Depuis le Moyen âge, chaque époque a créé son #mythe du Roi Arthur en ajoutant des personnages, en modifiant des éléments narratifs. A notre époque, le #Roi_Arthur est un #héros de #romans, #films, séries télévisées, #BD…
Depuis le Moyen âge, chaque époque a créé son #mythe du Roi Arthur en ajoutant des personnages, en modifiant des éléments narratifs. A notre époque, le #Roi_Arthur est un #héros de #romans, #films, séries télévisées, #BD…
Il y a en ce moment un bel engouement éditorial autour de l’histoire des femmes, aussi bien dans…
▻https://seenthis.net/messages/654254
Il y a en ce moment un bel engouement éditorial autour de l’#histoire des #femmes, aussi bien dans l’#édition_jeunesse que dans des #livres s’adressant plutôt aux adultes, et souvent sous forme graphique (#BD ou #roman_graphique).
Une belle recension des ouvrages sur les femmes
Cirque. Sous le chapiteau étoilé des Romanès, les chats s’envolent | L’Humanité
▻https://www.humanite.fr/cirque-sous-le-chapiteau-etoile-des-romanes-les-chats-senvolent-647418
La famille Romanès au grand complet présente son nouveau spectacle, Les nomades tracent les chemins du ciel. Un instant de bonheur et d’émerveillement pour petits et grands.
Depuis que la Mairie de Paris les a installés, pour ne pas dire relégués, square Parodi, dans le très chic 16e arrondissement de l’ouest de la capitale, une légende urbaine colportée par certains de ses habitants raconte que, depuis l’arrivée des Romanès, les matous du quartier ont disparu. Les Romanès les voleraient… Alexandre Romanès préfère en rire. D’ailleurs, il précise que, non seulement ils volent les chats, mais ils les mangent. Et les matous du 16e sont bien meilleurs à croquer que les chats faméliques qui traînent ailleurs dans Paris. Et de prévenir les habitants des alentours que, bientôt, ils vont s’en prendre aux chiens !
Cette anecdote, aussi stupide qu’elle puisse paraître, en dit long sur ces vieilles rengaines qui ont la peau aussi dure que les couches de bêtises amoncelées depuis des lustres. Autrefois voleurs de poules ; aujourd’hui voleurs de chats… Surtout, bonnes gens, ne changez rien. Tant pis pour vous ! Ne changez rien à vos bondieuseries et n’allez pas vous balader du côté du cirque, on ne sait jamais, vous pourriez tacher vos visons et… aimer le spectacle de ces Gitans !
Un no man’s land où le rêve est à portée de main
Les nomades tracent les chemins du ciel, qui sont-ils, ces nomades ? Des artistes, des fildeféristes, jongleurs, contorsionnistes, danseuses et musiciens. Des colporteurs d’histoires, des illusionnistes qui, l’instant d’un spectacle, vous emportent quelque part entre ciel et terre, dans un no man’s land où le rêve est à portée de main. Soulever le rideau du chapiteau des Romanès, c’est oublier la grisaille, la tristesse des visages croisés dans le métropolitain. Lorsque Alexandre donne le top départ, l’orchestre se lance dans des mélodies endiablées, tandis que les filles font virevolter leurs immenses jupes à fleurs qu’elles déploient comme des ailes de papillon. Toute la troupe est là, qui vient, comme il se doit, saluer et remercier le spectateur d’être là, avant même de jouer son propre numéro. Il y a Alin, Rose-Reine, Aude, Laura, Ariadna, Sorin, Irina, Augustin, Betty. Les musiciens. Délia la Tigresse et Alexandre. Les uns tournent jusqu’à en avoir le tournis ; les autres tutoient les étoiles ; celle-ci défie les lois de l’apesanteur… Un clown-jongleur lance haut des chapeaux melons. L’une danse sur le fil. Telle autre se déplie, corps pop-up qui s’étire à l’infini. Voici la femme-papillon qui se lance dans une danse de derviche jusqu’à la transe et que son corps s’enflamme…
Tout est beau, généreux. Rien de performatif mais de la poésie à l’état brut, des sensations à fleur de peau qui provoquent des émotions enfantines que l’on croyait perdues, des odeurs d’antan où les petits cirques allaient dans des endroits improbables. De nos jours, tout est fait pour leur chercher querelle. Les Romanès parlent poésie, et l’administration leur rétorque formulaires à remplir en 10 000 exemplaires. Évidemment, il manque toujours un papier. C’est fou ce que les sans-papiers doivent dégainer de papiers : des papiers pour circuler, pour stationner, pour respirer… Mais pour rêver, Alexandre Romanès écrit. Des poèmes en prose, des haïkus gitans, des mots en liberté qui disent la vie, l’amour, l’effronterie des filles et la niaiserie des garçons. Dans le Luth noir, son dernier recueil, Alexandre évoque le temps qui passe et avoue parfois sa lassitude devant la cruauté du monde qu’il aime tant. « On devrait prendre soin du cœur comme on prend soin d’un beau livre qu’on ouvre délicatement et qu’on cache », écrit-il. On pourrait décliner cette maxime à l’infini, peut-être prendrions-nous davantage soin de ceux qui nous entourent ou de ces passants qui passent ; de l’arbre dans la ville et des enfants qui jouent. Comme au cirque. On joue, pour de vrai et pour de faux. La musique ponctue les émotions, redonne du souffle aux artistes et réchauffe le cœur du spectateur. Parfois, on dirait du Coltrane, du free totalement free qui épouse les méandres des numéros. Ici, les chats font du trapèze. Piki, le chat sauvage, refuse de sauter dans le cerceau. Il n’est pas un toutou. Piki tient tête à Alexandre, celui qui fut le plus grand dresseur de fauves de sa génération, et fait le mort quand ça lui chante. Alors tous les autres chats de la tribu Romanès s’avancent sur la piste. Façon chat. Sauf le noir, le seul de son espèce, noir comme un corbeau. Celui-là se promène en liberté, fait irruption au milieu des numéros, passe entre les jambes des musiciens mais jamais ne se laisse attraper. Il préfère s’envoler, disparaître d’un pas tranquille et se retourner : la tribu Romanès est au complet, le spectacle peut commencer !
#cirque #saltimbanques (immémoriales tracasseries contre les) #roms #chats #nomades
Les plus beaux des mangeurs de chats !
Au début des années 90, Alexandre et Délia créent le cirque Romanès à proximité de la Place de Clichy, à Paris. L’accueil des habitants est plutôt glacial : « On a déjà les Noirs, les Arabes, les travestis, les toxicos, les prostituées, les loubards, et maintenant les Gitans »… Mais la troupe tient bon.
Âme du cirque tzigane qui porte son nom, Alexandre Romanès nous conte l’histoire de sa vie.
▻https://www.arteradio.com/serie/romanesque
Un reportage en 8 épisodes enluminés et poétiques.
#cirque_tzigane #poésie
Merci @vanderling ! Je mets ça dans ma (longue) liste de trucs à voir, écouter, lire ...
Moi, Jean Gabin
Goliarda Sapienza
▻https://le-tripode.net/media/couvertures/moi-jean-gabin_1
Je suis en train de lire ce #roman joli comme tout, tout plein de malice, c’est tout à fait réjouissant :)
▻https://le-tripode.net/livre/goliarda-sapienza/moi-jean-gabin
#enfance sur fond de #fascisme et d’#insoumission voire d’#anarchisme
Polanski, Weinstein... Le cinéma est-il hors la société ?
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/081117/polanski-weinstein-le-cinema-est-il-hors-la-societe
Frédéric Bonnaud, de la Cinémathèque Frédéric Bonnaud, directeur de la #Cinémathèque_Française, défend l’invitation faite à Polanski. Angéline Barth, de la CGT spectacle et copilote du collectif « Femmes-Mixité » pour recueillir la parole des femmes.
Une petite vidéo de présentation de ma BD, Les Damnés de la Commune :
►https://www.youtube.com/watch?v=gcPWOFne2WA
#les_damnes_de_la_commune #a_la_recherche_de_lavalette #commune_de_paris #commune_de_paris_de_1871 #bande_dessinée #bd #roman_graphique #livre
Le premier chapitre de mon livre, Les Damnés de la Commune , est disponible en ligne sur le site des éditions Delcourt.
►http://www.editions-delcourt.fr/bd/previews/damnes-de-la-commune-01-a-la-recherche-de-lavalette.html
#les_damnes_de_la_commune #a_la_recherche_de_lavalette #commune_de_paris #commune_de_paris_de_1871 #bande_dessinée #bd #roman_graphique #livre
Notre @raphael va sortir sa bande dessinée : Les damnés de la commune. Genre en librairie mercredi.
Pour se faire une idée en attendant l’album, le premier chapitre en ligne :
►http://www.editions-delcourt.fr/bd/previews/damnes-de-la-commune-01-a-la-recherche-de-lavalette.html
C’est un projet que j’ai commencé il y a six ans et pour lequel j’ai utilisé Seenthis comme bloc-note. Quand j’ai commencé mes recherches dans les archives sur mon voisin communard, j’ai pris des notes que j’ai souvent mises en ligne ici. Le thème qui les rassemblait était #a_la_recherche_de_lavalette. Et c’est ce thème qui est devenu le titre de ce premier livre.
(Hum, oui... J’ai commencé il y a longtemps et j’avais prévu de ne faire qu’un seul livre... mais j’ai tellement de matière que j’ai écrit cette première partie de près de 150 pages et que deux autres vont suivre... Je suis loin d’avoir terminé !)
#les_damnes_de_la_commune #a_la_recherche_de_lavalette #commune_de_paris #commune_de_paris_de_1871 #bande_dessinée #bd #roman_graphique #livre
Je l’offre autour de moi pour les fêtes de fin d’année :-) J’ai adoré.
L’Histoire de la Commune de Paris devrait faire l’objet de semaines entières de cours au Collège et au Lycée, parce que cette période est un condensé de tout ce qu’un pouvoir illégitime peut faire pour s’accrocher et gérer son peuple à la façon d’une ferme de « 1000 vaches »...
Trop souvent, on enseigne les deux guerres mondiales en omettant d’évoquer la guerre de 1870... quel point aveugle, quel parti pris sidérant !
Merci @fil ! Merci @biggrizzly ! Ça fait très plaisir.
J’ai utilisé une multitude de gravures de l’époque, mais je ne pouvais évidemment pas faire comme une BD normale dans laquelle on voit le personnage principal revenir de case en case. Je n’ai en effet aucune gravure de mes personnages principaux. De temps en temps, j’ai pu le faire, comme dans la planche avec Napoléon III. Mais généralement, il fallait trouver d’autres idées.
Certains auteurs conçoivent leurs planches avec un « gaufrier » : des cases régulières à l’intérieur desquelles ils concentrent toute leur attention de dessinateurs. D’autres jouent également avec la forme des cases pour construire une narration. C’est cette option que j’ai choisie. Cela m’a permis à la fois de raconter des chose directement avec la forme de certaines cases et de jouer sur les rythmes de l’histoire.
J’ai fait une page pour expliquer comment j’ai travaillé les planches, avec plusieurs exemples :
▻http://www.meyssan.com/a10
Ceci dit, je pense que le plus important, ce n’est pas la case, ou le dessin dans la case, mais la narration. C’est elle qui, tout d’un coup, donne du sens à une case ou à un dessin.
Je cherche des images qui peuvent se prêter au jeu de ce que je veux raconter. Mais lorsque je n’en trouve pas vraiment, cela peut quand même fonctionner si elles s’inscrivent dans une grande narration. Alors, l’image, quelle qu’elle soit, prend du sens. Et si elle est différente de ce qu’on attendait (moins figurative), alors ce sens s’enrichit.
C’est ce que je trouve le plus intéressant : notre capacité à créer du sens, à faire des liens entre des choses apparemment sans rapport, notre imagination infinie.
Le petit passage sur François Maspero est dans cette veine. J’imagine des liens, je crée des rapprochements, je montre une continuité. Avant, il semblait ne pas y en avoir. Pourtant, une fois que c’est raconté, cela parait évident.
François Maspero dit être resté dans son cœur cet enfant de douze ans et demi, profondément marqué par l’arrestation de ses parents par la Gestapo. Le petit crieur de journaux qu’il s’était donné pour symbole de sa maison d’édition a douze ans et demi (n’est-ce pas évident ?). Il aura toujours cet âge, à travers les époques, de livre en livre, des éditions Maspero aux éditions La Découverte...
Ici, il y a une image, une seule, et toute un histoire.
Le livre fonctionne parce qu’il raconte une histoire et qu’on a envie d’y croire.
Ce Raphaël Meyssan est le fils de Thierry Meyssan dont il met en valeur les campagnes. Ce Raphaël Meyssan est le graphiste du Réseau Voltaire.
Très étonné d’avoir à le découvrir par moi même alors que ce post est là depuis un mois... Étonné aussi que ce soit relayé ici, et par @7h36
#confusionnisme #conspirationnisme #complotisme #extrême-droite
Comment sais-tu @colporteur si @raphael est LE graphiste du réseau voltaire, sur le site du réseau il y a juste une référence à un de ses bouquin qui date de 1997 : « Raphaël Meyssan est graphiste et auteur de bande dessinée » ? ¨Être le fils ou la fille de machin machine ne veut rien dire, moi je n’ai pas les mêmes idées que mes parents.
S’agit évidemment pas de dire que la filiation supposerait accord (moi aussi j’ai un père, moins grave quand même heureusement).
J’ai lu ça là :
▻https://twitter.com/LibertaliaLivre/status/944963443890819072
[edit Twist devenu indisponible depuis...]
Il a écrit un article en 1997 pour le réseau Voltaire
▻http://www.voltairenet.org/auteur14.html?lang=fr
Il cite ce « réseau » parmi ses « références »
►http://www.editorial-design.org
Nous utilisons la puissance d’Internet et celle de l’imprimé pour mener des campagnes de « marketing viral » mobilisant les internautes/lecteurs. Plusieurs de ces campagnes ont connu un important succès. L’une d’elles a été étudiée par les spécialistes d’image et de situation de crise de grandes entreprises [?]. Deux autres ont fait l’objet de très nombreuses reprises dans les médias internationaux.
Je n’en sais pas plus mais ayant manqué offrir l’album, je me demande ce qu’il en est de la fiabilité de seenthis. Ne sommes nous pas ici supposés ne pas avaler ou recommander n’importe quoi ?
@colporteur : la BD dont on parle n’évoque ni les petits gris, ni le grand Satan. Quant à son auteur, je ne trouve pas d’écrits sur SeenThis où il expliquerait que Poutine est l’avenir de l’Homme... Par contre, quand je relis ses posts sur SeenThis et découvre les dates de ces posts, j’admire qu’on puisse passer autant de temps sur une œuvre dessinée.
Personne ici ne trouverait insupportable de voisiner avec quelqu’un qui taffe pour la com’ du réseau Voltaire ?
Je l’ai également offerte pour Noël. D’accord avec les deux commentaires de BigGrizzly.
Je pourrais aussi signaler que, pour le coup, la revue de presse des Damnés de la commune est impressionnante (enthousiaste, quoi) :
▻http://www.meyssan.com/a32
Contrairement à vous, l’immense majorité de ces journalistes ne savent certainement pas que ce Meyssan là travaille lui aussi pour le #réseau_Voltaire, ce dont fort élégamment vous vous gardez bien de dire un mot.
Logique circulaire :
– si je ne cite le réseau Voltaire pour parler de cette bande dessinée (pas plus que Fil et BigGrizzly), alors qu’on sait tout de même qui est Raphaël, c’est bien parce qu’on pense qu’il s’agit d’un boulot remarquable et que rigoureusement rien dans son contenu n’a de rapport avec le RV. C’est une information qui n’est pas pertinente pour parler de l’ouvrage et qui, à l’inverse, fera illico dévier la discussion – alors que, encore une fois, ce serait injuste par rapport au boulot effectué par Raphaël. (Ainsi tu débarques illico avec un hashtag « Extrême-droite », histoire d’être certain d’enterrer son boulot.)
– de la même façon, si autant de gens écrivent dans les journaux que cette BD est remarquable et que sa façon d’aborder la Commune est très pertinente, peut-être est-ce parce que c’est une BD remarquable qui aborde le sujet de manière pertinente. Et non par défaut d’information sur l’identité de son auteur. (Et à l’inverse, avec un auteur portant ce nom, peut-être tout de même que, si la BD avait contenu quelques signes troublants, ils auraient percuté.)
– toujours sur ce mode de pensée circulaire (i.e. paranoïaque) : on est sur l’internet, et aucun de nous n’est tombé de la dernière pluie. « Bien se garder de dire un mot », sur un réseau social, ça n’a aucun sens, parce qu’on sait bien qu’il y aura toujours une gentille andouille pour nous rappeler les élégances. Je n’oublie pas qu’on m’a un jour rétorqué ici que Chomsky était le précurseur du confusionnisme ; alors quand je conseille une BD de Raphaël Meyssan, je n’ai aucun doute sur le fait qu’une bonne âme viendra exposer le secret des choses qu’on nous cache (ne serait-ce que parce que c’est ce qui est arrivé à chaque fois ces dernières semaines sur Twitter et Youtube). Alors m’accuser au motif que « je me garde bien de dire un mot » alors que je sais comment fonctionne un réseau social, ça n’a de sens que dans une logique circulaire (i.e. il est mal intentionné parce qu’il est mal intentionné).
– même topo pour son flux Seenthis (l’un des premiers ici). Dans un autre fil de discussion, tu le trouves tellement insupportable que tu le compares à un troll facho qui sévit ici en pourrissant chaque discussion qu’il peut avec de détestables petits messages provocateurs. Or, Raphaël, lui, de ce que j’en vois, interviens ici essentiellement sur des sujets techniques/graphiques, ou sans rapport avec les thèmes de Voltaire, sans jamais référencer quiconque de hum-hum, et il intervient systématique sur un ton mesuré et poli. Donc pour faire valoir ton point de vue, tu excuses le comportement systématiquement trollesque d’un provocateur faf en dénonçant ad hominem quelqu’un dont le comportement sur Seenthis est difficilement critiquable. Et tu t’autorises à mettre des hashtags « #confusionisme » pour ça ?
N’ai parlé ni « petits gris, ni grand Satan » (je sais pas ce que c’est mais merci pour la diversion...), ni « comparé à un troll facho » mais reposé ailleurs sur une page concernant le fonctionnement et les usages sur seenthis
▻https://seenthis.net/messages/653239#message654798
ma question, posée en des termes des plus objectifs, car personne ne répondait ici :
On se demande ici quoi faire d’un troll, mais comment se fait-il que seenthis puisse accueillir, relayer et faire relayer le graphiste du réseau Voltaire Raphaël Meyssan depuis 2011 sans que personne ne bronche ?
C’est de vous, c’est de seenthis que je parle, de ceux du « ’on sait tout de même qui est Raphaël » et qui n’en tiennent aucun compte, le taise (ça c’est très très poli, mais pour le moins injuste pour qui lit vos posts), de ceux qui n’accordent aucune importance et aucune signification au fait qu’il taffe pour ce « réseau ».
Oui, je n’ai nulle part évoqué la qualité de la bd mais le fait est que, trop confiant, j’avais taggué ce post, recommandé ce livre et manqué l’acheter pour offrir alors que j’ai pas une thune et ne veux pas contribuer au revenu d’un stipendié de tels réseaux. Je me suis fait avoir. Voilà ce qui me fâche.
Je me fous des intentions mais je ne vois pas ce qui empêchait de dire "bien qu’il ai la mauvaise idée de travailler pour le « réseau chose, R.M montre avec cet album très bon ceci et cela » ou toute autre formule ne reposant pas sur l’omission d’un tel fait.
Illusion certainement, un petit quelque chose de #seenthis_c'est_bon_mangez_en parce qu’ici les choses sont supposées dites, recoupées à plusieurs depuis des avis, des sources et des connaissances différentes. Les réseaux « sociaux » c’est pourri, et même cet endroit qui parait exceptionnel n’échapperait pas à la règle. Voilà ce qui me fâche.
#consommation_culturelle #complaisance
edit mes post semblent contribuer à faire connaître davantage cette bd ici. une suggestion : l’emprunter en bibliothèque, l’acheter d’occase, cela ne génère pas de droits d’auteur.
@colporteur : Je ne lis pas le Réseau Voltaire et n’ai pas d’opinion particulière sur ces gens : je n’ai jamais pris le temps de m’en faire une. Je n’étais pas au courant à propos d’un lien éventuel entre l’auteur de cette BD et le Réseau Voltaire. Je note l’information, merci de nous avoir fait part de tes recherches. Tu juges qu’il faut l’ostraciser. Je n’ai pas ta capacité à juger aussi directement et crument.
@biggrizzly je ne sais si il faut ostraciser R.M., tout ce que je sais c’est qu’il m’aura fallut un mois pour savoir qu’il taffait pour le réseau Voltaire puis qu’il est le fils de T.M (pourtant pas rare d’être en désaccord politique avec son père). Je n’ai pas fait de recherche, la mauvaise nouvelle m’est tombée dessus. C’est après que j’ai du chercher. Le lien n’est pas « éventuel », il est revendiqué sur le site pro de R.M.
►http://www.editorial-design.org
Connaisseur ou pas, tu as taggué ici même un seen relayant ce « réseau » (bd Voltaire) dont je découvre aujourd’hui l’existence
▻https://seenthis.net/messages/596310
Laissons de coté tous les perdus qui cherchent des causes et des raisons, tous ceux que l’impuissance conduit à adopter des analyses qui puissent tenir lieu de vérité, d’explication, tous ceux que la toute puissance des manipulateurs... rassurent, laissons de côté ce qui fait le succès du complotisme.
Le propre des complotistes organisés ce n’est pas seulement de dénoncer des complots imaginaires mais de comploter et manipuler.
Je ne suis pas en mesure de retracer le parcours de ces gens depuis que leur regroupement existe. Je sais en revanche que ce sont des complotistes et des manipulateurs, de mémoire, cela apparaissait d’ailleurs déjà avant le 11 septembre 2001, y compris dans la façon de jouer sur l’anti-impérialisme pour appâter des « gens de gauche ». Puis T.M s’est fait connaitre en publiant « La grande imposture » selon lequel les attentats du 11 septembre ont été perpétrés par une une dissidence terroriste au coeur de l’appareil militaire américain. La notice wikipedia ne dit que peu de l’avant 2001, ce qui exonère les « gens de gauche » qui ont marché dans la combine promotionnelle de ce qui n’était d’abord aune lettre d’information vendue très cher sous prétexte d’infos relevant pour ainsi dire du secret défense.
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Réseau_Voltaire
Depuis les choses sont devenues fort claires, si on peu dire ainsi d’un tel panier de crabes, et leur style, leur façon de brouiller les cartes sur l’héritage révolutionnaire ou « le social » aura inspiré Soral comme le FN.
Thierry Meyssan et les théories du complot - La horde
►http://lahorde.samizdat.net/2015/02/06/thierry-meyssan-et-les-theories-du-complot
Les impostures du Réseau Voltaire
▻https://www.politis.fr/articles/2015/02/les-impostures-du-reseau-voltaire-29938
Une source « autochtone »...
Pourquoi Réseau Voltaire France ?
▻http://www.alain-benajam.com/article-pourquoi-reseau-voltaire-france-112029740.html
[2007] Le bureau du Réseau Voltaire s’installa à Damas, puis à Beyrouth, puis de nouveau à Damas et nous dispersâmes les serveurs de par le monde. Le Réseau Voltaire devint (...) un réseau de presse international avec échange d’articles.
Et je lis parmi les références de R.M sur son propre site qu’il a aussi travaillé pour Syria Alghad (Syrie), organe dont je ne sais rien si ce n’est qu’il est syrien, pays qui ne brille pas particulièrement je crois pour le pluralisme, de sa presse comme de toute sphère de la vie sociale, politique et culturelle.
Il me semble que @raphael Meyssan serait bien mieux placé que je ne le suis pour répondre à ces questions.
T’es juste en train de nous faire chier avec le Réseau Voltaire de Thierry, alors qu’on parle d’une BD de Raphaël, sur laquelle il bosse depuis des années, dont il a posté la recension de ses recherches au fur et à mesure sur Seenthis, et qui vient par exemple de recevoir une revue enthousiaste dans l’Huma, par un des historiens spécialistes de la commune, Jean-Louis Robert :
▻https://www.humanite.fr/bande-dessinee-le-paris-graphique-de-la-commune-647426
Historien que je vois dans les remerciements de la BD, pour avoir relu le contenu avant publication. Encore un qui, apparemment, fait la part des choses et n’a pas trouvé que ça aurait été une bonne idée d’expliquer dans le journal que c’est un bon livre à condition de se boucher le nez (puisque c’est bien à cela que tu veux que j’arrive).
Ton nouveau message semble confondre Réseau Voltaire et Boulevard Voltaire. Quant au terme « relayé », est-ce que tu as pigé que Davduf avait tenu ici un compte « L’infiltré » référençant toutes ses sources pour son « serious game » à propos du (« contre le ») Front national aux dernières présidentielles ?
Quant à ton histoire de complotistes (“organisés” en “regroupement”) qui complotent et manipulent, là je pense que tu viens de nous pondre le plus chouette paradoxe de la semaine. (Je suppose que ce complot-là n’est pas imaginaire.)
Je note la mention « la façon de jouer sur l’anti-impérialisme pour appâter des “gens de gauche” », idée d’une telle idiotie que je n’arrive toujours pas à comprendre comment elle parvient à, justement, convaincre des gens politiquement engagés. Ça semble une des foutaises dans l’air du temps, un temps où il n’existerait pas grand chose avant les indignations obligées du Web et les recherches Google à charge (où tout ce qu’on semble savoir de Chomsky, c’est la lettre sur Faurisson, où l’antisionisme c’est l’antisémitisme, et l’anti-impérialisme un attrape-gogo complotiste).
On va arrêter là cette « discussion », tu iras poster tes hashtags insultants ailleurs si tu veux bien.
bien dit ! Pour ma part je cesse de suivre @colporteur qui colporte de travers
Raphael Meyssan, recherche google.
Résultats de la recherche en 0,21 secondes.
Troisième occurrence de la première page de résultats
« Raphaël Meyssan [Réseau Voltaire]
Fonction policière et Institutions européennes-28 juillet 1997 ».
Dans le genre complotiste j’ai déjà vu mieux.
Il en est, pour certains, de la pureté en politique comme de la pureté de la race.
Bravo colporteur (ironie pour les mal comprenants).
Michèle Audin qui, pour moi est une référence,recommande à la recherche de Lavalette , le premier volume des damnés de la commune avec un lien direct vers le site des éditions Delcourt.
un beau « roman graphique », ou livre d’images…dont l’auteur, Raphaël Meyssan, n’a dessiné aucune : ce ne sont que des « citations » (graphiques), des illustrations d’époque. Grâce auxquelles il raconte sa recherche d’un membre du Comité central de la garde nationale, #Lavalette, dont, au début, il ne connaît même pas le prénom, mais dont il sait qu’il a vécu dans l’immeuble de Belleville où lui, #Raphaël_Meyssan, habite aujourd’hui. Les lecteurs de Comme une rivière bleue se douteront que j’ai apprécié, en particulier, les aspects « géographiques » de cette recherche. De même, c’est une excellente idée de cadeau !
▻https://macommunedeparis.com/2017/12/16/vient-de-paraitre
Pour celleux qui n’aimeraient pas la #BD de @raphael Michèle Audin propose une liste très fournie sur son blog :
▻https://macommunedeparis.com/liste-de-livres
et bien plus encore...
Sans parler de hashtags insultants, je ne serais pas aussi catégorique dans un sens comme dans l’autre (le mec mou). Et ça n’a vraiment rien à voir avec la filiation de qui que ce soit. Vraiment peu importe les noms.
(Et @unagi à aucun moment @colporteur n’a parlé de contribution au site, mais d’être le graphiste d’une organisation pas super cool, et de continuer de le revendiquer. Donc ne mélangez pas les arguments, ça n’a rien à voir.)
Je veux dire, prenons un exemple fictif. Imaginons qu’une super BD sorte sur 1789 vu du côté du peuple ou sur la révolte des Canuts, ou je ne sais quoi. Et que l’auteur soit « le graphiste d’E&R », ou « le graphiste de dieudo.com », et que ce n’est pas un vieux travail caché du passé mais qu’il continue de le lister sur son site pro. C’est bien de l’avoir en tête non ? C’est sensiblement pareil pour le RV.
Après, le contenu propre à la BD peut être très très bien, mais c’est compréhensible que certaines personnes, suivant leurs opinions politiques, n’aient pas envie de donner de l’argent une fois qu’elles savent ce détail. Ça n’a pas forcément à être le cas de tout le monde, personne ne parle d’interdire quoi que ce soit, mais je comprends tout à fait la réflexion (et encore plus quand on n’a vraiment pas beaucoup d’argent et qu’on choisit avec soin ce qu’on achète ! ce qui est mon cas aussi) que des gens soient contents de savoir cette info et n’aient pas envie de donner de l’argent à une personne qu’elles ne trouvent pas correct, même si elle a publié une œuvre super.
On peut parfaitement trouver un livre génial, un album de musique magnifique, une peinture très belle, mais ne pas avoir envie de financer son auteur⋅ice si on a des reproches à lui faire. Je ne vois pas trop ce qu’il y a de compliqué à comprendre là-dedans.
(Quant à tenter d’argumenter contre le fait que le RV fasse partie de la mouvance complotiste et soit bien plus que tendancieux… euh.)
Peut etre aurait il du tuer son père pour vous etre agréable.
Mais je comprends cette envie idéaliste du chevalier blanc immaculé. enfant j’adorais les westerns, j’ai vieilli depuis.
Tu continues de propager une argumentation d’homme de paille en faisant dire des choses qui n’ont jamais été dites. Comme je le dis précédemment, il n’y a strictement aucun rapport avec la filiation et les noms. On parle d’être le graphiste d’un organisme précis, et de continuer de le revendiquer, sans que ce soit une scorie du passé. Je veux dire, s’il y a 15 ans tu avais fait le site internet de Dieudonné et que tu avais changé d’opinion entre temps, tu continuerais de le revendiquer là en 2017 ?
(Oui c’est à mettre au même niveau, la comparaison n’est ni hasardeuse, ni exagérée. On parle d’une organisation qui a produit un communiqué il n’y a encore pas si longtemps, parfaitement publique, pour défendre le « Shoananas » de l’autre.)
Je comprends que trop bien le dilemme de choisir à qui on donne ses rares sous quand on n’en a pas beaucoup, et de n’être pas content si on s’aperçoit qu’on les donne à des gens à qui on ne voulait pas.
Pour moi cette BD a l’air très bien depuis le début, et je prévois (prévoyais ? je ne sais pas encore) de l’offrir à mon père pour son anniv.
Mais se mettre à argumenter pour dire que le Réseau Voltaire serait recommandable… sérieusement ? Really ? On ne parlait pas de ça au départ et tu veux vraiment partir là dedans ? C’est finalement pire que ce qui était reproché au départ du débat (ce qui était reproché était de masquer plus ou moins cette information, au moins pour que les gens choisissent d’acheter ou pas en connaissance de cause).
J’avoue que souligner seulement d’un malgré sa filiation ou quelque chose du genre eu suffit à renseigner un minima, mais certainement pas s’absoudre avec un on le sait tous . J’estime que les nouveau·x venu·es sont en droit de connaitre cette info, de faire leurs propres recherches et de juger par eux même…
#liberté_d'expression
@touti : oui, et c’est pour cela que je n’ai pas réagi au premier message de Colporteur (malgré les hashtags), puisque justement il donnait une info qui lui semblait pertinente. Puis je considère qu’il se monte le chou tout seul, s’indignant bruyamment qu’une information qu’il venait de donner n’avait pas été donnée (ce qui était la teneur de mon premier message : c’est le principe prévu d’un réseau social comme Seenthis), et qu’on tolérait n’importe qui ici et notre crédibilité-tout-ça (toujours sur le ton de l’indignation instantanée et formatée, et l’immédiate défiance pour les gens qu’il fréquente ici).
(Et, non, je n’ai pas écrit « on le sait tous » ; j’ai dit que Fil et moi – et donc, désolé, pas BigGrizzly – avons recommandé initialement cette BD en connaissant la situation de Raphaël (le même « on » dans la seconde partie de la phrase désigne : « on pense qu’il s’agit d’un boulot remarquable », ce n’est donc évidemment pas un « on » générique). Je reconnais tout à fait que ça peut se discuter, j’ai donné mes arguments, mais comme les hashtags initiaux et les messages successifs contenaient illico le jugement de valeur final – « confusionnisme », « extrême-droite », « relayer », « comploter et manipuler » –, et Colporteur persistant à confondre Raphaël avec son père et les dérives du RV – que, dois-je vraiment le faire remarquer ? je n’utilise ni ne conseille jamais comme source ou référence dans mon propre flux –, il n’y a pas tellement de place à la discussion.)
Tout à fait @touti, merci pour ce commentaire plein de sagesse.
Je comprends @nidal et je comprends aussi @colporteur qui ne mérite pas le « bannissement » pour autant ! :)
Merci à tous et toutes ( ^_^ )
Pour ma part j’étais en vacances et j’en ai profité pour suivre vos échanges avec une certaine distance.
Je n’ai pas employé l’expression « notre Raphaël » et je ne m’y associe pas, pas plus qu’aux autres commentaires de @nidal d’ailleurs.
Ma réponse personnelle est d’expliciter ma démarche : j’ai trouvé le bouquin à la librairie de Vendôme où Raphaël était venu le présenter et m’avait invité (j’avais raté sa présentation). J’ai jeté un œil, puis acheté et lu, et je l’ai trouvé étonnamment touchant et réussi. Dans la foulée, je me suis adressé à son auteur et à ce propos, sans me dire que ça allait être lu par d’autres comme une prescription d’achat.
@colporteur je peux comprendre que tu estimes qu’il s’agit d’une faiblesse voire d’une faute politique de ma part, dont acte. Y voir une opération de réhabilitation confusionniste du RV me paraît un peu survolté — et en tout cas, si opération il y avait, elle a bien capoté ;)
Il m’arrive de faire des erreurs d’appréciation, en étant parfois trop sectaire, ou à l’inverse (et je crois plus souvent) en accordant trop facilement le bénéfice du doute. Le rappel à l’ordre de @colporteur et la remarque de @touti sont dans ce sens bienvenues. Mais je ne suis ni l’avocat ni le procureur au procès de @raphael, qui s’exprimera s’il en a envie sur sa position actuelle. Amusant tout de même que personne ne lui pose directement la question, et si jamais il était en train d’essayer de sortir du système RV, je crois qu’il peut mesurer combien ça ne va pas être facile.
Puisque @colporteur tu dis que cet épisode te laisse un doute sur « seenthis » dans son ensemble, je réitère quand même ceci : seenthis n’est largement plus notre créature ni à @arno ni à moi : ça fait plusieurs mois qu’un collectif de gestion essaie de se mettre en place et qu’on a ôté les mains du volant. Je pense que tu trouveras sans peine comment t’impliquer dans ce collectif et j’espère que tu en auras envie.
J’espère que vous regarderez mes messages avec plus de circonspection désormais. Vu le nombre de trucs que je recense sur seenthis et ailleurs, j’espère aussi que vous ne me tiendrez pas responsable de l’ensemble des turpitudes de chacun·e de leurs auteur·es, que je ne précise que rarement, même quand j’en ai connaissance et que c’est dans le sujet. Je suis tout à fait prêt à en discuter, au cas par cas ou de manière globale, mais ce n’est en général pas parce que je trouve quelque chose intéressant à noter/conserver/commenter que je valide la source, l’auteurice et l’ensemble de son œuvre, et je ne compte pas m’imposer l’obligation ni d’avoir ni de donner un avis sur tout et tout le monde.
Mais je retiens la leçon : un train peut en cacher un autre.
Après celui à Roman Polanski, l’hommage de la Cinémathèque française à Jean-Claude Brisseau fait polémique
▻http://www.huffingtonpost.fr/2017/10/30/apres-celui-a-roman-polanski-lhommage-de-la-cinematheque-francaise-a-
La Cinémathèque française va peut-être devoir s’expliquer une nouvelle fois. Alors que l’organisation d’une rétrospective consacrée à Roman Polanski est vivement critiquée, notamment à travers une manifestation ce lundi 30 octobre, une nouvel événement organisé par l’institution culturelle parisienne fait déjà grincer des dents. Elle prévoit en effet d’honorer, en janvier, le travail du cinéaste Jean-Claude Brisseau, condamné pour harcèlement sexuel puis agression sexuelle.
L’événement a été dénoncé par la féministe Laure Salmona, à l’origine de la pétition lancée le 25 octobre et signée par plus de 28.000 personnes pour demander l’annulation de la rétrospective de la Cinémathèque française consacrée à Polanski. « Il est temps d’en finir avec la culture du viol (...) et l’impunité des hommes célèbres », écrivait-elle, regrettant que l’on mette en lumière le réalisateur franco-polonais, accusé de viols et d’agressions sexuelles.
« Donc si je comprends bien, la thématique choisie pour 2017/2018 c’est ’violeurs et agresseurs sexuels’ ? », écrit-elle à l’adresse de la Cinémathèque française, dans un tweet publié le 26 octobre.
« On reverra ou l’on découvrira l’œuvre mélodramatique et engagée, romantique et érotique, philosophique et sensuelle de Jean-Claude Brisseau », écrit la Cinémathèque.
#romantisme #érotisme #sensualité #viol #domination_masculine #troll #misogynie #antiféminisme #masculinisme #cinéma #culture_du_viol #grand_homme #deni #violences_sexuelles #symbole #fraternité
Les violophiles de la cinémathèque française sont d’une grande mansuétude. « Dans un souci d’apaisement » Monsieur "Elle en faisait 25", directeur de la mâle institution, ajourne la grande rétrospective Brisseau le porceau.
▻http://www.lemonde.fr/cinema/article/2017/11/09/la-cinematheque-francaise-annule-la-retrospective-brisseau_5212278_3476.html
L’homme qui raconte les montagnes
▻https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/271017/l-homme-qui-raconte-les-montagnes
Roman d’initiation, #roman du rapport au père, roman du désir de retrait du monde, Les huit montagnes de #Paolo_Cognetti raconte aussi en filigrane les bouleversements qu’a connus la haute montagne alpine depuis 30 ans.
Sound Experiments in The Russian Avant-Garde (1908-1942) ▻http://www.ubu.com/sound/russian_avant.html
L’impression du livre « Les Damnés de la Commune »
Petit reportage photo et grand moment d’émotion
#les_damnes_de_la_commune #a_la_recherche_de_lavalette #commune_de_paris #commune_de_paris_de_1871 #bande_dessinée #bd #roman_graphique #livre
Un thriller rural avec site internet
▻https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/300917/un-thriller-rural-avec-site-internet
« Parce que la société ne fonctionne plus comme à l’époque de Balzac ou de Thomas Mann, Brandebourg est une œuvre d’art totale, littéraire et virtuelle », explique #Juli_Zeh, auteure de ce #roman stupéfiant dont l’intrigue sur papier se prolonge, en vrai, dans le monde virtuel.
▻http://www.meyssan.com/IMG/arton1.jpg?1503405090
Les Damnés de la Commune, de Raphaël Meyssan, sortira le 8 novembre 2017 en librairie. Ce roman graphique est publié par les éditions Delcourt.
#les_damnes_de_la_commune #a_la_recherche_de_lavalette #commune_de_paris #commune_de_paris_de_1871 #bande_dessinée #bd #roman_graphique #livre
#Femmes et #musique classique : l’étude scientifique de trop
▻https://www.francemusique.fr/emissions/la-chronique-d-aliette-de-laleu/marie-antoinette-une-lettre-et-un-peu-de-musique-36777
Femmes et musique classique : l’étude scientifique de trop
Il n’y a « curieusement » jamais d’étude sur le type de musique qu’une femme devrait faire écouté à un homme pour lui faire faire ce qu’il n’a pas envie de faire.
J’aimerais bien savoir par exemple quelle musique il faut mettre pour que les homme romantiques fassent leurs tour de corvées de chiotte comme tout le monde. C’est un des grands mystères de l’univers qu’il est beaucoup plus urgent de résoudre que celui d’une nouvelle méthode de domination pour les hommes.
En tout cas je saurais désormais quelle entourloupe me prépare un homme qui m’inflige du Chopin. Mais j’avoue qu’on me met pas du Chopin longtemps qu’on sois un homme ou une femme.
#amour #séduction #hétérosexualité #patriarcat #musique #sexisme #manipulation #romantisme
Qui sont vraiment les Roms de France ?
▻https://lejournal.cnrs.fr/articles/qui-sont-vraiment-les-roms-de-france
On estime entre 15 000 et 20 000 le nombre de Roms en France. Venus majoritairement de Roumanie et de Bulgarie, ce sont des Européens à part entière. Ils font pourtant l’objet d’une logique politique d’exclusion et de préjugés tenaces. Des chercheurs démêlent le vrai du faux dans cet article paru dans le numéro 2 de la revue Carnets de science.
Quand on n’a que l’amour
▻https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/300717/quand-n-que-l-amour
L’Amour au tournant, premier #roman traduit en français de l’écrivain algérien #Samir_Kacimi, est la rencontre, par hasard, de vieux messieurs dans un square d’Alger. Ils parleront de sexe, d’amour… du pays bien sûr. « Nous sommes maudits par l’Histoire, confrontés à un passé falsifié par des hommes incapables de dire la vérité parce qu’ils ont la langue et l’esprit tordu. »
#Octobre_17. #Roman_von_Ungern-Sternberg, le baron fou de Sibérie
▻https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/280717/octobre-17-roman-von-ungern-sternberg-le-baron-fou-de-siberie
Le baron Roman von Ungern-Sternberg. © (dr) Les échos de la chevauchée sauvage de Roman von Ungern-Sternberg ont longtemps couru les steppes de Mongolie, arrivant à Paris dans les bagages des officiers russes qui faisaient le taxi au mitan des années 1930. Ils continuent d’alimenter tous les fantasmes, certains considérant le « baron fou » comme un boucher sanguinaire, d’autres comme un défenseur de la Russie blanche, d’autres encore comme le libérateur du Bouddha vivant.
Préparation à l’agrégation interne d’histoire et de géographie #AgregInterneHG : GÉOGRAPHIE DE LA FRANCE
LA FRANCE DES RÉGIONS :
Quelques outils pour préparer des exemples aux échelles régionales et locales.
AVANT DE COMMENCER : Se mettre au point sur la réforme territoriale
Arnaud BRENNETOT et Sophie DE RUFFRAY, 2015, « Une nouvelle carte des régions françaises », Géoconfluences, rubrique Éclairage, 30 septembre 2015, en ligne : ►http://geoconfluences.ens-lyon.fr/actualites/eclairage/regions-francaises
La carte des régions
►http://geoconfluences.ens-lyon.fr/actualites/eclairage/cartes/regionsfrcarte1
UN OUVRAGE RÉCENT :
CARROUÉ, Laurent, 2017, La France des 13 régions, Armand Colin, Paris, 336 p.
►http://www.armand-colin.com/sites/default/files/styles/couv_livre/public/images/livres/couv/9782200615369-001-T.jpeg?itok=oqX1G5Y6
=> à consulter pour se préparer une banque d’exemples à diverses échelles.
DES ÉTUDES DE CAS AVEC LES ATLAS AUTREMENT :
LASLAZ, Lionel, Christophe GAUCHON et Olivier Pasquet, 2015, Atlas Savoie Mont-Blanc. au carrefour des Alpes, des territoires attractifs, Autrement, collection Atlas/Monde, Paris.
GOURLAY, Florence et Roman LE DÉLÉZIR, 2011, Atlas de la Bretagne. Les dynamiques du développement durable, Autrement, collection Atlas/Monde, Paris.
Christian PIHET (dir.), 2013, Atlas des Pays de la Loire. Entre attractive et solidarité, Autrement, collection Atlas/Monde, Paris.
#La_France_des_Régions #Réforme_Territoriale #Arnaud_Brennetot #Sophie_de_Ruffray #Laurent_Carroué #Lionel_Laslaz #Christophe_Gauchon #Florence_Gourlay #Roman_Le_Délézir #Christian_Pihet #Bretagne #Savoie #Savoies #Haute-Savoie #Haute_Savoie #Pays_de_la_Loire #Atlas #Agrégation #Agrégation_Interne #Agreg #AgregInterne #Agreg_Interne #Histoire #Géographie #Histoire_Géographie #Histoire_et_Géographie #Géographie_de_la_France #Agrégation_Interne_d_Histoire_et_de_Géographie #AgregInterneHG #Agreg_Intern_HG #Agreg_Interne_Histoire_Géographie
Le dernier été du #tsar Nicolas II
▻https://fr.rbth.com/multimedia/pictures/2017/06/18/le-dernier-ete-du-tsar-nicolas-ii_784940
Après avoir passé l’été sous surveillance, le 1er août, la famille du tsar fut envoyée en exil à Tobolsk, où ses membres passeront le reste de leur vie. Selon l’enquête sur l’assassinat de la famille Romanov, « le tsar se tenait au milieu de la pièce, avec son fils et son épouse assis à ses côtés. Leurs quatre filles et les serviteurs étaient alignés le long du mur. Iourovski dit au tsar qu’il allait mourir. Nicolas répondit : « Comment ? » et commença à s’avancer vers Iourovski. Iourovski pointa son pistolet sur le tsar et tira à bout portant. Il tourna l’arme sur Alexis et lui tira dessus également. Les autres hommes présents dans la pièce se mirent à tirer et rapidement, la pièce fut baignée de sang et envahie d’une odeur de poudre. La pièce se remplit de gémissements et de cris. Après la première salve de tirs, trois victimes restaient en vie. La femme de chambre Anna Demidova n’était que légèrement blessée et courait dans la pièce en se protégeant avec un oreiller. Elle fut assommée à coups de crosse de fusils et les baïonnettes. Anastasia hurla et tenta de se remettre debout. Un soldat cloua son pied au sol et la tua d’un coup de crosse de son fusil. Le jeune Alexis gémit et Iourovski lui tira deux autres balles dans la tête. Les hommes frappèrent les autres victimes avec les baïonnettes pour s’assurer qu’elles étaient bien mortes ».
Le vivant d’Anna Starobinets
Malgré le récit haché (rapports, échanges mails, chats, lettres à soi-même au cours des réincarnations, conversations dans le socio etc.), l’intrigue est haletante, le monde décrit vertigineux, avec un peu de hacking dedans, des groupes d’outlaw, un personnage emblématique, Zéro, le grain de sable qui va mettre en déroute le système huilé de la matrice.
Sauf que, les rebelles n’ont pas de longues vues, et une fois détricotées les couches de leurres qui composent et font vivre ce vivant , qu’envisagent-ils - dans leurs tentatives de dénonciation du système oppresseur ? Un retour à un « avant bien fumeux » qu’ils n’ont pas connu, basé sur l’amour et ... la famille nucléaire.
Et quoi, pour sauver les femmes de ces festivals où elles doivent coucher à l’aveugle avec de multiples partenaires pour se reproduire puis se séparer de leur progéniture après quelques années ? Le mariage et le couple monogame.
Et pour couronner le tout, que constate le sauveur de l’humanité ? Que la liberté, c’est moins bien que la dictature. Tout ça pour ça, 500 pages même, merci merci. #roman #s.f. #sf #science-fiction
Moi je lis pas la conclusion comme un « finalement c’est mieux comme ça » mais plutôt un truc du genre, il faut pas y aller sinon on pourra pas en sortir… et effectivement Zéro n’a pas la solution et ce qu’il propose est de réactiver une société déprimante… mais en général les romans de SF qui proposent des « solutions » sont pas terribles, c’est pas mal aussi quand ça fini pas bien.
Par contre ce post est un #GROS_SPOIL ; ça vaudrait le coup de séparer les deux paras finaux par une alerte spoil bien en évidence !
Bah, tout de suite les grands mots. J’aime pas les spoilers alerts, ça veut pas dire grand chose. Là vu la densité du bouquin, je ne raconte pas grand chose des personnages, de l’univers, des intrications de strates, de la narration, des retournements, de la géographie du vivant et des lieux perdus en première strate etc. Bref, je ne dis pas grand chose de ce qui fait le cœur du livre. Que j’ai aimé lire (tout le délire sur les termites, les scarabées-dope etc. y’a des centaines d’idées dans ce bouquin), mais qui finit un peu trop en eau de boudin à mon goût.
Certes certes, mais perso je me doutais pas du tout de cette fin et j’ai bien aimé la découvrir… mais de fait ce ne sont que quelques pages et c’est le reste qui est important.
“A subway-style diagram of the major Roman roads, based on the Empire of ca. 125 AD.”