SPIP

SPIP un jour, SPIP toujours ... Une part de manuel, une part de totomatique sur ce compte de short-blogging.

  • Panne bei GitHub : Privater SSH-Schlüssel war öffentlich einsehbar
    https://www.heise.de/news/Panne-bei-GitHub-Privater-SSH-Schluessel-war-oeffentlich-einsehbar-8003623.htm

    Il y a plusieurs raisons pour l’utilisation de son propre serveur GIT. Cet articleen décrit une.

    24.3.2023 von Rainald Menge-Sonnentag - Die Betreiber der Versionsverwaltungsplattform GitHub haben den RSA-SSH-Host-Schlüssel ausgetauscht, weil der private Schlüssel offenbar in einem öffentlichen Repository aufgetaucht war. Der Vorfall betrifft nur diejenigen, die ihre Git-Operationen über SSH (Secure Shell) mit dem RSA-Kryptoverfahren durchführen, zeigt aber auch, dass den Betreibern Pannen passieren können, vor denen sie ihre Kundschaft warnen.

    Nach Angaben von GitHub hat das Unternehmen festgestellt, dass der private RSA-SSH-Schlüssel kurzzeitig in einem öffentlichen GitHub-Repository zu finden war. Laut einem Blogbeitrag handelte es sich um keine externe Attacke und es seien keinerlei Kundendaten abgegriffen worden. GitHub habe keinen Grund zur Annahme, dass jemand den exponierten Schlüssel missbraucht hat.
    Kein Angriff, sondern ein peinlicher Patzer

    Die Betreiber der Plattform vermuten, dass es sich bei der Veröffentlichung des Schlüssels um ein Versehen gehandelt habe. Dass private Schlüssel, Passwörter im Klartext oder andere Credentials in Repositories landen, kommt leider immer wieder vor. Das hat sowohl GitHub als auch GitLab dazu veranlasst, Schutzmaßnahmen einzuführen. GitHub hat Anfang 2021 zunächst für private Repositories Secret Scanning eingeführt, das solche Credentials aufspürt. Inzwischen ist die Funktion auch für öffentliche Repositories verfügbar.

    Der KI-Codeassistent Copilot hat Anfang des Jahres einen Filter erhalten, der hartkodierte Credentials erkennen soll. Mitbewerber GitLab bietet seit Anfang 2019 die Funktion Secret Detection, die anfangs auf die teuerste Ultimate-Variante beschränkt war. Inzwischen ist sie mit geringerem Funktionsumfang auch in der kostenlosen Free-Variante enthalten. Das Thema Security bringt GitHub regelmäßig auf den Tisch und hat frisch das Secure Code Game gestartet, das Entwicklerinnen und Entwicklern dabei helfen soll, weniger Schwachstellen zu produzieren.
    Update für die Betroffenen

    Die meisten GitHub-User dürften von dem Schlüsselaustausch wenig mitbekommen. Betroffen sind nur diejenigen, die SSH mit RSA-Verschlüsselung verwenden. Diejenigen, die für den Secure-Shell-Zugriff ECDSA- oder Ed25519-Schlüssel nutzen, brauchen sie nicht zu ändern.

    Wer folgende Fehlernachricht beim Verbindungsaufbau über SSH erhält

    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
    @ WARNING: REMOTE HOST IDENTIFICATION HAS CHANGED! @
    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
    IT IS POSSIBLE THAT SOMEONE IS DOING SOMETHING NASTY!
    Someone could be eavesdropping on you right now (man-in-the-middle attack)!
    It is also possible that a host key has just been changed.
    The fingerprint for the RSA key sent by the remote host is
    SHA256:uNiVztksCsDhcc0u9e8BujQXVUpKZIDTMczCvj3tD2s.
    Please contact your system administrator.
    Add correct host key in ~/.ssh/known_hosts to get rid of this message.
    Host key for github.com has changed and you have requested strict checking.
    Host key verification failed.

    muss den alten öffentlichen RSA-Schlüssel zunächst mit ssh-keygen -R github.com löschen und dann einen neuen Schlüssel entweder manuell in die Datei ~/.ssh/known_hosts eintragen oder über curl herunterladen:

    curl -L https://api.github.com/meta | jq -r ’.ssh_keys \
    | .[]’ | sed -e ’s/^/github.com /’ >> ~/.ssh/known_hosts

    Aus Sicherheitsgründen sollen auch diejenigen den kompromittierten RSA-Schlüssel löschen, die ihn nicht nutzen oder keine Fehlermeldung erhalten.

    Der Fingerprint für den neuen Schlüssel ist laut GitHub:

    SHA256:uNiVztksCsDhcc0u9e8BujQXVUpKZIDTMczCvj3tD2s

    Neben denjenigen, die direkt RSA für SSH verwenden, können auch bestimmte GitHub Actions betroffen sein, die mittels SSH-Schlüssel erfolgen.

    Weitere Informationen zu dem Vorfall und den Gegenmaßnahmen lassen sich dem Beitrag auf dem GitHub-Blog entnehmen, der sich allerdings über Details dazu ausschweigt, wann und wie lange der private Schlüssel öffentlich einsehbar war.

    #développement_de_logiciels #GIT #sécurité #SPIP

    • Ça n’organise rien. C’est un moyen de se tenir informé d’actions auxquelles je ne suis plus connecté depuis que je suis en retraite.
      Comment tu fais quand l’info du blocage du periph passe essentiellement sur whatsapp ?
      Tu engueules les gens parce qu’ils ne sont pas sur Signal ?

    • #Facebook et moi sommes tombés d’accord de nous considérer mutuellement comme fraudeurs nuisibles à notre cause, alors on a conclu un marché : Je ne le combat pas de l’intérieur et il ne me surveille pas. Nous pratiquons la coexistence pacifique jusqu’à ce que le mur du walled garden tombe.

      Il n’y a pas de protocole prévu pour ce jour mais je crois qu’on acceuillera les réfugiés dans un grand effort humanitaire soutenu par #Mastodon et #Seenthis ;-)

      P.S. Si les communistes allemands avaient embauché la SS pour gérer leur communication, ils auraient sans doute réussi à écarter les nazis du parlement et l’Europe serait socialiste aujourd’hui, pas vrai ?

      Est-ce que vous vous rendez compte des idées qu’inspirent les Zuckerberg et autres patrons de plateformes étatsuniennes ?

      https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Coexistence_pacifique
      https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Schutzstaffel
      https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Objectivisme_(Ayn_Rand)
      https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Le_Mythe_du_vingti%C3%A8me_si%C3%A8cle

      #coexistence_pacifique

    • L’utilisation de WhatsApp, nous rapporte exodus-privacy, nécessite l’installation d’un pisteur et de 66 permissions des plus intrusives.

      https://reports.exodus-privacy.eu.org/fr/reports/com.whatsapp/latest

      Facebook-Whatsapp est une saloperie. Ce n’est pas une révélation. Je le sais depuis toujours.

      Je ne vis pas (plus) parmi des geeks et encore moins parmi des hackers. Je ne suis en contact avec ces milieux, que par l’intermédiaire du web, notamment ici, sur seenthis. J’ai le plus grand respect pour ces communautés, en particulier, pour votre communauté (j’ai déjà eu l’occasion de le dire).

      Je ne suis pas un geek mais dans mon milieu professionnel, mon ancien boulot et mon réseau militant, sans évoquer ma famille, je suis connu pour mes positions - totalement isolées – mais tenaces contre les Gafam, pour le libre et les communs (utilisateur de Linux et de e/OS). Je n’ai pas de compte Gmail, ni Facebook, ni Twitter, ni Microsoft, ni Apple, ni Adobe… ni Whatsapp (jusqu’à hier). Je ne rentrerai pas dans les détails, mais étant complètement isolé sur ces positions, j’ai eu à en subir les conséquences sur le plan professionnel, sans parler des douces moqueries pour le reste.

      Alors il est vrai que je suis à cran quand on s’adresse à moi, ici, comme si je n’avais pas conscience que le fait d’installer cette merde sur mon smartphone pour rester en contact avec des actions du mouvement social actuel représente une réelle contradiction. Je n’ai fait qu’installer ça sur mon appareil, en toute connaissance de cause. Je ne considère pas que c’est super cool. Je ne demande à personne d’en faire autant.

      Je me suis souvent exprimé pour réfuter, par exemple dans des AG militantes, l’hypothèse selon laquelle le printemps arabe se serait développé grâce à Facebook et à Twitter. Je garde le même point de vue aujourd’hui.

      L’omniprésence des réseaux sociaux dans le mouvement social ne représente en rien une condition même minime de ce dernier mais il en constitue, au contraire, une contradiction majeure, ne serait-ce que par la connexion avérée qui existe entre les États et les Gafams, sachant le niveau de profilage personnalisé que ces derniers sont capables d’opérer sur la population.

      Ce n’est pas la seule contradiction qui traverse le mouvement social actuel. Nous l’avons déjà évoqué notamment lors d’échanges avec @colporteur. En plus de l’usage de Whatsapp, il faudrait aussi ajouter les ambiguïtés concernant les revendications même sur les retraites et le travail, alors que tant de précaires en sont exclus, les organisations syndicales bureaucratisées et institutionnalisées (je paie toujours mes cotis, et bim encore une tarte), le fétichisme des actions spectaculaires (qui alimentent les réseaux sociaux), les différentes formes de virilisme militant, etc.

      Une liste à n’en plus finir, non ?

      Voilà de quoi est fait le réel et faut bien se le fader alors vous avez tout à fait raison de pointer la contradiction mais, de grâce, je vous demande juste de ne pas me plaquer un discours qui n’est pas le mien.

      Merci, sincèrement.

    • Je suis tout à fait d’accord avec @cabou. Faut vraiment ne faire absolument aucune action commune dans la vie réelle (pas son blog ou magazine internet), pour ne vraiment rien avoir à faire avec les gafam. Il faut bien sûr continuer de militer contre et dans nos groupes proposer des flux d’infos en plus pour celleux qui n’y sont pas (et je dis bien « en plus » pas à la place : 99% des gens y sont, et il FAUT les toucher, pas nos trois potes). Mais de nombreux événements ne sont relayés que comme ça, donc si t’y es pas, bah juste tu restes chez toi et tu râles contre les gafam sur internet.

      Ce qui n’empêche pas de proposer à nos camarades des groupes Telegram plutôt que WA (et suivant les participant⋅es, des groupes Signal encore mieux) et aussi avoir une hygiène d’inscription (à conseiller aux autres) : pas de vrais noms sur ces comptes, s’inscrire au max avec des emails bidons dédiés, pas son email perso (mais quand ya des apps qui sont pas avec le numéro de tel on est niqué c’est sûr), etc.

      Enfin bon c’est exactement le même problème que les gens qui pensent changer le monde en faisant une ferme en autarcie loin de tout : ça démontre qu’on peut le faire, mais ça ne touche à peu près personne, donc il faut en parallèle faire partie de la société (de merde) dans laquelle on vit.

    • Oui et je suis d’accord aussi.

      Par contre, le « il faut en même temps » est un problème : quand on a vu les associations passer toute leur militance sur Facebook, elle ont largement tué leurs sites Web et délaissé tout outil alternatif. « Parce que c’est là que sont les gens ».

      Je sais que je suis vieux, mais le gros mouvement que j’ai vu, c’est pas que les groupes qui n’avaient aucun outil avant se sont mis à utiliser Facebook « pour commencer sur le Web », c’est plutôt que beaucoup de groupes avaient des supports et médias en ligne, et les ont abandonnés pour passer sur les plateformes commerciales.

    • Sinon tout de même :

      Comment tu fais quand l’info du blocage du periph passe essentiellement sur whatsapp ?
      Tu engueules les gens parce qu’ils ne sont pas sur Signal ?

      Si derrière il y a une répression judiciaire (ce qu’on a vu assez systématiquement lors des GJ, et qui a l’air de se mettre en place depuis que le 49.3 siffle la fin de la mise en scène démocratique), c’est tout de même bien un souci, non, d’avoir utilisé un « mouchard » pour organiser une action sans doute illégale.

      Tant qu’on est dans les clous, un mouchard c’est gérable (puisque de toute façon on déclare déjà le parcours de sa manif, sur place le type des RG viendra dire bonjour et essayer de faire copain-copain…). Mais dès qu’on est dans le hum-hum (organisation d’une manifestation non déclarée), ça revient à donner volontairement des armes (liste de noms) au pouvoir. C’est problématique tout de même.

    • Merci @rastapopoulos et @arno pour vos précisions :-)

      Par contre, le « il faut en même temps » est un problème : quand on a vu les associations passer toute leur militance sur Facebook, elle ont largement tué leurs sites Web et délaissé tout outil alternatif. « Parce que c’est là que sont les gens ».

      Totalement d’accord avec toi @arno : le constat du remplacement des sites par les plateformes de blog puis par Facebook est assez éloquent.

      Les sites des nombreuses instances de la CGT, par exemple, qui utilisent très souvent Spip ne sont jamais mis à jour (logiciel et contenu). C’est la cata ; en fait, ils s’en tapent. J’ai l’impression que c’est aussi le cas de beaucoup d’associations. Et là je ne parle même pas de toutes les entités commerciales ou non qui remplacent leurs sites web par des applications.

      Néanmoins pour les actions sociales dont je parle, Facebook n’a aucune utilité.
      Je n’ai pas de compte Facebook je ne vois aucune raison d’en avoir. La seule fois où, par nécessité, j’en ai créé un bidon, il était complètement vide, j’ai été éjecté au bout de quelques semaines :-)))

      Tant qu’on est dans les clous, un mouchard c’est gérable (puisque de toute façon on déclare déjà le parcours de sa manif, sur place le type des RG viendra dire bonjour et essayer de faire copain-copain…). Mais dès qu’on est dans le hum-hum (organisation d’une manifestation non déclarée), ça revient à donner volontairement des armes (liste de noms) au pouvoir. C’est problématique tout de même.

      Oui, sur le fond c’est tout à fait vrai puisque nous savons, notamment aux USA, que les Gafam (tous autant qu’ils sont) s’exécutent quand l’État exige des infos. En tout cas, en France, je n’ai pas connaissance qu’il soit avéré que cela se soit vraiment produit (mais il est possible que l’info m’ait échappée).
      Est-ce que Whatsapp permettrait par une porte dérobée ou un autre moyen de communiquer des infos aux services de police ? Selon la version officielle c’est non. Mais comme c’est impossible à vérifier il est totalement légitime d’émettre les plus grands doutes sur ce point. Donc, ok : faut pas faire confiance mais c’est un compromis, qui n’est pas facile à trouver entre une sociabilité, objectivement aliénée aux Gafam et le respect essentiel de sa vie privée.

      Quoi qu’il en soit, il ne faut pas non plus sous-estimer que les services de police utilisent les moyens humains classiques d’infiltration, ou les bons vieux micros ou la vidéosurveillance (cela a été mentionné il y a quelques temps sur seenthis), lesquels peuvent s’avérer plus efficaces que l’espionnage via les applications. Mais c’est vrai qu’avec la typologie des mouvements sociaux actuels - sans organisation, proprement dite ni « leader » - cela devient assez compliqué pour eux. Et cela, c’est quelque chose de très intéressant mais ça explique peut-être aussi pourquoi ils sont si violents.

  • L’Assemblée nationale fixe la « majorité numérique » à 15 ans : à quoi ce concept fait-il référence ?
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2023/03/02/a-quoi-fait-reference-la-majorite-numerique-en-debat-a-l-assemblee-nationale

    A l’occasion d’un amendement adopté en commission le 15 février, le rapporteur justifie : « L’absence de consensus à ce stade sur la meilleure solution technique de vérification de l’âge doit être prise en compte par le législateur, qui ne saurait inscrire dans la loi un système de vérification particulier, du fait de l’évolution rapide des technologies disponibles ». Le rapporteur souhaite confier à l’Arcom, avec le concours de la CNIL, le soin de les déterminer.

    Dans le même amendement, le député propose que le manquement par un réseau social à ces obligations de vérification de l’âge et du consentement de l’autorité parentale soit puni d’une amende de 100 000 euros.

    Allez, encore une obligation destinée à garantir le monopole de Facebook, Tik Tok et autres grosses cavaleries marchandisées. Il faudra m’expliquer comment @Seenthis et les instances Mastodon seront en capacité de vérifier l’âge des gens qui ouvrent un compte…

    • On a des gamins qui tentent de s’inscrire sur ST ? Vraiment ? On n’a pas de comptes qui diffusent de X, j’vois pas ce que des gamins trouveraient comme intérêt à venir sur ST. On cause que de trucs tristes et déprimants, la fin du monde et du vivant. Rien que ça ça mériterait un alinéa dans un amendement à cette loi.

    • Ma question n’est pas vraiment de savoir si on a des gamins qui s’inscriraient en douce sur Seenthis…, mais d’indiquer que le législateur ajoute encore des contraintes qui peuvent pénaliser les outils et acteurs libres, associatifs, non marchands, sur le Web, souvent au simple motif qu’ils n’imaginent même pas que ça existe. Ou plus probablement parce que leurs seuls échanges sur ces sujets, c’est avec les lobbyistes des Gafam.

      Je vois qu’on se prépare aussi une législation européenne sur la cyber-sécurité, et je suis assez curieux de savoir comment ça va se passer pour les petites boîtes qui, comme nous, développent des choses libres et installent sur SPIP. Sachant que l’amende dont on parle à ce propos en cas de pépin est pas loin de dépasser mon chiffre d’affaire annuel. Est-ce que ça veut dire qu’il va falloir préférer installer du Wordpress avec ses plugins tout faits (et tout troués) parce que ça me dégage de toute responsabilité, et parce que mes clients ne voudront prendre aucun risque avec un outil pas certifié ISO-Trucmuche… ?

    • J’étais évidemment tristement cynique et 25ème degré.

      Nous allons en arriver au point que pour respecter la loi, il faudra enfreindre l’esprit du RGPD et se mettre sous la « protection légale » des GAFAM en favorisant l’adoption de leurs solutions. Parce qu’au moins, avec une solution standard, on ne court pas de risque juridique. Qui ira bien avec le déjà connu « au moins, avec une solution standard, pas besoin de former les utilisateurs ».

    • C’est la semaine des bidules pénibles. Il faut que j’argumente contre un confrère qui explique que la sauvegarde dans le cloud Synology ne respecte pas le RGPD, et que sa solution à base de Wasabi (startup américaine), respecte le RGPD.
      En début d’année, j’ai eu à choisir entre DocuS*gn (startup américaine) et la startup française de ce type de besoin. C’est la première qui a eu la faveur de mon client « parce qu’on a déjà un compte ». On leur donne la liste de toutes nos relations B2B, la liste de tous les interlocuteurs, les contrats au format PDF. Puis on t’enquiquine avec le RGPD ceci cela.

  • Le musée Lattara (à Lattes, village entre #Montpellier et Palavas) m’avait commandé une visite virtuelle de la très chouette exposition Statues-Menhirs, Miroirs de pierre du Néolithique, que j’avais déjà visitée avec les enfants et qui m’avait impressionné. Comme l’exposition IRL est terminée, le musée lance aujourd’hui la visite virtuelle :
    https://musee.info/Statues-menhirs

    C’est donc une petite #shameless_autopromo dont je suis très content, puisque c’est un musée à côté de chez nous.

    Pour l’aspect technique, c’est une visite virtuelle que je créé sur ma propre plateforme Musee.info, entièrement fabriquée avec SPIP. Les images panoramiques sont réalisées avec un Ricoh Theta Z1, en mode Raw HDR, je gonfle les images dans Topaz Gigapixel AI (qui n’est pas libre du tout, mais je vais faire des essais avec les nombreux outils de « Zoom and Enhance » qu’on trouve dans la partie « Extras » de Automatic 1111), et je fabrique ensuite les tuiles avec Pannellum.

    Nouveau > Visite virtuelle de l’exposition "Statues-menhirs. Miroirs de pierre du Néolithique" | Musee archeo
    https://museearcheo.montpellier3m.fr/evenements/nouveau-visite-virtuelle-de-l-exposition-statues-menhirs-m

    Pour prolonger l’expérience, l’équipe du musée vous propose de poursuivre la découverte, ou la re-découverte de l’exposition, grâce à la visite virtuelle réalisée par l’agence 23Forward (Montpellier).

    Belle balade « virtuelle » à la découverte de ces énigmatiques statues-menhirs et de l’univers des populations de la fin du Néolithique (3200-2500 av. notre ère).

    Note : j’avais signalé cette expo ici il y a 4 mois (avant que le musée me contacte) :
    https://seenthis.net/messages/978459

    • Chouette ! Merci pour le lien. La différence c’est évidemment qu’à Rodez il s’agit de pièces de la collection, et que leur exposition est permanente, alors qu’à Lattara, il s’agissait de prêts dans le cadre d’une exposition temporaire (terminée depuis ce dimanche donc – j’y étais encore samedi pour la montrer à mon beau-père et à ma grande).

      Je dois dire que je trouve ces pierres extrêmement émouvantes. Je suis du genre à être au bord des larmes en visitant un fac-similé de Lascaux, alors tu imagines que ces collections de sculptures du néolithique, je suis bon public…

      Sinon, l’exposition présentait une reconstitution d’Ötzi, « l’homme des glaces », et il se trouve qu’il y a un film en ce moment sur Arte :
      https://www.arte.tv/fr/videos/067773-000-A/oetzi-l-homme-des-glaces
      (Qui semble pas du tout adapté aux enfants, du coup je l’ai pas encore vu.)

  • Sortie de SPIP 4.2.0

    Après un mois de test de la version alpha, nous avons le plaisir de publier la version stable de SPIP 4.2 !

    Comme annoncé dans l’article de présentation de la version alpha, SPIP 4.2 apporte avant tout la compatibilité avec PHP 8.2 tout en gardant exceptionnellement une compatibilité avec la version PHP 7.4. C’est aussi un premier pas vers Composer avec l’introduction d’un autoloader à usage interne et l’intégration de dépendances à des librairies PHP via composer.json.

    https://blog.spip.net/870

    #spip

  • Merci à SPIP & à lautre.net - Souriez vous êtes filmé·es
    https://souriez.info/+Merci-a-SPIP-a-lautre-net+?var_mode=calcul

    Merci à SPIP & à lautre.net

    Le site de souriez.info tourne en SPIP depuis plus de vingt ans !

    Non pas que le site ait fait peau neuve, mais son système de gestion de contenu qui permet de publier en ligne les articles était en SPIP 2.1.30 depuis looongtemps et il était donc temps qu’il fasse sa nouvelle mise à jour.
    La nouvelle version de SPIP en 3.2.17 a donc été installée aujourd’hui en deux heures montre en main (rapatriement des données, test de mise à jour en local, test en dev, mise en production) tout cela sans aucun souci, au contraire, une petite révision de quelques pages bancales préexistantes à la MAJ et c’est reparti ! Merci #SPIP

    Adieu à l’ancienne version

  • Un joli #shameless_autopromo de septembre 2022 (notamment parce que c’est ma région) : on a livré des écrans pour la réouverture de la chapelle de l’hôpital de la Grave à Toulouse.

    La description du projet chez Mosquito :
    http://www.mosquito.fr/francais/projets/scenographie-numerique/article/parcours-de-visite-de-la-chapelle-de-la-grave

    (Évidemment c’est du SPIP inside.)

    Toulouse : voici ce que vous pouvez voir à l’intérieur du dôme de La Grave (et comment ça a changé) | Actu Toulouse
    https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/toulouse-voici-ce-que-vous-pouvez-voir-a-l-interieur-du-dome-de-la-grave-et-com

    Les sols et les décors peints ont été entièrement restaurés. Pour éclairer les visiteurs, un parcours muséographique en douze étapes permettra de connaître et de comprendre l’histoire de cet édifice symbolique de Toulouse. Tables tactiles, films ou encore exposition d’objets religieux, attendent les Toulousains sous le dôme de la chapelle Saint-Joseph.

    • Haute-Garonne : à Toulouse, le dôme rénové de la chapelle Saint-Joseph-de-la-Grave est ouvert aux visites
      https://www.lemoniteur.fr/article/haute-garonne-a-toulouse-le-dome-renove-de-la-chapelle-saint-joseph-de-la

      Dans l’objectif d’offrir un meilleur accueil aux visiteurs, un parcours de découverte a été aménagé au sein de l’édifice. Des tables tactiles, une exposition d’objets religieux, des interviews d’historiens et des témoignages de Toulousains ont été ainsi parsemés dans les différentes parties de la chapelle. En outre, des films sur la vie au sein de la Grave au temps du Grand Renfermement (période du XVIIe siècle) sont laissés à la disposition des visiteurs.

    • Toulouse : le dôme de la Grave ouvre ses portes le 17 septembre
      https://lopinion.com/articles/actualite/14612_toulouse-dome-grave-ouvre-portes-17-septembre

      La chapelle Saint-Joseph a été désacralisée en 2015 et après toutes ces rénovations, elle trouve alors une nouvelle vocation : celle de faire découvrir son histoire aux visiteurs. Les plus curieux pourront alors y trouver un parcours de découverte dans lequel de nombreuses activités seront proposées :
      – tables tactiles installées devant l’autel et dans les rotondes ;
      – films sur la vie à la Grave au temps du Grand Renfermement (période du XVIIe siècle durant laquelle les pauvres étaient accueillis dans les hôpitaux) ;
      – exposition d’objets religieux au sein de l’ancienne sacristie ;
      interviews d’historiens ;
      – témoignages de Toulousains qui ont travaillé ou été soignés à l’hôpital.

      Une nouvelle utilité pour le monument afin d’y apprendre son histoire et son lien avec l’hôpital.

      (Note perso : la témoignages audio des toulousains sont très émouvants.)

  • Mon gros #shameless_autopromo du moment : on vient de livrer les nouveaux écrans iteractifs du musée Lalique de Wingen-sur-Moder. Il y a quatre jeux d’observation (c’est-à-dire des jeux qui demandent à comprendre ce qu’on est en train de voir en salle pour les résoudre), sept vidéos à déclencher et trois écrans présentant l’environnement social, économique, culturel, scientifique… de la Belle époque (Art nouveau) et des Année folles (Art déco).

    Comme toujours, l’ensemble est développé sous SPIP, avec des interfaces entièrement tactiles en glisser-déposer. L’ensemble est trilingue (français, allemand, anglais), avec passage instantané d’une langue à l’autre. La plupart des écrans sont gérés par des players Brightsign, mais les deux « carrefours » Belle époque et Années folles tournent finalement sur des PC Nuc : ces sont des interfaces avec des effets de perpsective et beaucoup d’images, on atteignait les limites des Brightsign.

    Mosquito a une page de présentation avec un petit film dans lequel on voit mes écrans (le grand mur d’écrans à la fin n’est pas de moi) :
    http://www.mosquito.fr/francais/projets/scenographie-numerique/article/parcours-multimedia
    https://vimeo.com/797994082

    • EN IMAGES. Bas-Rhin : quelles sont les nouveautés du Musée Lalique qui rouvre après sa trêve hivernale
      https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/alsace/en-images-bas-rhin-quelles-sont-les-nouveautes-du-musee

      Les visiteurs ont accès à six stations dotées de petits jeux. Anne-Céline Desaleux, la directrice adjointe du musée détaille : « il y a aura par exemple un jeu sur les bijoux où les joueurs devront faire la différence entre une broche, une épingle à chapeau ou à cravate. C’est moins facile qu’il n’y paraît ! » 

      Une autre borne interactive sera centrée sur les arts de la table : « plat à tarte, beurrier, etc... Il faudra retrouver l’usage de chaque objet. René Lalique a beaucoup travaillé sur la rationalisation. Au moulage d’une seule carafe, il pouvait associer plusieurs moulage de bouchons. Ce sera au visiteur de trouver le moulage qui correspond au bon bouchon ».

      Anne-Cécile Desaleux évoque une troisième thème ludique : celui des flacons de parfum. Le maître-verrier concevait des flacons qui correspondaient à leur contenant : « le public devra cogiter pour associer flacon et nom de parfum, comme par exemple les Yeux bleus, la Perle noire ou encore le Trésor de la mer ».

      René Lalique a beaucoup travaillé sur les flacons, notamment de parfum, soulignant ici la finesse du savoir-faire local. • © Nicolas Meyer / France télévisions
      A ces jeux s’ajoutent des séquences plus pédagogiques. La directrice-adjointe du musée dit avoir beaucoup écouté et entendu les visiteurs, leurs questions et leurs remarques. Elle s’est aperçue que beaucoup avaient tendance à confondre Art Nouveau et Art décoratif. La confusion ne sera plus possible grâce à ces écrans tactiles.

    • Moselle. A Wingen-sur-Moder, le musée Lalique rouvre dans une version plus ludique
      https://www.republicain-lorrain.fr/culture-loisirs/2023/02/10/a-wingen-sur-moder-le-musee-lalique-rouvre-dans-une-version-plus

      « On a remplacé tous les écrans tactiles de la collection permanente, le matériel avait douze ans de fonctionnement », indique la directrice. Le contenu est remplacé par des quiz ou des jeux afin d’aborder le verre de façon ludique. « On a voulu s’adresser au plus grand nombre », affirme la gérante du musée Lalique. Par exemple, un jeu afin de connaître le nom d’un objet de tables et son utilité, ou bien un autre afin de trouver le nom d’une bouteille de parfum.

  • Hier à nouveau mon algorisme a été pris en faute par un message en provenance d’un compte douteux, qui se fait le relais régulier sur seenthis de la propagande de Poutine (#vatnik).

    Puisque @seenthis laisse ce type de comptes proliférer, faut-il que j’établisse une « liste blanche » de comptes validés à la main, ou faut-il que mes messages soient systématiquement inspectés avant envoi ? À ce compte-là, n’est-il pas préférable tout simplement d’arrêter la newsletter ?…

  • Claude Guillon, auteur de « Suicide mode d’emploi », est mort
    https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2023/01/20/claude-guillon-auteur-de-suicide-mode-d-emploi-est-mort_6158691_3382.html

    Claude Guillon, auteur de « Suicide mode d’emploi », est mort

    Le coauteur de ce livre polémique avait été poursuivi en justice avec le journaliste Yves Le Bonniec pour homicide involontaire, après des plaintes de familles de suicidés.

    Le Monde avec AFP
    Publié hier à 17h37

    Il avait fait scandale dans les années 1980 avec son livre de conseils pour mettre fin à ses jours. Claude Guillon, écrivain libertaire auteur de Suicide mode d’emploi. Histoire, technique, actualité, est mort à l’âge de 70 ans, a-t-on appris, vendredi 20 janvier, auprès de son éditeur IMHO. Cet auteur engagé à l’extrême gauche a succombé jeudi à un cancer, dont il donnait encore des nouvelles sur son blog le 31 décembre.

    « Le cancer avance, au fur et à mesure qu’on lui oppose de nouveaux protocoles (…). Je ne tiens plus sur mes jambes », écrivait-il sur son blog fin décembre, à l’issue d’une vie où il avait combattu contre les tabous entourant la mort.

    Claude Guillon avait suscité un vaste débat en cosignant avec le journaliste Yves Le Bonniec Suicide mode d’emploi. Il revendiquait plus de 100 000 exemplaires vendus de cet ouvrage qui plaidait pour le droit à mettre fin à ses jours dignement, et fournissait des « recettes d’un suicide sans violence » par médicaments, destinées à faciliter le passage à l’acte.
    Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Les auteurs et l’éditeur de " Suicide mode d’emploi " inculpés d’homicides involontaires
    Condamné puis relaxé

    Les deux écrivains avaient été poursuivis pour homicide involontaire en 1987 après plusieurs plaintes déposées par des familles de personnes ayant mis fin à leurs jours en suivant les conseils de l’ouvrage. Plusieurs proches de suicidés leur avaient reproché une incitation à passer à l’acte.

    Yves Le Bonniec avait par ailleurs été condamné en 1986 à six mois de prison avec sursis, non pas en raison de l’ouvrage, mais pour avoir répondu à la lettre d’un candidat au suicide qui lui demandait quelle quantité d’un médicament absorber pour se tuer. Claude Guillon avait lui été relaxé.

    En 1997, la cour d’appel de Paris avait relaxé Claude Guillon, accusé d’avoir frappé un policier à la fin d’une manifestation en faveur des sans-papiers l’année d’avant. L’auteur avait été condamné en première instance à quinze jours de prison avec sursis. Claude Guillon laisse par ailleurs une œuvre politique et polémique, portant entre autres sur la Révolution française ou sur la sodomie.

    Le Monde avec AFP

    https://lignesdeforce.wordpress.com

  • #PHP in 2023 - stitcher.io
    https://stitcher.io/blog/php-in-2023

    As a developer though, WordPress makes me sad. The inability to stay up to date with modern and safe PHP versions casts a shadow on the whole PHP community.

    Right now, WordPress only has beta support for PHP 8.0. Now, to be clear: PHP 8.0 was released in 2020, and is now end of life, three years later — and WordPress doesn’t yet support it…

    Of course, there are reasons for not properly supporting newer PHP versions. Up to you to decide whether they are good or not. My personal opinion is that the decision to hold on to backwards compatibility as much as WordPress does is mostly business driven: a big part of WordPress is the commercial part, and a big part of their customer base is running old PHP versions. It’s a vicious circle where both parties are holding each other back and, by extent, hold back the PHP community as a whole.

    On the other hand, we should recognise the fact that not many software projects are able to stay as popular and relevant as WordPress after almost 20 years, so maybe their strategy about backwards compatibility is the right one?

    Quelqu’un devrait parler de #SPIP à l’auteur de cet article :)

  • ChatGPT : Mächtige Waffe in Händen von Skriptkiddies
    https://www.heise.de/news/ChatGPT-Maechtige-Waffe-in-Haenden-von-Skriptkiddies-7452741.html

    Si je comprends bien #ChatGPT ajoute une solution au problème du temps limité qui se pose à pas mal de développeuses amateurs.

    9.1.2023 von Dirk Knop - Das künstliche-Intelligenz-Modell ChatGPT der Firma OpenAI kann nicht nur erstaunliche Texte hervorbringen, sondern programmiert auch ganz passabel. Im digitalen Untergrund haben die IT-Sicherheitsforscher von Check Point jetzt beobachtet, wie sogenannte Skriptkiddies, also Nutzerinnen und Nutzer ohne größere Programmierkenntnisse, das KI-Modell zum automatisierten Erstellen etwa von Malware missbrauchen.

    Die IT-Forscher haben mehrere Untergrund-Hacking-Foren untersucht und haben dabei erste Gehversuche von Cyberkriminellen aufgespürt, mit der OpenAI-KI bösartige Werkzeuge zu entwickeln. In einigen Fällen zeigte sich zudem, dass die Kriminellen keinerlei Entwickler-Knowhow besaßen. Die ersten Tools seien noch recht einfach, es sei jedoch lediglich eine Frage der Zeit, bis fortgeschrittenere bösartige Akteure die Nutzung von KI-basierten Werkzeugen für ihre Ziele ausweiten.
    ChatGPT: Infostealer und Verschlüsselungstools

    Die Check-Point-Mitarbeiter haben kurz vor Jahreswechsel einen Diskussionsfaden in einem populären Untergrundforum entdeckt, in dem der Themenstarter erklärte, dass er mit ChatGPT experimentiert, um Malware-Stämme nachzubauen, die in Forschungspublikationen und allgemeinen Schadsoftwarebeschreibungen auftauchten. Als Beispiel habe dieser einen Code-Schnippsel in Python geteilt, der bestimmte Dateitypen suche, sie in einen zufälligen Ordner im Temp-Verzeichnis kopiere, diesen in eine ZIP-Datei verfrachte und schließlich auf einen fest einprogrammierten FTP-Server hochlade.

    Der Code-Schnipsel hielt der Prüfung durch die IT-Forscher stand, er lieferte tatsächlich die versprochenen Funktionen ab. Ein weiteres Beispiel der Versuche dieses Cyberkriminellen mündete in einem Java-Schnipsel. Der lädt den SSH-Client PuTTY herunter und startet ihn versteckt im System mit Powershell. Das Skript ließe sich leicht anpassen, beliebige Programme herunterzuladen, einschließlich Malware.

    Zwar habe der Themenstarter weitergehende Programmierkenntnisse, seine Beispiele zeigten jedoch, wie auch weniger technisch begabte Individuen ChatGPT für bösartige Zwecke missbrauchen könnten – mit echten Beispielen, die sie umgehend nutzen können.

    Nur rund eine Woche davor hatte ein anderer Cyberkrimineller ein Python-Skript gepostet, von dem er angab, dass es das Erste sei, das er jemals erstellt hätte. Auf die Code-Ähnlichkeit mit ChatGPT-Code angesprochen, antwortete er, die OpenAI-KI habe ihm eine „nette [helfende] Hand gereicht, um das Skript mit einem schönen Funktionsumfang anzufertigen“. Die Check-Point-Forscher bestätigen, dass das Skript kryptografische Funktionen ausführt und dabei etwa das Signieren, Entschlüsseln und Verschlüsseln unterstützt.
    Werkzeug nicht per se bösartig

    Die IT-Sicherheitsforscher erläutern, dass sich diese Skripte auch für legitime Zwecke nutzen ließen. Sie ließen sich jedoch sehr leicht modifizieren, um etwa das System eines Benutzers vollständig ohne Nutzerinteraktion zu verschlüsseln. Nach dem Beheben einiger Skript- und Syntax-Probleme könnte daraus eine Ransomware entstehen.

    Eine weitere Möglichkeit, wie Cyberkriminelle ohne weiterreichende Entwicklerkenntnisse ChatGPT missbrauchen können, ist das Erstellen eines Darknet-Marktplatzes. Es handelt sich dabei um einen Umschlagplatz zum Handeln von illegalen oder gestohlenen Gütern wie erbeuteten Zugangsdaten, Kreditkarteninformationen, Malware oder sogar Drogen und Munition, die allesamt mit Kryptowährungen gezahlt werden. Ein Cyberkrimineller demonstrierte, wie mit ChatGPT erstellter Code eine Dritthersteller-API auf aktuelle Kryptowährungskurse von Bitcoin, Etherium und Monero als Teil des Dark-Web-Bezahlsystems abfragte.

    Weitere Diskussionen zum Jahresanfang 2023 drehten sich in den Untergrundforen darum, wie sich mit ChatGPT Betrugsmaschen umsetzen ließen. Viele betrafen etwa das Erstellen von zufälliger Kunst mit DALLE2 und der Verkauf davon auf der Plattform Etsy. Oder das Erstellen von E-Books oder kürzeren Kapiteln über spezielle Themen mit ChatGPT und den Online-Verkauf dieser Inhalte, führen die Check-Point-Forscher weiter aus. Es sei noch zu früh, um einzuschätzen, ob ChatGPT das neue bevorzugte Werkzeug im digitalen Untergrund wird. Es zeige sich jedoch deutliches Interesse der Untergrund-Community daran, auf den KI-Trend aufzuspringen und damit etwa Schadcode zu erzeugen.

    #SPIP

    • Amateurs alors. Très amateurs. Il y a eu de tests de réalisés par pas mal de Youtubeurs spécialisés dans plusieurs domaines.
      Derrière son aplomb, ChatGPT produit de très nombreuses erreurs, des approximations facheuses et surtout, laisse penser à une réponse construite et argumentée, alors que les prémisses sont déjà faux.
      Programmation, Chimie, Bricolage, Histoire... voila des sujets déjà débunkés.
      Alors oui, parfois la réponse est parfaite. Pour certains sujets, l’approximation se voit à peine. Et d’autres fois, il suffit de revenir poser la même question le lendemain pour avoir enfin la bonne réponse.
      Mais dans l’ensemble, c’est fait pour les gens qui savent déjà. Un peu comme l’était Google translation en 2003.
      Revenez dans 20 ans !

  • GitHub - libvips/libvips : A fast image processing library with low memory needs.
    https://github.com/libvips/libvips

    Une lib pour retailler les images (JPEG, PNG, WebP) ultra-rapide sur les gros fichiers.
    Open-source, disponible pour Linux / MacOS / Windows.

    Voir aussi :
    – implémentation en Node.js : https://sharp.pixelplumbing.com + repo Git : https://github.com/lovell/sharp
    – implémentation en PHP : https://github.com/libvips/php-vips

    #libvips #vignette #Node.js #PHP #ImageMagick #SPIP

  • Soirée difficile hier, puisque j’ai voulu expliquer aux petits (en sixième) pourquoi leur prof de techno mettait 1024 octets dans un kilooctet, au lieu de 1000 comme dans les kilogrammes et les kilomètres.

    Et évidemment, la seule chose qu’ils ont retenu c’est que « ah ah, papa il a dit “bit” ».

  • DMS to Decimal
    https://www.apsalin.com/dms-to-decimal

    Convertisseur de coordonnées géographiques DMS vers décimale

    DMS and Decimal are geographic coordinate (Latidude, Longitude). Decimal uses a signle decimal number. For example: (35.745547, -120.725044). DMS stands for Degrees, Minutes and Seconds and uses single natutal numbers for the degrees and the minutes, and a natural or decimal number for the seconds. For example: (35 44 43.97 N, 120 43 30.16 W) or (35° 44’ 43.97" N, 120° 43’ 30.16" W).

    #coordonnées #DMS #décimal #géolocalisation #convertisseur

  • Ça fait une petite semaine que je joue avec Stable Diffusion (avec DiffusionBee sur Mac). Quelques idées :

    – il faut vraiment se rendre compte à quel point ça commence déjà à être exploitable dans un cadre professionnel ; je ne suis pas certain que ça puisse déjà remplacer un·e illustrateur·ice dans les situations où, réellement, on paie un·e illustrateur·ice (réaliser la production finale) ; mais pour tous ces moments du boulot où de toute façon on « bidouillait » pour faire des scénarios, des proof of concept, sans passer par un·e pro du dessin (perso je faisais parfois moi-même des petits croquis aquarellés, juste pour donner une idée au client ; cette semaine j’ai monté quelques images réalisées avec Stable Diffusion, ça m’a pris dix fois moins de temps et ça rend vachement mieux)… ;

    – les progrès sont juste fulgurants ; ça faisait très longtemps que je n’avais pas été confronté à une évolution technologique tellement rapide qu’elle semble « magique » (je parle de ces moments, très rares, où je vois réellement quelque chose se produire sur mon ordinateur, que je n’imaginais même pas techniquement possible avant).

    – ce que je veux dire ici, c’est que les productions AI sont déjà souvent exploitables dans les situations où, de toute façon, il n’y avait pas réellement un marché professionnel pour ces productions. Mais qu’à la vitesse où ça va, très bientôt ce sera largement exploitable pour un produit final, en concurrence directe avec la production qui, normalement, demande un travail spécifiquement rémunéré.

    – les illustrateur·ices vont prendre très cher, et très vite : il faut vraiment envisager tout de suite la reconversion, parce que c’est pas en dessinant des personnages et des scénettes qu’il va encore y avoir moyen de vivre : même les gens avec une identité graphique identifiée, je pense que ça va être difficile. Pour les autres (pour qui c’est déjà pas facile), je crains que là c’est mort. Après quelques heures avec Stable Diffusion, j’ai déjà produit en quelques minutes une dizaine de personnages illustrés totalement crédibles et parfaitement utilisables pour un jeu en ligne, par exemple : alors certes de mon côté je n’en ai pas l’utilité (pour l’instant), mais ça veut dire que ça c’est quasiment plus un marché pour les vrais gens qui font des vrais dessins. À quel moment l’édition jeunesse va basculer ? Ben à mon avis ça va arriver très très vite, sans doute en commençant par l’entrée de gamme (mais la disparition du « tout venant » finit par assécher la possibilité de survie du qualitatif).

    – je lis que non, c’est pas la disparition du métier, c’est juste une évolution : il faudra travailler autrement, car maîtriser ces outils avec goût et savoir-faire restera un métier. Certainement, mais ce métier existe déjà, il est déjà largement saturé, c’est le métier de graphiste (les graphistes ne sont pas des illustrateur·ices, il·elles ne dessinent pas), qui désormais pourra se passer des illustrateur·ices et largement réaliser le poduit final en dictant ses ordres à une AI plutôt qu’en payant quelqu’un.

    – c’est pas la peine d’en faire une question morale (« ah oui mais il suffit de refuser ») : c’est un marché déjà difficile, les gens y sont largement des prestataires indépendants, ça va être terrible, on a une technologie qui progresse à une vitesse sidérante, et qui va percuter de plein fouet un milieu de travailleurs indépendants déjà souvent en limite de paupérisation ;

    – ne pas compter sur le droit pour protéger le métier traditionnel. Je vois bien qu’il y a des histoires de propriété intellectuelle en ce moment, ça joue sur les illustrateur·ices déjà établis dont on utilise la production pour entraîner les modèles, mais c’est temporaire, à mon avis ça va se résoudre rapidement, et il n’y aura aucun moyen de poursuivre des productions par AI sur la base du plagiat (il est très difficile de poursuivre quelqu’un qui produit dans « le même style que » s’il n’y a pas plagiat direct). Et comme c’est un milieu de petits producteurs indépendants, il n’y aura même pas d’outils de financements « socialisés » façon racket des ayants-droits de la musique.

    • Oui, c’est pour ça que je parle d’abord de l’« entrée de gamme », le « tout venant ». Mais ces « boulots alimentaires » sont ceux qui font (sur)vivre l’immense majorité des professionnels dans l’illustration.

      Et même les gens reconnus, je ne suis pas certain qu’ils y seraient parvenus sans passer par ces boulots alimentaires avant de devenir des noms, ni même s’ils n’ont pas encore besoin des boulots alimentaires en plus de la création plus créative… Si tu assèches le « tout venant », l’alimentaire, je crains même que ça devienne compliqué de faire émerger des noms reconnus, parce qu’il n’y aura plus vraiment moyen d’« entrer » dans la profession.

      Et pour préciser : je ne vois pas le problème arriver « dans quelques années ». Je le vois arriver maintenant. D’ici un an, les « boulots alimentaires » des illustrateurs, je pense que ça va déjà être compliqué. (En plus je suis déjà pessimiste en jouant avec Stable Diffusion : les progrès d’une version à l’autre de Midjourney sont encore plus invraisemblables.)

    • Alors pour qu’on se comprenne bien, « tout venant » et « entrée de gamme », je parle tout de même pas de « persos à la con » non plus : je parle d’un type de maison d’édition, qui ne tiendrait pas particulièrement à continuer à travailler avec des êtres humains (par conviction, pour son modèle économique, pour son image…) ; mais la qualité des images produites est déjà difficilement qualifiable de « tout venant ». Quelques images Midjourney trouvées sur Prompthero par exemple :
      https://prompthero.com/midjourney-prompts

      Je veux dire : si ta pratique professionnelle reposes sur le fait que tu parviens à produire quelque chose de ce niveau en peinture numérique, voilà : il y a déjà une IA qui produit ça en quelques secondes.

    • Oui mais pour moi ça c’est des « persos à la con », je veux dire par là que une personne qui saurait faire ça à la main, bah oui ya une qualité de réalisation, mais il n’y a à peu près aucune originalité, aucune création, c’est le type de choses qu’on voit depuis 40 ans dans les jeux de rôles etc puis dans des millions de posts de deviantart ya 15 ans. Donc bah oui ya clairement des éditeurs, des domaines qui n’utilisent que ce genre d’illustrations (les jeux de société aussi tiens) et qui peuvent/vont se « contenter » de ça.

    • Parce que ces modèles sont largement entraînés sur les bibliothèques en ligne à la DeviantArt (je suspecte que les « problèmes légaux » évoqués avec la version 2.0 de Stable Diffusion viennent de là), et parce que les gens qui postent sur ces sites d’AI pensent que c’est ça qui plaît (puisque c’est ce qui leur plaît).

      Mais franchement, faire le pari de l’originalité et de l’intention, alors que cela reste des outils eux-mêmes manipulés par des humains, je n’y crois pas. On aura des êtres humains qui vont se mettre à produire des images originales avec ces outils. Mais ce n’est plus des « illustrateurs », ça me semble plus proche du métier de graphiste (avoir des idées, du goût, une culture visuelle, justement une originalité, mais sans forcément savoir dessiner/illustrer).

      Et encore une fois, si tu retires le tout-venant, les boulots alimentaires et les illustrations pas-super-originales, ça devient très difficile d’en vivre pour la plupart des gens dont c’est actuellement le métier. Si tu regardes les images qui t’entourent, dans les journaux, dans le journal de la mairie, les bouquins scolaires, la « communication visuelle » (d’entreprise, publique, humanitaire…), etc., c’est pas super-glorieux (ni honteux, hein), mais surtout c’est énormément de travail en permanence qui fait vivre énormément de monde, dans chaque coin du pays, et franchement, l’essentiel est faisable avec une AI en quelques lignes de texte. Je pense que ça va devenir très difficile pour tous ces types de boulots.

    • Les traducteurs et traductrices ont-elles souffert avec DeepL ? Question honnête car je n’ai pas idée de la réponse.

    • @fil un client m’a dit qu’à priori il prévoyait de traduire en anglais ses articles (qui peuvent être longs) avec deepl à recoller dans des vrais articles SPIP ensuite, car c’était largement exploitable, donc sans traduire lui-même ou par des gens payés pour ça… du coup je suppose que oui une partie des traductions passent par là maintenant… (mais un peu comme pour les illustrations on parle là de trucs « rapidos »)

    • Il y a une caractéristique différente avec les illustrations par AI : il n’est pas nécessaire de savoir faire le job (illustrer) pour juger de la qualité. Je peux sortir 10 illustrations en quelques poignées de secondes, choisir celle qui va bien, celle qui n’a pas trois bras, etc., et je peux juger que c’est exploitable. Je suis en situation de juger de la qualité du résultat.

      Avec une traduction automatique, je suis à poil : je lance la traduction et je n’ai pas de moyen de vérifier que c’est correct. Donc le seul moyen de garantir la qualité du résultat, c’est de passer par une traduction humaine. Ce sont deux situations automatisées totalement différentes : dans un cas je suis parfaitement capable de juger que le résultat est satisfaisant, dans l’autre je n’en ai aucun. Et dans un cadre professionnel, c’est un critère particulièrement important.

      Après, je pense que ça joue tout de même, parce qu’il y a des situations où certes je ne peux pas garantir la qualité fine de la traduction (est-ce que c’est élégant, est-ce que c’est le meilleur choix…), mais où, si je ne peux traduire moi-même, je peux quand même juger que ce n’est pas en train de raconter strictement n’importe quoi. Ça doit être le cas de l’anglais pour pas mal de gens (en gros ce que dit Rasta). (Et sinon, est-ce que j’ai déjà vu des institutions culturelles ajouter un bouton « Google Translate » sur leur site Web au lieu de proposer de véritables versions multilingues de leur site ? Hum je voudrais pas cafter…)

      Mais cette histoire d’enjeu est important à considérer, parce que ça rend la comparaison avec d’autres automatisations très injuste. Je peux beaucoup m’amuser à produire des dizaines d’images avec des gens à trois bras, les yeux qui déconnent, les mains qui ne ressemblent à rien, les épaules au niveau du nombril… Mais je m’en fous des erreurs, parce que dans le lot je vais choisir l’image qui n’a pas de problème, et les image ratées n’ont aucun impact sur ce que je vais sortir au final. Alors qu’une erreur dans une traduction, elle restera dans la version finale publiée. Mais surtout : une voiture qui se conduit toute seul va tuer des gens. Un algorithme qui envoie les gens en prison est très problématique, et les « erreurs » sont (devraient être) des injustices insupportables. Et une AI qui devrait détecter des maladies graves qui se tromperait, ben c’est un peu chiant aussi… Alors que les erreurs et les fautes de goût d’une AI de dessin n’ont aucun impact dans le résultat final, même dans un cadre professionnel.

    • Tant qu’à faire, l’interview de David Holz chez Forbes:

      Midjourney Founder David Holz On The Impact Of AI On Art, Imagination And The Creative Economy

      Did you seek consent from living artists or work still under copyright?

      No. There isn’t really a way to get a hundred million images and know where they’re coming from. It would be cool if images had metadata embedded in them about the copyright owner or something. But that’s not a thing; there’s not a registry. There’s no way to find a picture on the Internet, and then automatically trace it to an owner and then have any way of doing anything to authenticate it.

      Can artists opt out of being including in your data training model?

      We’re looking at that. The challenge now is finding out what the rules are, and how to figure out if a person is really the artist of a particular work or just putting their name on it. We haven’t encountered anyone who wants their name taken out of the data set that we could actually find in the data set.

      Can artists opt out of being named in prompts?

      Not right now. We’re looking at that. Again, we’d have to find a way to authenticate those requests, which can get complicated.

      What do you say to commercial artists concerned this will destroy their livelihood? At a certain point, why would an art director hire an illustrator to produce work like concept art, production design, backgrounds – those sorts of things – when they can just enter prompts and get useful output much more quickly and at much lower cost?

      It’s a lot of work still. It’s not just like “make me a background.” It might be ten times less work, but it is way more work than than a manager is going to do.

      I think there’s kind of two ways this could go. One way is to try to provide the same level of content that people consume at a lower price, right? And the other way to go about it is to build wildly better content at the prices that we’re already willing to spend. I find that most people, if they’re already spending money, and you have the choice between wildly better content or cheaper content, actually choose wildly better content. The market has already established a price that people are willing to pay.

      I think that some people will try to cut artists out. They will try to make something similar at a lower cost, and I think they will fail in the market. I think the market will go towards higher quality, more creativity, and vastly more sophisticated, diverse and deep content. And the people who actually are able to use like the artists and use the tools to do that are the ones who are going to win.

      These technologies actually create a much deeper appreciation and literacy in the visual medium. You might actually have the demand, outstrip the ability to produce at that level, and then maybe you’ll actually be raising the salaries of artists. It could be weird, but that’s what’s going to happen. The pace of that demand increase for both quality and diversity will lead to some wonderful and unexpected projects getting made.

      A generation of students graduated art schools, many of them heavily in debt, counting on relatively well-paid jobs in entertainment production, videogame production, commercial art and so on. How does the emergence of AI text-to-image platforms impact their future?

      I think some people will try to cut costs, and some people will try to expand ambitions. I think the people who expand ambitions will still be paying all those same salaries, and the people who try to cut costs, I think will fail.

      Ai is typically used at scale for stuff like call centers or checking bags at airports and the sort of the jobs that people don’t really care to do. And the value proposition is that it frees people up to do more rewarding, more interesting kinds of jobs. But art jobs are rewarding and interesting. People work their entire lives and develop their skills to get these kind of jobs. Why would you point this technology at that at that level of the economy as a as kind of a business focus and priority for the stuff that you’re doing?

      Personally, I’m not. My stuff is not made for professional artists. If they like to use it, then that is great. My stuff is made for like people who, like, there’s this woman in Hong Kong, and she came to me, and she goes, “The one thing in Hong Kong that your parents never want you to be is an artist, and I’m a banker now. I’m living a good banker life. But with Midjourney now I’m actually starting to get a taste of this experience of being the person I actually wanted to be.” Or a guy at the truck stop who’s making his own baseball cards with wild Japanese styles, just for fun. It’s made for those people, because, like most people, they don’t ever get to do these things.

      It’s important to emphasize that this is not about art. This is about imagination. Imagination is sometimes used for art but it’s often not. Most of the images created on Midjourney aren’t being used professionally. They aren’t even being shared. They’re just being used for these other purposes, these very human needs.

      Nevertheless, the output of your product is imagery, which has commercial value in professional context in addition to all of those other properties. And this is very disruptive of that economy.

      I think it’s like we’re making a boat, and somebody can race with the boat, but it doesn’t mean that the boat’s about racing. If you use the boat to race then maybe like, yeah, sure. In that moment it is. But the human side really matters, and I think that we’re not… We want to make pictures look pretty. Like how flowers try to be beautiful for the bees. It’s the beauty of nature, not the beauty of art. There’s no intention in the machine. And our intention has nothing to do with art. We want the world to be more imaginative and we would rather make beautiful things than ugly things.

      Do you believe that any government body has jurisdiction or authority to regulate this technology? And if so, do you think they should?

      I don’t know. Regulation is interesting. You have to balance the freedom to do something with the freedom to be protected. The technology itself isn’t the problem. It’s like water. Water can be dangerous, you can drown in it. But it’s also essential. We don’t want to ban water just to avoid the dangerous parts.

      Well, we do want to be sure our water is clean.

      Yes, that’s true.