• Féminisme et différentialisme à la MG

    mes camarades de la Maison de la Grève (Rennes https://maisondelagreve.boum.org ) organisent un cycle de rencontres féministes en septembre (socle de travail : le boulot de la librairie des femmes de Milan et notamment le bouquin « ne crois pas avoir de droits »)

    #PenserLaDifférence #CyclePolitiqueDesFemmes

    « Tisser les fils d’une politique des femmes », tel est l’intitulé du prochain cycle de conférence à la Maison de la Grève. Ces discussions ouvriront la saison 2019-2020, elles auront lieu du jeudi 12 au samedi 14 septembre.

    Voici le Programme

    Jeudi 12, 18h :
    Soirée en récits et images des mouvements de femmes qui ont animé les années 70 en France.

    Vendredi 13, 18h :
    Nous accueillerons Isabelle Stengers pour aborder la question du déterminisme à travers la pensée de Donna Haraway.

    Samedi 14, 10h :
    Nous échangerons avec Anne-Emmanuelle Berger autour des notions de visibilité, identités et pouvoir.

    Samedi 14, 14h30 :
    Elise Gonthier-Gignac interviendra autour du féminisme italien de la différence et certaines pensées décoloniales.

    l’invitation en format long est à lire en ligne :
    https://maisondelagreve.org/ecrire/?exec=article&id_article=103

    #féminisme #différentialisme conférences #séminaire #rencontres

  • Ce soir au Bois Harel, Rennes, après les rencontres de cette semaine à la MG :
    https://www.facebook.com/events/320110532075142

    // Soirée GENDER FISTEUR SHOW //

    Pour cloturer la semaine DEVIANCES (genres, désir et révolution) accueillie dans les locaux de la maison de la grève du 08 au 13 octobre 2018, nous vous invitons à venir partager une dernière nuit monstrueuse où se mêlera effeuillages queer et Dj set explosif !

    21H - THE GENDER FISTEUR SHOW // collectif du Bout des lèvres

    https://maisondelagreve.boum.org

    #queer

  • Bonjour à tous,
    je relaie ici l’appel de la Maison de la Grève (Rennes) :

    La Maison de la Grève existe depuis maintenant sept années. De cantines en débats, de concerts en ateliers, de séminaires en salle reprographie, elle expérimente, elle cherche les voies pour construire la possibilité de vivre sans et contre le capitalisme. Nous considérons que l’économie est la mère des catastrophes que nous traversons. Nous ne croyons pas dans les réponses globales qui ne peuvent que rendre le désastre un peu plus durable, mais dans notre capacité collective à développer des rapports qui se libèrent du règne de l’argent. C’est notamment pour cette raison qu’à la Maison de la Grève tout ou presque se fait grâce à la participation libre des uns et des autres.

    Pourtant, cette expérience a besoin d’argent pour exister. Sa principale dépense est assurée par l’association qui loue les locaux où est hébergée la Maison de la Grève. L’association APRIL doit payer chaque mois 1200 euros de charges et de loyer. Cette somme n’est pas énorme, mais comme toujours nous avons besoin de votre aide pour la supporter.
    Nous aimerions, notamment, ne plus avoir besoin d’aller travailler pour boucler les fins de mois. Nous voudrions que les dons et les cotisations paient entièrement les dépenses pour la location des locaux. Dans cette perspective toutes les sommes, même les plus petites, sont réellement les bienvenues et nous permettent de continuer.

    Comme chaque année, le mois de décembre est l’occasion de rappeler que l’association APRIL poursuit un but d’intérêt général. Par conséquent les dons qu’elle reçoit sont déductibles d’impôts à hauteur de 66 % pour les particuliers (dans la limite de 20 % du revenu imposable). Par exemple, pour un don de 200 € sur une année, 132 € seront déduits du montant à payer aux impôts. Un reçu fiscal édité par l’association APRIL sera remis au donateur en début d’année pour qu’il puisse justifier les dons sur sa déclaration d’impôts. Vous avez donc la possibilité de nousfaire un don avant la fin de l’année 2017 dont une partie sera déduite sur vos impôts déclarés au printemps 2018.
    Les dons de fins d’années nous sont très précieux. Pour autant, nous
    attirons votre attention sur le fait que, pour nous, il est bien plus
    confortable de recevoir des sommes plus petites mais mensualisées.
    Celles-ci aussi peuvent être également déductibles des impôts. Pour
    l’instant, ces dons mensuels recouvrent entre 400 et 500 euros chaque mois. Mais, il ne faudrait pas plus de 100 personnes donnant entre cinq et vingt par mois pour que nous n’ayons plus à nous inquiéter dupaiement du loyer. Nous faisons donc appel à votre solidarité financière.

    Et pour passer à l’action c’est ici :
    https://maisondelagreve.boum.org/IMG/pdf/buletinfini.pdf

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    MG
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    37 rue Legraverend
    Rennes

  • relai d’un appel qui nous a été transmis du CoCoCrim (comité
    contre la ciminalisation du mouvement social).
    C’est un appel à rassemblement, samedi 17 juin, contre la répression des
    dernières manifestations.

    "
    Solidarité contre la répression des dernières manifestations !

    Cinq militants Rennais placés en détention le mercredi 31 mai.
    Mardi 30 mai, 6h, à Rennes. Des policiers font sauter des portes :
    bélier, boucliers, cagoules, armes de poing, fusils d’assaut. Des
    appartements sont retournés et sept personnes arrêtées.
    Un mois plus tôt, lors d’une manifestation, un motard de la police
    nationale dégainait son arme de service et mettait en joue les
    manifestants qui lui hurlaient de baisser son pistolet.

    La manifestation Ni Le Pen Ni Macron du 27 avril 2017
    Entre les deux tours de l’élection présidentielle, le 27 avril dernier,
    des manifestations se tiennent dans toutes les grandes villes de France
    avec pour mot d’ordre "Ni Le Pen Ni Macron". À Rennes, le centre-ville
    est complètement bouclé par des centaines de policiers casqués et armés.
    Malgré cela, 1 500 à 3 000 manifestants, parviennent à s’élancer dans un
    parcours improvisé. Le dispositif policier tente à plusieurs reprises de
    bloquer la marche. Deux motards de la police nationale se positionnent
    sur le pont Féval afin d’anticiper le parcours des manifestants. L’avant
    du cortège court en direction des deux policiers pour ouvrir la voie à
    la manifestation. Une des motos démarre, tandis que l’autre reste sur
    place. Des manifestants bousculent le motard pour qu’il parte. C’est à
    ce moment précis que celui-ci descend de son véhicule, saisit son arme
    de service et menace la foule en la mettant en joue. Finalement, il
    remonte sur sa moto et part comme il aurait pu le faire dès le début. Il
    se fera reconnaître 1 jour d’ITT.

    La prison pour les cinq
    Le 31 mai, cinq des sept personnes arrêtées la veille sont présentées
    devant le tribunal en comparution immédiate. Elles sont placées en
    détention provisoire après avoir demandé un délai pour préparer leur
    défense. Ceci leur est reproché, ainsi que l’usage de leur droit de
    garder le silence en garde-à-vue, comme une preuve de leur
    « dangerosité » et justifie, selon la juge, un mandat de dépôt. Elles
    sont aujourd’hui emprisonnées à Vezin-le-Coquet, en attente de leur
    procès le 21 juin.

    L’escalade répressive
    La généralisation à Rennes, depuis le mouvement contre la loi travail,
    de dispositifs policiers massifs pour empêcher les manifestations, la
    systématisation d’une présence policière suréquipée, et maintenant la
    banalisation d’un geste extrême – braquer une arme sur des
    manifestant.e.s ! - visent manifestement à décourager toute volonté de
    se mobiliser. Il en est de même de l’escalade judiciaire, les
    condamnations de plus en plus lourdes (6 mois de prison avec sursis,
    interdiction de manifester de 3 ans en Ille-et-Vilaine, 550 euros de
    dommages et intérêts et d’amendes pour le manifestant condamné le 2
    juin), la mise en détention à l’issue de comparution immédiate, et
    maintenant la détention provisoire avec mandat de dépôt, la remise en
    cause des droits de la défense, la pression exercée sur les témoins
    (deux témoins sont arrêtées à la fin de l’audience, menottées et
    présentées devant un juge d’instruction pour faux témoignage. Elles sont
    finalement désignées comme témoins assistés).

    Nous ne nous laisserons pas intimider
    Le nouveau président Macron et son gouvernement se préparent à affronter
    le mouvement social, tout en s’assurant un début de quinquennat sans
    réaction. D’un côté, ils s’apprêtent à faire passer dans le droit commun
    les dispositions qui relèvent pour l’instant de l’état d’urgence. De
    l’autre, il se prépare à continuer le sale boulot contre le droit du
    travail, usant d’ordonnances pour court-circuiter le Parlement. Encore
    plus fort que le 49.3, encore plus loin que la loi El Khomri, le droit
    du travail doit être totalement détricoté, le contrat de travail
    lui-même étant remis en cause.

    Alors, nous qui prendrons part aux mouvements sociaux qui s’annoncent,
    nous comprenons bien le message lancé par le pouvoir, nous affirmons
    notre solidarité avec les inculpés.

    Nous exigeons leur libération immédiate et l’abandon de toutes les
    poursuites dont ils font l’objet.

    Nous appelons à un rassemblement avec des prises de parole
    le samedi 17 juin, à 14h, place de la mairie.
    Rassemblement samedi 20 juin solidarité
    contre la répression des dernières manifestations

    Le Collectif contre la criminalisation du mouvement social"

    –-
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  • Rennes, relai d’une nouvelle invitation à soutenir les cinq inculpés actuellement en détention ( https://lundi.am/Rennes-un-policier-sort-son-arme-et-braque-des-manifestants ) :

    « Le jeudi 15 juin à 21h à la Chapelle, Arrêt Robidou de la ligne C4
    (puis fléchage)

    CONCERT DE SOUTIEN
    Aux cinq personnes incarcérées suite à la manifestation du 27 avril
    durant laquelle un motard de la police avait sorti son arme et braqué la
    foule.

    AU PROGRAMME
    Plusieurs nuances de musique électronique pour vous faire danser :

    XH12 Evasion : Electro expérimentale avec machines

    DJ set

    + GUEST

    Projection Vidéo
    Atelier Sérigraphie : amenez vos sac ou vos t-shirts pour recevoir nos
    visuels

    De quoi vous désaltérer sur place.

    On vous promet une bonne ambiance alors POUR EUX, VENEZ NOMBREUX·SES !

    Tous les bénéfices leur reviendront.

    Bisous"

    https://maisondelagreve.boum.org »

  • Voici une invitation à une soirée en soutien aux cinq personnes en
    détention provisoire, inculpées dans l’affaire du motard de la police
    qui a braqué avec son arme la foule d’une manifestation contre Le Pen et
    Macron le 27 avril dernier.

    "Bonjour à tous et toutes !

    Jeudi 8 juin,
    venez nombreux à la Chapelle, pour un concert de soutien aux cinq
    personnes incarcérées depuis mercredi dans l’affaire du motard de la
    police qui a tenu en joug la manifestation "Ni Le Pen ni Macron" du 27
    avril dernier.
    Les concerts débuteront à 21h et devraient se terminer vers 2h du matin.
    Il y aura par ailleurs tout ce qu’il faut sur place pour se désaltérer.
    Les bénéfices de la soirée serviront à couvrir les frais des cinq
    incarcérés (avocats, mandas cash pour cantiner en taule, etc...)

    On relaie ici un texte du Collectif contre la criminalisation du
    mouvement social (CoCoCriMS) qui explique très bien l’affaire :

    ##############################################
    Non ! Braquer une manifestation
    n’est pas un geste responsable.
    ##############################################

    # 5 militants Rennais ont été envoyés en détention ce mercredi 31 mai,
    dans le cadre d’une opération politico-policière. #

    Mardi 30 mai, 6h, à Rennes. Des policiers font sauter des portes :
    bélier, boucliers, cagoules, armes de poing, fusils d’assaut. Des
    appartements sont retournés et sept personnes arrêtées.
    Un mois plus tôt, lors d’une manifestation, un motard de la police
    nationale dégainait son arme de service et mettait en joue les
    manifestants qui lui hurlaient de baisser son pistolet.

    # La manifestation Ni Le Pen Ni Macron du 27 avril 2017 #

    Pendant l’entre-deux tours de l’élection présidentielle, le 27 avril
    dernier, des rassemblements et des manifestations ont lieu dans toutes
    les grandes villes de France avec pour mot d’ordre "Ni Le Pen Ni
    Macron". À Rennes, le centre-ville est complètement bouclé et occupé par
    des centaines de policiers casqués et armés. Malgré cela, 1500 à 3000
    manifestants se retrouvent dans une ambiance festive. Afin d’éviter
    d’être nassés pendant plusieurs heures comme ce fût le cas lors de la
    manifestation précédente le 23 avril, le cortège s’élance dans un
    parcours improvisé.

    N’étant pas parvenu à empêcher la manifestation de se tenir, le
    dispositif policier se met en branle et tente à plusieurs reprises de
    bloquer et d’encercler la marche. Deux motards de la police nationale se
    positionnent sur le pont Féval, au-dessus des voies ferrées, afin
    d’anticiper le parcours des manifestants. L’avant du cortège court en
    direction des deux policiers pour ouvrir la voie à la manifestation. Une
    des motos démarre, tandis que l’autre reste sur place. Des manifestants
    bousculeront le motard pour l’encourager à déguerpir.

    C’est à ce moment précis que celui-ci descend de son véhicule, saisit
    son arme de service et menace la foule en la mettant en joue. Face à
    cette réaction aussi disproportionnée qu’effrayante, les manifestants
    partent en courant pendant que certains s’époumonent en lui criant de
    baisser son arme. Finalement, il remontera sur sa moto et partira comme
    il aurait pu le faire dès le début. Il se fera reconnaître 1 jour d’ITT
    pour dommage « psychologique ». Fin de l’épisode « agression d’un motard
    en marge d’une manifestation à Rennes ».

    Mais la pression policière s’est encore accrue contre la manifestation,
    avec trois arrestations arbitraires (notamment pour récupérer la caméra
    d’un manifestant). Elles donneront lieu à des accusations fantaisistes :
    des pierres ont été glissées dans les poches des manifestants pour
    trouver une raison de les embarquer en l’absence de faits réels à leur
    reprocher. La fin de la manifestation s’est soldée par une nasse à la
    Croix Saint Hélier, où les derniers lycéens présents ont subis des
    violences graves de la part des policiers. Le communiqué de l’équipe
    médic’ dénonce : « Plusieurs personnes ont été victimes de coups de pied
    dans les parties génitales, la cage thoracique, de clefs d’étranglement
    et de coups à la tête ».

    # Nous ne nous laisserons pas intimider #

    Toutes les autres tentatives de manifestations entre avril et mai
    avaient rapidement été écourtées par des violences policières, des
    nasses, des arrestations. Celle-là, voyait, en prime, la normalisation
    d’un geste insensé, à grand renfort de déclaration préfectorale et
    maintenant de montage judiciaire. Non ! Braquer une arme de poing sur
    une foule ne sera jamais un geste responsable, cette foule fut-elle en
    colère de se voir constamment réprimée pour avoir simplement essayée de
    manifester.

    L’affaire qui se présente aujourd’hui n’est pas sans nous rappeler les
    modes opératoires de la police lors d’assignations à résidence,
    d’interdictions de manifester et d’autres arrestations fallacieuses dans
    le cadre des mouvements contre la loi Travail ou contre l’aéroport de
    Notre-Dame-des-Landes. Nous percevons bien le double enjeu de ces
    opérations. D’un côté, il y a la répression de l’opposition politique
    afin d’assurer un début de quinquénat sans réaction, de l’autre, il y a
    l’augmentation et la consolidation de la marge de manœuvre des
    policiers.

    Ce 31 mai, cinq des sept personnes arrêtées la veille ont été présentées
    devant le tribunal en comparution immédiate, elles seront toutes
    envoyées en détention préventive en attente de leur procès le 21 juin
    après avoir demandé un délai pour préparer leur défense. Ceci leur sera
    notamment reproché par la juge comme une preuve de leur « dangerosité »
    qui justifie un mandat de dépôt, tout comme l’usage de leur droit de
    garder le silence en garde-à-vue.
    Ce vendredi 2 juin, une des trois personnes arrêtées le jour même de la
    manifestation passera elle aussi devant le juge.

    Nous qui prendrons part aux mouvements sociaux qui s’annoncent, et qui
    comprenons bien le message lancé par le pouvoir, nous affirmons notre
    solidarité avec les inculpés et exigeons l’abandon immédiat de toutes
    les poursuites dont ils font l’objet.

    ######
    Il n’est pas question de nous laisser intimider et nous appelons dans un
    premier temps à prendre part au rassemblement de soutien au camarade
    arrêté le 27 avril, ce vendredi 2 juin à 16h devant la cité judiciaire,
    à l’occasion de son procès. D’autres actions de solidarité seront
    organisées dans les prochains temps.
    ######

    (Le collectif contre la criminalisation du mouvement social s’est formé
    à Rennes au printemps 2016 pour faire front contre la répression qui
    s’est abattue sur le mouvement contre la loi Travail, regroupant des
    organisations politiques et syndicales, des groupes et des individus)

    Le Projet Soupirail
    https://maisondelagreve.boum.org

    MG

  • Rennes - Mercredi

    je relaie ici le communiqué de la Maison de la Grève (Rennes : https://maisondelagreve.boum.org ) pour tous ceux qui auront la possibilité d’être à Rennes mercredi :

    Mercredi 2 mars à 16 heures aura lieu à Rennes le procès en appel d’un des inculpés de la manifestation contre le projet d’aéroport du 22 février 2014 de Nantes. Celui ci avait été condamné en première instance à une lourde peine de 9 mois d’emprisonnement avec sursis et près de 4500€ de dommages et intérêts sous les chefs d’inculpations suivants : dégradations volontaires de biens d’utilité publique en réunion et refus de prélevement ADN alors même que le dossier judiciaire était vide et se basait uniquement sur des photos floues et des notes blanches mensongères du renseignement intérieur. Ne laissons pas une telle mascarade se reproduire une nouvelle fois dans le silence, à l’abri des murs épais de la cour d’appel de Rennes. Ne laissons pas une énième construction policière conduire à des peines de prisons pour l’exemple dans l’indifférence.
    Nous étions 50 000 il y’a deux ans dans les rues de Nantes, nous l’étions encore le week-end dernier aux abords de la zad, entre temps le gouvernement a reculé. Nous ne reculerons pas. Il nous semble évident aujourd’hui que l’aéroport ne se fera pas comme il nous semble évident que ces attaques judiciaires doivent cesser.

    C’est pourquoi nous vous donnons rendez vous à Rennes mercredi 2 mars place du parlement à 15h30 pour un rassemblement de soutien.

    Ni procès ni expulsions. Vive la zad.

    #zad

  • Contre l’état d’urgence, penser l’état du monde - Du 12 au 14 février à Rennes
    https://lundi.am/Contre-l-etat-d-urgence-penser-l-etat-du-monde-Du-12-au-14-fevrier-a-Rennes

    La Maison de la Grève invite à trois jours de discussions autour de deux éléments essentiels de la séquence historique que nous traversons : les conflits au Moyen-Orient et la construction en France d’un « État de sécurité ».

    « https://maisondelagreve.boum.org »
    « https://maisondelagreve.boum.org/etat-d-urgence »

  • Marche en Hommage à Babacar Gueye abattu par la police. / Rennes, via Maison de la Grève @MG_Rennes
    https://maisondelagreve.boum.org

    La semaine dernière, un homme est mort, abattu par la police à Maurepas, Rennes.

    Dans la nuit de mercredi à jeudi, du 2 au 3 décembre 2015, un ami lui a proposé de venir dormir chez lui, ce qu’il a fait. Au cours de la nuit, il s’est réveillé, comme pris d’une crise d’angoisse. Son ami est venu le calmer et il s’est rendormi. Puis il s’est à nouveau réveillé et il est allé chercher un couteau à pain avec lequel il s’est auto mutilé. Son ami a essayé de le maîtriser, sans y parvenir, et, ce faisant, il a été blessé. Cet ami a donc appelé les pompiers au secours. Les policiers sont arrivés sur les lieux. Face à cet homme armé d’un simple couteau à pain, la #police, pourtant équipée de tazers, gazeuses, matraques, flash balls, l’a abattu de cinq balles dans le haut du corps.

    Cet homme s’appelait Babacar Gueye. Il était sénégalais. Il avait 27 ans.

    Nous lui rendons hommage lors d’une marche, organisée samedi 12 décembre 2015, à 12h, au départ du centre commercial du Gast, à Maurepas.

    La presse parle d’un « forcené »...
    #meurtre_policier

  • les camarades de la MG ( https://maisondelagreve.boum.org ) se mettent au boulot sur des questions épineuses et casse-gueules, venez découvrir tout ça jeudi :

    La Maison de la Grève vous invite le jeudi 23 Avril à 15h à la discussion

    Du jihad - Aspects historiques et Théorie contemporaine

    - Quels rapports a-t-on entretenu à l’âge classique de l’Islam face à la question du jihad ?
    - Comment Abdallah Azzam a fourbi une nouvelle théorie du jihad dans le contexte de la guerre en Afghanistan ?
    - Comment cette nouvelle théorie du jihad est venue reconfigurer le paysage de ces 15 dernières années ?

    Deuxième partie du cycle de discussion - « Jihad et révolution » -
    Positions politiques dans l’Islam sunnite -

    (Le fichier audio de la première discussion du jeudi 16 mai, « Aux sources théoriques de l’islamisme radical - Mythe et modernité » sera prochainement en ligne sur le site de la Maison de la Grève)

    Venez nombreux !

    #jihad #islam #maison_de_la_grève

  • Dix ans après l’incendie | Rencontres à Rennes, du 16 au 20 mars 2015
    https://novembre2005.wordpress.com

    Allez hop, on se réchauffe tous autour d’une soupe, les plus nombreux possible, autour de la Cité Judiciaire à Rennes, avec les camarades de la Maison de la Grève ( https://maisondelagreve.boum.org ), pendant la semaine du procès :

    LUNDI 16 MARS
    12h30 : Cantine devant la Cité judiciaire de Rennes*
    18h : Discussion à partir d’extraits du livre À nos amis du Comité invisible : « Qu’est-ce que la police ? », au bar la Quincaillerie Générale*

    MARDI 17 MARS
    12h : Cantine devant la Cité judiciaire de Rennes*

    MERCREDI 18 MARS
    12h30 : Cantine devant la Cité judiciaire de Rennes*
    15h : Manifestation au départ de la Cité judiciaire*

    JEUDI 19 MARS
    12h : Cantine devant la Cité judiciaire de Rennes*
    18h : Discussion à la Maison de la Grève* : « 2005-2015, récits et expériences de mises en échec de la police ».

    « Nous n’avons pas eu le temps de nous retrouver après le mois intense suivant la mort de Rémi Fraisse que les attentats de Paris changeaient radicalement la donne : on passait de slogan « Tout le monde déteste la police » aux ovations des colonnes de camions de CRS. Malgré ce changement d’ambiance brutal, très vite des voix se sont élevées contre le consensus général, les manifestations de Nantes et de Toulouse ont montré que la situation était bien plus complexe que l’unique élan républicain. Nous voulons saisir l’occasion du procès de mars, comme l’a fait la semaine de résistances à Nantes du 16 au 22 février ou comme bientôt les journées interfacs à Paris les 13 et 14 mars, pour discuter de nos rapports à la police : ce que les différents collectifs et luttes mettent en place pour ne pas subir la police, l’attaquer ou vivre sans. »

    VENDREDI 20 MARS
    12h30 : Cantine devant la Cité judiciaire de Rennes*
    18h : Apéro à la Maison de la Grève*
    20h : Concert free-jazz à la Maison de la Grève*

    *ADRESSES
    Cité judiciaire : 7, rue Pierre-Abélard
    La Chardonnière : 28, rue Louis-Hémon
    Maison de la Grève : hébergée au 37, rue Legraverend
    Bar La Quincaillerie générale : 15, rue Paul-Bert

  • « Farnesina » est la dernière publication réalisée avec C. de Trogoff, que nous avons tirée dans les ateliers sérigraphiques de La Presse Purée (Rennes).
    C’est est un livre de 24 pages en deux passages couleurs, consacré aux fresques et à l’architecture de la villa Farnesina (Roma).
    Connue principalement pour les fresques de Raphaël, la villa est
    surtout l’oeuvre de Baldessare Peruzzi ; c’est à lui, à Sebastiano del
    Piombo, à Sodoma, aux nombreuses petites mains anonymes qui ont transformé lentement ce qui aurait pu être un manifeste impeccable de la Renaissance hellenisante en créature hétérogène et incongrue, que nous avons consacré ce petit livre.
    Des détails sur notre approche de son architecture et sur la
    conception du livre qui lui répond, des photos, à cette page :
    http://www.le-terrier.net/concerts/2015_farnesina/index.htm

    Et pour assembler ce petit moment d’autopromotion à autre chose, pas tout-à fait déconnecté cependant, je rappelle la date du prochain atelier de BD ouvert à tous à la Maison de la Grève (Rennes https://maisondelagreve.boum.org ) : mercredi, à 15 h

    #micro_edition #vie_de_couple

  • Concerts à Rennes - Interzones
    http://interzones.free.fr

    C. de Trogoff et moi-même, assemblés pour l’occasion en PapaPiqueEtMamanCoud, allons participer à un concert organisé par Interzones le 13 de ce mois à la Maison de la Grève ; nous espérons vous y voir nombreux.
    C’est l’occasion de rencontrer les camarades de la MG et de voir le beau travail qu’ils font là-bas, et également de passer une soirée intense ensemble.

    le programme

    VENDREDI 13 JUIN - 20h30 (entrée en prix libre)
    MAISON DE LA GREVE (37 rue Legraverend à Rennes)
    (https://maisondelagreve.boum.org)


    ■ WILL GUTHRIE (non-solo de batterie / percussions) : « This is Not a Drum Solo… Again… » :
    http://will-guthrie.com
    A écouter : https://soundcloud.com/norwegianismrecords/nor007-will-guthrie-snake-eyes


    A voir : http://vimeo.com/29364391

    ■ JOACHIM FLORENT (contrebasse solo) :
    A voir : www.youtube.com/watch ?v=A2mq5JAMHmA

    ■ PAPA PIQUE ET MAMAN COUD (smörgåsbord sonore) :
    C. DE TROGOFF et L.L. DE MARS, harpe, clarinette, tom bass, cloches, machine
    A écouter : www.le-terrier.net/musique/papapiqueetmamancoud

    ■ RÜHLAND (inouïtude hybride et rugueuse) :
    Trio inédit MICHEL DONEDA au saxophone soprano, IAN SABOYA à la guitare électrique, MATHIAS PONTEVIA à la batterie
    A écouter : https://soundcloud.com/mpontevia


    A voir :
    http://vimeo.com/59563875

    www.dailymotion.com/video/xpdxqr_disputatio-video-sonore-poesie-et-art-contemporain_creation

    * Contacts & infos :
    http://interzones.free.fr

  • Des nouvelles du Terrier

    Le Fourbi que Philippe De Jonckheere et moi-même avions monté étant en rade, je viens d’ouvrir cet espace pour présenter plus rudimentairement quelques travaux vendables (bouquins et dessins surtout) des artistes du Terrier. Pour l’instant ça se remplit lentement, mais j’espère que ça vaudra rapidement le coup d’y faire quelques courses.

    http://www.le-terrier.net/boutique/livres.htm

    Sinon, histoire que je n’écrive pas que pour jouer à la marchande, sachez que le concours « Faire brailler Eustache » est toujours ouvert et que nous serions très heureux de mettre en ligne de nouvelles participations :

    http://www.le-terrier.net/collectif/eustache/index.htm

    Lancez-vous, nom de Dieu !

    Ceci également, je suis lancé : découvrez d’un même coup la Maison de la Grève ( http://maisondelagreve.boum.org ) , endroit passionnant, dont je cause parfois ici, qui réinvente le politique au quotidien à Rennes depuis maintenant deux ans, et le groupe Radikal Satan dont je ne saurais que trop vous recommander les incroyables concerts :

    http://interzones.free.fr/radikal-corbeck.htm

    (une affiche de votre serviteur)

    Ah, et encore ceci ; il faut vraiment encourager le créateur des petites éditions Factotum pour le travail très soigné qu’il fait sur ses micro publications ; son dernier fanzine, « Prurit » n°2 est une bien jolie sale chose.

    http://www.terricole.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=58&catid=1&Itemid=140

    voilà, c’est tout pour aujourd’hui

  • Maison de la Grève - a8854d
    https://maisondelagreve.boum.org

    C’est la reprise des activités des camarades de la Maison de la Grève ; l’occasion peut-être de se rencontrer au cours d’une des cantines populaires du mercredi midi, ou pour la reprise des conférences. Gaël Violet attaque avec son « épistémologie et histoire des sciences » (premier volet de la reprise consacré à « Kuhn et les paradigmes » le 17 novembre à 18h). J’enchaînerai le 11 décembre, à 18h également, avec mon boulot sur Konrad Witz. Premier volet de la reprise : de Pline à Chevreul , éthiques des couleurs.

  • film et discussion
    en présence des réalisateurs
    le Groupe d’action en cinéma Épopée

    INSURGENCE

    JEUDI 7 FEVRIER 2013 - 18h30
    A la Maison de la Grève

    Documentaire sur la grande mobilisation sociale québécoise du printemps 2012.

    Lancé par une grève des étudiants pour l’accès à l’éducation, le mouvement
    s’est élargi pour inclure une résistance au gouvernement en place, à la
    violence et à l’impunité de la police de Montréal, à l’exploitation des
    ressources vierges et au système économique actuel.

    http://www.insurgence.me

    La force du Printemps Érable se fonde dans l’anonymat. Elle fait fluer le
    commun à travers la dispersion, jusque dans la solitude des marcheurs.
    Chacun reconnaissant sa propre situation dans celle des autres, la
    résonance affective se transmue peu à peu en fusion. La répression ne
    défait que les collectifs encore sériels ; le commun resurgit en essaim à
    chaque coin de rue.

    L’affiche est par là :
    http://maisondelagreve.boum.org/evenements-ponctuels/article/film-et-discussion-sur-le

    à la Maison de la Grève :
    http://maisondelagreve.boum.org

    37 rue Legraverend, 35000 RENNES
    https://maisondelagreve.boum.org/article/adresse

    #rennes #film #quebec #printempserable #grève