Une immersion dans le quotidien #urbain des #graffeurs pour comprendre la complexité et l’originalité de leur démarche, puis découvrir une #communauté structurée et dense. En coopération avec #CNRS_Images. ►http://sms.hypotheses.org/9764
Une immersion dans le quotidien #urbain des #graffeurs pour comprendre la complexité et l’originalité de leur démarche, puis découvrir une #communauté structurée et dense. En coopération avec #CNRS_Images. ►http://sms.hypotheses.org/9764
#Villes moyennes : comment redynamiser les centres-villes ?
Hier, 222 maires étaient réunis à Paris pour débattre du Plan Action Cœur de ville, un programme de revitalisation des centres villes, initié par le gouvernement l’année dernière et qui prend aujourd’hui une résonnance toute particulière avec le mouvement des gilets jaunes.
#territoires #urbain
▻https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/16362-20.03.2019-ITEMA_22013544-0.mp3
OHNE TITEL reçoit Chloé #Saelens, #Rachel #devresse, #Anthea_missy et #Kler
▻http://www.radiopanik.org/emissions/ohne-titel/ohne-titel-recoit-chloe-saelens-rachel-devresse-anthea-missy-et-kler
** L’art #urbain s’expose **
Nous continuons notre découverte de l’art urbain bruxellois ce dimanche avec l’exposition #Street to Canvas, visible jusqu’au 29 décembre. L’occasion de découvrir les acteurs majeurs de l’art urbain bruxellois et de son évolution au cours des 10 dernières années.
La curatrice, Chloé Saelens accompagnée de la scénographe Rachel Devresse, nous expliquerons le cheminement et la construction de cette exposition, nous dscuterons ensemble de notre questionnement sur l’association entre l’art urbain et exposition.
Les organisatrices seront accompagnées de deux artistes, Anthea Missy et Kler,. Vous aurez donc compris, nos invités sont 100 % féminines, le moment idéal de parler notamment de la place de la femme dans le monde du (...)
#art #clhoé #urbain,art,Rachel,Anthea_missy,devresse,Saelens,Street,Kler,clhoé
▻http://www.radiopanik.org/media/sounds/ohne-titel/ohne-titel-recoit-chloe-saelens-rachel-devresse-anthea-missy-et-kler_058
Après plusieurs décennies de #désertification, certaines zones #rurales sont réinvesties par des populations #urbaines. Mais parfois, le partage d’un territoire par ses #habitants ne suffit plus à construire une #identité commune. Qu’en pensez-vous ?
►https://sms.hypotheses.org/6685
#désert, #désertification, #village, #rural, #urbain, #habitant, #identité, #territoire, #vie, #quotidien, #vivre
Les #grands_ensembles issus de la politique de Reconstruction de l’après Seconde guerre mondiale sont aujourd’hui discrédités. Or avec le recul, on peut y trouver des pistes pour le #logement de demain…
►https://sms.hypotheses.org/11497
#logement, #politique, #reconstruction, #grand_ensemble, #ZUP, #urbanisation, #urbain, #ville, #famille, #cité, #HLM, #architecte, #architecture, #gouvernement
De #villes en #métropoles, #Tôkyô, métropole #japonaise en #mouvement perpétuel :
▻http://geoconfluences.ens-lyon.fr/doc/typespace/urb1/MetropScient3.htm
Publié le 20/09/2006
Vu le 08/06/2018
Cet article de Natacha Aveline du bureau #CNRS #Japon Corée à Tôkyô, Institut d’#Asie #orientale, publié sur le site #géoconfluences, traite du mouvement perpétuel de Tokyo de différents points de vue. Elle rappelle d’abord l’importance #démographique de la ville, notamment par rapport au #monde et ses #lieux les plus peuplés tout en invoquant les raisons #économiques de cette #croissance par rapport à l’#histoire de la ville. Elle précise que la ville et la #campagne sont difficilement discernables et nous pouvons en conclure que la #périurbanisation doit contribuer non seulement à l’importance démographique de la ville, mais aussi à tous les #changements qui s’y opèrent, la périurbanisation progressant sans cesse sur le #territoire : c’est ce qu’elle évoque par la notion d’#émiettement #urbain. Malgré les perspectives actuelles en matière d’#économie et de #démographie, ce phénomène pose toujours #problème.
Près de 80% des Japonais vivent en ville. […] Le #gigantisme urbain atteint sur l’#archipel des niveaux inégalés en Europe. Onze villes ont plus d’un #million d’habitants (2006), dont onze se regroupent dans quatre grandes #conurbations qui structurent un cordon urbain quasi-continu de mille kilomètres s’étirant le long du littoral Pacifique de Tôkyô à Fukuoka. Deux se distinguent par leur #démesure : Tôkyô, première #agglomération de la planète avec 34 millions d’habitants, et Ôsaka, la dixième avec 17 millions d’habitants, cumulent un produit régional brut de quelque 1 850 milliards de dollars, équivalent à celui de l’Italie et des Pays-Bas réunis.
Si la #macrocéphalie est un phénomène commun à bien des pays d’Asie, la structuration en #mégalopole […] est plus spécifique au Japon. Elle résulte des choix industriels effectués dès l’époque Meiji (1868-1912), mais aussi de l’#expansion singulière d’un espace #urbanisé d’autant plus difficile à cerner que la ville ne s’est jamais opposée à la campagne, dans un pays où seuls les châteaux étaient fortifiés à l’époque féodale. Le phénomène d’émiettement urbain atteint ainsi une intensité sans équivalent dans les autres grands pays #industrialisés. Il a été, au Japon, une cause majeure de pathologies pendant la Haute Croissance et reste source de #problèmes aujourd’hui, en dépit de perspectives économiques et démographiques radicalement nouvelles.
Ainsi, différentes #questions sont soulevées, d’abord celle des « logiques d’#urbanisation », elle évoque alors « l’#entremêlement de #fonctions #rurales et urbaines dans les #périphéries et […] les #zones #centrales » desquelles résulte « la faible hauteur des #constructions » et l’« #étalement du bâti » qu’elle nuance légèrement en rappelant la #verticalisation de Tôkyô entre 1980-1990 « sous l’effet des multiples opérations de #rénovation urbaine » ; et qui provient en partie de « la faible #intervention de l’#État dans la #gestion urbaine, le rôle majeur qu’ont joué à cet égard les #opérateurs #ferroviaires #privés, la toute-puissance de la propriété #foncière et l’extraordinaire #plasticité du bâti. »
Elle donnera le la précision sur cette « faible intervention de l’État » en évoquant la #désorganisation des villes, les conséquences de l’#occupation #américaine et les problèmes qui en découle quant à la part de #responsabilité donnée aux #pouvoirs #publics.
Elle donnera également par la suite plus de précision quant aux réseaux ferroviaires privés, leur expansion et leur influence sur la #structure urbaine, ce qui semble pouvoir lui permettre, plus tard, d’aborder la question « statut du foncier dans l’économie #japonaise » et ainsi des rénovations et du #morcellement et de l’aspect #juridique des #parcelles #cadastrales.
Elle en déduit de la valeur accordée au #sol et non aux constructions, ce qui lui permet d’expliquer le phénomène de la plasticité du bâtit.
Ainsi, elle évoque enfin les nouvelles #difficultés en #ville avec « l’arrêt de la hausse quasi-interrompue des prix fonciers depuis 1955 et mis un terme à la #croissance exceptionnelle qui soutenait l’économie ». Ce qui lui permet d’évoquer la nouvelle politique de #revitalisation des villes avec le "#renouvellement urbain" (toshi saisei) […] des "#périmètres #spéciaux d’#intervention d’#urgence" […] (Tôkyô, Osaka et Nagoya) », de manière à stabiliser les #prix pour la #spéculation ; le choix de #développer le #commerce et la #restauration et l’utilisation des « #friches #ferroviaires et #industrielles. »
L’#urbanisation du #Japon, le pays des #possibles, partie 4 : des #limites et des #déficiences.
_#Japan's #urbanisation, the countries of #possibilities, part 4 : #limits and #deficiency._
Dans l’interview de #Sou #Fujimoto faite par Marie Bélœil (►https://www.courrierinternational.com/article/larchitecte-japonais-sou-fujimoto-chaque-mur-est-une-fenetre - publié le 11/05/2O18 et vu le 07/06/2018 ) une question est posée à propos de la #durée de vie d’une #maison au Japon, qui n’est que de vingt-cinq ans. L’architecte confirme cette donnée numérique mais garde espoir en considérant l’influence des « vision » » et des « concepts » survivant au #bâtiment pour les générations futures et leurs propres influences et critiques. Cet aspect #éphémère du bâtiment représente correspond à l’état d’esprit omniprésent au Japon lorsqu’il s’agit de #rénovation : certains temples sont totalement #reconstruits malgré leur qualité historique, les #villes sont en constant #changement comme nous pouvons le voir par l’#application « promenades du passé et du présent » sur Google Street View. L’#évolution rapide de l’#habitat #urbain au Japon, lié au #développement tout aussi #rapide du pays, donne malheureusement naissance à des #constructions éphémères, « médiocre » selon Sylvie Guichard-Anguis dans cet article de Persée :
▻https://www.persee.fr/doc/bagf_0004-5322_1984_num_61_505_5492
Vu le 07/06/2018
Pourtant, des #projets d’#urbanisation stables sont recherchés depuis les années 60 notamment par La Japan Foundation et le projet « Struggling Cities » qui est aujourd’hui réexaminé de manière à considérer « les liens entre le passé et le présent » et de procéder à « une nouvelle vision de la #ville » dans son contexte d’#expansion. Ce lien permet d’accéder au #programme (lieu et date) des prochaines expositions.
▻https://www.jpf.go.jp/e/project/culture/exhibit/traveling/struggling.html
“Tokyo plan 1960” and Kenzo Tange “Tokyo-jin” from the November 2013 issue ; Photo : Akio Kawasumi:
L’#urbanisation du #Japon, le pays des #possibles, partie 3 : #Sou #Fujimoto.
Les #possibilités d’#urbanisation du Japon sont le sujet principal de cette #interview de l’#architecte #japonais Sou Fujimoto faite par Marie Bélœil.
►https://www.courrierinternational.com/article/larchitecte-japonais-sou-fujimoto-chaque-mur-est-une-fenetre
Publié le 11/05/2O18
Vu le 07/06/2018
Figure importante du « #minimalisme » japonais, Sou Fujimoto, en répondant à la journaliste, nous permet de placer de nouveaux #concepts à propos de ses choix d’organisation #urbains japonais. Selon lui la #maison est « à la fois un nid et une grotte, une fusion moderne des deux », elle fait partie de la #société et donc du domaine du #public tout en recueillant la sphère #privée. Il considère également qu’il y a un lien important entre #nature et #architecture étant donné le lien important entre la nature et l’homme et des choix à faire vis-à-vis de la #relation qu’ils entretiennent. De plus, « la nature est une grande source d’#inspiration. » L’#habitat selon lui est fondée sur les notions de « transparence », de « division » ou encore d’« identification », en un mot il est fondé sur les « relations entre les #individus et entre l’#individu et la société », celle-ci devant de préférences être basées sur « [la] #diversité et [l’]harmonie. [La] #différence et [la] #tolérance. » Aussi pense-t-il la question de la « fenêtre » en fonction de ses relations, et considère-t-il les notions de #fenêtres et de #murs étroitement liées.
Les murs séparent, relient et créent du lien. La présence d’un mur éveille la curiosité pour ce qui se trouve derrière. Les murs ne sont pas des #barrières et peuvent au contraire servir de point de départ à des #rencontres.
Le #mur est une #fenêtre. Les murs et leurs ouvertures se définissent toujours les uns par rapport aux autres. Pour moi, une #ouverture sans fenêtre n’est pas un mur. Et une fenêtre sans mur n’est pas une fenêtre.
D’autres questions lui sont posées, à propos de ses allusions à Le #Corbusier, à propos du Ministère de la Solitude au Royaume-Unis ou encore à propos de ses #projets en France comme notamment celui de l’Arbre Blanc ou encore celui en partenariat avec #OXO #Architectes : le projet Mille Arbres. Cependant nous nous intéresserons désormais à l’aspect problématique du développement urbain rapide du Japon et ses limites.
L’#urbanisation du #Japon, le pays des #possibles, partie 2 : de nouvelles formes mises à l’essai.
▻http://www.demainlaville.com/le-japon-le-pays-des-possibles
Publié le 01/10/2014
Vu le 07/06/2018
Dans son article, Architecture by road nous présente les #innovations dans l’#architecture #japonaise d’abord par la #maison de monsieur #Moriyama « un monde blanc » et vert, une maison composée de multiples #volumes reliés par un tapis de pierres dessiné sur le sol et qui possède un #jardin. Plusieurs #foyers y cohabitent lorsque le #blogueur s’y rend et il se rend compte que le passage par l’extérieur est obligatoire pour circuler d’une pièce à une autre, la #nature possédant donc une place principale dans la vie des #habitants.
Il rencontre ensuite #Sou #Fujimoto qui lui fait découvrir une maison dessinée par ses ateliers en 2010, complètement transparente sur une structure blanche et constituée d’une succession de plateaux donnant l’impression de « vivre à l’intérieur comme si vous viviez dans un arbre. » L’organisation des pièces de la maison dépend d’ailleurs de la #structure et non pas l’inverse. Ainsi, nous pouvons considérer que si ces #conditions d’#habitation sont acceptées, il est possible de penser l’#urbain par un nouveau prisme de #contraintes et de #possibilités.
L’#urbanisation du #Japon : des #gares et des #villes en image.
▻https://www.pop-up-urbain.com/collection-de-curiosites-urbaines-japonaises-1
Publié le 05/01/2015
Vu le 07/06/2018
Deux autres articles faits de #photographie et nés de l’#expérience d’un #voyage lors duquel Margaux Baldassi à exercer un regard #critique.
Dans le premier, elle nous évoque l’existence de #tampons à #collectionner qu’elle compare à des sceaux, pour ensuite nous parler de la passion des #Japonais pour #train en l’illustrant avec le #film d’#animation Giovanni no Shima , le célèbre animé Pokémon et le #Shinkasen, un train japonais à très grande vitesse, qui fêtait son demi-siècle.
À la fois contributeur non négligeable du développement économique, culturel et social de l’archipel et concentré ultime du « nerdisme » proprement nippon, le train méritait bien lui aussi son prétexte à la collection.
Elle nous parle ensuite, de la #gare de #Kagoshima, petite ville portuaire située sur la pointe sud du Japon, à l’extrémité de l’île de #Kyushu. La gare est à la fois prisée pour sa position de choix et son #architecture originale : elle comporte la grande roue #Amuran qui dépend du #centre #commercial #Amu-Plaza, placée au sixième étage, haute de ses 91 mètres de haut et composée de 36 gondoles.
Du point de vue de sa desserte, Kagoshima tient une place de choix puisqu’elle incarne le terminus sud de la ligne Shinkansen sur l’île de Kyushu (Kukuoka-Kagoshima).
L’autre aspect de son #excentricité figure dans son architecture. Dès votre arrivée dans ce port aux allures napolitaines (localisé sur la baie de Kagoshima et vu sur le volcan Sakurajima), retournez-vous sur Kagoshima-Chuo Station dès que vous aurez prix assez de recul, et découvrez ce bâtiment hybride : un bloc grisâtre coiffé de son immense coquelicot : une grande roue carminée !
Ce qui nous permet de soulever la question de la « #ville-marchandise » et de « l’#hybridation des #infrastructures #urbaines ».
La #transformation des gares en centres commerciaux est une chose, la #métamorphose des centres commerciaux en parcs d’attractions en est une autre (et devant l’hybridation des trois, on reste logiquement bouche bée). Fortement séduits par l’idée de tours commerciales en plein centre-ville, les Japonais transpercent de toute façon nos modèles urbains avec des idées truculentes par centaines.
La #ville au #Japon : découverte par l’#expérience, la #pop-culture et la #photographie : Partie 2
Il est d’autre part , possible d’aborder la ville par des #problématiques #contemporaines comme cela est fait avec ces deux « radiographies » de la ville par Margaux Baldassi, l’une dont les principaux sujets sont les #espaces-verts et le micro-service à haute utilité #publique, et l’autre les systèmes électriques, l’#aménagement et l’étroitesse de l’#espace #urbain, le tout lié à une approche pop-artistique.
▻https://www.pop-up-urbain.com/radiographie-de-la-rue-japonaise-12
Publié le 30/09/2014
▻https://www.pop-up-urbain.com/radiographie-de-la-rue-japonaise-22
Publié le 22/10/2014
Nous pouvons lier ces deux articles à deux autres sur les choix d’#organisation #urbaine en matière #espace-public que ce soit à propos du manque de bancs, de la #gestion des déchets (avec les konbinis), des espaces pour dormir et des espaces pour fumer dans le premier article de Claire Gervais ou propos de la place de la « culture kawaï » dans la ville dans le deuxième, de Margaux Baldassi.
▻https://www.pop-up-urbain.com/pratiques-de-lespace-public-en-terrain-nippon
Publié le 03/11/2015
▻https://www.pop-up-urbain.com/au-pays-enchante-de-lordre-public-nippon
Publié le 07/10/2014
Les #difficultés liées à l’#urbain au #Japon.
Le Japon d’#après-guerre a su promptement se réinventer et est parvenu au rang de deuxième #puissance #économique #mondiale. Mais qu’en est-il de la #pauvreté ? Le Programme des Nations Unies pour le #développement introduit (dans son Rapport mondial sur le développement #humain édition de 2002) un nouvel indicateur de pauvreté humaine (IPH-2, calculé à partir des indicateurs de longévité, d’instruction, de conditions de vie et d’exclusion) adapté au classement des pays #développés et montre un taux de pauvreté au Japon de « 11,2 % en 2002 et de 11,7 % en 2005, plaçant le pays en douzième position. » Puis, en 2005, l’OCDE indique un #taux de 15,3 %, dans le classement le Japon aurait « l’un des taux les plus élevés parmi les pays de l’OCDE », à la cinquième place.
C’est en prenant en compte ces information que, sur #terrain, Mélanie Hours entreprend son étude sur la pauvreté au Japon. Ainsi, la pauvreté a été analysée par le biais de l’urbain et nous découvrons les nuances dans les "types" de pauvretés, du « working poor » aux « travailleurs journaliers », ainsi que l’importance de deux autres facteurs pour déterminer la pauvreté : les #représentations souvent liées à la structure urbaine ainsi qu’aux médias et l’aspect officiel qui lui est donné par les #lois ou par l’#État qui choisit de l’#assister ou non.
▻https://journals.openedition.org/transcontinentales/747#ftn2
Vu le 05/06/2018
Après une enquête de terrain effectuée auprès des #sans-abri, j’ai été amenée à m’interroger sur les représentations sociales de la pauvreté au Japon. Sans aller jusqu’à parler d’une négation totale de celle-ci, […] je me suis demandé si, […] l’absence d’un taux de pauvreté nationale n’était pas plutôt le reflet d’un déni de l’existence de celle-ci. Pour Simmel « c’est l’assistance qu’une personne reçoit publiquement de la collectivité qui détermine son statut de pauvre. »
Après plusieurs décennies de #désertification, certaines zones #rurales sont réinvesties par des populations #urbaines. Ainsi, à Gigouzac (Lot), 55% des maisons sont occupées par des personnes qui ne sont pas originaires de la #commune. Le film montre que le partage d’un territoire par ses #habitants ne suffit plus à construire une #identité commune.
►https://sms.hypotheses.org/6685
#habitat, #habiter, #habitant, #population, #ville, #village, #urbain, #rural, #vivre-ensemble, #pratique, #territoire, #paysage, #Gigouzac, #lot, #social, #sociologie, #représentation, #commune
Le #Japon : entre #culture et #coutumes ancestrales, #technologie de pointe et #controverse.
(Japan: between culture and ancestral customs, advanced technology and controversy.)
Ces dimensions se superposent dans un pays dont 93,93% de la #population est #urbaine (selon la Banque mondiale) et qui possède de nombreuses #contraintes #naturelles desquelles peuvent résulter des #catastrophes à la suite de prises de #risques parfois considérées comme nécessaires pour le développement #économique (comme ce fut le cas de Fukushima en 2011). Le Japon est aussi une île déphasée du reste du monde et dévastée pendant la Seconde Guerre #mondiale, qui a pourtant connu un #développement rapide à la suite de cette destruction. Or, c’est précisément dans cet élan qu’on été emportés culture et #traditions. C’est également ainsi que le pays a su garder l’#insularité qui fait sa spécificité tout en étant en étroite connexion avec le reste du #monde par ses #innovations et son #soft-power. Ce sont tous ces aspects de l’archipel japonais qui donnent lieu à des sujets se prêtant à l’approche #géographique.
These dimensions superimpose themselves in a country made of 93,93% city-dweller (according to the World Bank) and that possesses many natural constraints from which can result catastrophes after risk taking sometimes considered as necessary for the economic development (as it happened in Fukushima in 2011). Japan is also an island out of sync with the rest of the world and devastated during World War II, that has however acquainted a fast development after that destruction. However, it’s precisely in this rush that have been carried culture and traditions. It is also this way that the country knew how to keep its insularity which made its specificity while being in close connection with the rest of the world through its innovation and soft-power. All of these aspects of the Japanese archipelago permit subjects suitable to a geographic approach.
Exposition A venir : Vues #urbaines
▻http://www.mam-st-etienne.fr/index.php?rubrique=32&exposition_id=10015
Vues urbaines
Collection de photographies du #Musée
Du 19 mai 2018 au 16 septembre 2018
Ito Josué, « #Saint-Etienne : La Marandinière, rue Marcel Féguide, deux fillettes regardant un immeuble », 1967. Négatif couleur. 9 x 12 cm . © ADAGP, Paris 2018. Explorez la riche collection de photographies du Musée à travers un accrochage inédit en connivence avec l’exposition « Formes de vies » de Valérie Jouve. L’exposition, centrée sur les vues urbaines, propose un regard sur un pan de cette collection à l’occasion du 30ème anniversaire du Musée.
« Vues urbaines » présente des œuvres peu montrées, offrant une perspective sur la #Ville et ses habitants, à travers les époques et les lieux, de Londres à #Chicago, en passant par Saint-Étienne et sa région.
Louis Caterin, « L’esplanade de Montreynaud », 1970. Papier RC au gélatino-argentique. 16,5 x 23,5 cm. Y. Bresson/MAMC+. © ADAGP, Paris 2018.L’accrochage permet de saisir à travers une sélection de vintages, les préoccupations anthropologiques et politiques des photographes, telles les vues de #New York de Helen Lewitt à la fin des années 1930 ou encore Nigel Henderson qui s’intéresse au milieu populaire de l’East End londonien dans les années 1950.
L’exposition montre également les montages et travaux plus politiques de Wolf Vostell, ou encore la série des « Viola Tricolor » d’Eric Dietman, maniant habilement détournement et humour.
Les symboles et réalisations architecturales cristallisent aussi les préoccupations des photographes. « Vues urbaines » présente, entre autres, les travaux de Gunter Forg, de passage à Saint-Étienne dans les années 1980, ou encore Louis Caterin, qui saisit le nouveau quartier de #Montreynaud dans les années 1970. Sans oublier Ito Josué, Rajak Ohanian, ou encore Laurent Gueneau.
La dernière section de l’exposition met en avant le travail de Rajak Ohanian dans la ville de Chicago. Après deux ans sur place, l’artiste fan de musique développe un protocole inspiré du jazz. Il en résulte de grands tirages saisissant l’esprit de la ville tout autant que la singularité du passant.
ARTISTES
Louis Caterin, Erik Dietman, Günther Förg, Jochen Gerz, Laurent Gueneau, Nigel Henderson, Ito Josué, Valérie Jouve, Helen Levitt, Rajak Ohanian et Wolf Vostell.
VERNISSAGE : JEAN-MICHEL OTHONIEL ; VALÉRIE JOUVE ; VUES URBAINES ; L’ART CONCEPTUEL
25-05-2018 | 18 h 30 (entrée libre et gratuite)
Parution de « La Ville végétale - une histoire de la #nature en milieu #urbain (France, XVIIe-XXIe siècle) » - Biodiv’ille
▻http://www.biodiville.org/a/826/-parution-de-la-ville-vegetale-une-histoire-de-la-nature-en-milieu-urbai
Parution de "La Ville végétale - une histoire de la nature en milieu urbain (France, XVIIe-XXIe siècle)"
La #Ville végétale. Une histoire de la nature en milieu urbain (France, XVIIe-XXIe siècle)
Un ouvrage de Charles-François Mathis et Emilie-Anne Pépy paru aux éditions Champ Vallon
Cette vaste synthèse étudie l’occupation urbaine depuis le XVIIe siècle par les plantes, #parcs et #jardins, mais aussi plantes « hors-sol » qui circulent dans l’espace urbain (fruits et légumes, fleurs coupées, déchets végétaux, etc.). Il s’agit de montrer que loin d’être un espace absolument artificialisé, non « naturel », la ville a constamment été imprégnée de #végétaux, mais que cette présence a fluctué au fil des siècles. Sont interrogés les raisons, les acteurs et les défis de la végétalisation urbaine qui repose sur des motivations nombreuses, esthétiques, sanitaires, écologiques. De même, la végétalisation a sans cesse été soutenue par ceux que nous appelons les mains vertes, qui sont tout aussi bien des particuliers, des professionnels que les pouvoirs publics. Mais étendre ou maintenir la présence végétale en ville impose de relever de multiples défis (fonciers, financiers, esthétiques, biologiques…) qui ont pu varier au cours des siècles.
Ce livre propose aussi une réflexion neuve sur les usages qui ont été faits de la nature en ville, paradoxalement instrument d’#urbanité, de sociabilité et donc d’affirmation sociale, mais aussi inversement jungle, ferment de discorde et d’ensauvagement, objet d’affrontements politiques. On peut également faire usage du végétal pour bien être et bien vivre, accompagner les plaisirs, exercer les corps ou cultiver les esprits. Plus prosaïquement, la ville est aussi, tout au long de ces quatre siècles, un lieu de production et de consommation important de végétal. Enfin, c’est aussi en ville qu’une science botaniste et un savoir sur les plantes se développent.
Ce tableau général, inédit, permet ainsi de voir la ville autrement et d’offrir des pistes de réflexion sur la nature en milieu urbain aujourd’hui.
La marche comme forme particulière de découverte, d’#interprétation et d’#appropriation des #lieux, contient aussi un potentiel de (re)découverte de soi, des autres et de ce qui nous entoure. Un film de #géographes
►http://sms.hypotheses.org/10320
#geographie, #espace, #urbain , #visite, #documentaire, #expérience
hypathie - Blog féministe et anti-spéciste : Pause pipi, mais uniquement pour les garçons
▻http://hypathie.blogspot.fr/2017/04/pause-pipi-mais-uniquement-pour-les.html
Dans la continuité de la ville au masculin, conçue et faite pour les hommes avec l’argent de toustes les contribuables, j’ai trouvé cette invention qui prouve tout de même qu’on est en plein désespoir : les édiles s’arrachent les cheveux qui leur restent. C’est quoi ? C’est un uritrottoir ! Je serais tombée dessus un premier avril, j’aurais cru à un poisson. Mais non, c’est LA solution qu’auraient trouvée Rennes (Le Mensuel de Rennes en kiosques), Nantes, la Gare de Lyon (deux à 9 000 euros pièce installés) pour éviter les « pipis sauvages ». A Rennes, à partir des jeudis soirs durant tout le week-end, les riverains des rues à fêtards du centre historique (à touristes donc, ce qui la fiche mal) se plaignent tellement des odeurs d’urine, que la Mairie planche sur le sujet. Alors, les filles, on pisse contre les murs en sortant de bars ou de boîtes ? Ah mais non, zut, encore un truc pour les mecs, ces incontrôlables asociaux, mais c’est passé sous silence une fois de plus. Donc, là où ils se dézippaient la braguette contre leurs murs favoris, on va mettre des pots de fleurs où ils pourront se soulager : ils pourront donc sortir leur appareil uro-génital en plein jour ou nuit et surtout, en pleine rue. Encore une prime au délinquant, on dirait bien. Vous, Mesdames, pourrez attendre qu’ils aient fini, ou contourner le spectacle (ou vous rincer l’œil éventuellement en faisant des commentaires) et surtout en serrant les fesses pour stopper une envie pressante. Car RIEN n’a été prévu pour vous. C’est vrai que vous, vous feriez plutôt une dilatation de la vessie ou une cystite, et sans vous plaindre en plus : pas de pipi rooms dans les parages ou alors tellement sales que vous préférez généralement attendre d’être à la maison pour vous soulager. Et c’est nous qu’on traite de pisseuses ?
#ville #urbain #patriarcat #toilettes #WC
Bulles de filtrage : il y a 58 millions d’électeurs pro-Trump et je n’en ai vu aucun - Tech - Numerama
▻http://www.numerama.com/tech/207428-bulles-de-filtrage-il-y-a-58-millions-delecteurs-pro-trump-et-je-ne
Sur ma planète, la plupart des gens vivent en ville, s’intéressent aux nouvelles technologies, à la science et aux jeux vidéo. Pour beaucoup, ils ont été à l’université ou dans de grandes écoles et on y croise souvent des journalistes, des développeurs, des designers, des professeurs ou des doctorants. Ma planète partage son avis sur des séries, va au cinéma, écoute de la musique contemporaine, rit aux blagues qui me font rire, pleure quand des tragédies me touchent.
Une ville US a dressé une carte des rues en fonction du stress qu’elles génèrent chez les cyclistes via @SabineBlanc
▻http://www.citylab.com/commute/2016/05/mapping-how-stressful-streets-can-be-for-cyclists/482469
Mapping How Stressful Streets Can Limit Cycling - Montgomery County, Maryland, is using traffic-stress data to determine how biking comfort affects connectivity.
IAU - Les zones inondables en ile de France, SIG interactif #risque #inondation #IDf #urbain
▻http://carto.iau-idf.fr/webapps/cartoviz/?r=0.15286659821867943
Le #périurbain d’ici et d’ailleurs
Dans le cadre du programme PUCA « du périurbain à l’urbain », le Labex DynamiTe et l’IAU îdF ont analysé les espaces périurbains de l’Ouest francilien. Ce séminaire avait pour objectif de valoriser les résultats de recherche auprès des aménageurs et des collectivités locales, et à les confronter à d’autres contextes, en France et à l’étranger.
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#urban_matter #podcast
Où vivent les #familles en France ? - Localtis.info - Caisse des Dépôts
▻http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250270161888&cid=1250270160752
Plus on s’éloigne des #villes-centres, plus il y a de familles. Mais si on s’éloigne trop, et que l’on sort complètement des aires urbaines, il y en a moins. Et depuis quelques temps, les villes-centres perdent moins de familles, en proportion, que leur #périphérie.
Etalement #urbain : le coût résidentiel pèse sur le budget des ménages - Localtis.info - Caisse des Dépôts
▻http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250270095926&cid=1250270091318
Quel est l’impact financier de l’étalement urbain et des #mobilités qu’il induit, pour les ménages et les collectivités ? Telle est la question à laquelle se propose de répondre un travail de recherche publié par le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Credoc) en décembre 2015. Afin de le quantifier, le Credoc propose de bâtir un indicateur de « coût résidentiel global » qui prendrait en compte le ’coût résidentiel’ incombant directement aux habitants concernés, et le ’coût collectif’, qui est supporté par toute la population via les investissements des pouvoirs publics nationaux et territoriaux. Il s’agit ainsi, précisent les auteurs en introduction, de « nourrir la réflexion des collectivités territoriales sur la maitrise de l’urbanisation et des excès de l’étalement urbain. »
Ce travail de recherche s’intéresse aux questions suivantes :
1) s’installer à une distance importante de son lieu de travail pour profiter de prix du foncier
moins élevés est-il un bon arbitrage financier pour les ménages étant donné le poids dans le
budget du ménage et l’augmentation tendancielle des coûts de transport ?
2) cet arbitrage en faveur de l’éloignement des distances domicile-travail est-il favorable ou
non à la société dans son ensemble ?
Et aussi, quel est le « bilan carbone » de la mobilité, de l’étalement urbain. Quand on voit les files de bagnoles qui se dirigent vers la ville au petit matin et dans l’autre sens le soir, il n’y a pas que l’aspect financier qui fait grincer des dents.
@sombre : oui même réaction que toi, c’est pour ça que je mettais en exergue le point 2
2) cet arbitrage en faveur de l’éloignement des distances domicile-travail est-il favorable ou
non à la société dans son ensemble ?
je n’ai pas tout lu dans le détail, mais pour se faire une idée de la réponse apportée à cette question, il faut savoir que le rapport contient 0 occurrences des termes « pétrole », « embouteillages » et « pollution ».
Et sans parler écologie, l’intérêt général économique, depuis les années 70 c’est de consommer moins de pétrole pour ménager notre balance commerciale. Mais c’est insuffisant pour nous faire remettre en cause la prédominance de la spéculation immobilière capitaliste...
Bagnole + maison à crédit à Pétaouchnok, voilà le socle inconditionnel et incontournable du foyer moyen..
La seule piste proposée ici serait une « étiquette » énergétique du logement par rapport aux transports
La voiture s’imposant, en général, comme un
équipement incontournable, son acquisition et son entretien entrent dans les grosses
dépenses de consommation que s’impose la majorité des ménages. En revanche, les
dépenses de carburant font partie des charges quotidiennes et sont une charge qui bien
souvent n’est pas clairement identifiée. A partir du moment où une résidence a été choisie,
elle s’impose, du fait du bâti, du cadre, du voisinage : les conséquences en terme d’éloignement des services et de l’emploi passent au second plan, dès lors que le ménage
est équipé en automobile.
L’analyse de la progression des kilomètres parcourus sur les dix dernières années montrent
que pour les déplacements contraints du quotidien, l’élasticité entre les distances
parcourues en automobile et le prix des carburants est très faible, en particulier dans les
zones périphériques des agglomérations peu desservies en transport en commun (CCTN,
2010). En revanche, les analyses de l’Insee montrent que la dépense de mobilité globale d’un
ménage (automobile et autres transports, notamment pour les loisirs et les vacances) a une
très forte élasticité au revenu. De fait, les cadres parcourent des distances nettement plus
grandes que les autres catégories de salariés.
Toutefois quand le budget du ménage se trouve amputé, la nécessité de réduire le coût des
déplacements peut finir par s’imposer. Les années récentes de crise l’ont bien montré en
favorisant, notamment, l’essor du covoiturage, et l’accroissement du recours aux transports
collectifs.
On pourrait imaginer que parallèlement à l’étiquette « énergie » qui existe aujourd’hui pour
caractériser le logement et informer l’acheteur au moment de la vente, une étiquette
« accessibilité » permettrait aux accédants à la propriété de mesurer la charge financière à
anticiper, en dépense annuelle de carburant, compte tenu de l’éloignement des services
(écoles, commerces de base), des transports collectifs et des zones d’emploi.
Mésologiques : Habitat insoutenable et COP21 / Augustin Berque
▻http://ecoumene.blogspot.fr/2015/12/font-face-font-family-cambria-mathfont.html
Que je l’aie écrit voici dix ans ne modifie pas l’actualité du propos de ce livre, propos qui reste de définir les origines et l’histoire des motivations qui ont poussé la société contemporaine, dans les pays riches, à idéaliser la maison individuelle au plus près de la nature, ce qui a conduit à l’éclatement des villes et au phénomène de l’urbain diffus. Les origines et l’histoire des motivations qui expliquent ce phénomène n’ont pas changé.
hu, c’est quoi cet URL : „font-face-font-family-cambria-mathfont” :D
« fastfûdoka » le terme est très bien trouvé, il nous en faudrait un comme ça dans toutes les langues
la forclusion d’une moitié de nous-mêmes, à savoir [l’« entrelien humain »], est la raison profonde pour laquelle les sociétés modernes, en tant que telles, resteront structurellement incapables de surmonter la crise de l’#environnement, sinon au prix d’une révision radicale de ce qui les fonde : le corps médial que forment concrètement les humains entre eux et avec les choses, sur la Terre ; autrement dit, en réinventant leur propre #médiance
Pas mieux.
#écoumène #déménagement_du_territoire #urbain_diffus
Il y a quand même un grand écart assez vertigineux entre cette pensée et le mouvement pour le #climat qui nous dit (à raison) qu’on n’a plus que quelques années pour éviter les trajectoires (en termes d’émissions de gaz à effet de serre) qui nous mèneront aux seuils de non-retour et donc à un changement d’ère géologique, avec tout ce que ça impliquerait de morts humaines.
Cette urgence rend impossible dans un tel délai le changement civilisationnel nécessaire.