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Média participatif dans la Drôme, contre-pouvoir et libre-expression

  • France Travail : dérégulation, pressions et précarité sous le prétexte de quête du plein emploi
    https://ricochets.cc/France-Travail-deregulation-pressions-et-precarite-sous-le-pretexte-de-que

    Quelques nouvelles de France Travail Le passage de « Pôle Emploi » à « France Travail » qui a eu lieu depuis le 1er janvier annonce une attaque idéologique et politique au long court contre celles et ceux qui refusent de faire du travail le centre de leur vie, mais aussi contre tous les précaires, allocataires divers et smicards. FRANCE TRAVAIL, C’EST QUOI ? • Un « réseau pour l’emploi » regroupant les missions locales (qui accompagnent les jeunes), Cap emploi (pour les personnes en (...) #Les_Articles

    / Travail, emploi, entreprise..., #Le_monde_de_L'Economie

    #Travail,_emploi,_entreprise...
    https://rebellyon.info/Quelques-nouvelles-de-France-Travail-25564

  • Même si Darmanin veut pas, on est là ! Retour sur la marche aux flambeaux contre la raciste loi immigration // mardi 16 juin à Die
    https://ricochets.cc/Meme-si-Darmanin-veut-pas-on-est-la-Retour-sur-la-marche-aux-flambeaux-con

    Ce mardi 16 janvier, à l’appel de 6 assos locales (Voies Libres Drôme - Val de Drôme Accueil Réfugiés - La Cimade - La Trâme - Exilés et Crestois - Solidarloc), plus de 400 personnes se sont mobilisées à Die pour exprimer leur rejet de la raciste loi immigration et pour clamer haut et fort leur désir de solidarité et d’accueil digne. Après un tour de prise de parole où se sont notamment exprimés des lycéen.ne.s du lycée de Die, le cortège s’est élancé vers la Sous préfecture au son de la (...) #Les_Articles

    / Vidéos, films..., #Luttes_sociales

    #Vidéos,_films...

  • Même si Darmanin veut pas, on est là ! Retour sur la marche aux flambeaux contre la raciste loi immigration // mardi 16 juin à Die
    https://ricochets.cc/Meme-si-Darmanin-veut-pas-on-est-la-Retour-sur-la-marche-aux-flambeaux-con

    Ce mardi 16 janvier, à l’appel de 6 assos locales (Voies Libres Drôme - Val de Drôme Accueil Réfugiés - La Cimade - La Trâme - Exilés et Crestois - Solidarloc), plus de 400 personnes se sont mobilisées à Die pour exprimer leur rejet de la raciste loi immigration et pour clamer haut et fort leur désir de solidarité et d’accueil digne. Après un tour de prise de parole où se sont notamment exprimés des lycéen.ne.s du lycée de Die, le cortège s’est élancé vers la Sous préfecture au son de la (...) #Les_Articles

    • SNU, uniformes, « réarmement civique » : le #gouvernement-Attal, ennemi numéro 1 de la jeunesse
      https://www.revolutionpermanente.fr/SNU-uniformes-rearmement-civique-le-gouvernement-Attal-ennemi-n

      Des vœux du Président au remaniement gouvernemental, il ne fait aucun doute que la jeunesse constitue une cible privilégiée de la macronie pour 2024. Face à une génération en voie de radicalisation, un pari risqué pour le régime.

      En cette rentrée de janvier 2024, la feuille de route dont s’est dotée le gouvernement a le mérite d’être claire. Dans la continuité de la rhétorique sur « l’ordre, l’ordre, l’ordre » martelée au sortir des révoltes pour Nahel, qui a conduit à l’interdiction du port de l’abaya à l’école, Emmanuel Macron a promis lors de ses vœux un « réarmement civique » pour la nouvelle année.

      Derrière l’objectif affiché de « faire des républicains » et d’endiguer « l’effondrement de la civilité », l’auto-proclamé « Président des Jeunes » adresse une menace à peine voilée à l’endroit de la jeunesse. Il faut dire que la politisation de cette dernière se fond mal avec l’ambition autoritaire du macronisme : protagonistes quasi-systématique des mobilisations de ces dernières années, seul 20% des moins de 25 ans ont voté pour lui en 2022. Dans le contexte réactionnaire actuel, en dépit de la répression et de la rhétorique pour diviser les classes populaires, ce sont les jeunes qui soutiennent le plus le peuple palestinien, contestent le plus la Loi immigration, et fustigent le caractère antidémocratique des institutions.

      Pour les ramener dans le droit chemin des « valeurs de la République », le chef de l’État a donc nommé Gabriel Attal comme Premier Ministre. Le plus jeune à ce poste de toute l’histoire de la V° République, architecte du SNU, de l’interdiction du port de l’abaya et de l’expérimentation de l’uniforme à l’école, sera accompagné de Prisca Thévenot comme porte-parole du gouvernement et Amélie Oudéa-Castéra comme ministre de l’Éducation Nationale et des JO. Deux proches de Macron ayant déjà une certaine expérience dans le domaine puisque la première était chargée ces derniers mois d’envisager la généralisation du SNU et que la seconde a mis en place l’expulsion de milliers d’étudiants de leur logement Crous pour l’été 2024. Un scandale en pleine crise du logement, accompagné d’appels à la « mobilisation » des étudiants pour des jobs payés au lance-pierre pendant les Jeux.

      Des premiers« efforts » demandés aux jeunes par la ministre des Sports qui pourraient franchir un cap supplémentaire avec le nouveau gouvernement Attal, cette fois pour répondre aux préoccupations de l’exécutif dans une situation internationale marquée par des guerres en Ukraine ou à Gaza, des turbulences géopolitiques, et des perspectives de destabilisation dans de nombreuses régions. Après avoir porté une nouvelle Loi de programmation militaire d’envergure inédite en vue « de se préparer au retour des conflits de haute intensité », le ministre des armées plaide pour un renforcement du SNU afin de faire naitre des vocations militaires chez les moins de 18 ans. Une politique non sans lien avec le rapport de la mission pour la résilience nationale rendu à l’automne 2022, préconisant d’augmenter « la mobilisation des effectifs susceptibles d’intervenir en première ligne en cas de crise grave ». De quoi consacrer une « phase préparatoire à un réarmement militaire et à une mobilisation nationale de la jeunesse » résume dans les colonnes de Reporterre le chercheur au CNRS Thierry Ribault.

      Un enjeu stratégique pour l’impérialisme français qu’il sera néanmoins périlleux d’honorer : jusqu’ici, le gouvernement a échoué à aller au bout de ses nombreuses tentatives de généralisation du SNU, trop inquiet d’une mobilisation lycéenne dans un climat social déjà éruptif. Dans ce cadre, l’instauration de l’uniforme dans le secondaire devrait faire office de crash test, le gouvernement espérant cette fois compter sur le soutien de la droite traditionnelle, après les difficultés rencontrées au temps de Blanquer avec les polémiques sur les « tenues républicaines » et les crop-tops.

      En dépit de cette tentative impuissante d’endiguer l’isolement en visant toujours plus à droite, à force de vouloir remettre de force les jeunes sur le droit chemin, le gouvernement pourrait bien prendre un sévère retour de bâton en encourageant la sécession de toute une génération. Car les réformes sécuritaires comme la rhétorique réactionnaire participent à dévoiler le caractère profondément autoritaire du régime, sans répondre aux aspirations d’une jeunesse en rupture avec l’avenir de crises que lui est promis. Une réalité qui avait déjà valu une mobilisation étudiante « Ni Le Pen, Ni Macron » pendant l’entre-deux tours de 2022 et qui s’est confirmée pendant la réforme des retraites, les révoltes pour Nahel, la Palestine et désormais la mobilisation contre la Loi Darmanin. Faire de cette sécession une lutte contre le régime de la Ve République et les intérêts capitalistes qu’elle défend, telle est la perspective que nous défendrons avec Le Poing Levé pour 2024.

      Ariane Anemoyannis et Le Poing Levé

    • « Macron prépare la militarisation de la société »
      https://reporterre.net/Macron-prepare-la-militarisation-de-la-societe

      Le « réarmement civique » prôné par le chef de l’État est un « appel au sacrifice du peuple », alerte le chercheur Thierry Ribault. Il prépare la jeunesse à une « inéluctable » mobilisation nationale.

      Un faisceau d’indices, d’événements et d’éléments de langage montrent que nous changeons d’époque. Le dernier discours d’Emmanuel Macron sur « la régénération » et « le réarmement civique » en est une illustration. On prépare les esprits à un endurcissement de la société et à un monde en guerre, alerte Thierry Ribault, chercheur en sciences sociales au CNRS à Lille et auteur de Contre la résilience — À Fukushima et ailleurs (éd. L’Échappée), pour qui la mobilisation générale est indispensable au « survivalisme d’État ».

      Reporterre — Le chef de l’État prépare son « rendez-vous avec la nation » de janvier. Il dit vouloir impulser un « réarmement civique » de la jeunesse. Que vous évoque cette expression ?

      Thierry Ribault — Le réarmement civique est un sous-produit idéologique de la doctrine de la résilience nationale élaborée par les dirigeants macronistes. C’est une phase préparatoire à un réarmement militaire et à une mobilisation nationale de la jeunesse.

      Cela fait plusieurs années que l’on entend cette petite musique. Trois jours avant l’entrée en guerre de la Russie contre l’Ukraine, une mission parlementaire a rendu en France son rapport sur la résilience nationale. Pour « absorber les chocs », il faut éduquer, disait-elle, les citoyens à être de bons soldats au service d’une « défense totale » de la Nation. Dans ce « monde en guerre » où « la conflictualité s’est généralisée à tous les espaces », la mobilisation de la jeunesse est considérée comme inéluctable par nos élites...

      ... Nous sommes dans un culte de l’adaptation. Et l’incantation à la résilience peut aller jusqu’à l’éloge du sacrifice, sous couvert de solidarité. Le rapport de la mission pour la résilience nationale préconisait d’ailleurs d’accroître « la mobilisation des effectifs susceptibles d’intervenir en première ligne en cas de crise grave ».

      L’uniforme et le SNU sont autant de moyens de nous discipliner et de nous apprendre le sens du devoir. « Chez de nombreux jeunes et moins jeunes, l’abondance inhérente à la société de consommation a fait oublier la possibilité du manque matériel ; l’habitude du confort a fait perdre l’aptitude à la rusticité », écrivaient les auteurs du rapport. Pour y faire face, le retour à un État fort, avec de l’autorité, est jugé indispensable.

      L’ancien Premier ministre Édouard Philippe se dit aussi favorable à un retour du service militaire, l’ex-ministre des Armées affirme avoir besoin de « cybercombattants »…

      Face à une société qui s’endurcit avec brutalité, les dirigeants vantent l’endurcissement des individus. Plus concrètement, il s’agit de garantir l’engagement des corps. Car la préoccupation centrale actuelle des dirigeants, c’est la crainte d’un déficit de troupes mobilisables dans un conflit éventuel à venir. Le conflit russo-ukrainien rappelle le caractère crucial de la disposition d’une matière première humaine destinée au combat et à la destruction.

      Les dirigeants entretiennent le fantasme de la création d’un continuum d’engagements dans la société qui irait de l’élève de collège au militaire de carrière, et qui couvrirait les formes de combat les plus variées, de la tranchée au cyberespace. Il faut bien faire rêver la jeunesse… Indéniablement, l’Ukraine est un modèle pour les élites françaises.

      À quoi le voyez-vous ?

      À leur discours. Au forum Normandie pour la paix, l’ancien ministre des Armées, Sébastien Lecornu, disait sans ambages toute la teneur sacrificielle de la résiliomanie à laquelle il nous commande de prendre part. Il soulignait la nécessité d’une « capacité de résilience collective » pour faire face simultanément à « une pandémie, un attentat terroriste et une guerre aux portes de l’Europe, ainsi qu’aux effets du dérèglement climatique ».

      Il n’hésitait pas à déclarer en parfait promoteur du survivalisme d’État : « La leçon de l’Ukraine, c’est que c’est un peuple résilient. [...] Le don qu’ils font, c’est celui de leurs fils. »

      « Plus nous sommes en guerre, moins nous sommes en lutte »

      Dès qu’il y a appel à la résilience du peuple, il y a appel au sacrifice du peuple. Les dirigeants tablent sur une exaltation du sacrifice. Libres d’obéir et condamnés à résilier, tel est le mot d’ordre des administrateurs du consentement aux désastres. Plus nous sommes en guerre, moins nous sommes en lutte.

      Quelle conséquence peut avoir l’endoctrinement de la jeunesse ? Quel type d’avenir cela promet-il ?

      Les appels à la résilience nationale sont des ordres adressés à la jeunesse. C’est une façon de les enjoindre à ne surtout pas s’autonomiser et à rester dépendants. Voire même à accroître cette dépendance vis-à-vis des puissants, dans les temps de catastrophe. Plus que jamais nous devons rester solidaires de la production en tant que telle. Produire pour produire, y compris pour produire des catastrophes, tel est l’impératif.

      Dans ce « monde en guerre » dans lequel nous sommes projetés, la quête effrénée de résilience nationale prend les allures d’une rhétorique de nationale-résilience. Et parmi les « modèles » de résiliocraties mis en avant, on retrouve des démocraties aussi exemplaires que la Russie avec son prototypique « ministère des situations d’urgence », la Chine « qui met en place un système unique », Singapour, « une démocratie hybride » où « la défense totale est présente dans tous les aspects de la vie des citoyens », ou encore Israël dont la « politique de résilience robuste et opérationnelle » avec des exercices pratiques permet de « préparer les esprits et les populations au spectre d’un conflit ouvert ». Sans aucun doute, l’actualité récente nous en fournit un exemple éloquent.

      Alors qu’il passe pour un modèle de résilience, Israël est en réalité l’archétype d’un monde faux : un monde où tout menace, mais où il faut tenir malgré tout. Le réarmement civique est bien, en ce sens, un outil d’israélisation du monde. Car ce que l’on ne dit pas assez, c’est combien les Israéliens sont victimes de la résiliomanie de leurs dirigeants, qui leur demandent d’être endurants et de vivre au quotidien avec le pire. D’apprendre à vivre dans un état perpétuel de catastrophe et de lutte contre « l’ennemi ».

      Ce programme est également, désormais, celui auquel les dirigeants français nous enjoignent de nous conformer.

      Où nous mène donc ce programme ?

      Plus que la « confirmation d’un virage droitier, aux accents conservateurs », le discours sur le réarmement civique est une nouvelle contre-offensive étatique face à la montée des aspirations de la jeunesse. Pour reprendre la formulation de Jacques Philipponneau, dans son livre Au-dessus du volcan, la jeunesse manifeste une détermination croissante « à critiquer l’ensemble du système économico-politique, non seulement au nom de l’évidence d’un péril imminent, mais de plus en plus au nom d’une autre conception de la vie ».

      Or les pouvoirs publics entretiennent une confusion entre les deux champs sémantiques de la résilience et de la résistance, parce qu’ils ne veulent surtout pas résister, c’est-à-dire remettre en cause le système technocapitaliste et industriel qui est à l’origine des catastrophes. À travers cette sidération, qui consiste à nous dire qu’il n’y a pas de quoi être anxieux mais qu’il faut tout de même se préparer au pire, l’objectif des gouvernants est de perpétuer l’existant et d’y soumettre les populations.

      « Une technologie de consentement au désastre »

      De ce point de vue, l’idée d’un réarmement civique s’inscrit dans la liste des technologies du consentement au désastre et à l’addiction au désastre, dont le triple objectif est : ne pas s’attaquer aux responsables ; ne pas remettre en cause le système ; éviter la révolte contre ce qui règne, gouverne, et agonise en ce moment.

      Cette idée de réarmement civique fait partie de la quincaillerie idéologique survivaliste du gouvernement. Elle nous empêche de résister à l’ogritude en cours. Une ogritude qu’on euphémise d’ailleurs, en parlant aussi bien de « crise climatique » liée au réchauffement, qu’en parlant de « crise humanitaire » à Gaza, pour éviter de parler respectivement d’écocide et de génocide.

      Ainsi quand l’Élysée prétend à la fois répondre à « l’effondrement de la civilité », constaté par le chef de l’État ces quinze dernières années, et à la « fragmentation croissante de la société », on est en droit de se demander ce qu’il en est de l’effondrement de solidarité et d’humanité auquel on assiste à Gaza et ailleurs. Qu’en est-il encore de la fragmentation de la société que Macron et d’autres précipitent en interdisant l’expression des solidarités avec les Palestiniens emmurés vivants ?

  • Mais c’était un coup en 3 bandes (comme disait Stéphane Guillon) depuis le premier quinquennat ?
    Tu te fais élire centriste, mais le but, c’est de placer le plus de réformes conservatistes, réactionnaires et droitardes, le plus sournoisement du monde. Pour enfin avoir construit une société de droite dure.
    SNU, uniforme à l’école, sport+jeune, théâtre, éducation civique (de droite)... ca ressemble bien à un période pré-extreme droite, non ?
    Si vous rêviez de vous immerger dans ce que pouvaient être les années 30, ne cherchez pas, remplissez vos poumons, c’est exactement ca.

    J’en ai mare de voir chaque jour les choses s’éloigner de ce que j’imagine être une société. En plus de la frustration et la rage, j’ai cette impression de solitude.
    Les directeurs d’écoles ne devraient pas appliquer cela.

    Service national universel, uniforme à l’école, théâtre... Les outils du « réarmement civique » voulu par Emmanuel Macron

    https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/01/17/service-national-universel-uniforme-education-civique-theatre-les-outils-du-

    Les contours de plusieurs mesures annoncées lors de la conférence de presse du chef de l’Etat, le 16 janvier, demeurent flous, et l’application de certaines d’entre elles est soumise à la mise en place de moyens supplémentaires.

    --- --- --- ET DONC --- --- ---

    On en arrive au texte que personne n’a relayé @rezo @7h36 , et pourtant terrifiant de vérité

    L’extrême droite REGNE mais ne gouverne pas
    https://blog.ecologie-politique.eu/post/L-extreme-droite-regne-mais-ne-gouverne-pas

  • france travail
    https://ricochets.cc/france-travail-lettre-convocation-nouvelle.html

    C’est comme ça : quand t’es chômeur tu cherches du travail, pas de la bricole. Y a un bureau pour ça en ville, même que ça s’appelle France-Travail (ex Pole emploi) ! Je me demande où ils ont été encore chercher ce nom , encore un coup d’un chargé de communication d’origine esquimau. Bon, ils m’ont convoqué ; au début j’ai eu peur, j’ai cru que c’était la Justice , parce que la lettre elle était vraiment OFFICIELLE , avec des vrais tampons et tout et tout et même en recommandé . Les (...) #Les_Articles

    / Poésie & Nouvelles, Humour, ironie, satire..., Travail, emploi, entreprise...

    #Poésie_&_Nouvelles #Humour,_ironie,_satire... #Travail,_emploi,_entreprise...

  • Conférences propagande pour la prétendue Intelligence Artificielle sous prétexte d’information et de débats
    https://ricochets.cc/Conferences-propagande-pour-la-pretendue-Intelligence-Artificielle-sous-pr

    Il n’existe pas d’intelligence artificielle, mais plutôt des « rationalités cybernétiques ». L’intelligence, par définition, n’est liée qu’aux êtres vivants, pas aux machines, aussi sophistiquées et numériques soient-elles. Pourtant, tous les médias rabachent ce terme commercial et vicieux d’IA, qui contribue insidieusement à sa banalisation et à la facination. Une machine ne pourra jamais avoir le goût de la souffrance, de l’empathie animale, de la révolte, de la jouissance de la vie et (...) #Les_Articles

    / #Allex, #Technologie, #Le_monde_de_L'Economie

    https://information.tv5monde.com/international/anatomie-dun-antihumanisme-radical-lintelligence-artificielle-
    https://www.helloasso.com/associations/ensemble-scolaire-de-l-archipel/evenements/demystification-de-l-intelligence-artificielle

  • La ruée minière au XXIe siècle | Celia Izoard
    https://www.terrestres.org/2024/01/11/la-ruee-miniere-au-xxie-siecle

    Ces Bonnes feuilles sont extraites du prologue et de la conclusion finale de Celia Izoard, La Ruée minière au XXIe siècle. Enquête sur les métaux à l’ère de la transition, Seuil, 2024.

    Sur un lac de montagne, une oie sauvage est traquée par un drone. Il est équipé de grandes pattes métalliques, de lumières stroboscopiques et de sirènes hurlantes. Depuis un ponton aménagé sur la rive, des hommes l’observent, fusil à la main, prêts à tirer. L’oie ne bouge pas. Un instant plus tard, faute d’avoir réagi à la présence du drone, elle est prise en chasse par un petit bateau télécommandé qui fonce vers elle dans un petit nuage d’écume palpitante. L’oie s’envole. Étrange vision que cet arsenal dirigé contre un oiseau blanc tranquillement posé sur l’eau. La séquence est diffusée dans un journal télévisé, aux États‑Unis, en 20181.

    Pour comprendre cette séquence, il faut revenir deux années en arrière. Un jour de novembre 2016, dans la petite ville minière de Butte dans le Montana, il a plu des oies sauvages. Il en est tombé, mortes, dans les rues, sur le parking du Walmart, devant le casino. Sur le lac de montagne qu’on aperçoit dans la vidéo, on a retrouvé près de 4 000 cadavres, cotonneuse marée de plumes blanches flottant à la surface de l’eau. Ce jour‑là, 10 000 oies s’étaient posées sur le lac pour s’abreuver pendant leur migration.

    #livre #Capitalisme #Déchets #Extractivisme #mines #métaux

  • Des hommes de Paix
    https://ricochets.cc/Des-hommes-et-femmes-de-Paix-Western-Eastern-Divan-Orchestra.html

    Des hommes de paix ! Western- Eastern Divan Orchestra Dans le passé, Yehudi Menuhin était un militant pour la paix. J’ai eu la chance de le rencontrer assez longuement avec sa sœur Hefziba, excellente pianiste, comme je le relate dans une tribune du « Crestois ». Après la guerre Menuhin a participé à la réhabilitation de Wilhem Furtwangler, chef d’orchestre Allemand, qui a continué à diriger pendant la guerre, parfois devant des dignitaires nazis. Mais Furtwangler a aussi protégé des (...) #Les_Articles

    / Chansons & musiques

    #Chansons_&_musiques
    https://west-eastern-divan.org/divan-orchestra

  • « Ce n’était pas à moi de partir » - Brochure
    https://ricochets.cc/Ce-n-etait-pas-a-moi-de-partir-Brochure-7264.html

    Ça parle du moment où j’ai quitté la lutte antinucléaire à Bure en novembre 2021 et pourquoi j’ai dû le faire. Comment j’ai réussi à me sauver d’une relation d’emprise avec une personne qui participe à cette lutte et se dit « allié ». Ça raconte ce que peuvent être les violences conjugales psychologiques dans le cas un peu particulier de relation amoureuse dans le milieu militant. Où l’on prétend à l’amour libre et à la remise en question de schémas normés. Pourquoi je n’ai d’abord pas réussi à partir et comment j’ai dû disparaître des espaces militants pour m’en sortir et me réparer. #Les_Articles

    / #Féminisme

  • #Valence samedi 13 janvier : Manifestation Justice pour la Palestine !
    https://ricochets.cc/Valence-samedi-13-janvier-2024-Manifestation-Justice-pour-la-Palestine-ces

    CESSEZ LE FEU IMMEDIAT ! Manifestation Samedi 13 janvier 11 H - Champ de Mars Valence CATASTROPHE HUMANITAIRE ! L’attaque barbare du Hamas, suivie de la terrible réplique israélienne sur la bande de Gaza a ouvert un cycle d’horreurs qui frappe tous les habitants de Gaza soumis à un déluge de bombardements,à la privation d’eau, de nourriture, de médicaments. Sans un CESSEZ LE FEU IMMEDIAT et la LEVÉE DU BLOCUS, l’aide humanitaire ne peut pas parvenir à Gaza. La famine et les (...) #Les_Articles

    / Valence

  • 15 èmes rencontres départementales des luttes et des résistances pour un avenir sans fascisme, Voiron
    https://ricochets.cc/15-emes-rencontres-departementales-des-luttes-et-des-resistances-pour-un-a

    Rdv Samedi 13 janvier 2024 à la salle des fêtes de Voiron (Isère), stands, expos, librairies, débats sur le thème “Stigmatisation, confusion et récupération : Comment les discours fascisants nous embrouillent ?” #Les_Articles

  • En marche vers le travail forcé - Le Numéro Zéro
    https://lenumerozero.info/En-marche-vers-le-travail-force-6542

    FRANCE
    Publié le 25 novembre 2023
    En marche vers le travail forcé

    Le projet de loi Plein Emploi, lequel au moment où on écrit n’a plus devant lui que l’obstacle éventuel d’une censure partielle par le Conseil Constitutionnel avant de pouvoir s’appliquer légalement, ne semble pas susciter de réaction à la hauteur de l’attaque inédite qu’il constitue pour le monde du travail et l’avenir du salariat en France.

    Concrètement, ce projet de loi va ouvrir la possibilité légale pour l’État de forcer des millions de personnes (pas seulement les allocataires du RSA, mais bien l’ensemble des chômeurs, précaires et bénéficiaires des minimas sociaux qui auront progressivement tous obligation de s’inscrire à la nouvelle entité France Travail sous peine de voir leurs allocations suspendues) à travailler en dehors du cadre légal du salariat tel que défini par le Code du travail.

    C’est donc d’abord un projet de guerre aux pauvres, destiné à les rendre encore plus pauvres.
    Travailler plus pour gagner moins, en quelque sorte.

    Rien que cela devrait suffire à ce que nous soyons des millions dans la rue, ou en grève reconductible, ou ….? Enfin, quelque chose, une réaction collective.
    Pour ceux qui croient encore dans le camp du salariat à l’existence d’un intérêt général, collectif, défendre d’abord et en priorité les droits des plus précaires devrait être comme un réflexe, une routine, une pratique non négociable quelles que soient les difficultés conjoncturelles ; une solidarité de bon sens, une des seules armes efficaces contre la logique de concurrence entre tous qu’on nous impose. L’histoire sociale des quarante dernières années en France et la dégradation continue des droits et conditions d’existence des chômeurs et précaires dans une relative indifférence montrent que malheureusement ce n’est plus une conviction largement partagée. Se montre donc aussi en creux, par son absence même, ce qu’il conviendrait de défendre en priorité pour se donner quelque chance d’inverser ce cours néfaste.

    Mais ce projet de loi est en même temps un projet de guerre au salariat.

    Comment appeler autrement ce qui permettra de faire travailler légalement des millions de gens en dehors de son cadre légal ? Ce qui ouvrira un formidable appel d’air pour pousser encore plus fort à sa dégradation (salaires, temps de travail, conditions de travail) ?

    Cela aussi devrait suffire pour que nous soyons des millions etc.

    Bon, être des millions ne suffit pas toujours, en tout cas être des millions dans la rue n’a pas suffi en 2023. Mais on n’a pas essayé depuis longtemps d’être des millions en grève reconductible en même temps pendant une durée indéfinie. On finit même par oublier que cela pourrait être possible. Pourtant la grève générale de Mai 68 n’a duré qu’environ 3 semaines, pendant que le mouvement sur les retraites de 2023 a duré six mois (pour une quinzaine de journées d’action officielles).

    Entre les deux on préférera toujours la version courte et rigolote : tant qu’à se faire bananer à la sortie, autant faire le truc pour de vrai en 2 ou 3 semaines et passer à autre chose après ; financièrement c’est à peu près kif kif, et surtout il en reste bien plus de belles choses à la sortie, des choses qui resserviront les fois d’après.
    Et au fond, quand on est las de l’activisme spectaculaire et stérile, qu’il soit syndical ou émeutier, c’est la seule perspective sérieuse de foutre en l’air le programme néolibéral, sa technologie avilissante, ses ritournelles de l’urgence et de la mobilisation permanentes qui contaminent jusqu’au camp de l’émancipation.

    Camarades salariés plus ou moins encore garantis, camarades syndicalistes, vous comptez vraiment attendre l’inauguration officielle du premier néo-camp de travail en France dans 10, 20 ou 50 ans (peu importe le moment précis, cela finira par arriver) par le Rassemblement National Écologique En Marche Pour Sauver La République Par Le Plein Emploi pour réellement commencer à vous inquiéter d’une disparition du salariat au profit d’une forme ou d’une autre de néo-servage ? L’abolition du salariat, la réalisation si longtemps attendue de la grande prophétie marxiste, la voilà qui se dessine enfin, dans le cadre du programme néolibéral : une sortie par le bas, aux conditions de l’adversaire. Au bout de tant de décennies d’échecs et de reculs, serait-ce trop demander qu’un syndicalisme un peu lucide et conséquent reconnaisse cet échec stratégique majeur, regarde en face son impuissance et en tire des leçons ?

    novembre 2023,
    Un idiot des confins.

  • Projection du film « Les voies jaunes » ce mercredi 10 janvier à l’Eden de Crest
    https://ricochets.cc/Projection-du-film-Les-voies-jaunes-ce-mercredi-10-janvier-a-l-Eden-de-Cre

    Sylvestre Meinzer, quelques semaines après le début du mouvement des Gilets jaunes fin 2018, a traversé la France sur une diagonale qui va du Havre à Marseille pour enregistrer des voix jusqu’alors inaudibles. Des voix de personnes qui avaient décidé de marquer une rupture dans leur quotidien et de porter un gilet jaune. Avec beaucoup de sensibilité et de justesse, Sylvestre Meinzer a réussi à tisser un fil entre toutes ces personnes, qui raconte à la fois le commun d’une vie de plus en (...) #Les_Articles

  • #Crest : Mariton va « démissionner » pour tenter de faire perdurer son système
    https://ricochets.cc/Crest-Mariton-va-demissionner-pour-tenter-de-faire-perdurer-son-systeme-de

    Les rumeurs de démission du seigneur de Crest Hervé Mariton se sont confirmées samedi 6 janvier. Il a régné sans partage sur la mairie pendant 29 ans, enkysté au trône depuis 1995 ! Bon débarras ! Il annonce, apparemment pour des motifs de basse stratégie électoraliste (et non de santé), démissionner à l’été 2024 au profit de sa première adjointe Stéphanie Karcher. De nombreuses personnes, de tout bord, à Crest et dans les environs, en ont plus qu’assez des méthodes, projets, actions et (...) #Les_Articles

    / #Elections_locales, Crest, #Elections_municipales_Crest,_Drôme

  • Précarité et inégalités sociales en hausse - Le capitalisme se porte bien
    https://ricochets.cc/Precarite-et-inegalites-sociales-en-hausse-L-ultra-capitalisme-se-porte-bi

    Le Capital et les milliardaires se gavent, le tas d’argent grossit, mais la précarité s’étend et la planète est ravagée : le techno-capitalisme est en grande forme ! Et il ne réduira pas ses appétits infinis, quelle que soit la couleur du parti au pouvoir. Pour se sortir vraiment de l’ornière, il faudrait viser autre chose que changer de gouvernement ou la hausse du « pouvoir d’achat ». Rester dans les concepts et institutions du modèle de société qui ravage tout ne permet que de (...) #Les_Articles

    / #Le_monde_de_L'Economie

  • On a marché - Un film sur la Marche Nationale des Sans Papier 19 septembre – 17 octobre 2020
    https://mnsp2020.clouds.gresille.org/index.php/s/3LD4eHR8b4dHA6k

    On a marché est un film documentaire qui propose de retracer une partie de la Marche Nationale des Sans Papier, une grande marche qui a eu lieu du 19 septembre au 17 octobre 2020 à travers toute la France. Durant cette marche des centaines de personnes ont parcouru villes et villages en direction de l’Élysée, certaines d’entre elles marchant pendant 1 mois pour faire entendre leurs revendications : logement digne pour toutes et tous, fermeture des Centres de Rétention Administrative, régularisation de tou.te.s les sans papier !

    La Marche Nationale intervient après plusieurs mobilisations, c’est l’ « Acte 3 » de la lutte des sans papier en France en 2020 en plein contexte de crise sanitaire et confinement :

    Extrait du blog Mediapart de La Marche des Solidarités – 12 août 2020
    https://blogs.mediapart.fr/marche-des-solidarites/blog/120820/19-septembre-17-octobre-marche-nationale-des-sans-papiers

    On marche vers l’Elysée !
    Acte 1 : Le 30 mai des milliers de Sans-Papiers et de soutiens ont bravé l’interdiction de manifester à Paris
    et dans plusieurs autres villes.
    Dans les jours et les semaines qui ont suivi des dizaines de milliers de personnes ont manifesté contre le racisme et les violences policières.
    Acte 2 : Le 20 juin des dizaines de milliers de Sans-Papiers et soutiens ont manifesté à Paris, Marseille, Lyon, Lille, Rennes, Montpellier, Strasbourg et dans de nombreuses autres villes.
    Mais Macron n’a eu aucun mot pour les « premierEs de corvée », aucun mot pour les Sans-Papiers, exploitéEs dans les pires des conditions ou perdant leur emploi sans chômage partiel, retenuEs dans les CRA, vivant à la rue ou dans des hébergements souvent précaires et insalubres. Aucun mot pour les jeunes migrantEs isoléEs. Il n’a eu aucun mot contre le racisme, aucun mot pour les victimes des violences policières.
    Nous disons qu’une société qui refuse l’égalité des droits aux prétextes de la nationalité, l’origine, la couleur de peau sera de plus en plus gangrénée par le racisme et les violences d’Etat.
    Nous disons qu’une société qui accepte l’inégalité des droits, la surexploitation, la répression, l’enfermement, l’expulsion des Sans-Papiers au nom de la crise, sera désarmée face à toutes les attaques sociales.
    Alors nous organisons l’Acte 3 des Sans-Papiers.

    L’équipe du film

    Nous sommes un groupe de quatre réalisateurs et réalisatrices amateures.
    Dans notre groupe, il y a une personne du CSP 75, une personne du CSP Montreuil et deux soutiens de Grenoble. On a toutes et tous participé à la marche, c’est là qu’on s’est rencontrés. On s’est rencontré autour de l’envie de filmer la marche, pour en garder des souvenirs, des traces, créer des archives de la lutte en cours, sans trop savoir, au début, ce qu’on allait en faire. C’est après qu’on a trouvé que ces images étaient si intéressantes, qu’on devait en réaliser un film pour montrer aux gens, comment les sans papiers vivent et comment ils et elles se sont organisés pour faire cette marche._

    Pourquoi avoir fait un documentaire ?

    Nous avons fait cette marche, pour la lutte des sans papier, pour nos droits. Mais les journalistes n’ont pas partager cette lutte, n’ont pas fait entendre et voir ce qu’on a fait. Ce que les journalistes ne voulaient pas faire, on le fera nous-même ! Il ne faut pas que cette marche soit oubliée, alors nous nous sommes organisés ensemble pour trouver des solutions et des moyens pour la rendre publique, visible. On ne nous a pas vu à la télé, et à partir de ce constat, on s’est dit qu’on ne pouvait pas rester comme ça, les bras croisés, sans rien faire. Alors on a eu cette idée de réaliser un film nous-mêmes sur cette marche. On a voulu faire ce film pour que la marche reste dans l’histoire, pour en garder la mémoire, pour qu’elle s’inscrive dans la continuité des luttes des sans papiers pour leurs droits.
    Pour que l’histoire des immigrés reste toujours vivante.
    On a marché, on a filmé, et ça c’est une histoire de #sans_papiers.

    • Comment le film est-il construit ?

    Les images ont été tournées dans le but de faire des archives de la lutte. Il n’y avait pas l’idée de faire un film à la base. Alors c’est après qu’on a essayé de mettre les images les unes avec les autres pour leur faire raconter cette marche.
    Le film est organisé par thématiques et n’est donc pas une chronologie exacte de la marche de son organisation à la grande manifestation du 17 octobre.

    Nous l’avons découpé en 5 chapitres :
    Chapitre 1 : sur l’organisation de la marche
    Chapitre 2 : sur la marche en elle-même, différents moments de celles-ci, les rencontres, la solidarité entre camarades.
    Chapitre 3 : sur les moments plus difficiles de la marche mais aussi et surtout sur la repression et les difficultés rencontrées au quotidien
    Chapitre 4 : sur la manifestation du 17 octobre 2020 à Paris
    Chapitre 5 : mini chapitre sur les luttes d’après

    • Limites

    Ce film est imparfait. Les images que l’on y voit on été tournées sur l’axe Grenoble-Paris. Nous avons bien conscience que de ce fait il a de nombreux manques : nous ne voyons pas tous les collectifs, n’avons pas pu recueillir la diversité des paroles formulées durant cette lutte ni retranscrire l’ambiance réelle de cette marche. Nous n’avons pas eu la chance de rencontrer des personnes de chaque villes de départ, alors certaines peut-être pourraient se sentir invisibilisées, nous en sommes sincèrement navré.es. Idem pour le chapitre sur les « luttes d’après » la marche qui fait un focus sur Grenoble où il nous était plus facile de filmer à ce moment là. Nous n’avons également pas réussi à récupérer les noms de chaque personnes que l’on entend et avons fait de notre mieux pour en retrouver un maximum (n’hésitez pas si vous en avez qui manquent et qu’on pourrait rajouter).
    Nous avons choisi comme langue de diffusion le français, ce qui est un choix discutable nous en avons conscience.
    Ce film est artisanal, amateur et fait avec les moyens du bord, nous espérons malgré ses défauts qu’il saura vous apporter un souvenir ou un aperçu de ce qu’a été la marche nationale des sans papier de l’automne 2020 !

    #luttes #marche #archives #film #documentaire

  • 3 janvier 2024 : la police exécute à coup de Taser un jeune homme agité
    https://ricochets.cc/3-janvier-2024-la-police-execute-a-coup-de-Taser-un-jeune-homme-agite-dang

    2024 à peine commencée, et déjà la police commet un horrible assassinat à Montfermeil. Les milices lourdement armées de ce régime autoritaire en cours de fascisation sont toujours aussi dangereuses. Leurs armes à létalité aléatoire (ditent "non létales") tuent régulièrement, d’autant que leur usage augmente. Leur sinistre « police du futur » prévoit la mise sur le marché d’autres armes dite « non létales », pour toujours plus de répression. En France en 2024 l’agitation, l’agressivité et (...) #Les_Articles

    / #Procès,_justice,_répression_policière_ou_judiciaire, Autoritarisme, régime policier, démocrature...

    #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...
    https://mathieurigouste.net/La-police-du-futur

    • À Montfermeil, une communauté en deuil après la mort de Kilyan qui a reçu une douzaine de coups de taser
      https://www.bondyblog.fr/societe/a-montfermeil-une-communaute-en-deuil-apres-la-mort-de-kilyan-qui-a-recu-u

      Vendredi dernier, ce jeune homme de 30 ans est décédé après avoir reçu une douzaine de décharges de pistolet à impulsion électrique lors de son interpellation par la #police. Dans sa ville, le choc et l’incompréhension dominent. Un rassemblement a eu lieu en sa mémoire. Reportage.

      À Montfermeil, samedi 7 janvier, l’heure est au recueillement après la mort de Kilyan. Ce jeune homme de 30 ans, originaire de Martinique, est décédé suite à une interpellation policière dans la nuit de mercredi à jeudi. Pas moins de douze coups de #taser lui ont été administrés par les fonctionnaires de police.

      Dans la résidence de la cité Lucien Noël, la communauté locale s’est rassemblée autour d’un repas organisé par les proches du défunt. Malgré la nuit froide et pluvieuse, les habitants sont au rendez-vous. Une cagnotte a été mise en place pour épauler la famille.

      #violences_policières

    • « Non seulement ils ont enlevé mon frère, mon collègue, mon ami, mais en plus, ils ont menti sur moi, je n’ai jamais appelé la police », assure Michel, le gérant du Citymarket. Et continue de préciser que la police est intervenue dans la réserve de son commerce, hors de portée des caméras, puis, qu’à la suite de l’incident, « ils ont tout nettoyé, les projectiles, les caméras… Plus rien n’était là ». Ce dernier a décidé de fermer son commerce, le temps du deuil.

  • #Die : l’association » Les Jardins Nourriciers » vous invite à des Chantiers Participatifs
    https://ricochets.cc/DIE-association-Les-Jardins-Nourriciers-invite-a-des-Chantiers-Participati

    Pour une #Agriculture vivrière associative et écologique. Afin de pouvoir passer plus de temps ensemble et faire découvrir le projet aux « compagnons » et « Bénéficiaires » de vos structures, nous sommes heureux de vous convier sur la parcelle de DIE à la GRIOTTE le 13 et le 27 janvier 2024. L’objectif pour vous est de venir voir directement le futur site de production maraîchère collective ainsi que de rencontrer les membres de l’association et les futurs jardiniers ! (attention après le (...) #Les_Articles

    / Die, Agriculture, #Autonomie_et_autogestion

  • #Israël serait déjà en contact avec plusieurs pays pour y expulser les Gazaouis

    Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a affirmé, le 25 décembre, œuvrer en faveur d’un #plan de “#migration_volontaire” des Gazaouis, tandis qu’un député de son parti a révélé que l’État hébreu était en contact avec des pays d’#Amérique_latine et d’#Afrique à cet effet.

    Un éventuel #plan d’expulsion des Palestiniens de Gaza semble se préciser chaque jour un peu plus, rapporte la presse internationale. Outre les #bombardements, qui ont redoublé d’intensité et ont déplacé, depuis octobre, 85 % de la population vers le sud, jusqu’à la frontière avec l’Égypte, les déclarations des responsables israéliens sur le sujet sont de plus en plus explicites. Ainsi, lors d’une réunion à huis clos le 25 décembre avec son parti à la Knesset [Parlement israélien], le Premier ministre, Benyamin Nétanyahou, a pour la première fois évoqué ouvertement un plan de "migration volontaire".

    "Notre problème, ce sont les pays qui sont prêts à les accueillir, et nous y travaillons", aurait-il déclaré, cité par plusieurs médias, dont The Palestinian Chronicle.

    Le jour même, un député membre du Likoud, Danny Danon, a été encore plus loin, révélant, lors d’un entretien avec la radio locale Kan Reshet Bet, qu’Israël était déjà en contact avec plusieurs pays afin d’explorer les diverses possibilités d’#accueil des Gazaouis.

    "J’ai reçu des demandes de divers pays [...] prêts à accueillir des réfugiés [...], ce sont des pays d’Amérique du Sud et d’Afrique", a-t-il indiqué, relayé par Ha’Aretz. Il a ajouté que certains pays ont réclamé, en contrepartie, une "#compensation_financière" tandis que d’autres "ont demandé autre chose".

    "Cela arrive dans chaque guerre"

    Sans préciser les noms des pays avec lesquels l’État hébreu est en contact, le député du Likoud s’est contenté d’évoquer le cas du Canada, dont le ministre de l’Immigration a annoncé, le 21 décembre, la volonté de son pays d’accueillir les familles élargies des Gazaouis ayant la citoyenneté canadienne, rapporte le site Jewish Press.

    "Nous resterons en contact d’abord avec les pays de la région [Moyen-Orient] et avec les pays du monde [...]. Même si chaque pays reçoit dix mille ou vingt mille Gazaouis, cela est significatif", a souligné Danny Danon, selon lequel il s’agirait d’une "migration volontaire de Palestiniens qui souhaitent partir".

    "Cela arrive dans chaque guerre, regardez ce qui se passe en Syrie : un million et demi [de personnes] sont allées en Jordanie, trois millions en Turquie et quelques millions en Europe", a-t-il poursuivi, critiquant les réticences des deux principaux pays frontaliers - la Jordanie et l’Égypte -, qui ont fermement exprimé leur rejet d’un plan d’#exode des Palestiniens.

    "Occasion historique"

    Ces déclarations contrastent largement avec le démenti d’Eylon Levy, porte-parole du gouvernement israélien, qui, le 10 décembre, avait souligné devant des journalistes étrangers qu’Israël n’avait aucune intention de déplacer la population palestinienne hors de la bande de Gaza, qualifiant les affirmations à ce sujet d’"accusations scandaleuses et fausses".

    Elles attisent surtout les craintes, parmi les Palestiniens, d’une seconde "Nakba" ou d’une "#épuration_ethnique" - comme le dénoncent plusieurs voix en Israël et dans le monde arabe - et font écho à un document de travail du ministère du Renseignement israélien, révélé par la presse en octobre dernier, qui esquissait déjà au début du conflit plusieurs scénarios pour l’après-guerre, dont l’un prévoit d’installer les Gazaouis dans le #Sinaï égyptien.

    En novembre dernier, dans une tribune publiée dans le journal américain The Wall Street Journal, Danny Danon et Ram Ben-Barak, ancien haut responsable du Mossad, ont élargi le spectre géographique, appelant aussi l’Europe à contribuer aux efforts d’accueil des Gazaouis qui "cherchent" à émigrer.

    Dans la foulée, le ministre des Finances israélien, Bezalel Smotrich (extrême droite), avait souligné l’importance de l’enjeu politique. L’État d’Israël est "incompatible" avec l’existence d’une enclave palestinienne indépendante qui repose "sur la haine d’Israël et aspire à sa destruction", avait-il martelé, selon le site Middle East Eye.

    "Pour les démagogues d’extrême droite, et notamment le ministre des Finances, Bezalel Smotrich, et le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, cette guerre est une occasion historique pour réaliser leur liste de voeux : la destruction d’une grande partie de Gaza, l’élimination de l’appareil politique et militaire du Hamas, et, si possible, l’expulsion de dizaines ou de centaines de milliers de Palestiniens vers le Sinaï égyptien", dénonçait déjà, quatre jours après le début de la guerre, Amjad Iraqi, journaliste pour le site israélo-palestinien +972 Magazine.

    https://www.courrierinternational.com/article/revue-de-presse-israel-serait-deja-en-contact-avec-plusieurs-
    #expulsion #nettoyage_ethnique #géographie_du_vide #Palestine #Gaza #Egypte

    • Plan d’« #émigration » des Palestiniens : Israël avance dans son projet de #nettoyage_ethnique à Gaza

      Cette semaine, le Times of Israel révélait qu’Israël était en pourparlers avec des pays tels que le Congo pour qu’ils accueillent des Palestiniens de Gaza dans le cadre d’un prétendu « plan d’#émigration_volontaire » L’État sioniste, qui négocie depuis le début de sa contre-offensive avec ses voisins pour accueillir les Palestiniens qu’il force à l’exil en ravageant la bande de Gaza et en faisant plus de 22.000 morts, voudrait pouvoir déporter des civils gazaouis dans des pays comme le Congo ou l’Arabie Saoudite, à condition dans ce dernier cas que les Palestiniens soient disposés à travailler en tant qu’ouvriers dans le bâtiment.

      Benjamin Netanyahu a effet assumé, au cours d’une réunion du Likoud, être à la recherche de pays acceptant de recevoir les réfugiés gazaouis. « Notre problème est de trouver des pays qui sont désireux d’intégrer des gazaouis et nous travaillons là-dessus » a-t-il expliqué rapporte le Times of Israel. Le ministre des renseignements israéliens, Gila Gamliel a depuis fait une déclaration dans le même sens mardi dernier à la presse israélienne : « l’émigration volontaire est le meilleur programme, le programme le plus réaliste, pour le lendemain de la fin de la guerre ».

      Contrairement à ce que l’euphémisme utilisé laisse penser, il ne s’agit bien entendu pas d’une « émigration volontaire » dans la mesure où quitter Gaza est une question de vie ou de mort pour les plus de 2 millions d’habitants de l’enclave. Gamliel a ensuite clarifié le projet des autorités israélienne à l’issue de la guerre : « Il n’y aura pas de travail et 60% des terres agricoles deviendront des zones-tampon par nécessité sécuritaire ».

      Ce discours signe un alignement total avec les perspectives défendues ces derniers jours par les ministres d’extrême-droite Smotrich et Ben Gvir. Le premier expliquait ainsi le 31 décembre : « pour avoir la sécurité, nous devons contrôler le territoire et, pour cela, nous avons besoin d’une présence civile sur place ». Et d’ajouter : « S’il y avait 100 000 ou 200 000 Arabes à Gaza contre 2 millions aujourd’hui, le discours ne serait pas le même. » Alors que le projet d’annexion de la bande de Gaza de la part de responsables israéliens se fait de plus en plus clair, l’État d’Israël assume sa volonté d’aller au bout du nettoyage ethnique de la zone, par la guerre et par le déplacement forcé des gazaouis.
      Face à la réaction hypocrite du camp impérialiste, poursuivre la lutte pour la Palestine

      Les gouvernements occidentaux, alliés d’Israël, se sont fendus de communiqués dénonçant les premières déclarations des ministres d’extrême-droite. Du côté des Etats-Unis, le département d’État a qualifié mardi leurs propos « d’irresponsables ». L’État français a de son côté expliqué condamner « les propos des ministres israéliens des Finances, M. Bezalel Smotrich, et de la Sécurité nationale, M. Itamar Ben Gvir, appelant à « l’émigration » de la population gazaouie ainsi qu’au rétablissement de colonies à Gaza et à son occupation terrestre. »

      Des réactions totalement hypocrites de la part de gouvernements occidentaux qui, tout en appelant à la « modération » de la politique génocidaire d’Israël, n’ont jamais remis en question leur soutien à l’État sioniste Israël, auquel ils continuent à vendre du matériel militaire et dont ils soutiennent clairement l’offensive en cours. Une conséquence logique de leur appui historique à l’existence de cette enclave coloniale au service des intérêts impérialistes au Moyen-Orient. Une hypocrisie particulièrement visible à l’heure où Netanyahou s’aligne, une fois de plus, sur l’aile droite de son gouvernement.

      Dès la fondation de l’État d’Israël, avec la Nakba, et au fur et à mesure de l’extension de l’occupation des territoires palestiniens, le déplacement forcé des populations palestiniennes a été une constante dans la région. Aujourd’hui, près de 5 millions de réfugiés palestiniens vivent déjà dans des camps de réfugiés au Moyen-Orient. Le déplacement forcé de populations s’inscrit dans les pratiques génocidaires d’Israël, qui n’ont jamais remises en cause le soutien des gouvernements occidentaux à l’État d’Israël.

      Dans ce cadre, et face à la complicité objective des régimes arabes avec Israël, il y a urgence à poursuivre la construction d’un mouvement international de solidarité avec la Palestine. Un mouvement qui, pour peser, devra chercher à élargir le mouvement et à porter la lutte sur le terrain de la lutte de classes, pour pousser des sections syndicales dans des secteurs stratégiques à empêcher les livraisons de matériel militaire ou porter un coup aux profits de multinationales qui profitent de la colonisation de la Palestine.

      https://www.revolutionpermanente.fr/Plan-d-emigration-des-Palestiniens-Israel-avance-dans-son-proje

  • Après les combats de 2023 une année 2024 de victoires et de révolte généralisée ?
    https://ricochets.cc/Apres-les-combats-de-2023-une-annee-2024-de-victoires-et-de-revolte-genera

    Après une année 2023 agitée, dure, souvent cuisante, peut-être que les révoltes vont s’ancrer, s’approfondir, s’organiser, s’élargir, se généraliser en 2024 ? Qui sait ? Ce ne sont pas les motifs et les ressorts qui manquent ! 💥 2023 : ANNÉE DE COMBATS, 2024 : ANNÉE DE VICTOIRES ? – Retour en image sur une année folle – L’année 2023 a été extraordinairement agitée, indomptable et révoltée, malgré toutes les tentatives du pouvoir pour étouffer les voix qui continuent de résister. (...) #Les_Articles

    / #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle, Révoltes, insurrections, débordements...

    #Révoltes,_insurrections,_débordements...

  • Les forêts ne résistent pas au réchauffement climatique accéléré et aux canicules répétées
    https://ricochets.cc/Les-forets-ne-resistent-pas-au-rechauffement-climatique-accelere-et-aux-ca

    2024 pourrait être « le coup de grâce » pour nos forêts - Il n’a jamais fait aussi chaud sur Terre qu’en 2023. Les répercussions de telles chaleurs sur les forêts françaises sont majeures, explique Jonathan Lenoir, du CNRS. (...) Autrement dit, il ne faut pas que 2024 marche dans les pas de 2023. Oui. Malheureusement, c’est ce vers quoi on se dirige. J’aimerais bien pouvoir dire que 2023 est une année exceptionnellement chaude, mais ce n’est pas vraiment le cas (...) Pendant que le (...) #Les_Articles

    / #Ecologie, #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques

    https://reporterre.net/Forets-si-2024-ressemble-a-2023-ce-sera-le-coup-de-grace