• Stage « Tournez dans un film de cinéma muet » 2024

    Pour les enfants, adolescents et adultes confondus, « Le Bateau Ivre » (organisme de formation depuis 1998) propose deux sessions du Stage de Mime « Tournez dans un film de cinéma muet » à Paris (75009) pendant 4 jours de 14 à 17h en avril 2024. https://www.silencecommunity.com/events/event/view/48629/stage-%C2%AB%C2%A0tournez-dans-un-film-de-cinema-muet%C2%A0%C2%BB-

    #Paris #ÎleDeFrance #stage #formation #tournage #enfants #adolescents #adultes #cinéma #mime #pantomime #mimique #ArtisteMime #muet #CinémaMuet #film #CourtMétrage #laussat #pillavoine #avril #lbi2324

  • Nouvelle #chaîne #Peertube pour la compagnie « Le Bateau Ivre » !

    https://www.lebateauivre.info/stagedemime/peertube

    Il s’agit d’une chaîne dédiée au cinéma muet et destinée aux futurs participants.e.s du Stage de Mime « Tournez dans un film de cinéma muet ».

    Vous diriez peut-être : « Mais il n’y a que du Max Linder ! »
    Comme vous auriez raison. Mais c’est une nouvelle chaîne... Il faut bien commencer par une étoile. Comme Max Linder était la référence de Sir Charles Spencer Chaplin, ce ne peut être qu’un bon début.

    #Melun #SeineEtMarne #ÎleDeFrance #stage #formation #Mime #tournage #films #CinémaMuet #CourtsMétrages #lbi2223

  • Stage « Tournez dans un Film de Cinéma muet »

    Pour « Le Bateau Ivre », Anne-Marie Laussat et Philippe Pillavoine animeront en avril et mai 2023, à l’Espace Saint-Jean de Melun (77), un Stage de Mime ouvert à tous, intitulé : « Tournez dans un Film de Cinéma muet ».

    Annonce : https://www.silencecommunity.com/events/event/view/48410/stage-%C2%AB%C2%A0tournez-dans-un-film-de-cinema-muet%C2%A0%C2%BB

    Inscriptions : https://www.lebateauivre.info/stagedemime

    #cinéma #cinéma_muet #tournage #film #muet #court_métrage #mime #artiste_mime #stage #formation #Seine_et_Marne #Melun #Île_de_France #enfants #adolescents #adultes

  • Droit à l’image de la tour Eiffel
    https://www.toureiffel.paris/fr/entreprise/utiliser-image-tour-eiffel

    LA TOUR EIFFEL VUE DE JOUR
    Utilisation libre

    L’image de la tour Eiffel de jour est dans le domaine public : son utilisation est libre de droit, elle est reproductible sans autorisation préalable de la SETE, gestionnaire de l’image du monument pour le compte de la Mairie de Paris.

    LA TOUR EIFFEL VUE DE NUIT
    Utilisation contrôlée

    Les différents éclairages de la tour Eiffel (illumination dorée, scintillement, phare et les éclairages événementiels) sont protégés.
    L’exploitation de l’image de la tour Eiffel de nuit est donc sujette à autorisation préalable de la SETE. Cette exploitation est soumise au paiement de droits dont le montant est fonction de l’utilisation envisagée, du plan média...

    Les prises de vues de la tour Eiffel de nuit pour des particuliers et pour un usage privé ne nécessitent aucun accord préalable. À l’inverse, les professionnels doivent impérativement se rapprocher de nos équipes qui leur indiqueront les conditions d’exploitation des images.

    Un doute sur l’utilisation de l’image de la tour Eiffel ?

    Contactez-nous : documentation@toureiffel.paris

    La marque tour Eiffel petite_tour_eiffel

    LA MARQUE TOUR EIFFEL

    Utilisation contrôlée

    « Tour Eiffel » est une marque déposée donc protégée au titre des droits de marque.
    Cette mention peut être apposée sur des produits après négociation d’un contrat de licence étudié au cas par cas.

    Vous avez une question sur l’utilisation de la marque ?

    Contactez-nous : documentation@toureiffel.paris

    Découvrez nos prestations de tournage et les conditions d’utilisation de l’image et de la marque tour Eiffel

    La tour Eiffel est le symbole de Paris et de la France à travers le mondee.
    Elle embarque tout un imaginaire à sa simple évocation et nombreux sont les artistes et réalisateurs qui lui rendent hommage au travers de films, reportages, photographies, peintures, œuvres interactives…

    Mais la tour Eiffel est aussi populaire et accessible. Son image se retrouve alors sur différents objets qui sont finalement autant de témoins de la magie qu’elle représente.
    Prestations de tournage tournage_nuit

    Occupation d’espace de jour et de nuit..

    Prise de vue de Paris depuis la Tour

    Panorama imprenable à 360° sur Paris

    Hauteur de vue modulable (57 et 116 mètres) grâce aux 2 étages

    Décor principal du tournage

    Une silhouette mondialement connue
    Différents espaces proposés :
    parvis, étages, zones non ouvertes au public

    ...pour tous les projets audiovisuels

    Longs métrages
    Spots publicitaires
    Fictions télévisuelles & émissions
    Documentaires & reportages

    Le service Valorisation du fonds Patrimonial/Droits à l’Image se fait un devoir d’étudier chaque projet au cas par cas, afin d’adapter au mieux les exigences techniques et artistiques de chaque production au cahier des charges du monument, et de proposer un tarif au plus juste pour chaque opération.
    Pour les tournages de nuit, des droits d’image sont à prévoir, l’ensemble des éclairages étant protégés.

    Contactez-nous : documentation@toureiffel.paris

    Vous êtes journaliste et votre reportage a pour sujet la tour Eiffel elle-même ou son actualité ?

    Contacter notre service presse

    tournage_jour

    Logistique & informations pratiques

    Les tournages ont lieu de jour comme de nuit, majoritairement hors présence du public pour ne pas interférer avec l’exploitation du monument.
    Ascenseur de service spécifique entre le sol et le 2ème étage. Profondeur 2,30 m – Largeur 2,50 m – Hauteur 2,20 m. Ouverture porte 1,30 m x 2,10 m.
    Solutions techniques et règles de sécurité seront étudiées lors d’un repérage (besoins électriques, régie, accès des équipes et du matériel...).
    Prolongations d’illuminations possibles au cas par cas.
    Stationnement : les véhicules peuvent stationner avenue Gustave Eiffel le temps de décharger. Ils devront ensuite être déplacés. Vous pouvez vous rapprocher de la Mission Cinéma de la ville de Paris qui vous aidera à trouver des solutions.

    #film #vidéo #tournage #droit #copyright #Paris #France #nuit #photographie

  • Emmanuel #Cappellin, le #documentariste qui en savait trop sur l’avenir de la #planète
    https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2021/09/22/emmanuel-cappellin-le-documentariste-qui-en-savait-trop-sur-l-avenir-de-la-p
    #quand_on_sait

    Chez la première, il se sensibilise aux odeurs de la #forêt, fréquente une école Freinet, où ses instituteurs (qu’il découvrira plus tard anarchistes militants) lui apprennent la médiation entre enfants et la mise en projets de ses idées. Avec son père, qui n’a pas de voiture, faute de moyens, il parcourt la France à vélo et en canoë. Dès le collège, il prend des cours de biologie, par passion.

    [...]

    Une forme de réponse lui apparaît lors du #tournage de son film. Il rencontre Susanne Moser, une #géographe allemande qui accompagne des populations victimes de la montée des eaux. « Elle m’a dit quelque chose qui me guide : “Même au cœur d’une situation dans laquelle on se sent dépossédé du pouvoir d’agir, il nous reste le pouvoir de décider comment vivre ce qui nous est imposé.” »

    Comme si ses actes n’étaient toujours pas à la hauteur, Emmanuel Cappellin « décide de vivre ce qui lui est imposé » en s’engageant auprès d’#Extinction_Rebellion (XR), mouvement qui alerte sur l’urgence climatique par des actions de désobéissance civile non violentes. « Grâce à cela, je réconcilie le politique et l’intime. Je suis plus apaisé. » Il s’est ainsi allongé devant l’Assemblée nationale contre la loi climat, a envahi le Muséum national d’histoire naturelle pour alerter sur l’effondrement de la diversité.

    Article réservé à nos abonnés Lire aussi « Nous n’avons pas besoin que ces jeunes viennent nous dire quoi faire » : un squat d’Extinction Rebellion divise un village en Seine-et-Marne
    « Ces actions peuvent paraître anecdotiques mais sont les prémices de #mouvements plus larges qui n’auront peut-être plus la forme #non_violente d’aujourd’hui… » à l’approche de la sortie de son #film, il se moque du baby-blues. « Je travaille sur la réponse que la société va donner à la crise climatique. » De quoi faire encore quelques insomnies.

  • Unfälle am Bond-Set : Unterwegs in tödlicher Mission - WELT
    https://www.welt.de/kultur/kino/article110582540/Unterwegs-in-toedlicher-Mission.html

    Unfälle sind fast schon Alltag bei den Dreharbeiten zu James-Bond-Filmen. Wenn Hauptdarsteller von Stuntmen gedoubelt werden, wird es meist gefährlich. Wirklich tragisch ging es einmal aus.

    Am 1. November kommt der neue 007-Film „Skyfall“ in die deutschen Kinos. Schon jetzt ist er mit einem Budget von rund 200 Millionen Dollar einer der teuersten Bonds aller Zeiten, aber zumindest ist es nicht der mit den meisten Unfällen. Bei einer Motorradverfolgungsjagd durch den Großen Bazar in Istanbul ging „nur“ die Einrichtung des Boybeyi Juwelier Shop in die Brüche, als der Stuntman dagegen raste.

    Glück gehabt, denn im letzten Bond-Abenteuer „Ein Quantum Trost“ gab es immerhin fünf Unfälle. In Nordchile raste ein aufgebrachter Bürgermeister in das Set und verletzte zwei Stuntmen. Daniel Craig erlitt Rippenprellungen, musste in Panama in das Hospital Punta Pacifica gebracht und in London wegen einer Schnittverletzung an der Hand behandelt werden. Er kommentierte ironisch: „Wenn man hier nichts abkriegt, macht man den Job nicht richtig.“

    Bei den Aufnahmen für eine Verfolgungsjagd am Gardasee rasten zwei Stuntmen in einem Alfa Romeo zweimal in einen Laster und mussten mit Hand- und Kopfverletzungen ins Krankenhaus in Verona geflogen werden. Ein Aston Martin stürzte auf der Fahrt zum Set in den See. Es sind aber nur die jüngsten Beispiele für Pleiten, Pech und Pannen bei Bond-Filmen. Die Unfallserie ist so alt wie die Reihe selbst.

    Leiden und lächeln

    Die Szene ging in die Filmgeschichte ein. Ursula Andress entsteigt im weißen Bikini den Fluten vor Jamaika, freut sich über eine Muschel und summt ein Liedchen vor sich hin. Tatsächlich hat sie schwer gelitten, denn als die gebürtige Schweizerin am 8. Februar 1962 für den Film den ersten Bondfilm „James Bond – 007 jagt Dr. No“ aus dem Wasser kommt, war eines ihrer Beine nur übergeschminkt.

    Kurz zuvor hatte sie sich an den Korallen eine klaffende Wunde zugezogen. Es ist nur ein Beispiel von vielen, das beweist wie viele Darsteller bei Bond Drehs etwas abbekommen haben. Am meisten traf es jedoch die Stuntmen und Crewmitglieder.

    Hubschrauberkollisionen und Amputationen

    Nur eineinhalb Jahre später stürzten Regisseur Terence Young und der Assistant Director Michael White mit einem Hubschrauber in Schottland ab, knallten ins Wasser und überlebten nur knapp. Ein Kameramann verletzte sich schwer.

    Sie inszenierten in der Nähe von Crinan Hubschrauberszenen, in denen Bond gejagt wird. „Ich knallte in den anderen Hubschrauber, wir stürzten aus etwa 40 Fuß ab und ich blieb etwa eine Minute unter Wasser, weil sich mein Sicherheitsgurt nicht öffnete“, beschrieb Terence Young später die Ereignisse vom 6. Juli 1963. Danach musste er einen Arm in einer Schlinge tragen, drehte aber tapfer weiter.

    Doch „Liebesgrüße aus Moskau“ barg auch für Hauptdarstellerin Daniela Bianchi Gefahren. Auf der Fahrt zum Set kam sie mit einem Wagen von der Straße ab, raste in den Graben und zog sich Hautabschürfungen zu.

    Bei den Dreharbeiten von „Feuerball“, 1965 auf den Bahamas, wurde Ricou Browning, der Regisseur der Unterwasseraufnahmen von einer Harpune ins Bein getroffen, wie Ausstatter Ken Adam sich erinnert. Und das war nicht alles. „Fast wäre jemand gestorben, denn einer der Stuntman sank mit einem Vulkan Bomber auf den Meeresgrund.

    Er hatte einen Alarmknopf, falls etwas schief geht, wollte ihn aber nicht betätigen, weil die Szene sehr aufwändig war. Als wir ihn da rausholten, war er nicht mehr bei Bewusstsein, doch im Krankenhaus konnten sie sein Leben retten“, so Adam weiter.

    Viel schlimmer erwischte es Kameramann Johnny Jordan, der am 22. September 1966 über dem japanischen Ort Ebino von dem Rotor eines French Alouette Hubschraubers touchiert wurde. Der Brite drehte Luftaufnahmen für den Film „Man lebt nur zweimal“ und filmte, ganz und gar Kameramann, den Unfall sogar mit. „Ich dachte, vielleicht hilft es dem Arzt“, so der ironische Kommentar des Mannes.

    Er musste operiert werden und ließ danach, auf eigenen Wunsch, sein linkes Bein vom Knie an abwärts amputieren. Zwei Jahre später arbeitete er an dem Bondfilm „Im Geheimdienst Ihrer Majestät“ – mit Prothese. Die Luftaufnahmen über Japan wurden abgebrochen und über dem spanischen Torremolinos fortgeführt.

    In feuriger Mission

    Dass es bei Bondfilmen heiß hergeht, ist wohl systemimmanent. Dass mehrere Mitwirkende Verbrennungen erlitten, war nicht geplant. Auch Roger Moore bekam etwas ab. Es war die finale Konfrontation zwischen Bond und Stromberg in dem 1977 entstandenen Film „Der Spion, der mich liebte“. Die Kontrahenten sitzen sich gegenüber. Der Gangster drückt ab. Hinter Moores Rücken entzündet sich eine kleine Munitionsladung.

    Doch sein Hintern wird in Mitleidenschaft gezogen, da der Sprengkörper zu früh explodiert. „Es ging direkt durch meine Marine-Uniform durch. Sehr unkomfortabel“, so der Brite gewohnt ironisch über die Erfahrung. „Die Krankenschwester hat es genossen zweimal täglich den Verband zu wechseln.“ Ein anderer bekam mehr ab. Bei der Explosion des Kontrollraums wurde ein Stuntman schwer verletzt.

    Ein herumfliegendes Bauteil traf ihn an Hals- und Nackenrücken und brannte dort weiter. Er erlitt schwere Verletzungen. Mehrfach musste Haut transplantiert werden. Schon 1964 erlitten zwei Akteure des Films „Goldfinger“ Verbrennungen. Alf Joint, der Darsteller von Capungo, der sich gleich zu Anfang des Films mit Bond (Connery) prügelt und in der Badewanne landet, zog sich starke Verbrennungen zu, als sich ein Stromkabel um sein Bein legte. Er spielte nicht nur, sondern schrie vor Schmerzen.

    Harold Sakata, Darsteller des koreanischen Dieners von Goldfinger mit dem schönen Namen Oddjob, verbrannte sich seine Hände schwer, als er seine Melone anfasste, die in den elektrisch geladenen Gitterstäben von Fort Knox steckte. Sieben Jahre später erwischte es Stuntman George Leech, der für Putter Smith, alias Mr. Kidd, doubelte. Beim Schlusskampf mit Bond erlitt er bei den Feuerszenen Verbrennungen an den Händen.

    Die Flammen eines flambierten Schaschliks griffen in „Diamantenfieber“ auf den Mann über. Bei „Feuerball“ (1965) zog sich ein Taucher schwere Verbrennungen zu, als ein Sprengkörper falsch detonierte. Er musste ins Krankenhaus eingeliefert werden. Stuntman Bob Simmons erlitt bei der Explosion eines in Brand geschossenen Autos Verbrennungen am Rücken.

    Auch als Hauptdarsteller lebt man bei Bond gefährlich

    Roger Moores brennender Hintern waren nicht seine einzigen Verletzungen. In seinem jüngsten Buch „Bond über Bond“ (Knesebeck Verlag) schreibt der Akteur gewohnt ironisch: „Ich verletzte mich während der Proben bei der Verfolgungsjagd mit Glastron-Booten in ‚Leben und sterben lassen‘ am Bein und durfte bei meiner Amtseinführung als tapferer Agent 007 netterweise sitzen.“

    Als er vor knapp 40 Jahren parallel zum Start des Films ein Taschenbuch über die Dreharbeiten veröffentlichte, war das nicht so komisch gehalten. Schon im ersten Satz heißt es: „Man sagt, wenn man den Tod vor sich hat, dann läuft das ganze Leben blitzschnell noch einmal vor den eigenen Augen ab.“

    Offensichtlich geschah ihm das mehrfach. Als bei einer Geschwindigkeit von 45 Meilen die Steuerung seines Bootes ausfiel, knallte er gegen ein Dock. Er verlor zwei Schneidezähne, zog sich Beinquetschungen und Hautabschürfungen zu und musste während der Dreharbeiten einen Beinverband tragen.

    In Jamaika raste ein LKW in den Trailer des Hauptdarstellers, der darin gerade auf die nächste Aufnahme wartete. Da blieb er mal unverletzt. Bei der Prügelei, die an Bord einer Seilbahn für den Film „Moonraker – Streng geheim“ entstand, verletzte er sich am Knie, und in Venedig plumpste er sechsmal in den Canale Grande. Der Vorfall brach aber nur das Herz seines Schneiders, nicht seines.

    Sean Connery wurde bei einer Explosion in den Elstree Studios, bei Aufnahmen für den Film „Sag niemals nie“ durch die Luft geschleudert und erlitt Prellungen. Schon 1963 hatte ihn die Hubschraubersequenz von „Liebesgrüße aus Moskau“ fast das Leben gekostet, denn einmal kamen ihm die Rotoren so nahe, dass er fast geköpft worden wäre.

    Timothy Dalton bekam bei „Der Hauch des Todes“ (1987) einen Teil einer Sprengladung ab und zwei Jahre später bei „Lizenz zum Töten“ einen Schnitt in die Hand. Bei einer Prügelei, die 1997 für „Der Morgen stirbt nie“ inszeniert wurde, bekam Pierce Brosnan einen Schlag auf die Lippe, die genäht werden musste.

    Als er im Februar 2002 „Stirb an einem anderen Tag“ drehte, erlitt er bei der Foltersequenz zu Anfang des Films eine Knieverletzung. Die Dreharbeiten mussten unterbrochen werden. Der in Stunts eher unerfahrene George Lazenby, der 1969 mit „Im Geheimdienst Ihrer Majestät“ seinen einzigen Bondfilm drehte, verletzte bei den Probeaufnahmen seinen Partner Yuri Borienko durch einen schweren Schlag und brach ihm die Nase.

    Stürze, Brüche, Schnitte, Bisse

    Schwere Verletzungen jeglicher Art sind bei Bondfilmen schon sehr häufig vorgekommen. Am schlimmsten traf es Stuntman Martin Grace, der für „Octopussy“ (1983) auf einem fahrenden Zug agierte, gegen einen Betonpfeiler knallte, „und sich krampfhaft an den Zug klammerte, um nicht unter die Räder zu kommen“, wie Roger Moore sich erinnert.

    Grace brach sich die Hüfte, musste sechs Monate ins Krankenhaus und war beim nächsten 007-Film wieder dabei. „Das nenne ich hart im Nehmen“, kommentierte Moore. Aber auch andere mussten ins Hospital eingeliefert werden. So kam ein Stuntman beim Abseilen im Krater von „Man lebt nur zweimal“ zu schnell herunter und brach sich beide Fußknöchel.

    Krokodilfarmeigner Ross Kananga, der für Roger Moore in „Leben und sterben lassen“ (1973) über die Rücken der Tiere lief, wurde von einem Krokodil mit dem Schwanz getroffen, so dass er sich eine Zehe brach. Beim Lauf über die Tiere stürzte er viermal in den Teich und erlitt Verletzungen, als ihn eines der Tiere in den linken Fuß biss.

    Bei der Voodoo-Zeremonie wurde der von Michael Ebbin gespielte Hohe Priester von einer Schlange gebissen. Stuntman Bob Simmons verletzte sich bei „Der Spion, der mich liebte“ bei einem Sprung durch die Scheibe. Er war als Double für „Beißer“ Richard Kiel tätig und zog sich Schnittwunden an einer Hand zu, die genäht werden musste.

    Ein tödlicher Unfall

    Der Titel des fünften Bondfilms mit Roger Moore in der Hauptrolle wurde für einen Stuntman tatsächlich zu einer „tödlichen Mission“, denn am 17. Februar 1981 wurden die Dreharbeiten von einem schweren Unfall überschattet. Stuntman Paolo Rigon, der vorderste Mann im Viererbob, starb in der Bobbahn von Cortina d´Ampezzo.

    Die Idee war, dass der Bob während der Szene aus der Bahn fliegt. Das Team markierte die Stelle, verschätzte sich aber in der Distanz, flog später aus der Bahn und knallte direkt gegen einen Baum. Der Unfall passierte am allerletzten Tag – es war die letzte Szene des zweiten Teams. Da auch das erste Team bereits abgereist ist, erfuhr man erst im Schneideraum von dem Unfall. John Glen: „Es war deswegen ein schrecklicher Schock, weil während der gesamten Produktion eine Reihe von gefährlichen Situationen auftraten und nichts schief ging.

    Bei ‚Im Geheimdienst Ihrer Majestät‘ drehte ich dreimal eine Szene, in der ein Bob aus der Bahn flog, und nichts geschah.“ Aber diese Aussage ist geschönt, denn tatsächlich verletzte sich ein Stuntman bei der Bobjagd schwer, und es geschahen eine Reihe kleinerer Unfälle.

    Am 5. Mai 1989 sagte Koproduzent Michael G. Wilson anlässlich eines Vortrags in der „New York School for Social Research“ in New York City: „Stunts sind bekanntermaßen sehr riskant, aber die Stuntmen sind so professionell und die Stunts so gut vorbereitet, dass wir nur selten wirklich ernsthafte Unfälle hatten. Die höchste Verletzungsrate hatten wir beim Bau der Sets. Dort gibt es ständig Risiken, und wir hatten andauernd Unfälle.“ Nicht gerade zutreffend, aber neuere Aussagen von ihm gibt es nicht.

    #film #cascadeurs #accidents #tournage #sécurité #James_Bond

  • JACK LINE – Opus #1

    Je ne vous ai pas parlé encore de « Jack Line » je crois… Toutes mes excuses, j’ai manqué sur ce coups là et ça en vaut la chandelle.
    En 2015, William Prünck (que j’ai connu en 2007 sur SCALP de Xavier Durringer et Jean-Marc Brondolo pour Canal+) m’a offert un rôle dans son court-métrage co-écrit et co-réalisé avec Stéphane Esse.
    Il s’agit de Jack Line (que l’on prononce Jacqueline), le premier Opus. J’ai répondu positivement avec grand plaisir, parce que je joue avec le silence, qu’il allait y avoir de l’action, pour le thème du film et la manière de le traiter...

    Via PILLAVOINE Le Blog : http://www.philippepillavoine.artistoides-associes.org/leblog/2017/04/10/jack-line-opus-1

    #2007 #Angoulême #Brondolo #canal+ #court-métrage #Durringer #Esse #Festival #film #jury #paris #prix #Prünck #pillavoine #scalp #tournage

  • La bataille du Chili est sans conteste un des plus saisissants films politique qui m’ait été donné de voir.
    Le cinéaste et son équipe arrivent à capter cet instant si fragile ou la conscience politique collective du « peuple de gauche » entend le bruit des bottes et de la cravache de la soumission. les poings levés vont être coupés, l’ordre bourgeois, patronal, et militaire va régner. Une résistance sans armes va s’opérer jusqu’à la chute finale.
    Bouleversant de voir comment une telle volonté politique d’organiser les moyens de productions, la répartition des richesses, et de la propriété va être écrasée par les forces les plus réactionnaires et conservatrices du pays.

    La bataille du Chili (1973) un film documentaire en trois parties de Patricio Guzman avec la collaboration entre autres de Chris Marker

    Ici est présenté la première partie :
    L’insurrection de la bourgeoisie

    http://www.dailymotion.com/video/x8ujr2_la-bataille-du-chili-1-sur-

    Une analyse du film par Rosa Llorens
    http://www.legrandsoir.info/la-bataille-du-chili-40-ans-apres-21028.html

    Le #film, tourné pendant la présidence d’#Allende, dans des conditions dramatiques, pourrait s’intituler #Chronique d’un Coup d’État annoncé : effectivement, dès la victoire d’Allende aux élections de septembre 1970, les #partis_politiques de #droite, les secteurs #radicaux de l’#armée et la #CIA avaient mis au point la stratégie du #chaos qui devait conduire au #coup_d_État.
    La grande difficulté, pour l’équipe de #tournage, dit P. Guzman, était le décalage entre le peu de moyens matériels (le film fut tourné grâce à la #pellicule offerte par #Chris_Marker, et monté, après le coup d’État, à #Cuba) et la masse d’#événements et l’#effervescence des années 70-73 : il fallait choisir et planifier ce qu’on allait couvrir ; les choix furent judicieux, puisqu’on suit le film dans l’angoisse, l’estomac noué, revivant les possibilités extraordinaires de cette période, tout en pensant aux #tragédies #humaines auxquelles elle a abouti ; mais on assiste aussi, au-delà du #documentaire, à de grands moments de #cinéma.
    Les #séquences font alterner trois groupes, trois centres de #pouvoir : les #ouvriers dans leurs #usines, la #droite_parlementaire appuyée sur l’#armée, et, entre les deux, Allende et le gouvernement d’#Unité #Populaire.

    http://www.dailymotion.com/video/x8ulm1_la-bataille-du-chili-2-sur-5_news

    Face à la #stratégie de tension et de #sabotage de la part de la droite, Allende ne pouvait compter que sur le #peuple : il a donc encouragé les ouvriers à s’#organiser, ce qu’ils ont fait avec une détermination et une efficacité impressionnantes ; les usines passent entre les mains du peuple, constituant les nouveaux « #cordones », où le travail est inséparable des #actions_de_défense : on voit les ouvriers dresser des #barricades et obliger la police mais aussi le #gouvernement, qui voulait revenir sur ces nationalisations sauvages, à reculer.

    Mais le moment le plus fort, c’est l’assemblée des responsables de cordones face à la direction des #syndicats, la #CUT, où les #communistes jouent un rôle (modérateur) important. Un ouvrier, visiblement exaspéré par les discours du responsable de la CUT, prend la parole : « Vous nous avez demandé de nous organiser, nous nous sommes organisés - mais pour quoi faire ? Les #camarades sont fatigués de s’entendre dire que ce n’est pas le moment, qu’il faut rendre des usines, parce qu’elles appartiennent à la reine d’Angleterre ou à des #banques suisses. Les camarades ne comprennent pas, ils veulent agir pour soutenir notre camarade #Président. »

    http://www.dailymotion.com/video/x8um4k_la-bataille-du-chili-p-guzman-3-sur_news


    (...)

    Pendant ce temps, la droite déroule son plan. L’armée suit sa propre #politique : elle encercle les usines pour vérifier qu’il ne s’y cache pas d’armes, fouillant et arrêtant les ouvriers - sans qu’elle ait jamais rien trouvé ; mais ces opérations servent à étudier les lieux possibles de #résistance et à habituer les jeunes #soldats à #affronter les ouvriers. Parallèlement, la « #société_civile », appuyée par les #médias (ou du moins 75% des médias) s’organise : en 1972, la grève des #transporteurs routiers paralyse le pays ; les « ménagères » typiques, en grosses lunettes de soleil de marque et coiffure au brushing impeccable, celles auxquelles les médias français donnaient toujours la parole pour rendre compte de la situation au Chili, collectent des fonds pour soutenir les grévistes (déjà subventionnés par la CIA) et les médias accusent le gouvernement d’atteinte à la #propriété_privée quand il essaie de #réquisitionner les camions.

    http://www.dailymotion.com/video/x8vwjm_la-bataille-du-chili-p-guzman-4-sur_news

    Entre les deux, il y a Allende, fidèlement soutenu par des #manifestations #populaires, et toujours respectueux de la #Constitution, même quand la droite fait assassiner son aide de camp, le commandant #Araya, pour le couper des secteurs #loyalistes de l’armée. La séquence des funérailles d’Araya est la plus magistrale du film : on voit, littéralement, les officiers supérieurs, filmés en plan américain, se féliciter, dans le dos d’Allende, de leur succès et se concerter pour les étapes suivantes du plan. Guzman explique comment il a obtenu cet effet de naturel : il avait juché, bien en vue, un cameraman sur une chaise, pendant qu’un autre, plus discrètement, avec un zoom, prenait les vraies images. Mais que pesait le soutien des ouvriers aux mains_nues face aux #tanks et à l’aviation ? L’issue de la #confrontation, on la connaît, et le film nous fait entendre le dernier message d’Allende, depuis la #Moneda bombardée : « Que mes paroles soient le châtiment de ceux qui ont trahi », « Je paierai avec ma vie la loyauté du peuple », « L’#histoire est à nous et elle est faite par le peuple », bientôt, de nouveau, « s’ouvriront les larges avenues par où passe l’#homme #libre pour #construire une #société #meilleure ».

    http://www.dailymotion.com/video/x8w0ls_la-bataille-du-chili-p-guzman-5-sur_news

    #Chili #Salvador_Allende #Patricio_Guzman #Commando_communal #coopérative #Nationalisation #Expropriation #Capitalisme #Socialisme #Marxisme #Fascisme #Ordre #Etudiant #Etats_unis #La-bataille_du_Chili #Vidéo

  • Réminiscence cinématographique éternelle pour Jean Epstein

    Le Tempestaire (1947) Trouver le guérisseur de vent pour faire revenir l’être aimé parti en mer.

    Partie1
    http://www.youtube.com/watch?v=49lYid9jXn8

    Une analyse du film par #Elodie_Dulac
    http://www.cadrage.net/films/tempestaire.htm

    De prime abord, cette fiction #manifeste un aspect #documentaire. Afin de rendre l’#authenticité de la région, le #réalisateur prend pour interprètes les seuls habitants du lieu, Belle-île en mer. Familiarisé à leur manière d’être par une longue coopération et une confiance totale, il leur demande de participer à la confection du #court-métrage, en réinterprétant au besoin des aspects révélateurs de leur existence. La préparation à la pêche en est un exemple caractéristique. Dans cette scène, les #non-acteurs ne font que répéter des déplacements machinaux pratiqués régulièrement : ils jettent les rets et les casiers dans les barques. Ce moment quotidien des #marins semble avoir été enregistré comme pris sur le vif et ancre l’histoire dans le #réel. Il en est de même lorsque la grand-mère file le rouet de façon mécanique. Pris dans leur vérité première, ces #hommes et ces #femmes apparaissent comme dépouillés et plus justes que des acteurs professionnels : ils ne jouent pas, ils vivent l’action. Ce choix de prendre les îliens et des décors naturels est expliqué par Epstein :

    « Aucun #décor, aucun #costume n’auront l’allure, le pli, de la #vérité. Aucun #faux-professionel n’aura les admirables #gestes #techniques du gabier ou du #pêcheur. Un sourire de bonté, un cri de colère sont aussi difficiles à imiter qu’une aurore au #ciel, que l’#océan démonté » (3)

    L’intention du cinéaste est bien de filmer non seulement les occupants, mais aussi l’atmosphère de la Bretagne à l’état brut, sans l’invasion des touristes. À travers sa caméra, il contemple la lande et la brise qui la traverse, la mer calme, l’#écume déposée sur le sable, les falaises et les rochers déchiquetés. Sa motivation est de montrer l’animation de ces paysages : il les personnifie et les rend tumultueux. Il aurait pu simuler un ouragan grâce à des effets spéciaux, tels que l’assombrissement pour marquer un ciel en colère, la présence sonore extrêmement forte du vent et des plans fixes des rouleaux éclatés contre les récifs, par exemple. Mais Epstein profita d’une réelle tempête qui confère à l’œuvre un climat d’authenticité.

    « Le vent est tombé, la mer est belle, regarde il n y a pas de quoi avoir peur »

    Partie 2
    http://www.youtube.com/watch?v=6SvqG_bvwkM

    Les conditions de #tournage devaient être pénibles. On imagine le réalisateur poser son appareil de #tournage et chercher en permanence un lieu différent et toujours plus beau pour saisir la #violence de la perturbation. Malheureusement, il n’a aucun pouvoir sur les éléments ; il doit attendre les moments propices sur le qui-vive, être patient pour bénéficier des éclairages souhaités. Si les circonstances s’y prêtent, alors seulement la maîtrise de la beauté du plan est possible. Le contrôle n’est vraiment total qu’au #montage.

    Cette grande difficulté présente un avantage : elle génère un certain « défi » entre la tourmente et le cinéaste qui désire en enregistrer son plus bel aspect. L’enjeu du réalisateur est d’avoir l’emprise sur un
    #élément naturel qu’il ne peut pourtant contrôler. Cet antagonisme entre la #nature et la #technique suscite un sentiment de pure #vérité et singularise la #plastique du #film. L’inquiétude de la jeune fille pour son fiancé parti « à la sardine » en est représentatif. De nombreux plans de la mer légèrement agitée sont intercalés parmi ceux du visage de l’héroïne. L’un d’eux est une plongée sur le sable où s’échouent les vagues jusqu’aux deux tiers du cadre. Au milieu du cadre, glisse une écume blanche, très visible. La disposition de la caméra et l’échelle du plan ont été parfaitement maîtrisées mais le passage de la mousse est dû au hasard. Il est très probable qu’Epstein ait gardé ce #plan en raison de l’union d’une #esthétique précise et d’un aléa. En approfondissant l’analyse, l’écume représente la #métaphore visuelle du #bateau du #fiancé #perdu au large et bousculé par des rouleaux gigantesques. Cette rencontre avec le #réel engendre un sentiment de vérité et renforce la narration.

    L’inoubliable scène de Coeur Fidéle (1923)
    http://www.youtube.com/watch?v=9kboFmyQnl4

    A Propos de Jean Epstein
    http://cinema.encyclopedie.personnalites.bifi.fr/index.php?pk=13898

    Plus connu comme #théoricien du cinéma que pour une #oeuvre en partie perdue, #Jean_Epstein est pourtant un des grands noms de l’avant-garde française des #années_20. Son premier film est un documentaire sur #Pasteur (1922), exercice pratique qui lui vaut d’être engagé chez Pathé. Il y réalise L’Auberge rouge (1923), d’après #Balzac, qui se distingue par une grande #originalité de #construction et un sens inédit du #découpage et du #montage. Ses recherches se poursuivent avec #Coeur_fidèle (1923) qui, d’un strict point de vue formel, est considéré comme son premier #chef-d'oeuvre. On loue l’intense #poésie avec laquelle il rend compte de l’atmosphère sordide des #ports et des #bouges, et un #langage cinématographique #novateur qui trouve un point culminant dans une scène de fête foraine. Il poursuit la mise en pratique de ses réflexions avec La Belle Nivernaise (1923), inspiré de Daudet, puis réalise par nécessité des mélodrames où surgissent quelques séquences expérimentales (L’Affiche, 1924, Le Double Amour, (1925), Les Aventures de Robert Macaire, (id.), Mauprat, 1926). La Glace à trois faces (1927) et La_Chute_de_la_maison Usher (1928) marquent chacun à leur manière un retour à l’avant-garde. Le premier est construit sans souci d’ordre chronologique, tandis que le second #modernise l’#expressionnisme_allemand en s’attachant à la poésie des #choses et de l’insolite. L’usage qu’il y fait du ralenti est abondamment commenté. #Finis_terrae (1928), documentaire à peine romancé qui rend compte de la vie des pêcheurs et des paysans de l’île d’Ouessant, est son dernier film muet. Ce très beau poème visuel trouve sa suite dans Mor-Vran (1930) et L’Or des mers (1931), avant que le cinéaste ne réalise plusieurs films commerciaux d’un intérêt mineur. Malgré une fin de vie passée dans l’oubli, Jean Epstein signe un film magistral, #Le_Tempestaire (1947), nouveau regard sur la mer qui semble faire la synthèse de ses recherches audiovisuelles.

    #Cinéma #Film #Experimental #Avant-garde #Jean_Epstein #Vidéo

  • Quand Nana fait de la philosophie sans le savoir avec le philosophe Brice Parain
    extrait de « Vivre sa vie »(1962) de Jean Luc Godard
    http://www.youtube.com/watch?v=co-c5gPWfiM

    http://www.dvdclassik.com/critique/vivre-sa-vie-film-en-douze-tableaux-godard

    Après #Une_femme_est_une_femme, un #film en couleurs et en #Cinémascope, une fantaisie musicale vaudevillesque et "#socialogique", le virage que prend le #cinéaste #suisse pour son quatrième long métrage est à 180°. Dédié aux films de série B dont il reprend la vitesse d’exécution, la modestie du budget palliée par une constante inventivité de la mise en scène, la rapidité du #tournage (à peine plus d’un mois) et même certains passages obligés du film noir (dont une fusillade, une guerre des gangs, etc.), Vivre sa vie est en même temps une poignante déclaration d’#amour d’un #réalisateur à sa muse et épouse, Anna Karina qui, coiffée à la #Louise_Brooks, s’avère ici étonnamment cinégénique, et son personnage sacrément touchant. #Nana est vendeuse dans un magasin de disques mais a du mal à boucler les fins de mois. Expulsée de son appartement, elle doit absolument compléter son salaire et décide pour ce faire de se prostituer. Prise en charge par un souteneur, elle se met à faire régulièrement le trottoir... Mais contrairement à son homonyme du chef-d’œuvre littéraire de #Zola, la Nana de Godard n’est pas du tout manipulatrice et ne possède pas une once de méchanceté ; c’est au contraire une femme désemparée, fragile et très naïve qui, éprise d’absolu et de vérité, ne recherche qu’une seule chose : le #bonheur ! « Tout est beau ! Il n’y a qu’à s’intéresser aux choses et les trouver belles » dira-t-elle à Yvette, une amie d’enfance qu’elle vient de retrouver et qui s’est mise elle aussi à la prostitution, trouvant son nouveau métier sordide comme à peu près tout ce qui l’entoure. En revanche, contrairement à cette dernière qui trouve des excuses à sa nouvelle situation, Nana lui rétorquera que « l’on est toujours responsable de ce que l’on fait. » D’une immense bonté, elle se révèle donc dans le même temps foncièrement honnête et suit son parcours avec grâce et sérénité, trouvant le bonheur dans les choses les plus simples : écouter une chanson de Jean Ferrat dans un bistrot, pleurer en même temps que la Jeanne d’Arc de #Dreyer (deux séquences absolument sublimes), discuter philosophie avec un inconnu rencontré dans un bar... Anna Karina rayonne tout au long du film ; les gros et longs plans sur son visage sont d’une immense beauté et l’actrice peut remercier son mari de l’époque de lui avoir donné un personnage aussi admirable alors qu’elle était en pleine dépression, pas du tout confiante en elle sur le tournage.

    #Godard #Anna_Karina #Nouvelle_Vague #Cinéma #Philosophie #Brice_Parain

  • Enthusiast Uses Valve’s Source Filmmaker To Remake Classic Scene From The Matrix | Singularity Hub
    http://singularityhub.com/2012/08/26/enthusiast-uses-valves-source-filmmaker-to-remake-classic-scene-from

    One of the top video game makers today, Valve, recently released a free tool that allows anyone to create [films] without hiring actors, buying cameras, or worrying about distribution. The software is the same platform the developers use to make their games, so it’s not some watered-down freeware.

    http://www.youtube.com/watch?v=Zri1c_If6Ic&feature=player_embedded


    http://sourcefilmmaker.com

    (ne fonctionne pour le moment que pour windows)
    #logiciel #montage #tournage #virtuel #jeux_video