Vu récemment avec les enfants…
– O Brother, Where art thou ? (2000) (Toujours aussi poilant.)
– La Classe américaine (1993) (Grave poilant, pas du tout classe en fait.)
– Down With Love (2003)
– Les Tontons flingueurs (la grande : « Ah, ça vient de là, cette phrase ? »)
– Gattaca (1997)
– Resident Evil (2002, parce que j’ai aussi droit à mes plaisirs coupables)
– The Exorcist (1973) (la grande vient d’avoir 15 ans, alors voilà… à la fin du film elle m’a lâché un « mais dis, qu’est-ce qui te fait peur, dans ce film ? »)
– Demolition Man (1993)
– Young Frankenstein (1974) (je craignais que Mel Brooks ce soit affreusement daté, mais celui-là, il a drôlement bien fonctionné avec les gamins – qui connaissent déjà le Frankenstein de 1931)
– Blade Runner (1982) (je l’ai un peu survendu à ma grande, parce que c’était un de mes films préférés de tous les temps – du coup elle a adoré, mais moi un peu moins ; au-delà de la madeleine, niveau scénario c’est léger)
– du coup Blade Runner 2049 (2017) (alors j’ai toujours du mal à accrocher avec Villeneuve, celui-là je l’avais largement oublié comme les autres, mais curieusement, vu à la suite du Blade Runner de 1982 je trouve qu’il tient bien la comparaison, niveau scénario il y a un peu plus de choses – mais c’est pas génial quand même)
– Galaxy Quest (1999) (ils ont adoré - Alan Rickman est dément dans ce film – et maintenant je suis à deux doigt de les avoir convaincus de se faire toute la série des films Star Trek des années 80)
– Death Becomes Her (1992) (rigolo, ça se laisse encore gentiment voir)
– The Big Lebowski (1998) (hé bé c’est toujours aussi délirant, ça n’a ni queue ni tête, c’est donc un excellent documentaire sur les Californiens).
Et sinon :
– Garth Marenghi’s Darkplace (2004) (oh là là, il faut vraiment que tu voies ce truc)
– Cunk on Britain (2018)
– Cunk on Earth (2022) (je crois que les Philomena Cunk, c’est désormais largement culte sur les interwebz, les gamins connaissent forcément plein d’extraits, mais se faire les mockumentaires complets à la suite, ça vaut le coup).
– On attaque The Black Adder (1983) avec Rowan Atkinson.