#Shameless_autopromo : je parlerai #photo en milieu militant & rapport aux #réseaux_sociaux, mardi 31/10 à l’école d’archi de #Nantes
+ d’infos : ►http://lespui.eu
#Shameless_autopromo : je parlerai #photo en milieu militant & rapport aux #réseaux_sociaux, mardi 31/10 à l’école d’archi de #Nantes
Combattre l’entrave aux droits des libertés des femmes
#peintre #engagé #défensedeslibertés #femmes
Je respecte toutes les religions, mais par dessus tout, je défends toutes les atteintes aux les libertés individuelles et collectives, la probité et le sens du devoir humain
Je repousse au plus loin de mes pensées ce qui freine les libertés et tout particulièrement celle des Femmes
(Elles) Les Femmes ont le droit le plus intime, le plus personnel de choisir leur mode de vie, elles ne sont pas les boniches des Hommes. Leur bon vouloir aux mecs pour la plupart du temps sont rétrograde, misogyne, raciste, macho.
(Elles) Les Femmes Leur corps leur appartient, elles seule, ont décidé d’être mère ou pas. le droit de décider de mettre ou pas les tenues. Les hommes qui désirent pondre des lois contraires aux libertés des femmes quelles soient sexuelles du droit à l’avortement à la contraception. Ces hommes ont un droit fondamental en ce qui concerne les Libertés
C’est de se la fermer
se taire
Nous les hommes de quels droits humains depuis des centaines, des milliers d’années nous avons rendu OUI ! en esclavage les femmes OUI, de quel droit déciderions nous pour les femmes à savoir ce qui est bien pour leur corps, leurs aspirations, leur mode de vie.
Et les religions dans tout cela non qu’un devoir, ne doivent avoir qu’une seule démarche se TAIRE car toutes ces religions sont dirigées encore et toujours par des hommes.
Signé : Alex Girot artiste peintre engagé
Un tableau pour illustrer mes convictions dans l’art pictural en tant que peintre
▻http://www.alexandregirot.com/137-personnage-fractionnisme-elles-ont-parfois-le-burkini.html
Les #squats permettent de lutter contre les problèmes de logement. Au début des années 1980, à New York, les squats s’opposent à la restructuration urbaine et à l’augmentation des loyers.
▻http://www.zones-subversives.com/2017/10/les-luttes-urbaines-a-new-york.html
►http://editionscmde.org/livre/quartier-en-guerre
Cette BD a déjà été abordée ici :
►https://seenthis.net/messages/613800
▻https://seenthis.net/messages/630216
Et là, #shameless_autopromo :
Seth Tobocman
Dror, #Entre_les_Oreilles, le 28 juin 2017
►http://entrelesoreilles.blogspot.ca/2017/06/elo285-seth-tobocman.html
#Seth_Tobocman #Quartier_en_guerre #BD #squats #gentrification #New-York
Farmers in the Loneliness of Onion Fields — Information is Beautiful Awards
►https://www.informationisbeautifulawards.com/showcase/1738
Farmers in the Loneliness of Onion Fields by Agnès Stienne, VisionsCarto
Bravo !
Enfin, vus le sujet et l’auteure je devrais plutôt le dire à l’italienne : Brava ! ;)
WINNER - Best Non-English Language Viz
SILVER: Women Farmers in the Loneliness of Onion Fields by @odilon72
bravo !
▻https://seenthis.net/messages/648358
Hello,
Je viens vous annoncer la sortie de mon premier livre « deux fois né », aux éditions Verticales, dans toutes les bonnes librairies à partir du 12 octobre.
J’ai appris cent trente mille et une choses ici. Maintenant, c’est mon tour, laissez-moi vous rendre l’appareil (sic).
Au travers de cette enquête, vous découvriez #Mètis, une océanide polymorphe méconnue, pourquoi, parfois, on a envie de tuer sa mère (et tout un tas d’autres gens), qu’est-ce qui se passe à Ikaria, l’île où les fêtes archaïques s’enchaînent sans interruption, ce qu’est un NINJA swap et certaines astuces comptabilité créative, qu’est-ce que l’UE envoie aux chèvres ikariote pour qu’elles frôlent le cannibalisme, ce qu’est la Katharevoussa, un chaïdevtiko ou encore ce que veut dire μοιραζώ (Moirazô) – mais aussi, vous apprendrez pourquoi les situations familiales impossibles ont la forme d’une boucle qui ressemble à un nœud qui ressemble à une toupie, qu’est-ce que la structure fondamentale d’hallucinations sous peyotl (qui est étrangement la même que celle de la mètis), comment les fascistes remontent la rivière, pourquoi un CAP de charpentier peut être une manière de thérapie, que se passe-t-il donc au dispensaire de solidarité de Thessalonique, pourquoi le désert mexicain est une figure paternelle ingrate, comment faire pour survivre quand on a l’impression d’être assis sur un champ de ruines héllénoïdes.
C’est un livre riche, que j’ai tout de même essayer de rendre digeste et plaisant. Normalement, au sens propre, ça devrait vous éclater.
►http://www.editions-verticales.com/fiche_ouvrage.php?id=400&rubrique=3
Bien ouèj espèce de #fils_de_fille-mère
#livre
@tintin Puis-je te suggérer de faire un service de presse spécial seenthis : tu mets deux exemplaires en circulation que tu envoies aux deux premières personnes qui viennent de comenter ton message (@mad_meg et @rastapopoulos) qui, une fois lu, envoie ensuite le livre aux deux suivantes (@kamo et @monolecte) qui à leur tout l’envoient, après lecture à @intempestive et @colporteur et ainsi de suite...
@tintin Et sinon je suis assez jaloux de ta biographie (son écriture) sur le site de ton éditeur. Pas mieux. Franchement.
@philippe_de_jonckheere ah oui avec plaisir me manque le mail de @rastapopoulos
mon pseudo chez spip point org
Non mais c’est pas juste ! Il y a des gens qui ont mis en favori avant que celleux qui ont fait des commentaires !
ah oui mais c’est le jeu @odilon j’étais le premier à étoiler une
fuite en égypte de @philippe_de_jonckheere il y a 8 mois
▻https://seenthis.net/messages/567935
@vanderling @odilon Ouh là, moi je ne suis pas du tout en train de dire comment @tintin doit faire, si @tintin veut suivre ses bonnes étoiles, libre à lui.
Dans le cas que tu évoques @vanderling les règles étaient posées dès le départ. Là elles sont arrivées bien plus tard... ?
@odilon je ne sais pas s’il y a vraiment des règles pour #shameless_autopromo. Je n’ai toujours pas lu une fuite en égypte @philippe_de_jonckheere de ce fait, je ne saurai apporter une critique à leurs ouvrages respectifs. Je suis content pour @tintin et son premier livre chez verticales.
J’apprends que @tintin à écrit pour le tigre et j’ai encore cette collection tigresque dans laquelle je vais partir à la chasse au bison.
►http://www.le-tigre.net
Oui, c’est super pour @tintin ! Ah ah, Le Tigre, on a relayé ici quelques articles du Tigre...
Je n’ai pas taggué shameless_autopromo mes propres billets signalés sur seenthis, je n’y pense pas. De toute façon c’est en accès libre sur @visionscarto, tout le monde peut les lire en même temps :)
Je préfère commandé mon exemplaire dans ma librairie. Je lie peu et lentement et je veux pas participé à la chaine vous devriez mieux commencer par @kamo
1. Le Tigre ! je crois bien que j’y ai apporté deux brèves contributions. Il y a 10 ans.
2. il va bien falloir que je finisse par confesser ici que je suis la maille rompue de l’une des deux chaînes de propagation (ou pas…) de La Fuite de @philippe_de_jonckheere. J’ai scrupuleusement promené le livre dans mes valises au fil de l’été et régulièrement démarré sa lecture, pour m’interrompre au bout de quelques (dizaines de ?) pages. Avec le retour de l’automne, il me paraît raisonnable d’en tirer les conséquences et de lui faire reprendre sa route.
Ceci est donc un appel à volontaires pour la suite de la chaîne,
et l’occasion de me confondre en excuses auprès de @philippe_de_jonckheere et des amis que j’ai frustrés d’une lecture attendue.
@simplicissimus Tu es d’autant mieux pardonné que tu étais en bout de chaîne. Et donc personne n’attendait derrière toi. Offre-le à qui tu veux. A @tintin par exemple.
Et tu n’as pas à t’excuser non plus de n’avoir pas accroché, une phrase de deux cents pages de long, ça passe ou ça casse, j’en ia parfaitement conscience.
Chères et chers,
à ma grande honte, j’ai oublié de dire que j’ai - apprecié - et tourné la dernière page de la fuite il y a quinze jours et que ça fait quinze jours que je me dis tous les jours qu’il faut que je demande ici à qui je dois envoyer l’ouvrage : @simplicissimus ?
@reka Ben déjà, merci, ça fait plaisir de compter au moins un lecteur en Norvège ! (même si immodestement je me demande si tu ne faisais pas partie d’un public acquis et étoileur ). Et sinon, je crois qu’il vaut mieux choisir quelqu’un d’autre que @simplicissimus justement parce que sinon il va devoir chercher deux personnes à qui l’envoyer. Les deux chaînes sont arrivées plus ou moins à destination en même tmps et pour moi c’était très chouette à suivre, merci à toutes et tous d’avoir fait vivre cette idée rigolote. Rendez-vous en septembre 2018 pour Raffut .
@rastapopoulos devrait le recevoir dans la semaine. Après faîtes comme vous voulez. Vous pouvez aussi le voler, j’aime bien l’idée de court-circuiter les chaînes du livre...
@tintin je vais me le procuré parce que je veux ma dédicace ^^ et si j’en commande à ma librairie la libraire en commendera peut être plusieurs exemplaires (si elle l’a pas déjà c’est une excellente libraire). J’entretiens la chaine du livre sans vergogne :P
@rastapopoulos si j’ai compris le principe du jeu, ca devrait être @kamo lea suivant·e et après @monolecte @intempestive puis @colporteur ...
Bien tout ça, moi je l’acheterai ! Bravo en tout cas !
Reçu ce matin :)
Va falloir que je sois rigoureux pour pas mettre 6 mois à le lire
Claro suit Constantin Alexandrakis dans les ruines de la mythologie grecque. Le feuilleton. La lignée des éphémère, LE MONDE DES LIVRES | 23.11.2017
Il n’est pas donné à tout le monde de naître au sein de la mythologie grecque, d’être à la fois un avatar de Télémaque et d’avoir pour père un descendant de Polyphème (par ailleurs monteur à la télé grecque), en plus d’un grand-père qui danse en blouson de cuir sur une musique de Theodorakis (et réalise des films néoréalistes), une grand-mère actrice (qu’on peut voir dans le film Des quintuplés au pensionnat), une arrière-grand-mère qui a fait les Arts déco, une mère qui est l’incarnation même de la mètis (la ruse) mais également scénariste de téléfilms (Louis la brocante…). Ajoutez à cette salade épique une petite amie répondant au nom de Salomé (qui a des TOC) et une copine égypto-franco-grecque qui s’appelle Danièle mais que le narrateur surnomme Zeus et qui l’invite à passer quelque temps dans l’île d’Ikaria, l’île même où un certain Dédale…
Qui dit dédale dit fil, alors rembobinons. Mais comment rembobiner quand tout est embrouillé ? Pour ça, le mieux encore c’est d’essayer d’imiter Dionysos, de naître deux fois (et là on vous rappelle vite fait l’épithète du Dieu de la démesure – diogonos). Double naissance ? Double saut périlleux en arrière, en tout cas, et c’est à cette périlleuse gymnastique que se livre Constantin Alexandrakis dans
Deux fois né, un récit histrionico-initiatique dans lequel il part sur les traces de son « Géniteur », lequel était mort d’après sa mère, puis un peu moins mort, voire carrément encore vivant, quelque part en Grèce, alors c’est parti, hop, direction Athènes.
Evidemment, quand Constantin part à Athènes, il atterrit à Mexico, peut-être parce qu’il a pris trop d’organic speed au Canada, allez savoir, mais parfois un beau détour vaut mieux qu’un court parcours, et de toute façon il finit par se rendre en terre hellène, télémachie oblige, et cherche à entrer en contact avec son possible papa. Mais attendez ! La Grèce ? Fin 2011 ? Il ne se passerait pas des choses plus importantes là-bas que la recherche de la paternité ? De toute façon, son « Géniteur » ne peut pas le voir, et doublement, puisqu’il subit une opération des yeux (suivez le cyclope…). Constantin se retrouve dans un pays piétiné par la Crise (avec un C majuscule, et tout qui bascule), il erre dans le quartier d’Exarchia, le coin anar d’Athènes, au nord de l’Acropole. Il rend compte du chaos : « On voit QUEER REVOLUTION (Will leave us all pregnant). Puis une grenouille bleue, au sommet d’un arbre tropical, peinte à même la devanture d’un restaurant. Une projection ecchymose-azur, certainement faite par un extincteur détourné. JOIN THE HOMOSEXUAL INTIFADA. Une jeune fille, dessinée en noir et blanc, dont le visage est enveloppé par un genre de poulpe avec une tête de mort. (…) On finit par un nombre conséquent de personnages déprimés, jaunes, les yeux bas, avec un masque à gaz recouvrant une peau gris-violet-malade. »
Mais notre crypto-Télémaque n’est pas juste le reporter azimuté d’une réalité en plein dépiautage économique, il est avant tout boulimique de savoir. Ultime ruse de l’autodidacte : plus je m’aperçois que la vie donne des leçons, plus je prends des cours de rattrapage. Constantin Alexandrakis fait donc moisson de connaissances. Il apprend des mots (grecs, bien sûr), se passionne pour les logiques circulaires et les phrases-boucles, s’intéresse à Sappho, au clinamen, à l’astronomie arabe, à la vie de Maria Callas, dévore Vernant et transpose même le principe de la powerball à l’intellection de l’univers. Certes, il envisage toujours un test ADN pour savoir si, oui ou non, le dénommé et élusif Yevette Tsunodapoulos est son père, mais son obsession patrimoniale lui sert avant tout de turbine psychique. « Il vaut mieux être veuve que fille-mère », préfère penser sa mère. Constantin, lui, a choisi de s’appliquer le principe d’incertitude : il a et n’a pas un père, et c’est dans cet interstice qu’il se glisse, sans cesse en mouvement, comme le poulpe – « Au lieu d’être le jouet du mouvement, il en est le maître insaisissable. » D’ailleurs, quand Constantin cesse de trimarder, il déprime, s’enlise, le sur-place ne lui convient pas, sa plume prend l’eau – « Je me paye un genre d’œdipe-hibernatus ou de rétro-complexe ou de névrose boomerang. »
Deux fois né est un livre littéralement décousu, furieusement enjoliveur et chahuté par cette fameuse mètis grecque, qui « s’applique (…) à des réalités fugaces, mouvantes, déconcertantes et ambiguës ». Le gai savoir y côtoie le fol vouloir, à tout moment on est ici, puis là, comme si l’auteur, en navette instable, cherchait à éprouver trop de fils à la fois et voulait s’assurer que l’inventeur de la roue a également inventé le zéro, donnant ainsi le feu vert à tous les vertiges possibles. A mille stades du roman de formation, Constantin Alexandrakis, tel « un délinquant juvénile en panique existentielle », arpente les ruines roublardes de la mythologie, s’égarant dans sa quête, enquêtant dans son égarement, conscient que, si la fête est finie, il reste bien des choses à célébrer. A commencer par les noces de l’Un et du Multiple. Et ça, Deux fois né, sorte d’odyssée-maraude doublée d’un état des lieux en crise, y parvient avec une frénésie et une curiosité indomptables.
(je passe mon tour pour l’exemplaire en circulation, en ai déjà un)
#dithyrambe3.0
J’en profite pour un point : j’en suis au 2/3 (oui je suis lent, toutes mes excuses).
@tintin Carrément, une chronique de Claro ! La classe internationale. Et sinon ton livre est plus ou moins sur le dessus de la pile chez moi :
γεια σου βρε Τιντίν !!!!! η κριτική σκίζει (αλλά πολύ περισσότερο το βιβλίo....) φιλιά
tout le monde n’a pas le courage de Constantin Alexandrakis :
The “Prix du Courage politique” (Political Courage Prize) was presented to Tsipras by the founder of the magazine “Politique Internationale” Patrick Wasjman. At the ceremony in Paris Tsipras said that the award belongs to the Greek people. "The award that I receive today belongs to the Greek people and I accept it on their behalf.”
(...) As part of his visit, Tsipras will also meet with French businesspeople who are interested in investing in Greece.
▻http://greece.greekreporter.com/2017/11/23/greek-pm-tsipras-receives-political-courage-award-in-france
C’est cool ouais ! merci ! ça schize en effet @kaparia ahaha
J’en suis à un tiers (commencé il y a peu)
Dans la salle d’attente
De l’orthophoniste
Je dévore deux fois né
@tintin je suis admiratif
Ce sample de mythologie grecque
Putain de nécessité !
L’Œdipe à l’envers
Les chants désaccordés des sirènes
Sur les murs de la ville
La vie dans les parenthèses
Parfaitement bordées
Je recompte à chaque fois
Des fois je pense au Döblin
De Berlin Alexanderplatz
Pour l’invasion des traductions typographiques
C’est pas souvent
Que les contemporains
Me tutoient comme ça
(j’y reviendrai), mais putain qu’est-ce que ça part fort !
merci @philippe_de_jonckheere ! En espérant que la suite soit à la hauteur !
Un peu comme @simplicissimus pour l’autre livre, j’ai promené celui-ci pendant les deux dernières vacances, sachant que je lis lentement et essentiellement quand je voyage pour les livres papiers. Mais j’ai fini par le finir, avant hier ! Et c’était super !
À qui le tour, morbleu ?
Culte du cargo, innovation, consulting et baby-foot
▻http://archiloque.net/blog/cargo-cult
21C/19C Procedures for Anthropometric Image Reversal - Antje Van Wichelen
▻http://nadine.be/project/extra-muros/21c19c-procedures-anthropometric-image-reversal-antje-van-wichelen
Pour ceusses qui sont à #Bruxelles et qui veulent discuter photographie, histoire et anthropologie visuelle. Welcome, demain soir à partir de 19:00.
#shameless_autopromo
▻http://nadine.be/sites/default/files/styles/rizo-illu-2/public/posts/Create%20Post/illustration/ITG_03040023_0.jpg?itok=QSyPQrPQ
HEY ! ART MAG starts a SEASON #2 by HEY ! modern art & pop culture — Kickstarter
▻https://www.kickstarter.com/projects/1246864021/hey-art-mag-starts-a-season-2
Aujourd’hui, après 7 années d’existence et 31 numéros, nous avons besoin de votre soutien. Pour renforcer la mission de HEY !, nous souhaitons :
1) publier la revue en numérique (sortie décembre 2017)
2) publier un beau livre (6 mois nécessaires de production, sortie mars 2018)
Rejoignez-nous, aidez la production de ces 3 numéros (2 numériques + 1 Beau Livre Deluxe)
Habités par notre dévorante passion pour les territoires affranchis de la norme, nous nous battons pour créer une alternative à la vision d’une culture unilatérale, pour contribuer à dévoiler un pan entier de l’art contemporain dédaigné par les critiques et le grand marché. Cette démarche aide les artistes à franchir les portes verrouillées des musées et galeries d’art. Pour remplir cette mission, nous avons créé une revue unique en son genre. Dédiée aux arts figuratifs pop contemporain et issus des codes de la contre-culture mondiale, elle retransmet l’énergie essentielle et spécifique de notre époque. Notre revue d’art HEY ! modern art & pop culture est bilingue (FR+ANGL) et s’adresse au monde entier. Elle présente les arts outsider et figuratifs pop hors normes (Lowbrow, Surreal Pop, Visionary art, Tattoo art, Graphic Novel, Comics, Rock Poster, Post Graffiti, Art Singulier...) et l’ensemble des arts graphiques dérivés de la culture pop en tant qu’expressions majeures de notre temps ; émanations nobles, issues de l’intelligence populaire.
Je travail avec HEY ! et il y a des sérigraphies et un dessin de moi dans le #crowdfounding alors je tag fièrement #shameless_autopromo #HEY !
A propos ! Je suis toujours OK pour t’acheter un parchemin de sort ;-)
Peu de femmes hélas dans les « contreparties »...
#ALËXONE_DIZAC #Shawn_BARBER #Dave_COOPER #Mike_DAVIS #Daniel_Martin_DIAZ #EASY_SACHA #HANDIEDAN #Tom_HUCK #Jean_LABOURDETTE #mad_meg #Chris_MARS #Mr_DJUB #Thomas_OTT #Paul_TOUPET #Marion_PECK #Mark_RYDEN #Pol_TURGEON #Dana_WYSE
Cool @fsoulabaille on en discutera jeudi :)
Et pour les contreparties c’est vrai qu’on est pas nombreuses, je leur poserais la question.
voyelles at gmail.com
A New York dans l’étau de la gentrification | Vincent Gerber
▻https://www.lecourrier.ch/152627/a_new_york_dans_l_etau_de_la_gentrification
A la fin des années 1980, le Lower East Side fait face à une politique violente d’expulsions. Seth Tobocman témoigne dans « Quartier en guerre », une BD d’une puissance inouïe enfin traduite. Source : Le Courrier
Un article ici déjà :
►https://seenthis.net/messages/613800
Et un autre, #shameless_autopromo :
Seth Tobocman
Dror, Entre Les Oreilles, le 28 juin 2017
►http://entrelesoreilles.blogspot.ca/2017/06/elo285-seth-tobocman.html
#Seth_Tobocman #Quartier_en_guerre #BD #squats #gentrification #New-York
Long Before Photoshop, the Soviets Mastered the Art of Erasing
People from Photographs — and History Too | Open Culture
►http://www.openculture.com/2017/08/long-before-photoshop-the-soviets-mastered-the-art-of-erasing-people-fr
Le commissaire disparait !
Adobe #Photoshop, the world’s best-known piece of image-editing software, has long since transitioned from noun to verb: “to Photoshop” has come to mean something like “to alter a photograph, often with intent to mislead or deceive.” But in that usage, Photoshopping didn’t begin with Photoshop, and indeed the early masters of Photoshopping did it well before anyone had even dreamed of the personal computer, let alone a means to manipulate images on one. In America, the best of them worked for the movies; in Soviet Russia they worked for a different kind of propaganda machine known as the State, not just producing official photos but going back to previous official photos and changing them to reflect the regime’s ever-shifting set of preferred alternative facts.
@reka sur ce sujet, j te recommande fort la lecture du Commissariat aux archives d’Alain Jaubert.
#shameless_autopromo : ▻https://www.desordre.net/bloc/2002_10_27_archives.html#83927144
Prince - Sign O’ The Times (Official Music Video) - YouTube
►https://www.youtube.com/watch?v=8EdxM72EZ94
La Chanson Politique du Mois : #Prince - Sign O’ the Times
Dror, Mazette, novembre 2020
►https://seenthis.net/messages/845098
OPIUMS ?
En faisant une petite prospection sur le web à la recherche d’articles sur mes dernières expos je suis tombé sur une exposition collective à laquelle je participe sans le savoir ! Ca se passe à l’abbaye d’Auberive près de Dijon ca dure jusqu’au 7 octobre 2017 et c’est une expo d’art sacré ! Je présume que c’est un sort qui y est exposé.
▻http://www.dailymotion.com/video/x5p3ctf_opiums-a-l-abbaye-d-auberive_tv
La collection de l’abbaye d’Auberive est essentiellement centrée sur l’humain, sa complexité, son animalité, ses joies et ses vicissitudes. Il en ressort également une part de cette recherche de l’inexplicable, du rêve, du mystique, de surréalisme, de ce besoin de donner un nom à ces aspirations, de croire. (…) L’homme a horreur du vide.
Lorsqu’il chasse une religion, une philosophie ou une croyance c’est pour la remplacer par une autre… Croire, n’est ce pas l’opium définitif ? (Art d’Afrique et d’Asie, Art religieux européen, Art de propagande Mao, Art contemporain).
Artistes contemporains
Philippe AINI – Alexandre ALFANDARI – Pierre AMOURETTE
Lydie ARICKX – BADIA – Madhjoub BEN BELLA – Pierre BETTENCOURT
Stéphane BLANQUET – Joseph-Emmanuel BOUDEAU – Georges BRU
Patrice CADIOU – CARRE LINE – Fabian CERREDO – Gaston CHAISSAC
Robert COMBAS – Antoine CORREIA – DADO – Daniel MARTIN DIAZ
Jephan DE VILLIERS – Philippe DEREUX – Fred DEUX – Jacques DOUCET
Yolande FIEVRE – Louise GIAMARI – Fred KLEINBERG – Youcef KORICHI
Bengt LINDSTROM – Joël LORAND – Gatien MABOUNGA – Michel MACREAU
MAD MEG – Tagami MASAKATSU – Eudes MENICHETTI – NASSON
Stani NITKOWSKI – Marc PETIT – Marcel POUGET – Raphaëlle RICOL
Arnaud ROCHARD – Paul RUMSEY – Jean RUSTIN – SOREN – René STRUBEL
Angel VALDES – Roland VANTUSSO – Vladimir VELICKOVIC
Joel-Peter WITKIN – Du ZHENJUN
Bah l’abbaye d’Auberive doit avoir acquis un de mes dessin. Je ne sais pas souvent qui sont les personnes qui achetent mes dessins. Là il semble que l’un de mes dessin fasse partie de leur collection et comme c’est une expo de leurs collections je découvre que j’en fait partie. C’est trop la classe !
C’est un magnifique lieu au passage avec un très bon collectionneur privé.
Ça vait vraiment le coup d’y faire un tour.
Je manque d’objectivité mais ca à l’air superbe (le lieu et l’expo) et j’approuve la qualité des choix du collectionneur avec la même objectivité :)
Je m’organise pour y faire un tour d’ici octobre.
Si tu vas dans ce coin là, essaie de rencontrer les gens de la maison Laurentine peut être aussi qui travaillent avec Auberive de temps en temps : ►http://www.laurentine.net
Je dis ça car persuadé que ton travail peut intéresser là
Merci @kent1 je vais m’organiser pour y passer sur le chemin. :)
Arabic Funk
Dror, Entre Les Oreilles, le 19 juillet 2017
▻http://entrelesoreilles.blogspot.ca/2017/07/elo288-arabic-funk.html
▻http://www.drorlist.com/Tadamon/WorldSkipTheBeat100717.mp3
Emission de radio World Skip The Beat, sur CKUT (90.3 FM à Montréal), le 10 juillet 2017 de 12h à 14h, avec Mostafa et Dror : funk arabe, pop-funk, jazz-funk et disco funk, des années 1970 et 1980...
01) Abadane (Never) - Hourya (Freedom) - Algérie (1970)
02) Al Zman Saib (Difficult Times) - Fadoul - Maroc (1971)
03) Sid Redad - Fadoul - Maroc (1975)
04) Nisyan (Forgetfulness) - Ahmed Fakroun - Libye (1977)
05) Do You Love Me - Bandale Family - Liban (1978)
06) Egypt Strut - Salah Ragab - Egypte (1973)
07) Les Vacances De L’Inspecteur Tahar (Inspector Tahar’s Holiday) - Ahmed Malek - Algérie (1973)
08) Le Silence des Cendres (The Silence of the Dead) - Ahmed Malek - Algérie (1976)
09) Abu Ali - Ziad Rahbani - Liban (1978)
10) Shish Kebab (Disco Belly Dance) - Ihsan Al Munzer - Liban (1980)
11) Sah (Good) - Al Massrieen (The Egyptians) - Egypte (1980)
12) Mafatshe Leh (Don’t Look for Him) - Al Massrieen (The Egyptians) - Egypte (1980)
13) El Disco - Khamis Henkesh - Egypte (1983)
14) Sahranin (Night Owls) - Ahmed Fakroun - Libye (1983)
15) Track 1 - Ibrahim El Hassan - Soudan (1984)
16) Sala Min Shaaraha A-Thahab (Gold Streamed Down from Her Hair) - Salah Ben Al Badiya - Soudan (1970s)
17) Laylat Wadaa (Farewell Night) - Zedan Ibrahim - Soudan (1970s)
18) Helwa Eyounik (Your Eyes are Beautiful) - Abu Araki Al Bekhet - Soudan (1970s)
19) Lela - Hakim et James Brown - Egypte et USA (2004)
#Musique #Funk #Disco #Jazz #Musique_arabe
#Musique_et_politique #Histoire #Entre_les_oreilles #shameless_autopromo
New York | Quartier en guerre
▻http://laboratoireurbanismeinsurrectionnel.blogspot.de/2017/07/new-york-quartier-en-guerre.html#more
►http://www.sethtobocman.com/index.html
""Couvre-feu, violences policières, expulsions... Les politiques sécuritaires et la spéculation immobilière s’attaquent au quartier populaire du Lower East Side à Manhattan, au coeur des années Reagan. Ses habitants résistent : squats, manifestations sauvages, émeutes...
Ce roman graphique raconte une décennie de luttes par une succession de portraits où se croisent les vies tumultueuses d’immigrés, de sans-abri, de punks... des pauvres pour qui la solidarité et l’auto-organisation deviennent des armes.
Au plus fort de son art du reportage, Seth Tobocman signe un livre d’une rare finesse, écrit sur plus de dix ans, alors qu’il squattait lui-même à deux pas du centre mondial de la finance."
All of this activity led to an attempt by the city to crush the movement. But people fought back. From 1988 to 1992 there were a series of riots in the neighborhood. The Lower East Side became the focus of an international struggle for human rights.
I decided to get more involved and so I became a member of Umbrella House, a squat on Avenue C. I worked on renovating the building and ran a printing press on the first floor with the help of Sarah Hogarth. I was involved in defending the building against an eviction attempt, which got pretty hairy.
I also worked on defending the other squats and participated in lots of other protests. I was arrested about twenty times and convicted twice. Eventually my lawyer, Stanley Cohen, advised me to cool it. He said that the D.A. had justa bout had it with me and that if I continued the consequences would get serious."
#shameless_autopromo : j’avais commis un article sur ce livre :
Seth Tobocman
Dror, Entre Les Oreilles, le 28 juin 2017
►http://entrelesoreilles.blogspot.ca/2017/06/elo285-seth-tobocman.html
#Seth_Tobocman #Quartier_en_guerre #BD #squats #gentrification #New-York
▻https://charybde2.wordpress.com/2017/07/02/note-de-lecture-une-fuite-en-egypte-philippe-de-jonckheere
Ce qui frappe aussi est la justesse absolue, sans auto-complaisance, des phrases qui se succèdent et qui ne cachent rien des angoisses, des peurs et parfois de l’humour d’un homme qui nomme tout et met à nu la douleur et tous les angles morts du deuil, sombres, éprouvants ou drôles, au fil des motifs répétés, musicaux, à la manière d’une fugue.
Après une tel éloge je vais être obligé d’aller dans cette librarie et leur acheter quelques pléiades. Tout ceci va finir par me coûter cher.
▻https://addict-culture.com/philippe-de-jonckheere-une-fuite-en-egypte-inculte
Des ombres retournées à l’ombre – Une fuite en Egypte
Le livre est un bloc mais entaillé partout par des points-virgules. Les autres signes de ponctuation sont absents. On se retrouve à mettre son propre rythme de lecteur dans les phrases de Philippe de Jonckheere. Ce qui pourrait apparaître comme une coquetterie de style produit un effet saisissant, comme si on contribuait en partie au livre par cette lecture forcément personnelle, tellement marquée par l’originalité de la structure rythmique. Tout cela laisse des traces et fait d’Une fuite en Egypte, un livre que l’on ne peut oublier. De ceux qui réussissent à faire coïncider la banalité des choses de la vie, ce qu’elles ont parfois aussi de plus extraordinairement terribles dans un équilibre pudique et en même temps bouleversant.
The #shameless_autopromo never stops
#une_fuite_en_egypte
▻http://remue.net/spip.php?article8946
L’écriture de Philippe De Jonckheere impose immédiatement un univers, décrivant sans concession les soubresauts, les heurts d’une intimité meurtrie. Le livre est une implosion infinie, laissant le narrateur au milieu de ruines intérieures qu’il explore en aveugle, ou de constructions de mondes possibles qui surgissent violemment.
Là franchement, Sébastien, je ne sais plus où me mettre. Sans compter que jusqu’à la lecture de cet article je n’avais aucune idée que je faisais, comme Monsieur Jourdain, de l’épanorthose, sans le savoir. Et sans en avoir l’air.
“Représentation de la surface entière de la terre dans un triangle équilatéral”
une petite contribution au logiciel libre #d3.js et à l’histoire des #projections_cartographiques :
La projection conforme de Cox, par Philippe Rivière - @visionscarto
▻https://visionscarto.net/la-projection-conforme-de-cox
#projections #mathématiques #pavages
(on remercie au passage #sci-hub sans qui jamais cette #shameless_autopromo n’aurait été possible !)
Six triangles équilatéraux font la ronde
Trop choubidou cette ronde :)
traduit en espagnol par @severo (¡gracias!)
▻https://visionscarto.net/la-proyeccion-conforme-de-cox
in English:
Cox conformal projection
▻https://visionscarto.net/cox-conformal-projection
Un petit développement autour du #multilinguisme en #SPIP pour @orientxxi (#shameless_autopromo donc).
Le site était à l’origine en une seule langue, avec tout de même la possibilité de publier quelques articles en anglais ou en arabe, mais avec une interface de navigation générale en français.
Les versions en anglais (57 articles) et surtout en arabe (176 articles) se développant, les versions arabe et anglaise sont devenues plus « autonomes » en début d’année, c’est-à-dire qu’on devait plus ou moins naviguer entièrement en anglais ou en arabe ? Avec les modifications de cette semaine, les langues sont nettement plus « séparées » :
– les pages d’accueil en anglais et en arabe ont un « look » plus travaillé, à la manière de la page d’accueil générale :
▻http://orientxxi.info/langue_ar
▻http://orientxxi.info/langue_en
Pour l’instant la « sélection d’article » de ces pages utilise la même liste « générale » que pour la version française (puisque la sélection d’article générale contient généralement aussi les derniers articles en arabe et en anglais).
– surtout : quand on clique sur un nom d’auteur ou un thème, on le fait désormais dans la langue de l’article, sous la forme :
▻http://orientxxi.info/en/auteur/alain-gresh
▻http://orientxxi.info/ar/auteur/alain-gresh
Noter que la langue est indiquée en début de chemin dans l’URL : /en/ ou /ar/. Dans le .htaccess, ça donne :
RewriteRule ^(en|ar|fr|es)\/(.*) /$2?lang=$1 [QSA,L]
Ainsi les pages d’auteurs et les pages de mots-clés s’affichent dans différentes langues. Ainsi que les pages avec deux mot-clés cumulés. Dans tous les cas, on n’affichent plus que les articles « dans la bonne langue », ce qui évite désormais de basculer d’une langue à l’autre à l’insu de son plein gré.
– du coup, la page « Index » (tous les mots-clés) devient elle aussi multilingue :
▻http://orientxxi.info/ar/informations/index
▻http://orientxxi.info/en/informations/index
(il reste à traduire les noms des groupes de mots-clés dans l’espace privé).
Et trois autre petites choses en arabe :-)
– les virgules dans les bylines (après le nom de l’auteur)
– les guillemets dans le bon sens dans les textes
– les chiffres en mashriki (pour moi c’est un casse tete, c’est pour cela que tous les textes arabes je les édite sur Mac)
Alors du coup j’ai corrigé les virgules « arabes » qui apparaissaient avec les noms d’auteurs. Et les accueils en anglais et en arabe passent de /langue_ar à /ar tout court.
▻http://next.liberation.fr/livres/2017/06/09/la-blue-note-de-de-jonckheere_1575759
L’auteur y réussit avec talent, à la manière d’un jazzman parti dans une longue impro subtile, ponctuée de reprises et de variations. La blue note de De Jonckheere tient dans la rythmique que lui offre un signe de ponctuation un peu délaissé : le point-virgule.
Ca, plus une comparaison d’avec le monologue de Molly Bloom de Joyce, mes enfants sont inquiets que je devienne vraiment insupportable à la maison, ou comme ils disent, genre que je prenne le melon.
Je n’y coupe donc pas : #shameless_autopromo
#une_fuite_en_egypte
On m’aurait dit en février 1988 quand j’y habitais que le mur de Berlin tomberait l’hiver suivant ( ▻http://www.desordre.net/photographie/berlin et ►http://www.desordre.net/bloc/ursula/2014/cinquantaine/pele-meles/022.htm )
On m’aurait dit un jour que j’aurais cinquante ans. (▻http://www.desordre.net/bloc/ursula/2014/cinquantaine )
On m’aurait en 1989, quand je vivais à Chicago, qu’un jour le Président des Etats-Unis serait noir. ( ▻http://www.desordre.net/bloc/ursula/2014/cinquantaine/pele-meles/045.htm )
On m’aurait dit un jour que j’aurais cinq enfants (3+2). ( ►http://www.desordre.net/bloc/vie/reprise/avalanche.htm )
On m’aurait dit, quand j’étais au lycée qu’un jour je travaillerais en République tchèque. ( ▻http://www.desordre.net/textes/nouvelles/quoi_maintenant )
On m’aurait dit un jour, en 1986, quand je suis rentré aux Arts Déco, que je serai informaticien plus tard ( ▻http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/textes/extraits/chevres001.htm )
On m’aurait dit un jour que je devrais me souvenir d’où se trouvent tous mes bulletins de salaire pour songer à la retraite.
On m’aurait dit un jour qu’un jeune homme me laisserait poliment sa place assise dans le métropolitain
On m’aurait un jour, le jour où j’ai contemplé tout Manhattan depuis les fenêtres de la cafétaria du World Trade Center, au dernier étage, en plein soleil couchant, que quinze ans plus tard c’est comme si je vivais en plein ciel plein ciel. ( ▻http://www.desordre.net/bloc/ursula/2014/cinquantaine/pele-meles/037.htm )
On m’aurait dit en 1987, alors que je voyais ma première connexion internet entre les Arts Déco et Cooper Union à New York, que je vivrais plus tard dans un tel monde, que je verrais un tel monde de mon vivant. Il n’a fallu attendre que sept ans ! ( ▻http://www.desordre.net/bloc/ursula/2015/pages/020.htm )
On m’aurait dit un jour surtout en décembre 1986 que je voterai Chirac une fois ( ▻http://www.desordre.net/bloc/ursula/2014/cinquantaine/pele-meles/038.htm )
On m’aurait dit un jour que je serrerai la main de Susan Sontag
On m’aurait dit un jour que je serai l’assistant de Robert Heinecken ( ▻http://www.desordre.net/photographie/photographes/heineken/hommage )
On m’aurait dit un jour que l’an 2000 ce serait du passé. On m’aurait dit un jour que 1984 ce serait le présent
On m’aurait dit un jour que je retournerai au Val André, 35 ans plus tard
On m’aurait dit un jour que je serai tellement renseigné à propos de l’autisme
On m’aurait dit un jour que je pleurerai comme un enfant d’un chagrin d’amour à cinquante deux ans
On m’aurait dit que je ne voterai plus
On m’aurait dit un jour que je passera (plusieurs fois) sur France Culture ( ▻https://www.franceculture.fr/personne-philippe-de-jonckheere #shameless_autopromo )
On m’aurait dit un jour que je serai marié avec une chanteuse de folk ( ▻http://www.deezer.com/album/7827193 )
On m’aurait dit un jour que je péserai jusqu’à 145 kilogrammes
On m’aurait dit un jour que je serai grand-père (par adoption) ( ▻http://www.desordre.net/bloc/ursula/2015/pages/206.htm )
On m’aurait dit un jour que je serai invité dans une université américaine et que je refuserai d’y aller
On m’aurait, quand je vivais à Chicago, que le fils Bush et que Trump seraient élus président des Etats-Unis
On m’aurait un jour que je verrai Patti Smith en concert et qu’elle aurait 70 ans !
On m’aurait un jour, en avril 1988, quand je jetais des tomates sur François Léotard, ministre de la culture en visite aux Arts Déco, qu’un jour en 1993 quand je me suis fait pousser de côté par les gardes du corps de Toubon, ministre de la culture pour que ce dernier puisse saluer Robert Doisneau avec lequel j’étais en train d’échanger gentiment, que je serrerai poliment la main d’une ministre de la Culture (l’actuelle, il y a deux mois au salon du livre).
On m’aurait dit un jour que je serrerai la main de Fabien Galthier
On m’aurait dit un jour qu’un ami cher qui venait de décéder était en fait le petit-fils du fondateur de l’Institut D’étude des questions Juives en 1941
On m’aurait dit un jour que mon fils prendrait des cours de piano avec une vieille dame polonaise qui se cachait des Nazis dans la même cave humide que Simon Wiesenthal
On m’aurait un jour que je passerai tout près de deux attentats terroristes (La Défense le 12 septembre 1986, rue d’Alibert, 13 novembre 2015) ( ▻http://www.desordre.net/bloc/ursula/arthrose )
On m’aurait dit dans les années septante que nous ne mourrerions pas tous dans une apocalypse nucléaire.
On m’aurait un jour que je serai plus vieux que le président de la république (mais ces dernières années je sentais le coup venir)
On m’aurait un jour que j’écrirai des romans.
Voilà, c’est un premier jet de #on_m_aurait_dit
On m’aurait un jour que l’on dépenserait tant d’énergie à stocker tout l’inutile produit par et pour une toile virtuelle où chacun peut venir s’épancher sans vergogne.
#on_m_aurait_dit
▻http://www.humanite.fr/philippe-de-jonckheere-le-desordre-et-lecriture-du-deuil-636686
Philippe de Jonckheere, par la violence même de son récit, par l’effet de masse du texte, joue subtilement sur la distance que le lecteur prendra avec lui. Le roman, en effet, ne mise pas tout sur la sidération. Les moments souriants, ironiques, voire comiques, ne manquent pas. Et l’émotion se fait parfois poignante par sa douceur même, comme ce moment où le narrateur prend conscience de la disparition progressive de l’odeur de sa femme, chassée par la sienne propre. Face à l’expérience de deuil, Philippe de Jonckheere pose celle de la littérature. Au lecteur de s’en saisir.
Avec une entrée aussi fracassante dans la littérature , je ne coupe pas, je ne crois pas, au tag infamant #shameless_autopromo
#littérature :) C’est génial tout cela. Moi, je suis fier de toi. j’attends donc le livre avec l’impatience que tu devines. Mais j’ai mauvaise conscience. Je soutiens normalement le petit commerce, et j’aurai donc du acheter l’ouvrage...
@reka Soulage ta conscience torturée en l’offrant ! (Je dis ça, je ne dis rien)
▻https://www.franceculture.fr/emissions/poesie-et-ainsi-de-suite/poesie-et-chair
Aujourd’hui, je cause dans le poste, sur France Culture, à 15 heures, dans l’émission La Poésie et ainsi de suite de Manou Farine. sont également invités à cette émission, Francçoise Decquiert et vincent Labaume, autour des deux expositions de Michel Journiac.
Je repasserai en fin d’après-midi pour donner le lien du poadcast (notamment pour @monolecte qui préfère 17 heures, le moment où la journée bascule).
Bon alors pour @monolecte qui préfère après 17H :
Et sinon un extrait d’ Une journée réussie , qui est un texte qui décrit les coulisses de cette journée exceptionnelle :
Il faudrait que je relise l’ Essai sur la journée réussie de Peter Handke pour me rappeler si, oui ou non, un désagrément, même un seul, même léger, est une manière d’ingrédient nécessaire pour qu’une journée réussie soit effectivement complète, j’ai le souvenir que oui, j’ai l’intuition que oui.
Le désagrément mineur est advenu dans les couloirs du métropolitain pour rejoindre Mille pages à Vincennes, où, le soir-même, je devais rencontrer des lecteurs, lire des extraits d’ Une Fuite en Egypte , dédicacer et répondre aux questions sagaces de Pascal Thuot, l’excellent libraire et, last but not least , boire un coup et déguster des excellents fromages de la crèmerie de Vincennes, selon la plus pure tradition des rencontres de la librairie. Je venais de passer le portillon, une contrôleuse me demande mon billet, je le lui tends, elle me demande ma carte de famille nombreuse pour justifier de la réduction du prix du billet, ma carte, comme on le sait à la lecture de Le Rapport sexuel n’existe pas (autre texte en cours, ndlr), est expirée et j’ai fait œuvre d’une procrastination hors de propos ces derniers temps, ce que je tente d’expliquer, patiemment, à cette préposée, pas tant la procrastination coupable, mais la lenteur du renouvellement, tout en lui fournissant des preuves manifestes, irréfutables même, du fait que je suis effectivement un père de famille nombreuse. Attestation de sécurité sociale et de mutuelle, sur lesquelles les enfants sont dûment enregistrés, n’adoucissent pas son inflexibilité, je lui fais également remarquer que parmi les enfants en question, elle peut remarquer que l’un d’eux, Émile, est handicapé, non que je cherche à l’apitoyer, mais simplement à lui suggérer que je peux faire face à des contingences un peu extraordinaires qui font passer en arrière-plan le caractère administratif de l’existence, j’exprime vraiment les choses de cette manière, un peu comme un type qui sortirait d’un studio d’enregistrement de la maison de la radio pour une émission littéraire sur France Culture, mais l’inflexibilité demeure, la préposée m’annonce qu’elle ne peut pas prendre, seule, LA décision de la clémence et m’aiguille vers son chef, un homme supérieurement cadastré, qui ne cesse de répéter que son travail est strictement borné à la constatation des infractions et, qu’en la matière, il y a, positivement, infraction constatable, infraction, dont je tente, en vain, de lui faire remarquer qu’elle est, tout de même, limitée à 70 cents ― là aussi je fais l’effort, mal récompensé, de dire soixante-dix cents et non septante cents ―, je tente également de faire valoir que mon existence connait, en dehors de cette écrasante déception amoureuse dont je suis, malgré tout, en train de me remettre, mais dont je ne parle, tout de même pas, au contrôleur retors, auquel, en revanche, je détaille, malgré tout, donc, quelques-unes des vicissitudes irréfragables que connaît mon existence, mais tout cela en vain, je m’en rends bien compte, la sentence tombe, en dépit de tout, trente-cinq euros tout de suite ou quatre-vingt-cinq euros à réception postale de l’amende forfaitaire ! J’oppose à mon locuteur du moment, inutilement je le sais, mais pour le plaisir désormais, et lui montrer que je suis très fort en calcul mental, que la sanction est cinquante fois supérieure au préjudice subi par la Régie Autonome des Transports Parisiens, préjudice par ailleurs virtuel, puisque j’ai véritablement, dans l’absolu, droit au tarif de famille nombreuse. Je pousse un peu plus outre le raisonnement en maintenant tonalité de voix et niveau de langage soutenu du type qui sort de la maison de la radio, et continue de discourir avec la componction de rigueur en pareil cadre, et l’invite, je suis lancé, à une relecture prochaine de Stanley Milgram, et je fais même l’effort d’un peu de vulgarisation, signalant à son intention, que lesdites expériences de Milgram sont au cœur d’un film de fiction célèbre, I comme Icare d’Henri Verneuil, qu’il a peut-être vu à la télévision, ou encore d’ Expérimenter de Michael Almereyda sorti l’année dernière au cinéma, si je continue d’en rabattre comme cela je vais finir par être invité sur France Inter plutôt que sur France Culture, et pendant que je tente de lui expliquer avec ma plus belle voix d’intervenant radiophonique que son entêtement, le mot est lâché, contribue à rendre notre société inhumaine, le raisonnement des conducteurs des trains vers les camps de la mort n’est plus très loin, je sens monter en moi une vague puissante d’un calme inédit, là même où devrait s’enclencher des réflexes de forcené, mais voilà, les bénéfices de trois psychanalyses ― je savais que cela allait resservir ― et des échanges de fond de court avec le John McEnroe de la psychanalyse ce matin, au cours desquels nous sommes gaillardement remontés jusqu’aux origines de mon sentiment d’injustice, me détournent de ma colère ou encore de la tentation, tout lecteur de Stanley Milgram, et tout invité d’émission littéraire sur France Culture que je sois, d’abaisser mon centre de gravité, comme on dit dans les manuels de rugby ― je savais que le rugby allait resservir ― de le raffuter, sans violence excessive ― encore qu’il y ait une différence de masse manifeste entre le contrôleur et moi ― et d’aller prendre ma rame dont j’entends l’approche, mais, est-ce de la sorte qu’on agit en sortant de la maison de la radio, qu’on a devisé à propos des sources mêmes de son écriture, qu’on a écouté Françoise Decquiert et Vincent Labaume parler à propos de Michel Journiac ? Non, sans doute pas. Je paye donc mon amende, non sans ironiser auprès du contrôleur obtus que le montant qui vient de m’être extorqué par la Régie Autonome des Transports Parisiens ― un vrai rapt à la RATP ― dont il est l’agent, et donc, en bon milgramien , la personnalité agentique par excellence, correspond, à cinquante cents près, à celui d’une séance d’orthophonie pour mon fils Émile. Mais je suis un peu déçu, il faut bien l’avouer, de constater que le contrôleur ne m’écoute plus et que je suis en train d’échouer à le convaincre de la nécessité, pour lui, prochainement, de lire Stanley Milgram, dont je me fais la réflexion que je devrais TOUJOURS avoir sur moi un exemplaire de Son Expérience sur l’obéissance et la désobéissance à l’autorité , quand je pense au poids exorbitant de nombre des accessoires photographiques que je transporte quotidiennement, dans ma besace de photographe, et qui ne servent pas tous, pas tous les jours en tout cas, le poids de ce petit livre serait marginal dans la lourde besace et autrement utile dans la vie de tous les jours. Et je perds toute mesure, l’esprit de Michel Journiac souffle violemment sur moi, je me prends à imaginer une manière de performance qui consisterait à faire des lectures publiques d’ Expérience sur l’obéissance et la désobéissance à l’autorité , à quelques encablures seulement, de ces barrages filtrants de contrôles de validité des billets. Je conclus finalement l’échange avec cette personnalité agentique obtuse, au point d’être étroite, en lui faisant remarquer qu’avec lui j’avais surtout eu le droit de me taire et encore qu’on pouvait me l’enlever. Je crois que là, je l’ai vraiment perdu. Et j’en viens même à me demander si je n’ai pas commis l’irréparable, le concernant, en lui inoculant un des vers qui me rongent depuis des dizaines d’années, bousillant prochainement son sommeil et le poussant probablement à la boisson, l’acculant peut-être même au suicide, tentant le soir, en revenant de son travail, si mal considéré, ce dont il porte une responsabilité individuelle et agissante, de comprendre le caractère fondamentalement paradoxal d’une parole, voulue comme une plaisanterie, mais désormais de la dernière toxicité, il n’est pas toujours prudent de guérir des personnalités agentiques contre leur gré, en somme, et sans le nécessaire étayage d’une véritable prise en charge psychanalytique. Quant à moi est-ce que je ne devrais pas borner mes opérations de transfert sauvage dans le cadre strictement identifié des séances de psychanalyse ?
Et si, pour cette scène, on me demande une archive , comme ils disent à la maison ronde, ce ne sera pas difficile : pendant toute cette scène, dans un couloir voisin, un jeune gars chantait, excellemment, en s’accompagnant à la guitare, I’m Beginning To See The Light du Velvet Underground ― enfin, tel que ce thème ellingtonien est chanté par le Velvet.
Et dire qu’à l’aller, en taxi, avec Tiffanie, je lui parlais des films de Mariano Cohn et Gastón Duprat, notamment de Citoyen d’honneur et de l’Homme d’à côté comme étant des chefs d’œuvres, s’attachant à la narration de non-rencontres entre des protagonistes équipés d’échelles de valeurs, opposées au point de ne plus pouvoir débattre, et que le camp que choisissent Cohn et Duprat était, souvent, à raison, celui de la dénonciation de la morgue intellectuelle.
Et sinon aussi, dans l’émission, ils ont quand même pas mal coupé Coltrane, dont voici le morceau complet : Crescent donc
►http://www.desordre.net/musique/coltrane.mp3
Et l’incroyable interprétation déconstruite de Summertime par Duke Ellington
▻http://www.desordre.net/bloc/ursula/2017/sons/duke_ellington_summertime.mp3
J’ai décidé de t’écouter en live, faisant une entorse à mes habitudes et tu venais juste de commencer à parler que mon père appelle pour me faire un caca nerveux parce qu’Orange lui plante sa ligne fixe depuis 10 jours et n’ont pas l’air très pressés de rétablir le téléphone à un vieil homme seul de 85 ans…
C’est moi ou rien ne marche plus depuis un ou deux mois ?
Le caca nerveux du père en pleine émission à propos de Michel Journiac...
@mona, Ouf tu as fini par recevoir le message, j’étais sur le point de te dire que peut-être quand même tu devrais essayer de trouver une petite demi-heure pour écouter voir si des fois...
Oh, mais @philippe_de_jonckheere nous avons un peu vécu la même chose et presque en même temps :/
Sauf que je n’ai pas ta verve pour sublimer la rencontre avec ces atroces contrôleurs, véritables robots si fiers de leur soumission au grand capitale RATPesque. J’ai évoqué l’inhumanité aussi, (et j’avoue qu’ils ont eu droit à la comparaison avec les SS lorsque la seule réponse a été qu’il obéissait aux ordres) Bref, le 17 mai à 23h venue à paris par avion puis le bus d’orly pour l’enterrement d’un ami, ils ont bloqué les portes et verbalisé la moitié du bus. J’ai beau avoir spécifier que j’étais troublée, que oui je n’avais pas composté mon ticket pour cette raison, ils n’ont rien voulu savoir. Arf, dégoutée, vraiment
Quand je pense en plus qu’avec ce pote disparu on organisait des actions pour la gratuité des transports avec un groupe qui se nommait le RATP (Réseau pour l’Abolition des Transports Payants) ça m’a pas fait rire
Bon allez, la fin est plus drôle, en me baladant dans paname, je devais tirer des sous, et voila que quelqu’un avait oublié ses billets et avait disparu, le mauvais sort a été dissous immédiatement dans l’argent.
(à venir) publication #photo : PLI 7 ~> pré-commande : ►http://encres.bigcartel.com/product/pli-7
▻https://www.flickr.com/photos/valkphotos/34736682295
ValK. a posté une photo : pré-commande : ►http://encres.bigcartel.com/product/pli-7"> pré-commande : ►http://encres.bigcartel.com/product/pli-7" />
PLI 7 Revue Avec : Luc Bénazet, Laurent Cauwet, Alèssi Dell’Umbria, Vassily Dix, Jean-Marie Gleize, Jenny Hval, Asger Jorn, Julien Ladegaillerie, Giorgio Lariot, Le monde par la fin, Vera Moon, Manuella Ruz, Cécile Sans, Edgar Talpa, ValK, Octave Veret contact : boom@riseup.net & justin.delareux@gmail.com site : www.revuepli.blogspot.com pré-commande : encres.bigcartel.com/product/pli-7 parution / livraison : juin 2017
▻http://www.la-croix.com/Culture/Livres-et-idees/Architecture-labsence-2017-05-18-1200848058
Dans le même temps, il lui faut élever ses enfants, les relever. Répondre à leurs questions sur la mort, apprendre à faire la différence entre leur chagrin et les caprices, ne pas trop les laisser dormir avec lui dans le grand lit car les « spécialistes » le déconseillent, résister à la tentation de les faire manger dans le bain même si cela évite les taches, ou à celle de leur servir des coquillettes au beurre à chaque repas. L’attention de ce père envers ses enfants, son souci permanent de bien faire sont peut-être ce qu’il y a de plus touchant dans ce texte qui ne s’interdit pas l’humour. Ainsi de la peur enfantine du narrateur d’être égorgé pendant la nuit, angoisse que calmait la simple présence de sa femme de l’autre côté du lit, « à croire que je trouvais quelque réconfort que ce fût elle qui puisse être égorgée endormie et non moi », écrit-il.
Je ne peux pas dire que je suis hyperfan du choix iconographique ou encore des mises en garde contre la crudité, mais il y a quelques justesses dans cet article de la Croix