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  • Konrad Lorenz, médecin et nazi notoire
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Konrad_Lorenz

    Il est toujours difficile de déterminer combien le nazisme contribue à l’essence de l’idéologie médicale, et si dans le sens inverse pensée et pratique médicale ont contribué à la genèse du nazisme. L’essentiel pour nous et nos contemporains sont les effets de ces idéologies que nous rencontrons dans la vie quotidienne.

    La partie de l’article de Wikipedia (fr) qui parle de la part du nazisme dans la vie et l’oeuvre du célèbre médecin-éthologue Konrad Lorenz nous fournit quelques informations qui renforcent l’impression que l’époque nazie n’ a jamais touché à sa fin.

    Konrad Lorenz a cru au nazisme et a adhéré au parti nazi en 1938[2]. En 1940, cela l’aida à être nommé professeur à l’université de Königsberg (aujourd’hui Kaliningrad) où il occupa la chaire d’Emmanuel Kant.

    Eugéniste, il est également membre du « département de politique raciale » du parti, produisant conférences et publications. En accord avec les postulats biologiques de l’idéologie nazie, il écrit, par exemple, dans une lettre à Oskar Heinroth, lors de la déclaration de guerre de la Grande-Bretagne à l’Allemagne : « Du pur point de vue biologique de la race, c’est un désastre de voir les deux meilleurs peuples germaniques du monde se faire la guerre pendant que les races non-blanches, noire, jaune, juive et mélangées restent là en se frottant les mains »[3].

    Selon ses dires, il ne prit conscience des atrocités commises par le nazisme qu’« étonnamment tard », vers 1943-44, à hôpital militaire de Poznań où il s’occupait des soldats de la Wehrmacht en état de choc post-traumatique, lorsqu’on lui demanda de participer à un programme impliquant des « expertises raciales » pour la sélection de Polonais d’ascendance allemande qui ne devaient pas être réduits au servage comme les « purs Slaves »[4]. Il vit alors des trains de détenus tziganes à destination des camps d’extermination. C’est seulement alors qu’il comprend, dans toute son horreur, la « totale barbarie des nazis ».

    Les atrocités ne sont pas essentielles pour le nazisme mais plutôt une des multiples conséquences de son caratère profondément inhumain. La fondation de la dynastie des Qin (-221), la révolte des Taiping (1851–1864) et la conquête de l’Asie par l’impérialisme japonais (1905-1945) n’ont rien á envier à l’holocauste ou à la guerre d’extermination anti-slave de nos ancêtres. Ne parlons pas de l’hécatombe de l’époque après 1945 car on risque de confondre leurs véritables raisons avec les idées que nous nous faisons de l’époque 39-45.

    Je préfère la définition du nazisme comme une forme d’idéologie extrêmement inconsistante qui peut alors servir à justifier toute forme d’acte inhumain dans l’intérêt de classes au pouvoir. Le caractère contradictoire de leur idéologie d’imbéciles s’adapte facilement aux besoins du moment.

    Voici un point commun avec la « science » médicale qui n’en est pas au sens précis du terme mais un « art » qui se prête à toute forme d’interprétation. L’histoire de Lorenz, de ses recherches et de ses disciples confirment cette hypothèse.

    La controverse publique sur l’affiliation de Konrad Lorenz au parti nazi commence lors de sa nomination pour le prix Nobel. Cette controverse porte sur un article publié dans le Journal de psychologie appliquée et d’étude du caractère (Zeitschrift für angewandte Psychologie und Charakterkunde) en 1940, « Désordres causés par la domestication du comportement spécifique à l’espèce » (Durch Domestikation verursachte Störungen arteigenen Verhaltens). Cet article est publié dans un contexte de justification scientifique de restrictions légales contre le mariage entre Allemands et non-Allemands. Lorenz ne cache pas cette publication, il la cite abondamment et en reprend les idées dans la plupart de ses livres. Il y développe le concept de l’« auto-domestication de l’Homme », selon lequel « la pression de sélection de l’homme par l’homme » conduirait à une forme de « dégénérescence » de l’espèce humaine, touchant surtout les « races occidentales », tandis que les « souches primitives » seraient épargnées par cette « dégénérescence ».

    Il s’agit d’une entorse au suprémacisme aryen des nazis, dont il dira plus tard[5] :

    « L’essai de 1940 voulait démontrer aux nazis que la domestication était beaucoup plus dangereuse que n’importe quel prétendu mélange de races. Je crois toujours que la domestication menace l’humanité ; c’est un très grand danger. Et si je peux réparer, rétrospectivement, l’incroyable stupidité d’avoir tenté de le démontrer aux nazis, c’est en répétant cette même vérité dans une société totalement différente mais qui l’apprécie encore moins. »

    Mais le style pro-nazi de cet article, adoptant un ton délibérément politique et non scientifique, utilisant largement le concept de race humaine et publié dans un contexte de haine raciale, entraîne les détracteurs de Lorenz à contester sa nomination au prix Nobel, et cause une polémique dans la communauté des sciences humaines, en particulier au sein de l’école de behaviorisme américain. En effet, le long combat de Lorenz contre les théories de cette école, en ce qui concerne les comportements innés et acquis, lui valut beaucoup d’ennemis. Notons, entre autres, l’article de Lehrman de 1953, dans Quarterly Review of Biology : « Une critique de la théorie du comportement instinctif de Konrad Lorenz » citant le caractère et les origines « nazis » des travaux de celui-ci.

    La controverse au sujet de l’article de 1940 s’amplifie après la publication dans Sciences en 1972 d’un discours prononcé au Canada par Léon Rosenberg, de la faculté de médecine de Harvard, et la publication par Ashley Montagu, un anthropologue opposé à la théorie des instincts de l’homme de Lorenz, de la conférence d’Eisenberg : « La nature humaine de l’homme ». Dans cette conférence, l’article de 1940 est critiqué comme s’il s’agissait d’un article à caractère scientifique et actuel. Il s’agit d’une demi-page (sur plus de 70) des pires passages politiques cités hors contexte et se terminant par : « Nous devons - et nous le ferons - compter sur les sentiments sains de nos meilleurs éléments pour établir la sélection qui déterminera la prospérité ou la décadence de notre peuple… ». Si cette dernière proposition semble prôner un eugénisme nazi, l’affirmation que les meilleurs éléments ne sont pas nécessairement « aryens » et donc que certains « aryens domestiqués » devraient céder leur place à des représentants « plus sains » d’autres races, allait à l’encontre de l’idéologie nazie. Dans sa biographie, Lorenz laisse sous-entendre qu’il fut envoyé sur le front de l’Est pour cette raison.

    Il n’en reste pas moins que Lorenz ne parait guère dérangé par le nazisme, ni sur le plan éthique, ni sur le plan de la rigueur scientifique en biologie, et de plus, il accepte naïvement le Prix Schiller qui lui avait été proposé par un vieux membre conservateur de l’Académie bavaroise des sciences. Or ce prix provient d’un groupe néo-nazi : quand il en est averti, Lorenz prétexte être alité et envoie son fils Thomas et son ami Irenäus Eibl-Eibesfeldt annoncer que les 10 000 marks de ce prix seront versés au compte d’Amnesty International. Finalement, l’argent du prix n’est jamais versé, mais Lorenz laissa l’image d’un chercheur facilement aveuglé par le rôle de l’agressivité, la notion d’inégalité biologique des individus et des groupes, le « darwinisme social », la théorie anthropologique du bouc émissaire et l’élitisme eugénique, considérant la néoténie comportementale comme une « dégénérescence » et non comme un facteur d’évolution, d’adaptabilité et de diminution de la violence (il ajoute toutefois que « c’est par le rire que les Hommes aboliront la guerre »)[6].

    Le progrès technologique nous pond des machines faites pour réproduire et multiplier des morçeaux d’idéologie sous forme de code informatique, images et textes d’une clarté superficielle. On y puise même des conseil pour le mangement d’entreprise. Quant à leur manière de « penser » ChatGPT et consorts sont comparables à des imbéciles comme Alfred Rosenberg. En utilisant l’IA nous introduisons dans notre vie la pensée et les méthodes intellectuelles derrière l’holocauste.

    Les théories et définitions de Konrad Lorenz y sont pour quelque chose.

    Übersprungbewegung, Übersprunghandlung, Übersprungverhalten ; engl. : displacement activity, substitute activity, behaviour out of context
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/%C3%9Cbersprungbewegung

    Der Fachausdruck wurde von Nikolaas Tinbergen und Adriaan Kortlandt in die Ethologie eingeführt.[1][2] Nikolaas Tinbergen beschrieb ihn wie folgt: „Diese Bewegungen scheinen irrelevant in dem Sinne zu sein, dass sie unabhängig vom Kontext der unmittelbar vorhergehenden oder folgenden Verhaltensweisen auftreten.“[3] Gedeutet wurde solches, dem Beobachter „unpassend“, ohne nachvollziehbaren Bezug zur gegebenen Situation erscheinendes Verhalten als Anzeichen „eines Konfliktes zwischen zwei Instinkten“,[4] weswegen die Fortführung des zuvor beobachtbaren Instinktverhaltens – zumindest zeitweise – nicht möglich ist und stattdessen eine Verhaltensweise gezeigt wird, die (der Instinkttheorie zufolge) aus einem völlig anderen – dritten – Funktionskreis des Verhaltensrepertoires stammt.

    Spätere verhaltensbiologische Forschung deutete ursprünglich als Übersprungbewegung interpretierte Verhaltensweisen als soziale Signale und damit als keineswegs irrelevant im jeweiligen Kontext.

    #iatrocratie #nazis #médecine #éthologie #histoire #sciences #idéologie #biologie

  • Das neue Berlin - Golda-Meir-Steig
    https://europacity-berlin.de/en/official-opening-of-the-golda-meir-steg


    #Bezirk: #Berlin-Mitte
    Ortsteil: #Mitte, Moabit
    Verlauf: #Kieler_Straße an der #Promenade_am_Berlin-Spandauer_Schifffahrtskanal bis #Otto-Weidt-Platz über den #Berlin-Spandauer_Schifffahrtskanal

    8.12.2024 - Today, Europacity’s new pedestrian and cycle bridge, the Golda-Meir-Steg, was opened to the public.

    However, its debut in Berlin was months earlier when the city’s latest landmark was hoisted into position over the Berlin-Spandau shipping canal in a spectacular heavy lifting operation in October 2020. Together with the new public square Otto-Weidt-Platz, the bridge forms an important link connecting the once divided districts of Moabit and Mitte. Now, the square, as well as the promenade along the banks of the canal, are even easier to access as tranquil places to sit back, relax, and enjoy the view.

    Guests at the event were served with hot mulled wine to celebrate the occasion, which was hosted by the Senate Department for the Environment, Transport and Climate Protection. Berlin’s Senator for Transport Regine Günther performed the ribbon-cutting ceremony, and then the gathering was invited to walk across the bridge to visit Otto-Weidt-Platz.

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Berlin-Spandauer_Schifffahrtskanal

    Berlin-Spandauer Schifffahrtskanal (BSK; ehemals #Hohenzollernkanal; #Spandauer_Canal; #Spandauer_Schiffahrtskanal)

    Viele Berliner und Touristen kennen den Berlin-Spandauer Schifffahrtskanal unter dem Namen #Hohenzollernkanal. So steht er auch in topografischen Karten, bis kurz vor dem Jahr 2000 auch in mehreren Stadtplänen, darunter auch der Online-Plan von www.berlin.de. Im Portal von Geoinformation Berlin ist der ältere Name in Klammern hinter den amtlichen gesetzt: „Berlin-Spandauer Schifffahrtskanal (Hohenzollernkanal)“.

    Otto-Weidt-Platz
    https://berlin.kauperts.de/Strassen/Otto-Weidt-Platz-10557-Berlin

    Otto-Weidt-Platz hat die Hausnummern 1-16, gehört zum Ortsteil Moabit und hat die Postleitzahl 10557
    Allgemeines zu Otto-Weidt-Platz
    Postleitzahl 10557
    Ortsteil Moabit
    ÖPNV Zone A Tram M5, M8, M10 — Bus TXL, M27, M41, 120, 123, 142, 147, 245 — U‑Bahn 6 Reinickendorfer Straße ♿ — U‑Bahn 55 Hauptbahnhof ♿ — S‑Bahn 5, 7, 75 Hauptbahnhof ♿
    Straßenverlauf an Heidestraße
    Falk‑Stadtplan Planquadrat K 15
    Geschichte von Otto-Weidt-Platz
    Ehemaliger Bezirk Tiergarten
    Name seit 18.05.2018

    Im Auge der Berliner Europacity: Systemgastronomie und kurze, haarige Beine
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/im-auge-der-berliner-europacity-li.2211373

    9.5.2024 von Sabine Röthig - Niemand interessiert sich für die Europacity. Ein Besuch auf dem zentralen Platz der Siedlung lässt erahnen, warum das so ist.

    Eine junge Mutter gähnt, ohne sich die Hand vor den Mund zu halten. Sie starrt mich dabei an. Mir wird mulmig. Ich schaue nach unten in meinen Cappuccino, den ich mir gerade für vier Euro inklusive Trinkgeld gekauft habe. Ich sitze in einem Frühstücklokal in der Europacity, weil ich einen Artikel über den Otto-Weidt-Platz schreiben möchte.

    Das weitläufige Areal ist so etwas wie der Dorfplatz der Siedlung. Hier gibt es Systemgastronomie, Fahrradständer und lange Sitzbänke. Jetzt wimmert der Spross der müden Mutter. Der ebenfalls anwesende Vater spricht zum Kind in einer Sprache, die ich nicht verstehe. Der Nachwuchs schaut brüskiert. Die Atmosphäre ist ein wenig beklemmend. Ich fühle mich wie auf einer Party, auf der ich zu früh erschienen bin. Ein junges asiatisches Pärchen setzt sich an den Nebentisch, sie haben einen Hund mit einem großen wuscheligen Oberkörper und sehr kurzen Beinen mitgebracht. Das Tier macht unter dem Stuhl von Frauchen Platz.

    Über die vor einigen Jahren als riesiger Wohnkomplex aus dem Boden gestampfte Europacity haben sich die Berliner im Vergleich zu anderen zentralen Großbauprojekten erstaunlich wenig echauffiert. Man erinnere sich nur an die Empörung über die Neubauten auf dem Potsdamer Platz in den 90er-Jahren oder an den Dauerstress um den Alexanderplatz. Vielleicht gewöhnen sich die Leute so langsam an das fensterreiche Wohnungsregal, das sich als architektonischer Topos der Epoche endgültig durchzusetzen scheint. Oder die Gegend um die Heidestraße ist einfach nicht wichtig genug, um sich über die neuen Häuser aufzuregen.

    Ich verlasse das Café. Draußen zerrt der Wind an jungen Baumkronen und den Blumenröcken der Frauen. In der Mitte des Platzes entsteht ein Brunnen, seit Jahren wird hier gewerkelt. Die Erde war wohl mit Industrieabfällen verseucht gewesen, sie musste komplett ausgetauscht werden. Einige organisch geformte Grünflächen sind jetzt angelegt, doch vieles ist noch unfertig. Kopfsteinpflaster überzieht die Ränder des Platzes – eine interessante stilistische Entscheidung in dieser Umgebung.

    Ich gehe in Richtung Fluss. Das Spektakuläre an der Europastadt ist ja, dass sie direkt am Wasser liegt. Genauer am Berlin-Spandauer-Schifffahrtskanal – eine Mitte des 19. Jahrhunderts angelegte Wasserstraße, die Spree und Havel verbindet sowie Moabit von Mitte trennt. Seit einiger Zeit gibt es hier sogar eine Uferpromenade, die extra für Fußgänger und Fahrradfahrer angelegt wurde. Kilometerlanges Nichts am Kanal lädt hier jetzt zur inneren Einkehr und körperlichen Ernüchterung ein.


    Das Uglymeter fällt ein strenges Urteil über den Otto-Weidt-Platz in der Europacity. BLZ

    Am nordöstlichen Ende des Otto-Weidt-Platzes bietet ein vietnamesisches Restaurant neben Eiskaffee auch Cocktails und Sushi an. Ich laufe zügig daran vorbei und passiere eine große Eistüte aus glänzendem Kunststoff, als sich plötzlich direkt vor mir eine bizarre Petunien-Pyramide erhebt. Das florale Riesengesteck ist mindestens zwei Meter hoch. Wider Erwarten preist hier aber kein Blumenladen Blumen an, sondern eine Pizzeria Pizzen. Ich staune nicht schlecht. Festlich klimpert das Besteck unter den orangefarbenen Schirmen, die für Schaumwein werben und die Essenenden vor der Frühlingssonne schützen.

    Eine ältere Dame flaniert an den locker besetzten Plastikstühlen vorbei. An der Leine läuft ein Hund mit sehr kurzen Beinen. Schon wieder so ein Tier, denke ich. Gehen die Leute in der Europacity hier etwa alle mit ihren Lügen Gassi? Doch bevor ich noch tiefer ins Grübeln komme, stehe ich schon auf der nigelnagelneuen Fußgängerbrücke, die mich aus Moabit direkt zurück nach Mitte führt. Dort werde ich jetzt mal auf die Hundebeine achten.

    #Berlin #Stadtentwicklung

  • Gefangenensolidarität : »Sie ist in eine andere Zelle verlegt worden« 
    https://www.jungewelt.de/artikel/474888.gefangenensolidarit%C3%A4t-sie-ist-in-eine-andere-zelle-verlegt-wor


    Gefangenensolidarität : In Berlin demonstrierten Hunderte Personen für Daniela Klette (9.3.2024) Christophe Gateau

    Un conseil : si tu vies en Allemagne n’affiche jamais ta solidarité avec les prisonniers politiques. Tu perdras ton travail et aucun syndicat de taille te défendra.

    7.5.2024 von Annuschka Eckhardt - Solidarität für das mutmaßliche Ex-RAF-Mitglied Daniela Klette. Ein Gespräch mit Ariane Müller

    Vergangene Woche wurde der 1. Mai mit großer gewerkschaftlicher Beteiligung begangen. Was ist Ihnen als Betriebsrätin passiert?

    Ich bin Krankenschwester im größten Bremer Krankenhaus, im Klinikum Bremen-Mitte. Ich war dort freigestellte Betriebsrätin. Am 17. März, im Kontext des Tags der politischen Gefangenen, hatte ich vor dem Frauengefängnis in Vechta eine Kundgebung angemeldet aus Solidarität für die inhaftierte Daniela Klette, mutmaßlich ehemaliges RAF-Mitglied. Wir sind solidarisch mit ihr und haben auch dort gegen ihre Haftbedingungen protestiert, denn sie war dort über zwei Monate lang in Einzelisolationshaft, durfte nur alleine Hofgang machen, wurde videoüberwacht und hatte kein natürliches Tageslicht in ihrer Zelle, da eine Metallblende vor ihrem Fenster angebracht war. Sie war vollkommen abgeschottet. Dies ist für mich weiße Folter.

    Dann brach ein Shitstorm gegen mich persönlich aus. Irgend jemand aus dem Krankenhaus muss es den Medien gesteckt haben, dass ich die Solidaritätskundgebung angemeldet hatte. Mein Betriebsrat hatte nichts Besseres zu tun gehabt, als mich von der Freistellung als Betriebsrätin abzuwählen. Dies war die Voraussetzung, dass die Geschäftsführung der Klinik mich dann von der Arbeit am Patientenbett freistellen konnte. Ich darf das Krankenhaus nicht mehr betreten, außer mittwochs, wenn wir die Betriebsratssitzung haben, einfaches Betriebsratmitglied bin ich ja noch. Ich darf keinen Kontakt zu den Kolleginnen und Kollegen halten. Meine E-Mail-Adresse ist gesperrt worden. Das ist praktisch ein Berufsverbot, nicht nur als Krankenschwester, sondern auch als Betriebsrätin. Mein konsequenter Einsatz für die Kollegen ist dem übrigen Betriebsrat und der Geschäftsführung schon seit langem ein Dorn im Auge.

    Wie sieht Ihr Vertrauen in gewerkschaftliche Organisation momentan aus?

    Gespalten. Ich habe ein gespaltenes Verhältnis wegen meiner persönlichen Geschichte, die ich eben schilderte. Der zuständige Gewerkschaftssekretär ist auf meiner Seite. Einige weitere Gewerkschaftssekretäre von Verdi haben mir zwar unter vier Augen ihre Solidarität erklärt, ein offizielles Statement vermisse ich allerdings.

    Was gedenken Sie jetzt zu tun?

    Meine Anwältin verhandelt gerade mit dem Anwalt der Gegenseite. Und das Ergebnis, was dabei rauskommt, wie es jetzt für mich weitergeht, das werde ich wahrscheinlich in den nächsten Tagen erfahren.

    Sie haben das Solidaritätsnetzwerk für Daniela Klette mitgegründet und sind dort sehr aktiv. Was hat die Öffentlichkeit bislang bewirkt?

    Die beiden Kundgebungen vor dem Frauengefängnis in Vechta konnten bewirken, dass Danielas Haftbedingungen im April gelockert wurden. Sie ist in eine andere Zelle verlegt worden, ohne Videoüberwachung, und es kommt auch Tageslicht herein. Ich denke, das ist auf den Druck der Öffentlichkeit durch die Kundgebungen und durch weitere solidarische Aktionen zurückzuführen. Auch Danielas Anwalt Lukas Theune hat ihre Isolationshaft immer wieder in den Medien angeprangert. Ich habe schon mehrere Besuchsanträge gestellt, um Daniela in der JVA zu sehen, die werden einfach nicht bearbeitet. Sie möchte unbedingt, dass ich sie besuche. Briefe brauchen wochenlang, bis sie Daniela erreichen. Also, da ist noch sehr viel Luft nach oben.

    Haben Sie schon eine Nachricht aus dem Gefängnis von Daniela Klette bekommen?

    Ich habe kürzlich einen ersten Brief von ihr erhalten. Das war natürlich total toll. Sie hat unter anderem beschrieben, wie sie den Alltag in Vechta erlebt.

    Was steht jetzt noch an in der Soli­darität mit Daniela Klette?

    Wir machen natürlich weiter! In Abständen werden wir weiterhin Kundgebungen vor dem Frauengefängnis in Vechta abhalten, damit Politik und Justiz sehen: Wir lassen nicht locker! Wir befürchten, dass sich sonst ihre Haftbedingungen wieder verschärfen. Unsere nächste Veranstaltung wird am 10. Mai in Hamburg stattfinden unter dem Motto »Solidarität mit Daniela Klette«, eine Podiumsdiskussion, bei der ich auch sprechen werde.

    Ariane Müller ist Krankenschwester und Aktivistin in der Solidaritätsarbeit zu politischen Gefangenen

    Veranstaltung: Freitag, 19 Uhr, Centro Sociale, Sternstr. 2, 20357 Hamburg

    #Allemagne #terrorisme #répression

    • Comment l’a t on retrouvée ?

      Le 26 février 2024, Koray Freudenberg, procureur de la ville de Verden, annonce que Daniela Klette, désormais âgée de 65 ans, est arrêtée à Berlin-Kreuzberg, ou elle vivait sous un faux nom depuis environ 20 ans, après une cavale de plus de 25 ans.

      Daniela Klette a été retrouvée grâce à des outils d’intelligence artificielle utilisés par un podcast télévisé allemand. La police et les services de sécurité allemands sont, eux, liés par des lois strictes sur la vie privée qui limitent leur capacité à utiliser ces types d’outils améliorés par l’intelligence artificielle. La police a trouvé une arme antichar, un fusil Kalachnikov et un pistolet-mitrailleur dans son appartement.

    • C’était une combinaison de délation, de progrès technique et d’acharnement de la police politique. Elle a commencé á ne plus fait attention aux règles essentielles de la clandestinité, compte facebook, photos sur internt etc.
      Qu’est-ce que tu veux, avec le temps on s’épuise et aime oublier ce que disait le procureur Herold en 76/77

      wir kriegen sie alle.

      https://www.youtube.com/watch?v=a7E7NLKU3VA

      https://de.m.wikipedia.org/wiki/Horst_Herold

      Seine auf die damaligen Terroristen der RAF und der Bewegung 2. Juni gemünzte Ankündigung „Wir kriegen sie alle“ wurde mehrmals künstlerisch verarbeitet, unter anderem zu hören auf dem „Verschwende Deine Jugend“-Sampler („Horst Herold – Wir kriegen euch alle“), auf dem „Gang nach Canossa II“-Sampler („D.Werk – Wir kriegen sie alle“) und als Endlosrille auf der LP Amok Koma der Gruppe Abwärts.

      Dans cet article se trouve l’explication de Herold d’une nouvelle méthode de pour identifier les adresses de personnes en clandestinité.

      Unter der Leitung von Horst Herold wurde im Zuge des innenpolitischen Kampfes gegen den Terror der RAF die Rasterfahndung eingeführt. Horst Herold erläuterte das Vorgehen 1986 so:

      „1979 unterhielt die RAF in Frankfurt am Main eine oder mehrere unter Falschnamen angemietete konspirative Wohnungen, die Polizei wußte nur nicht, wo. Da die Terroristen die Stromrechnung nicht von Konto zu Konto bezahlen konnten, war anzunehmen, daß ihre Falschnamen sich in der Gruppe derer befinden müßten, die ihre Stromrechnung bar bezahlen. Dies waren seinerzeit etwa 18000. Wie kann man die gesuchten Falschnamen der Terroristen aus einer solchen Menge herausfinden? Die Antwort ist einfach: indem man alle legalen Namensträger so lange aus der Menge der barzahlenden Stromkunden herauslöscht, bis nur noch die Träger von Falschnamen übriggeblieben sein können. Sonach wurden aus dem richterlich beschlagnahmten Magnetband aller barzahlenden Stromkunden alle Personen herausgelöscht, deren Namen als legale Namen feststanden: die gemeldeten Einwohner, die Kfz-Halter, die Rentner, die Bafög-Bezieher, die im Grundbuch verzeichneten Eigentümer, die Brandversicherten, die gesetzlich Krankenversicherten und so weiter – jede Datei mit Legalnamen kann als ‚Radiergummi‘ dienen. Erst dann, wenn anzunehmen ist, daß alle Legaldaten herausgelöscht sein könnten, wird der Restbestand des Magnetbandes ausgedruckt. Im Falle Frankfurt fanden sich am Ende der allerdings auch manuell unterstützten Prozedur nur noch zwei Falschnamen: der eines Rauschgifthändlers und der des gesuchten Terroristen Heißler, der in seiner dadurch ermittelten konspirativen Wohnung kurz darauf festgenommen wurde.

      Daniela Klatte n’était pas formée en informatique et ne pouvait pas estimer l’importance du rôle de la reconnaissance faciale parmi les méthodes de recherche. Elle s’est faite répérer en parallèle par un amateur et la police sur les photos d’elle qui la montrent pendant le carnaval des cultures à Berlin.

  • La vitesse et l’imprudence tuent.

    (1921, 140 km/h, 7 morts) L’Aérowagon de Valerian Abakovski
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Valerian_Abakovski#L'A%C3%A9rowagon

    L’Aérowagon était un projet expérimental transport à grande vitesse : les wagons étaient équipés d’un aéromoteur et d’une hélice de traction. Ils étaient prévus à l’origine pour transporter les fonctionnaires soviétiques.
    Mort
    Le 24 juillet 1921, un groupe de communistes dirigé par Fiodor Sergueïev prend l’aérowagon allant de Moscou à Toula dans le but de le tester. Abakovski faisait également partie du voyage. Lors du retour à Moscou, le wagon déraille à grande vitesse, tuant les six personnes présentes à bord. Ils sont tous enterrés à la nécropole du mur du Kremlin.

    Les victimes

    Valerian Abakovski lui-même, à l’âge de 25 ans,
    Paul Freeman (en), délégué australien,
    Oskar Helbrich (ru), délégué allemand,
    John William Hewlett (en), délégué britannique,
    Ivan Konstantinov (bg), délégué bulgare,
    Fiodor Sergueïev, connu sous le surnom de « camarade Artiom »,
    Otto Strupat (de), délégué allemand.

    Fjodor Andrejewitsch Sergejew(Фёдор Андреевич Сергеев) dit „Artjom“ (Артём)
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Fjodor_Andrejewitsch_Sergejew

    Nach der Februarrevolution 1917 kehrte er nach Charkiw zurück und übernahm dort den Vorsitz der Bolschewiki im Stadtrat, der später Stadtsowjet genannt wurde. Gleichzeitig leitete er das Revolutionäre Militärkomitee des Gouvernements Charkow. Wenige Wochen später wurde Sergejew Vorsitzender des Zentralkomitees der SDAPR der Donezbeckenregion. Im Oktober wurde er nach Petrograd gerufen, um am bewaffneten Aufstand während der Oktoberrevolution teilzunehmen.

    Seit Februar 1918 war er Vorsitzender des Rates der Volkskommissare und Beauftragter für Volkswirtschaft der Sowjetrepublik Donez-Kriwoi Rog. Er war Mitorganisator der Ersten Donezker Armee, die ihre ersten Kämpfe gegen die neue unabhängige ukrainische Regierung und die Weißen Truppen des Generals Kaledin führte. Nach mehreren Niederlagen gelang es ihm, die Armee, die jetzt 5. Armee hieß, nach Zarizyn zu führen und sie so vor vollständiger Vernichtung zu bewahren. Im Jahre 1919 war Sergejew stellvertretender Vorsitzender der Provisorischen Regierung der Ukraine und leitete die Verteidigung des Donezbeckens gegen die Truppen des weißen Generals Anton Denikin. Anschließend war er Vorsitzender des regionalen Ausschusses zur Neuorganisation der Kohleförderung im Donezbecken. Als Mitglied der Regierung der Ukraine war es ihm ein spezielles Anliegen, die Donezregion wiederzubeleben. In den Jahren 1920/21 unterstützte er Lenin gegen Leo Trotzki in Gewerkschaftsfragen, indem er die Leninsche Plattform der Zehn mitunterschrieb. Von 1920 bis Anfang 1921 war er Sekretär des Moskauer Parteikomitees und danach Vorsitzender der Bergarbeitergewerkschaft TKS.

    Er verunglückte am 24. Juli 1921 beim Test eines flugmotorbetriebenen Eisenbahnwaggons (Walerian Abakowskis Aerowagon) tödlich und wurde in Moskau an der Kremlmauer in einem Gemeinschaftsgrab beigesetzt.

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Bachmut

    Aufgrund der Entkommunisierungsgesetze wurde die Stadt am 4. Februar 2016 vom seit 1924 gültigen Namen Artemiwsk (Артемівськ; russisch Artjomowsk, Артёмовск; nach dem russischen Revolutionär Artjom) wieder in Bachmut umbenannt. Die russische Seite im Krieg 2022/2023 verwendet weiterhin den Namen Artjomowsk.

    (2006, 550 km/h, 23 morts) Transrapid
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Transrapidunfall_von_Lathen

    On vit une époque moins héroïque qui va encore durer un petit moment, au moins c’est ce que j’espère. Pour cette raison on ne connaît pas les noms des victimes. La politique sous Merkel a voulu qu’on se débarrasse au plus vite de l’histoire alors on a vendu le projet aux Chinois qui on su le mettre à profit du développement de trains a grande vitesse pour le pays immense. Désormais les trains à sustentation magnétique (Maglev) sont considérés comme des objets historiques du passé.

    Durch den Aufprall starben 23 Menschen und zehn weitere wurden verletzt, der Werkstattwagen sowie der vordere Teil der Magnetschwebebahn wurden völlig zerstört. Die beiden Arbeiter im Werkstattwagen überlebten verletzt, weil sie sich auf der vom Aufprall abgewandten Seite ihres Fahrzeugs befanden. Auf Klopfzeichen unter ihrem Fahrzeug hin, die von Fahrgästen kamen, die im vorderen Bereich des Zuges überlebt hatten, schraubten sie die Bodenplatte des Fahrzeugs auf und retteten drei Fahrgäste. Im hinteren Zugteil überlebten die beiden Bordtechniker.

    Die Leitstelle alarmierte die Werkfeuerwehr und eine Viertelstunde nach der Kollision trafen die ersten Rettungskräfte ein. Beim Zerschneiden des Wracks mit Schneidbrennern wurden drei weitere Überlebende gefunden. Insgesamt waren 200 Retter im Einsatz, die Arbeiten gegen 22 Uhr abgeschlossen. Der Unfallzug wurde zwischen dem 6. und 8. November geborgen, der Versuchsbetrieb ruhte nach dem Unfall bis zum Juli 2008.

    Mit Tempo 170 in die Katastrophe
    https://www.weser-kurier.de/politik/15-jahre-transrapid-unglueck-lathen-gedenkt-der-opfer-doc7hky4dk932ahvh

    ... an der Stütze 120, deutet nichts mehr auf die Katastrophe hin. Am 22. September 2006 fuhr mit Tempo 170 ein Transrapid in einen tonnenschweren Werkstattwagen und schob ihn einen halben Kilometer weiter nach vorn. 23 Menschen starben. Heute sind die Spuren des Unfalls an dieser Stelle beseitigt.

    Dort, wo die Überlebenden und die Toten geborgen wurden, an der Stütze 134, stehen Kreuze und Blumen. Familienangehörige, Freunde und Kollegen der Getöteten haben in einen Schaukasten Fotos, Traueranzeigen, Gebete und von Kindern gemalte Bilder gehängt. Etwa einen Kilometer weiter südlich, gegenüber dem früheren Besucherzentrum, hat die offizielle Gedenkstätte für die Opfer des Unglücks ihren Platz gefunden: Zwei grob behauene Steine, in deren Mitte sich eine Metallplatte mit 23 Kreuzen befindet.

    Transrapid-Besucherzentrum in Lathen hat wieder geöffnet
    https://www.ndr.de/nachrichten/niedersachsen/osnabrueck_emsland/Neustart-fuer-Transrapid-Besucherzentrum-Grosser-Zulauf,transrapid664.html

    3.8.2022 - Um an die Magnetschwebetechnik der Transrapid-Anlage in Lathen zu erinnern, hat ein Förderverein das Besucherzentrum wieder eröffnet. Darin soll die Bedeutung des Zuges für die Region aufgearbeitet werden.

    La Chine continue à évaluer des trains du type maglev.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Transrapid#Lignes_maglev_en_fonctionnement

    Le Maglev de l’aéroport d’Incheon dessert l’aéroport international d’Incheon, en Corée du Sud, depuis février 2016.

    En Chine, une ligne à sustentation magnétique a été ouverte à Changsha, le Maglev express, reliant l’aéroport international de Changsha-Huanghua à la gare de Changsha-Sud. Une autre, la S1 du métro de Pékin, est en service depuis décembre 2017.

    #train #accident #vitesse

  • Cadeau ! La ville de Berlin donne l’ancienne demeure de Goebbels à qui veut bien la prendre.
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Bogensee#1945_bis_1990

    Le Land de Berlin n’a pas été capable de décider que faire avec l’ensemble qui a servi de grande école à l’organisation de jeunesse en #RDA #FDJ. L’entretien coute cher et le sénateur des finances a déclaré qu’il était prêt à faire cadeau du lieu idyllique sur le lac Bogensee.

    C’est à quarante minutes du centre ville de Berlin.


    Arrivé à la gare Wandlitzsee c’est encore une marche de six kilomètres.

    Interesse ? Voilà une visite virtuelle.
    https://bogensee-geschichte.de

    #Berlin #Brandebourg #Wandlitz #Bogensee

  • “Une pollution sonore” : les vacances sans enfants gagnent du terrain
    https://www.bfmtv.com/economie/consommation/une-pollution-sonore-les-vacances-sans-enfants-gagnent-du-terrain_AD-20240426

    La quiétude et la tranquillité, ce sont les arguments de vente de l’Anglais Stuart Coe, qui gère un camping interdit aux enfants, bien loin de l’ambiance des resorts très populaires en Espagne, Italie ou Grèce. Propriétaire de cette installation quatre étoiles dans le Lot depuis 1993, le septuagénaire s’est lancé dans le « adults only » en 2009. « On en avait marre des enfants pas contrôlés par les parents », justifie-t-il.

    « Quand on avait des familles avec enfants, tout tournait autour d’eux. Ça perturbait le caractère calme que je voulais privilégier », confie de son côté Vincent Clerjoux-Rhodes, propriétaire du Domaine des Ormeaux en Dordogne, qui a décidé depuis six ans de limiter l’accès à ses gîtes aux plus de 16 ans.

    (Rappelle-moi un peu pourquoi il ne faudrait pas euthanasier les vieux ?)

  • Les complotistes tissent leur toile en Bretagne | Le Télégramme
    https://www.letelegramme.fr/france/les-complotistes-tissent-leur-toile-en-bretagne-6572732.php


    Le couple de Landeleau a apposé à l’entrée de sa propriété, une plaque indiquant qu’il héberge le consulat de l’État vivant breton.
    Le Télégramme/Didier Déniel

    Conseil national de transition, État vivant breton, ou encore One Nation : les groupes de conspirationnistes, citoyens souverains, ont fleuri ces dernières années en France et en Bretagne. Une nébuleuse qui dit agir pour l’émancipation des individus et refuse l’autorité de la République.

    Ces dernières semaines, une vidéo montrant un couple qui refusait de se soumettre à un contrôle d’alcoolémie dans le Nord a fait le buzz sur la toile. L’homme et la femme contestaient l’autorité des forces de l’ordre, et plus globalement celle de la République, pour laquelle elles agissaient. Des illuminés, direz-vous. Pas seulement. Car derrière ces postures, ils se nourrissent d’un nouveau mode de pensée, mettant l’individu, et son bien-être, au-dessus des lois et de l’organisation sociétale. Ces groupes se mettent hors-cadre, veillant bien à ne jamais se rapprocher d’un parti politique, d’une institution ou d’une ONG. Un mouvement né dans le sillage des antivax les plus acharnés et de leurs théories conspirationnistes.

    En France, ce mouvement a pris une telle ampleur qu’elle fait l’objet d’une surveillance accrue des services de police et de gendarmerie. Le plus répandu serait le Conseil national de transition (CNT), dont le but ultime serait de renverser le gouvernement et de mettre à bas la cinquième République. Selon le CNT, le pouvoir serait entre les mains de politiciens corrompus d’une « cinquième République sans existence constitutionnelle » ayant mis en place des mesures sanitaires pour placer sous contrôle la population. Aujourd’hui le salut passerait par un pouvoir confié à des Français « tirés au sort, qui exerceraient la souveraineté nationale ».


    Le 13 février dernier, le calme du bourg de Landeleau a été troublé par une manifestation lors du conseil municipal.
    Le Télégramme/Didier Déniel

    « La République Française n’a aucune légitimité sur la Bretagne »
    Il n’aura fallu que quelques mois pour que naisse dans notre région, une déclinaison identitaire de ce mouvement baptisée « Conseil national de transition breton » ou encore « État vivant breton ». Selon les têtes pensantes de ces groupes, la France n’aurait aucune légitimité sur la Bretagne, étant donné que les clauses du contrat de mariage entre la duchesse Anne et Louis XII, et les engagements politiques y afférents, n’auraient pas été respectés. De fait, tout Breton serait donc un être indépendant et autonome qui ne serait pas soumis aux lois de la République.

    Dans cette mouvance, un groupe localisé près de Brocéliande est particulièrement actif depuis quelque temps. Selon plusieurs sources, il est intervenu en février dernier dans la commune de Landeleau (29) pour soutenir un couple qui a construit des habitats légers sur son vaste terrain, sans autorisation aucune. L’homme et la femme, installés depuis la crise sanitaire, ont été condamnés à 3 000 euros d’amende et à déconstruire ces habitations avant le 16 avril. Le tout assorti d’une astreinte de 200 euros quotidienne si la décision de justice n’est pas respectée. À ce jour, les constructions sont toujours en place.

    « Le 13 février, une douzaine de personnes qui n’étaient pas de la commune ont perturbé le conseil municipal, raconte le maire, Yvon Coquil. Ils étaient venus contester la décision de justice. Je les ai invités à assister au conseil sans prendre la parole. Ils ont refusé. C’était assez tendu. J’ai dû appeler la gendarmerie. Je ne connaissais pas ces gens. En tout cas, ils étaient extérieurs à la commune. »

    « Parfois des profils inquiétants »
    Soutenu dans un premier temps par des membres du CNT, le couple semble avoir pris fait et cause pour ce mouvement, comme le prouvent certains de ses écrits postés sur les réseaux sociaux. « Nous sommes de l’État vivant breton depuis de nombreux mois déjà. Nous ne sommes plus concernés par le droit et les décisions de la République française Présidence (…) Nous sommes redevenus mandataires de nos personnes juridiques et vivantes. »

    Ces postures inquiètent un spécialiste de ces mouvements interrogé par nos soins « Ces personnes se lavent le cerveau entre elles. Elles sont tellement déconnectées de la réalité qu’elles en ignorent la présence d’autres entités qui relaient les mêmes discours. Elles perdent tout sens critique. Souvent, on a affaire à des idéalistes non-violents. Mais parfois certains profils sont plus inquiétants ».

    • Complotisme : plusieurs affaires devant la justice en Bretagne | Le Télégramme
      https://www.letelegramme.fr/bretagne/complotisme-plusieurs-affaires-devant-la-justice-en-bretagne-6572736.ph

      Le mouvement complotiste et des « Êtres souverains », dont les racines se trouvent aux États-Unis, a pris de l’essor ces dernières années. La Bretagne n’échappe pas à ce phénomène, comme le démontrent ces deux affaires judiciaires.

      La cofondatrice de One Nation condamnée à Saint-Brieuc
      Un des principaux groupes, One Nation, semble avoir de solides liens avec la Bretagne. En effet, il est écrit sur son manifeste, acte fondateur d’une nouvelle nation, que ce texte a été finalisé, le 29 février 2020, « quelque part en Armorique ». On peut y lire que « les gouvernements échouent dans leur mission » et « ne prennent pas soin ni des êtres humains ni de la terre ». La philosophie de ce mouvement vise à bâtir un nouveau monde, en dehors des codes politiques et sociaux habituels. L’être humain « cellule unique et individualisée » est placé au centre de cette démarche. « Il l’emporte sur l’entité légale créée après ma naissance » peut-on lire plus loin.

      One Nation a été cofondée par Alice Martin Pascual, alias Alice Pazalmar. Une jeune femme, vidéaste et créatrice de bijoux, qui vit dans le Lot. En mai 2023, elle a été condamnée par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc à 1 000 euros d’amende pour diffamation. Ses propos, diffusés sur la toile, visaient l’ex-président du conseil départemental des Côtes-d’Armor, Alain Cadec, et la responsable du service enfance du Département, qu’elle accusait de maltraitance sur enfants. Déjà incarcérée pour une série d’infractions routières, la prévenue avait regretté ses propos, évoquant une période troublée de sa vie durant laquelle elle contestait toute autorité.

      La dérive « sectaire » d’une famille
      Un couple originaire de la région de Concarneau a été condamné le 15 février à Quimper. Il avait déscolarisé son enfant, âgé d’une dizaine d’années, pendant trois ans, à partir de mars 2020. Sans suivi par l’Éducation nationale. Le couple de quinquagénaires, ayant refusé d’être défendu par un avocat, avait tenu des propos déroutants sur l’existence administrative des êtres humains. Selon lui, l’Éducation nationale, qui « formate les esprits », était une entreprise privée qui faisait des bénéfices sur le dos des écoliers. À ce titre, et selon sa logique, il demandait que l’EN soit affiliée au registre du commerce et des sociétés ! Le couple a été condamné à six mois de prison avec sursis et à 200 euros d’amende. Leur fils a été confié aux services sociaux. Le ministère public avait parlé « de dérive sectaire ».

    • Ce n’est pas loin de ...
      https://www.eff.org/cyberspace-independence

      We have no elected government, nor are we likely to have one, so I address you with no greater authority than that with which liberty itself always speaks. I declare the global social space we are building to be naturally independent of the tyrannies you seek to impose on us. You have no moral right to rule us nor do you possess any methods of enforcement we have true reason to fear.

      Merci @arno de nous avoir rappellé dans
      http://www.uzine.net/article60.html
      qu’il n’y a pas que la liberté libertaire individualiste des John Perry Barlow (pourtant je me sens parfois assez Deadhead ...)
      par exemple hhttps://archive.org/details/gd1978-04-16.sbd.cantor.motb.81457.sbeok.flac16/gd1978-04-16d1t12.MOTB.flac

      Chez nous on a les Reichsbürger pour nous amuser.
      https://de.m.wikipedia.org/wiki/Reichsb%C3%BCrgerbewegung
      Wikipedia nous informe que ..

      Reichsbürgerbewegung ist ein Sammelbegriff für eine organisatorisch und ideologisch sehr heterogene Szene aus meist Einzelpersonen, seltener teilweise sektenartigen Klein- und Kleinstgruppen. Gemeinsam ist ihnen, dass sie die Existenz der Bundesrepublik Deutschland als legitimer und souveräner Staat bestreiten sowie seine Repräsentanten und die gesamte deutsche Rechtsordnung fundamental ablehnen. Zu den von sogenannten Reichsbürgern vertretenen Ideologien gehören oft die Ablehnung der Demokratie, Ideologieelemente des Monarchismus, Rechtsextremismus, Geschichtsrevisionismus und teilweise Antisemitismus, Esoterik bzw. Rechtsesoterik oder die Leugnung des Holocausts. Sie teilen eine Haltung der Ablehnung einer offenen und pluralistischen Gesellschaft und weigern sich, unter anderem Steuern und Bußgelder zu zahlen oder Gerichtsbeschlüsse und Verwaltungsentscheidungen zu befolgen.

      C’est assez drôle et ressemble un peu au « Front Populaire de Judée » dans La vie de Brian mais dans un esprit de droite. Comme quoi parfois les crypto-nazis sont assez marrants à cause leur esprit étroit. On n’a pas besoin de grand chose pour s’amuser, pas vrai.

      Dabei berufen sich „klassische“ Reichsbürger darauf, dass ihrer Meinung nach das Deutsche Reich statt der Bundesrepublik weiterhin fortbestehe, entsprechend ihrer Ideologie entweder in den Grenzen des Deutschen Kaiserreichs oder in denen von 1937. Dieses Deutsche Reich werde als Organisation durch eine „kommissarische Reichsregierung“ (KRR) oder Ähnliches vertreten, deren Befugnisse die oft miteinander konkurrierenden Gruppen jeweils für sich beanspruchen.

      L’histoire devient sérieusement drôle quand l’état impérialiste post-nazi arrête les participants d’un complot qui devait rétablir le Deutsches Reich et restituer le droit au seuil allemand aux vrais allemands ariens comme moi. Manque de peau on a perdu notre attestation d’arien d’avant 1945 et pire encore on n’en veut plus rien savoir.

      De toute manière si un jour l’envie me prend de devenir arien officiel, j’irai en Iran ou en Inde après Modi où je me joindrai aux vrais des vrais de n’importe quoi.

      Au Japon aussi il y a des nazis partout ;-)

      Ship of fools
      https://genius.com/The-grateful-dead-ship-of-fools-lyrics
      I won’t slave for beggar’s pay, likewise gold and jewels
      But I would slave to learn the way to sink your ship of fools

      #wtf #nazis

    • Extrait d’un article de l’Obs

      • Qui sont les « citoyens souverains » ?

      Les phrases utilisées par le couple renvoient à l’argumentaire du mouvement antisystème des « citoyens souverains », apparu aux Etats-Unis dans les années 1970. Une mouvance qui s’est exportée dans le monde anglo-saxon et en France, où elle s’est manifestée à travers le mouvement One Nation, cofondé par Alice Pazalmar, explique à l’AFP le spécialiste de l’extrémisme en ligne Tristan Mendès France, qui évoque aussi une « hybridation avec le mouvement covido-complotiste ».

      https://www.nouvelobs.com/societe/20240410.OBS86926/on-ne-contracte-pas-nombre-de-membres-ideologie-qui-sont-les-citoyens-sou

      https://justpaste.it/e0re6

      De là à prétendre que ce genre d’acte de résistance est « payant » ^^

      L’homme sera jugé le 1er octobre à Dunkerque pour refus de se soumettre aux vérifications du véhicule et du conducteur, au contrôle d’alcoolémie et de l’usage de stupéfiants, défaut d’assurance et violences volontaires sur un militaire de la gendarmerie sans incapacité. Pour ces délits, il encourt jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende.

  • Charité-Arzt verurteilt : Totschlag kein Einzelfall, „Täter gelten als sehr engagierte, sehr empathische Mensch
    https://www.berliner-zeitung.de/gesundheit-oekologie/berlin-charite-arzt-verurteilt-totschlag-kein-einzelfall-taeter-gel


    Le médecin qui aime son patient, tue son patient , parole de nazi. Et il économise 60k RM à la communauté nationale. C’est que j’appelle de l’empathie nationale .

    Voici la dernière ligne de défense des médecins face à la critique de leur rôle meurtrier.

    Ich halte die Behauptung, es handele sich bei den Tätern um schwarze Schafe und bei den Taten um Einzelfälle, für genauso ungerechtfertigt wie einen Generalverdacht.
    Karl-Heinz Beine

    Un médecin spécialiste de la question de l’homicide médical décrit qu’il est impossible de connaître le chiffre et le rythme exact des homicides commis par ses collègues. Puisque ici les méthodes statistiques sont aussi peu efficaces comme dans tous les domaines où le personnes interrogées veulent rester dans l’ombre on ne peut approcher la question que d’une manière analytique.

    Il faut commencer par la collection d’informations sur tout ce qui peut avoir une signification pour les actes et exclure les jugements biaisés et idéologiques qui sont la conséquence de la nécessité de s’arranger avec une situation insupportable ou d’obscurcir des parties problématiques de la question. Ensuite il faut analyser les fonctions et besoins de acteurs. A la fin on n’aura toujours pas de chiffre précis mais on obtiendra une idée de la signification du phénomène et du rôle des acteurs.

    Bien entendu il faut se situer dans la perspective des personnes les plus faibles qu’on écoute le moins d’habitude, car en emplifiant ces voix on se rapproche d’une représentation complète du problème. Si par hasard on comprend qu’on fait partie d’eux on a gagné la première bataille dans la lutte pour la vérité.

    Nous sommes toutes et tous des patients. Pour nous il est important de suivre la recommandation du professeur à la fin de l’interview, mais ce n’est qu’une première étape sur le chemin vers l’essentiel, l’indépendance de la domination médicale.

    26.4.2024 von Christian Schwager - Ein Arzt der Charité Berlin ist für die Tötung zweier Patienten verurteilt worden. Der Experte Karl-Heinz Beine sagt, dies sei kein Einzelfall, doch Patienten könnten sich schützen.

    Der Charité-Arzt Gunther S. ist am Freitag vor dem Landgericht Berlin wegen zweifachen Totschlags zu vier Jahren Haft verurteilt worden. Er wurde für schuldig befunden, dem Leben der beiden Patienten mit einer hohen Dosis des Anästhetikums Propofol ein Ende gesetzt zu haben anstatt, wie üblich, Schmerzen mit Morphinen zu behandeln. Fast ein Jahr lang saß der Oberarzt der kardiologischen Intensivstation in Moabit in Untersuchungshaft. Karl-Heinz Beine ist emeritierter Professor an der Universität Witten/Herdecke. Er hat zur Gewalt in Krankenhäusern geforscht und den Prozess intensiv verfolgt. Im Interview spricht er über die Motive der Täter, das Leben von Patienten vorzeitig und vorsätzlich zu beenden. Er sagt, es handele sich nicht um Einzelfälle, ein Generalverdacht sei aber nicht berechtigt. Und er erklärt, was Patienten tun könnten.

    Herr Prof. Beine, entspricht das Urteil Ihren Erwartungen?

    Ich bin mit der Beweisführung des Gerichts sehr einverstanden. Die Tatsachen, die zugrunde lagen, waren erheblich. Das Gericht hat völlig zurecht großes Gewicht auf die Dosierung von Propofol gelegt und als Todesursache gewürdigt. Dieses Anästhetikum wird in solchen medizinischen Problemlagen eher selten eingesetzt.

    Sie haben den Prozess seit Beginn an den meisten Prozesstagen verfolgt. Im Publikum saß auch medizinisches Personal. Wie waren die Reaktionen?

    Ich hatte erst heute vor dem Richterspruch eine mehr als lebhafte Auseinandersetzungen mit einem ärztlichen Kollegen. Er meinte, wenn der angeklagte Arzt verurteilt werde, würde an deutschen Kliniken niemand mehr als Arzt arbeiten wollen.

    Ist das so?

    Eine solche Einschätzung hat mit Fakten nichts zu tun. Es kommt immer auf die Kompetenz und die Motivation der Ärztinnen und Ärzte an. Selbstverständlich sind sie auf der sicheren Seite, wenn sie einem Menschen Schmerzen nehmen wollen und dafür ein Medikament wählen, bei dem es unter Umständen sein kann, dass es auch das Leben verkürzt. Unabhängig davon muss das Motiv sein, dem Patienten Schmerzen und Ängste zu nehmen und nicht das Leben zu verkürzen.

    Warum sollte das primäre Ziel von Dr. S. gewesen sein, den Tod der Patienten herbeizuführen?

    Ich habe ihn nicht psychiatrisch begutachtet. Doch mein Eindruck im Gerichtssaal war, dass er große Schwierigkeiten hat, unkontrollierbare Situationen zu ertragen, also auch das Sterben von Menschen. Er hat Probleme, die Grenzen ärztlichen Handelns zu akzeptieren. Man könnte das so beschreiben: Wenn ich das Leiden eines Menschen nicht kontrollieren kann, dann kontrolliere ich den Träger des Leidens, indem ich ihn mit Medikamenten so behandele, dass ich ihn – in Anführungszeichen – erlöse. Es ist so, dass Herr S. nicht in der Lage ist, solche Situationen auszuhalten und zu begleiten.

    Ist das ein typisches Tatmotiv?

    Für fast alle Täter, die ich kenne, ist das eine typische Motivlage, ja. Sie gelten als sehr engagierte, sehr empathische Menschen, die sich um Sterbende und ihre Angehörigen kümmern. Dadurch können sich die betroffenen Ärztinnen und Ärzte oder Krankenpfleger das Gefühl verschaffen, die Situation im Griff zu haben. Und wenn das nicht der Fall ist, lösen sie die Situation auf, indem sie die Patienten mit Medikamenten übermäßig ruhigstellen.

    Es gab den Fall des Pflegers Niels Högel, der Patienten an den Rand des Todes brachte mit dem Ziel, sie im letzten Moment zu retten und als Held dazustehen. Ist das ebenfalls typisch?

    Diese Motivlage ist weltweit selten. Meist handelt es sich um Mitleidstörungen. Im Fall von Herrn S. hat das Gericht jetzt ebenfalls festgestellt, dass auch bei ihm Mitleid eine Rolle gespielt hat. Insofern gibt es Parallelen zum Fall von Irene B., die sich ja damals auch auf Mitleide berufen hat.

    Sie meinen die Krankenpflegerin an der Charité, die mehrere Patienten umgebracht hat. Ihr Fall hat dazu geführt, dass die Charité ein Whistleblower-System etablierte. Wie sicher ist ein solches System vor Missbrauch?

    Ein höheres Maß an Sicherheit als das, das man in diesem Prozess erlebt hat, ist kaum möglich. Jedes Whistleblower-System gerät an seine Grenzen, wenn es um schwere Straftaten geht.

    Warum?

    Solche Informationen der Whistleblower müssen an die Ermittlungsbehörden weitergeleitet werden. Das hat die Krankenschwester, die sich im Fall des Dr. S. an die Vertrauensanwälte der Charité wandte, nicht bedacht. Sie hat sich nicht ausgemalt, dass sie irgendwann vor dem Landgericht erscheinen muss. Und sie hat sich nicht ausgemalt, dass sie an drei Prozesstagen schwierigen Verhören ausgesetzt war. Man könnte auch sagen: Sie wurde gegrillt.

    Wie lässt sich so ein Whistleblower-System schonend für die Beschuldigten und schonend für die Hinweisgeber organisieren?

    Das ist eine schwierige Frage, auf die es bis heute keine abschließende Antwort gibt. Wie macht man Menschen Mut, die Missstände aufdecken? Wie schützt man Menschen davor, ungerechtfertigt beschuldigt zu werden, die nichts anderes tun als ihre schwere Arbeit?

    Sind die Ärzte durch das Urteil jetzt verunsichert?

    Die Verunsicherung ist da, aber die Grauzone, von der immer die Rede ist, wird nicht verschwinden, indem wir sie verschweigen. Wir müssen genau hinschauen und darüber immer wieder diskutieren, und ich glaube, dass das mit diesem Urteil etwas leichter fällt.

    Sie sprechen von Grauzone: Lässt sich abschätzen, wie viele Fälle nicht ans Licht kommen?

    Die Dunkelziffer lässt sich nicht beziffern. Ich selbst habe im Herbst 2020 eine Studie veröffentlicht, die wissenschaftlich bewertet wurde. Von 2507 teilnehmenden Ärztinnen und Ärzten räumten 1,8 Prozent ein, innerhalb der zurückliegenden zwölf Monate das Leben eines Patienten vorsätzlich und willentlich verkürzt zu haben, ohne dass sie darum gebeten worden waren. Es handelt sich um eine nicht unerhebliche Zahl. 2507 Teilnehmer sind nicht wenig, allerdings handelt es sich nicht um einen repräsentativen Querschnitt durch die Ärzteschaft.

    Also liegt das Ausmaß des Problems völlig im Dunkeln?

    Es ist nicht quantifizierbar. Doch ich halte die Behauptung, es handele sich bei den Tätern um schwarze Schafe und um Einzelfälle, für genauso ungerechtfertigt wie einen Generalverdacht. Wir wissen es schlichtweg nicht.

    Wie kann ich als Patient für meine größtmögliche persönliche Sicherheit sorgen?

    Indem Sie eine Vorsorgevollmacht und/oder eine Patientenverfügung hinterlegt haben, deren Existenz bekannt ist. Und indem ich selbst oder meine Angehörigen auf Aufklärung bestehen, am besten von zwei unterschiedlichen Ärzten. Menschliches Leben darf nicht abgewertet werden, auch nicht wenn es schwierig wird.

    Inwiefern?

    Der Verteidiger von Dr. S. hat im Prozess einen Zollstock ausgepackt, um den Fall aus seiner Perspektive zu verdeutlichen. Ein Zwei-Meter-Zollstock, den er Glied für Glied eingeklappt hat. Er wollte damit die Vergänglichkeit des Lebens symbolisieren. Am Schluss hat er die schmale Kappe abgenommen, die sich am Ende jedes Zollstocks befindet. Er hat gesagt, dieses Fitzelchen sei das, was auf einer Intensivstation ankommt. Das ist eine derart verzerrende Darstellung des Wertes von menschlichem Leben an dessen Ende, die unabsehbare Folgen hat. Es muss jedem klar sein, dass das menschliche Leben schützenswert ist bis zum letzten Atemzug. Und dass Ärzte nichts tun dürfen, um das Leben vorsätzlich zu verkürzen. Das kann allenfalls der Betroffene selbst.

    __

    Zur Person

    Karl-Heinz Beine, geboren 1951, ist ein deutscher Humanmediziner, Hochschullehrer und Sachbuchautor. Seit 2019 ist er emeritierter Professor für Psychiatrie und Psychotherapie an der Universität Witten/Herdecke. Er veröffentlichte unter anderem mit Jeanne Turczynski das Buch: „Tatort Krankenhaus. Wie ein kaputtes System Misshandlungen und Morde an Kranken fördert“. (Verlag Droemer Knaur, München 2017)

    Vernichtung lebensunwerten Lebens
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Vernichtung_lebensunwerten_Lebens

    ... et les pauvres ...
    https://www.youtube.com/watch?v=oFSd_mUSBkw

    #iatrocratie #meurtre #euthanasie

  • Berlin: Chaos bei der Umbenennung der Manteuffelstraße in Audre-Lorde-Straße
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/berlin-chaos-bei-der-umbenennung-der-manteuffelstrasse-in-audre-lor

    25.4.2024 von Stella Tringali - Ein Teil der Straße in Kreuzberg trägt künftig den Namen einer amerikanischen Aktivistin. Doch die Umsetzung zieht sich seit Monaten hin und sorgt für Irritationen.

    Wenn Straßen umbenannt werden, sorgt das auch in Berlin meist für Streit, besonders in Kreuzberg: Denn dort verfolgt der Bezirk seit Jahren das Ziel, dass die Straßennamen weiblicher werden. Seit 2005 dürfen Straßen nur noch neu nach Frauen benannt werden. Doch mit der Umsetzung hapert es. Das zeigt sich derzeit in der Manteuffelstraße, bei Anwohnern und Lieferdiensten ist gar von „Straßennamen-Chaos“ die Rede.

    Seit September des vergangenen Jahres trägt der nördliche Teil den Namen Audre-Lorde-Straße. Seit der Umbenennung des Abschnittes zwischen Skalitzer und Köpenicker Straße sind zwar bereits sechs Monate vergangen, doch zu sehen war davon lange Zeit nichts – kein Straßenschild, nirgends. Erst vergangene Woche wurden die ersten neuen Schilder aufgehängt.

    Treptow-Köpenick: Igo-Etrich-Straße soll nach Ilse Essers umbenannt werden

    Es ist Vormittag, und es ist ruhig auf der Straße, vereinzelt fahren Fahrradfahrer vorbei. Ein Pärchen läuft in Richtung Paul-Lincke-Ufer. Sie haben einen Jutebeutel mit Lebensmitteln in der Hand. Sie sagen, dass sie in der Nähe wohnen, ein paar Straßen weiter. Was halten sie von der Umbenennung? Der Mann schüttelt den Kopf. „Dazu habe ich keine Meinung“, sagt er. „Ich weiß nicht mal, wer das sein soll, aber ich weiß auch nicht, wer Manteuffel war.“

    Otto Theodor von Manteuffel war ab 1850 preußischer Ministerpräsident, er war glühender Monarchist und setzte sich gegen die Demokratiebewegung ein. Die neue Namensgeberin Audre Lorde war eine schwarze feministische Aktivistin und Schriftstellerin aus den USA, die von 1984 bis in ihr Todesjahr 1992 immer wieder in Kreuzberg lebte. Denn sie lehrte als Gastprofessorin immer wieder an der Freien Universität und engagierte sich für afrodeutsche Frauen und Homosexuelle.
    Umbenennung schon länger geplant

    Als das Pärchen auf der Straße die Hintergründe der beiden Namen erfährt, sagt die Frau: „Moment mal, nun stimmt es nicht mehr, dass wir dazu nichts sagen können.“ Die Geschichte von Audre Lorde sorgt bei ihr für große Augen. „Ich finde es gut, dass einer neuen Person eine Plattform gegeben wird, vor allem, wenn sie eine Feministin und Aktivistin war.“
    Meistgelesene Artikel

    Bereits 2005 hatte die Bezirksverordnetenversammlung in dem grün-regierten Bezirk beschlossen, Straßen bis auf Weiteres nur noch nach Frauen zu benennen. Im Jahr 2019 fiel die Wahl der BVV auf Audre Lorde, aber damals war noch nicht klar, welche Straße diesen Namen bekommen soll. Anwohner in Kreuzberg konnten bei einer postalischen Umfrage und einer Onlineveranstaltung am 4. Mai 2021 abstimmen. So wurde dieser Straßenabschnitt gewählt.

    Wie das Bezirksamt Friedrichshain-Kreuzberg der Berliner Zeitung mitteilt, findet der offizielle Festakt zur Umbenennung der Audre-Lorde-Straße am 28. Juni statt. Dafür sei ein vielseitiges Programm geplant, so das Bezirksamt. Doch warum zieht sich die Umbenennung bereits ein halbes Jahr in die Länge? Die Antwort: „Es war ein Verfahrensfehler im Verwaltungsprozess. Die vorab notwendigen Abstimmungen zwischen den beteiligten Stellen innerhalb des Bezirksamtes waren nicht final abgeschlossen.“ Die Pressestelle fügt hinzu, dass das Verfahren für zukünftige Umbenennungen verbessert werde.

    Umbenennung der Manteuffelstraße in Kreuzberg in Audre-Lorde-Straße

    Umbenennung der Manteuffelstraße in Kreuzberg in Audre-Lorde-StraßeMarkus Wächter/Berliner Zeitung

    Vor Ort zeigt sich: Die neuen Schilder sind zwar da, allerdings verwirrt die Anordnung. Einige neue Schilder sind direkt über die alten mit der Aufschrift „Manteuffelstraße“ gehängt, bei anderen hängt das alte Schild an einem Mast und das Neue an einem benachbarten. Durchgestrichen ist keines von beiden – da sind mindestens Irritationen programmiert.

    Ein Bote der Deutschen Post stoppt sein Fahrrad vor einem Hauseingang im südlichen Teil der Manteuffelstraße, die diesen Namen behalten wird. Wie beeinflusst die Umbenennung seinen Arbeitsalltag? „Man gewöhnt sich daran, aber es war am Anfang schon chaotisch“, sagt er, während er die Briefe einwirft. Auf die Frage, wie dieses Chaos aussieht, wird er stutzig. „Eigentlich darf ich dazu nichts sagen.“

    Vor Ort wird ein Grund der Irritation klar: Die Behörden benutzen bei ihren Briefen an die Bürger bereits die neue Adresse, doch die stand noch auf keinem Straßenschild. Manche nutzen auch weiter die alte. Pakete warteten wochenlang in irgendwelchen Paketshops auf Abholung, doch die Empfänger hatte die Nachricht nie erreicht.

    Lina, eine Studentin, läuft auf jenem Teil der Straße entlang, der umbenannt wird. Sie wohnt in einer WG. Die Studentin ist sehr überrascht, dass ein Teil der Straße anders heißen soll. „Muss ich mich dann ummelden?“, fragt sie.

    Anwohner leben unwissentlich in der Audre-Lorde-Straße

    Die Anwohner müssen sich tatsächlich ummelden. Das Bezirksamt teilt mit, dass im Rahmen der Umbenennung auch einige Hausnummern der Audre-Lorde-Straße neu vergeben werden. Darüber sollen die betroffenen Anwohner schriftlich informiert werden. Eine Ummeldung im Bürgeramt ist für sie kostenlos. Lina habe davon nichts mitbekommen. „Vielleicht hat meine Mitbewohnerin die Mitteilung verschlampt.“

    Seit einem halben Jahr wohnt sie damit unwissentlich in der Audre-Lorde-Straße. Seit einer Woche hätte sie es allerdings wissen können, wenn sie auf die Straßenschilder geschaut hätte. Aber so etwas macht man eben nicht ständig.

    Und noch etwas ändert sich: die Namen von Haltestellen. Wie die BVG mitteilt, geht es um zwei davon: Aus der Haltestelle Manteuffelstraße/Köpenicker Straße wird Audre-Lorde-Straße und die Haltestelle Waldemarstraße/Manteuffelstraße wird Waldemarstraße/Audre-Lorde-Straße. Noch hängen die alten Namen.

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Audre_Lorde

    Zwischen 1984 und 1992 hielt sich Lorde öfter in Berlin auf und half maßgeblich bei der Entstehung der afro-deutschen Bewegung mit.[3] Sie hatte zeitweise eine Gastprofessur am John-F.-Kennedy-Institut für Nordamerikastudien der FU Berlin.[4] Diese Berlin-Aufenthalte wurden von der Soziologin Dagmar Schultz im Dokumentarfilm Audre Lorde – The Berlin Years, 1984–1992 festgehalten. Der Film erschien 2012.

    #Straßenumbenennung #Kreuzberg #Manteuffelstraße #Waldemarstraße/Audre-Lorde-Straße

  • Faschismus: »Sie wurden zunächst nicht als Opfer anerkannt«
    https://www.jungewelt.de/artikel/473799.faschismus-sie-wurden-zun%C3%A4chst-nicht-als-opfer-anerkannt.html


    Gezeichnet: Häftlinge im Konzentrationslager Sachsenhausen (19.12.1938)

    22.4.2024 von Barbara Eder - Jahrestage der Befreiung von Konzentrationslagern: Auch an die Verfolgung sogenannter Asozialer wird erinnert. Ein Gespräch mit Helga Amesberger

    Sie forschen seit Jahren zur Verfolgung sogenannter Asozialer zwischen 1933 und 1945. Wie wurde diese Personengruppe definiert?

    »Asoziale« wurden als sogenannte Arier kategorisiert, die aber nicht in das Bild des sogenannten Herrenmenschen passten. Dabei handelte es sich zum einen um Frauen und Männer, die mit Strafgesetzen in Konflikt gerieten; zum anderen um Menschen, denen »Arbeitsscheu« oder ein unsittlicher Lebenswandel unterstellt wurde. Auch alkoholkranke und Drogen gebrauchende Menschen wurden in der Nazizeit als »Asoziale« stigmatisiert. In den Konzentrationslagern mussten sie den schwarzen Winkel tragen.

    Worin besteht das Spezifikum dieser Opfergruppe?

    Eine gesetzlich geregelte Definition, wer als »asozial« einzustufen ist, gab es nicht. Die Behörden agierten auf Basis von Erlässen und Verordnungen; sie konnten daher sehr willkürlich vorgehen. Der wichtigste war der Grunderlass von 1937 zur Vorbeugehaft, der es ermöglichte, Personen ohne vorangegangene Straftat zu inhaftieren. Dazu kamen unterschiedliche fürsorgerechtliche Bestimmungen, welche die Einweisungen sowohl in Arbeitsanstalten als auch in Konzentrationslager ermöglichten. Die Richtlinie zur Umsetzung des Gesetzes zur »Verhütung erbkranken Nachwuchses« war dahingehend ebenso relevant. In Allianz von Fürsorge, Arbeitsämtern und Medizin war die Polizei dazu angehalten, dem sogenannten Asozialen-Problem ein Ende zu machen. Begonnen hat dies bereits mit der Machtübernahme der Nazis, die Übergänge waren fließend. Auch vor 1933 bzw. 1938 gab es staatliche Maßnahmen gegen gesellschaftlich Marginalisierte. Betonen möchte ich, dass vorwiegend die verarmten Bevölkerungsschichten von der Bekämpfung des »Asozialen«-Problems betroffen waren.

    Gab es eigene Lager für diese Menschen?

    Personen, die als »Asoziale« verfolgt wurden, wurden zunächst oft in sogenannte Arbeits- oder Arbeitserziehungslager gebracht. In Österreich befanden sich solche für Frauen etwa am Steinhof in Wien, in Znaim und in Klosterneuburg, in Bayern war es der »Wanderhof« Bischofsried. Die inhaftierten Frauen und Männer mussten für Firmen, in der Landwirtschaft oder im Lager selbst Zwangsarbeit verrichten. »Asoziale« wurden jedoch auch in Konzentrationslager deportiert. Junge Frauen im Alter zwischen 15 und 21 Jahren kamen etwa ins Jugend-KZ Uckermark – im Nazijargon euphemistisch als »Erziehungslager« für Mädchen bezeichnet. Viele von ihnen waren davor in einem »Arbeitserziehungslager«.

    »Asoziale« sind eine Opfergruppe ohne nennenswerte Lobby. Wie verlief der Weg zur Entschädigung nach 1945?

    Nach 1945 haben sich die fürsorgerechtlichen Bestimmungen und der gesellschaftspolitische Blick auf diese Verfolgtengruppe nicht maßgeblich verändert. Diesbezüglich gibt es eine starke Kontinuität, dies spiegelt sich auch in der Anerkennungspolitik: »Asoziale« Menschen wurden nicht als Opfer des Nationalsozialismus anerkannt, außer sie konnten einen Nachweis erbringen, dass sie beispielsweise auch rassistisch oder politisch verfolgt wurden. In Österreich kam es zu einer schrittweisen Anerkennung mit der Gründung des Nationalfonds für die Opfer des Nationalsozialismus im Jahr 1995. Im österreichischen Opferfürsorgegesetz wurden aber erst 2005 entsprechende Novellierungen vorgenommen. Nach einer Initiative von Nachkommen von Überlebenden und Wissenschaftlerinnen und Wissenschaftlern beschloss auch der Deutsche Bundestag im Februar 2020 die Anerkennung von als »Asoziale« oder »Berufsverbrecher« verfolgten Personen. Es dauerte also fünf bzw. acht Jahrzehnte, bis der Unrechtsgehalt der NS-Maßnahmen gegen diese Opfergruppen erstmals hinterfragt wurde. Niemand war zu Recht im KZ – ganz egal, wie das Vorleben einer Person war, ob sie kriminell wurde oder ob sie sich ein anderes Vergehen zuschulden hat kommen lassen. Konzentrationslagerhaft steht immer außerhalb des Rechts und der Gerichtsbarkeit.

    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Helga_Amesberger

    #Allemagne #Autriche #histoire #nazis #camps #asociaux

  • À un ami qui part faire un tour à vélo en Irlande du Nord.
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Nordirland

    Nordirland (englisch Northern Ireland, irisch Tuaisceart Éireann) ist ein Landesteil des Vereinigten Königreichs Großbritannien. Es besteht aus sechs der neun Grafschaften der historischen irischen Provinz Ulster im Nordosten der Insel Irland. Nordirland ist dichter bevölkert und kleiner als die Republik Irland in der Mitte und im Süden der irischen Insel. Es hat einen höheren Industrialisierungsgrad, aber die Republik Irland hat heute (ab etwa dem Jahr 2000) ein höheres Bruttoinlandsprodukt pro Kopf.

    Je te conseille de lire le lien suivant :

    https://en.wikipedia.org/wiki/Louis_Mountbatten,_1st_Earl_Mountbatten_of_Burma#Assassination


    Il existe également une version allemande de l’article biographique, qui ne mentionne toutefois que brièvement l’attentat contre le dernier roi colonial de l’Empire britannique.

    Fun fact : Wikipedia ne mentionne pas que la chanson des Boomtown Rats « I Don’t Like Mondays », sortie en juillet 1979, est devenue en septembre le numéro un des hits en Irlande du Nord, que tous les nationalistes irlandais et les nationalistes d’Ulster ont joyeusement porté sur leurs lèvres.

    Regarder/écouter :
    https://www.youtube.com/watch?v=-Kobdb37Cwc

    L’explication généralement connue de la chanson est la suivante :

    “Brenda Ann Spencer (16) opens fire at a school in San Diego, California, Her justification for the action, “I don’t like Mondays”, inspires the Boomtown Rats to make a song of the same name.”

    https://en.wikipedia.org/wiki/Cleveland_Elementary_School_shooting_(San_Diego)

    Ce qui est intéressant dans cette histoire, c’est que l’action de Brenda Ann Spencer et l’assassinat commis par Thomas McMahon étaient tous deux l’expression d’une rébellion contre des conditions de vie insupportables.
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Thomas_McMahon_(Irish_republican)

    Thomas McMahon
    Born: 1948 (age 75–76) Monaghan, County Monaghan, Ireland
    Allegiance: Provisional Irish Republican Army
    Years of service: 1970–1990
    Rank: Volunteer
    Conflict: The Troubles

    Pour les catholiques d’Irlande du Nord, qui ont souffert des assassinats et du harcèlement britanniques, la chanson est devenue l’expression du lien entre la rébellion individuelle et politique. Tu pouvais mettre ta propre vie, toujours en danger, et la vie de tiers dans la balance de l’oppression et de la libération. Cette logique était aussi incompréhensible pour les punks de Sham 69 qu’elle l’est restée jusqu’à aujourd’hui pour les critiques occidentaux de l’islamisme et des actes de « terrorisme » commis par les colonisés.

    L’histoire de la réception enthousiaste de la chanson des Boomtown Rats en Irlande du Nord m’a été rapportée par une amie qui revenait d’un long séjour dans le pays à la fin de l’automne 1979.

    Commentaire punk anglais de 1978 :
    Sham 69 - Ulster Boy
    https://www.youtube.com/watch?v=2OPgkiw6ZZk

    Parole
    https://genius.com/Sham-69-ulster-lyrics

    “There ain’t no winners (Ulster)
    ...
    No more fun for you ain’t no more
    You’ve ended like the rest and now you’re dead”

    La justice britannique était et reste un produit de son passé impérial et une justice de classe à l’état pur. Cela n’a rien d’étonnant, car la législation de common law est le plus souvent l’affaire de ces juges et de ces membres de la classe que Friedrich Engels avait déjà décrite de manière pertinente. Au niveau parlementaire, la gentry s’assure jusqu’à aujourd’hui de son influence directement au sein de la Chambre des Lords.

    Autant les punks britanniques du Sham 69 ont fait preuve d’incompréhension à l’égard de la résistance irlandaise, autant ils ont défendu avec engagement les victimes de l’impérialisme britannique.

    Sham 69 - George Davis Is Innocent
    https://www.youtube.com/watch?v=sKpA78cXHZc

    Paroles
    https://genius.com/Sham-69-george-davis-is-innocent-lyrics

    “They’re never gonna leave you alone
    They’re never gonna leave you alone
    They know where you bloody live
    East London is your home”

    Et alors aujourd’hui ?

    Gareth Peirce
    https://de.wikipedia.org/wiki/Gareth_Peirce

    „Ihr Engagement im Falle der Guildford Four wurde auch in der Verfilmung des Falls mit dem Titel Im Namen des Vaters zentral thematisiert. Die Filmrolle der Gareth Peirce übernahm Emma Thompson.“

    En 2010, l’avocate Gareth Peirce décrit le mode de domination britannique, depuis son traitement de l’Irlande à la fin du 19e siècle jusqu’à la fin des « Troubles », et sa continuité dans les procès contre ses clients immigrés. On y reconnaît l’attitude des juges de Julian Assange :

    „We have lost our way in this country. We have entered a new dark age of injustice and it is frightening that we are overwhelmed by it. I know I am representing innocent people; innocent people who know that a jury they face will inevitably be predisposed to find them guilty.“

    Un court message illustré que j’ai reçu aujourd’hui du sud du Pakistan (l’ancien Raj britannique gouverné par Lord Mountbatten) m’a rappelé que le vécu des véritables opprimés nous est totalement fermé. Nous ne pouvons le deviner qu’à travers leur expression culturelle.

    La réalité de la vie des chauffeurs de taxi et de voitures de location à Berlin est déjà totalement inimaginable pour les Allemands qui ont des « conditions de travail normales » sécurisées. Le monde des sujets de l’empire colonial britannique nous est encore plus étranger, que ce soit au Pakistan ou en Irlande du Nord.

    Tu percevras des échos des Troubles. Il y aura peut-être aussi d’autres choses à voir. Ce sera certainement un voyage intéressant.

    Amicalement

    #tourisme #Irlande_du_Nord #histoire #Troubles #guerre #impérialisme

  • German colonial genocide in Namibia the #Hornkranz massacre

    Introduction

    On 12 April 1893, German colonial troops attacked the Nama settlement of ||Nâ‡gâs, known today as Hornkranz. Their intent was to destroy the settlement and its people, after its leader, Hendrik Witbooi, refused to sign so-called ‘protection’ treaties—tools of the German colonial administration for controlling sovereign indigenous nations and their lands. As their presence in what they declared in 1885 as ‘German Southwest Africa’ grew, the German regime was increasingly unwilling to tolerate the independence and agency exercised by Hendrik Witbooi and his clan in the face of the encroaching German empire.

    In their attack on Hornkranz, the Germans wanted to both make an example of the Witbooi clan and to punish them for their defiant rejection of German rule. Curt von Francois, who led the attack, made his objective clear: ‘to exterminate the Witbooi tribe’ (Bundesarchiv, R 1001/1483, p. 46). In this premeditated act of erasure, his troops massacred almost eighty women and children before capturing another hundred, burned what remained of the settlement to the ground, and established a garrison, rendering it impossible for survivors to return.

    Though the genocide of the Nama, Ovaherero and other peoples indigenous to what is now modern-day Namibia is widely recognised to have taken place between 1904 and 1908, the Nama people remember this massacre as the true first act in the genocide against them. This is substantiated not only by the clarity of the German objective to destroy the |Khowesin as a people, but also by the retrospective reading of Hornkranz as a clear precedent of the systemic tactics of dispossession and destruction that would be used by the Germans against the Nama, the Ovaherero, the San, and others in the years to come.

    Outside of the descendant communities, the events at Hornkranz have until now been overlooked and underrepresented, as has the cultural significance of the settlement itself within the dominant historiography, broadly based on the German visual and narrative record. The site of the former Witbooi settlement was expropriated and today constitutes a private farm, access to which is possible only with special permission from its owner. The descendants of Hornkranz are rarely able to visit their own cultural heritage sites and commemorate the struggle of their ancestors.

    The faint extant traces of the Witbooi settlement at Hornkranz can be identified today only with the guidance of the descendants and the historians that learned from them. Two plaques on the site are the only indications of the Nama presence on that land. One plaque was inaugurated by the community in 1997, the only occasion on which they were able to gather to commemorate the massacre at the site where it took place. The other plaque (date unknown) glorifies the German troops, even going so far as to include an offensive slur for the Nama; the massacre is described as a ‘battle’, conveying little of the atrocities perpetrated there.

    The descendants of Hornkranz and the wider Nama community continue to struggle for justice and for opportunities to correct the historical record and tell the story of Hornkranz on their own terms. In support of their efforts to resist this erasure, we worked with descendants, who have inherited knowledge of their community’s history through oral transmission over multiple generations, to reconstruct the lost settlement and produce a new body of visual evidence about the massacre and its aftermath. Led by their testimonies, we used modelling and mapping techniques along with our own field research and a very limited archival record to situate their accounts and rematerialize Hornkranz.

    Our reconstruction of the Witbooi settlement at Hornkranz aims to underscore the vitality of oral tradition in the act of reconstituting the colonial archive and testifies to the oral transmission of inherited knowledge as an ongoing act of resistance in itself.
    Background

    The |Khowesin (Witbooi) people, a semi-nomadic subtribe of the wider Nama peoples, settled around the perennial spring at Hornkranz in 1884-1885, the very period during which the Berlin Conference, formalising the fragmentation of Africa into colonies and protectorates, was taking place. The chief of the Witbooi clan, Hendrik Witbooi, later went on to become one of the most prominent figures of anti-colonial resistance in Southwest Africa, uniting all Nama clans and later forming a coalition with the Ovaherero to fight against the German colonial regime.

    Following the establishment of their settlement in Hornkranz, the Witbooi Nama lived relatively undisturbed until 1892, when first attempts to compel Hendrik Witbooi into signing a protection treaty began. Hendrik Witbooi, aware that the true objective of the so-called ‘protection treaties’ was nothing short of subjugation, was the last leader to refuse to comply:

    What are we being protected against? From what danger or difficulty, or suffering can one chief be protected by another? […] I see no truth or sense, in the suggestion that a chief who has surrendered may keep his autonomy and do as he likes.

    The German attempt to secure control over the peoples inhabiting the colony and their land is manifested in their mapping efforts. The first map we found featuring Hornkranz dates to 1892, the same year that the Germans began demanding the Witbooi sign such treaties. Despite Witbooi’s refusal to sign, Hornkranz is labelled in these German maps as ‘proposed Crown Land’ already six months before the attack—the very act of cartographic representation prefiguring the expulsion and massacre to follow less than a year later.

    After the Germans attacked Hornkranz, the Witboois were finally forced to concede and sign one of the protection treaties they had so long been resisting.

    A decade later, in 1904, the Nama joined the Ovaherero in an anti-colonial struggle against German rule. In response, the Germans issued an extermination order against the Ovaherero and later, another against the Nama. Hendrik Witbooi died in battle on 29 October 1905. Following his death, the Nama tribes surrendered. The extermination order against the Nama was never revoked.
    12 April 1893: The Attack and Aftermath

    The German troops approached the settlement in the early hours of 12 April, planning to attack under the cover of night without any warning. They then split into three contingents—a recounting of this strategy is recorded in the diary of Kurd Schwabe, one of the perpetrators of the attack. Von Francois led the attack from the northern side, entering the village first, while Schwabe approached from the east.

    Hendrik Witbooi, who was allegedly sitting outside of his house when he noticed the approaching troops, ordered all Nama fighters to retreat and take up defensive positions along the riverbed, where he expected the ensuing battle to take place. Instead, the German troops stopped when they reached the sleeping village and proceeded to target the defenceless population that had stayed behind. The brutality of the onslaught came as a shock to Hendrik Witbooi, who had not expected the Germans to unleash such ‘uncivilised’ tactics upon another sovereign nation.

    Sixteen thousand rounds of bullets were reportedly discharged by the Germans in the span of just thirty minutes. According to the testimony of descendants and corroborated by Schwabe’s diary, some victims were burned alive in their homes.

    The canisters recovered from the site during our fieldwork in September 2023 indicate where some exchange of fire may have taken place while the Witbooi fighters were retreating. While the found bullets were identified as those used by the Witbooi Nama, their location and distribution also corroborates written descriptions of the massacre unfolding in the inhabited area of the settlement, with stored ammunition exploding from inside the burning houses.

    The massacre yielded 88 victims: ten men, including one of Hendrik Witbooi’s sons, and 78 women and children.

    The following day, the German troops returned to raze what remained of the settlement to the ground. Promptly after, a garrison was established on the ashes of the Witbooi settlement, reinforcing the Germans’ clear intention to claim the land and prevent the Witboois from ever returning.

    Over the next year, the Witbooi Nama made several attempts to return to Hornkranz, resulting in four more skirmishes on the site. Eventually, they were forced to sign a protection treaty in Naukluft in August 1894, which cemented the dispossession of their land.

    The treaty meant that the Witbooi Nama were now obliged to assist the Schutztruppen in their battles against other tribes, most devastatingly at the Battle of Waterberg in August 1904 (see our Phase 1 investigation of this event). Once the Nama realised the true genocidal intent of the Schutztruppen, they united with the Ovaherero against colonial rule. The extermination order against the Nama was issued on 22 April 1905.

    After the genocidal war ended in 1908, Hornkranz was sold off to a private owner and a police station was established on its premises. Today, the police station building is the main farmhouse.

    Nama descendants are seeking to establish the 1893 massacre as the first act of genocide against the Nama, and 12 April as the official Genocide Remembrance Day in Namibia.

    This investigation—part of a larger collaboration between Forensic Architecture, Forensis, Nama Traditional Leaders Association (NTLA) and Ovaherero Traditional Authority (OTA)—seeks to support the community’s broader efforts to make the site accessible for commemoration and preservation.

    Methodology
    What Remains

    Little material evidence of Hornkranz survives today. This is in part due to the scale and totality of destruction by the Germans; but it is also a testament to the Witbooi’s steadfast resistance to being documented by the colonial regime, as well as to the light footprint the Nama exerted on the land through their semi-nomadic inhabitation and subsistence. The archival record about the Witbooi and Hornkranz is also sparse and skewed. Alongside an incomplete and biased colonial description of the massacre and the settlement, the only visual representation of Hornkranz on record is a soldier’s crude sketch showing its houses set alight by the German troops on the night of the massacre. The memory of Hornkranz as it was at the time of the attack lives on instead through the descendant communities who have inherited the testimonies of their forebearers about its material culture, rituals, life and environmental practices; our reconstruction and understanding of Hornkranz is possible only insofar as we are led by their testimonies.

    Around the rectangular patch where Hendrik Witbooi’s house once stood, Maboss Ortman and Lazarus Kairabeb, NTLA advisors, identified stones they said are the ruins of the house. Right next to it is the only stone foundation in the settlement, that of a church still under construction at the time of the German assault. These two traces anchored us spatially when we began the 3D reconstruction. We were told by Zak Dirkse, a Nama historian, that Hendrik Witbooi’s house was located higher up in the settlement, with the other houses further down toward the river.

    The other remains and known landmarks of the original Hornkranz settlement help us to navigate it and determine its approximate boundaries. During our visit to the site, the farm owner pointed us to a long strip of clustered stones he explained were the remains of the settlement’s defensive walls, some 300 metres north-west of the church ruins. To the south, by the river, the settlement’s former cemetery is marked by the spread of small rectangular cut stones marking each grave. Further along the river, Maboss and Lazarus showed us the remains of two defensive ramparts, guard outposts downhill from the settlement on its outer edges. They recounted that these ramparts were identifiable to the Witbooi from a distance by a white cornerstone that stands out among the brown stones the rest of the rampart is made of. The ramparts are placed along the hill leading down to the river and would have had a wide lookout view. A few steps to the west of one of the ramparts, we found what brought the Witbooi to this area, a rare perennial spring, which acted not only as a fresh water source for the village, but as a lifeline to the fauna and flora on which the Witbooi relied to survive. Since the early 20th century, this spring has been surrounded to its north by a concrete dam. By establishing this constellation of remains and landmarks, we were able to clarify the approximate outer edges of the settlement.

    Reconstruction

    To reconstruct the Hornkranz settlement, departing from the few architectural landmarks at our disposal, we replicated the architecture of each house and the elements of family life around it, estimated the area of inhabitation within the settlement, and constructed possible layouts of house distribution within the settlement. This reconstruction was led by the close guidance of descendants of the Witbooi we met with in Gibeon, the expertise of Nama historian Zak Dirkse, and the feedback of the Witbooi Royal House council, the representative body of the Witbooi Nama. Our model represents the most comprehensive visual reconstruction of the Witbooi settlement to date.

    Architecture of the Settlement

    Houses in Hornkranz consisted mostly of round domed huts, between four and five metres in diameter, and constructed with cladding made out of reed mat or a mix of animal dung and clay. Zak explained that these huts would have been constructed on a light foundation made up of the same dung and clay mixture spread on the ground. A central pole would act as the main structural pillar on which the reed mats would rest. According to members of the Witbooi descendants, alongside these huts there would have been other houses built of stone, like that of Hendrik Witbooi. Descendants also explained that houses typically had two entrances opposite one another and positioned on an east-west axis with the main entrance facing east.

    Working with the community descendants and Zak, we used 3D modelling software to reconstruct what a typical family home would have looked like. We were told that outside the houses, many families would have had a round kraal lined with a light wooden fence where they kept smaller livestock. Close to the main entrance, they would also have had a fireplace and a simple wooden rack to hang and dry meat. The main kraal of the settlement was near the chief’s house, where a separate storage hut also stood.

    The light environmental trace of the Nama, the German colonial army’s obliteration of the settlement, the failure of subsequent administrations to engage in preservation efforts, and the conversion of the land into a private farm all make it difficult to locate definitive traces of the layout and location of homes based on what little remains at the modern-day site. Nevertheless, by closely reading the texture of the ground, we found possible traces of cleared, round areas surrounded by larger rocks, and noted areas of sparse vegetation growth, a potential indicator of the impact of the huts’ clay-dung foundations. We marked five possible sites where Witbooi homes might have stood.

    Zak explained that a defensive wall would have flanked the settlement along its more vulnerable northern and eastern fronts. We studied the contours of the landscape to estimate, based on the presence of limited remains, how the wall might have cut through the landscape. We estimate that the eastern wall may have been constructed along the peak of the hill to the settlement’s east, given its optical reach and defensive position.

    Area of Inhabitation

    To estimate the area of inhabitation and the settlement’s population, we studied the remaining ruins of the settlement, the terrain of the landscape, and the land’s geological features.

    Houses, we were told, would have been built on flatter ground. We used a 12.5 metre resolution digital elevation model (DEM) to build the terrain in our 3D model and further analysed it in geographic information system (GIS) software. From the DEM, we extracted the contour lines of the landscape and conducted a slope analysis, which calculates the percentage of slope change in the settlement. Analysis of the contours and the areas of low slope help to define the curvature of the settlement’s inhabitation.
    Contour Analysis - 1 metre contours of the site of Hornkranz derived from a digital elevation model (DEM). (Forensic Architecture/Forensis)

    We then traced and excluded uninhabitable geological features from the area of potential inhabitation, including bodies of water and large embedded rock formations. Together, the land’s features, its topography, and our estimated location of the defensive wall help establish where people may have lived.

    Layout of Hornkranz

    Building on the traces of potential houses we previously identified within the landscape and the descendant’s description of the settlement, we were able to algorithmically model potential layouts of the settlement. We used the 3D procedural modelling software application Houdini to design an algorithm that would generate possible layouts of the settlement according to a set of rules, including our defined area of potential inhabitation and the approximate space each household would need for its family life (which we approximate to be a radius of 10 metres). The rules fed to the algorithm were that the houses had to be at least 20 metres apart, each house was approximately 5 metres in size, and there were sixty houses in total with a deviation of +/- ten houses.

    According to the Hornkranz descendants, there would have been around four to six people per household. With an average of five people per household, we estimate the population to be around 300 people per household.
    Number of inhabitants

    The exact population size of Hornkranz at the time of the attack is not known. Sources provide estimates ranging from 250 up to nearly one thousand inhabitants.

    In addition to the members of the |Khowesin Nama clan, Hendrik Witbooi also gathered followers from other clans at Hornkranz, including the ǀAixaǀaen (Afrikaner Oorlams), ǁKhauǀgoan (Swartbooi Nama), Khaiǁkhaun (Red Nation Nama) and ǂAonin (Topnaar Nama). Indeed, the various Nama subtribes were elastic social entities.

    We estimated the 1893 population of Hornkranz by referencing the reported number of individuals killed and captured. Hendrik Witbooi wrote in his diary that 88 people were killed by the Germans that day, 78 of them women and children and ten of them men, with one hundred women and children captured by German colonial forces. Other sources indicate a similar number of casualties: 85 women and children, and ten men (Missonary Olpp, cited in Steinmetz 2009). Descendant narratives also mention the successful escape of some women and children during the German assault. Assuming that before the attack, women and children totalled at least 178 (according to Hendrik Witbooi’s figures), and that women and children made up around three out of five family members in an average household, we estimate there could have been around sixty households and three hundred people in Hornkranz on the dawn of the German attack.

    https://forensic-architecture.org/investigation/restituting-evidence-genocide-and-reparations-in-german-colon

    #Allemagne #colonialisme #massacre #génocide #Namibie #architecture_forensique #histoire #histoire_coloniale #témoignage #Nama #Hendrik_Witbooi #Witbooi #Curt_von_Francois #Ovaherero #San

    ping @reka

  • Free Palestina (2010)
    https://www.youtube.com/watch?v=l0CD_TBoqgQ

    Haftbefehl (Rapper)
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Haftbefehl_(Rapper)

    deutscher Rapper mit kurdischen-zazaischen Wurzeln

    ...

    Free Palestina, Haftbefehl

    Ein rauer Wind weht, es wird dunkel und kalt
    Er genießt nochmal die Stille, bevor es knallt
    Er steht im Regen, Kugeln fliegen vorbei
    Die Steine in der Faust, gleich ist es vorbei
    Er wird getroffen, während er ein’ Stein schmeißt
    Seine letzten Worte schreit er laut: Freiheit

    Wir schreiben das Jahr 2010, Asien der Kontinent
    Palestin der Tatort, hör wie die Bombe fällt
    Von wegen Mensch ist Mensch
    Juden führen ein Krieg gegen Moslems
    Doch umgekehrt auch Bro, alles dreht sich um Geld
    Ihr denkt nur ans Abkassieren und an die Premien
    Alle Presidenten dieser Welt,
    Treffen sich auf ein Kaffee und ne’ Lime in Bolivien.
    Alles Lügen in den Medien
    Anstatt euch drum zu kümmern, fahrt ihr lieber in die Ferien.
    Während es in Gaza brennt
    Und die Mutter ihr totes Kind in ihren Armen hält
    Angela Merkel, Toni Blair, Sarkozy
    Shimon Peres, Obama - Ich sag Stop den Krieg.
    Kannst du mich hören Israel. Mensch ist Mensch
    Egal ob Isaak, ob Ismail.

    Ich sag Free Palestin
    Stoppt den Krieg, Boykott Israel
    Ich sag Free Palestin
    Stoppt den Krieg, Boykott Israel

    Ich sag Free Palestin
    Stoppt den Krieg, Boykott Israel
    Ich sag Free Palestin
    Stoppt den Krieg, Boykott Israel

    2010 - Ich kann es nicht mehr sehn, kann es nicht mehr hörn’ und kann es nicht verstehn
    Abgefuckte Menschen drehen am Schicksalsrad
    Spielen Gottheit man, für mich viel zu hart
    Ich bin ein Patzifist, ein Strassenchronist
    Der den Frieden hegt und pflegt ohne List
    Es ist Trist ohne den Frieden am Kriegshimmel
    Hör wie Frauen und Kinder in El Gaza wimmen
    Sieh die Farbe des Schicksals in meinem Augen schimmern
    Steine gegen Panzer, er will sein Feind bezwingen
    Sein Leid durchdringen und sein Weg bestimmen,
    Um seine Heimat dringen und von Freiheit singen
    Stacheldraht Klima, Bomben und Hass giraden
    Menschen töten Menschen Bro, in Gottesnamen
    Das ist die traurige Seele im Nahosten
    Wie viel Blut wird der Frieden noch kosten?

    Ich sag Free Palestin
    Stoppt den Krieg, Boykott Israel
    Ich sag Free Palestin
    Stoppt den Krieg, Boykott Israel

    Ich sag Free Palestin
    Stoppt den Krieg, Boykott Israel
    Ich sag Free Palestin
    Stoppt den Krieg, Boykott Israel

    (Ich stehe zu Israel!)

    Written by: Chaker Cherif, Aykut Anhan, Abaz
    Album: Azzlack Stereotyp
    Released: 2010

    #musique #Allemagne #Israël

  • Hitlers Spionin
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9phanie_zu_Hohenlohe-Waldenburg-Schillingsf%C3%BCrst

    Cette carrierriste de génie fait partie des quelques personnes d’origine juive déclarées #Ehrenarier par le #Führer Adolf Hitler. Elle a été naturalisée aux États Unis en 1940. Après la guerre elle a été une collaboratrice importante du « tzar » de la presse allemande Axel Springer.

    Elle est morte à 80 ans en suivant les conseils de ses médecins.

    Stéphanie Maria Veronika Juliana Prinzessin zu Hohenlohe-Waldenburg-Schillingsfürst geb. Richter, auch „Hitlers Spionin“ genannt (* 16. September 1891 in Wien; † 13. Juni 1972 in Genf), war eine Spionin im Dienste des nationalsozialistischen Deutschlands mit ungarischer Staatsangehörigkeit.

    Leben

    Stéphanie Richter wurde als Tochter des Rechtsanwalts Johann Sebastian Richter und seiner Frau Ludmilla Kuranda in Wien geboren. Ihr leiblicher Vater war aber vermutlich der aus Preßburg stammende jüdische Kaufmann Max Wiener, der spätere Vater von Gina Kaus.[1] Sie erhielt ihren Vornamen als Hommage an die österreichische Kronprinzessin Stephanie; ihre fünf Jahre ältere Schwester hieß Ludmilla (genannt Milla).

    Stéphanie wuchs behütet und gutbürgerlich auf. Sie wurde in den Fertigkeiten unterrichtet, die damals für „Höhere Töchter“ obligatorisch waren, wie Fremdsprachen, Klavierspielen, Handarbeiten und Tanzen, vervollkommnete ihr Klavierspiel am Wiener Konservatorium, wurde für mehrere Monate auf ein College nach Eastbourne geschickt, um sich in englischer Konversation zu üben, spielte Tennis, schwamm, segelte, jagte, radelte und ruderte. Insbesondere war sie eine begabte Schlittschuhläuferin und lernte viele ihrer Freunde im Wiener Eislauf-Verein kennen. 1904 gewann sie mit 14 Jahren in Gmunden einen Schönheitswettbewerb und bekam daraufhin erste Heiratsanträge. Die ehrgeizige Stéphanie versuchte, Anschluss an die Wiener Oberschicht zu finden. Unter anderem ging sie mit dem Ehemann der Kaisertochter Marie Valerie, Erzherzog Franz Salvator von Österreich-Toskana, eine Beziehung ein.

    Im Mai 1914 heiratete Stéphanie den Prinzen Friedrich Franz zu Hohenlohe-Waldenburg-Schillingsfürst, obwohl sie zu der Zeit bereits von Franz Salvator schwanger war. Vermutlich wusste sie unmittelbar vor der Eheschließung davon und ging wohl die Ehe ein, um dies zu vertuschen. Stéphanies Sohn Franz Josef zu Hohenlohe-Schillingsfürst wurde am 5. Dezember 1914 in Wien geboren. Nach dem Ende der österreichisch-ungarischen Monarchie wurden Stéphanie und Friedrich Franz zu Hohenlohe ungarische Staatsbürger. Nach ihrer Scheidung 1920 knüpfte sie geheime diplomatische Missionen, z. B. in Großbritannien im Auftrag des damaligen Reichsverwesers von Ungarn, Miklós Horthy. In dieser Funktion überzeugte sie 1927 Lord Rothermere, sich für die Interessen Ungarns einzusetzen, während sie in dessen Auftrag Kontakte zur NS-Führung in Deutschland knüpfte.[5]

    Es gelang ihr, mit einflussreichen Nationalsozialisten wie Joseph Goebbels und dem persönlichen Adjutanten Adolf Hitlers, Fritz Wiedemann, in Verbindung zu kommen. Auf Anordnung Hitlers wurde sie 1937 neben Wiedemann auf die Gästeliste zum Botschaftsfest in London anlässlich der Krönung Georgs VI. gesetzt, obwohl ihr der deutsche Botschafter Joachim von Ribbentrop Hausverbot erteilt hatte.[6] Ungeachtet ihrer jüdischen Herkunft gelang es ihr, in Hitlers Nähe zu kommen, der sie seine „liebe Prinzessin“ nannte. Am 10. Juni 1938 steckte er ihr das Goldene Ehrenzeichen der NSDAP an, was in Hitlers Umgebung helle Empörung auslöste. Anscheinend war er mit ihr sogar per Du. Sie gehörte damit zu der kleinen Gruppe sogenannter „Ehrenarier“. Stéphanie zu Hohenlohe nutzte für Hitler ihre internationalen Beziehungen, vor allem zu hochrangigen Nazi-Sympathisanten in England, wo sie Ehrenmitglied der Anglo-German Fellowship wurde.[8] In Anerkennung ihrer Vermittlerdienste zu Lord Halifax wurde ihr 1938 von Hitler und Hermann Göring das Schloss Leopoldskron in Salzburg als Residenz zur Verfügung gestellt, wo sie einen „politischen Salon“ errichten wollte. Im September 1939 berichtet der französische Journalist Roland Lennad über ihre Spionageaktivitäten in Vittel im Jahr 1938 und ordnet diese konzertierten Maßnahmen der Auslandspropaganda des Auswärtigen Amtes zu.

    Stéphanie zu Hohenlohe ging 1940 in die Vereinigten Staaten, vorgeblich, um ihrem Geliebten Fritz Wiedemann zu folgen, der Anfang 1939 Generalkonsul in San Francisco geworden war. Dort knüpfte sie umgehend Kontakt zu einflussreichen Persönlichkeiten und erlangte die Staatsbürgerschaft der Vereinigten Staaten, wurde aber 1941 kurzzeitig interniert. Dank ihrer Freundschaft mit dem damaligen Leiter der Einwanderungsbehörde, Major Lemuel B. Schofield, kam sie schnell wieder frei, wurde jedoch nach dem Angriff auf Pearl Harbor erneut inhaftiert und erst am 9. Mai 1945 entlassen. In der Nachkriegszeit lebte sie mit Schofield zusammen und konnte ihre Kontakte zu politischen Kreisen erneuern und ausbauen. Sie lernte nicht nur Präsident Harry S. Truman kennen, sondern auch dessen Nachfolger John F. Kennedy und Lyndon B. Johnson. Gemeinsam mit dem amerikanischen Journalisten Drew Pearson arrangierte sie für Journalisten der Illustrierten Quick und Stern Interviewtermine mit amerikanischen Präsidenten. Später begann sie eine lukrative Zusammenarbeit mit Axel Springer.

    Stéphanie zu Hohenlohe wohnte zuletzt in der rue Alfred-Vincent in Genf, unweit des Hotels Beau-Rivage und litt zunehmend an der Paget-Krankheit. Am 12. Juni 1972 begab sie sich wegen starker Bauchschmerzen in die Privatklinik »La Colline«, wo sie wegen eines Magengeschwürs, das durchzubrechen drohte, operiert wurde. Sie starb tags darauf an den Folgen des Eingriffs und wurde am 16. Juni 1972 auf dem Dorffriedhof von Meinier beigesetzt.

    Literatur

    Rudolf Stoiber und Boris Celovsky: Stephanie von Hohenlohe. Sie liebte die Mächtigen der Welt. Herbig, München und Berlin 1988, ISBN 978-3-7766-1522-7
    Franz zu Hohenlohe: Stephanie. Das Leben meiner Mutter. Aus dem Englischen von Maria-Concetta Hübner. Amalthea, München und Wien 1991, ISBN 978-3-85002-293-4
    Martha Schad: Hitlers Spionin. Das Leben der Stephanie von Hohenlohe. Heyne, München 2002, ISBN 978-3-453-21165-0; als Taschenbuch: Hitlers geheime Diplomatin, München 2004, ISBN 978-3-453-87299-8
    dies.: Stephanie von Hohenlohe. Hitlers jüdische Spionin. Herbig München 2012, ISBN 978-3-7766-2682-7
    Karina Urbach: Go-Betweens for Hitler (dt.: Hitlers heimliche Helfer: Der Adel im Dienst der Macht, 2016. ISBN 978-3-8062-3383-4)

    #nazis #espionnage #histoire #USA #noblesse

  • Berliner Gebietsreform 1938
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Verwaltungsgeschichte_Berlins


    Grenzänderungen der Berliner Bezirke zum 1. April 1938

    Aus heutiger Sicht zeigt die Karte einen Bezirk zuviel, dafür fehlen ein bzw. zwei neue im Osten der Stadt.

    Mit Wirkung zum 1. April 1938 wurden zahlreiche Begradigungen der Bezirksgrenzen sowie einige größere Gebietsänderungen vorgenommen. Dabei kamen unter anderem

    – die Siedlung #Eichkamp vom Bezirk Wilmersdorf zum Bezirk #Charlottenburg
    – der westliche Teil von #Ruhleben vom Bezirk Charlottenburg zum Bezirk #Spandau
    - der nördlich des #Berlin-Spandauer_Schifffahrtskanal s gelegene Teil der #Jungfernheide vom Bezirk Charlottenburg zu den Bezirken #Reinickendorf und #Wedding
    - #Martinikenfelde vom Bezirk Charlottenburg zum Bezirk #Tiergarten
    – das Gebiet um den #Wittenbergplatz und den #Nollendorfplatz vom Bezirk Charlottenburg zum Bezirk #Schöneberg
    – das Gebiet südlich der #Kurfürstenstraße vom Bezirk #Tiergarten zum Bezirk Schöneberg
    – ein großer Teil des #Grunewald s vom Bezirk #Wilmersdorf zum Bezirk #Zehlendorf
    – ein Teil von #Dahlem vom Bezirk Zehlendorf zum Bezirk Wilmersdorf
    - der östliche Rand des Bezirks Zehlendorf (in Dahlem nur ein schmaler Streifen, sich in Richtung Süden verbreiternd bis hin zu einem größeren Gebiet im Südosten) zum Bezirk #Steglitz
    - #Späthsfelde vom Bezirk #Neukölln zum Bezirk #Treptow
    – Bohnsdorf vom Bezirk Köpenick zum Bezirk Treptow
    #Oberschöneweide und die #Wuhlheide vom Bezirk #Treptow zum Bezirk #Köpenick
    - die westlich der #Ringbahn gelegenen Gebiete von #Boxhagen-Rummelsburg und #Friedrichsberg vom Bezirk #Lichtenberg zum Bezirk #Friedrichshain, damals #Horst-Wessel-Stadt.
    - #Wilhelmsruh vom Bezirk #Reinickendorf zum Bezirk #Pankow
    - das Gebiet um die #Wollankstraße westlich der Berliner #Nordbahn vom Bezirk Pankow zum Bezirk #Wedding.

    Bereits in den Jahren 1928 und 1937 war es zu Verschiebungen zwischen Schöneberg und Tempelhof gekommen.

    Unmittelbar nach Ende des Zweiten Weltkriegs machte die sowjetische Militärverwaltung aus heute unbekannten Gründen #Friedenau zwischen dem 29. April und dem 30. Juni 1945 zum 21. Bezirk mit Willy Pölchen (KPD) als Bezirksbürgermeister; danach wurde Friedenau wieder wie vorher ein Ortsteil von Schöneberg. Entsprechend bestand in der Zeit das #Amtsgericht_Friedenau.

    #Berlin #Geschichte #Verwaltung #Bezirke #Nazis

  • A vendre
    https://www.kleinanzeigen.de/s-anzeige/alte-strassenbahn/2703736974-234-3545
    Tramway de 1969

    Regelspurfahrzeuge - Gotha-Triebwagen T57
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Stra%C3%9Fenbahn_Chemnitz#Gotha-Triebwagen_T57

    Den Grundbestand regelspuriger Fahrzeuge für das neue Straßenbahnsystem sollten Zweirichtungstriebwagen des VEB Waggonbau Gotha bilden. Die ersten Fahrzeuge trafen 1959 in Karl-Marx-Stadt ein und wurden bis 1964 durch Einrichtungswagen ergänzt. Somit standen Mitte der 1960er Jahre 36 Trieb- und 55 Beiwagen zur Verfügung. Sie standen bis 1967 im Dienst der Verkehrsbetriebe Karl-Marx-Stadt und wurden anschließend an andere Straßenbahnbetriebe in der DDR abgegeben.

    Gothaer Waggonfabrik - Thüringer Flug- und Fahrzeugbauunternehmen
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Gothaer_Waggonfabrik

    1894 begann Bothmann mit dem Straßenbahnwagenbau und lieferte 1904 die ersten drei elektrischen Straßenbahnen für die Stadt Gotha.

    Gothawagen T57
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Gothawagen_T57

    Einheitsstraßenbahnwagen
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Einheitsstra%C3%9Fenbahnwagen

    in Deutschland 1938/39 projektierte, nach einheitlichen Kriterien zu fertigende Straßenbahntrieb- und -beiwagen


    Bw 1626 der Berliner Verkehrsbetriebe (West) hinter einem Verbandstrieb- und -beiwagen an der Rudower Spinne (1963)

    #tramway #Berlin #DDR #nostalgie

  • Gisela May und Manfred Wekwerth
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Mutter_Courage_und_ihre_Kinder

    XXII.Berliner Festtage

    Letzte Regiehinweise gibt der Intendant des Berliner Ensembles, Manfred Wekwerth (r.), der Titeldarstellerin Gisela May in der Neuinzenierung von Bertolt Brechts „Mutter Courage und ihre Kinder“. Das Theater am Schiffbauerdamm bringt dieses Schauspiel am 3. Oktober 1978 als Beitrag zu den XXII. Berliner Festtagen heraus.

    Abgebildete Personen:

    May, Gisela: Schauspielerin, Sängerin, DDR (GND 118579487)
    Wekwerth, Manfred Prof. Dr.: Präsident der Akademie der Künste (AdK), Intendant des Berliner Ensembles, Zentralkomitee (ZK) der SED, DDR

    – Episches Theater
    https://de.wikipedia.org/wiki/Episches_Theater
    – Kunstwerke in der „Ästhetik des Widerstands“
    https://de.wikipedia.org/wiki/Kunstwerke_in_der_%E2%80%9E%C3%84sthetik_des_Widerstands%E2%80%9C
    – Mutter Courage und ihre Kinder
    https://de.wikipedia.org/wiki/Mutter_Courage_und_ihre_Kinder

    – Gisela May
    https://de.wikipedia.org/wiki/Gisela_May
    – Manfred Wekwerth
    https://de.wikipedia.org/wiki/Manfred_Wekwerth
    – Bertolt Brecht
    https://de.wikipedia.org/wiki/Bertolt_Brecht

    – Brecht-Weigel-Museum
    https://www.adk.de/de/archiv/gedenkstaetten/gedenkstaetten-brecht-weigel.htm
    Chausseestraße 125, 10115 Berlin, +49(0)30-20057-18 44, brechtweigelmuseum@adk.de

    – Brecht-Weigel-Haus
    https://de.wikipedia.org/wiki/Brecht-Weigel-Haus
    Bertolt-Brecht-Straße 30, 15377 Buckow, Tel. 033433 / 467

    #Berlin #Mitte #Schiffbauer_Damm #Chausséestraße #théâtre #DDR #Stadtrundfahrt #Buckow

  • Berlin : »Alte Münze« in privater Hand
    https://www.nd-aktuell.de/artikel/1180651.kulturpolitik-berlin-alte-muenze-in-privater-hand.html

    Les dépense de guerre et pour l’armement obligent la ville de Berlin à enterrer des projets culturels. Il n’y aura pas de "House of Jazz" dans l’ancien hôtel de la Monnaie .

    12.2.2024 von David Rojas Kienzle - Der Kulturstandort in Mitte wird in Zukunft vollständig von den privaten »Spreewerkstätten« betrieben

    In der »Alten Münze« ist Normalbetrieb. Rauch von einem Grill vernebelt den Hof, es gibt ein Fotoshooting von tanzenden Menschen und im Café sitzen Leute, schlürfen Kaffee und unterhalten sich. Ganz so normal ist dieser Montag aber nicht, denn im ersten Stock tagt der Ausschuss für Kultur, Engagement und Demokratieförderung des Abgeordnetenhauses. Thema ist der Ort des Geschehens selbst: die ehemalige Münzprägeanstalt am Molkenmarkt in Mitte, heute ein Kulturort. Im Jahr 2012 sollte das landeseigene Gelände wie damals üblich an den meistbietenden Investor verhökert werden, was vom damaligen Senator Ulrich Nußbaum (parteilos) gestoppt wurde. Deswegen ist die »Alte Münze« immer noch in Landeshand.

    Der Stoff birgt Konfliktpotenzial. In den vergangenen Monaten war Stück für Stück bekannt geworden, dass der Senat bisher gefasste Pläne für das Gelände mit knapp 18 000 Quadratmetern Nutzfläche über den Haufen wirft. Zuletzt sollte auf dem Gelände ein »House of Jazz« entstehen.

    Doch daraus wird nichts. Ende Februar teilte der Senat auf Anfrage der Abgeordneten Daniela Billig (Grüne) mit, die Idee des »House of Jazz« an dem Ort nicht weiterzuverfolgen. Stattdessen bekommen die Spreewerkstätten, ein Unternehmen, das seit Jahren einen Teil des Geländes nutzt, einen langfristigen Mietvertrag für das ganze Gelände. Jazz ist vom Tisch. Damit wird das bisher genutzte Beteiligungsverfahren mit verschiedensten Akteuren beerdigt.

    Wie so oft wird die Entscheidung mit mangelndem Geld begründet. Man dürfe sich hinsichtlich der Haushaltslage nichts vormachen, erklärte Kultursenator Joe Chialo (CDU) im Ausschuss. »Wir müssen 2024 und 2025 einen dreistelligen Millionenbetrag auflösen«, sagte er. Nichtsdestotrotz wird das Land erheblich in die »Alte Münze« investieren. Wie der RBB am Montag berichtete, werden Landesmittel in Höhe von 46 Millionen Euro aus dem »Sondervermögen wachsende Stadt« für die Sanierung des Standorts fließen.

    Daniel Wesener, kulturpolitischer Sprecher der Grünen-Fraktion kritisiert das: »Wenn man diese Immobilie langfristig erhalten und entwickeln will, wird dieses öffentliche Geld fließen. Es kommt dann aber nicht mehr der freien Kunst- und Kulturszene zugute, sondern einem Privaten. Das finde ich bemerkenswert.« Gleichzeitig drohen mit der Entscheidung gegen das »House of Jazz« auch 13 Millionen Euro Fördermittel des Bundes für dieses Projekt verloren zu gehen. »Ich fürchte, diese Mittel sind weg. Und ich denke, das ist ein Drama für die Jazzszene«, so Wesener weiter. Der Kultursenator widersprach: Die Mittel seien nicht weg und es gebe Gespräche mit Kolleg*innen aus dem Bundestag dazu.

    Das Vorgehen des Senats stößt Martin Schwegemann von der Initiative »Stadt neu denken« als im Ausschuss angehörten Experten auf: »Hier in der ›Alten Münze‹, einem zentralen Kulturort der Stadt mit enormer potenzieller Strahlkraft, der laut Senatsbeschluss 2018 für die freie Kunst- und Kulturszene vorgesehen war, sehen wir uns an einem Punkt, wo langjährige Prozesse abgebrochen werden.« Bisher war das Gelände in einem Mischkonzept genutzt worden. Niedrige Ateliermieten wurden über höhere Mieten für Akteure aus der Kreativwirtschaft querfinanziert.

    Die AG Alte Münze der Koalition der Freien Szene Berlin fürchtet, dass sich das Gelände mit der vollständigen Vermietung an die Spreewerkstätten in eine falsche Richtung entwickelt. Chris Benedict, die für das Bündnis im Ausschuss sprach, meinte: »Die Verbände und Akteure der Kulturszene sehen hier nun die eklatante Gefahr, dass die ›Alte Münze‹ als zentraler Ankerort im Herzen der Stadt verloren geht und sich weiter in Richtung einer Party- und Eventlocation eines profitorientierten Firmengeflechts entwickelt.« In den vergangenen Jahren der Zwischennutzung sei das Gelände teilweise kulturell bespielt worden, es könne jedoch keine Rede von einem Ort für die freie Szene sein. Denn alle Nutzungsvereinbarungen, Mietpreisee und Raumvergaben lägen in der Verantwortung der Betreiber-GmbH und ihres Geschäftsführers, so Benedict weiter. Deswegen fordert das Bündnis ein Moratorium für die Vergabe des Areals und einen transparenten Prozess für sie.

    Felix Richter, der Geschäftsführer der Spreewerkstätten, sieht das anders. »Es wird so getan, als würde die freie Szene dort nicht mehr vorkommen. Aber das ist falsch«, meint er im Gespräch mit »nd«. Man wolle sicherstellen, dass die kostengünstige Nutzung für Künstler*innen auch weiterhin möglich sei. Das wollten die Spreewerkstätten durch die kostendeckende Nutzung erreichen. »Dadurch können wir die freie Szene und Künstler*innen subventionieren«, so Richter weiter.

    Letztlich geht es in der ›Alten Münze‹ um eine grundsätzliche Frage: Wie weit geht die staatliche Verantwortung für Kunstförderung? CDU-Politiker Christian Goiny, verantwortlich für Finanz- und Medienpolitik sowie Clubkultur, ist ganz klar dafür, das Areal an die Spreewerkstätten zu vermieten. Um das hohe Niveau der Kunst und Kultur Berlins zu halten, müsse es eine größere »Resilienz und Eigenwirtschaftlichkeit« auch in der Kulturszene geben. Grünen-Politiker Wesener hingegen meint zwar, dass das Geschäftsmodell der Spreewerkstätten, günstig Flächen anzumieten und zu Marktpreisen zu vermieten, völlig in Ordnung sei. »Aber damit kriegen wir keine Kunstförderung hin.«

    Alte Münze Berlin
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Alte_M%C3%BCnze_(Berlin)

    #Berlin #Mitte #Mühlendamm #économie #guerre #culture #jazz