La majuscule sied-elle au réseau ? - Libération par @latrive
▻http://www.liberation.fr/ecrans/0101385086-la-majuscule-sied-elle-au-reseau
« C’est un #outil, comme une bêche. On ne met pas de majuscule à une bêche. »
La majuscule sied-elle au réseau ? - Libération par @latrive
▻http://www.liberation.fr/ecrans/0101385086-la-majuscule-sied-elle-au-reseau
« C’est un #outil, comme une bêche. On ne met pas de majuscule à une bêche. »
Mais bien sûr... un « outil »... qu’on peut fabriquer soi-même bientôt ils vont dire !... Quand bien même il ne faudrait pas de majuscule, la manière dont c’est argumenté contribue au grand n’importe quoi de la mise sur le même plan de toute technique, simple ou (ô combien) complexe.
#technologie pour le coup (car idéologie)
intéressant, ce que dit danah boyd du nom ; elle tient à écrire le sien en minuscule ▻http://www.danah.org/name.html
as Douglas Adams noted, “Capital letters were always the best way of dealing with things you didn’t have a good answer to.” Ever since i was a kid, i was told that the world does not revolve around me, yet our written culture is telling me something entirely different. Why not capitalize ’we’ or ’they’? (Yes, i love the work of bell hooks.)
et
But, this led me on a mental tangent - What’s in a name? What’s its worth? Why is it so valuable that it is to be capitalized? Down this path, i started thinking about names as descriptors versus separate entities. Isn’t a name simply another unique adjective for me? A label? I am not my name; my name is simply another descriptor of me. Should i weight that descriptor as anything more valuable than the other adjectives used to describe me?
#noms
L’archétype rêvé du réfugié | Karen Akoka (Plein Droit via LMSI)
►http://lmsi.net/L-archetype-reve-du-refugie
Avec le temps, les causes qui auront conduit la grande majorité de ces réfugiés reconnus à chercher asile en France seront peu à peu oubliées pour devenir illégitimes. L’image du réfugié militant politique personnellement recherché, revisitée, glorifiée, mais largement éloignée de la réalité de ce que fut la demande d’asile des années cinquante à soixante-dix, a peu à peu dessiné en creux celle du faux demandeur d’asile d’aujourd’hui, congolais, malien ou chinois, suspecté de fuir au mieux un conflit généralisé, au pire la misère. Source : Plein Droit via LMSI