« Manifestations pour Yvan Colonna : le lycéen blessé à Ajaccio par un tir de LBD opéré à Marseille »
Ce titre a fait bugger mon cerveau trop longtemps
« Manifestations pour Yvan Colonna : le lycéen blessé à Ajaccio par un tir de LBD opéré à Marseille »
Ce titre a fait bugger mon cerveau trop longtemps
#Ukraine, non. #Israel ! Le gamin en cours d’arrestation par les soldats est #trisomique, mais aussi Palestinien.
▻https://twitter.com/ahmedelkomi1/status/1496069123851313154
Les #trisomiques changent notre regard sur le #travail
▻http://www.revue-projet.com/articles/2014-04-pige-les-trisomiques-changent-notre-regard-sur-le-travail
La question centrale est celle de la capacité de chacun à contribuer à la vie en société. La personne trisomique peut apporter une réelle contribution. Elle peut effectuer des tâches simples, plutôt routinières. Un trisomique de 21 ans, par exemple, est heureux de mettre et de débarrasser la table, d’essuyer la vaisselle, de charger le lave-vaisselle, de le mettre en route puis de le vider, que ce soit dans sa famille ou dans une cantine scolaire. Au-delà de cette contribution, bien sûr assez faible, il modifie le climat de travail. Ceux qui l’entourent découvrent progressivement une autre manière d’appréhender la vie. Le temps passé au travail peut alors être vécu pour chacun de ses instants, comme une parcelle de vie partagée, et non plus comme un passage obligé pour accéder à l’univers de la consommation. En effet, pour la personne trisomique, le travail n’est pas d’abord le moyen de gagner sa vie : il représente, avant tout, une insertion dans la société (ce que chacun peut expérimenter s’il se trouve à un moment exclu du marché du travail). Autrement dit, il est nécessaire de reconsidérer les différents sens cachés du mot « travail »[5].