz Erik Hoevels, Dominique Hollier, Isabelle Hontebeyrie, Frédéric Horiszny, Andreas Horvath, Robert Hossein, Igor Hrovatic-Hanover, Jean-Loup Hubert, Wendy Hudson, Allison Hull, Alejandro Gonzalez Inarritu, Luce Jaccard, Gilles Jacob, Eric et Veronique et Nicolas Jacquelin, Olivier Jacquet, Just Jaeckin, Thomas Jahn, Olivia Janik, Olivier Jansen, Nihad Christian Jarallah, Jean-Baptiste Jay, Anne Jeandet, Marie Jergan, Alain Jessua, Renate Jett, Sébastien Jimenez, Arthur Joffé, Pierre Jolivet, Kent Jones (World Cinema Foundation) , Erik Jørgensen, Emmanuelle Jossifort, Peter Josy, Florence Joutel, Rémy Jouvin Bessière, Alexandra Julen, Paola Jullian, Roger Kahane, Pierre Kalfon, Elisabeth Kalinowski, Michel Kammoun, Pascal Kané, Reena Kanji, Nelly Kaplan, Wong Kar Waï, Katylodola, Elisabeth Keplinger, Nicolas Kermel, Darius Khondji, Nathalie Kiener, Ladislas Kijno, Luc Kinsch, Muriel Kintziger, Richard Klebinder, Jonathan Klein, William Klein, Harmony Korinne, Jan Kounen, Andrzej Krakowski, Chantal Krakowski, Sylvia Kristel, Hanna Kudelski, Diane Kurys, Elzbieta Kusak-Majchrzak, Emir Kusturica, Irene Kuznetzova, Jean Labadie, Eliane Lacroux, Eric Lagesse, Michel Laigle, Stéphane Lam, John Landis, Claude Lanzmann, David Lanzmann, André Larquié, Pauline Larrieu, Jacques et Françoise Lassalle, Marc Latil, Carole Laure, Christine Laurent-Blixen, Pierre Laville, Emilien Lazaron, Junille Le Pesteur, Eric Le Roy, Pierre Le Scouarnec, Fábio Leal, Pawel Lech, Vinciane Lecocq, Eric Lecocq, Patrice Leconte, Linda Lefebvre, Béatrice Lefoulon, Catherine Legal, Delphine Legros, Claude Lelouch, Jean-louis Lemierre, Ann Lemonnier, Julieta Lencina, Alain Lenglet, Gérard Lenne, Claudine Lenoir, Julie Lerouxel, Les Nanaqui, Larry Levine, Charlotte Levy, Lorraine Lévy, Pierre et Renée Lhomme, Stephane Lioret, Katarzyna Lipinska, Marish Lippi, Jean-Marc Loiseau, Catherine Rachel Loiseau, Cynthia Long, Jean-Claude Irving Longin, Marisa Lorah, Marceline Loridan-Ivens, Nicole Lormeau, Joffrey Louis, Michael Louis Wells, Boris Loundine, Rachel Lowenstein, Catalina Lozano, Hugo Luczyc-Wyhowski, Flore Luquet, Laurence Lustyk, David Lynch, Bania Madjbar, Krzysztof Majchrzak, Velipekka Makkonen, Laurent Malet, Tim Malieckal, Guy Malugani, Erling Mandelmann, Bertrand Mandico, Michael Mann, Alessandro Marcelli, Carlos Marciales, Yvon Marciano, François Margolin, Joseph Marin, Jean-Pierre Marois, Tonie Marshall, Alexandre Martelin, Alain Martin, Sandrine Martin, Danielle Martinetti, Florent Martinez, Didier Martiny, Mario Martone, Thierry Mathelin, Christine Mathis, Esmeralda Mattei, Nicolas Mauvernay, Yannick Mazet, Christopher, Spencer et Claire Mc Andrew, Natalie Mei, Michelle Géranium Melman-Gory, Guillermo Menaldi, Mathieu Mercier, Muriel Mercier, Frédéric Mermoud, Nicolas Mesdom, Laura Metaxa, Margot Meynier, Allison Michel, Radu Mihaileanu, Anna Mikropoulou, Jean-Louis Milesi, Claude Miller, Lionel Miniato, Eric Miot, Bernard Mirgain, Annie Misserey, Nelly Moaligou, Jean - Marc Modeste , Mario Monicelli, Maryline Monthieux, Miguel Morales, Jeanne Moreau, Frédéric Moreau, Sarah Moreau-Flament, Gael Morel, Christian Morel de Sarcus, Omayra Muñiz Fernández, Carmen Munoz, Stephanie Murat, Christian Mvogo Mbarga, Tim Myers, Anna N.Levine, Elisabeth Nègre, Charles Nemes, Florence Nicolas, Juliette Nicolas-Donnard, Sandra Nicolier, Edouard Niermans, Rachel Noël, Rui Nogueira, Olivier Nolin, Alejandra Norambuena Skira, Anna Nordahl, Fabrice Nordmann, Fabrice O. Joubert, Sigrid Obellianne, Lucien Obellianne, Marc Obéron, Michel Ocelot, David Ogando, Mariana Oliveira Santos, Szentgyörgyi Ottó, Martine Pagès, Eric Pape, Vincent Pappalardo, Jacques Paratte, Nadia Paschetto, Abner Pastoll, Alexander Payne, Guy Péchard, Nicola Pecorini, Richard Pena (Directeur Festival de NY), Lindsey Pence, Olivier Père, Suzana Peric, Vladimir Perisic, Patrick Perlman, Jacques Perrin, Laurent Petitgirard, Cesare Petrillo, Hervé Philippe, Thomas Pibarot, Andréa Picard, Michel Piccoli, Arnaud Pierrichon, Stéphane Pietri, Anne Pigeon Bormans, Samuel Pinon, Claude Pinoteau, Jean Piva, Guillaume Pixie, Gosia Plachta, Michele Placido, Sabrina Poidevin, Agnès Catherine Poirier, Emmanuel Pollaud-Dulian, Maud Pommier-Samaan, Jean-Yves Potel, Stéphane Pozderec, Harry Prenger, Jean et Marie Prévost, Gilbert Primet, Peter Priskil, Angélique Prokop, Stefanos Psaromiligas, Bozena Psztyk, Florence Quentin, Marie-Hélène Raby, Philippe Radault, Tristan Rain, Florence Raphaël, Jean-Paul Rappeneau, Joseph Rassam, Rolandas Rastauskas, Brett Ratner, Raphael Rebibo, Redha, Ben Omar Redouan, Carol Reid, Dusan Reljin, Jo Reymen, Laurence Reymond, Catherine Reynier-Barateau, Yasmina Reza, Christiane Rhein, Jacques Richard, Dominique Robert, Margarita Robski, Pascale Rocard, Jean-Jacques Rochut, Christian Rogler, Yannick Rolandeau, Michèle Rollin, Paul Rondags, Avital Ronell, Frank Roozendaal, Graciela Rosato, michèle Rossi-Ducci, Elisabeth Roudinesco, Kontochristopoulou Roula, Laurence Roulet, Joshua Rout, Paolo Roversi, Didier Roy, Jacques Rozier, Charles Rubinstein, Isabelle Ruh, Martin Ruhe, Sonia Rykiel, Anita S. Chang, Esteban S. Goffin, Joaquin Sabina, Marc Saffar, Ludivine Sagnier, Gabriela Salazar Scherman, Thérèse Saliceti, Walter Salles, Jean-Paul Salomé, Jean-Frédéric Samie, Marc Sandberg, Emmanuel Sapin, Léo Scalpel, Jerry Schatzberg, Richard Schlesinger, Kirstin Schlotter, Daniel Schmidt, Georg Schmithüsen, Julian Schnabel, Pierre Schoendoerffer, Barbet Schroeder, J. Neil Schulman, Pierre Schumacher, Pierre-Alexandre Schwab, Ettore Scola, Luis Gustavo Sconza Zaratin Soares, Martin Scorsese, Carole Scotta, Steven Sedgwick, Andrea Sedlackova, Frank Segier, Michèle Seguin-Sirhugue, Guy Seligmann, Dominique Sels, Elis Semczuk, Christiane Semczuk, Lorenzo Semple Jr, Julien Seri, Joël Séria, Catherine Sermet, Olivier Séror, Henry-Jean Servat, Ken Seton-Vyhnal, Sophie Sharkov, Boris Shlafer, Nanan Sikki, Antoine Silber, Pierre Silvant, Charlotte Silvera, Noel Simsolo, Christophe Sirodeau, Philippe Sisbane, Abderrahmane Sissako, Beatrice Sisul , Grégoire Sivan, Petter Skavlan, Romain Slocombe, Jola Lech Slowianska, Marcin Sokolowski, Pierre Somers, Loïc Sorel, Paolo Sorrentino, Valérie Soulier, Arnaud Soulier, Vassilis Sourapas, Yannis Stavrou, Roch Stephanik, Karen Stetler, Denise Stieglitz, Guillaume Stirn, Bernard Stora, Stephan Streker, Gérard Stum, Jean-Marc Surcin, Tilda Swinton, Christian Szafraniak, Piotrek Szymanek, Jean-Charles Tacchella, Radovan Tadic, Mickael Tanguy, Danis Tanovic, Bertrand Tavernier, André Techiné, Katie Teece, Hutfer Teense, Cécile Telerman, Harold Alvarado Tenorio, Marie-Ange Terrier, Alain Terzian, Christian Texier, Jean-Paul Thaens, Valentine Theret, Virginie Thévenet, Alexandre Thiery, Pascal Thomas, Jeremy Thomas, Marc Thomas Charley, Balthasar Thomass, Cyril Thurston, Zelda Tinska, Frédérique Topin, Giuseppe Tornatore, Serge Tosca, Cali Tosca, Serge Toubiana, Walter Toubin, Jean-Luc Touillon, Maurizio Trani, Daniel Treichler, Guillemette Trimech, Nadine Trintignant, Claire Tromeur, Fernando Trueba, Julie Turcas, Mitja Tušek, Tom Tykwer, Alexandre Tylski, Stephen Ujlaki, Fritz Urschitz, José Antonio Valdés Peña, Kenny Valdisserri, Jaques Vallotton, Phil van der Linden, G.W. van der Meiden, Betrand van Effenterre, Leopold van Genechten, Pieter van Hees, Edith Van Her, Rudolf van Maanen, Christophe van Rompaey, Dorna van Rouveroy, Elbert van Strien, Vangelis, Alessio Vannetti, Jean-Pierre Vaucouloux, Lucília Verdelho da Costa, Christian Verdu, Jean-Pierre Vergne, Sarah Vermande, Elizabeth Verry, Maryana Vestic, Julien Veyret, Caroline Veyssière, Francesco Vezzoli, Régine Vial, Daniel Vigne, Vivien Villani, Marta Villarroya Estruch, Marc Villemain, Jean-François Villemer, Daria Vinault, Verde Visconti, Ivan Vislen, Didier Volckaert, Alain Vorimore, Thomas Vossart, Gilles Walusinski, Eric Watton, Lioba Wehinger, Monika Weibel, Florian Weigl, Dominique Welinski, Wim Wenders, Raphaël Wertheimer, Andy Whittaker, Cornélius Wiijgers, Dorothée Wiijgers, Agnès Wildenstein, Anaïse Wittmann, A Wolanin, Margot Wolfs, Peter Woltil, Arnaud Xainte, Steve Yeo, Likhem Young, Paule Zajdermann, Christian Zeender, Claudie Zehnacker, Ania Zenowicz, Fabrice Ziolkowski, Terry Zwigoff.

    Et les organisations professionnelles / and professional organizations

    – l’Académie des César
    – l’API (Association des producteurs Indépendants)
    – l’ARP
    – l’ARRF – Association des Réalisateurs et réalisatrices de Films - Belgique
    – Bund gegen Anpassung
    – la Cinémathèque Française
    – la Cinémathèque de Dijon / Cinémathèque Jean Douchet
    – le Festival de Cannes
    – le Festival des Rencontres internationales du cinéma de patrimoine de Vincennes
    – le Fonds Culturel Franco Américain
    – le Groupe 25 images
    – la SACD
    – Le Bureau National du SFA
    – le SPI
    – Le Syndicat National des Techniciens de la Production Cinématographique et de Télévision
    – l’Union des producteurs de films
    – L’équipe du dernier film de Roman Polanski « Ghost »
    – Pathé
    – Scott Foundas (LA Weekly)

    #840_pourritures

  • Je découvre donc d’une part l’extérieur de la Philharmonie , certes sous la pluie, mais quand même c’est comme si je découvrais la face cachée de la Lune puisque l’autre côté de cette construction je le connais bien pour passer régulièrement devant en voiture et quelle merveille, mais je suis encore loin de deviner ce que je vais découvrir à l’intérieur, un véritable joyau de salle de concert philharmonique, une fosse gigantesque, une scène à la façon d’une île déposée sur le lac qui aurait été formé au fond d’un volcan, le tout surplombé par des nuages aux formes de berlingots très allongés, c’est tout simplement grandiose. Et sur les pentes internes du volcan des modules et des modules de gradins, on n’est pas trop mal assis encore qu’arthritique à grands pieds, et donc peu de place pour ranger les péniches en question, la pliure des genoux est constante ce qui confine rapidement à la torture, mais c’est comme cela dans la moitié des salles de spectacle, on ne va pas braire. D’autant que ce n’est pas souvent que le spectacle est tel que j’en oublie illico , toute mon attention monopolisée, les petites misères de vieillard qui se dessinent dans mon avenir proche.

    Le Concertgebouw est un orchestre qui doit être responsable d’un bon dixième de ma discothèque classique, c’est du sérieux, c’est une chose, mais c’est aussi de ces orchestres véritablement dotés d’une intelligence collective, c’est-à-dire l’exact opposé de la population des conducteurs aux alentours de cette salle de concert, il réagit comme un seul homme et surtout, maintient son niveau sonore dans les moments calmes à une hauteur très responsable ce qui assure de grands contrastes entre les différents passages, cela rend les choses très belles, quand c’est tutti plein gaz, cela sonne et quand cela retourne dans les piano pianissimo , c’est ténu, mais pas fragile, il faut dire l’acoustique de la Philharmonie est d’une neutralité incomparable, mais je vais y revenir.

    L’orchestre est dirigé par un chef letton, Andris Nelsons, un jeune gars extraordinaire qui occupe tout l’espace de son pupitre, se penchant en arrière sur la rampe comme à un bastingage, dirigeant aussi bien de la baguette que des jambes, son jeu est admirablement physique, terriblement expressif et l’orchestre lui rend ses commandements avec une souplesse très étonnante. Les deux préludes wagnériens sont de toute beauté et se terminent par un silence qui a happé les dernières sonorités dans un souffle sur un geste sec du chef, on dirait l’aspirateur de sons interprété par Tom Waits dans L’Imaginarium du docteur Parnassus de Terry Gilliam.

    La deuxième partie de la soirée est consacrée à deux pièces de Johaness Strauss, Mort et Transfiguration et Till Eulenspiegel , deux pièces dans lesquelles l’extraordinaire souplesse du Concertgebouw donne à plein, laissant une très curieuse impression de facilité dans des passages qui font un peu les montagnes russes et qui doivent être un peu coton quand même pour ce qui est de la rigueur rythmique.

    L’acoustique de la salle brille de tous ses feux avec une particularité étonnante pour les derniers rangs où nous nous trouvons, la salle est tellement grande qu’il y a un très léger décalage entre les gestes du chef et ceux des musiciens et les sonorités qu’ils semblent commander, tel un playback mal synchronisé — oui, je sais cela m’amuse de faire circuler la folle rumeur que le Concertgebouw joue en playback — mais aussi quelques rebonds de sonorités sur les parois de la salle qui perturbent l’entendement, tel coup de triangle qui se fraye un passage depuis jardin pour ricocher et nous parvenir côté cour et plus ou moins par derrière. C’est une acoustique magnifiquement matte, neutre et dont la portée est radieuse qu’un violoncelliste approche seulement son archet du chevalet et on devine déjà le grain des cordes.

    En revanche, rien n’est parfait, nous en sommes en France, le parti des tousseurs est donc majoritaire. Et avec une telle acoustique, c’est souvent que cela gêne. Cela pourrait faire partie d’un programme politique que de trouver une solution à ce déplaisir. Mais personne ne m’écoute jamais. Surtout quand je parle de politique.

    Exercice #15 de Henry Carroll : jetez quelque chose à quelqu’un et saisissez sa réaction avec une vitesse d’obturation rapide.

    #qui_ca

  • Don Quichotte tome 1

    Rob Davis signe une adaptation magistrale du chef-d’œuvre de Cervantès, à mi-chemin entre épique et comique, qui garde toute la folie du roman, la truculence des dialogues et la drôlerie des personnages.

    http://warum.fr/livre.php?livre=71

    via http://www.positiverage.com/?p=6390

    #bd sur ma liste de courses

  • #Monty_Python: ’We hate the Daily Mail slightly more than we hate each other’ | Culture | The Guardian

    http://www.theguardian.com/culture/2015/apr/26/monty-python-reunion-tribeca-film-festival-holy-grail

    The five surviving members of the famed British comedy troupe Monty Python – Michael Palin, John Cleese, Eric Idle, Terry Jones and Terry Gilliam – do not get along. On stage at the Beacon Theater on Friday night, two members walked off in the middle of a discussion. Others rearranged chairs so as not to have to face one another or the audience, while host John Oliver struggled to keep control of men who, he said, “always had a fundamental disrespect for authority”.

    Or, at least, the Pythons suggested that such would be the story if the Daily Mail wrote it up.

  • Jabberwocky
    http://www.nova-cinema.org/prog/2015/148-hard-to-be-a-god/hard-to-be-a-god/article/jabberwocky

    Terry Gilliam, 1977, GB, video, vo st fr, 105’ Avec ce film, Terry Gilliam s’émancipe progressivement des Monty Python, tout en gardant un lien fort avec l’univers de ses compères. Michael Palin y tient le rôle principal, et on y retrouve l’esprit et certains gags du groupe. Pour le reste, même si l’humour est encore présent, on entre doucement dans l’univers onirique angoissant qui caractérise le cinéma de Gilliam. Les points communs avec « Hard to be a God » sont nombreux puisqu’on trouve dans ce film une ville boueuse, un château qui s’écroule, (...) samedi 25 avril 2015 - 22h

  • Monty Python and the Holy Grail
    http://www.nova-cinema.org/prog/2015/148-hard-to-be-a-god/hard-to-be-a-god/article/monthy-python-and-the-holy-graal

    Terry Gilliam & Terry Jones, 1975, GB, 35mm, vo st fr & nl, 91’ Issu d’une écriture collective autour de la légende Arthurienne, « Sacré Graal » est l’une des comédies les plus cultes et les plus connues au monde. Elle est placée également sous le signe de Chaucer dans un Moyen-Âge fantasmé, sale, lâche et obscurantiste, mais remplis de gags, de jolies filles, de chansons et, surtout, d’outrances et d’absurde. Bien que les parties soient plus stimulantes que le tout, ce film est un objet cinématographique réussi, hilarant et précieux. Les conditions de productions (...) samedi 25 avril 2015 - 20h , dimanche 10 mai 2015 - 18h , #Terry Gilliam & Terry (...)

  • Science Discovers New Horrible Scary Dolphin That Will Kill Us All
    http://gawker.com/science-discovers-new-horrible-scary-dolphin-that-will-1510868323

    What they found were dolphins with new genetic profiles, which is to say they are not the cute dolphins of our Key West spring break Windjammer dreams, but freshwater beasts that Terry Gilliam might have doodled while angry and on the can after eating a bad batch of mojo pork.

    #dauphin #mutant

  • “Discovering Dad” aka delving into Terry Gilliam’s personal archive
    http://hollydgilliam.blogspot.fr

    Le Sacré Graal, Brazil, L’Armée des 12 singes... à la mention de ces bobines cultes, les amateurs auront reconnu une partie de l’œuvre du cinéaste Terry Gilliam, artisan hors norme à l’humour burlesque ravageur. En juillet, la fille du réalisateur a entrepris de ranger les archives de son papa, fruit de cinquante ans de carrière. Elle a ouvert un blog où elle commente son travail de dépoussiérage. Sur HollyDBlog sont publiés régulièrement des notes, dessins, bribes de scénario ou photos liés à l’un des projets du célèbre Monty Python. A découvrir notamment dans cette caverne d’Ali Baba, les carnets dessinés du Sens de la vie ou récemment le script original de Monty Python’s Flying Circus. Pourquoi un partage de tels trésors ? « Parce que j’ai eu la chance de grandir entourée du travail incroyable de mon père et que je pense qu’il mérite d’être vu par tout le monde. Explique-t-elle. Je trie ses archives en espérant qu’elles soient un jour réunies dans un ouvrage ou qu’elles fassent l’objet d’une exposition. »

    #Terry_Gilliam #Cinéma