Homo sapiens, espèce humaine
▻https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Homo_sapiens
Parfois la science est belle car elle arrive à créer de bonnes définitions utiles pour notre compréhension du monde.
Là c’est l’idée de l’humanité et de ses individus appellés "les hommes" qui nous situe face à notre destin commun. On ne pourra que difficilement nier le fait que tous les hommes sont nés égaux et que nous partageons tous et toutes le même destin en tant qu’espèce. La simplicité de ce fait nous permet de surmonter tous les obstacles idéologiques même celles que beaucoup beaucoup entre nous ressentent comme naturels ou essentiels. Les différences entre les sexes, les nationalités et cultures particulières ne devraient pas nous empêcher de nous réunir dans la lutte pour la réalisation de notre indentité unique d’homme. Au fond nous n’en avons pas d’autre.
En tant que hommes nous faisons tous partie de l’humanité qui dépasse toutes nos différences et nous permet d’accéder à la prospérité et au bonheur pour chaque membre de notre espèce. C’est la conséquence irréfutable du fait d’être homme. Je trouve ça beau.
Homme moderne, homme, humain, être humain
Classification
Règne : Animalia
Embranchement :Chordata
Classe : Mammalia
Ordre : Primates
Sous-ordre : Haplorrhini
Infra-ordre : Simiiformes
Micro-ordre : Catarrhini
Super-famille : Hominoidea
Famille : Hominidae
Sous-famille : Homininae
Tribu : Hominini
Sous-tribu : Hominina
Genre : Homo
Espèce : Homo sapiens (Carl von Linné, 1758)
Homo sapiens, plus communément appelé « homme moderne », « homme », « humain », ou « être humain », est une espèce de primates originaire d’Afrique qui s’est aujourd’hui répandue et naturalisée sur l’ensemble de la planète hormis l’Antarctique. Il appartient à la famille des hominidés et est le seul représentant actuel du genre Homo, les autres espèces étant éteintes. Les plus anciens fossiles connus de cette espèce, découverts au Maroc, sur le site de Djebel Irhoud, sont datés d’environ 300 000 ans.
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Le mot français « Homme » est une évolution du latin hominem, accusatif de homo (être humain), et peut faire référence à l’espèce Homo sapiens dans son ensemble (le nominatif homo a donné en français le pronom indéfini on). Sapiens est un adjectif latin signifiant « intelligent, sage, raisonnable, prudent », adjectif issu du participe présent du verbe sapere signifiant « avoir du goût, de la saveur, du jugement ».
Homo sapiens est aussi appelé « Homme », « Homme moderne », « humain » ou encore « être humain ». Le mot « homme » désigne aussi le mâle adulte, plus prosaïquement qualifié d’individu de genre masculin. Le terme « femme » pour sa part désigne la femelle adulte. Les termes « garçon » et « fille » désignent respectivement le mâle et la femelle à leur stade infantile, et le terme « adolescent(e) » les désigne à leur stade pubère. « Père », « mère », « fils » et « fille » renvoient indifféremment à l’individu jeune ou adulte lorsque l’accent est mis sur la parentalité ou la filiation.
On emploie aussi le terme « humanité », au singulier, pour désigner l’espèce humaine dans son ensemble.
Dans le dernier quart du XXe siècle, l’espèce Homo sapiens a parfois été subdivisée en deux sous-espèces, l’Homme moderne dit Homo sapiens sapiens et l’Homme de Néandertal dit Homo sapiens neanderthalensis. Le consensus actuel classe à nouveau les deux groupes humains dans deux espèces séparées, l’Homme de Néandertal étant désormais dit Homo neanderthalensis, ce qui rend inutile le recours à une dénomination trinominale pour Homo sapiens. Si, à l’avenir, une véritable sous-espèce d’Homo sapiens est découverte, l’Homme moderne pourra retrouver une dénomination trinominale (avec ou non sapiens comme troisième terme).
Beethoven, Symphonie Nummer 9, Berliner Philharmonisches Orchester unter Herbert von Karajan, 1968
▻https://youtu.be/O3MVY6UiMag?si=Fu_EwrtmAqtUO3nG
9. Sinfonie in d-Moll op. 125, Vierter Satz, Ludwig van Beethoven 1824
▻https://de.m.wikipedia.org/wiki/9._Sinfonie_(Beethoven)#Ode_an_die_Freude
Im vierten Satz tragen ein Quartett von Sängern und ein großer vierstimmiger Chor die Strophen des Gedichts An die Freude von Friedrich Schiller vor. Sie sind dabei musikalisch gleichberechtigt mit dem Orchester eingesetzt. Der Melodie des Hauptthemas wird dabei die Textpassage „Freude, schöner Götterfunken (…)“ unterlegt. Dieser Satz wird daher auch als Ode an die Freude bezeichnet.
Friedrich Schiller, Ode »An die Freude«
▻https://www.friedrich-schiller-archiv.de/inhaltsangaben/an-die-freude-schiller-interpretation-inhaltsangabe
Freude, schöner Götterfunken,
Tochter aus Elisium,
Wir betreten feuertrunken,
Himmlische, dein Heiligthum.
Deine Zauber binden wieder,
Was die Mode streng getheilt,
Alle Menschen werden Brüder,
Wo dein sanfter Flügel weilt.
Berliner Philharmoniker
▻https://www.berliner-philharmoniker.de
Les nazis aussi aimaient la musique. Herbert von Karajan, l’interprète le plus célèbre de la neuvième symphonie était un nazi convaincu mais peu famatique. Il est étonnant que ces gens pouvaient apprécier le texte de Friedrich Schiller sur l’amitié entre tous les hommes. Ça s’explique quand on se rappelle qu’ils ne considéraient pas comme des êtres humains mais comme parasites et sous-hommes les cibles de leur politique d’extermination.
Retenons qu’à travers la musique on peut toucher même les nazis les plus hardis.
Herbert von Karajan, 1908–1989
▻https://de.m.wikipedia.org/wiki/Herbert_von_Karajan
Karajan trat der NSDAP in Salzburg am 8. April 1933 bei (Mitgliedsnummer 1.607.525). Er entrichtete einen Aufnahmebeitrag, zahlte aber keine Folgebeiträge und zog nach Deutschland, wo ihm am 30. Mai in Ulm nach einem neuen Aufnahmeantrag eine provisorische Mitgliedskarte ausgestellt wurde, das neue Eintrittsdatum war der 1. Mai 1933 (Mitgliedsnummer 3.430.914).[10] Im Zuge der Überprüfung der österreichischen Beitritte in der Zentrale der NSDAP in München 1939 wurde schließlich die erste, österreichische Mitgliedschaft formal für ungültig erklärt.
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Nach der Tristan-Aufführung prägte der Kritiker der B.Z. am Mittag, Edwin von der Nüll, am 22. Oktober 1938 das Schlagwort vom „Wunder Karajan“.[16] Urheber der Kritik soll aber nicht von der Nüll gewesen sein, sondern Generalintendant Heinz Tietjen, der Karajans Karriere auf Kosten Wilhelm Furtwänglers fördern wollte.
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am 20. April 1939 verlieh ihm Adolf Hitler den Titel „Staatskapellmeister“.
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entschied Hitler daraufhin, ..., dass Karajan niemals bei den Bayreuther Festspielen dirigieren dürfe. Da er jedoch der Favorit von Hermann Göring war, leitete er weiterhin die Staatskapelle Berlin
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Noch 1943 wurde in einer Kartei der Reichsmusikkammer vermerkt, dass bezüglich Karajans politischer Einstellung laut Reichssicherheitshauptamt keine „nachteiligen Notierungen in politischer Hinsicht“ vorlägen. Auch seine Heirat mit der „Vierteljüdin“ Anita Gütermann veranlasste das NS-Regime zu keiner Änderung dieser Einschätzung. Die Heirat bot Karajan sogar Vorteile, da Anita Gütermann aus einer großen Industriellenfamilie stammte. Noch im September 1942 hatte der Chef der Reichskanzlei Hans Heinrich Lammers Karajan schriftlich mitgeteilt, dass seine Eheschließung mit Anita Gütermann erst nach dem Krieg stattfinden könne. Anita Gütermann suchte daraufhin in Venedig den Kontakt zu Goebbels und erreichte, dass schon am 22. Oktober 1942 geheiratet werden konnte.
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In der Endphase des Zweiten Weltkriegs wurde er im August 1944 in die von Hitler genehmigte Gottbegnadeten-Liste der wichtigsten Dirigenten aufgenommen, was ihn vor einem Kriegseinsatz, auch an der Heimatfront, bewahrte.
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Das Kriegsende verbrachte er zusammen mit seiner damaligen Frau Anita in Mailand und am Comer See, wo er sich mit Hilfe des Generalbevollmächtigten für Italien Hans Leyers in der Villa d’Este „versteckte
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Karajans Entnazifizierungsverfahren wurde ohne schriftliche Belege abgeschlossen; er habe „genug gelitten“ und immer nur für die Musik gelebt.
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Am 12. Januar 1946 gab Karajan in Wien sein erstes Konzert nach Kriegsende, wurde jedoch von der sowjetischen Besatzungsmacht wegen seiner NSDAP-Mitgliedschaft mit Berufsverbot belegt; dieses wurde 1947 aufgehoben.
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. 1955 wurde er Nachfolger von Wilhelm Furtwängler und Sergiu Celibidache als Chefdirigent der Berliner Philharmoniker.
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Als Karajan 1955 die Berliner Philharmoniker in New York dirigierte, kam es zu dramatischen Demonstrationen gegen ihn und Deutschland. Von seinem 1956 auf Lebenszeit abgeschlossenen Vertrag trat er im April 1989 zurück, da ihm die finanzielle Förderung durch die Stadt und seine Kompetenzen nicht mehr ausreichten.