• Il n’y a pas seulement les mille morts des uns et les dizaines de milliers de morts des autres. Il y a aussi “les bébés en plastique” (Merci C. #Estrosi) , les “faux chiffres du #Hamas” (merci C. #Fourest et… Léa #Salamé) , les postes de commandement cachés sous les hopitaux, les 40 nourrissons décapités et autres femmes éventrées (Merci président #Biden), “l’armée la plus morale” vs “les barbares”, les dizaines d’ “otages” des uns et les milliers de “terroristes incarcérés” des autres. Il y a enfin l’indécent “silence des autruches”, c’est-à-dire de ceux qui sont plus respectueux de la “distance scientifique” que de la vie et de la mort de leurs collègues palestiniens.
      L’actualité gazaouie n’en finit pas d’enfouir les élites européennes sous une surenchère nauséabonde de mépris des morts et des mots. Le festival de mensonges des Israéliens et l’aveuglement de leurs sponsors occidentaux sont couronnés depuis peu par une félonie ultime : l” ambition d’asphyxier financièrement les sauveteurs de l’#UNRWA.
      La #Macronie politique et médiatique a sombré. Sa France danse sur la montagne de cadavres des enfants de #Palestine. Elle imprime sur l’histoire de France une tache noire et nauséabonde qui restera indélébile.

      Déjà trop de morts et plus assez de mots.

  • Jamil Mouawad sur Twitter :

    (traduit avec Google)

    Le plan économique du régime est clair (selon les mots de #Mikati) :

    (1) - éviter le procès de #Salamé (là Google n’avait pas compris, pas sûr de ma traduction qd même) ; Rembourser (le reste des) dépôts inférieurs à 100 000 $ ; Création d’un fonds de recouvrement des dépôts (supérieurs à 100 000 $).

    Un plan qui échappe au plan du Fonds monétaire international, qui ne traite que des répercussions de la crise et ne tient pas pour responsables les auteurs.

    (2) Le Fonds de recouvrement des dépôts comprend : l’État, la Banque du Liban, les banques et les fonds pillés.

    Les investissements de l’État reviendront à la caisse (c’est-à-dire aux 12% des comptes et aux riches, et non sous forme de services à la société).

    Il s’agit d’une distribution arithmétique des pertes, et non d’une distribution de bénéfices potentiels sous forme de services par le biais d’un investissement général en capital.

    (3) Aujourd’hui, la lutte est finie qui supporte les pertes : l’Etat, la Banque du Liban, les banques ?

    Riad Salameh a réussi à libérer la Banque centrale de 16 milliards de dollars et à les imputer à l’État.

    Le principal conflit demeure entre l’État et les banques privées.

    C’est le nœud du problème.

    Sait-on qui parle au nom de l’Etat (du régime), qui défend l’Etat et la société ?

    (4) Le plan passe sans aucune confrontation politique, surtout sans confrontation parlementaire.

    Ni les sit-in aux chandelles, ni Twitter, ni les déclarations rejetant la nécessité d’une législation ne peuvent constituer une opinion politique s’opposant au plan.

    Qui prend aujourd’hui l’initiative de lancer une campagne parlementaire pour s’opposer à ce plan ?

    C’est la lutte principale aujourd’hui (pas l’élection de la présidence).

    “خطة النظام الاقتصادية واضحة (على لسان ميقاتي)🧵: (1) - تمييع محاكمة سلامة؛ ردّ (ما تبقى من) الودائع تحت الـ100 ألف $؛ إنشاء صندوق استعادة الودائع (فوق ال100 ألف $). خطة تتهرب من خطة صندوق النقد الدولي، تعالج تداعيات الأزمة فقط ولا تحاسب المرتكبين. https://t.co/SQ2bmW0DM5” / Twitter
    https://twitter.com/JamilMouawad/status/1628295219392221185
    #FMI #banques