Je suis tombé sur ce titre il y a quelques mois, il envoie bien du pâté !
▻https://www.facebook.com/bixiga70/videos/1541364769209931
PS : désolé pour le lien FB, mais la vidéo a été supprimée de youtruc :\
Ça fait 20 ans jour pour jour, que #Nino_Ferrer a disparu dans un champ de blé du #Quercy, ça méritait bien une #playlist.
▻https://play.soundsgood.co/playlist/nino-ferrer-le-mal-entendu-de-la-chanson-francaise
Des liens et ressources par là : ►https://seenthis.net/messages/714408
Dans la playlist, j’aime bien Il Baccala, la version italienne des Cornichons :
▻https://www.youtube.com/watch?v=EbLZzqhK4aI
C’est chiant, y a plusieurs morceaux qui ne marche pas (merci Youtube) : Le Millionnaire, L’Angleterre, la morte de Mirza, Si tu m’aimes encore, Les Morceaux de fer, Cannabis et Le Sud !
Faudrait que que la refasse...
« Les eaux glacées coulent et les vies passent, s’habillant d’esclavage la besogne était dure pour tous et toutes
Mais parfois paraît-il les enfants y venaient… on y riait, on y causait, pourquoi pas chantait… »
... ▻https://framasphere.org/posts/25d4e1107d8801363ea62a0000053625
tout est là et tout attend une fontaine de tag ? #zone-à-déterminer #NuitDebout #zadpartout #collapse #effondrement #rural-porn #idopi #OnSorganise #appel #campagne #avenir #commun #permacultiver la #permaculture , #radio-lavoir
La guerre du son dans l’industrie musicale : le dessous des cartes par Benjamin Sire 26 Juillet 2018 - le figaro
▻http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/07/26/31003-20180726ARTFIG00239-la-guerre-du-son-dans-l-industrie-musicale-le-des
Depuis plus de trente ans, une impitoyable guerre mondiale se déroule à l’ombre des studios d’enregistrement et de radiodiffusion, la « Loudness war » ou guerre du volume. Elle aura fait de très nombreuses victimes innocentes qui pour certaines n’ont même pas conscience du préjudice qu’elles ont subi. Les principales d’entre-elles sont nos oreilles, la qualité et la profondeur sonore des productions musicales, et enfin, comme en plusieurs domaines de ce monde, la nuance. Heureusement, par la grâce de nouvelles normes imposées par les plateformes de streaming et différentes autorités, une salutaire marche arrière est en train de s’opérer qui tend à davantage honorer les oreilles mélomanes.
Du gros son à la bouillie sonore sous l’effet de la concurrence
Ce conflit souterrain est né au terme des années 1970 dans le monde ultraconcurrentiel des #radios et s’est particulièrement intensifié partout avec le développement incontinent des stations #FM. En résumé, à l’aide de compressions barbares et autres ruses d’ingé-sioux, les radios musicales n’ont eu de cesse de pousser le volume global de leur diffusion pour sonner « plus fort » que le voisin et ainsi mieux hameçonner l’auditeur. Hélas, subissant le diktat des radios, les musiciens et les studios d’enregistrement et de mastering (qui préparent et étalonnent le mixage avant pressage ou diffusion) ont suivi la mode et le volume des productions a augmenté de manière exponentielle au fur et à mesure que les années passaient. Seul problème, à l’heure du numérique, dont le seuil des 0db full scale ne peut être dépassé, cette augmentation du #volume s’est effectuée à base de limitation et de #compression ramenant les passages plus doux des titres au niveau des passages les plus forts, supprimant ainsi l’essentiel de la #dynamique et de la profondeur et élimant certains des instruments ressortant les plus forts dans le mix, comme les batteries. Quand l’artiste saborde lui-même son travail
Mais revenons à nos moutons qui paissent tranquillement à l’ombre des studios. Quand, comme votre serviteur, on œuvre depuis plus de vingt ans dans les méandres du son, à la fois dans la composition, le #mixage et le #mastering, il est une phrase qui revient sans cesse dans le processus de finalisation d’un morceau : « je veux du gros son » . Cette injonction déplaisante aux oreilles reprend l’idée relativement absurde selon laquelle, plus c’est fort, mieux c’est. La « loudness war », dont la plupart des musiciens ignorent l’origine, est tellement ancrée dans les mœurs que les artistes en viennent souvent à préférer massacrer leur propre travail plutôt que de le voir souffrir d’une déficience d’un pauvre petit db au regard du travail de la concurrence. La peur de n’être pas adoubés par les radios ou de voir leurs amis auditeurs monter le volume d’écoute par rapport à une production standard précédemment écoutée conduit à toutes les compromissions. (Ce qui est d’autant plus risible que les #playlists des radios mainstream sont désormais totalement hermétiques aux productions échappant aux majors et autres très gros « indépendants » - qui sont eux-mêmes souvent filiales des majors - pour des raisons qui tiennent aux structures actuelles du marché de la musique). Cet holocauste sonore a pris d’autant plus d’ampleur que le développement du home studio et la propension des éditeurs de #plug-ins de mastering à offrir des outils de gonflement du son aussi médiocres dans les #algorithmes qu’ils emploient qu’efficaces dans des conditions d’écoute approximatives, ont semblé donner à tout un chacun les moyens d’écrabouiller ses maquettes pour les porter au niveau de loudness des plus grosses productions internationales. La qualité, l’équilibre fréquentiel et le relief en moins. Malgré les invitations alléchantes qui pullulent sur le web et vous proposent de vous transformer en ingénieur du son sur la base du visionnage de quatre ou cinq vidéos, la manipulation de la matière sonore est un métier très complexe qui nécessite une lourde formation et une grosse expérience pour qui veut espérer répondre à toutes les problématiques qu’elle pose. De la même manière que les offres de mastering en ligne, « en un clic », comme l’annoncent fièrement leurs promoteurs, se situent en lisière d’arnaque, le travail fourni ne respectant ni les mixages initiaux, ni les normes acceptables de loudness, quand elles ne produisent pas carrément des saturations numériques 1 .
Mais voilà, outre que nombre de mélomanes, ingénieurs du son et musiciens parmi les plus avertis des perversions sonores nées de la « loudness war » ont manifesté leur mécontentement plus ou moins publiquement, la poursuite de celle-ci a fini par aboutir à des aberrations sonores telles que certains morceaux n’ont plus qu’une plage dynamique de 4 ou 5 db entre leurs parties les plus violentes et celles censées être les plus paisibles, quand ce n’est pas ces derniers moments qui donnent une plus grande perception de volume.
Et Bob Katz déclencha la contre-révolution
Le premier frémissement positif a eu lieu en 2013, quand le célèbre ingénieur du son américain #Bob_Katz, farouche opposant à la « loudness war » (oui, la guerre, c’est mal !) a collaboré à la réalisation de la norme sonore de iTunes. Celle-ci s’est située d’entrée autour de -16 LUFS (Loudness Unit relative to full scale), soit très en dessous des mastering standards de l’époque tournant autour de -9 à -6 LUFS. Par la suite toutes les plateformes de streaming se sont mises à adopter des normes proches de cette première tentative, même si l’ensemble d’entre-elles a légèrement relevé leurs standards entre -14 et -12 LUFS. Concrètement cela signifie que si un mastering privé de dynamique dépasse la norme prévue, il est automatiquement baissé par l’algorithme de conversion de la plateforme, se retrouvant à l’arrivée sonnant moins fort qu’un morceau masterisé de manière moins drastique mais respectant la dynamique du titre original. Ainsi, ce dernier type de morceau donnera une plus grande impression de volume sur les parties prévues pour être fortes et une moins grande sur les autres, tandis que le premier morceau ultra compressé sonnera entièrement moins fort, ruinant ainsi les efforts de l’ingénieur de mastering pour répondre à l’injonction « je veux du gros son » de son client.
Cet effort des plateformes de streaming s’est par ailleurs doublé d’une prise de conscience des autorités de la plupart des pays ainsi que de l’Europe. Pour dire les choses honnêtement, la principale préoccupation des institutions en question a d’abord été de mettre en place un système permettant de limiter la puissance sonore des interprogrammes et #publicités à la télévision et au cinéma davantage que de participer à l’amélioration de la qualité de la production musicale. Ainsi, outre la nébuleuse norme suggestive européenne EBU R128 concernant la plupart des médias, mise en place en 2010 et révisée en 2014, les télévisions ont institué des normes pour limiter la puissance de ces programmes à -23 LUFS, tandis que le cinéma a fait passer la puissance sonore de ses inter-programmes de 85 LeqM (une autre mesure du loudness dans la boîte à outil du secteur) à 82 LeqM.
Au final si la roue tourne désormais dans le bon sens grâce à la mise en place de nouveaux standards par les plateformes de streaming ou de vidéos musicales comme #YouTube, ce cercle vertueux entraîne une nouvelle complexité pour les professionnels en fonction de la définition du master. Jusqu’à présent, le produit ciblé par les ingénieurs du son était le #CD, pensé de manière à pouvoir répondre aux normes édictées par les radios. Désormais, ce sont a minima deux voire trois masterings spécifiques qui peuvent être considérés selon les hypothèses d’avenir d’un titre 2. Un premier master, ne revenant que très partiellement sur la « loudness war » peut-être proposé à la gravure CD, de manière à flatter davantage les oreilles des auditeurs par un léger gain de dynamique, sans obliger ceux-ci à jongler avec leur télécommande de volume en fonction des disques écoutés. Un deuxième master, se mouvant autour des -12 db LUFS (voir -11 sachant que #Soundcloud n’applique aucune réduction pour le moment) peut-être prévu pour les plateformes de streaming de manière à ne pas être raboté par leur exigeante conversion tout en répondant aux standards moyens de la plupart des plateformes, comme de YouTube. Enfin, un troisième master peut-être prévu pour les radios en mode « loudness war », en pronostiquant que ces dernières finiront par se rendre à la raison en épousant les mœurs du sémillant Bob Katz ou des très madrés #Daft_Punk qui, en réalisant leur album succès planétaire Random Access Memories avait anticipé le mouvement, ne faisant pas dépasser à leur sons le très symbolique -10 Lufs.
Fiction : la ville de demain
▻https://archive.org/details/MAGLIBLaVilleDeDemain20180626
Imaginons la ville de demain....This item has files of the following types: Archive BitTorrent, Columbia Peaks, JPEG Thumb, Metadata, Ogg Vorbis, PNG, Spectrogram, VBR MP3
#audio/opensource_audio ,_fiction,_ville,_ville_de_demain,_ville_intelligente
▻https://archive.org/download/MAGLIBLaVilleDeDemain20180626/format=VBR+MP3&ignore=x.mp3
Les explorations musicales de Orlando Cachaito Lopez
World Circuit vient de rééditer en vinyle l’album solo du contrebassiste, un ovni moderne dans la galaxie du Buena Vista Social Club
▻https://www.fip.fr/actualites/les-explorations-musicales-de-orlando-cachaito-lopez-33348
Héhé je me l’étais mis de côté aussi quand j’ai vu cet article. :)
Et tiens encore mieux :
▻https://www.youtube.com/watch?v=72DV8UaWdbk
À noter que sur cet album, pas encore mort en 2001, aux percus (et conception avec), il y a Miguel Anga Diaz (papa des Ibeyi).
Oui, j’ai l’album depuis cette époque et j’ai aussi l’album d’Anga Diaz du coup.
Et celui d’Omar Sosa aussi, Mulatos, tu connais ?
J’en connais mais pas celui là :)
Celui là est particulièrement bien pour ces mélanges (le titre est Mulatos). Sinon, il peut être un peu « free » pour moi Omar Sosa parfois.
Quasi 2h de live, avec Anga Diaz, et d’autres (ya même Dee Nasty aux platines)
▻https://www.youtube.com/watch?v=9FxRT5hNzjs
Léo Ferré - Léo Ferré and Co. sur Radio Libertaire
▻https://leo-ferre.com/actualite/leo-ferre-and-co-sur-radio-libertaire
Fondée en 1981 par la Fédération Anarchiste avec peu de moyens et beaucoup de débrouille, #Radio_Libertaire aura aussitôt connu des avanies. En 1983, le Pouvoir décide de la faire taire manu militari. Les artistes et les associations se mobilisent, dont #Léo_Ferré, qui donne un concert de soutien à l’espace Balard en décembre 1983, devant 7000 personnes. Le pouvoir cède. Et Léo remontera au créneau pour ses compaings de la FA, se produisant devant 5000 spectateurs en juin 1991 au Palais des Sports de Paris, leur offrant la recette afin que la radio puisse se pérenniser.
Depuis, Radio Libertaire est toujours là (89,4 MHz sur la bande FM en Île-de-France) et l’esprit de Léo y plane amicalement. Ainsi, l’inoxydable Davou propose chaque lundi à minuit trente l’émission musicale et militante Nuit Noire et chaque mercredi à 16 heures le Ferré Club, plus spécifiquement consacrée à Léo.
Ce lundi 16 juillet, il vous convie dès 21h à vous caler peinards et à écouter du Léo sans limite de temps, « à certaines heures pâles de la nuit », avec plein de titres connus et moins connus choisis par toute une joyeuse brochette de ferréphiles. Une façon de célébrer sans façons les 25 ans de la disparition de l’artiste, qui ont eu lieu, comme vous le savez, samedi 14 juillet dernier.
Par ailleurs, (re)découvrez la très chouette et touchante discussion (en trois parties) que Davou a suscitée en avril 2018 avec Mathieu Ferré, le photographe Patrick Ullmann (le talentueux créateur des pochettes de Bobino 69, Il n’y a plus rien, Et... basta !, Ferré muet...) et moi-même, en juin dernier. Une conversation vivante, pointue et décontractée qui vous fera découvrir certaines coulisses de Léo.
Mathieu y parle sans langue de bois de son rapport à l’œuvre de son père, de ses tribulations d’éditeur musical et phonographique, des inédits qu’il fait surgir de l’oubli, de certaines incompréhensions durables ou récentes... et Patrick évoque un Léo terriblement vivant et attachant, à travers le lien privilégié qui les a unis pendant les années 1970.
À écouter sans modération !
▻https://missnight.blogspot.com/2018/07/le-ferre-club-hors-serie-n-1-16-juillet.html
►https://leo-ferre.com
source : France Culture
▻https://www.franceculture.fr/emissions/une-vie-une-oeuvre/leo-ferre-1916-1993-avec-le-temps
Léo Ferré, c’est bien celui qui ne laissait pas entrer les femmes cultivées dans son salon ?
Sauf Pépée @nepthys
« La misogynie, c’est intéressant vous savez. Il faut être misogyne.(...) Et savoir mettre les femmes à leur place.(...) Et quand on a fini de les adorer, il faut qu’elles nous foutent la paix. »
Léo Ferré, dans un entretien télévisé en 1971
Fury Magazine
▻https://furymagazine.blogspot.com
Yves Chaland est-il le Ian Curtis de la BD ? Où Ian Curtis est-il le Yves Chaland du Rock ?
#Yves_Chaland #Ian_Curtis #radio #bd
source : ▻https://laradiolux.blogspot.com
Chaland est immortel, il faut croire
▻https://www.li-an.fr/bouquins/chaland-immortel
french punk rock anthology
▻https://www.youtube.com/watch?v=ISy_-6WxZnM
Oh la belle K7 !
Et ceci étant dit, ça ne rajeunit pas de lire ta liste de titres ! (dont je possède certains exemplaires en vénérables vyniles)
@ericw j’en avais toute une palanquée avec quelques titres de cette vidéo. Des fois réenregistré plusieurs fois sur autre chose
ça donnait des trucs bizarre.
@vanderling ah oui, les multiples enregistrements sur une même cassette, au bout d’un moment ça donnait effectivement des choses qui pouvaient même devenir intéressantes : j’ai joué avec ça fut un temps, je ne sais pas si j’ai conservé quelques chose.
▻https://offensivesonore.blogspot.com/2018/07/cartographie-de-lislamo-gauchisme.html
Cartographie de l’Islamo-Gauchisme
Emission du 20 juillet 2018, nous recevons @lieuxcommuns pour parler une nouvelle fois de l’islamo-gauchisme avec la sortie d’une infographie qui permet de visibiliser cette mouvance. Le phénomène islamo-gauchiste semble paradoxal : une partie de la gauche et de l’extrême-gauche soutiennent l’extrême-droite musulmane. C’est pourtant la convergence construite entre les héritiers des totalitarismes marxistes et la montée du totalitarisme islamique. Ils en reprennent méthodes de propagande, schémas victimaires, idéologies complotistes, certitude d’être dans le Sens de l’Histoire, volonté d’instaurer le Bien sur Terre en luttant contre le Mal, par tous les moyens...
#audio #radio #offensive_sonore #radio_libertaire #audio #islamismes #islamogauchisme #islamophobie #islam #gauchisme #religion#complaisance #paternalisme #lieux_commun #urss #postmodernisme #Islam #Politique #Religion #Houria_Bouteldja #Daniel_Obono #Edwy_Plenel #ccif #Alain_Soral #Rokaya_Diallo #Médine #Tariq_Ramadan #lamanifpourtous #extrème-droite #musulmans
et #blablabla #fossiles le #repli_identitaire et sa traîne.
Ok, les # étaient peu descriptifs. Si la question est sérieuse, @monolecte il convient d’aller voir le site de « lieux communs » (d’ailleurs présents ici @lieuxcommuns) des castoriadiens revendiqués devenus d’on ne peut plus étranges réacs « para républicains » défenseurs de la civilisation occidentale sous prétexte de critique de l’hétéronomie (religieuse, et ici musulmane) sous couvert d’une analyse des relations de pouvoir internes aux quartiers populaires. Un truc assez étonnant dont ni Valls, ni Fourest, ni Finkelkraut n’ont su faire usage pour varier leurs arguments.
Leur «cartographie» (où Rancière est un «collaborateur», par exemple)
▻https://collectiflieuxcommuns.fr/920-cartographie-de-l-islamo-gauchisme
▻https://collectiflieuxcommuns.fr/IMG/pdf/cartigdocbrut.pdf
C’est formidable les gens qui dénonce les « idéologies complotistes » des autres... avec un gros gribouillage, qui n’est en rien une « cartographie », mais est par contre complètement complotiste
Je me permet de répondre rapidement en parlant en mon nom @aktivulo1 et pas celui de la radio :
1.
Donc le repli-identitaire (je sais pas où tu vois ça à ce propos) serait de la subversion révolutionnaire pour les musulmans et du fascisme pour les autres.
2.
il convient d’aller voir le site de « lieux communs » (d’ailleurs présents ici @lieuxcommuns) des castoriadiens revendiqués devenus d’on ne peut plus étranges réacs « para républicains » défenseurs de la civilisation occidentale sous prétexte de critique de l’hétéronomie (religieuse, et ici musulmane) sous couvert d’une analyse des relations de pouvoir internes aux quartiers populaires. Un truc assez étonnant dont ni Valls, ni Fourest, ni Finkelkraut n’ont su faire usage pour varier leurs arguments.
Alors ta phrase est alambiqué et plus dans l’insulte. Je décompose :
Réactionnaire : Ton anathème est déjà démodé. En réaction par rapport à l’idéologie libérale, oui. Technocritique donc on a l’habitude. Des ’ #fossiles ’ qui n’accepte pas le "progrès" du smartphone et des centrales nucléaire.
Défenseurs de la civilisation occidentale sous prétexte de critique de l’hétéronomie (religieuse, et ici musulmane)
Alors là tu peux le dire quelque part "défenseurs de la civilisation occidentale". Dans le sens où nous ne sommes pas contres ’Les lumières’ qui sont loin ni d’avoir toucher uniquement l’occident.
Il n’y aurait pas besoin de dire "sous prétexte de".
Ta phrase semble dire je préfère " l’hétéronomie religieuse", c’est à dire le totalitarisme religieux que la société occidentale. J’espère avoir mal compris.
La phrase continue :
(...) sous couvert d’une analyse des relations de pouvoir internes aux quartiers populaires.
On dissimulerait donc notre discours deux fois de suite (on est sans doute moins malin que tu l’imagines)
Sinon, il y aurait des relations de pouvoir différentes selon le que l’on soit internes aux quartiers populaires ou externe ? Je ne comprends pas.
Un truc assez étonnant dont ni Valls, ni Fourest, ni Finkelkraut n’ont su faire usage pour varier leurs arguments
Finkelkraut et Fourest ce sont les points goldwins de la gauche radicale. Je crois qu’il faillait juste les placer. Sinon je ne vois pas le sens. Etonnant ils n’utilisent pas la même rhétorique ? Peut-être parce-que nous sommes nous et eux sont eux.
« para républicains » ??
@aude_v
Le problème c’est qu’il n’y a pas de juste milieux entre ceux qui crient au racisme dès qu’on critique la religion musulmane (via le néologisme très utile : #islamophobie).
Le juste milieu serait d’accepter que H. Bouteldja est raciste et ne plus diffuser ses textes.
Les censure répété du débat et le statu-quo stalinien actuel, ne fait rien pour trouvé un ’juste milieu’. Dans un silence complice. Autant je comprends la peur. Autant je ne comprends pas les justifications de ces actions.
La bibliothèque La Discordia attaquée une troisième fois
▻http://mondialisme.org/spip.php?article2488
Mille Bâbords suite à l’attaque de la réunion du 28 octobre
►http://www.millebabords.org/spip.php?article30041
les républicain·es crispé·es sur leurs positions laïcardes et qui ne veulent rien entendre de la spécificité du vécu des personnes qui sont en France renvoyées à tort ou à raison à leur religion qui serait l’islam.
Pour moi les « laïcards » sont d’avantage dans ’le juste milieux’.
Tracer des lignes sans tenir compte des « spécificités du vécu », c’est partir de l’égalité (Rancière ?) et ne pas présupposer d’une infériorité.
On retrouve des similitudes avec discours ouvriéristes d’antan. Paternaliste la gauche « blanche » "protège" les musulmans (Cf. Edwy Plenel).
Daniel Sibony rappelait par cet artifice ; l’occidentale qui se sent coupable se place au centre du débat. Alors qu’il n’est pas le sujet. Il conserve son pouvoir (en méprisant au passage les victimes de la bigoterie musulmane).
▻https://collectiflieuxcommuns.fr/625-islam-phobie-culpabilite
▻https://collectiflieuxcommuns.fr/806-islam-phobie-culpabilite-2-2
BBC Blogs - What does it mean to ‘broadcast British?’
▻http://www.bbc.co.uk/blogs/aboutthebbc/entries/052b89ee-5207-4abd-bfc4-30ec2767b6b5?ns_campaign=about_the_bbc
In the wake of the recent Windrush scandal, many people have been discussing what it means to be British in the post-Imperial era.
When that famous ship dropped anchor at Tilbury Docks in 1948 it heralded a new era for both the UK and the BBC, as the Corporation rose to the challenge of representing a new and unfamiliar audience.
Now, seven decades on, BBC History has launched the fourth release from its #Oral_History Collection, showing the way staff at the BBC created #programmes for a diverse and multi-cultural audience following World War II. The results are interesting and often surprising.
Created in partnership with the #University_of_Sussex, 100 Voices that Made the BBC: People, Nation, Empire looks to shed new light on what is a complex and sometimes highly contentious subject.
John Escolme, BBC History Manager, explains: “What we’re doing is bringing some of the BBC’s hidden treasures into the public realm, including some of the 600 interviews with former members of staff, few of which have been available until recently.”
There are a number of fascinating case studies looking at this concept of #dual-identity, including Una Marson. Una was the first black producer at the BBC, way back in 1941. The prejudices she faced at that time are examined in a number of her documents and interviews, as well as comments showing the high esteem she was held in by some of her superiors.
Reflecting the #LGBTQ+ audience
As well as the subject of #race, 100 Voices looks at the efforts made by the #BBC to engage with people from the LGBTQ+ community: from the initial, church-dominated discussions on #radio in the 1950s, to tentative efforts to document the lives of gay men on #TV in the 1960s, right up to the bold lifestyle programming of the 1990s.
Le site 100 Voices on the History of the BBC : ▻https://www.bbc.co.uk/historyofthebbc/people-nation-empire
Découverte radiophonique sur la route des vacances :
Radio Univers
▻http://www.radio-univers.com
Créée en 1981 sous le nom de Radio Chantepleure, #radio historique de la bande FM installée à Cuguen (Ille-et-Vilaine), Radio Univers – FM 99.9 – est un média non-commercial et non-institutionnel. On la capte en FM de Dinan à Fougères, de Saint-Malo à Rennes. Et grâce à Internet, sur ordinateur...
Programmation musicale originale avec souvent des pépites inouïes et aussi de la #poésie.
Sur le web des articles traitant de #photo :
« Vivre c’est avoir réussi pendant un temps à ne pas déclencher son autodestruction. », Jean-Claude Ameisen
▻https://www.franceculture.fr/emissions/les-masterclasses/jean-claude-ameisen-vivre-cest-avoir-reussi-pendant-un-temps-a-ne-pas-
« Vivre c’est avoir réussi pendant un temps à ne pas déclencher son autodestruction. Ce qui est nécessaire à la vie d’une cellule, c’est la présence d’autres cellules. Au niveau cellulaire et donc élémentaire, c’est les relations entre les cellules qui déterminent leur survie ou leur disparition. Les relations entre la vie et la mort peuvent ne pas être celle de la destruction mais être de l’ordre des communications. »
Il est médecin, chercheur et professeur d’immunologie à l’Université Paris Diderot. Ses recherches ont porté principalement sur la mort cellulaire, un processus dont il montre l’importance pour lutter contre des maladies comme le Sida ou des atteintes neurodégénératives. Ces travaux ont donné lieu à un livre, Sculpture du vivant : Le suicide cellulaire ou la mort créatrice (1989).
« Durant mes études, j’ai été sensibilisé à la question de la mort cellulaire d’abord parce qu’on disait à l’époque que le phénomène d’autodestruction cellulaire jouait un rôle essentiel dans le développement de l’embryon. Par exemple, le fait que nos doigts soient individualisés. Au début du processus nos doigts sont joints par des palmes et à un moment, les cellules qui forment ces palmes s’autodétruisent, et nos doigts sont séparés. C’est ce qui émerge en terme de forme par ce qui est retiré : comme le sculpteur qui fait sa sculpture par ce qu’il retire de la pierre et pas forcément par ce qu’il ajoute. »
Il ne s’agit pas simplement de s’interroger sur un processus biologique mais bien de réfléchir plus largement au rôle de la mort dans la production du vivant. Une question qui le porte sans doute à la réflexion éthique : il a entre autres présidé le Comité consultatif National d’Ethique et il en est toujours le président d’honneur.
« Toute cellule fabrique et possède les outils qui lui permettent à tout moment de déclencher son autodestruction et de disparaître. Ce qui fait qu’une cellule survit, c’est qu’elle trouve dans son environnement des molécules émises par d’autres cellules qui l’empêchent de déclencher de s’autodétruire. »
(hum.... ne sais même pas ou plus comment rendre accessible le mp3 ici, dsl)
▻http://rf.proxycast.org/1458766545084751872/17360-19.07.2018-ITEMA_21746808-0.mp3
(faut aller voir dans le flux rss de l’émission)
ARCADIA 1.2 | TRANSITION, PIÈGE À CONS ? - JEAN-BAPTISTE FRESSOZ - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=Etgb4fM6HfI
En matière d’écologie, la transition énergétique est l’un des grands sujets abordé à longueurs de COPs. Nos sociétés seront-elles capable de basculer d’un régime d’énergies fossiles à un nouveau modèle basé sur les énergies renouvelables ? La question est discutée depuis des décennies, les rapports et les expérimentations concrètes se succèdent mais pour Arcadia, nous avons choisi d’aborder la question autrement. De revenir aux bases. Qu’est-ce qu’une réelle transition énergétique ? Une telle bascule a-t-elle déjà eu lieu dans l’histoire de l’humanité ? Que peut nous raconter l’histoire des énergies face à cet enjeu climatique ? Pour creuser cet angle, nous avons accueilli Jean-Baptiste Fressoz, historien des sciences des technologies et de l’environnement et chercheur au CNRS.
#arcadia #lemedia #energie #transition
Merci Lemédia pour ces émissions Arcadia d’« éducation populaire ». Cette deuxième est tout autant intéressante que la précédente.
La vidéo n’existe plus, mais la même conf à priori est rediffusée par @tranbert sur #Radio_Zinzine
▻https://sniadecki.wordpress.com/2018/11/13/rmu-fressoz-mythe
▻https://ia801500.us.archive.org/4/items/RMU049FressozMytheTransitionEnergetique/RMU_049-FressozMytheTransitionEnergetique.mp3
49 Rue Saint-Josse - Jacqueline
▻http://www.radiopanik.org/emissions/49-rue-saint-josse/jacqueline
Jacqueline habite Saint-Josse depuis toujours, ou presque. Quand nous l’avons rencontré un jeudi matin au marché de la rue des Deux Eglises, elle s’est montrée intarissable sur le féminisme. On a bien vite senti qu’elle pourrait être tout aussi intarissable sur la sélection musicale qu’on lui proposerait. Et on ne s’est pas trompé. La preuve en son.
▻http://www.radiopanik.org/emissions/49-rue-saint-josse/jacqueline/embed/5126
Hörfunkprogramme im Internet nach § 20b RStV*
▻https://www.die-medienanstalten.de/fileadmin/user_upload/die_medienanstalten/Service/Downloads/Anzeigen_Internetradios_aktuell.pdf
« Il était une fois le #podcast. 3 : Des cabanes aux immeubles »
▻http://syntone.fr/il-etait-une-fois-le-podcast-3-des-cabanes-aux-immeubles
Après avoir constaté en 1ère partie que le podcast actuel était arrivé dans un paysage densément peuplé, puis nous êtres plongé·es en 2e partie dans cet immense terrain vague, plein de trésors et de contructions improvisées, que représentèrent les débuts du son sur le web, voici venue la tâche à peu près impossible de poursuivre le panorama de la production là où on l’avait arrêtée, c’est-à-dire au tout début des années 2000. Syntone ne voulant pas vous laisser sans matière sonore avant de prendre ses vacances d’été, vous y trouverez quelques heures supplémentaires de sons à écouter. Nous les présentons toujours chronologiquement : une première vague, de 2002 à 2006, marqua l’institution progressive du podcast dans le paysage médiatique francophone ; une deuxième vague, de 2007 à 2015, se caractérisa par une volonté de structuration et de déploiement. Nous nous arrêterons juste avant la troisième vague, celle des immeubles, qui s’écrit en ce moment même. Comme dans les parties précédentes, nous procédons ici de façon impressioniste, par touches multiples mais sans viser une illusoire exhaustivité.
Épisodes précédents :
►http://syntone.fr/il-etait-une-fois-le-podcast-1-faire-table-rase
►http://syntone.fr/il-etait-une-fois-le-podcast-2-un-terrain-vague-inepuisable
Syndicats et communes
▻https://lundi.am/Interview-Myrtille
Discussion avec Myrtille Gonzalbo autour du communisme libertaire et de l’anarcho-syndicalisme en Espagne. Première partie : avant 1936.
Les chemins du communisme libertaire, en Espagne de 1868 à 1937
▻https://tranchedanar.noblogs.org/post/2020/06/09/les-chemins-du-communisme-libertaire-en-espagne-de-1868-a-1937
Ce mercredi soir 10 juin l’émission Tranche d’Anar sur Radio Air Libre avec au menu une interview exclusive de Myrtille, autrice des 3 tomes récemment sortis (et dispo à la distro-lapinothèque) : « Les chemins du communisme libertaire en Espagne de 1868 à 1937 ».
Lors de cette interview Myrtille revient sur la genèse de ses recherches. Elle nous parlera aussi du collectif « Les giménologues », collectif auto-constitué d’historiens et de chercheurs sur la #révolution_espagnole. Elle évoquera également l’histoire auto-biographique de cet anarchiste italien qui participa à la révolution de 1936, Antoin Gimmenez : « Les fils de la nuit ».
Myrtille développera ensuite plus amplement l’avènement des idées et des pratiques anarchistes et anarco-communistes en Espagne.
▻https://radioairlibre.net
▻http://gimenologues.org
▻https://seenthis.net/messages/823294
source : ►http://aredje.net
#giménologues #radio